10/02/2018
14:39:36
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[OSE] Organisation Spatiale Everienne

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OSE

Salle de contrôle à Nyrvalen

Ici ce trouveras le rp spatial Everien
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Rapport de test


Test de réacteur de fusée


Le test du réacteur expérimental Dragoon-3 s’est déroulé avec succès ce matin sur le site d’essai orbital de Nyrvalen. Après plusieurs semaines de modifications techniques, principalement centrées sur l’optimisation du système d’injection et le recalibrage des chambres de combustion secondaires, les ingénieurs ont enfin pu valider les améliorations en conditions réelles. Le réacteur a été mis en marche pendant un cycle complet de simulation de lancement, avec des paramètres poussés jusqu’à 105% de la poussée nominale. Les capteurs ont confirmé une réduction de 0,5% de la consommation de carburant par rapport aux itérations précédentes, sans aucune perte de puissance mesurable. Les équipes techniques sur place ont exprimé leur satisfaction face à la stabilité et la précision du comportement moteur, soulignant que cette avancée, bien que modeste en apparence, représente un gain significatif pour les futures missions longues distances. L’illustration capturée pendant le test montre clairement la combustion optimisée du moteur et la propreté de la poussée, signes d’un fonctionnement maîtrisé et prometteur.
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Rapport d'avancé


Dans les ateliers de l’Institut Aérospatial d’Everia, à Nyrvalen, le programme de stabilisation inertielle aborde une phase cruciale. Si les fusées everiennes ont déjà utilisé des stabilisateurs classiques lors de précédents lancements atmosphériques, les ingénieurs de l’Organisation Spatiale Everienne (OSE) travaillent aujourd’hui sur une nouvelle génération de stabilisateurs, spécifiquement conçue pour les modèles de test de fusées réutilisables. Ces nouveaux dispositifs, bien plus sophistiqués que leurs prédécesseurs, visent à garantir une stabilité accrue non seulement au lancement, mais aussi à la descente, dans le cadre des essais de retour contrôlé. Fabriqués à partir de composites allégés et renforcés thermiquement, ils pourront supporter les variations de pression et de température lors de phases dynamiques, comme le retour atmosphérique ou la correction d’orientation en vol. Le développement ne s’arrête pas à la structure : ces stabilisateurs seront couplés à des systèmes de contrôle avancés, capables de s’adapter en temps réel aux conditions de vol, en ajustant automatiquement la réponse des surfaces mobiles selon les données télémétriques. Des tests en soufflerie à grande vitesse sont en cours pour valider leur comportement dans des profils de vol plus complexes que ceux des missions précédentes. L’objectif fixé par l’OSE est ambitieux : intégrer ces stabilisateurs dès les premiers prototypes de fusées partiellement réutilisables, dont les campagnes de test sont prévues pour démarrer avant avril 2017. Il s’agit là d’un préambule essentiel à la mise au point de véhicules orbitaux capables de revenir au sol de manière contrôlée et de réduire drastiquement les coûts de lancement à l’avenir. Cette avancée marque un tournant stratégique dans l’histoire spatiale everienne : la transition des fusées à usage unique vers une génération de lanceurs partiellement, puis totalement réutilisables, plus sûrs, plus durables, et mieux adaptés aux ambitions à long terme de l’agence
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Une réussite majeure !

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La fusée au décollage

Aujourd'hui, nous avons pu assister à ce qui peut être appelé le plus grand pas de l'innovation spatiale en Everia, en effet, c'était aujourd'hui que se déroulait le test des fusées réutilisables, le modèle Schal'Kyom (Perce ciel) a réussi à effectuer trois décollage puis atterrissage consécutif en montant à une altitude de près de 400 mètres. Ces tests, qui sont notamment effectués via un contrôle à distance, sont dus à la dangerosité de ces tests, à la nature prototypaire des fusées réutilisables et à la non nécessité de pilote humain pour ces tests de basse altitude. Nous avons donc pu assister au spectacle impressionnant d'un décollage avec les réacteurs de dernière génération, non pas une fois, mais près de 7 fois. Deux autres fusées ont, elles aussi, décollé et réatterri avec succès, mais il a été jugé que deux fois était la limite pour ces prototypes.

Les ingénieurs travaillant sur le projet nous on fait part de leurs attentes pour la prochaine version des stabilisateurs qui auront une gestion intelligente des flux d'air intégré et de la nouvelle version des réacteurs qui permettront d'augmenter la puissance pour une consommation moins grande, Ils prévoient 0,075% de puissance en plus par rapport à la génération actuelle, pour une réduction de 0,025% de la consommation. Leur projet d'ici à 2020 serait d'envoyer une sonde d'exploration sur la lune et de la récupérer. Afin d'obtenir des données sur la composition lunaire et sur la capacité à y faire construire des relais et émetteurs satellites qui permettront d'agrandir très largement la portée des réseaux spatiaux Everien.

Les espoirs se tournent maintenant vers les lancements de la semaine prochaine. Si de nouveaux succès sont atteints, il est prévu de lancer une grappe de satellites de géolocalisation, ce qui permettrait d'ouvrir au public le système GPS développé par l'Etat. Du côté du public, ce système connait une certaine attente qui pour l'instant suit avec attention les développements et les avancées des projets spatiaux Everien.
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Seconde série de test, la deuxième génération fait ses preuves.



Aujourd’hui marque un nouveau tournant décisif dans l’histoire de l’innovation spatiale en Everia. Quelques mois seulement après les premiers essais réussis du modèle Schal’Kyom (Perce-ciel), les ingénieurs du programme spatial everien ont franchi une nouvelle étape majeure dans la mise au point de leurs fusées réutilisables. Cette fois-ci, c’est une version améliorée du prototype, baptisée Schal’Kyom II, qui a pris son envol, démontrant des performances supérieures et un degré de fiabilité encore jamais atteint dans le pays.

Lors de cette nouvelle série d’essais, Schal’Kyom II a impressionné en réalisant cinq décollages suivis d’atterrissages consécutifs, atteignant des altitudes supérieures à 600 mètres, soit une nette progression par rapport aux précédents tests. Les manœuvres ont une fois de plus été menées via contrôle à distance, une mesure de sécurité rendue nécessaire par la nature expérimentale du projet et l’absence de besoin d’un équipage humain à ce stade. Le spectacle de ces décollages, porté par la dernière génération des nouveaux réacteurs, a été salué par les spécialistes présents sur le site d’essai.

Deux autres prototypes de la même série ont eux aussi été testé afin de garantir les avancés avec plus de précision, réalisant chacun trois décollages réussis, confirmant ainsi la robustesse et la fiabilité de ces nouveaux modèles de fusée.

Les ingénieurs ont souligné l’importance des progrès réalisés, notamment grâce à l’intégration de stabilisateurs intelligents capables d’adapter en temps réel la gestion des flux d’air pour optimiser la stabilité en vol. La nouvelle version des réacteurs a également tenu ses promesses, dépassant légèrement les objectifs annoncés plus tôt dans l’année : ils offrent désormais 0,078 % de puissance supplémentaire tout en réduisant la consommation d’environ 0,026 %. Si ces chiffres peuvent sembler modestes, ils représentent un bond significatif dans un domaine où chaque fraction de pourcentage compte.

L’ambition reste inchangée : d’ici à 2020, envoyer une sonde d’exploration sur la Lune, puis la ramener en Everia, afin d’analyser en détail la composition du sol lunaire et d’évaluer la faisabilité d’y installer des relais satellites. Ces infrastructures ouvriraient la voie à une forte extension des réseaux spatiaux everiens et à des missions d’exploration toujours plus ambitieuses. Comme l'envois d'une sonde hors système.

Fort du succès de cette nouvelle campagne d’essais, le programme spatial everien s’apprête désormais à franchir une étape décisive : le lancement d’une constellation de satellites de géolocalisation. Cette initiative marquera la première ouverture au public du système GPS national, jusque-là réservé aux usages institutionnels. Très attendu par la population, ce projet marque une avancée concrète vers la démocratisation de l’accès aux technologies spatiales everiennes et confirme la place croissante du pays dans le domaine de l’exploration et des infrastructures orbitales.
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Réseaux satellitaire GPS civil, annonce et plan de lancement


Comme annoncé précédemment suite à la réussite des deux session de test en condition réel et les centaine de test en condition contrôlé, la mise en place du projet de GPS civil à commencé, selon les ingénieurs de l'OSE il faudrait 24 satellite GPS minimum pour pouvoir faire un GPS fiable et disponible partout. Il y as quatre jours le troisième lancement a été fait, ils on servit de "test" car par sécurité, l'OSE n'a utilisé qu'un seul lanceur réutilisable, afin de pouvoir mieux gérée un potentiel incident. Grâce à celui ci et aux infrastructures adaptée à ces model réutilisable le lancement de trois satellites de géolocalisation à pu être réalisé avec seulement quelques semaines d'intervalles entre chaque lancement. Suite au succès sans encombre de ces lancements l'OSE annonce pouvoir pour le prochain lancement utilisé deux lanceur à la fois et pour le suivant trois lanceurs. Depuis les derniers test publique, l'ingénieur en chef du projet s'annonce confiant sur la maitrise de plusieurs lanceur en simultanée avec les trois satellites déjà en orbite est en fonctionnement le lancement du GPS Everien s'annonce très prochaine. L'OSE à aussi communiqué sont agenda des lancements :

Oublier ça
  • 13/01/2018 : lancement de un lanceur trois fois (total lancée : 3)
  • 17/02/2018 : deux lanceurs avec objectif de les lancées quatre fois chacun (total lancée : 11)
  • 24/03/2018 : trio de lanceurs avec objectif de les lancées quatre fois chacun aussi (total lancée : 23)
  • 28/04/2018 : lancement du satellite final et inauguration du GPS Everien (total lancée : 23)
Date des lancements :

  • 11/11/2017
  • 14/12/2017
  • 13/01/2018
  • 12/02/2018
  • 13/03/2018
  • 15/04/2018
  • 11/05/2018
  • 13/06/2018
  • 12/07/2018
  • 14/08/2018
  • 10/09/2018
  • 09/10/2018
  • 12/11/2018
  • 13/12/2018
  • 14/01/2019
  • 13/02/2019
  • 13/03/2019
  • 12/04/2019
  • 13/05/2019
  • 11/06/2019
  • 13/07/2019
  • 14/08/2019
  • 13/09/2019
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Schéma de la mise en orbite

Vulgarisation de la mise en orbite :

La mise en orbite d’un satellite consiste à placer un engin sur une trajectoire stable autour d’un astre, généralement une planète. Pour y parvenir, le satellite est d’abord propulsé vers le haut grâce à une fusée, qui lui fournit l’énergie nécessaire pour s’extraire de l’attraction au sol. Une fois à la bonne altitude, le moteur du satellite ou le dernier étage du lanceur effectue une mise à feu précise : c’est cette poussée qui lui permet d’atteindre la vitesse orbitale. À cette vitesse, le satellite ne « tombe » plus vers la planète, car la courbure de sa chute correspond à la courbure de l’orbite. Le schéma représente cette trajectoire : une spirale progressive qui se resserre jusqu’à ce que le satellite atteigne son orbite finale. Pendant cette phase, de petites corrections peuvent être effectuées pour ajuster la position, stabiliser l’altitude et garantir que le satellite suive exactement la trajectoire souhaitée. Une fois l’orbite atteinte, il peut commencer sa mission – observation, communication, navigation ou étude scientifique – en restant en équilibre entre sa vitesse et la gravité qui l’attire vers l’astre. Ainsi, la mise en orbite est un mélange de précision, de mécanique spatiale et de maîtrise énergétique, permettant à un engin de tourner indéfiniment autour d’une planète.
Accessible sur OSE.officiel.wiki.Ev/Orbite
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Présentation théorique du principe de la fronde gravitationnelle

Qu’est-ce que la fronde gravitationnelle et comment permet-elle de propulser une sonde sans carburant ?

La fronde gravitationnelle est une technique utilisée en exploration spatiale pour augmenter la vitesse d'une sonde ou modifier sa trajectoire, sans consommer de carburant supplémentaire. Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, cette méthode repose uniquement sur la gravitation, c’est-àdire la force d’attraction exercée par les planètes. Lorsqu’une sonde passe à proximité d’une planète, elle est attirée par la gravité de celle-ci. Elle accélère en s’en approchant, puis ralentit en s’en éloignant. Si l’on observe cette interaction depuis la planète, la vitesse de la sonde avant et après le passage est identique. Il n’y a donc, en apparence, aucun gain d’énergie. Toutefois, ce n’est pas ce point de vue qui est pertinent pour les missions spatiales. Ce qui importe, c’est la vitesse de la sonde par rapport au Soleil, c’est-à-dire dans le référentiel héliocentrique. Or, la planète elle-même se déplace autour du Soleil à grande vitesse. En contournant la planète dans une direction précise, la sonde peut profiter du mouvement orbital de celle-ci pour ressortir avec une vitesse plus élevée que celle qu’elle avait à l’entrée, toujours dans le référentiel héliocentrique. C’est comme si la planète transmettait une petite partie de son énergie à la sonde. En raison de sa masse très importante, la planète n’est quasiment pas affectée par cette interaction. On peut simplifier ce phénomène en le comparant à une voiture qui suit de près un camion sur l’autoroute. Le courant d’air généré par le camion peut aider la voiture à maintenir ou augmenter sa vitesse sans fournir plus d’énergie. Dans le cas de la fronde gravitationnelle, ce n’est pas de l’air qui est en jeu, mais la force gravitationnelle de la planète.

Ce phénomène s’explique notamment par la loi de la gravitation universelle formulée par Newton,
qui s’écrit :

F = G × (m₁ × m₂) / r²

où :

• F est la force gravitationnelle,
• G est la constante gravitationnelle (6,67 × 10 ¹¹ N·m²/kg²),
• m₁ et m₂ sont les masses des deux corps (en kg),
• r est la distance qui les sépare (en m).

Plus la planète est massive et plus la sonde s’en approche, plus l’attraction est forte.
On fait aussi intervenir la notion d’énergie mécanique, qui est la somme de l’énergie cinétique et
de l’énergie potentielle gravitationnelle :

E = (1/2) × m × v² - (G × M × m) / r

avec :

• Eₘ : énergie mécanique totale,
• m : masse de la sonde,
• v : vitesse,
• M : masse de la planète,
• r : distance au centre de la planète.

Lorsqu’elle s’approche de la planète, la sonde accélère : son énergie potentielle diminue tandis que son énergie cinétique augmente. Lorsqu’elle s’éloigne, le processus s’inverse. Mais dans le cas d’une fronde gravitationnelle, cette variation d’énergie s’effectue de telle façon qu’il y a un gain net de vitesse dans le référentiel du Soleil. La planète subit également une force opposée selon la troisième loi de Newton, mais sa masse gigantesque rend cet effet négligeable. La fronde gravitationnelle seras surement utilisée dans de nombreuses missions spatiales Everienne dans le future. Cette technique serait l'une des seule connue actuellement qui pourrait réalistiquement permetre de quitter le système solaire, elle sont les seules à avoir réussis à le faire à ce jour.

La fronde gravitationnelle ne sert pas uniquement à accélérer une sonde spatiale : elle peut aussi permettre de ralentir, c’est-à-dire de réduire sa vitesse dans le référentiel du Soleil (référentiel héliocentrique). Le principe physique reste le même, mais c’est la trajectoire de la sonde autour de la planète qui est différente.

Lorsque la sonde passe devant la planète (plutôt que derrière), elle subit toujours l’attraction gravitationnelle de celle-ci, mais la direction de l’effet change. Cette fois, la planète « retire » un peu d’énergie à la sonde : dans le référentiel héliocentrique, la vitesse de la sonde après le passage est inférieure à celle qu’elle avait avant. La planète, très massive, ne subit quasiment aucun changement, mais la sonde, elle, voit sa vitesse diminuer.

Ce type de manœuvre est utile lorsqu’on souhaite qu’une sonde rentre dans l’orbite d’une planète ou ralentisse pour mieux viser une cible. Par exemple, certaines missions utilisent la Terre ou Vénus pour freiner avant d’atteindre leur destination finale. La différence entre l’accélération et la décélération par fronde gravitationnelle vient donc uniquement de la position relative de la sonde par rapport à la planète lors du passage :

• Derrière la planète : la sonde gagne de la vitesse (accélération),
• Devant la planète : la sonde perd de la vitesse (décélération).

Dans les deux cas, aucune énergie n’est consommée par la sonde. C’est l’échange d’énergie entre la planète et la sonde, dû à leur interaction gravitationnelle et à leur mouvement, qui produit l’effet recherché.

Cette technique présente des avantages majeurs : elle permet d’atteindre des vitesses très élevées sans utiliser de carburant, ce qui allège les sondes et rend les missions moins coûteuses. En revanche, elle impose des contraintes importantes. Les fenêtres de lancement sont rares car la position des planètes doit être favorable, et les trajectoires doivent être calculées avec une extrême précision
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Planning d'organisation des projets spatiaux Everien depuis 1981 :


Ce n'est qu'un prototype de planning il peut changer à tout moment et n'est pas fiable
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