11/05/2017
16:24:18
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Activités intérieures à Luchafego

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Propagande Militaire[justify][center][size=1.2][b][/b][/size]

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Rencontre Diplomatique[justify][center][img=https://zupimages.net/up/25/20/tc4l.png]El Ministro Carlos Lamento[/img][/center]

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El Ministro Carlos Lamento-"[b][/b]"[/justify]
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Et un petit tour en mer !

Et un petit tour en mer !

Depuis les élections amplement démocratiques del Comandante Ramiro Brasalibre, le principe de sécurité est passé au premier plan stratégique. Les résidences de hautes sécurités de Furiaroja, qui accueillent ambassades et infrastructures militaires ou encore quartiers du gouvernement, sont le fin bastion protégé du Luchafego. Gardés par des milices et corps armés entraînés à la guérilla, strictement personne ne peut y pénétrer sans autorisation sous peine d'être fusillé.

Sous les ordres del Comandante, protéger le seul bastion politique du Luchafego ne suffit plus, il faut montrer la totalité de la grandeur et magnificence de l'ampleur de la puissance Luchafeguienne. C'est ainsi que de très fréquentes patrouilles marines squattent le pourtour des côtes de la République Communiste. Il est donc possible de voir des corvettes armés jusqu'aux dents, dont le pont accueillent une dizaine de camardes guérillos.

La patrouille numéro P-38, celle qui est chargée de surveiller les frontières sud avec la Costa et l'Everia. Isandro est le Capitaine de mission, équipé de sa fidèle AK-47 dont il accorde une importance plus ample qu'à sa femme. Ce type de patrouille est donc devenu une normalité, c'est devenu une habitude pour les équipages très largement formés pour cela.
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Un ministre de plus ou de moins, quelle différence ?

Un ministre de plus ou de moins, quelle différence ?

La production et le commerce de drogue, les deux éléments qui font tourner l'économie du Luchafego. Une matière produite localement avec des techniques ancestrales héritées des natifs, une pratique qui se transmet désormais de père en fils. Au sein des états Eurysiens, les substances illicites sont considérées comme immorales, au Luchafego c'est une banalité, il est même surprenant de na pas trouver au moins un pochon à l'intérieur d'un quelconque foyer. Cette habitude se transmet même aux hauts chefs d'états, ce jusqu'au Comandante Brasalibre, un fin consommateur qui honore sa mère patrie par la consommation locale.

El Ministro Yunior Escabar, celui chargé de faire prospérer au maximum ce commerce. En ce mois d'octobre, il revient aux résidences de haute sécurité de Furiaroja, là où il pourra entrevoir le camarade Brasalibre. En entrant dans le domaine, le ministre passe par les sous-sols, tous remplis de grandes boîtes en carton indiquant une capacité comme 33 litres, il se demandait bien ce à quoi cela pouvait servir. Le Ministre entrait dans le bureau du Comandante après avoir toqué.

El Comandante Ramiro Brasalibre

Comandante Ramiro Brasalibre-"Si ?"
Ministro Yunior Escabar-"Camarade Brasalibre."
Comandante Ramiro Brasalibre-"Camarade Escabar. Fais bref, j'ai d'autres choses à faire, alors le rapport ? Les drogues ? Le commerce ?"
Ministro Yunior Escabar-"Ce commerce est peut-être lucratif mais il terrorise les Luchafeguiens, nous n'avons jamais vu autant d'insécurité, c'est une véritable guérilla dehors !"

Ramiro ôta son chapeau, roula une feuille de cigarette au contenu inconnu avant de l'allumer. Il commença à sermonner "tu sais, camarade, la drogue c'est le Luchafego, et toi, toi tu veux briser l'essence même de la mère patrie". Il ouvra donc assez rapidement un bureau, en sortit un colt avant de faire feu sur le désormais ex-ministre de l'économie. Il appela sa garde personnelle tout en communiquant ce joyeux messages "débarassez-moi de ce sac à merde et remplacez-le".
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Ça a pété !

Ça a pété !

Dans sa militarisation excessive, le Luchafego a notamment misé sur ce qu'il appelle la souveraineté balistique. Ce concept est voulu, créé par El Comandate Ramiro Brasalibre, très largement inspiré des idéologies de Carnavale. C'est par cette image de force rouge, brute et communiste que 11 ogives sont détenues on ne sait trop où. Les théories affirmeraient que plus des trois quarts de ces missiles seraient aux résidences de haute sécurité de Furiaroja. A l'appui ? Et bien c'est assez simple, l'explosion d'un de ces appareils aux résidences du gouvernement.

En effet cette matinée d'octobre s'est écourtée par l'explosion stridente d'un des silos pourtant dissimulé. Le bruit a traversé toute la ville et n'a donc pu être caché, en preuves supplémentaires se trouvent une image de l'endroit calciné, prise par drone. Qu'en est-il du sérieux des investissements armés ? L'hypothèse la plus probante de cette explosion serait une erreur humaine. En outre et à cette heure, le manque d'entretien est la seule option viable de ce fiasco. Nous comptons ainsi plus d'une dizaine de morts, uniquement des miliciens de la garde rapproché du gouvernement. Effectivement, il semblerait que les missiles soient étrangement gardés, pour des raisons totalement floues et inconnues.
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Renforcement des patrouilles à Furiaroja !

Renforcement des patrouilles à Furiaroja !

Les Résidences de Haute Sécurité de Furiaroja, en pleine bordure de la capitale Luchafeguienne, elles accueillent les bâtiments gouvernementaux, les ambassades ainsi que la plupart des infrastructures militaires et balistiques du Luchafego. Une zone d'à peine quelques kilomètres carrés qui concentre plus de la moitié des effectifs de l'Armée de la mère patrie. En outre depuis quelques temps, les effectifs sont considérablement consolidés par le simple fait de l'apparition des toutes premières ambassades étrangères au Luchafego.

C'est ainsi que les milices composées toutes de guérillos très expérimentés quadrillent en permanence, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, ces Résidences. Aucun civil n'est autorisé d'entrée, sans quoi il se verrait potentiellement exécuté à vue (bien que la pratique soit diminuée par l'apparition des nouvelles ambassades). C'est toute la sécurité du gouvernement, mais aussi de diplomates étrangers, qui reposent sur les qualifications plus qu'acquises de ces soldats. El Comandante Ramiro Brasalibre place sa totale confiance en ses hommes, vive la mère patrie !A noter que dans ces mêmes Résidences, un défaut d'entretien a fait explosé un des silos à missiles balistiques du Luchafego.
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Un nouveau Distrat au narco-état !

Distrat El Celestial

Le système du Luchafego, un véritable narco-état. Officiellement, El Commandante Ramiro Brasalibre est le dirigeant Luchafeguien, opérant pour la phase transitoire vers un communisme parfait. Cependant et en réalité, son pouvoir n'est que limité à la diplomatie et le gestion de la capitale. Autrement, ce sont des chefs de cartel nommés Distrats, au nombre total de cinq, un sur chaque secteur, qui gèrent le Luchafego.

Un événement vint bouleverser le calme apparent de la mère patrie. C'est le cas ridicule de la capture de Diego Montiel, un ancien Distrat à présent. Il est livré aux autorités Lermandiennes sous inculpation de trafic de drogue, non reconnu par le Luchafego.

Il a donc fallu opérer vite pour remplacer ce manque, tâche confiée aux soins du camarade et Commandante Ramiro Brasalibre. Il a donc choisi un ex-trafiquant d'armes et businessman d'or, se nommant à présent El Celestial. Ce dernier a désormais pour devoir d'assurer son rôle de Distrat, faire taire toute éventuelle révolte de succession et maintenir correctement le commerce local. C'est pourquoi une partie des milices del Commandante lui ont été prêtées en soutien.
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