Généralités :
Nom officiel : Republiche Federâl di Visonza(= République Fédérale de Visonza).
Nom courant : Visonza.
Gentilé :
- — Visonzan•e•s en général et pour les individus issus de la majorité Italiques.
— Yougoslave•s(= dans le sens de Slave Méridionale ; pas le pays) pour les individus issus de la minorité Slave aux frontières de Karty et de la Manche-Silice (Slovène•s).
— Ræcien•ne•s pour les individus issus de la minorité Germanique aux frontières du Garmflüßenstein (Bavarois et Autrichien•s).
Inspirations culturelles :
- — Padanie et les Alpes de façon générale.
— Lombardie, Vénétie, Frioul-Vénétie-Julienne, Trentin-Haut-Adige, Piémont, Ligurie, Val d’Aoste, Ticino, Istrie, Dalmatie, Slovénie et Tyrol de manière spécifique.
— Républiques Romaine et de Weimar pour le système politique.
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Visonzan(= Frioulan IRL), Fortunéen(= Italien IRL), Velsnien(= Vénitien IRL), Lombard.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Kaulthe Méridionale(= Allemand Autrichien IRL), Ræcien(= Bavarois IRL) et Slovène.
Drapeau :

Devise officielle : Senatus Populusque Visonsanum.
Hymne officiel : La Liende de Visonzo.
Capitale : Udimo.
Population : 23,2 millions habitants.
Fête nationale : Le onze mai, jour de l’Unification.
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Ancienne province de l’Empire Rhêmien, la vallée est en première ligne des “Invasions Barbares” : ces migrations de peuplades nomades Germaniques et Slaves qui influenceront en partie la mentalité des Visonzans “pures souches”. Ne s’unifiant pas en un État centralisé au Moyen Âge, la vallée verra naître en son sein une multitude de républiques dont les plus grandes ne sont que constituées de leur cité éponyme et son arrière-pays. En rivalité, voir conflit, perpétuel avec les Seigneuries Germaniques du Nord de la vallée et les Principautés et Despotats Slaves de l’Est;Sud-Est, ces république sont aussi elles-mêmes divisées. Cet état de fait sera leur plus grande faiblesse et permettra à l’Empire Kaulthe d’annexer la vallée du Visonzo : la Visonza, durant la Renaissance.
Il faut ainsi attendre le début du XIXe siècle, la fragmentation de l’Empire Germanique et l’apparition des pan-latinisme et pan-italianisme par des intellectuels et des artistes romantiques pour qu’un sentiment national apparaisse. Cette renaissance de la Renaissance, ce Risorgiment, remet aux goûts du jour les origines Latines de la Visonza dans la nostalgie du romantisme. Prenant conscience de leur culture et leur origine Latine commune et, pour certains, intrinsèquement supérieures ; les Visonzans commencent à rêver d’un État pour eux, unit et indépendant de l’Empire Kaulthe. La lutte armée commencera, elle, avec le massacre de Bregliari par l’Armée Impériale. L’indépendance et la libération de la Visonza seront arrachées à l’Empire Kaulthe le quatre juillet 1866 avec la proclamation de la Ligue de Visonza : une confédération des anciennes républiques. Cette dernière laissera la place quatre ans plus tard, en 1870, à la [Iᵉ̀ʳᵉ] République Fédérale de Visonza.
Si la République entame le XXe siècle aux côtés des autres puissances coloniales dans leur partage du monde et surtout de l’Afarée, cette dernière perd rapidement son empire colonial qui se voit en 1931 dépecé par le Royaume-Unis d’Ynys Dyffryn et du Kentware et l’Empire Tanskien à la suite d’un conflit contre ces derniers principalement pour évincer leurs présences de la Leucytalée. Finalement, c’est la République qui est évincée, doit payer de lourdes indemnités de guerre aux deux alliés : indemnités qui ne seront payées dans leur intégralité qu’au milieu des années 1990 et doit accepter la présence de bases navales Caratradaise et Tanskienne sur sa maigre façade maritime. Plus, le traité de paix, qui sera aussi la constitution de la nouvelle ou IIⁿᵈ République Fédérale, interdit à la République de posséder une marine et une aviation militaire dont à but défensif.
Cette constitution, essentiellement rédigée par les plus grands juristes Tanskiens de l’époque, couplée au paiement des indemnités de guerre qui ruinent le pays, permettra l’avènement du Parti Social-Démocrate qui remplace le Parti Républicain au pouvoir jusqu’alors et parvient à se maintenir jusqu’à nos jours ; bien que les promesses d’après-guerre semblent de moins en moins contenter les électeurs, particulièrement les plus jeunes; qui se tournent de plus en plus vers les partis de l’opposition, et souvent les extrêmes. . .
Mentalité de la population :
Place de la religion dans l'État et la société :
Politique et institutions :
Institutions politiques :
— Du pouvoir législatif : composé d’un Parlement bicaméral composé d’une chambre basse : le Sénat [Fédéral] et d’une chambre haute : le Congrès [Fédéral]. Le Sénat est composé de cinq-cent-soixante Sénateurs élus au suffrage universel mixte et à la proportionnelle intégrale avec un seuil de soixante-mille voix pour un siège permettant à tous les partis, beaucoup du moins, d’être représentés. Le Sénat à la charge de voter les lois ou non et les inscrire, ou non ou les retirer, du Code Républicain. Le Sénat est divisé en commissions mixtes ou groupes de travail ou de réflexion ; les pouvoirs régaliens ont des commissions mixtes permanentes. L’institution tire au sort un président d’assemblée à chaque séance parmi les Sénateur de cinquante-ans et plus dans l’optique de diriger les débats et les calmer le cas échéants.
Le Congrès est la chambre permettant à chacune des provinces républicaines et ses citoyens d’être représentés. Aussi chaque province a droit à un nombre de représentants proportionnel à sa démographie. Le Congrès vote lui les décrets d’application précisant les lois votées au Sénat. Tout comme ce dernier, il est aussi divisé par les même commissions et son président, tout en ayant les mêmes prérogatives, est tiré au sort dans les mêmes conditions que celui du Sénat. Les Sénateurs et les Représentants sont élus pour sept ans.
Le Sénat a aussi la possibilité de révoquer le Consul, le Chancelier, un Magistrat ou le gouvernement par un vote de défiance ; amenant à une nouvelle nomination (suivie d’un vote de confiance) ou une nouvelle élection pour le restant du mandat entamé uniquement.
— Du pouvoir exécutif : le pouvoir exécutif est lui aussi bicaméral. La première tête est le Consulat : le Consul est élu pour sept ans par le Parlement ; soit les deux chambres. Il est le chef d’État et par conséquent le visage de la Visonza à l’international et représente la République aux sommets internationaux et officiels. L’article onze de la constitution lui permet d’être nommé Dictateur en cas de crise grave, au sens Romain du terme, et par conséquent d’avoir les pleins pouvoir pour une période définit et renouvelable, et cela, avec le tiers des Sénateurs soit 186 voix. Le Consul doit être élu au sein du parti ayant le plus de voix ; depuis la proclamation de la constitution et la IIⁿᵈ République, c’est le Parti Social-Démocrate qui est majoritaire.
La seconde tête de l’exécutif est la Chancellerie : le Chancelier est le chef du gouvernement dont il nomme les Magistrats(= Ministres) et préside le Conseil des Magistrats. Élu lui aussi pour sept ans ; il doit l’être parmi le second parti ayant gagné le plus de sièges soit actuellement le Parti Républicain. Le gouvernement formé par le Chancelier doit, lui, être validé par un vote de confiance du Sénat.
Les Magistratures proposent, elles, les lois au Sénat après validation en Conseil des Magistrats.
— Du pouvoir judiciaire : ce dernier est donc indépendant et divisé en trois juridiction : les juridictions ordinaires, elles-mêmes divisées en trois degrés : tribunaux locaux, provinciaux et Cour d’appel. Le Tribunal Républicain jugeant l’ensemble des fonctionnaires, petits et hauts et arbitre les conflits, administratifs ou constitutionnels entre l’État fédéral et les provinces républicaines et enfin la Cour Suprême de la République : juridiction suprême interprétant la constitution. L’utilisation de jurés tirés au sort au sein de toute la vallée est systématique y compris pour la Cour Suprême ; les Avocats convainquent, les Juges décident de la sanction selon le Droit et les jurés la prononcent ou non.
Principaux personnages :
Politique internationale :