11/05/2017
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[REROLL] République Fédérale de Visonza

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Création de pays : VISONZA


Généralités :

Nom officiel : Republiche Federâl di Visonza(= République Fédérale de Visonza).
Nom courant : Visonza.
Gentilé :
    — Visonzan•e•s en général et pour les individus issus de la majorité Italiques.
    — Yougoslave•s(= dans le sens de Slave Méridionale ; pas le pays) pour les individus issus de la minorité Slave aux frontières de Karty et de la Manche-Silice (Slovène•s).
    — Ræcien•ne•s pour les individus issus de la minorité Germanique aux frontières du Garmflüßenstein (Bavarois et Autrichien•s).


Inspirations culturelles :
    — Padanie et les Alpes de façon générale.
    — Lombardie, Vénétie, Frioul-Vénétie-Julienne, Trentin-Haut-Adige, Piémont, Ligurie, Val d’Aoste, Ticino, Istrie, Dalmatie, Slovénie et Tyrol de manière spécifique.
    — Républiques Romaine et de Weimar pour le système politique.

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Visonzan(= Frioulan IRL), Fortunéen(= Italien IRL), Velsnien(= Vénitien IRL), Lombard.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Kaulthe Méridionale(= Allemand Autrichien IRL), Ræcien(= Bavarois IRL) et Slovène.

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Senatus Populusque Visonsanum.
Hymne officiel : La Liende de Visonzo.
Monnaie nationale : Lira Visonza (₤).

Capitale : Udimo.

Population : 23,2 millions habitants.

Fête nationale : Le onze mai, jour de l’Unification.


Aperçu du pays :

Présentation du pays :
La Visonza ou Visonsie en français, en forme longue la République Fédérale de Visonza est un État de culture Italique principalement en grande majorité montagnard, encerclé à l'Est et au Nord par la chaîne du Werinn et à l'Ouest par les Monts Cjalindris [tʃaˈlindris] ; tournant autour d'un unique grand fleuve : le Visonzo, sa vallée — dont est tiré le nom du pays ; Visonza signifiant la vallée du Visonzo — et ses affluents.

Ancienne province de l’Empire Rhêmien, la vallée est en première ligne des “Invasions Barbares” : ces migrations de peuplades nomades Germaniques et Slaves qui influenceront en partie la mentalité des Visonzans “pures souches”. Ne s’unifiant pas en un État centralisé au Moyen Âge, la vallée verra naître en son sein une multitude de républiques dont les plus grandes ne sont que constituées de leur cité éponyme et son arrière-pays. En rivalité, voir conflit, perpétuel avec les Seigneuries Germaniques du Nord de la vallée et les Principautés et Despotats Slaves de l’Est;Sud-Est, ces république sont aussi elles-mêmes divisées. Cet état de fait sera leur plus grande faiblesse et permettra à l’Empire Kaulthe d’annexer la vallée du Visonzo : la Visonza, durant la Renaissance.

Il faut ainsi attendre le début du XIXe siècle, la fragmentation de l’Empire Germanique et l’apparition des pan-latinisme et pan-italianisme par des intellectuels et des artistes romantiques pour qu’un sentiment national apparaisse. Cette renaissance de la Renaissance, ce Risorgiment, remet aux goûts du jour les origines Latines de la Visonza dans la nostalgie du romantisme. Prenant conscience de leur culture et leur origine Latine commune et, pour certains, intrinsèquement supérieures ; les Visonzans commencent à rêver d’un État pour eux, unit et indépendant de l’Empire Kaulthe. La lutte armée commencera, elle, avec le massacre de Bregliari par l’Armée Impériale. L’indépendance et la libération de la Visonza seront arrachées à l’Empire Kaulthe le quatre juillet 1866 avec la proclamation de la Ligue de Visonza : une confédération des anciennes républiques. Cette dernière laissera la place quatre ans plus tard, en 1870, à la [Iᵉ̀ʳᵉ] République Fédérale de Visonza.

Si la République entame le XXe siècle aux côtés des autres puissances coloniales dans leur partage du monde et surtout de l’Afarée, cette dernière perd rapidement son empire colonial qui se voit en 1931 dépecé par le Royaume-Unis d’Ynys Dyffryn et du Kentware et l’Empire Tanskien à la suite d’un conflit contre ces derniers principalement pour évincer leurs présences de la Leucytalée. Finalement, c’est la République qui est évincée, doit payer de lourdes indemnités de guerre aux deux alliés : indemnités qui ne seront payées dans leur intégralité qu’au milieu des années 1990 et doit accepter la présence de bases navales Caratradaise et Tanskienne sur sa maigre façade maritime. Plus, le traité de paix, qui sera aussi la constitution de la nouvelle ou IIⁿᵈ République Fédérale, interdit à la République de posséder une marine et une aviation militaire dont à but défensif.

Cette constitution, essentiellement rédigée par les plus grands juristes Tanskiens de l’époque, couplée au paiement des indemnités de guerre qui ruinent le pays, permettra l’avènement du Parti Social-Démocrate qui remplace le Parti Républicain au pouvoir jusqu’alors et parvient à se maintenir jusqu’à nos jours ; bien que les promesses d’après-guerre semblent de moins en moins contenter les électeurs, particulièrement les plus jeunes; qui se tournent de plus en plus vers les partis de l’opposition, et souvent les extrêmes. . .


Mentalité de la population :
Sans aller dans des généralités, les Visonzans sont dans l’ensemble des individus avant tout individualistes mais paradoxalement attachés à la famille : la gens héritées de l’Antiquité Rhêmienne ayant permis un avènement d’une certaine forme de solidarité limitée et pourtant étendue grâce à l’étalement des gens au sein de la société Visonzane. En plus de cela, les grandes migrations de la fin de l’Antiquité, romancées au XIXe siècle et surtout l’occupation Kaulthe ont enraciné dans la conscience collective Visonzane une germanophobie et une slavophobie importante et encore marquée de nos jours bien que moins ancrée à partir des Socio-Démocrates. Seul l’Empire Raskenois fait figure d’exception grâce à une Histoire moderne partagée entre les deux pays.

Place de la religion dans l'État et la société :
Si la Visonza est un pays de tradition Catholane depuis la christianisation de l’Empire Rhêmien, ses républiques et cités-États n’étaient cependant pas portés sur la religion outre-mesure et les premières lois permettant la liberté de culte apparaissent dès le XIVe siècle ; y compris sous la domination Kaulthe sauf pour la cité de Maritina qui a dû adopter officiellement le catholicisme Kaulthe, minoritaire malgré tout et d’autant plus après l’indépendance. Cette liberté de culte précoce à permis de faire de la Visonza une terre d'accueil pour beaucoup de Juifs d’Eurysie principalement Séfarades et Mizrahim ainsi que quelques communautés Ashkénazes dans le Nord de la vallée. Hormis cela, la société moderne Visonzane est essentiellement composée d’athées depuis les années 1970 et l’État est quant à lui complètement séparé des Églises et des cultes avec une tendance allant vers l’anticléricalisme.


Politique et institutions :

Institutions politiques :
La vallée du Visonzo est une république parlementaire et fédérale appliquant le suffrage universel mixte en lieu et place du suffrage censitaire depuis l’année 1931. Le traité de paix de cette même année et constitution de la IIⁿᵈ République Fédérale divise le pouvoir en trois avec les pouvoirs législatif, exécutif et enfin judiciaire ; si le pouvoir judiciaire est indépendant, le pouvoir exécutif n’est lui que l’exécutant du pouvoir législatif qui le contrôle. Aussi ces trois pouvoirs fonctionnent comme suit :
— Du pouvoir législatif : composé d’un Parlement bicaméral composé d’une chambre basse : le Sénat [Fédéral] et d’une chambre haute : le Congrès [Fédéral]. Le Sénat est composé de cinq-cent-soixante Sénateurs élus au suffrage universel mixte et à la proportionnelle intégrale avec un seuil de soixante-mille voix pour un siège permettant à tous les partis, beaucoup du moins, d’être représentés. Le Sénat à la charge de voter les lois ou non et les inscrire, ou non ou les retirer, du Code Républicain. Le Sénat est divisé en commissions mixtes ou groupes de travail ou de réflexion ; les pouvoirs régaliens ont des commissions mixtes permanentes. L’institution tire au sort un président d’assemblée à chaque séance parmi les Sénateur de cinquante-ans et plus dans l’optique de diriger les débats et les calmer le cas échéants.
Le Congrès est la chambre permettant à chacune des provinces républicaines et ses citoyens d’être représentés. Aussi chaque province a droit à un nombre de représentants proportionnel à sa démographie. Le Congrès vote lui les décrets d’application précisant les lois votées au Sénat. Tout comme ce dernier, il est aussi divisé par les même commissions et son président, tout en ayant les mêmes prérogatives, est tiré au sort dans les mêmes conditions que celui du Sénat. Les Sénateurs et les Représentants sont élus pour sept ans.
Le Sénat a aussi la possibilité de révoquer le Consul, le Chancelier, un Magistrat ou le gouvernement par un vote de défiance ; amenant à une nouvelle nomination (suivie d’un vote de confiance) ou une nouvelle élection pour le restant du mandat entamé uniquement.

— Du pouvoir exécutif : le pouvoir exécutif est lui aussi bicaméral. La première tête est le Consulat : le Consul est élu pour sept ans par le Parlement ; soit les deux chambres. Il est le chef d’État et par conséquent le visage de la Visonza à l’international et représente la République aux sommets internationaux et officiels. L’article onze de la constitution lui permet d’être nommé Dictateur en cas de crise grave, au sens Romain du terme, et par conséquent d’avoir les pleins pouvoir pour une période définit et renouvelable, et cela, avec le tiers des Sénateurs soit 186 voix. Le Consul doit être élu au sein du parti ayant le plus de voix ; depuis la proclamation de la constitution et la IIⁿᵈ République, c’est le Parti Social-Démocrate qui est majoritaire.
La seconde tête de l’exécutif est la Chancellerie : le Chancelier est le chef du gouvernement dont il nomme les Magistrats(= Ministres) et préside le Conseil des Magistrats. Élu lui aussi pour sept ans ; il doit l’être parmi le second parti ayant gagné le plus de sièges soit actuellement le Parti Républicain. Le gouvernement formé par le Chancelier doit, lui, être validé par un vote de confiance du Sénat.
Les Magistratures proposent, elles, les lois au Sénat après validation en Conseil des Magistrats.

— Du pouvoir judiciaire : ce dernier est donc indépendant et divisé en trois juridiction : les juridictions ordinaires, elles-mêmes divisées en trois degrés : tribunaux locaux, provinciaux et Cour d’appel. Le Tribunal Républicain jugeant l’ensemble des fonctionnaires, petits et hauts et arbitre les conflits, administratifs ou constitutionnels entre l’État fédéral et les provinces républicaines et enfin la Cour Suprême de la République : juridiction suprême interprétant la constitution. L’utilisation de jurés tirés au sort au sein de toute la vallée est systématique y compris pour la Cour Suprême ; les Avocats convainquent, les Juges décident de la sanction selon le Droit et les jurés la prononcent ou non.





Principaux personnages :


Politique internationale :
La République Fédérale de Visonza cherche avant toute chose à redresser son économie après des décennies de payement de ses indemnités de guerre. Elle cherche aussi à se libérer définitivement du Royaume-Unis d’Ynys Dyffryn et du Kentware et de la République Fédérale de Tanska qui possèdent encore une base sur le littoral Visonzan, ainsi qu’à s’affirmer sur la scène internationale aux côtés de son allié : l’Empire Raskenois. Cela passerait, éventuellement, par l’abrogation de l’interdiction de posséder une marine et une aviation de guerre.
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