⚡ Activités Intérieures de Retsvinia

Ici seront développées les activités intérieures, donc ce qui se passe dans le pays, ainsi que la vie quotidienne. Ce qui est écris ici n'est pas utilisable en RP, sauf mention contraire.

Sommaire :

L'heure de la réponse a sonnée

ATTENTION, CE RP PARLE D'UN ACTE DE CRUAUTÉ ET DE VIOLENCE


L'Heure de la réponse a sonné.

04/11/2016, quelque part en Retsvinia

Les communistes nous ont attaqués, ils ont tués des notre, notre peuple. Nous nous vengerons, quoiqu'il arrive, nous répliquerons ! Plus fort ! Plus vite ! La Retsvinia ne se laissera pas faire. Elle tuera quiconque se met sur son chemin ! Le peuple retsvinien est le martyr des agressions extérieures, et de tout ceux qui s'opposent à son épanouissement, et parmi eux, les rouges ! Le sang ! c'est tout ce qu'ils apporteront à la Retsvinia !
Nos voisins novais avaient raison de les réduire à l'esclavage finalement. Ce ne sont pas des retsviniens, ce ne sont pas des humains. Le héros retsvinien tuera le démon rouge ! L'HEURE DE LA RÉPONSE A SONNÉ ! ! ! !



05/11/2016, sud de la Veltava. Dans un petit village contrôlé par les insurgés communistes.

Jarkko Väinölä venait de se réveiller, il n'étais que 4 h du matin, et pourtant quelque chose l'avait sorti de son sommeil. Il étais fatigué et en tant qu'insurgé des forces communistes, ils n'avaient qu'un temps à allouer au sommeil qui étais très faible. Il voulu se rendormir, mais alors qu'il allait replonger dans le sommeil une autre détonation comme celle qui l'avait tiré du sommeil se fit entendre. Il était le seul à l'avoir entendu, mais disposais de très bonnes oreilles et son sommeille était très léger. Même ceux qui étaient en train de garder le camps n'avaient pas remarqués cette détonation, trop occupés à boire de l'alcool autour d'un feu et de jouer aux cartes. Il se leva, pris son arme et alla voir d'où venait la détonation. Une autre venait de se faire entendre.C'était encore au loin, mais il pu voir du haut de la colline qu'ils occupaient une lueur qui s'était brièvement allumée. Puis de nouveau, et encore, et encore. Toujours d'un point différent, mais jamais très éloignés l'un de l’autre. Il pris des jumelles et observa.
Des cannons, c'était des cannons. L’artillerie faisait feu au loin, mais sur qui ? la fatigue lui embrouillait les esprits. les communistes n'avaient pourtant pas d’artillerie et après les dernières attaques, l'on avait demandé de ne pas attaquer, en aucun cas, les forces de la Junte en craignant des représailles. Puis il compris, la junte avait des cannons et la Junte avait promis de se venger. Alors qu'il compris, il ressenti un violent impact métallique derrière lui. l'onde de choc lui pénétra tout les organes, il tomba au sol et se mis à couvert en priant pour que le prochain ne lui tombe pas dessus. Constatant que rien d'autre n'avait explosé sur le camps. Il jeta un bref coups d’œil pour voir l'emplacement de l'explosion et les dégâts sur leur camps et ce qu'il vit l'a surpris. Presque aucun dégât, presque aucun mort et pourtant ses oreilles sifflait, il voyait trouble. Les membres du camps s'étaient tous réveillés, surpris, ils tentaient tous de ce cacher et échapper aux explosions.

Après quelques secondes, un obus tomba un peu plus loin dans le camps. L'obus tomba sur quelqu'un et le tua dans une petite explosion qui souleva les poumons de Jarkko. Les obus se succédèrent et Jarkko, qui s'était éloigné du camps pour voir les canons ne fut pas touché tout comme une bonne dizaine de ses camarades. L'attaque était terminée et l'on ne comptait que quelques morts. Tout le monde était étonné du peu de pertes après cette attaque qui aurait dû être violente. Les munitions de la Junte étaient-elles défectueuses ? impossible. Jamais la si réputée artillerie retsvinienne n’aurait autant manqué à sa tâche. Surtout que l’attaque n’avait pas été faite dans la précipitation, mais avait été préméditée et préparée pour faire une démonstration de force sur les Veltaviens. Puis, la réalité vint à l’esprit, presque simultanément à tous les résistants : La faiblesse des explosions étaient prévues, ce n’était pas une attaque avec des munitions explosives. Pas une attaque à sous munition. Pas une attaque incendiaire. C’était une attaque chimique.

C’est à cet instant que des gens tombèrent, et pas que des insurgés, aussi des civils habitant au village que les résistants avaient libéré. Les civils comme les militaires s’effondraient sur le sol comme s’il s’étaient tous mis soudainement à s’évanouir. Jarkko se releva dans l’urgence et couru chercher un masque. Le gaz lui rentra dans les poumons, il reconnut l’odeur si caractéristique du gaz : de l’Hydrogène sulfuré. Ce gaz était toxique, et foudroyant à forte dose, il n’avait qu’à espérer que la dose qu’il venait de respirer était faible. Mais c’était évident. Ces camarades s’étaient tous subitement effondrés. Le Gaz était à forte dose. Jarkko chuta, les poumons en sang. Il continua de ramper vers le masque à gaz. Il l’attendait là, à deux mètres de lui, patiemment. Jarko leva la main, dans un ultime espoir, puis sombra dans le sommeil. Un sommeil éternel. Sa vie était terminée. Une vie pas si ordinaire, mais dont personne ne se rappellerait de lui, sauf peut-être sa tombe, ou les gens dans l’au-delà, enfin s’il existait. Il n’en était pas bien sûr, mais ce n’étais pas le moment de réfléchir à cela, il voyait sa vie défiler devant lui, crachant du sang et respirant l’air empoisonnée. Il ne sentait déjà plus l’odeur désagréable que le gaz dégageait. Mais peu importe. Il était mort de toute façon.

Nous sommes quelques semaines avant les élections Retsviniennes, les 10 membres du Haut conseil de souveraineté (HCS) se sont rassemblés dans le bureau du HCS. La réunion exceptionnelle a été réclamée pour des raisons banales de politique interne ainsi que d'autres projet que le Président du HCS devait mener à bien. Cette réunion a d'ailleurs été demandée par Vassilevski, le Président du Haut conseil de Souveraineté.

Président du Conseil Vassilevski : Salutations à tous, si je vous aient convoqués dans le sérénissime Haut Conseil de Souveraineté en ce jour du 17 Mars de l'an de grâce 2017, c'est en raison des élections prochaines qui vont se dérouler dans en République de Retsvinie. Il faut choisir un dirigeant compétent et manipulable pour qu'il reste sous le contrôle du conseil ici présent. Il faut bien entendu étudier la candidature évidente du Général-Président actuel, Strovkin. Ce Général Président a fait preuve de ses qualités évidentes au cours de ces dernières années et depuis le début de son mandat en Mai 2009. Cependant, il a récemment enchaînés les bourdes et ne semble plus avoir de réelles plan pour vaincre à nouveau les insurgés et gagner les prochaines escarmouches qui s'annoncent. La série d'erreur de ce Général Président a commencée depuis Mars 2016, il y a très exactement un an moins 6 jours : Il a d'abord laissé la restauration de l'Empire et l'effondrement du narratif de notre propagande sans rien faire. Il n'a strictement rien tenté pour endiguer la chute définitive de notre crédibilité auprès des Retsviniens. Et aujourd'hui, ses bêtises se répètent avec une violente attaque sur la Veltava. Il est vrai que la Veltava devait être attaquée pour montrer l'exemple et accélérer le début de la guerre, puisque la paix renforce nos ennemis, mais faire cela avec du gaz était une terrible erreur : Maintenant la défiance du peuple Retsvinien envers nous s'est retrouvée augmentée, le gaz étant dans l'imaginaire collectif une terrible façon de mourir qui est aussi, dans leur image, utilisée par les régimes sanguinaires. Je pense donc qu'il faut trouver un nouveau Général-Président plus compétent. Je vous écoute.
Membre du conseil Broussilov : Mon avis que je vais présenter au présent conseil rejoint celui de son excellence Vassilevski. Je pense que la présence de Strovkin n'a que trop durée : il est vieux et devenu incompétent avec le temps, attaché à des valeurs obsolètes qui ne servent plus à rien. Il est donc nécessaire de le remplacer. Pour cela, j'aimerais proposer le colonel Silovki qui commande le premier régiment d’artillerie, c'est un ancien bras droit de Strovkin, qui prouvé ses grandes capacités militaires en matière d’artillerie lors de la répression des révoltes en 2016 ainsi que durant l'attaque au gaz d'il y a quelques mois en Veltava, où il a brillé en réussissant complètement l'opération qu'à planifié Strovkin. C'était une erreur politique mais pas militaire. De plus, il est relativement jeune pour un Haut gradé, bien qu'il approche les 45 ans, et nous supposons qu'en tant que bras droit de Strovkin, il soit manipulable et utilisable pour servir nos intérêts. De plus, il est ouvert aux changements politiques en Retsvinie et m'aurai fait part de sa volonté de reforger l'administration Retsvinienne en profondeur, ce qui pourrait satisfaire les demandes du BNE. Alors que Strovkin a refusé la précieuse aide de ce bloc sur la base de valeurs déchues.
Membre du conseil Dorilov : Et comment comptez-vous écarter Strovkin ? C'est bien beau de vouloir le remplacer, mais il ne se retirera pas docilement. Et là où il est impopulaire, notre conseil est détesté. Si nous devions nous battre contre lui, nous pouvons être certains de notre défaite.

Broussilov parle avec un léger rictus qu'il ne cache pas.

Membre du conseil Broussilov : Silovki va bientôt prendre un avion, deux jours avant les élections, à destination de la Veltava pour une revue des troupes de la troisième division d'infanterie présents sur place. Que l'avion explose dans le plus grand des malheur, saboté par les rouges, ça ne choquera personne ?
Président du Conseil Vassilevki : J'aime bien cette idée, et n'oubliez pas qu'on a un sosie du Général-Président en réserve.

Il marque une pause.

Président du Conseil Vassilevki : Concernant la première partie de cette réunion extraordinaire, je pense qu'on est déjà décidés. Donc je récapitule : On liquide Strovkin dans son avion deux jours avant les élections, on accuse les Veltaviens, puis on le remplace par son sosie pour les élections. Et à ce moment là, il s'écarte docilement de la scène politique, tout le monde l'oublie peu à peu et on met sur le pouvoir notre nouveau pantin, le "brillant" Nikolaï Andreyevitch Silovki pour lancer le changement de cap. On le fera gagner les élections en majorité absolue à la tête du parti fantoche des "Partisans" et non du "Part slavis" comme à l'acoutumée. Par la suite on obtient le soutien du BNE pour gagner la guerre civile par les armes en écrasant l'insurrection.

Bref ! Place au vote.

7 des 10 représentants lèvent la main pour approuver.

Président du Conseil Vassilevki : Bien ! je pense que nous sommes fixés.

Et c'était tout, en seulement 3 minutes l'ont avait décidé de la mort de Mikhaïl Petrovitch Strovkin, en seulement trois minutes, le destin d'un pays entier et des trois millions d'habitants qui y vivaient était scellé.


Mikhaïl Adreyevitch Silovki, probable futur Général Président.