25/09/2017
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ATTENTION, CE RP PARLE D'UN ACTE DE CRUAUTÉ ET DE VIOLENCE



L'Heure de la réponse a sonné.

04/11/2016, quelque part en Retsvinia
Chef de la Retsvinia, Mikhail Petrovich Strovkin

Les communistes nous ont attaqués, ils ont tués des notre, notre peuple. Nous nous vengerons, quoiqu'il arrive, nous répliquerons ! Plus fort ! Plus vite ! La Retsvinia ne se laissera pas faire. Elle tuera quiconque se met sur son chemin ! Le peuple retsvinien est le martyr des agressions extérieures, et de tout ceux qui s'opposent à son épanouissement, et parmi eux, les rouges ! Le sang ! c'est tout ce qu'ils apporteront à la Retsvinia !
Nos voisins novais avaient raison de les réduire à l'esclavage finalement. Ce ne sont pas des retsviniens, ce ne sont pas des humains. Le héros retsvinien tuera le démon rouge ! L'HEURE DE LA RÉPONSE A SONNÉ ! ! ! !

 Mikhail Petrovich Strovkin


05/11/2016, sud de la Veltava. Dans un petit village contrôlé par les insurgés communistes.


Jarkko Väinölä venait de se réveiller, il n'étais que 4 h du matin, et pourtant quelque chose l'avait sorti de son sommeil. Il étais fatigué et en tant qu'insurgé des forces communistes, ils n'avaient qu'un temps à allouer au sommeil qui étais très faible. Il voulu se rendormir, mais alors qu'il allait replonger dans le sommeil une autre détonation comme celle qui l'avait tiré du sommeil se fit entendre. Il était le seul à l'avoir entendu, mais disposais de très bonnes oreilles et son sommeille était très léger. Même ceux qui étaient en train de garder le camps n'avaient pas remarqués cette détonation, trop occupés à boire de l'alcool autour d'un feu et de jouer aux cartes. Il se leva, pris son arme et alla voir d'où venait la détonation. Une autre venait de se faire entendre.C'était encore au loin, mais il pu voir du haut de la colline qu'ils occupaient une lueur qui s'était brièvement allumée. Puis de nouveau, et encore, et encore. Toujours d'un point différent, mais jamais très éloignés l'un de l’autre. Il pris des jumelles et observa.
Des cannons, c'était des cannons. L’artillerie faisait feu au loin, mais sur qui ? la fatigue lui embrouillait les esprits. les communistes n'avaient pourtant pas d’artillerie et après les dernières attaques, l'on avait demandé de ne pas attaquer, en aucun cas, les forces de la Junte en craignant des représailles. Puis il compris, la junte avait des cannons et la Junte avait promis de se venger. Alors qu'il compris, il ressenti un violent impact métallique derrière lui. l'onde de choc lui pénétra tout les organes, il tomba au sol et se mis à couvert en priant pour que le prochain ne lui tombe pas dessus. Constatant que rien d'autre n'avait explosé sur le camps. Il jeta un bref coups d’œil pour voir l'emplacement de l'explosion et les dégâts sur leur camps et ce qu'il vit l'a surpris. Presque aucun dégât, presque aucun mort et pourtant ses oreilles sifflait, il voyait trouble. Les membres du camps s'étaient tous réveillés, surpris, ils tentaient tous de ce cacher et échapper aux explosions.

Après quelques secondes, un obus tomba un peu plus loin dans le camps. L'obus tomba sur quelqu'un et le tua dans une petite explosion qui souleva les poumons de Jarkko. Les obus se succédèrent et Jarkko, qui s'était éloigné du camps pour voir les canons ne fut pas touché tout comme une bonne dizaine de ses camarades. L'attaque était terminée et l'on ne comptait que quelques morts. Tout le monde était étonné du peu de pertes après cette attaque qui aurait dû être violente. Les munitions de la Junte étaient-elles défectueuses ? impossible. Jamais la si réputée artillerie retsvinienne n’aurait autant manqué à sa tâche. Surtout que l’attaque n’avait pas été faite dans la précipitation, mais avait été préméditée et préparée pour faire une démonstration de force sur les Veltaviens. Puis, la réalité vint à l’esprit, presque simultanément à tous les résistants : La faiblesse des explosions étaient prévues, ce n’était pas une attaque avec des munitions explosives. Pas une attaque à sous munition. Pas une attaque incendiaire. C’était une attaque chimique.

C’est à cet instant que des gens tombèrent, et pas que des insurgés, aussi des civils habitant au village que les résistants avaient libéré. Les civils comme les militaires s’effondraient sur le sol comme s’il s’étaient tous mis soudainement à s’évanouir. Jarkko se releva dans l’urgence et couru chercher un masque. Le gaz lui rentra dans les poumons, il reconnut l’odeur si caractéristique du gaz : de l’Hydrogène sulfuré. Ce gaz était toxique, et foudroyant à forte dose, il n’avait qu’à espérer que la dose qu’il venait de respirer était faible. Mais c’était évident. Ces camarades s’étaient tous subitement effondrés. Le Gaz était à forte dose. Jarkko chuta, les poumons en sang. Il continua de ramper vers le masque à gaz. Il l’attendait là, à deux mètres de lui, patiemment. Jarko leva la main, dans un ultime espoir, puis sombra dans le sommeil. Un sommeil éternel. Sa vie était terminée. Une vie pas si ordinaire, mais dont personne ne se rappellerait de lui, sauf peut-être sa tombe, ou les gens dans l’au-delà, enfin s’il existait. Il n’en était pas bien sûr, mais ce n’étais pas le moment de réfléchir à cela, il voyait sa vie défiler devant lui, crachant du sang et respirant l’air empoisonnée. Il ne sentait déjà plus l’odeur désagréable que le gaz dégageait. Mais peu importe. Il était mort de toute façon.


Gaz en Veltava
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Nous sommes quelques semaines avant les élections Retsviniennes, les 10 membres du Haut conseil de souveraineté (HCS) se sont rassemblés dans le bureau du HCS. La réunion exceptionnelle a été réclamée pour des raisons banales de politique interne ainsi que d'autres projet que le Président du HCS devait mener à bien. Cette réunion a d'ailleurs été demandée par Vassilevski, le Président du Haut conseil de Souveraineté.

Président du Conseil Vassilevski : Salutations à tous, si je vous aient convoqués dans le sérénissime Haut Conseil de Souveraineté en ce jour du 17 Mars de l'an de grâce 2017, c'est en raison des élections prochaines qui vont se dérouler dans en République de Retsvinie. Il faut choisir un dirigeant compétent et manipulable pour qu'il reste sous le contrôle du conseil ici présent. Il faut bien entendu étudier la candidature évidente du Général-Président actuel, Strovkin. Ce Général Président a fait preuve de ses qualités évidentes au cours de ces dernières années et depuis le début de son mandat en Mai 2009. Cependant, il a récemment enchaînés les bourdes et ne semble plus avoir de réelles plan pour vaincre à nouveau les insurgés et gagner les prochaines escarmouches qui s'annoncent. La série d'erreur de ce Général Président a commencée depuis Mars 2016, il y a très exactement un an moins 6 jours : Il a d'abord laissé la restauration de l'Empire et l'effondrement du narratif de notre propagande sans rien faire. Il n'a strictement rien tenté pour endiguer la chute définitive de notre crédibilité auprès des Retsviniens. Et aujourd'hui, ses bêtises se répètent avec une violente attaque sur la Veltava. Il est vrai que la Veltava devait être attaquée pour montrer l'exemple et accélérer le début de la guerre, puisque la paix renforce nos ennemis, mais faire cela avec du gaz était une terrible erreur : Maintenant la défiance du peuple Retsvinien envers nous s'est retrouvée augmentée, le gaz étant dans l'imaginaire collectif une terrible façon de mourir qui est aussi, dans leur image, utilisée par les régimes sanguinaires. Je pense donc qu'il faut trouver un nouveau Général-Président plus compétent. Je vous écoute.
Membre du conseil Broussilov : Mon avis que je vais présenter au présent conseil rejoint celui de son excellence Vassilevski. Je pense que la présence de Strovkin n'a que trop durée : il est vieux et devenu incompétent avec le temps, attaché à des valeurs obsolètes qui ne servent plus à rien. Il est donc nécessaire de le remplacer. Pour cela, j'aimerais proposer le colonel Silovki qui commande le premier régiment d’artillerie, c'est un ancien bras droit de Strovkin, qui prouvé ses grandes capacités militaires en matière d’artillerie lors de la répression des révoltes en 2016 ainsi que durant l'attaque au gaz d'il y a quelques mois en Veltava, où il a brillé en réussissant complètement l'opération qu'à planifié Strovkin. C'était une erreur politique mais pas militaire. De plus, il est relativement jeune pour un Haut gradé, bien qu'il approche les 45 ans, et nous supposons qu'en tant que bras droit de Strovkin, il soit manipulable et utilisable pour servir nos intérêts. De plus, il est ouvert aux changements politiques en Retsvinie et m'aurai fait part de sa volonté de reforger l'administration Retsvinienne en profondeur, ce qui pourrait satisfaire les demandes du BNE. Alors que Strovkin a refusé la précieuse aide de ce bloc sur la base de valeurs déchues.
Membre du conseil Dorilov : Et comment comptez-vous écarter Strovkin ? C'est bien beau de vouloir le remplacer, mais il ne se retirera pas docilement. Et là où il est impopulaire, notre conseil est détesté. Si nous devions nous battre contre lui, nous pouvons être certains de notre défaite.

Broussilov parle avec un léger rictus qu'il ne cache pas.

Membre du conseil Broussilov : Silovki va bientôt prendre un avion, deux jours avant les élections, à destination de la Veltava pour une revue des troupes de la troisième division d'infanterie présents sur place. Que l'avion explose dans le plus grand des malheur, saboté par les rouges, ça ne choquera personne ?
Président du Conseil Vassilevki : J'aime bien cette idée, et n'oubliez pas qu'on a un sosie du Général-Président en réserve.

Il marque une pause.

Président du Conseil Vassilevki : Concernant la première partie de cette réunion extraordinaire, je pense qu'on est déjà décidés. Donc je récapitule : On liquide Strovkin dans son avion deux jours avant les élections, on accuse les Veltaviens, puis on le remplace par son sosie pour les élections. Et à ce moment là, il s'écarte docilement de la scène politique, tout le monde l'oublie peu à peu et on met sur le pouvoir notre nouveau pantin, le "brillant" Nikolaï Andreyevitch Silovki pour lancer le changement de cap. On le fera gagner les élections en majorité absolue à la tête du parti fantoche des "Partisans" et non du "Parti slavis" comme à l’accoutumée. Par la suite on obtient le soutien du BNE pour gagner la guerre civile par les armes en écrasant l'insurrection.

Bref ! Place au vote.

7 des 10 représentants lèvent la main pour approuver.

Président du Conseil Vassilevki : Bien ! je pense que nous sommes fixés.

Et c'était tout, en seulement 3 minutes l'ont avait décidé de la mort de Mikhaïl Petrovitch Strovkin, en seulement trois minutes, le destin d'un pays entier et des trois millions d'habitants qui y vivaient était scellé.


Mikhaïl Adreyevitch Silovki, probable futur Général Président.
Mikhaïl Adreyevitch Silovki
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Manifestations à Severopol : Revendications et menaces


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Juin 2017 : Place de la Troisième Division d'infanterie, Severopol, Retsvinie.

La nuit est tombée, mais la place du centre ville nommée à la gloire de la Junte résonne encore des cris qui faisaient vibrer toute la place depuis 13h. Des milliers de manifestants, drapeaux et pancartes à la main avaient déboulés sur cette place. Les pancartes affichaient régulièrement des messages qui concernaient le Général Président tels que "Pas mon Président !" et "Respectez la voix du peuple !". Ces contestations, en liens avec les récentes élections de Juin 2017, montraient l'instabilité de la Retsvinie dans les périodes électorales, où la Junte tentait de garder le pouvoir à tout prix, et le peuple ne cessait de dénoncer les fraudes électorales de la Junte.

Ces élections, déroulées il y a peu, organisées tout les 8 ans et donnant cette année le nouveau Général-Président Silovki vainqueur on débouchées sur de gigantesques manifestations. Les résultats mettent en évidence un fait qui a sauté aux yeux de tout les Retsviniens : 176% de participation. Un score de triche plus que scandaleux qui a fait sortir dans la rue plus d'un Retsvinien, qui revendiquent pour la plupart "plus de démocratie dans la République Retsvinienne" pour éviter les triches et corruption habituelles, et pour les rares partisans de la Junte leur revendication se traduisent plus par "une meilleure efficacité de la commission centrale de transparence".
Les manifestants, dispersés à coups de lacrymogènes, balles factices et cannons à eaux, ont parfois cédés à de la casse et des émeutes dans les villes de Severopol, Merlivsk et Kuusykilä. Près de 90 000 Retsviniens seraient venus contester le régime, soutenus par de la propagande issue de l'opposition et de la Veltava, ce qui a valut une contre-propagande intense et une dénonciation des mouvements comme des tentatives de déstabilisation communistes. Comme si la Retsvinie pouvait être encore déstabilisée...
La foule est globalement composée d'étudiants, de travailleurs et même de retraités, même si ceux-ci sont généralement les seuls qui croient encore à la propagande de la Junte militaire. Beaucoup font exploser des petites "bombes" de peinture, généralement bleu, couleur de la Retsvinie et de Slaviensk, donnant aux manifestations une couleur : le bleu symbole de celle-ci, mais aussi un nom : c'est la manifestation bleue. Le bleu est aussi la couleur de la démocratie, celle du bien, donnant encore à la manifestation un trait de volonté de démocratie en Retsvinie.
2215
Propagation des manifestations et montée de la violence : Le Régime de la Junte secoué


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Les manifestations, débutées il y a peu et durement réprimées ont conduit à un tourbillon de violences de la part des manifestants. Plusieurs émeutes sont à déclarer en Veltava, des voitures de polices caillassées, des tires de mortiers d'artifices partout en Retsvinie, et des affrontements entre forces de l'ordre et manifestants. Les drapeaux et la peinture de couleurs bleus d'abords concentrés à Severopol, Merlivsk et Kuusikylä descendent maintenant dans les périphéries et les villes moyennes. La manifestations bleue se propage partout où elle le peut sur le territoire de la Junte, à l'exception de Taïvaljarvi, une ville importante de Veltava qui reste épargnée et tenue d'une main de fer par les forces de l'ordre. Ont compte après un demi-mois de manifestations plusieurs dizaines de milliers de manifestants, plusieurs centaines d'interpellations et plusieurs dizaines de morts. Les morts souvent laissés dans la rue, les manifestants plus occupés à faire déferler leur rage sur le gouvernement de la Junte et les forces de l'ordre plus occupée à expédier les manifestants en prison ou au ciel.

Au 27/06/2017 dans l'après midi, plusieurs centaines de ces manifestants ce seraient rendus devant le bâtiment de la commission centrale de transparence pour montrer leur désaccord avec ces résultats inadmissibles aux élections. Rapidement, l'intervention des forces de l'ordre et la fuite d'un des commissaires a provoqué la haine de ces manifestants, rapidement devenus des émeutiers. Les forces de l'ordre quand à elle, surchargées, sont presque absentes dans les rues de Severopol se concentrant sur la protection du général-Président, du Haut Conseil de Souveraineté, des installations militaires et de l'entrée de la commission centrale de transparence.

Rapidement dans la nuit du 27 Juin, alors que les violences se poursuivent, l'armée est intervenue et aurai ouvert le feu. Donnant l'effroyable bilant de près d'une centaine de décès et 400 blessés graves environs laissés à même le sol rien que dans la ville de Severopol. Rapidement, la police politique et l'armée, utilisant les informations vidéo-surveillance des élections, auraient cherchés à trouver les manifestants ou leur proche ainsi que ceux ayant voté contre la Junte dans le but de forcer un retour au calme grâce à un sentiment de terreur. Très rapidement, les prisons se sont remplies, souvent sans passer par le tribunal.
Les manifestants progressant devant le bâtiment de la commission centrale de transparence.
Manifestations
118
Prend garde Terroriste ! Je suis peut-être devant ta porte...

Police politique


La police politique intervient pour lutter face à la peste rouge !
2800
Les manifestants sont des révolutionnaires ?

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La Junte Retsvinienne continue, encore au 14/07/2017 à être sérieusement embourbée dans des affrontements contre la foule Retsvinienne qui continue sa mobilisation pour protester contre le pouvoir. Le Général Président aurait promis des réponses radicales, et pourtant rien n'est arrivé à l'exception de quelques mesures creuses qui ne lui permettent que de renforcer son pouvoir. Les émeutes continue, les arrestations continuent.

Dans le camps des émeutiers, l'on se radicalise, et les foules deviennent de plus en plus révolutionnaires. Les réponses du gouvernement au mouvement n'ont pas satisfait ces manifestants qui commencent à souhaiter sérieusement le renversement de ce régime corrompu. La Retsvinie se dirige vers la révolution qui lui manque depuis 1940 ? Le régime de la junte ne veut pas en entendre parler et mobilise toutes les forces qu'il a sous la main pour tenter vainement de maintenir un ordre secoué. Ce qui est sûr, c'est que la junte va droit vers sa mort.
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La Réponse enfin arrivée


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La junte Retsvinienne encore victorieuse

Alors que les Barvyniens commencent à soutenir les manifestants par quelques coups de force localisés, le régime de la junte a besoin de sa réponse appropriée pour se maintenir. Celui-ci a donc entreprit le 14/07 au soir, de tirer sur la foule restée dehors après le couvre feu. Toujours plus de morts, toujours plus de désespoir. Cet ultime mesure peu appréciée par la population a entraînée un changement majeur : les manifestants non-radicalisés, par peur, ont cessés les émeutes. Les radicaux quand à eux ont redoublés d'activités. Les affrontements commencèrent à se faire à balle réelle. Désormais, ces radicaux qui s'affrontent avec les forces de l'ordre dans la rue peuvent être qualifiés de révolutionnaires : ils appellent à la révolution bleue, la révolution qui mettra fin à la Junte. Mais après quelques jours d'affrontements et être montés jusqu'à Severopol, les révolutionnaires échouèrent. Qui pourrait vaincre cette force militaire à disposition du régime oppressif de la junte Retsvinienne ? Aucune puissance contestataire, pas même le peuple Retsvinien. Alors qui ? Le Régime militaire avait encore vaincu ceux qui voulaient son renversement. Les opérations de maintien de l'ordre avaient fonctionnés. Désormais il s'agissait de maintenir cette domination entre les mains de la junte. Ce régime militaire devait séduire, ou à défaut de séduire les Retsviniens, il devrait les contrôler. Silovki savait très bien comment il le ferait, et ce général Président assoiffé de pouvoir, détenait désormais les pleins pouvoirs politiques. Cette suprématie restait cependant sous le contrôle du Haut conseil de souveraineté, ceux qui l'ont élu aux dépens des Retsviniens, c'est aussi eux qui représentaient une menace existentielle pour Silovki, et ceux qui par leur incompétence avait provoqués cette révolte. Silovki devait les rendre inoffensif et ceux au plus vite. Ce même aux conseils de souveraineté était plus dangereux que tout les mouvements contestataires réunis. De quelques mains levées ceux ci pouvaient sortir Silovki du pouvoir. Les mois qui allaient suivre seront lourds de changements, et ceux qui succéderont seront bien pire...
1755
Des milliers de slavis traversent la frontière


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Aujourd'hui, le 17/07/2017, après que la Junte militaire Retsvinienne ai tirée sur la foule lors des manifestations bleues, des milliers de slavis, essentiellement des pan-slavistes, auraient traversés la frontière, drapeaux à la mains. La Junte Retsvinienne aurait fait savoir "qu'elle ne tourmentera pas ses frères", pour ne pas froisser le puissant voisin slavis. Tout les mouvements auraient reçus des slavis armés de leurs drapeaux, et aucune n'aurait osé décider de les abattre ou de leur interdire le passage. Les revendications des civils armés de drapeaux sont simples : la fin du régime militaire et la réintégration de la Retsvinie à Slaviensk. Beaucoup de civils auraient acclamés les slavis venus en Retsvinie. Les tentatives de chiffrer le nombre de slavis participants au mouvement sont peu fiables, mais tournent tous autour du nombre de 30 000. Au 18/07/2017, les pan-slavistes atteignent Severopol sous les regards méfiants des militaires Retsviniens et des forces de l'ordre qui viennent tout juste de défaire ce qui approchait d'une révolution.

Les Rues de Severopol vibraient de ferveur populaire. Les foules de slavis réunies à Severopol avançaient lentement, drapeaux à la main, claquant au vent. La foule était couverte de bleu et de rouge, et la joie se ressentait parmi les manifestants, heureux d'être ici pour contester cet infâme régime militaire. certains habitants, depuis les fenêtres et les balcons, jetait des fleurs au cortège. D'autre s'y joignaient. Les soldats de la Junte ne tiraient pas, ayant eu l'interdiction formelle d'ouvrir le feu. Malgré tout, certains incidents localisés impliquant des soldats Retsviniens auraient eu lieu, mais ces incidents, très rares (au nombre de trois pour un mortel) n'ont pas gâché les mobilisations. Après 5 jours de mobilisation, le 22 Juillet, les slavis sont repartis vers l'Empire. Au dernier jour des mobilisations, le cortège n'était plus majoritairement composé de slavis, mais de retsviniens, preuve de la popularité du mouvement légitimiste.
1888
Avions suspects en Veltava : La DCA Retsvinienne se met en action


DCA Retsvinienne



Il y a quelques temps, la Retsvinie observait des mouvements de troupes suspects en Retsvinie... Puis deux, puis trois... D'abord, l'on pensais que c'était de simples préparatifs du MIV pour se préparer à une éventuelle offensives suite aux attaques au gaz. D'ailleurs, le Général Président Silovki en rigola : Ils ont bien raison de creuser des trous ! l'Avalanche va leur tomber dessus !

Mais les indices ce multiplièrent : D'abord un porc appelé Strovkin, puis des hydravions de manufacture Ouainaise qui faisait croire qu'ils n'étaient là que pour un vol de "plaisance" alors que l'on savait bien que ce genre de vol n'existait plus depuis que le MIV tenait jalousement les montagnes. Par la suite, des tranchées et lignes de défense se montèrent en quelques instants et des traces de soldats infiltrés apparurent, sans oublier toute cette propagande qui sortait de nulle part... C'était certain, une puissance s'impliquait. Qui ? Le Kah ? Le SRR ? La Loduarie ? La Confédération Socialiste ? Peut-être même les quatre ceci dit...

Depuis quelques temps déjà, des avions suspects, comme l'hydravion "de plaisance" survolaient la Veltava. La Junte savait, désormais, qu'une puissance voir plusieurs était impliqué, elle savait même que la Barvynie en faisait partie, faute à ses 30 Novarks balancés en Veltava (et la Retsvinie remercie le petit ouvrier Barvynien qui a durement travaillé pour produire ces 30 Novarks qui serviront à financer les missiles Retsviniens). La Retsvinie devait toujours plus neutraliser en priorité le mouvement communiste. Et ces avions ont poussé la République à remettre en batterie l'ensemble de ça DCA soit à Severopol (pour contrer une éventuelle attaque) soit en Veltava, où la Retsvinie craint un soutien étranger qui pourrait tourner l'éclatante victoire prévue par Silovki en écrasante défaite.

Les DCA sont cachées, présentes dans la ville de Kuusikylä mais aussi dans des forêts à l'est des collines et montagnes du mouvement Veltavien, pour attendre un potentiel avion de la Confédération Socialiste. Au prochain avion qui approchera, les cannons de la Junte feront feu.

Contre le Bolchévisme ! Contre le Crime ! Pour la Retsvinie !
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Déploiement en Retsvinie : Les rouges s'inquiètent


Déploiement Retsvinien


Après la DCA, au tour des forces terrestres ! La quatrième division d'infanterie aurait été déployé en territoire Veltavien au 17/08/2017 et aurait débuté un exercice de grande ampleur dans ce petit territoire à quelques kilomètres de la zone contrôlée par le MIV. Le déploiement, ordonné par le Général-Président Silovki s'inscrit dans sa politique anticommuniste et dans sa volonté de mettre un terme à la révolte. Bien entendu, l'élimination du MIV est prioritaire pour des raisons politiques (anticommunisme de la Junte) mais aussi par crainte que le mouvement, pour l'instant contenu, ne devienne trop puissant à cause des nombreux soutiens militaires et médiatiques repérés par la Junte militaire.
Les militaires commencent à s'entrainer sur le terrain légèrement enneigé et plat de Veltava (qui n'est montagneux que au sud de la région) mais aussi à installer des défenses et se préparer à une offensive... Bien entendu, ces mouvements ont été repérés par les forces infiltrées des socialistes et par des citoyens. La Junte déploie pour l'instant 7 000 soldats professionnels armés des meilleures armes qui soient produites en Retsvinie. Ce déploiement sera renforcé quand la Junte aura terminé de former les 20 000 nouveaux soldats frais pour les combats qui se dérouleront. Bien sûr, la Junte n'est pas bête et 3 000 hommes restent à la frontière avec les autres mouvements. Ainsi, ils restent numériquement égaux aux mouvements de la région, mais supérieur en entrainement et en équipement. Ce déploiement-si est faible et ne tiendrait pas une attaque slavis, mais Silovki le sais, l'Empire n'attaquera pas aussi tôt. De toute façon, les armées présentes en Veltava pourraient être re-déployées en quelques heures voir, au pire, en quelques jours sur le front de l'est.

Dans le camps rouge, la panique s'installe et le mouvement se met à l'affut de toute action Retsvinienne.


Forces déployées par la Junte militaire Retsvinienne en Veltava :

Déploiement 1, DCA retsvinienne :

5 cannons antiaériens lv1 à Kuusikylä
20 soldats professionnels qui gardent la DCA de Kuusikylä
20 armes légères d'infanterie lv11 pour les gardes de Kuusikylä

15 cannons antiaériens lv1 à l'est du MIV
50 soldats professionnels en garde à l'est du MIV
50 armes légères d'infanterie lv11 pour les gardes de l'est du MIV

Déploiement 2, forces terrestres :

7000 soldats professionnels
7000 armes légères d'infanterie lv11
20 cannons tractés de lv7
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Déclaration du Front Légitimiste


Dmitri Vassilievitch Arkanov, Dirigeant politique du Front Légitimiste.

Ambiance


Retsviniens, retsviniennes, à tout les citoyens du monde libre qui entendraient ce message.

C'est en tant que chef politique du Front légitimiste, partageant mon pouvoir avec le chef militaire Lev Yaroslavsky que je vous parle aujourd'hui. Non pas pour annoncer ma fidélité à la couronne de Slaviensk, non pas pour participer à un débat politique ou quoi que ce soit dans le genre, mais pour annoncer mon soutien aux Mouvement Indépendantiste de Veltava et dénoncer les mouvements de troupes de la Junte militaire, qui menace aujourd'hui encore les résistants de Veltava, qui malgré leurs quelques déviances idéologiques, combattent comme nous contre l'oppresseur. Le Front Légitimiste se dresse aux côtés du Mouvements Indépendantiste de Veltava et des autres alliés de l'opposition, contre ce gouvernement oppressif. Nous contestons leurs méthodes, qui n'appellent qu'à l'avènement tant redouté de la Quatrième guerre civile, qui ne sèment que dévastation et mort partout où ils passent.
En tant que chef politique, j'appelle aux soutiens Légitimistes en Veltava de débuter la résistance contre le gouvernement militaire s'il venait à agresser le MIV, et même à débuter les préparations au combat. Si la Junte veut la guerre, la souffrance, la mort, et bien elle l'aura. Malheureusement, leurs armées se mobilisent et s'entrainent toujours plus. Chaque homme de plus dans leur armée est un homme de plus qu'il faudra vaincre pour enfin connaitre la liberté. Alors, mes frères retsviniens, je vous appelle à vous en remettre à moi. Il ne faut pas qu'ils l'emportent en Veltava, il ne faut pas qu'ils l'emportent nul part ailleurs. Et ce malgré les tendances dictatoriales et meurtrières du MIV, je pense qu'une défaite de celui-ci entrainerai notre défaite.
Bien entendu, j'en appelle aussi aux slavis de réagir. Leur intervention permettrait une victoire écrasante en Retsvinie, au prix de la vie de fidèles combattants du tsarat bien sûr, mais en épargnant la vie de milliers d'autres slavis de Retsvinie, qui mourront sous les coups du régime oppressif. Je demande donc à l'Empereur de Slaviensk de respecter la constitution qui le met au pouvoir. En effet, l'Article 1 Titre 1 de la constitution du Second Empire Constitutionnel de Slaviensk est écrite en ces quelques mots : "Article 1 – Le Second Empire Constitutionnel de Slaviensk est un Empire souverain, indivisible, unitaire et dirigé par sa majesté l'Empereur et Tsar de toutes les Slaviensk, protecteur du peuple et de la nation." Donc, Slaviensk se retrouve dans l'obligation, non pas par intérêt, mais par obligation Constitutionnelle d'intervenir ! Alors sa Majesté Alexeï IV, Empereur de Slaviensk et Tsar de toutes les Slaviensk ! Fait quelque chose !
1968
Centralisation du régime étape 1



Silovki rêve de pouvoir, il rêve d'un état Retsvinien stable, prospère et surtout entre ses mains. Pour son rêve concernant la Retsvinie, sa Retsvinie, ce dresse de nombreux obstacles : Tout d'abord, les insurgés de l'opposition et des communistes. Ensuite, les puissances étrangères qui veulent que le régime s'effondre. Et moins évident, un obstacle plus qu'important à sa suprématie en Retsvinie : Le Haut Conseil de Souveraineté. Silovki le sais, ce Haut Conseil de Souveraineté le ferai disparaitre d'un claquement de doigts et forment un barrage à sa politique de changement de cap. Mais ils sont faibles. Ils sont convaincus de la fidélité aveugle de Silovki, et c'est ça qui va leur couter leur siège. Silovki doit frapper tant que le HCS ne connais pas les ambitions du petit Commandant d'artillerie, qu'ils estiment depuis longtemps comme n'étant "que le petit disciple de Strovkin". Mais si Strovkin l'avait choisi, ce n'était pas pour sa fidélité, mais pour sa capacité à manipuler l'adversaire pour mieux le faire tomber dans un piège.

Un beau jour d'Aout, le 23 plus précisément, il avait décidé de passer à l'acte. Le Haut conseil de souveraineté, au vu de l'urgence dans laquelle s'était retrouvée la Retsvinie, était surtout préoccupée à régler les problèmes militaires de la Retsvinie que les quelques luttes d'intérêts politique. Silovki le savait, ce jour là ils n'avaient pas seulement les yeux fermés, ils étaient aveugle.

L'acte fut rapide : Un bâtiment, le Haut conseil de Souveraineté. Une personne, Broussilov. Un explosif. Broussilov n'était pas un membre trop influent, ni trop peu... Il était un soutien de Silovki, qui suspecterai Silovki d'avoir assassiné son soutien dans le Haut Conseil de Souveraineté ? Mais en plus, il était assez maladroit, Silovki le tuerai aisément.

La bombe explosa, le premier mort du nouveau régime Silovkiste. Personne ne suspecta Silovki. Les communistes Veltaviens faisaient des suspects bien plus évidents. Cette petite victoire du Général-Président sera la première d'une longue série dans ses ambitions d'une Junte plus efficace et victorieuse. Ces bureaucrates de pacotille qui s'arrogeaient tout les pouvoirs militaires d'une Junte de plus en plus rongée par le communisme devaient disparaitre avant que le couteau de la République ne s'émousse.
3810
Mais qu'est-ce que vous foutez là !


Gros feu d'artifice en approche !


Cela fait depuis 2009 que la poche orientale de la Junte est farouchement défendue par quelques fidèles de celle-ci, et que plus aucun "vrai" partisans de la Junte n'y s'est rendu. C'est là-bas que pourrissent les bâtiments de la Junte, et quelques silos très intéressant qui sont la raison pour laquelle la Junte a gardé la région si jalousement, même au prix d'un encerclement de ses forces dans la région. Mais aujourd'hui, l'acquisition de missiles de la Junte intéresse fortement, et la région serait parfaite pour les tirer... Pas loin des autres mouvements, c'est donc idéal pour les accuser, infrastructures encore utilisables, et site du tire complètement inattendu pour les pays étrangers. Cependant, deux détails complexifient l'opération : Premièrement, les radars slavis détecteraient aisément le tire, et risquerai même de l'intercepter. Deuxièmement, la région est enclavée et la Junte aura quelques difficultés à apporter ses trois missiles vers les silos. Mais pour ça, pas de soucis ! On peut toujours faire confiance à se génie militaire de Silovki. La stratégie est simple, on passe incognito, et si ça passe pas, on fait tout péter ! Après tout, c'est pas ces socialistes qui sont 170 pour tenir un territoire aussi vaste qui vont faire grand chose... On pourrait les envahir, il ne le remarqueraient qu'une semaine plus tard !


Au 24/08/2017, un petit groupe de la Junte de 50 hommes apporte avec des camions civils le précieux chargement. Oui, vous avez bien entendu, civils ! Il faut dire que la Junte militaire n'a même plus d'argent pour financer correctement ce qui fait le cœur de son pouvoir... Enfin bref, trêve de plaisanteries. Sur le chemin, Il ont eux pour mission de traverser le territoire de l'ASD : Très poreux, où on trouve plus facilement un lingot d'or qu'un insurgé... Bien sûr, pour la Junte, il ne faut pas agresser ce mouvement en décadence. Une agression de celui-ci risquerait à la Retsvinie de se confronter au puissant FRL ou aux puissants légitimistes. Ils traversent de nuit, pour plus de discrétion. Mais sur le chemin, en plein territoire de l'ASD, une chose intrigue...


Caporal-chef : Mon Lieutenant ! Venez voir ça !

Le lieutenant accourt.

Lieutenant : Qu'est-ce qui se pas...

Ces mots prononcés, il voit une ration fraiche par terre, terminée. Une ration de la Junte qui date de la guerre civile précédente (2009), et qui semblait encore composer la base de l'alimentation des socialistes... En tout cas, les déchets laissés au sol témoignaient d'un manque de compétence évident de ces insurgés, au moins avait-il pris la précaution de ne pas chauffer sa nourriture (enfin, vu la date de péremption, il aurait été plus prudent de la chauffer... Hum ! ). En tout cas, il fallait continuer, et après un bref et discret signal pour informer les troupes de l'éventualité de tomber sur un insurgé socialiste (improbable, je recommande fortement à ces militaires de la Junte de jouer au loto.... Enfin, si la Retsvinie en avait un). Les soldats, accompagnés de leurs camions civils continuent alors leur chemin, à l'affut de tout soldat socialiste qui passerait par là. C'est alors qu'ils tombent sur le soldat-pollueur-socialiste-incompétent. Ils le descendent sur le champs et continuent tranquillement la route.


C'est alors qu'après la marche, ils arrivent à destination. Un soldat de la Junte les accueille très poliment. Un simple caporal. Il interpelle alors le lieutenant. Il faut dire qu'il n'a pas vu un "vrai Retsvinien" depuis bien des années.

Caporal : MAIS QU EST-CE QUE VOUS FOUTEZ LA !?

Le Lieutenant, quelque peut abasourdi par ce caporal très poli, dit alors :

lieutenant : Euh... mmh... On vient équiper Euh... vos silos.

Caporal : Mais c'est pas trop top !

S'est après ces quelques mésaventures que l'unité pu enfin rejoindre la poche et équiper les silos de missile pour enfin punir les ennemis de la nation. Le groupe de militaires de la Junte resta dans l'enclave pour protéger les précieux missiles qui seront chargés d'ici peu...

Troupes engagées :

Junte militaire Retsvinienne

50 soldats professionnels.
50 armes légères d'infanterie de onzième génération.
2 missiles balistiques de troisième génération (déplacé par camion civil)
1 missile balistique de huitième génération (déplacé par camion civil)
3 camions civils (Hors Atlas)

Force(s) de l'enclave orientale :

1 soldat professionnel malpoli
1 arme légère d'infanterie de première génération

Alliance Sociale Démocrate :

1 soldat conscrit imprudent Hors Atlas (-1)
1 arme légère d'infanterie de première génération Hors Atlas (-1)
1 ration périmée (-1)
1951
Mouvements suspects repérés en Veltava


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Armée Retsvinienne

La guerre venait, encore une fois s'abattre sur le territoire Retsvinien, territoire de souffrance qui jamais ne sera épargné...

Encore une fois, les mouvements belliqueux de Retsvinie essayaient d'assoir leur domination sur ce pays lassé par tant de peine. Cette fois, encore une fois, c'était la Junte ou cette sois-disant République qui agissait.

Dans la nuit du 10/09/2017 au 11/09/2017, c'est 7000 soldats d'infanterie qui quittent leurs casernes de Veltava pour rejoindre des postes de combat qui leur a été assigné. 7000 hommes gonflés à la propagande du Régime qui seront prêts à donner leur vie pour l'idéal Républicain rabâché depuis leur premier jour sur ce monde. L'armée de la Junte se préparait à la lutte idéologique qui s'annonçait. 7000 hommes sur-entrainés, bien équipés, qui s'élançaient en direction des montagnes Veltaviennes. Leurs objectif : Ramener ces catins finnois là d'où il viennent. C'est à dire de l'enfer.
Aucun combat pour l'instant. Mais l'on s'arme, l'on met en batterie les cannons, l'on débute les préparatifs pour la lutte à venir.

Fortification intensive de l'est Retsvinien.


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Batterie Retsvinienne

C'est dans la crainte justifiée d'une intervention slavis que 2500 hommes de l'armée Retsvinienne se sont déployés sur l'est Retsvinien dans le but de fortifier au plus vite leurs positions. même dans son intégralité, l'armée Retsvinienne ne ferai pas le poids face au déploiement slavis sur la frontière. Ajouté à cela les forces d'oppositions, l'instabilité de l'industrie Retsvinienne et sa mauvaise posture internationale... La Retsvinie n'a tout simplement aucune chance. Mais pour la Retsvinie, il faut gagner du temps. Les armées Retsviniennes doivent faire de la partie orientale de leur pays un vrai merdier dans lequel les slavis peineraient à prendre le moindre cm² si la Grande armée venait à s'y aventurer. Le nord Retsvinien se rempli désormais de pièges, de trous de combats, de tranchés ect... De plus, les armées déployées en orient font office d'une garnisons permanente en cas d'alerte sur ce front oriental tant menacé. Le gouvernement militaire a confiance en son armée s'ils parviennent à vaincre assez rapidement les rouges pour résister et ce concentrer ensuite sur les bleus.
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