16/11/2017
08:33:03
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Guerre Clovanie-Ouwanlinda

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Un bruit sinistre envahit le ciel


"Décollage dans 5... 4... 3..."

L'Aigle Pierre Mastov attendait avec fébrilité le signal de départ. C'était la première fois qu'il pilotait un appareil dans le cadre d'une attaque réelle. Il avait beau avoir répété et répété les entraînement, tout semblait aujourd'hui différent. La déclaration de guerre précipitée de l'Empereur à Olinga l'avait propulsé au devant d'une des campagnes militaires les plus lointaines de l'histoire de la Clovanie. Il avait devant lui un horizon inconnu, la terre d'Ouwalinda se rapprochait de lui à vive allure.

Mais même si le contexte était nouveau, Mastov était habitué à obéir aux ordres. Il avait en tête son ordre de mission, et il était accompagné. Les autres pilotes partant avec lui connaissaient également leurs ordres. Tout fonctionnerait de manière automatique, il en était persuadé. Il ne bougerait pas de son cockpit de la journée, puis il rentrerait tranquillement au lit.

Le groupe d'avions décolla en une seconde de la piste et survola les flots de plus en plus vite. Le vrombissement du moteur se fit de plus en plus bruyant aux oreilles de Mastov. Il pouvait contempler l'immensité de l'océan, la pureté du ciel qui semblait le bercer au plus près de Dieu. Cette sensation, elle, était la même, qu'il survolât les pâturages clovaniens où qu'il se dirige vers Opango, la capitale du nouvel État ennemi de la Clovanie.

L'attaque était lancée, l'action de ces avions serait irréversible.

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On peut au moins les prévenir

Ce fut d’abord une diode qui s’alluma sur l'une des consoles du centre de commandement des forces aériennes de l’Armée Démocratique. Puis une autre, puis des notifications colorées se multiplièrent sur les écrans affichant les cartes de la région et les informations tactiques associées. Une volée d’icône représentait désormais les divers appareils qui approchaient de l’espace aérien Gondolais. Elles prirent les couleurs associées aux unités Clovaniennes dès que l’appartenance des avions correspondant fut formellement authentifiée. Pas que qui que ce soit ici en ait jamais douté : des informations préalables avaient été envoyées depuis les postes de surveillance de l’Afarée kah-tanais, plus au nord.

Ces appareils étaient en train de traverser la moitié du globe, sinon plus. Le lien avec la déclaration de guerre remise à l’allié Ouwanlindais n’échappa à personne, pas plus qu’un fait des plus alarmants : les forces de la défense aérienne de l’Armée Démocratique ne seraient pas en mesure de les arrêter. Pas cette fois. Leur sinistre mission, qui les amenait à parcourir des distances plus importantes que la plupart des raids de même type menées depuis vingt ans, pourrait continuer.

Finalement, de la même manière que les kah-tanais les avaient avertis, les gondolais décidèrent de faire passer l’information à l’Ouwanlinda, utilisant les canaux ouverts durant la brève alliance entre la république méridionale et le mouvement révolutionnaire. Le message fut passé, et les officiers retournèrent à leur mission du jour : préparer l'invasion prochaine des territoires encore sous "occupation" du gouvernement de Sainte-Loublance. Le Gondo démocratique n'avait pas - n'aurait sans doute jamais - les moyens de défendre le camarade afaréen.

Cette tâche incomberait à d'autres.
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Le plan Ateh: les eurysiens sont de retour !
Dispositif de défense ouwanlindais


L'air de la capitale était lourd: les célèbres sapologues ouwanlindais avaient déserté les rues tandis que les cybercafés s'étaient vidés dans la matinée, à l'annonce du discours d'Ateh Olinga, l'aigle qui voit au travers des nuages: la Clovanie avait déclaré la guerre à l'Ouwanlinda, et l'avait fait dans les règles de l'art. Par le biais d'un courrier officiel sans fioriture aucune. Les clovaniens avaient une méthode proche de celle des velsniens, qui avaient administré le pays des siècles durant, du haut de tout leur mépris, de leur sentiment de supériorité affiché par de grands sourires et des discours grandiloquents.

Les discours grandiloquents...Ateh en avait repris la substance pour les retourner contre les colons, à une époque. L'heure était venue de réitérer cela: l'Ouwanlinda se défendrait, avec ses moyens limités et quoi qu'il en coûte. Il n'y aura pas de reculade, pas de compromission et pas de négociation. L'état major ouwanlindais devait donc se résoudre à l'activation du "Plan Ateh", conçu par ce dernier dans les années 1990 dans l'éventualité d'un retour de l'armée velsnienne dans le pays, un plan qui ne devait servir qu'en cas d'attaque majeure sur le territoire de la République méridionale. Les remières étapes de ce plan se ressentaient déjà au travers du premier discours, donné par Ateh: la capitale devait être évacuée de son personnel politique et de ses forces armées. Dans le jardin des alligators du palais présidentiel, on pouvait voir les gardes présidentiels évacuer Stéphane et Sophie, et les enfermer dans de petites cages à l'arrière de l'un des camions quittant la ville. Car il fallait se résoudre à l'évidence: la République d'Ouwanlinda ne dispose pas de flotte aérienne, et n'aurait probablement pas l'initiative de cette attaque, dont l'allié kah tanais avait prévenu qu'elle aurait lieu. il fallait donc l'admettre: rester à découvert était la mort assurée.

C'est face à ce constat que le plan Ateh était pris afin d'assurer la conduite de la guerre, et permettre à l'état ouwanlindais d'assurer sa continuité, et d'organiser la protection des civils tout en prévoyant un éventuel débarquement de troupes aéroportées. La première phase du dit plan était donc la suivante:
- La mise en place d'un dispositif d'alerte destiné à la population civile permettant de limiter les pertes humaines ouwanlindaises.
- La distribution de 10 000 fusils à la population de la capitale dans l'objectif de repousser d'enventuels envahisseurs, commandés par Ateh "la flamme blanche", l'un des sosies préférés d'Ateh.
- La mise en sécurité d'Ateh Olinga par son évacuation du palais présidentiel, et sa prise de commandement de l'armée ouwanlindaise.
- L'évacuation de la plupart des bases et casernes connues de l'Armée ouwanlindaise (excepté les bases de lancement de missiles) et son repli dans la région forestière de Lac Croco, sous le commandement d'Ateh Olinga.
- Le remplacement d'Ateh par une doublure (Ateh "l'anguille"), qui prendra place au Palais présidentiel afin d'assurer la continuité de l'état olinganien.
- Le lancement préventif de 10 missiles lvl5 sur les bases militaires clovaniennes au Gondo.

Nul doute que ce plan avait l'air prévu de longue date, dans une optique de guerre asymétrique semblable à ce à quoi avait ressemblé la guerre d'indépendance ouwanlindaise, puis la succession de guerres civiles ayant eu lieu par la suite et dont Ateh était maître...
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Un bruit sinistre envahit le ciel
Arbitrage de ce post

Image d'illustration
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La Frégate de la Clovanie voulait s'approcher de la capitale de l'Ouwanlinda, mais hélas pour elle, la présence de navires dans la zone faisant un blocus ou encore de la marine de Fortuna est importante. Les forces participantes au blocus repèrent la Frégate.

Le reste des actions se passant après le bombardement de la frégate, elles peuvent être révisées. Il revient à la Clovanie de nous dire si elle force le blocus ou non, ce qu'elle fait de ses avions, etc.


Explications :

La frégate étant mentionnée dans la partie secrète du post, mais pas dans la partie publique du post, les joueurs subissant l'attaque et les joueurs tiers qui voudraient intervenir ne pouvaient pas Rp en conséquence. En l'état, l'existence d'un blocus naval important impose un malus important à ton action.

Ne pas pouvoir suivre les actions d'un joueur est un problème, car cela entraînera forcément l'absence d'une réponse de l'adversaire ou une réponse erronée. C'est un problème pour le fair-play et l'équité dans la réponse qu'on essaie de faire disparaitre dans les arbitrages.

Sans forcément donner le détail, il faut toujours que les actions offensives ou de déploiement soient lisibles publiquement.

Ainsi, lors du prochain combat dans la zone d'Afarée et du Gondo, la frégate se verra amputée de 50 % de ses points de nuisance.
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Opération Alligator volant
Un bruit sinistre envahit la baie d'Opango



a
Un bébé alligator ouwanlindais (cela n'a rien à voir avec le reste du post)


"Ils ont fait quoi ? Ils ont envoyé un navire sur les côtes ouwanlindaises ? C'est notre mer, c'est notre eau, pas la leur ! Cette eau dans laquelle ils mouillent leur barque appartient au peuple ouwanlindais !!!"


Dans le QG de campagne provisoire dans lequel s'était retranché Ateh Olinga après l'évacuation du palais présidentiel, malgré l'écrasante supériorité théorique de l'adversaire, on était à la recherche d'un petit quelque chose, d'un encouragement devant permettre a peuple ouwanlindais, dans cette guerre qui lui avait été déclaré, de frapper un grand coup, même symbolique. On avait eu vent des mésaventures de la frégate clovanienne en pleine incursion dans les eaux territoriales ouwanlindaises, de par, principalement, des communications émises par le Grand Kah, et qui avaient permises une évacuation en bon ordre (hrp: théoriquement suivant les arbitrages ?) des points supposés des bombardements à venir.

Comme dit précédemment (post précédent), il se trouvait que les seules bases militaires ouwanlindaises qui n'avaient pas fait l'objet d'une évacuation étaient les bases de lancement de missiles d'Ateh. Sachant la position probable de la frégate, et la disponibilité des missiles, Ateh eu ce regard en direction de Barnabas, qui s'était lui aussi mis à la mode du treillis militaire:
" Tu penses à ce que je pense, mon cher Barnabas ?"

Barnabas eu ce regard (qui ressemblait à celui d'Harold the pain), avant d’essayer de raisonner le chef de guerre:
- Amiral-Président. Je sais qu'ils vous ont déclaré la guerre, et qu'en effet...c'est le genre de choses qui énerve, tout naturellement, mais peut-être devrions nous temporiser...
- Rah !!! Tais toi donc Barnabas, tu me donnes mal à la tête. Nous avons assez temporiser ! Nous avons offert notre amitié à l'Antegrad, ce n'est pas suffisant ? Les clovaniens ne sont que des velsniens qui parlent français ! Ils n'ont rien à faire dans l'eau où je me baigne. Cela suffit, le peuple, ouwanlindais doit avoir une victoire, quelque chose qui force les nations impérialistes eurysiennes à dire: "oui, il ne vaut mieux pas nous chercher !". Appelle la force balistique, et déclenche l'opération Alligator volant. Tu sais...l'opération dont on a parlé la semaine dernière, durant le petit-déjeuner, où j'ai eu la figurine de Dallas dans mon paquet de Corn Flakes.


Le Ministre du respect émis un long soupir...
" Bien, Amiral-Président, mais je pense que c'est un gâchis de missiles."

Description de l'action a écrit :

Barnabas prend contact avec la force balistique, et leur indique de frapper la frégate clovanienne repérée avec 5 missiles sol-mer et 6 missiles balistiques niveau8, sur base des informations données par le Grand Kah sur les déplacements de troupe, et les propres repérages des ouwanlindais dans leurs eaux territoriales. La force balistique, toutefois, devra s'assurer que la flotte du blocus n'est pas mise en danger par l'opération.
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Les choses se déroulèrent extrêmement vite. Le ballet aérien constant entretenu par les hélicoptères et avions représentaient une dépense considérable pour les contribuables sylvois, mais une dépense efficace. La sphère de détection étendue ainsi offerte permettait largement de détecter et anticiper les missiles de croisière qui allait traverser le blocus pour frapper la frégate clovanienne de l'autre côté. Ce fut une situation extrêmement tendue. Il y avait une incroyable concentration de navire dans la zone, qui s'étendait au-delà d'un bon millier de kilomètres du nord au sud. On ignorait la cause de ces missiles, leurs cibles, leur trajet. L'opération Péla n'avait pas été prévenue par le Grand Kah, ni par l'Ouwanlinda. On ignorait totalement vers qui étaient dirigés ces missiles. On ignorait même que la frégate clovanienne qui se faisait arrêter par le blocus participait à une offensive contre l'Ouwanlinda. En temps normal, ces missiles auraient été considérés à juste titre comme une menace à neutraliser, c'était même ce qui se passait au début. On les avait en "ligne de mire", ils étaient suivis par les radars en l'air et la liaison de donnée permettrait de guider des missiles anti-missiles sur la trajectoire estimée. On attendait uniquement la fenêtre d'opportunité idéale, qui n'arriva pas : les missiles gardaient une distance trop importante avec les navires sylvois (et surtout le porte-avion contre lequel aucune menace ne serait tolérée). Ce n'était définitivement pas un bâtiment de l'opération Péla qui était pris pour cible et, après une infinité de précautions pour scruter l'ensemble de l'immense surface tout en suivant les missiles détectés, il fut conclu que les membres du blocus n'étant pas menacés. La mission dudit blocus n'étant pas d'interférer dans un conflit entre l'Ouwanlinda et Clovanie, mais seulement d'empêcher l'approvisionnement d'armes vers ce premier, il fut décidé de simplement regarder. Furent d'ailleurs détectés après cela les missiles balistiques, provoquant leur lot d'inquiétude également mais ne semblant pas viser les membres de l'opération Péla.
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Complément au post "Un bruit sinistre envahit le ciel"

Pendant ce temps, l'équipage d'une des meilleurs frégates clovaniennes fendaient les eaux en direction de leur nouvel ennemi, s'apprêtant à déclencher le lancement d'une paire de missiles sur la capitale Ouwanlindaise.

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Il était une fois un conflit en Afarée... - I
Arbitrage de ce post


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Parfois, une traversée en mer crée un effet papillon inattendu. En l'occurrence, la traversée de la mer par l'Ouwanlinda pour atterrir au Gondo et repartir aussitôt débarqué eut deux conséquences inattendues de prime abord. La première conséquence était l'apparition de ces appareils volants au-dessus du ciel de l'Ouwanlinda. La seconde conséquence, très utile dans cette situation, était que la traversée, et notamment le retour de la mer pour atterrir au Gondo, aboutit à la création de protocoles permettant des communications militaires saines entre les autorités de l'Armée Démocratique et l'Ouwanlinda en période, non pas de crise, mais d'opération militaire. L'apparition sur les écrans radars d'appareils dans un premier temps inconnus faisait partie de ces situations pensées. Ce qui donna lieu à des communications entre l'Armée Démocratique et l'Ouwanlinda. Une chance pour Ateh qui put donner ses consignes et plus encore fuir du Palais présidentiel qui pouvait être une des cibles de l'Armée Clovanienne.

La Clovanie avait pour elle la maîtrise de l'espace aérien au-dessus de l'Ouwanlinda, lui permettant d'opérer comme bon lui semble et de viser les points qu'elle souhaite sans difficulté suite à une riposte ou une réponse militaire de la part de l'Ouwanlinda directement sur les avions de la Clovanie. Cette supériorité aérienne se traduisait par des frappes chirurgicales sur des infrastructures clés permettant de faire mal dans les hautes sphères de l'État de l'Ouwanlinda. Ce qui compliquerait toute réponse militaire venant de l'Ouwanlinda si elle était faite dans les prochains jours, prochaines semaines, sans être forcément un "game changer". De plus, le manque de drone de reconnaissance clovanien entraîna, bien évidemment, une baisse de l'efficacité des frappes.


Palais présidentiel d'Opango : 44 --> 31.

Le Palais présidentiel d'Opango est l'un des lieux de pouvoir emblématiques, si ce n'est le plus emblématique de l'Ouwanlinda. Il était parmi ces lieux frappés par les bombardements de la Clovanie, à juste titre, selon les objectifs clovaniens, à savoir le bombardement de lieux accueillant le haut commandement militaire et civil. Ainsi le Palais présidentiel accueillait en son sein le haut commandement civil à travers Ateh, le président ouwanlindais qui concentrait les pouvoirs. La mort d'Ateh aurait provoqué de forts troubles (et donc malus) dans le pays et dans sa capacité à répondre militairement. L'alerte émise par l'Armée Démocratique et le Grand-Kah permit à Ateh d'évacuer et en l'absence de drone de reconnaissance, impossible de savoir où était parti ce dictateur. Aucun haut gradé civil comme militaire n'est touché.

Bombardement : Bombardements majeurs, mais la plupart des bombes ne se déclenchent pas où visent à côté.

Pertes Ouwanlindaises* :

  • 5 soldats professionnels (gardes).

État du bâtiment, des lieux : Des dégâts évalués à 10 à 15 % de la structure actuelle.


Quartier général de l'armée à Opango commandé par Ateh "la Flamme blanche" : 89 --> 76.

Institution importante pour l'armée ouwanlindaise et la défense du pays, même si la distribution d'armes au sein de la population atténue l'importance de cette institution, elle est bien entendu bombardée par l'armée de l'air clovanienne. Et le bombardement est réussi par l'armée de l'air clovanienne. Pour des raisons inconnues à l'heure actuelle, l'évacuation n'a pas eu les effets escomptés. En outre, plusieurs hauts gradés militaires sont présents dans le bâtiment lorsque les bombardements commencent. Un effet mauvais pour la santé, dit-on. Ce qui sera confirmé par les rapports qui tomberont prochainement concernant les morts au Quartier général de l'armée. Le fait que l'armée clovanienne puisse faire plusieurs passages sans résistance et réponse militaire est très fatal ici.

Bombardement : Bombardements majeurs et réussis.

Pertes Ouwanlindaises* :

  • 12 hauts gradés militaires dont 2 membres de l'Etat-major, équivalent à des soldats professionnels.
  • Ateh "la Flamme blanche".
  • 350 civils armés, équivalent à des conscrits.

État du bâtiment, des lieux : Des dégâts évalués à 70 à 80 % de la structure actuelle. Inutilisable en l'état.


Institution des statistiques et des renseignements Ateh Olinga (ISRAO) ; 46 --> 33.

L'ISRAO est un élément important pour Ateh Olinga et la structure militaire du pays. En effet, la structure accueille les renseignements principaux du pays et permet donc des prises de décision en fonction des éléments récoltés, mais pas seulement. La perte de cette infrastructure serait quelque chose de réellement impactant pour le pays, d'autant plus si durant les bombardements le pays perd des éléments clés du renseignement. Mais, hélas pour la Clovanie et heureusement pour l'Ouwanlinda, le centre, bien que visé, n'est pas outre mesure impacté par les bombardements. Une bombe fera s'enclencher un feu dans l'une des ailes, mais fort heureusement, l'aile était équipée de détecteurs de fumée de dernier cri, modèle kah-tanais (vue la coopération entre les deux pays).

Bombardement : Bombardement raté, une bombe touche.

Pertes Ouwanlindaises* : Aucune.

État du bâtiment, des lieux : Un trou dans le plafond et de la cendre sur les murs. A nettoyer.


Réserve naturelle des crocodiles d'Opango : 43 --> 30.

La Réserve naturelle des crocodiles pouvait être perçue comme un entre-deux dans les objectifs militaires de l'appareil politique et militaire de la Clovanie. En effet, cette dernière voulait viser le haut commandement civil et militaire de l'Ouwanlinda. Bien que la réserve ne fût pas une base militaire ou un centre stratégique pour l'État ouwanlindais, elle représentait une formidable base de repli si la situation devenait tendue ou si le Palais présidentiel était perdu, voire bombardé. Elle faisait partie des cibles des bombardements des Clovaniens. En outre, la réserve était composée d'environ 1500 militaires et il devait y avoir quelques hauts gradés civils comme militaires. Alors, au loin de la réserve, 3 militaires jouaient avec un crocodile. Une bombe tombe à 3 mètres d'eux, la suite sera fatale...

Bombardement : Échec, mais des bombes touchent.

Pertes Ouwanlindaises* :

  • 1 crocodile.
  • 3 soldats professionnels.

État du bâtiment, des lieux : Des dégâts à environ 5 %. Faut refaire une partie de la pelouse et nettoyer le sang. Mais sinon c'est "okay". Les trous ? Pas mal ce nouveau golf.


Assemblée des Quatre ethnies de l'Ouwanlinda : 47 --> 34.

Le bombardement de l'Assemblée des Autres Ethnies a bien lieu, mais on peut clairement dire factuellement qu'on a connu un bombardement plus efficace. En outre, lorsque les premières bombes et missiles sont tombés sur l'Assemblée, cette dernière était évacuée entièrement. Le pouvoir Ouwanlindais avait anticipé le bombardement de ladite assemblée et l'évacuation s'est bien passée. Toutefois, quelques bombes éclatèrent dans le bâtiment bien que la majorité des bombes tombèrent à côté.

Bombardement : Échec, mais des bombes touchent.

Pertes Ouwanlindaises* :

  • 3 soldats conscrits (civils armés) restés pour protéger le bâtiment.

État du bâtiment, des lieux : Des dégâts à environ 10 à 15 %


Place de la Libération : 39 --> 26.

La Place de la Libération, bien qu'étant un symbole du pouvoir d'Ateh dû à la statue de bronze d'Ateh n'est pas visée par des tirs et des bombardements de la part de l'aviation ou de la marine clovanienne. En effet, les ordres donnés aux militaires clovaniens étaient stricts. Les ordres étaient de viser "les hauts-lieux connus du commandement militaire et civil ouwanlindais". En aucun cas, il était question de viser délibérément une place remplie de civils et dont la fonction du commandement militaire et/ou civil est fortement discutable. La place n'est pas bombardée, le bain de sang n'a pas lieu.

Bombardement : Aucun.

Pertes Ouwanlindaises* : Aucune.

État du bâtiment, des lieux : //


Conseil de Guerre d'Olinga : 95 --> 82.

Le bombardement du Conseil de Guerre d'Olinga est sans aucun doute le bombardement le plus réussi de la part de l'aviation clovanienne, avec une part de réussite et de chance. La réussite de la frappe chirurgicale est due à la capacité de bombardement ciblé et efficace de l'armée de l'air clovanienne mais aussi grâce à une cacophonie dans les rangs ouwanlindais. L'évacuation a mené à un mouvement de foule créant un ralentissement des flux humains pendant l'évacuation. Des membres, peu à vrai dire, ont réussi à évacuer à temps, mais la plupart des hauts gradés présents au Conseil de Guerre d'Olinga sont morts des bombardements ou dans les flammes. Avec le bombardement du Quartier général de l'armée à Opango commandé par Ateh "la Flamme blanche", le haut commandement militaire est touché grandement par les bombardements et la mort.

Bombardement : Réussi

Pertes Ouwanlindaises* :

  • 8 hauts gradés militaires, équivalent à des soldats professionnels.
  • 55 civils armés, équivalent à des conscrits.
  • 8 soldats professionnels.

État du bâtiment, des lieux : Détruit à 80-90 %. Inutilisable en l'état.


Dans la globalité des bombardements, lesdits bombardements ne font pas une réelle différence comparée à la situation d'avant les bombardements. En cas de combat militaire dans les prochains jours, semaines, voire mois (à cause de la lenteur de mon arbitrage, désolé) et sans changement du côté de l'État Ouwanlindais, ceux qui affronteront l'Ouwanlinda sur le plan militaire et selon le contexte pourraient obtenir un avantage, mais un avantage mineur (un bonus qui ne dépasserait pas les 5 à 10%).

La Clovanie perd deux missiles de croisière mer-sol de niveau 9.

* Ces pertes correspondent à une estimation des morts, disparus et déserteurs.


Explications :

5 de bonus sur les jets de dé : Aucune force anti-aériennes en face, ce qui permet la liberté des opérations clovaniennes dans le ciel ouwanlindais.

2 de bonus sur les jets de dé : Utilisation de missiles de croisière mer-sol en combinaison avec les forces aériennes.

15 de malus sur les jets de dé : Avertissement de la part de l'Armée Démocratique, réaction efficace d'Ateh à savoir l'évacuation des plus hauts gradés, en partant du principe que l'évacuation se passe bien (dépendra du jet de dé).

5 de malus sur les jets de dé : RP sur la continuité de l'État "assurée" en cas de bombardement du côté Ouwanlindais, ce qui permet une réaction en "live" afin de s'adapter aux bombardements du mieux que possible et absence de drone du côté de la Clovanie.

Malgré les jets faibles, la Clovanie s'en """sort""" dans les bombardements en réussissant à toucher des structures (échec critique en dessous de 30 pour moi) dû à l'absence de DCA et d'avions de combat qui auraient pu gêner les bombardements, voire descendre les avions et les bombardiers. C'est un élément de compréhension crucial pour comprendre l'arbitrage actuel. L'important étant les malus sont valables qu'en cas de confrontation militaire en l'absence d'un RP "reconstruction d'un haut commandement". Le renseignement et les administrations civiles n'étant pas touchées, il ne fait aucun sens de mettre des malus dans d'autres situations. Outre deux bâtiments on peut partir sur le fait que les évacuations sont réussites.


L'arbitrage des tirs de missiles de croisière et balistiques de l'Ouwanlinda sera fait dans un prochain post étant donné la grosseur de cet arbitrage.
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