11/05/2017
16:08:12
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Presse

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Ici seront postées les nouvelles de presse locale.
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Un an.

Un an chers lecteurs, voici un an que l’Antérinie a promis une démocratisation de la vie politique et l’arrestation des Directeurs. Une année entière s’est écoulée ! Que s’est-il passé ? Rien. Les services de police passant plus de temps à traquer les embrouilles financières de Monsieur de Saint Jacques des Champs et de ses amis du directoire, les documents attestant de l’implication directe de ces hommes dans des pratiques illégales, qui heurtent et la moralité et la dignité, ayant miraculeusement disparus et les témoins se faisant de plus en plus rares. Pire encore, rien n’est fait à Antrania pour résoudre la situation, un certain laisser-aller s’est emparé de de la Geauce et ce dernier loin de s’investir pleinement dans ces affaires préoccupantes n’agit pas. Non, il reste stoïque, préférant maintenir le compromis avec les conservateurs plutot que d’intervenir en notre faveur. Même l’Empereur ne semble pas être au courant de la situation locale, rien n’est fait, et rien ne sera fait. Quand est-ce que l’Assemblée régionale verra le jour ? Quand est-ce que nos oppresseurs habituels ; à savoir les Directeurs et leurs cliques de maharadjas collaborationnistes passeront le restant de leurs misérables vies en prison, connaîtront enfin le déshonneur tant mérité ? Quand est-ce que les Bhamanites pourront enfin vivre libres et assumer les fonctions qui leur reviennent de droit, usurpées par quelques aristocrates imméritants ? Jamais si nous attendons une intervention des autorités confédérales.

Ainsi, il apparaît nécessaire de manifester (pacifiquement) contre le directorat, c’est la seule solution viable qui s’offre à nous. Non seulement nous alerterons enfin la Confédération et attendrons des réactions concrètes, qui vont de l’arrestation pure et simple des criminels en col blanc qui peuplent le palais des Directeurs, à des pressions plus que visibles pour soutenir les engagements pris lors du dernier communiqué de presse de l’Empire. C’est à dire l’établissement d’une véritable démocratie, qui dépasse les simples dénominations qui évoquent l’ancienne situation colonial du Bahama, non nous voulons des réformes profondes, qui renverseront une fois pour toute la domination des Directeurs et des maharadjahs. Sans cela, jamais l’Union ne sera apaisée, au contraire d’ailleurs, chaque année qui passe renforcera notre détermination à expulser ces parasites ! Et si rien n’est fait, la gravité de la situation ne fera que s’aggraver et atteindra un point de non retour qui mènera à la destruction de la Société bahamanite.

Mais néanmoins, un déchainement de violence n’est en rien souhaitable, même pour les indépendantistes, car un nouveau régime né de la violence qui remplace une ancienne institution (même méprisable) est rarement un exemple de démocratie ; le communisme brutal et sanguinaire succéda au fascisme mortifère en Loduarie, et ce cas de figure est loin d’être une exception, durant la révolution antérinienne, une république autoritaire et raciste aurait pu prendre le dessus et pour cela, les exemples aussi tragiques que meurtriers se succèdent, se bousculent au portillon. Dès lors, même pour les indépendantistes les plus radicaux, la chute et l’avènement d’une société nouvelle, sacralisant la violence et l’émancipation anti-coloniale en massacrant et en détruisant tout ce qui s’y rapproche et l’apparition de tensions internes entre antériniens « de souche » et antériniens « locaux » voire oppositions idéologiques de plus en plus violentes qui tenteront bien naturellement de prendre le pouvoir et de s’imposer, c’est là le propre de toutes les sociétés en plein délitement, la place vide laissée par une révolution, sera nécessairement prise par un autre qui entrera par conséquent en concurrence avec un tiers, cela a été vérifié par des successions dynastiques, par la conquête pure et simple de certains territoires, par l’apparition de nouveaux régimes… Et de là apparaît une nécessité de conserver une autorité suffisamment légitime pour éviter des débordements violents que nous regretterons tous. Par conséquent vous l’aurez compris, nous devons manifester pour défendre nos droits mais aussi et surtout pour appliquer la Loi et les différents décrets promis par de la Greauce. Seule une marche pacifique et forte nous permettra d’atteindre nos attentes.

Quant aux aptères s’étant spécialisées dans la délinquance, l’agitation, la rancœur et la haine, ceux-là même qui rêvent de transformer cette innocente marche en un bain de sang et en émeute, rappelez -vous que vous ne faites qu’ouvrir la porte aux pires maux, répression policière, réprobation de l’opinion publique, intervention confédérale, humiliation des mouvements démocrates… Ce n’est pas en tentant de semer les graines d’une supposée révolution décoloniale que le sort des bahamanites s’améliorera, ce n’est pas en ridiculisant le mouvement que la démocratie réelle pourra être atteinte, ce n’est pas en provoquant la méfiance des indécis que le Directorat pourra être aboli, ce n’est pas en s’abaissant au niveau des terroristes rachistes de Nouvelle Antérinie que l’on pourra pacifier l’Etznabie et les « colonies » antériniennes. La violence, rappelons-le n’est pas une solution, ni même une option. Ainsi je vous conjure messieurs de ne pas prendre cette manifestation (pacifique) pour les préludes d’une révolution décoloniale. Car c’est ici où nous atteignons le véritable fond du débat ; le bonheur des bahamanites (ou Antériniens du Nazum) se fera-t’il avec ou sans la Confédération. Car notre objectif est en soi consensuel, enfin du moins pour toutes les personnes capables de raisonner ; rappeler que la Démocratie est vitale au Bahama et que le Directorat est l’ennemi à abattre.

Adriaen Paets

Mais en premier lieu, rappelons les bases, qu’est ce qu’est le Directorat ? En quelques mots, c’est une administration ploutocratique semi-héréditaire mise en place afin de concilier les intérêts de l’Union des compagnies commerciales nazuméenne et les élites locales qui dirigera les provinces antériniennes au Nazum. Ce régime est à l’image de la colonisation, un compromis entre Nababs et Maharadjahs et les descendants de la Noblesse coloniales qui conservèrent leur pouvoir en jouant sur une corruption massive des mœurs et en libéralisant tellement l’économie de l’Union que certaines motions rendant le servage quasi-légal furent même proposées aux directeurs. Et les élites locales trouvaient leur compte, vu que si auparavant la Religion légitimait des pouvoirs abusifs, l’Argent remplaçait les institutions religieuses qui avaient prises la mauvaise habitude de contrer les ordonnances abusives d’un pouvoir central en invoquant leurs privilèges, l’argent lui ne demande pas de comptes. Dès lors la base même du régime est corrompue, les directeurs financent leur soutien afin d’acheter la paix sociale, d’ailleurs le discours de Son Excellence Armand du Plessin, directeur général de la compagnie au tournant du XIXe siècle est clair et explicite ;

Armand du Plessin a écrit :« Comme vous le savez tous, l’objectif de l’Union n’est pas tant d’être un instrument au profit de la gloire impériale, un exutoire pour des socialistes en mal de domination coloniale, et des provinces à convertir pour quelques dévots fanatiques… Non, notre objectif est de commercer avec l’Empire, notre objectif est d’exploiter les ressources locales pour enrichir l’Antérinie, Notre objectif est de servir la puissance antérinienne en la finançant. Et là est toute la subtilité de la chose, si auparavant tout se mélangeait ; peuplement, conversion, racisme, ressources, maintenant nous avons un objectif clair. Donner à l’Antérinie les moyens de ses ambitions, cela signifie tout simplement alimenter l’industrie antérinienne en produit coloniaux ; coton, thé, et autre… Et une économie stimulée par des produits exotiques paiera bien plus chers ces biens ; c’est de la logique simple, créer de la demande pour augmenter les prix en ajustant l’offre. Nos ancêtres faisaient la même chose avec les Ushongueries ; les shâaris remplaceront simplement les étoffes de soie, mais sinon, accumulations, destructions et spéculations seront nos maîtres mots, comme l’ont fait nos ancêtres.

Mais pour cela, nous devons compter sur une chose essentielle, la constance de notre production, enfin soyons plus clair, la docilité de nos producteurs. Et de là, deux choses s’offrent à nous, soit nous optons pour une voie simpliste, caricaturale à l’excès et particulièrement dangereuse ; la soumission pure et dure des principautés dépendantes de notre autorité en leur intimant l’ordre de produire autant que nous l’ordonnons, quitte à pendre des princes pour l’exemple, chose que ni l’opinion publique, ni l’Empereur valideraient. Pire encore, pour des affaires prospères il nous faut la paix, or, messieurs, si nous et nos successeurs devons réprimer tout les ans un nombre ahurissant de révolte, la production sera plus que limitée, et par extension l’économie antérinienne pourrait se ralentir. Et bien entendu, une approche aussi brutale n’aurait aucun avantage, et ne ferait que déclencher l’ire des conservateurs et de la famille impériale. Cela nous amène donc, messieurs, à nous pencher sur la seconde option qui s’offre à nous, et qui aura un impact majeur sur la Société toute entière. 

J’entends par là une coopération étendue et poussée entre l’aristocratie bahamanite et le Directorat. En effet, si nous obtenons le soutien des élites locales, qui se sont pour la plupart soumises de manière volontaire à notre autorité, nous pourrions diriger la production de ressources plus facilement, mieux encore, nous pourrions nous assurer une sorte de « soutien populaire » en règle ; car comme tout le monde le sait, « qui s’assure le soutien des élites, s’assure le soutien des bases de la société ». Ainsi, en échange de postes à responsabilité, les bahamanites pourront se montrer bien utiles, comprenez que nous ne pouvons appliquer des lois raciales pour interdire aux locaux d’exercer des responsabilités, en premier lieu car cela ne ferait qu’accroître de potentielles tensions entre nos intérêts et les populations, or, l’objectif est de mêler le besoin naturel de tout homme de s’élever dans la société avec les exportations en direction de l’Antérinie. Dès lors, il faut les impliquer dans notre nouveau modèle de société quitte à appliquer d’anciennes notions de servages pour accroître notre productivité en obtenant le soutien des aristocrates locaux. Et je pense même qu’avoir une sorte de « parlement » réservé aux princes nous permettrait de nous assurer un soutien infaillible venant de leur part, car il commanderait avec nous. Ou sinon, l’argent peut toujours faire des miracles, combien de roitelets bahamanites tentent de singer la magnificence d’Antrania en construisant palais et châteaux ? Combien ? Énormément, et tout ça a un coût certain ! Par conséquent, en échange de financer leur train de vie, ils pourraient changer certaines cultures agricoles, voire même industrialiser en partie leurs territoires…

Voyez-vous messieurs, ces roitelets seront notre principal atout pour entretenir l’économie locale et par extension l’économie impériale. Pour cela, il faut qu’ils puissent écraser l’influence du clergé hindoue local. En effet, ce dernier est attaché à ses privilèges et à ses prérogatives, il convient donc de le remplacer par un clergé plus obéissant et surtout plus désintéressé. Cela nous poussera donc à acculturer les bahamanites et à limiter le pouvoir du clergé local pour le remplacer par des clercs moins influents, et surtout plus conciliants. De cette manière les hobereaux locaux ne pourront que nous soutenir dans nos démarches, vu que nous leur enlevons une épine du pied. Mieux encore, nous pourrions leur échanger des faveurs qui nous coûtent peu (comme des études tout frais payées dans de prestigieuses universités antériniennes) en échange de leur fidélité, nous permettant ainsi de faire rayonner la culture antérinienne et les conditionner de générations en générations afin qu’ils restent les fidèles soutiens du Directorat. Dès lors il apparaît nécessaire de nous attirer le soutien es élites avant d’obtenir le soutien populaire et cela ne se fera qu’avec des politiques pacifiques et diplomatiques qui excluent ad vitam aeternam la violence et la contrainte comme moyens de pression. »

Un exemple d'influence culturelle antérinienne dans un palais d'un aristocrate bahamanite

Ainsi nous découvrons plusieurs choses intéressantes qui sont inhérentes à la colonisation antérinienne, qui est motivée par des raisons économiques assumées, la Religion étant présentée comme un aboutissement bénéfique à la vassalisation et à la soumission directe des princes locaux, tandis que les prétextes racistes et civilisationnels caractéristiques de certains universalistes restent minoritaires. De ce fait, on découvre finalement que l’acculturation qui a touché les bahamanites (que ce soit au niveau linguistique et culturel) au travers de leurs élites et que ces dernières sont tout aussi coupables que les Directeurs en eux-mêmes. En effet, ils collaborèrent activement à la colonisation en échange d’argent, et en détruisant les structures traditionnelles au nom du « progrès » qu’est l’ ‘’antérinianisation’’ de la société, qui les amena à lentement mais sûrement dissoudre les groupes religieux locaux (notamment hindous qui se voyèrent éclipsés par la doctrine chrétienne [plus juste et plus rassurante]) grâce à la pression de l’aristocratie locale qui profita de l’occasion pour se débarrasser d’un contre-pouvoir bien gênant…

D’ailleurs, le Directorat est un régime à part, un mélange entre autoritarisme oligarchique et ‘’conscience démocratique’’ assez particulière. D’un côté le pouvoir exécutif et judiciaire dépends assez largement des Directeurs, nommés à Antrania par les parlementaires et soumis à l’accord populaire au travers d’une sorte plébiscite qui permets à ces derniers de se faire « accepter du peuple » qui n’est qu’une sorte de mascarade, car même si Antrania prend en compte la popularité des Directeurs, ces derniers sont passés maitre dans l’art de se faire passer pour ceux qu’ils ne sont pas et s’attirer de manière immérité un éphémère soutien populaire. De plus, les descendants des maharadjahs, dorénavant Ducs, Barons, Comtes voire Princes, cumulent les responsabilités, que ce soient des postes de « représentants populaires » à l’Assemblée locale, ou membres des conseils d’administration des entreprises bahamanites voire nationales. D’ailleurs, beaucoup maitrisent la presse et ont fait de brillantes études à Antrania. Tandis que le peuple, qu’il soit d’origine antérinienne ou bahamanite, connaît des difficultés de plus en plus marquées pour vivre, entre semi-esclavage (moderne) tandis que les mauvais traitements fantasmés par certains se révélaient être des assez rares et ne concernaient qu’un infime partie de la population (les articles incendiaires de Bernard Fouien étant pour la plupart exagérés).

Pourtant, affirmer que l’Antérinie est à l’origine des maux qui nous accablent est particulièrement faux. D’abord car même sans l’Empire, les roitelets locaux étaient loin de se comporter à la manière des anges ou en souverains éclairés, la plupart des régimes en place étaient des monarchies absolues et beaucoup des princes étaient sourds et insensibles aux traités de philosophies politiques et aux réformes alors en vogue en Eurysie et qui avaient même atteints le Bahama au travers de certains échanges très limités avec certaines puissances commerciales (l’Antérinie, Cartarad et Zélandia ect…). De plus, rappelons-le mais la famille impériale et les Assemblées soutinrent les mouvements contestataires à l’encontre des Directeurs, les mesures fermes prises à leur égard ainsi que le soutien que l’Empereur afficha aux groupes paramilitaires décoloniaux en acceptant d’armer ces derniers est assez révélateurs de pensées humanistes de ce dernier. N’oublions pas non plus a prise de parole du 10 juin 2015 sur l’ancienne U.C.C.N de Louis VI à l’antenne des Nouvelles Antériniennes :

Louis VI d'Antérinie et de Marcine a écrit :« Voyez-vous, je dois agir comme un père pour mes sujets, mes parents, mon père, ma mère agirent de même, et mon grand-père ne dérogea pas à la règle. C’est ici où est la profonde utilité d’un monarque, servir de symbole fort pour une nation, pour un peuple. C’est moi qui dois concilier les intérêts de chacun, c’est moi qui dois permettre aux Antériniens de cohabiter. N’y voyez pas ici des pouvoirs obscurs m’étant dévoyés par les Constitution, non, je suis une figure unificatrice par excellence, sans rois, les guerres civiles sont encore plus impitoyables, sans monarques l’unité populaire, fond plus vite que la neige au soleil, et la bonne entente globale devient peau de chagrin. C’est le concept même du Monarque. Et comme tout monarques, je ne me préoccupe pas tant des antériniens « originels », du peuple d’Antrania, mais aussi et surtout de l’intégralité des Antériniens. Qu’ils soient Marcinois, Scintillanais, Bahamanites, Antraniens ou Luzains.

De cette manière je ne peux permettre à « mes » représentants de faire régner la terreur chez mes sujets, car ces derniers doivent se montrer irréprochables, ce n’est pas une question morale, mais un indispensable politique et législatif. L’équivalent juridique antérinien des Droits de l’Homme interdit de maltraiter son prochain, et cela marche tout aussi bien pour un Directeur qui surexploite (de manière parfaitement illégale) ses administrés que pour un malfrat qui bat un passant dans la rue. Voyez-vous, si j’ai apporté mon soutien aux groupes indépendantistes du Nazum, ce n’est pas tant car je valide leurs programmes, mais plutot car il est nécessaire de rappeler aux Directeurs que l’autorité qu’ils exercent doit bénéficier au peuple et qu’elle doit être validée par l’Autorité au-dessus, c’est à dire le Gouvernement. Or, ils ne se conforment à aucun de ces deux cas, et dès lors la sagesse est de reprendre le contrôle sur leurs abus. »

Du point de vue économique, on ne rappelle pas assez, que malgré un taux de pauvreté bien plus élevé que dans le reste de la Confédération, le Bahama recoit en prallèle le plus d’aides au dévellopement ! Voyez-vous ça ! En effet, sur les 100 milliards de talents d’or destinés à soutenir les territoires en besoin, 50 milliards sont destinés chaque années au Bahama. Mais néanmoins, cet argent connaît une utilisation au mieux inefficace, au pire frauduleuse. En effet, rappelons-le, mais les Directeurs ne sont pas uniquement accusés de crimes contre les populations, mais aussi de délits fiscaux et de détournements de fonds en tout genre. Ainsi de ces 50 milliards annuels venant gonfler les caisses bahamanites, environ 10 milliards (aux dernières estiamations du Commissariat à la Fraude) de talents, soit 10 % des financements confédéraux ! On y ajoute à cela des investissements inutiles ; comme… dans les toilettes publiques (un projet très sérieux qui coûta presque 20 milliards de talents pour remettre à jour les W.C de la voie publique… ) ou encore une semi rénovation des canaux publics qui n’ont concernés que 10 % desdits canaux.

Par conséquent le constat est simple, la Bahama aurait tout les avantages à rester dans la Confédération antérinienne, mais en revanche, elle devra se débarrasser des parasites, des Pierre de la Garde et des Antoine Mahadi. Et pour cela un seul moyen, la manifestation ! Le gouvernement antérinien doit le voir depuis Antrania que rien avance depuis un an, que tout est à faire, et que sans un minimum de soutien, tout pourrait lui retomber dessus, rappelons-le mais l’Union des Gauches fait ses meilleurs scores ici (enfin, plutot ses résultats les moins bas…) et il serait regrettables que Monsieur de la Geauce voit un état confédéral sombrer avec la gauche. Pire encore, il se pourrait que ce dernier, excédé par l’inaction ambiante se détache tout simplement de la Confédération, et qu’un régime bien pire succède au Directorat, qui pourrait avoir des conséquences terribles sur les populations locales, voire sur la géopolitique locale.
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