Création de pays : DYL'MILATH
Généralité :
Nom Officiel : République de Dyl'Milath
Nom courant : Dyl'Milath
Gentilé : Milathien/Milathienne
Inspiration culturelles :Chinoise
Situation géographique :Langue officielle : Dylatimérin
Autres langues reconnues : Mandarin, divers dialectes Nazumis
Drapeau
Devise officielle : “Unité,Courage,Sagesse”
Hymne officiel :Monnaie nationale : Ecu Dylien
Capitale : Dylatime
Population : 43 783 143 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays : - dynamiques territoriales :

Marron clair : Dyl’Milath
Marron foncé : régions montagneuses
Points Noirs : villes
Ligne bleu : Fleuve Zumin
- enjeux : Malgré, depuis les années 80, la modernisation de l'État, le principal enjeu de Dyl’Milath à ce jour reste de construire des infrastructures en nombre et qualité suffisante pour l’ensemble de sa population, et établir des relations commerciales et diplomatiques avec le plus de pays possible.
- Histoire :
Préambule :
Les traces que l’on possède officiellement de l’histoire ancienne (avant 1985) du bassin de Dylime sont très confuses, pour trois raisons différentes. Tout d’abord, l’entièreté des archives ou la quasi-totalité relatant de ces époques ont été détruites lors des changements de régimes successifs, soit par le pouvoir émergent, soit par le pouvoir chutant, ce qui force les historiens à se baser uniquement sur des données archéologiques. Ensuite, l'État actuel de la République de Dyl’Milath censure activement toute allusion à son passé de colonie et sa domination par l’empire Ushong, et tente donc d'empêcher toute fouilles susceptibles de révéler une partie de ce passé. Enfin, l’histoire de cette région est tellement chaotique qu’il est impossible de se baser sur les dires des habitants et les légendes pour mettre au jour un passé crédible et digne de confiance. De plus, aucunes données ne sont disponibles quant à l’histoire des régions annexées par la République de Dyl’Milath. Nous tenterons cependant de dérouler le plus précisément possible cette histoire riche en événements.
Avant 1669 :
Avant 1669, l’histoire de la région de Dyl’Milath est peu connue. Cependant, et ce malgré la censure du gouvernement à ce sujet, des historiens indépendants du gouvernement ont pu établir plus ou moins un historique de la région. Des quelques informations qui nous sont parvenues, on peut dire que la région, avant l’arrivée de l’empire Ushong, était tribal, absolument pas unie et arriérée technologiquement. Suite à la prise de pouvoir, la région reste divisée malgré l’autorité commune impériale, et fermée aux échanges, ce qui n’améliore pas son avancée technologique. Il n’existait aucune espèce de relations sérieuses entre les tribus, et un état de guerre permanente régnait.
La colonisation :
Tout change lors de l’arrivée en 1669 de colons eurysiens (leur origine plus précise est inconnue faute de traces suffisantes) qui débarquèrent par la vallée du fleuve Zumin dans le bassin de Dylime est chassèrent les forces de l’empire Xin, pas encore remis du changement de dynastie en faveur des Xins. Ces colons mirent en place un état faible, qui n’arriva jamais à mater complètement les révoltes, et qui était encore plus affaibli par les incursions constantes des Xins et leur blocus empêchant pendant toute la durée de leur empire le moindre échange entre le bassin de Dylime et le reste du monde. Au niveau technologique, on constate une avancée au début de la colonisation permise par l’apport des technologies eurysiennes, mais par la suite une stagnation à cet état là et un retour au retard technologique du pays.
La décolonisation :
A cause de la faiblesse de l’état, des tensions constantes entre les populations des montagnes avec les forces Xins, des incursions régulières de ces même forces, et enfin d’un désir de liberté bientôt partagé par l’ensemble de la population autochtone, l’inévitable pour tout régime coloniale faible et sans soutien se produisit : les autochtones se lancèrent en 1753 dans une guerre de décolonisation particulièrement violente, où furent détruit toutes les traces officielles de la colonisation et la plupart des technologies apportées par les colons, et qui se termina par le massacre de la totalité des colons et le retour des forces impériales sur le territoire, mais juste pour un temps.
La prise de pouvoir de Kel’Damar :
Suite aux événements de la décolonisation, et juste à temps, la population du bassin de Dylime repousse une fois pour toute les tentatives de prise de pouvoir de l’Empire Xin. Après cela, la région retrouve son état anarchique d’avant les Ushongs pendant plusieurs années, jusqu’à la mise en place en 1792 d’une pseudo république corrompue, oligarchique et faible, qui tiendra le pays pendant près de 23 ans. En 1815, suite à de multiples manœuvres politiques et militaires, un général de l’armée d’origine étrangères incertaines, Kel’Damar, prend le pouvoir au cours d’un coup d'État sanglant et instaure un régime dictatorial cruel et répressif.
Le règne de la famille Damar :
Kel’Damar et ses successeurs établirent une dictature dans le bassin de Dylime, portant le nom de république de Dylime. Le pays adopta une politique des plus étranges, en se concentrant sur le développement de l’armée au dépend de toutes les autres activités, y compris l’agriculture. Le pays ne tarda pas à tomber dans une spirale de la violence, où les policiers, pour subsister, étaient obligés de suivre les ordres des rares agriculteurs restants, qui devinrent vite les gens les plus puissants du pays. De plus, comme le pouvoir maintint la position anti-Xin des colons. Des tensions internes du pays apparurent au tout début du règne de la famille Damar au pouvoir, et ne cessèrent qu'à sa chute.
La chute des Damar :
Les tensions au sein de la République de Dylime atteignirent leur paroxysme en 1975, quand la situation alimentaire devint intenable à la suite de mauvaises récoltes. L’inaction du gouvernement devenant manifeste, l’année d’après, des révoltes se déclanchèrent dans tout le pays et menèrent à une guerre civile. En 1985, au terme de 2 ans de guerre contre le régime, 3 ans d’anarchie et 5 ans de guerre civile, un régime démocratique nommé 1er République de Dyl’Milath fut instauré.
La première république de Dyl’Milath :
Après ces événements, le pays, qui avait accumulé un retard technologique et économique considérable, tenta tant bien que mal de devenir une puissance prospère. Le gouvernement mit en place des grands travaux de “modernisation”, qui comble en partie le retard du pays, et développa le commerce avec les pays extérieurs en profitant de l’indépendance de la Ramchourie et du retrait de l’empire Xin de ses frontières. Cependant, la région étant pauvre en matière premières, elle était forcée d’accepter des contrats défavorables avec des pays étrangers et des grandes multinationales pour relancer son économie. De plus, très vite, des problèmes liés à l’absence d’accès à la mer et de manque de ressources se fire sentir. Le gouvernement lança en 1991 une guerre d’expansion dans la région de Vel’ny (plus précisément dans la vallée fertile du fleuve Zumin), et dans la région riche en matière première au nord de Vel’Har. Malgré le succès de cette guerre, et l’intégration durable des régions sus-mentionnées dans la république de Dyl’Milath, la guerre affaiblit le gouvernement au point que celui-ci tomba et fut remplacé par la deuxième république de Dyl’Milath, le régime actuellement en place.
La deuxième république de Dyl’Milath :
En 1996, après la mise en place de la deuxième république de Dyl’Milath, le pays s’était stabilisé. Il put donc, malgré le scepticisme aux relations internationales de la population, devenir le pays plus ou moins prospère qui est encore en place à ce jour.
Mentalité de la population :La population de Dyl’Milath est plutôt homogène, mais on distingue néanmoins deux groupes. Tout d’abord, les habitants du bassin de Dylime (région de Dyl’Milath) sont fiers et persuadés de leur supériorité grâce à leur démocratie éclairée. Cependant, ils ont tous en commun la peur de sombrer encore une fois dans l’anarchie, comme cela c’est produit plusieurs fois dans leur histoire. De plus, à cause de leur passé de colonie et de rumeurs déclarant que le dictateur Kel’Damar viendrait d’un pays étranger, les habitants de Dyl’Milath redoutent que d’autres pays convoitent leurs terres, et c’est pour cette raison que le pays, lors de sa modernisation a partir de 2004, est construit et aménagé avec attention pour pouvoir être défendu facilement contre une armée ennemie. Ensuite, les habitants de la vallée du Zumin, un territoire conquis par la force entre 1991 et 1998, ont une peur panique de la présence de soldats, et plus généralement de tout ce qui se rapporte à la guerre sur leur territoire. De plus, ils craignent la plupart des actions du gouvernement Dylamien les concernant.
De manière générale, le peuple Milathien est ouvert aux alliances, mais cependant belliqueux, agressif et militariste.
Place de la religion au sein de l'État :Dans la république de Dyl’Milath, la religion est perçue par les habitants comme une perte de temps et un signe de folie. Même si elle est acceptée, la religion en générale est perçue comme une faiblesse, et le citoyen moyen de Dyl’Milath évitera soigneusement toute action qui peut faire penser qu’il pratique une religion, de peur de voir sa réputation entachée.
Politique et institutions :
Institutions politiques : La république de Dyl’Milath est une démocratie représentative. Cette démocratie respecte le principe de la séparation des pouvoirs.
⇒ Le pouvoir exécutif est assuré par le “ Conseil Suprême “, un conseil composé de cinq “Consuls”, élus au suffrage censitaire tous les cinq ans. Leur rôle est d’assurer la stabilité de l’état, de mener la politique étrangère et d’orienter la politique du gouvernement en fonction de la situation actuelle via des édits (textes non discutables à application immédiate, ils ont pour but de réagir rapidement en cas de problèmes, ex: interdiction de se rendre dans une forêt car risque d'incendie ou obligation à une usine de cesser son activité car pollution. Cependant, une plainte peut être déposé par un individu, une organisation ou une entreprise, après ou pendant la durée d'application de l'édit, qui peut mener à une enquête sur la légitimité de celui-ci) ou des décrets (sorte de lois soumises au vote, à durée limités, qui visent à faire face à une situation précise, mais en anticipant). De plus, le conseil suprême est secondé par différents bureaux, chacun composé de trois politiciens spécialisés dans un domaine et cinq experts du même domaine. Ils ont le pouvoir de faire des réformes et de gérer le domaine qui leur est attribué, et chaque bureau est associé à un ministère, qui l'aide dans son travail. Il existe bureaux :
- Le bureau de l'économie, chargé de la gestion des finances, de la fiscalité de l'État, et du respect des législations budgétaires en vigueur. Il est aussi chargé de la gestion de l’emploi.
- Le bureau de la défense, chargé de la gestion de l'armée, des relations militaires avec les autres pays, du contrôle des frontières, et des forces de l'ordre.
- Le bureau de l'éducation, chargé de la gestion des systèmes éducatifs, de la petite enfance aux études supérieurs, et de l'encadrement de la jeunesse.
- Le bureau de la santé chargé de la santé et du bien être des citoyens.
- Le bureau de la culture chargé des activités culturelles et sportives à l'échelle nationale.
- Le bureau de la production, chargé du contrôle de la production primaire et secondaire et de la gestion des échanges marchands dans tout le pays.
- Le bureau des affaires étrangères, chargé du dialogue avec les organisations internationales et les gouvernements étrangers.
⇒ Le pouvoir législatif est lui assuré par un parlement nommé “Assemblée des Représentants”. Sa fonction est de voter l’application ou non des lois et des décrets. L’assemblée des représentants est composés de cent-soixante représentant élus au suffrage censitaire tous les 8 ans par les électeurs (dix par province), qui doivent justifier d’un brevet d'éligibilité, quarante représentants nommés par le peuple tout les ans (tous les citoyens de plus de 18 ans ne pouvant pas justifier du brevet d'électorat), et enfin cent spécialistes de différents domaines, validés par l’Institut National du Savoir Politique. Ce parlement est divisé en deux chambres : la chambre des représentants qui regroupe les deux cent représentants élus, et la chambre des érudit, qui regroupe les cents spécialistes. Lors du vote des lois, la chambre des érudits peut soit refuser la loi, si la majorité est contre, et dans ce cas elle sera soumise au vote de la chambre des représentants qui pourront la faire passer de force s’ils rassemblent 80% de voix pour, ou l’accepter, si la majorité est pour, auquel cas la loi sera soumis à la chambre des représentants, qui pourra la valider si la majorité est pour. Cependant, si 80% des spécialistes de la chambre des érudits se prononcent contre une loi, celle-ci ne peut pas être présentée à la chambre des représentants.N’importe quel citoyen justifiant du brevet d’aptitude à la vie active peut soumettre un projet de loi à la chambre des érudits. Cependant, si le citoyen ne possède pas de brevet d’éligibilité, le projet de loi devra passer devant le bureau de réception des lois, qui pourra le valider ou le rejeter.
⇒ Le pouvoir judiciaire est assuré par l’ensemble des juges de l'État. Il est important de noter que les juges, et l’Institut Pénal, qui a la responsabilité de les former, ne peuvent en aucun cas être contrôlés ou recevoir un quelconque ordre de la part d’un autre organisme du gouvernement.
De plus, voici quelques notions citoyennes propres à l’état de la république de Dyl’Milath.
- citoyen: personne de plus de 18 ans et qui peut justifier du brevet d’aptitude à la vie active (équivalent du BAC).
- brevet d’électorat: brevet prouvant l’aptitude de son(sa) détenteur(trice) à exprimer des choix politiques pertinents et à posséder et utiliser une culture générale développée. Attention, il est faux de penser que ce brevet est réservé aux plus riches, car l'État tient tout particulièrement à ce que le plus de citoyens possibles aient accès à la possibilité de s’exprimer sur la scène politique que représente le vote.
- peuple: ensemble des citoyens qui ne possèdent pas le brevet d’électorat. Ils sont représentés par quarantes représentants à la chambre des représentants
- brevet d’éligibilité: brevet prouvant l’aptitude de son(sa) détenteur(trice) à exercer des fonctions politiques grâce à sa raison et à ses choix pertinents et objectifs.
Principaux personnages : 
Le conseil suprême de la République de Dyl’Milath, composé des cinq consul, dont les noms resteront secrets pour préserver leur sécurité et leur intimité.
Politique internationale : Le gouverenement de Dyl'Milath adopte, en matière de politique international, les principes du libéralisme. Il par du principe qu'un allié commercial et/ou diplomatique est toujours un potentiel ennemi de moins, et a donc pour principe de favoriser l'échange et les relations avec les autres pays. Notez que cette attitude est en partie lié au passé du pays, qui resta quasiment complètement fermé aux relations internationales pendant près de trois siècles. Cependant, le point de vue du gouvernement diverge légèrement de la théorie libérale vers la théorie réaliste dans le sens où celui-ci à pour reflexe de considérer tout non-allié comme ennemi potentiel, et se prépare à toute les éventualités commerciales et militaires, notamment en constituant des stockes outrageusement gros de denrées en tout genre, où en construisant en aménageant le pays dans le but principal de le rendre apte à être le terrain d'une guerrilla défensive sans merci(la principale tactique défensive de l'armée).