République Impériale Rynaxienne
Nom courant :
Empire Rynaxien
Gentilé :
Rynaxien, Rynaxienne
Inspirations culturelles :
France, Maroc, Allemagne
Situation géographique :
Français
Autres langues reconnues :
Allemand, Trifazique, Berbère
Drapeau :

Devise officielle :
Force, Espoirs, Respect
Hymne officiel :
Monnaie nationale :
Ryx, Rynez
Capitale :
L'Empire Rynaxien a deux grandes villes, la plus importante est Rynaxia Nazarick et la seconde est Nazarick créé par l'ancien second de Rynax, Adrien, qui a tourner le dos a Rynax après la Guerre civile.
Rynaxia abrite le Conseil des Ministres et toutes les autres grandes institutions administratifs de l’Empire Rynaxien.
Nazarick quant à elle, abrite touts les chefs d'États Majors, les Grands Généraux et l'Élite du monde militaro-industriel, elle est aussi la capitale économique puisque le ministère de l'économie et des finance y est basée, c'est aussi le plus grand pôle de compétitivité du pays, il y a aussi l'Assemblée Populaire Rynaxienne. Elle est situer dans les territoires sous la juridiction du Generalgouvernement.
Population :
L'Empire est peuplé par 54 millions de personnes, 15 millions de germanophone et de francophone, 9 millions de musulmans multiethniques à majorité Berbère et 30 millions de natifs.
Présentation du pays :
0-1492 – Période précoloniale
Avant toute colonisation, le territoire d’Asfalte était divisé entre quatre grandes tribus qui structuraient l’espace politique et culturel local : la tribu des Pachats, celle des Clemaria, celle des Rokgzak, et enfin celle des Tozz. Ces quatre entités coexistaient tant bien que mal, partageant une langue commune appelée le Trifazique. Cette langue unique à la région permettait une intercompréhension malgré des différences notables dans le vocabulaire et les intonations entre chaque tribu.
Les relations entre ces quatre peuples étaient marquées par une instabilité chronique. Il n’était pas rare que les alliances soient conclues puis rompues dans un même cycle lunaire. Les guerres, souvent motivées par des revendications territoriales ou des questions de prestige, éclataient régulièrement. Toutefois, une forme de pragmatisme tribal s’instaurait : chaque tribu savait qu’une guerre totale pouvait entraîner l’anéantissement d’une d’entre elles. Ainsi, en cas de conflit trop asymétrique, les tribus restantes s’unissaient contre l’agresseur afin de maintenir un semblant d’équilibre régional.
La tribu Tozz, plus expansionniste et militarisée que les autres, devint rapidement le facteur principal de déstabilisation. Elle s’illustra par de nombreuses campagnes violentes, s’attirant l’animosité des autres groupes qui tentèrent, sans succès, de contenir leur ascension. Les Tozz rêvaient d’unifier les tribus sous leur bannière, au prix de la guerre et de la domination culturelle.
1573 – Arrivée des Eurysiens Protestants :
En 1573, un événement majeur bouleversa l’équilibre fragile d’Asfalte. Des colons protestants eurysiens, principalement germains et francs, fuyant les persécutions religieuses dans leurs pays d’origine, débarquèrent sur les côtes septentrionales d’Asfalte. Ces hommes et femmes, aguerris, disciplinés et désespérés, virent dans cette terre une opportunité de recommencer à zéro.
Très vite, ils établirent des contacts avec la tribu Tozz, la plus agressive, qui accepta de s’allier avec eux. En échange d’un soutien militaire et logistique, les Tozz cédèrent aux Eurysiens tous les territoires bordant la mer d’Asfalte. Les Eurysiens bâtirent rapidement des avant-postes, installèrent des églises et importèrent leurs structures militaires. Cette alliance était pour les Eurysiens une tactique provisoire. Pour les Tozz, elle représentait une chance historique de soumettre les autres tribus.
1575-1601 – Grande Guerre d’unification :
Durant 26 longues années, les Tozz, soutenus par l’ingénierie militaire des Eurysiens, menèrent une guerre totale contre les trois autres tribus. Le conflit, brutal et sans pitié, fit environ 15 000 morts, un chiffre colossal pour l’époque. Les villages furent rasés, les temples détruits, les traditions anéanties. Finalement, les trois autres tribus furent éradiquées, leur culture effacée, leurs membres dispersés ou asservis.
Mais les Eurysiens avaient prévu de trahir leurs alliés. Les Tozz, affaiblis par les années de guerre, se replièrent sur leurs terres. C’est alors que les Eurysiens déclenchèrent l’opération "Volk und Terror".
1602 – Opération Volk und Terror :
Les chefs protestants, réunis en conclave, décidèrent d’en finir avec les Tozz. Ils lancèrent une attaque éclair contre la chefferie principale. Le palais tribal, mal gardé, fut pris d’assaut. Tous les hauts dignitaires Tozz, y compris le chef suprême, furent exécutés dans un bain de sang. Les rares survivants furent réduits à l’esclavage ou contraints à l’exil. Dès lors, les Eurysiens proclamèrent leur domination totale sur Asfalte.
1602-1700 – Période de la Création :
L’Empire Protestant d’Eurysie déclara Asfalte comme colonie officielle. La ville de Nazarick fut fondée, conçue pour devenir le centre administratif et logistique de la région. Cependant, la résistance des Tozz fut farouche. Ne souhaitant ni collaborer ni se soumettre, ils sabotèrent les efforts de développement. La métropole décida alors d’imposer le travail forcé. Des garnisons furent envoyées pour briser la résistance. La pénurie de main-d’œuvre indigène poussa les autorités coloniales à importer massivement des esclaves, notamment berbères et arabes, reconnus pour leur endurance et leur robustesse. Les fondations économiques de la colonie reposaient sur la souffrance de ces populations. La production d’épices, de bois précieux et de minerais rares fit la fortune de la métropole. De nombreux colons affluèrent, transformant la région côtière en une mosaïque de domaines privés, de plantations et de quartiers protestants fortifiés.
En 1692, un décret impérial créa le "Gouvernement Général Protestant d’Outre-Mer" (GGPO), qui regroupait les colonies eurysiennes en un bloc administratif unique. L’Asfalte était la plus rentable, mais aussi la plus instable. Pour stabiliser la région, une politique de conversion forcée fut imposée : les autochtones durent apprendre le Tréfonien (ancêtre du français moderne impérial), adopter les noms eurysiens et prêter serment à la Métropole. Ceux qui refusaient étaient soit exilés, soit réduits à l’état de serfs coloniaux. Cette période sombre vit la construction de grandes églises réformées, la destruction des anciens temples indigènes, et la rédaction des premiers catéchismes en Trifazique simplifié pour la conversion des masses.
1700-1844 – Âge de Gone et domination suprémaciste
Ce fut au tout début du XVIIIe siècle que naquit, sous l’impulsion de gouverneurs fanatiques et de missionnaires dogmatiques, l’idée d’un projet civilisateur total : Gone. Gone ne désignait pas seulement une ville, mais un concept, une utopie colonialiste. La cité de Gone fut fondée en 1702 au cœur d’Asfalte (aujourd'hui appeler Naheland-Stadt), conçue comme une capitale idéale du monde réformé. Entièrement bâtie selon les plans géométriques des dogmes protestants, elle concentrait les administrations coloniales, les séminaires théologiques, les centres de rééducation culturelle et les académies militaires. Elle incarnait la prétention de la Métropole à dominer non seulement les corps mais aussi les esprits.
C’est dans ce contexte qu’émergea le projet Albédo, une doctrine totalitaire visant à blanchir symboliquement — et parfois littéralement — les indigènes. Il s’agissait d’un vaste programme de transformation raciale, culturelle et spirituelle, reposant sur l’éradication des identités autochtones. Des écoles de conversion furent ouvertes, où les enfants natifs étaient arrachés à leurs familles pour être éduqués selon les préceptes de la suprématie protestante. Des lois imposèrent l’usage exclusif du Tréfonien, interdirent les rituels trifaziques et criminalisèrent toute forme de mémoire historique indigène.
Dans cette époque marquée par la terreur culturelle, se distinguèrent plusieurs figures sinistres : le Gouverneur-General Heindrich Thorn, auteur du "Manifeste de la Pureté Asfaltique", le prédicateur Ezra Löwe, qui prêchait la damnation des sangs impurs, et le Juge Hans-Bernhardt Kröll, fondateur du Tribunal de Conversion Publique. Face à eux, une résistance s’organisait dans l’ombre. Un prophète indigène, connu sous le nom de Tazäl le Rouge, parvint à fédérer plusieurs clans survivants dans une guérilla mystique, mêlant anciens rites et sabotage logistique. On lui attribue l’"Évangile des Cendres", un texte sacré clandestin appelant à la renaissance du feu ancestral.
L’Âge de Gone fut donc une période de rayonnement pour la caste coloniale, mais aussi de terreur institutionnalisée pour les natifs. Le projet Albédo ne fut jamais pleinement accompli, mais il laissa des traces indélébiles dans les structures mentales et sociales d’Asfalte. C’est sur ces ruines que naîtra plus tard l’idée d’un Empire Rynaxien.
1844-1902 – Période parlementaire dirigée et émergence de l’élite indigène docile
La mort de Gone en 1844 ne signifia nullement la fin de l’oppression impériale, mais son adaptation stratégique. L’administration eurysienne, consciente que la brutalité frontale du modèle albédiste ne pouvait durer sans provoquer une insurrection généralisée, décida de remplacer l’autoritarisme nu par un autoritarisme camouflé : celui de la “parlementarisation dirigée”.
En 1851, à l’initiative du Chancelier impérial Dietrich van Elstern, un Parlement colonial de Nazarick fut institué. Cet organe, qualifié de « consultatif à souveraineté déléguée », servait en réalité à valider les volontés métropolitaines sous couvert de représentativité locale. Il n’était ouvert qu’à une minorité infime d’indigènes, triés sur le volet, issus d’un vivier de familles loyalistes éduquées dans les établissements impériaux — souvent chrétiens convertis ou islamisés de longue date.
Ce système créa une élite indigène docile, qualifiée d’« impériaux de couleur » par les pamphlets clandestins. Ces derniers furent intégrés dans l’administration basse et moyenne, en échange d’un renoncement explicite à toute revendication identitaire. Leur rôle était double : légitimer le régime aux yeux des colonisés, et servir d’intermédiaires entre la population autochtone et les gouverneurs militaires.
Plusieurs figures ambivalentes émergèrent :
El-Khadir Mezouar, fils d’un ancien chef tribal rééduqué dans un internat impérial, devenu député colonial — souvent cité pour son célèbre discours de 1859 dans lequel il affirma : « Nous sommes des enfants de l’Empire, il n’y a de liberté que dans l’imitation. »
Lalla Sanhâna, mystique berbère restée fidèle aux traditions ancestrales, qui refusa toute collaboration et devint une figure de culte clandestin dans les montagnes, où ses poèmes, codés en trifazique ancien, circulaient comme textes de résistance spirituelle.
Gouverneur Joseph Frick, protestant modéré nommé en 1873, tenta d’introduire un embryon de justice locale, mais fut rappelé trois ans plus tard pour « tolérance dangereuse envers l’indigénat ».
En 1863, le fameux Code de Confiance fut promulgué : il stipulait que tout indigène pouvait obtenir un statut de « citoyen impérial intégré » à condition de prouver son obéissance, sa conversion culturelle (notamment linguistique), et son adhésion aux « valeurs rationalistes ». Ce processus sélectif, humiliant et profondément racialisé, permit la création d’une caste administrative indigène déracinée, surnommée par les métropolitains eux-mêmes les rénoncés.
Cette période vit également la généralisation du vote censitaire racialisé : seuls les colons eurysiens et les indigènes certifiés « conformes » pouvaient voter aux conseils locaux. Le reste de la population demeurait sous administration militaire, particulièrement dans les zones rurales ou les terres de l’intérieur.
Sur le plan symbolique, une série de fêtes impériales furent imposées à toutes les populations, remplaçant les anciens rites saisonniers. Les protestations discrètes prenaient alors des formes multiples : refus de célébrer, silence cérémonial, port de vêtements traditionnels lors des jours de fête coloniale — autant d’actes considérés comme des délits d’« incivilité passive ».
Enfin, en 1888, l’Accord de Dôme, fruit d’une conférence inter-impériale tenue en Rynaxia, officialisa l’Asfalte comme territoire « prioritaire à développement restreint ». Il fut alors décidé de créer un embryon de Conseil Suprême colonial, présidé par des représentants impériaux, mais intégrant quelques notables indigènes. Cette mesure, présentée comme un pas vers l’autonomie, visait surtout à encadrer les ambitions naissantes de la bourgeoisie indigène et à créer une classe tampon.
La période se clôt en 1902, sur fond de tensions croissantes entre colons conservateurs, bureaucrates impériaux progressistes, et élites locales en quête de reconnaissance. La République impériale n’était pas encore née, mais ses mécanismes de contrôle, de cooptation et de théâtralisation politique étaient déjà pleinement en place.
1902–2000 – Restauration monarchique, guerre civile et fondation de l’Empire moderne
En 1902, à la suite de la crise institutionnelle provoquée par l’assassinat du Gouverneur-Général d’Asfalte, l’Empire choisit de mettre fin à l’expérience parlementaire coloniale en instaurant une monarchie administrative centralisée sur le territoire : la dynastie Vaisself. Cette maison impériale, d’origine noble eurysienne mais convertie au protestantisme radical, fut installée à Nazarick avec le soutien direct de la Cour impériale de Rynaxia.
Sous les Vaisself, le territoire d’Asfalte devient un royaume vassal, à la fois laboratoire idéologique et base arrière stratégique pour les ambitions eurysiennes. La monarchie restaure le pouvoir absolu, dissout les assemblées locales, interdit les publications indigènes et impose une politique de pureté culturelle par l’école, la censure et la propagande.
Mais rapidement, les tensions s’exacerbent. Les soulèvements indigènes de 1927, 1939 et surtout 1955, menés par des factions socialistes, berbéristes ou nationalistes, prennent de l’ampleur. L’armée coloniale perd progressivement le contrôle du territoire intérieur, forçant les Vaisself à créer une milice privée, les Safterniche, célèbre pour ses atrocités.
La situation dégénère en guerre civile ouverte en 1971, lorsque plusieurs provinces proclament leur autonomie dans un manifeste commun : le Serment de l’Azérélizia. La guerre dure près de vingt ans, ravageant l’intérieur du pays. En 1998, l’intervention militaire de l’Empire met fin au conflit, au prix de lourdes pertes humaines.
Un jeune officier berbère, Marwan Nino Abarrou qui est appeler Rynax pour ces idée d'uniter entre les peuples, se distingue par sa stratégie, son charisme et sa capacité à rallier une alliance improbable entre factions rebelles et forces impériales loyalistes. Il négocie un cessez-le-feu global, organise une conférence de paix, puis proclame, avec l’appui des institutions impériales, la fondation de la République Impériale Rynaxienne en l’an 2000.
Ainsi naît l’Empire moderne, dirigé par un Empereur constitutionnel élu par cooptation, héritier de l’ordre ancien mais porteur d’un projet de réforme partielle, de pacification autoritaire et de grandeur retrouvée. Le passé colonial est enseveli sous les mythes impériaux, mais ses cicatrices demeurent bien visibles dans les structures politiques, les fractures sociales et les luttes identitaires de l’Empire contemporain.
Mentalité de la population :
La population d’Asfalte a vécu dans la peur et le trouble depuis longtemps elle souhaites la paix et la prospérité ce qu’a promis Rynax au peuple, mais il existe tout de même une partie de la population qui est écarter, marginaliser ce sont les peuples autochtones.
Place de la religion au sein de l'État :
l'Empire est un État laïque du a son cosmopolitisme religieux et ethnique.
Institutions politiques :





L’AN a pour mission de protéger la Nation, tandis que le CI assure la garde de l’Empereur et la sécurité de l’Empire.

Principaux personnages :
Rynax de sont vrai nom Marwan Nino Abarrou Empereur

Mathys le Roux Haut Ministre de la Couronne
M. Le Roux est le Directeur général du corps impérial qui a pour mission de protéger l'empereur, il est aussi Haut Ministre de la Couronne titre honorifique au gouvernement qui lui assure une place permanente au sein du conseil des ministres, il est l'expression la plus pure de l'idée impériale au sein de celui-ci surtout dans le gouvernement FEB.
Clément Bernet Premier Ministre
Président de la Nouvelle Solidarité Populaire membre de la coalition nationale de gauche, la NSP est un parti de gauche sociale-démocrate loin des idées du parti d'opposition d'Adrien mais c'est rapprocher de lui pour former un grand bloque d'opposition et a été nommé Premier ministre dans une situation de majorité relative du parti impériale qui connaît le soutien du FPR PJM et du parti islamique, il est donc le chef d'un gouvernement transpartisan appelé gouvernement FEB (Feo-Bernet)
Alan Volk Haut Commissaire (des) TESRIAN* *Technologies, de l'Enseignement Supérieur, du Renseignement Informatique et de l'Armée Numérique
Ancien directeur de la prison où était détenu l'héritier de la famille Vaisself, il a participé à son assassinat. Homme d'informatique et de renseignements il lui est offert un organe gouvernemental nommé haut commissariat TESRIAN qui regroupe le ministère de la technologie, de l'enseignement supérieur, du corps d'armée de l'armée numérique et du renseignement informatique.
Salomé Marchand La Chancelière du Kaiserreich
Femme libérale appelée la mère du peuple figure principale de l'opposition à l'absolutisme de l'empereur elle détient le pouvoir de temporairement destituer ce dernier et Opposer un veto aux lois édicter par l'Empereur.
Alex Bouffasia Chef d'État-Major des Armées
Chef d’état-major des armées, représentant de l’armée nationale, première force armée du pays. Il est en concurrence avec le Directeur général du Corps impérial, Mathys Le Roux, fidèle de Rynax, qui s’est toujours battu à ses côtés.
Adrien Feo Prince Président et Président du Premier partie d'opposition ''Partie d'Adrien''
Homme de carrure et de prestance qui est dans ses premières heures étais le fidèle bras droit de l'empereur après la guerre civile il prend une autre tournure influencé par sa femme qui deviendra sa seconde ministre Jessy Chabbert, il décide de représenter l'opposition, une opposition de gauche controverser qui aimerait l'installation d'une république pure sans empire.
Politique internationale :
Rynax n’est pas un personnage belliqueux qui souhaite crée un Empire hégémonique, il préfère de loin la coopération internationale, l'Empire a pour future projet de crée une entente continentale, confie le Premier Ministre Clément aux partisans Rynaxien.
Vive la Constitution et Vive l'Empire !