24/09/2017
22:22:09
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Activités étrangères au Morzanov

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Activités étrangères au Morzanov

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants au Morzanov. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur du Morzanov, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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Action : Réponse à ce poste.

« — Capitaine, Capitaine !

— Hmm ?

— Nous approchons des côtes Transblêmes. Ne devrions-nous pas faire demi-tour ?

— Comment ça les côtes Transblêmes !? Notre destination n'est-elle pas le Morzanov ???

— Si, Capitaine. Mais le Morzanov est au Nord de la Transblêmie.

— Donc, si j'ai bien compris, vous êtes en train de me dire que l'on doit faire demi-tour et repasser par la benne à ordures qui sert de détroit au Drovolski ?
Le Capitaine, qui a passé son diplôme d'Administrateur comme tous Tanskiens, commence à perdre patience de ce changement de dernière minute ne figurant pas dans son manuel pré-imprimé.

— Non, Capitaine. Le Morzanov est au Nord de la Transblêmie, mais dans les terres. . . »


Effet : Le transfert d'armement ne peut se faire en raison de l'enclavement du Morzanov alors que Tanska le livre par voie maritime.
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https://i.pinimg.com/1200x/62/7d/90/627d908ac02faa89f0ced551b2400d8f.jpg

Un étrange document a été retrouvé dans un sanctuaire abandonné près de Yekaterinbourg, calligraphié au charbon sur un vélin tacheté d’humidité.

Ils sont passés sans bruit par les forêts cendrées,
Là où les ombres lèchent les pas,
Là où les cloches ne sonnent plus,
Car les cordes furent tranchées.

Ils ont cousu des yeux dans la laine des moutons,
Ils ont soufflé dans les silos des grains brûlés.
Les chiens fuient leur propre aboiement,
Et les prêtres rêvent de sel.

Un vent noir roule sur le Morzanov.
Il ne hurle pas,
Il chuchote des noms
que personne ne devrait connaître.

𓎲𓎲




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L'Auguste César Jésus-Christ n'aime vraiment, mais alors vraiment pas le communisme !

L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Que toute la terre se taise, car voici que parle le Verbe Vivant.

L'Auguste César Jésus-Christ, Lui-Même !


Il vous parle non depuis les bibliothèques mortes ni depuis les tribunes des lâches, mais depuis la fournaise du jugement, car voici que la Sainte Parole sort de la bouche enflammée de Celui qui a porté la Croix et brisé les chaînes de la décadente Listonie impériale !

Car le Fils de Dieu regarde la terre, et Son regard se pose sur la Confédération Socialiste, sur la Barvynie, sur le Morzanov, sur l'Ouaine !

... Et ce qu’Il y voit est une abomination ! Le royaume de la chimère communiste sur Terre ! L'ennemi de l'Humanité purifiée fait gouvernement !

Ecoutez, vous, mes Enfants, les Fils et Filles de la Flamme Sacrée, car Il a écrit, et il vous le lit :

"Le communisme :
Une maison bâtie sur le vol,
un trône coulé dans la haine,
une langue qui promet l’égalité mais murmure la déchéance."

Et Il ajoute, ce matin-même :

"La Confédération se dit sœur de la paix — mais elle rêve de conquête.
Elle parle d’un peuple — mais en fait des esclaves.
Elle prétend tout donner — mais elle prend tout.
Et le plus terrible, c’est qu’elle ose le faire au nom du Bien."

Ô vous, habitants de cette Babylone repeinte aux couleurs du sang des gens normaux, Il vous parle. Entendez la vérité que les prophètes ont hurlée depuis les toits :

"Le socialisme qui nie la liberté est un feu qui ne chauffe pas, mais qui consume sans purifier.
Le communisme qui nie sa race est un lance-flammes qui pétarade à vide.
Et la fraternité sans Dieu est une trahison du cœur de l'homme blanc."

Le Fils de Dieu — Lui, que vous avez tenté d’enchaîner à vos idéologies mortes — n’est pas le compagnon de vos commissaires politiques. Il ne siège pas dans vos congrès ni dans vos bureaux opaques. Il ne distribue pas le pain en ration : Il le multiplie. Et Il ne fait pas marcher les peuples à la baguette : Il les appelle, un par un, par leur nom.

Mais vous, ô Confédération maudite, vous avez remplacé le nom par un numéro.
Vous avez remplacé la croix par le drapeau rouge.
Vous avez remplacé la grâce par la surveillance.
Et votre justice n’est qu’une tyrannie dont les chaînes sont peintes en rouge et or.

Le Fils de Dieu vous vomit !

Comme ça !

- Peuh ! Peuh ! Pouark ! -

Vous avez rasé les églises pour y mettre vos statues.
Vous avez pendu les prophètes pour y placer vos bureaucrates.
Vous avez promis la paix — et vous n’avez semé que la ruine.
Car vous êtes communistes, menteurs, ingrats, et traîtres au pacte sacré de la fraternité blanche.

Et Il sait ce qui viendra, car Il l'a écrit dans Son livre :

"Le feu du ciel viendra,
et il ne fera pas de tri entre les secrétaires-généraux et les ouvriers des usines à chaussettes.
Il tombera comme la pluie sur Sodome,
et les cendres de vos manifestes se mêleront à la poussière de vos épiceries de quartier effondrées."

Et l'Auguste César Jésus-Christ, Lui-Même, qui parle Vrai, ajoute :

Vous n’êtes pas des Hommes. Vous êtes des Nazumis.
Vous n’êtes pas des Sauveurs. Vous êtes des Communistes.
Et votre fin sera comme votre commencement : dans le Feu Sacré du Kérosène et le Mensonge Socialiste !

Mais qu’on ne dise pas que le Fils de Dieu n’a pas averti. Car Il a parlé, et Sa parole est plus tranchante que la Tronçonneuse, plus brûlante que le Napalm, plus pure que la Vérité même !

À ceux qui l’écoutent, l'Auguste César Jésus-Christ dit :
Sortez de cette Confédération maudite !
Fuyez-la comme on fuit un feu de forêt provoqué par accident !
Ne pactisez pas avec elle, ne lui vendez pas vos biens, vos âmes, vos enfants, et surtout pas vos Lograno-Coins ou vos tickets de loterie !
Conspuez-la, car elle n’a qu’un seul avenir : la damnation éternelle qu’elle a elle-même allumée.

Mort à la Confédération Socialiste !

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
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Allocution du ministère de l’information du Tsarat de Khardaz
Bonjour à toutes et à tous,

Quelle ne fut la surprise du ministère de l’information et même du gouvernement entier du Tsarat de Khardaz, d’apprendre de la part d’un vulgaire journaliste morznik, l’histoire de la guerre civile entièrement réinventé.


Nous allons remettre les points sur les I et les barres sur les T pour ces "informations", si l’on estime que ce soit du vrai journalisme; à chacun sa version de la définition.

En premier lieu, vous bafouez le nom des 639 martyrs de la guerre civile. Ces 639 héros que vous nommé comme de simples "nostalgiques". Cette information est entièrement débile et ne mériterait même pas d’être argumentée, mais nous le ferons quand même car quitte à devoir prendre du temps pour vous répondre, autant le faire dans son intégralité.

Premièrement, la Yashosie n’a jamais connu de Tsarat dans son histoire ; elle a été fondée en 1534 par des moines chevaliers qui se sont exilés pour former un royaume consacré au seigneur et à la religion orthodoxe.
Secondement, pensez vous sérieusement que 53 ans de guerre pourra avoir comme pilier 639 "nostalgique" ?Réfléchissez un petit peu. L’école communiste ne vous a t’elle pas appris à le faire ?

En parlant d’école et de communisme, vous avez annoncé, je cite, "L'alphabétisation progresse rapidement" et avez osé dire que le communisme avait apporté une modernisation au pays. Foutaise! Le régime n’a apporté que de vieux bâtiments bétonnés, immondes et déprimants. C’est ce que vous osez appeler de la modernité ? Je n’ose pas imaginer l’état de votre misérable pays qu’est le Morzanov. Le régime a aussi apporté une pauvreté et un taux de chômage immenses. Et c’est toujours ce que vous osez défendre ?

Parlons maintenant du gouvernement de la République Socialiste de Yashosie que vous nommez "légitime" et "élu". Quelle honte! Vous avez même osé réinventer l’histoire de la révolution de 1939 en affirmant qu’elle était menée par des intellectuels socialistes. Si l’histoire vous était un minimum connu, vous sauriez que le second point de la révolution était contre le socialisme. De plus, la tête de la révolution n’était que des lâches socialistes cachés ! Ils ont attendu la fin de la révolution, l’affaiblissement du peuple et du pays pour faire leur coup d’état. Et c’est ce gouvernement que vous appelez "élu" et "légitime" ?

Vous accusez aussi l’armée révolutionnaire Khardaz de cruauté et de violence inhumaines, avec des bombardements sur des bâtiments civils et des kamikazes dans l’armée. Cependant, les tirs de missiles effectués en 2011 ont touché des bases militaires, des bâtiments logistiques, diplomatiques ou politiques et non des bâtiments civils. Ainsi, le nombre de 3 600 civils morts que vous avez donné est faux. Avec les connaissances actuelles, les bombardements auraient fait 1 200 morts, dont une grande majorité de soldats.

Pour ce qui est des kamikazes, ils ne sont pas de l’armée Khardaz mais d’une milice militaire avec laquelle nous avons un contrat. Ce simple contrat les autorise à éliminer toutes les menaces; la manière dont ils souhaitent le faire n’est en aucun cas une décision gouvernementale ou militaire de notre part.

Il est évident que ces vies sont importantes et ne devraient être prises comme elles le sont actuellement. Cependant, la guerre est un enfer parfois nécessaire pour atteindre le paradis.

Vous annoncez que le communisme est en grande partie majoritaire et populaire auprès du peuple. Cet argument est invalide, le peuple Khardaz n’a JAMAIS, mais je dis bien jamais accepté et accueilli le communisme ! Pour preuves, à l’heure actuelle, l’armée révolutionnaire ne compte maintenant plus aucun soldats professionnels ou du moins un nombre très minces des membres de notre armée sont professionnels. Ils ont d’abord suivi une formation par des forces étrangères ou d’anciens soldats Khardaz.

Ces informations donnés par la presse communiste montre encore que cet idéologie n’est qu’une maladie. Une maladie que nous nous devons d’éradiquer !

Cet article est de plus extrêmement incohérent lorsque l’on sait que la Confédération Socialiste du Nazum a soutenue le régime communiste illégitime ! Pour maintenant, entendre les plaintes de ce peuple !


Vous engagez les hostilités par une propagande de bas niveau, nous vous répondons par une loi récemment votée et approuvée dans votre misérable pays. Le parlement de Morznik a approuvé le texte de loi condamnant le mouvement LGBT. Ce texte stipule qu’un morznik homosexuel devra passer quelques mois dans un goulag. Voilà un état qui enferme une personne pour sa sexualité et pour un sentiment. À une certaines époques, ce serait banal, mais dans l’âge contemporain, je ne suis pas sûr. Nous vous laissons sur cette information, espérant qu’un jour un état d’esprit sain entende ce discours de liberté pour sauver votre peuple.

Srava Khardaz ! Jeroyam Srava !
1936
Allocution du gouvernement militaire du Tsarat de Khardaz

Bonjour à toutes et à tous,

Seulement à peine quelques jours la publication d’un article de propagande bas de gamme de la part du régime de la République Socialiste du Morzanov, nous venons d’apprendre que 2 chasseurs-bombardiers ont survolés la ville de Vishtek. Cette opération ne peut avoir d’autres coupable que le Morzanov. Cet état impérialiste a tendance agressive, qui depuis quelques temps a su se montrer violente envers notre mouvement. De plus, dans la région du Nazum du nord, aucun autre état que le Morzanov, possédant des avions d’attaques de types chasseurs-bombardiers, auraient des raisons de survoler cette ville.

Car oui, cet événement n’avais pour autre but seulement de terroriser la population ! La terreur ! La devise de tout bon régime communiste. Soyez contraire à leur idée et la seule chose qui vous attend est un coup de fusil. Soyez en accord avec leur idée et vous vivrez peut être avec un peu de chance une vie heureuse mais sans liberté, sans droit, sans quelconque chose qui vous appartient et ne laissant rien derrière vous pour vos futurs générations.
Est ce réellement le bonheur ?
Est ce réellement une vie heureuse ?
Est ce réellement une vie que tout le monde envie ?
Non ! Non, ce régime ne peut marcher que grâce à la terreur que subissent chaque jour les habitants de tout régime communiste.

Encore une fois, l’idéologie communiste vient de prouver au monde entier la meilleur manière de contrôler à 100% ou presque son peuple, la peur. Je vous dis bien "100% ou presque" car une partie de la population a su se réveiller à temps. Une partie de la population a décider de se battre pour leur droit. Une partie de la population a pris les armes et est maintenant en position de forces sur le territoire. Et ce peuple, il s’agit de celui que l’on nomme faussement celui de Yashosie, il s’agit de celui du Khardaz ! Et maintenant que nous avons réussis, à prendre la majeur partie du territoire, les communistes s’indignent et se lamente. Ils envoient des avions de types chasseurs-bombardier non pas pour tuer mais pour faire peur. Mais cela ne marchera pas !
Peuple du Khardaz ! Continuez à vous battre pour les libertés ! Continuer à lutter contre la peste rouge ! Ne céder pas à la propagande de la terreur communiste !

Srava Khardaz ! Jeroyam Srava !
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OPERATION WINDFALL

Escadron Skeshva

19.05.2017, 1h02, Base militaire aérienne dans la périphérie de la ville de Vishtek.
L’escadron "Skeshva", composé d’un avion d’attaque au sol et de 4 avions de chasse assurant la protection du bombardier, décolle de la base aérienne. Cette opération exceptionnelle a été ordonnée par le gouvernement militaire du Khardaz. L’appareil d’attaque au sol n’allait aujourd’hui pas tuer par des bombes. Mais il a pour principal objectif de relâcher les 200 000 affiches de propagande anti-communiste réalisées par le gouvernement suite au survol des 2 avions Morznik au-dessus de la ville de Vishtek.

L’escadron décolle et suit un trajet inhabituel; il se dirige en premier lieu le plus au nord possible et loin des côtes. Puis il se dirige lentement et dans le noir le plus complet vers le nord des îles de la mer de Nouvelle-Morakhan. Une fois sur place, à près de 8 000 mètres d’altitude, la cale s’ouvre. 200 000 affiches de propagande tombent lentement dans la mer ainsi que sur les terres, emportées par le vent. Ces affiches tombent par milliers dans les mers de la confédération socialiste du Nazum, et une petite partie tombe au nord des terres morznik. Une fois l’opération effectuée, l’escadron retourne dans le total secret vers les base aérienne khardaze.

Fiches de propagandes et tracts dispersés

Affiche propagande

Petit papier supplémentaire :
"Gvireli zudra!" (Allez vous faire foutre)
"Kommuna skhvad!" (À bas le communisme)
"Miarn shukha!" (On est là)

Cette opération a pour but de montrer la présence d’anti-communistes non loin de la vulgaire confédération communiste. Ainsi que de pourrir le moral des pêcheur et côtier de la confédération. En effet, les tracts ont été faits sur du papier waterproof. Ainsi, ils ne se désintègrent pas entièrement et immédiatement au contact de l’eau. Les pêcheurs seront les premiers dérangés par cette manœuvre. En effet, les fillets seront maintenant remplis d’affiches, les poissons seront attirés par ces objets étranges, et les blocs de feuilles se regrouperont parfois, empêchant la lumière de passer à travers l’eau, déstabilisant la flore marine.

Ainsi, cet acte qui a première vu n’était qu’une simple diffusion de propagande à pour effet une déstabilisations total de l’espace maritime communiste.

trajectoire et zone touchée

Trajectoire

Zone touchée par la dispersion

1508
Krrrr…

Ksssshhhhh…

CLAC

3h00, Une vidéo se projette sur les écrans de télévision des habitants du sombres du Morzanov :

Apercu de la vidéo

—Privit ! Yak Spravé !

—On a vu votre article de journal, il est pas mal, c’est bien écrit, mais on pense que vous vous êtes trompés de sections. Vous auriez dû publier dans un feuilleton de merde qu’on trouve à la télé chez vous. Parce que nous, on n'a jamais fait tout ça. On ne touche pas aux civils. Et surtout, on ne laisse personne en vie.


Un s’écria au loin :
Mais si t’as oublié le groupe de 4 soldats qu’on a marqué au fer rouge avec notre emblème sur les fesses !

Tout le groupe explosa de rire.

Ah oui, c’est vrai, j’les avais oublié, ceux-là ! Mais vous inquiétez pas sinon on laisse personne en vie. Et aussi, on ne fait pas trop d’interrogatoires; c’est chiant à chaque fois, ils pleurent et nous supplient de les laisser partir. Mais bon, on est gentils, donc on les laisse partir…mais seulement s’ilsarrivent à fuir notre char d’assaut qui fonce sur eux. Sinon…bah, ils meurent écrasés. Bon, revenons à nos affaires. Je ne sais pas si vous savez à qui vous vous êtes frotté. On n'est pas une unité de l'armée, on est une milice, la "Diavolyy". Et on est pas réputé pour être très diplomate. Nous, ce qu’on fait, c’est tuer… et pour ça on a plaint de techniques. Attendez, on vous montre en direct, ce sera plus rapide.

Ils ramènent un prisonnier bâillonné. On peut voir le désespoir et la peur dans son regards. Un homme s’approche derrière avec une grosse massue et lui explose le crâne.

Bon, c’est un peu long et salissant, mais c’est une technique qui fait peur et qui marche. Du coup, c’était pour vous prévenir. Plus d’articles sur nous ou on fait pareil dans les locaux de votre presse. Aller, bonne nuit, mes enculés de communiste !

Srava Khardaz ! S’écria le chef du groupe
Jeroyam Srava Répondit le reste de groupe en cœur
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Là où l’on brise les couleurs

Enquête clandestine sur les camps de rééducation du Morzanov

Morzanov, mai 2017.
Officiellement, ils n’existent pas. Dans les discours du Comité central, on les appelle des "centres de rééducation", des lieux destinés à "guérir des erreurs" et à "protéger la pureté de l’amour". Mais dans les murmures des familles, dans les regards qui se détournent à l’évocation d’un voisin disparu, on les connaît pour ce qu’ils sont : des goulags, perdus dans les zones industrielles abandonnées du pays.

Une arrestation silencieuse

Personne ne vient vous chercher de jour. Les arrestations se font de nuit, lorsque la rue dort déjà sous le couvre-feu. Une camionnette sans plaque, une poignée d’hommes en uniforme sans insigne, et l’on disparaît sans procès. Officiellement, on part "suivre un programme de redressement civique". En réalité, on entre dans un labyrinthe où l’humiliation devient une méthode, où la violence est maître et où la terreur règne.

Le quotidien derrière les murs

Derrière les barbelés, les prisonniers hommes et femmes, parfois à peine majeurs vivent sous une discipline militaire.
  • Réveil brutal à cinq heures du matin.
  • Exercices physiques jusqu’à l’épuisement, sans petit-déjeuner.
  • Heures de travail forcé dans les champs ou les usines désaffectées.
  • Le soir, des séances d’endoctrinement : on doit réciter les slogans du Parti, écrire des "confessions" où l’on renie qui l’on est et chanté pendant des heures des chants homophobes.
  • Celui qui refuse est privé de nourriture, isolé dans une cellule sans lumière, ou contraint à des corvées absurdes et humiliantes.

    Punir pour "corriger"

    Ici, la punition est un présente partout. Les gardiens savent jouer sur la fatigue, sur la faim, sur la peur constante de l’exemple. Un prisonnier raconte :
    "Ils nous faisaient marcher des heures sous la pluie glaciale, sans manteau. Si quelqu’un tombait, les autres devaient l’ignorer. C’était ça, la leçon : tu n’existes plus en tant que personne, seulement en tant qu’erreur à corriger."

    Les chants patriotiques, hurlés en chœur jusqu’à l’extinction de voix. Celui qui chante trop bas est noté comme « contre la patrie ». Celui qui chante trop fort est accusé de moquerie. Toujours coupable, jamais sauvé.

    De plus, des punitions bien plus horribles étaient faites. Liliya Ivanova, anciennes détenus témoigne :
    "Parfois on était obligé de coucher avec des hommes. Ils disaient que c’était pour nous montrer ce que c’était vraiment le sexe. Si une femme refusait, il l’attachait nu contre le mur pendant plusieurs heures pendant les qu’elle les gardes les violaient. Si un homme refusait il était mis tabassée puis il l’enfermait dans un cachot à l’extérieur. Ce cachot était ouvert sur la cour, la pluie coulait et les excrément y étaient jetés."

    L’omerta au Morzanov

    À l’extérieur, la population reste certaine que ces camps sont fait pour le bien de la population. D’autres savent, mais se taisent. Dénoncer, c’est risquer que son propre fils soit emmenée à son tour. Quelques familles envoient des lettres anonymes à des ONG étrangères, mais sont souvent interceptés par les douanes.

    Une cicatrice invisible

    Officiellement, les détenus sont relâchés au bout de quelques mois. Mais ils sortent changés, brisés, souvent contraints de s’exiler pour espérer vivre en paix. Les camps, eux, continuent de fonctionner. Dans un pays où la loyauté au Parti passe avant tout et où les couleurs de l’arc-en-ciel sont perçues comme une menace. De plus, après leur libération, le gouvernement ajuste les pièces d’identité officielles de ex-détenus avec la marque "réhabilité". Cette marque est très mal vu par le peuple et par la police. Elle enlève aussi le droit de voter.
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    "Privit ! Yak Spravé ?"

    Vidéo

    Depuis plusieurs jours, une vidéo fait le tour des réseaux sociaux et "fait le buzz" comptabilisant plus de 3 millions de vu. Sur cette vidéo de mauvaise qualité, on y aperçois 6 homme armée lourdement et portant un treillis de couleur blanche. La vidéo est filmé à contre jour pour que l'on ne puisse remarquer l'identité des hommes. En fond, on y voit une étendu de neige qui s'expand sur une longueur indéterminé avec aucun objet ou bâtiment en vue. Après avoir lancé la vidéo et au bout de quelques seconde, un des hommes s'avance. Grâce à cette action, son visage est visible mais nous remarquons immédiatement que l'homme porte une cagoule intégrale, ne permettant que d'apercevoir ses yeux sombres, des yeux qui semblent marqué par ce que l'on appelle "le regard de mille mètres". Une fois quelques autres longues secondes, le soldat prend la parole calmement avec une voix presque détendu et entame son discours :

    — Privit ! Yak Spravé ?
    Il marque une très légère pause puis reprend...
    — Nous on vas bien ! Vous voyer les terres derrière nous, maintenant elles nous appartienne, elles sont sauvés d'une maladie. Cette maladie touche depuis près de 53 ans cette région ainsi que l'entièreté de notre pays. Nous, nous faisons tout pour sauvez le peuple de cette maladie, nous faisons tout pour éradiquer cette maladie. Cependant, nous avons pu remarquer durant ces 53 ans de traitement en continue pour soigner notre pays, que d'autres nations s'amusaient à propager ce virus, qu'elles se permettaient même de soutenir officiellement que cette maladie était légitimes. Ainsi, aujourd'hui, nous souhaiterions faire passer un message à ces états. Comme vous le voyez, malgré votre soutien et admiration pour cette foutu maladie, nous arrivons à la vaincre et ce sera pareil avec votre pays. Nous avons le remède pour cette maladie et nous pourrions vous le transmettre très rapidement si vous continuez malencontreusement de soutenir le virus.
    Cette maladie n'est autre que le communisme ou du moins, le régime illégitime de la République Socialiste de Yashosie. Nous sommes l'armée révolutionnaire du Tsarat de Khardaz ! Et nous vaincrons la maladie. Pour les foutu pays qui soutiennent le régime, nous nous adressons particulièrement à la Confédération Socialiste du Nazum, nous ne cherchons pas la guerre...mais nous ne la craignons pas.


    Après cela, le soldat recule calmement et se replace. Puis il cri d'une voix complètement différentes de celle du discours, d'une voix graves :

    — Srava Khardaz !
    — Jeroyam Srava ! Répondirent en cœur les 5 autres soldats d'une voix toute aussi grave que celle du premier soldat.
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    EST CE QUE LES ÉCOLES DE JOURNALISMES EXISTENT AU MORZANOV ?

    Alors que les journalistes communistes de la "République" Socialiste du Morzanov sortent un gigantesque article de journal sur le sujet d'un certains génocides que subiraient les communistes en Yashosie, nous apprenons aussi la libération d'un réel camp de concentration en territoire encore controlée par la "République" socialiste de Yashosie.
    "Il ne s'agit pas de restaurer l'ancien régime. Il s'agit d'éradiquer définitivement le poison communiste de notre terre sacrée. Chaque communiste est un cancer qu'il faut extirper, sans exception, sans pitié." Voici un extrait de ce dit article, un certains rapports de police datant de février 1963. Un rapport n'ayant jamais existé. Pourtant, ceci est la phrase contenant le plus d'information réelle dans leur article. Le communisme est belle et bien une maladie à éradiquer. Cependant, pas de manière meurtrière, il existe bien de nombreux moyens pour effectuer cela. D'après des sources gouvernementales, le communisme est belle et bien interdit dans le tsarat parlementaire du Khardaz, la peine annoncée est un emprisonnement d'au moins 1 an et si récidive, une OQTK (Obligation de Quitter le Territoire Khardaz).
    Passons maintenant à la suite de l'article. Ils décrivent diverses atrocités dans de certains camp de prisonnier communiste fait par l'état du Khardaz. Cependant, aucun camp n'est recensé sur le territoire contrôlé. De plus, une nouvelle phrase révèle l'absurdité du journalisme morznik :Un témoignage nous est parvenu d'Anna, survivante du massacre de Kharinsk en octobre 1964 : "Ils ont fait sortir toute ma famille. Mon mari, mes trois fils, ma belle-fille enceinte, même mon petit-fils de quatre ans. L'officier tsariste a dit : La vermine communiste se reproduit comme les rats. Il faut exterminer jusqu'au dernier. Ils les ont tous tués devant moi. J'ai survécu parce qu'ils me croyaient morte sous les corps de mes enfants". Ils dénoncent là un certains massacres perpétrés dans la capitale, la même capitale qui n'a jamais encore vue de soldats tsariste. Ainsi comment le "massacre de Kharinsk" aurait il pu avoir lieu ? Une seule réponse est là réaliste : il n'a jamais eu lieu. Les journalistes morzniks n'est qu'un ramassis de merde vivante auxquelles la parole leur à été donnée ! Les descriptions suivant sont quelques peu intrigantes. Comment une personne saine d'esprit pourrait elle décrire de telles tortures avec tant de facilités. Nous pensons donc que les journalistes morzniks sont des rescapés des camps de concentration pour les personnes homosexuelles ou transgenres du territoire du Morzanov. Ainsi, les différentes descriptions faites par les hommes de la "presse" morznik décriraient enfaite les atrocités qu'ils auraient subis dans les camps du Morzanov. Ceci est le seul argument possibles pour expliquer de telles choses.
    Attardons nous maintenant sur les réels camps de concentrations existant en territoire controlés par les communistes yashosiens. En effet, la pratique religieuse étant interdites par la "République" Socialiste de Yashosie, des camps de concentrations pour religieux mélangeant chrétiens, juif, musulmans, bouddhistes ou tout autre pratiquant d'autres religions. Ces simples civils, pratiquant de différentes religions se retrouvaient du jour au lendemain dans des camps de travails forcés. Ils doivent travailler parfois jusqu'à 20h par jour sous des températures descandant jusquà parfois -20°C. Ils étaient "logés" dans des cellules de 10m² où jusqu'à 15 personnes pouvaient être enfermés, ils devaient se nourrir de nourritures avariées, froides où les gardes de permettait même de cracher dans cette nourriture. Les prisonniers étaient même exécutés dans des chambres à gaz où même par fusillades à l'aide mitrailleuses lourdes. Ces camps n'avait absolument pas l'objectif de transformer les religieux, mais bien de les exécuter !
    "Voilà pourquoi nous nous devons de soutenir les communistes en Yashosie" une citation qui révèle maintenant le réel visage du régime morznik. Eux mêmes savent que les descriptions faites sont fausses ! Ils savent que ces massacres n'existent pas et savent même qu'aux contraires ce sont les communistes qui commettent un génocides ! Le Morzanov soutient publiquement un régiment génocidaires !
    Cette information n'est pas tant choquante que ça lorsque l'on sait les atrocités que commets ce même régime dans des camps de concentration pour personnes de la communautés LGBTQIA+. Maintenant, vous connaissez la réelle face du journalisme de l'état du Morzanov. Un état où tout le monde est contrôlé par le pouvoir ! Un État génocidaire qui tue une personne pour sa simple croyance !

    SRAVA KHARDAZ ! JEROYAM SRAVA !
    3919
    Le Morzanov et la légitimité,
    Tome I


    Alors que les États du monde entier félicitent le régime tsariste d'avoir vaincu la terreur rouge de la RS de Yashosie, un seul État d'irréductible dictateur affirme qu'il s'agit là d'une "dictature militaire". En effet, la République socialiste du Morzanov accuse aussi les milices tsaristes d'avoir lâchement exécuté le "Président légitime" Josef Skratac lors de son vol retour en provenance de Catheringrad, du siège de la Confédération socialiste du Nazum. Mais alors que s'est-il réellement passé dans cet avion et pourquoi la RS du Morzanov refuse de reconnaitre le Tsarat parlementaire du Khardaz ?
    I– Pourquoi Josef Skratac se trouvait dans un avion en provenance de la CSN ?

    Commençons par introduire le contexte de l'évènement déclencheur de cette polémique. Le dictateur Josef Skratac s'est rendu au siège de la CSN pour une rencontre qui devait initialement aborder des sujets tels que des aides militaires. Bien heureusement, la "grande et gentille" CSN s'est enfin rendu compte du génocide qui se déroulait dans l'ex-Yashosie et a annoncé ne pas vouloir aider militairement la RS de Yashosie tant que celle-ci n'avait pas abandonné et aboli les camps de concentration ayant fait près de 6 millions de morts. Le problème étant que ce génocide dure depuis près de cinq décennies et que durant ces décennies, la CSN avait aidé militairement et activement la RS de Yashosie. Après cela, le dictateur Josef Skratac est parti furieux de la rencontre, allant même jusqu'à traiter le présidium barvynien de "sales orthodoxes de merde". Source : Vlad Makarov, tsariste infiltré sur place
    II– Pourquoi et comment Skratac est-il mort ?

    Contrairement à ce que le "président" Mornik assure, le dictateur Skratac ne s'est pas fait "exécuter d'une balle dans la tête, dans son propre avion présidentiel, par des hommes qui ricanaient en filmant leur crime"[/i]. En réalité, après avoir fui la rencontre, Skratac est monté dans son avion présidentiel. Cependant, son avion qui devait se rendre à Tsalgarouli a été détourné vers la capitale Kharinsk où les forces armées communistes avaient déjà capitulé devant l'armada terrestre et aérienne qui roulait sur la capitale. Vlad Makarov s'était infiltré parmi la garde rapprochée du président, c'est lui qui a détourné l'avion, avec la coopération des deux pilotes, après avoir endormi les quatre autres gardes du corps du président. Suite à cela, l'homme a dégainé son arme pour la pointer sur le "président". Il lui a ensuite ordonné de se rendre comme l'avaient fait les forces armées, mais Skratac refuse et tente de sauter sur lui. Bien heureusement, Makarov décoche une balle de 9mm dans la tête du dictateur qui meurt presque instantanément. La vidéo dont fait allusion Monsieur Dronov n'a jamais été filmée et n'existe donc pas.
    III– Pourquoi la RS du Morzanov agit ainsi ?

    Premièrement, qu'est-ce que le Morzanov ?

    Il s'agit d'un État autoritaire communiste gouverné par le président Vassili Dronov. Cet État a pour particularité des camps pour personnes homosexuelles ou transgenres. Ces personnes sont alors obligées d'être mises dans des camps de travaux forcés pour une simple attirance. N'est-ce pas là un point commun avec la dictature de la RS de Yashosie ? Il est évident que ces deux États ont tant de choses en commun et, bien malheureusement, tous deux sont répressifs sur la population.

    Nous n'avons, à l'heure actuelle, trouvé aucune raison pour laquelle le régime morznik refuse toute reconnaissance du Tsarat et même pourquoi cet État nie ou oublie l'existence de ce génocide. Nous avons cependant remarqué, et ce depuis plusieurs mois, que la RS du Morzanov effectue une grande propagande mensongère sur sa population et même aux alentours. En effet, les journaux morznik sont tous contrôlés par le gouvernement de la RS du Morzanov. La République socialiste du Morzanov est une dictature extrémiste qu'il faut arrêter à tout prix.

    IV– Que fait le gouvernement du Tsarat parlementaire du Khardaz contre cela ?

    Le Tsarat parlementaire du Khardaz n'a pour l'instant donné aucune information concernant la RS du Morzanov en particulier. Cependant, il affirme avoir déjà demandé une somme de trente mille unités d'échanges internationales à la Confédération socialiste du Nazum, mais affirme aussi qu'aucune réponse ne leur a été pour l'instant donnée. Le gouvernement du Khardaz annonce par cet article avoir déjà commencé de multiples négociations à l'international pour l'avenir du Tsarat. Il annonce aussi vouloir former un État stable pour pouvoir tenir aisément face aux menaces de la CSN.
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    Une photo qui perce !


    Bonjour à toutes et à tous,
    Nous vous retrouvons aujourd'hui pour une interview très spéciale. Vous l'avez surement déjà vu passer sur le réseau social Écho Internationale, cette photo de trois homme brandissant un long drapeau noir et trois tête de mort surplombé d'une croix orthodoxe. Et oui, il s'agit bien du drapeau de notre bien chère armée du Tsarat Parlementaire du Khardaz. Mais alors comment et pourquoi ces trois hommes ont effectués cette photographie ? S'agit il d'une provocation ou d'une simple photo innocente ? C'est ce que nous allons découvrir maintenant.

    Ce 27 juillet dernier, un poste est publié sur le réseau social "Écho international". Dans ce poste, il est écrit "Photo de notre voyage au Morzanov" et une photo accompagne ce petit texte. Là voici :
    La photo en question
    Sur cette photo nous pouvons apercevoir trois homme assez âgés qui tiennent un grand drap noir. Sur ce drap, il est inscrit en khardazien : l'Orthodoxie ou la mort ! On peut aussi y apercevoir trois tête de mort tenant une dague entre leurs mâchoires ainsi que des croix orthodoxes. En réalité, il ne s'agit pas d'un simple drap noir avec des inscriptions, mais bien du Drapeau de l'armée noir du Tsarat Parlementaire du Khardaz. Cette photo semble avoir été prise sur la Place Rouge à Krasnodar, la capitale de la République Socialiste du Morzanov. Cette place est l'une des plus importantes du pays. Pour cause, l'architecture de la place raconte à elle seule l'épopée morznik. Au centre trône le Mémorial de la Résistance, une imposante structure de granit noir extrait des montagnes locales qui rend hommage aux héros de la Coalition des résistants des états coloniales du Nazum. Les reliefs sculptés dans la pierre retracent les moments clés de la lutte pour l'indépendance : tu peux y voir représentée la formation de la Coalition en 1900, les premiers soulèvements, l'insurrection générale de 1947 et enfin la proclamation de la Confédération Socialiste du Nazum en 1950. Autour de la place, les bâtiments gouvernementaux témoignent de l'importance notable de celle ci ainsi que de cette esthétique socialiste si particulière au pays, mais adaptée au climat rigoureux.
    A première vu, il pourrait s'agir d'une simple photo légèrement provocatrice mais dans les faits, de quoi s'agit t'il réellement ? Pour répondre à cette question, nous allons récapituler le statut des relations entre la République Socialiste du Morzanov et le Tsarat Parlementaire du Khardaz. Après cela, nous accorderons une interview à ces trois braves hommes.

    Les relations entre la RS du morzanov et le Tsarat du Khardaz n'ont jamais été très poussées, nous iront même dires qu'elles étaient "reculées". Ces relations se sont encore plus dégradées depuis les attaques aériennes du Morzanov sur le ville de Vishtek, principale bastion de la révolution tsariste et depuis les nombreuses publications de communiqués de propagandes mensongères. Ces publications répétitives ayant pour seuls but d'endoctriner la population de la RS du Morzanov dans une haine anti-tsariste injustifiée. La grande et puissante population des terres sacrées du Khardaz n'est pas dupe ! Il sait ce que les nations communistes alentours racontent à leur propos. Ils savent que le communisme est une maladie mentale qu'il faut soigner. Tout les symboles communistes sont interdits dans le territoire du Tsarat Parlementaire du Khardaz. Le geste de bravoure de ces trois hommes est un acte qui mérite un tonnerre d'applaudissements et cela tombe bien, les voici. Alors veillez accueillir en trombe ces trois courageux et puissants homme !
    Journaliste : Bonjour à vous trois et bienvenue sur la chaine de télévision préférée des khardaziens !
    Les 3 : Bonjour et merci à vous pour avoir acceptés de nous accueillir !
    Journaliste : En premier lieu, je vais vous laissez vous présentez chacun votre tour pour pouvoir qui sont les braves hommes ayant réussis cet acte d'audace en pleine terre d'enfer communiste.
    Homme 1 : Et bien je m'appelle Arman Vartanov, j'ai 37 ans et je suis prêtre dans une église dans la ville de Tsalgarouli.
    Homme 2 : Je m'appelle Tigran Mamedov, j'ai 43 ans et je suis policier de la même ville que mon compatriote Arman. Enfaite on viens tout les trois de la même ville.
    Homme 3 : Je m'appelle Vladimir Vartanov, j'ai 49 ans et je suis quant à moi l'Évêque de la ville de Tsalgarouli car comme l'a dis Tigran nous venons tous de la même ville. Enfaite, nous nous connaissons depuis que nous sommes enfants et comme vous avez pu le remarquez, je suis le grand frère d'Arman.
    Journaliste : Merci à vous pour cette présentation. Vous dites être tous de la même ville, Tsalgarouli, il me semble qu'il s'agit la d'une toute petite ville niché dans la chaine de montagne du Saïanvki. Le climat y est particulièrement dur et vous êtes surtout tous les trois nés lors de la Grande Guerre Civile. Alors comment était la vie quotidien habituelle sous ce régime, notamment dans les montagnes qui se trouvent assez loin de la capitale ?
    Tigran Mamedov : La vie sous le régime communiste était très dure et bien plus lorsque l'on habite dans les montagnes éloignées du centrale. Nous avons tous les trois rejoints assez vites et assez jeunes la cause tsariste. J'avais 15 ans lorsque j'ai tué pour la première fois. J'étais jeune et je devais le faire sinon on risquai tous de mourir. C'est très dure d'ôter la vie à quelqu'un, même si cette personne n'aurai pas hésitée une seule seconde à vous éliminer. Tout les soirs quand on était plus jeunes, lorsque l'on était enfant, aux alentours de nos 11 ans, se coucher et s'endormir était dure. Chaque soir nous allions nous couchez en silence. Mais le lendemain matin, nous savions que nous serons réveillez par le cris d'une mère ou d'autres habitants de la ville.
    Journaliste : Nous sommes désolé d'entendre cela. Il est vrai que la guerre n'a jamais été quelque chose qui faisait sourire. Pas même les soldats de l'ancien régime. Vous devez vous attendre à cette question, mais comment avez vous fait pour vous rendre en Morzanov ?
    Vladimir Vartanov : Ce n'étais pas une tache facile. En premier temps, nous avons pris un avion en direction de Slaviensk. Une fois sur place, nous avons pris un train direct vers Vrarany, la capitale du Latrua. De là, nous avons pris un avion en direction de la capitale morznik, Krasnodar. Il est clair que l'étape en train aurait pu être contourné par un vol d'avion direct. Mais nous n'en avions pas les moyens.
    Journaliste : Intéressant ! Mais maintenant, pouvez vous nous expliquez pourquoi le Morzanov particulièrement ?
    Tigran Mamedov : Enfaite, j'ai personnellement des origines de la RS du Morzanov. Alors j'ai voulu découvrir le pays de mes origines. Quand j'en ai parlé à Arman et Vladimir, ils ont tout de suite dit qu'il ne voulait pas me laisser y aller seul. Nous avons donc pris la décision de nous y rendre tous les trois.
    Journaliste : Et dites nous maintenant, pourquoi avoir réalisé cette photo ? Est ce une sorte de vengeance ? De provocation envers le Morzanov ?
    Arman Vartanov : Enfaite, l'idée vient de moi. Avant que nous partions, j'ai mis ce grand drapeau dans ma valise pour pouvoir effectuer des photos avec. Nous en avons pris plusieurs dans les campagnes et paysages plutôt moyen du Morzanov, comme par exemple à la Vallée d'Azrolf ou au Col de Fellsvik, mais celle sur la place rouge à exploser tout les compteurs. En réalité, nous n'avons pas publié ces photos depuis le Morzanov mais une fois rentrée dans notre ville natale. Je me souviens être dans le bus qui nous amenait dans la banlieue de la ville et avoir publié la photo. Une dizaine de minutes après, quand nous sommes arrivée dans notre quartier, j'ai croisé mon voisin qui m'a applaudis et loué pour notre acte. J'ai ouvert mon téléphone et j'ai vu que j'avais déjà atteints les cinquante milles vu en seulement dix minutes. Dans les commentaires, tout le monde nous applaudissait. Nous avons même eu le droit à ce que le compte du gouvernement republie notre poste. Nous étions devenus des réelles stars nationales !
    Journaliste : Et bien, c'est une histoire que nous ne sommes pas prêt d'oublier ! Nous tenons nous aussi à vous applaudir pour cet acte impressionnant.
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    GOOODD MORNING LES TSARISTES


    Avion (y'en a beaucoup)

    9 août 2017, baie de Vishtek,
    Il est 5h33 lorsque 3 chasseurs-bombardiers furent détectés par les radars des armées du Khardaz dans la base des alentours de la ville de Atyraou. Ces trois appareils morzniks sont détectes hors du territoires aérien du Tsarat, cependant, ils sont à une distances relativement proches du territoire sacré. De plus, les avions se rendent dans la baie de Vishtek où des bateaux ont déjà été détectés. Une situation de crise est crée : plusieurs appareils aérien décolle des bases aériennes du Tsarat et les canons situés sur les cotes sont chargés et prêts à tirer. Près de six chasseurs-bombardiers, dont le F-91 de cinquième génération, huit avions d'attaques au sol , un bombardier stratégiques ainsi que deux avions de chasse décollent. Leur but est précis, survoler "l'exercice" militaire de la CSN pour empêcher toute attaque. Leur rôle est aussi d'établir un contact avec les bâtiments militaires pour ordonner la fin de l'opération et le renvoie immédiat de tout avions, bateaux ou sous-marins.
    A 5h35, l'escadron décolle. Le chasseur F-91 tente un premier contact avec les bâtiments navals barvyniens mais échoue. Dès lors, les avions tournent autour de l'exercice, au moindre faux pas ou mouvement mal exécuté, les avions bombarderont.

    A 5h56, des tirs de canon sont effectués, une première fois à blanc, juste pour effrayer. Une deuxième fois a balle réelle, dans la mer, à une distance suffisamment proche et éloignés des navires. Cette fois ci pour effrayer un peu plus voir menacer de représailles.

    A 6h02, les différents appareils quittent la baie toujours escortés par les avions khardazien et ceux jusqu'au cap extrême ouest de la Carande, près de la ville de Lankad. La Coonfédération Socialiste du Nazum était aller loin, elle n'avait non seulement menacés le Tsarat du Khardaz mais aussi ignorer les reproches du gouvernement de Velsna. Encore une fois, cette confédération belliqueuses avait démontrés par A plus B qu'elle se pensait supérieur aux autres nations du monde allant jusqu'à ignorer les communiqués d'une nation du top 3. La CSN venait de manquer de respect à la Grande République de Velsna, troisième pays en termes de PIB. Cette situation ne pouvait plus durer...
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    Inquiétudes du Commandement maritime velsnien, deuxième occurrence

    La Marineria velsnienne se prépare t-elle à une alerte ?



    Depuis plusieurs semaines, le Nord-Nazum est traversé par une série de secousses. Certes, celles ci sont légères et peu ressenties à première vue, surtout depuis la métropole velsnienne qui se trouve à plusieurs milliers de kilomètres de là. Mais ce n'est tant l'importance des tensions que leur provenance qui commence à inquiéter en plus haut lieu. il est rare d'ordinaire, que la cité de Tercera, très isolée au nord du Nazum, fasse part au Sénat des Mille de Velsna de ses préoccupations. Aussi, lorsque c'est le cas, il est inutile de dire que ce signal est déjà perçu comme inquiétant en soi. Si bien qu'après une énième démonstration de force de l'un des membres de la Confédération du Nazum dans les eaux du Tsarat Khardaz, il est désormais évoquer publiquement parmi les membres de l'Assemblée l'idée d'augmenter les effectifs de la garnison terrestre et navale de Tercera.

    En soi, il n'existe pas de proximité entre la Grande République et l'une des parties de cette tension larvée, mais il est de notoriété commune que la cité sur l'eau n'apprécie guère de voir des exercices militaires à répétition à un jet de pierre de l'une des cités constitutives de la République, d'autant qu'il s'agit là d'une cité de droit juridique velsnien directement rattachée à l'administration de la ville-mère.

    Dans ce cadre, le commandement maritime de l'Arsenal de la Marinieria basé à la capitale, a prit acte de ces gestes répétitifs, et évoque désormais l'éventualité d'augmenter sa présence maritime et aérienne dans la région si d'aventure ces évènements se répètent à une nouvelle occurrence. Les flottes des Classis I et II situées en Manche Blanche se tiennent prêtes à opérer un détachement dans la région en cas de problème, de même que les garnisones des bases aériennes de Moritonie sont potentiellement en alerte en cas d’escalade.
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