Je tiens aussi à préciser que pour la mise en forme, je m'inspirerai grandement de Timour (le joueur de l'Azur et de la Messalie), qui a fait un travail simple et lisible tout en étant efficace, et que je tiens donc à mentionner.
Trombinoscope des personnages importants et centraux dans le R.P antérinien
Posté le : 05 jui. 2025 à 19:15:04
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Toutes les personnalités qui, ont, auront ou ont eu une influence importante dans le monde politique, culturel ou économique antérinien seront présentées et dévellopées ici, elles permettront aux joueurs de mieux saisir certains personnages centraux dans mes intrigues et de se faire une idée dessus. La plupart des informations (carrières, citations, pensée) seront connues par le grand public. En revanche il se peut que certaines soient secrètes, notamment au niveau de leurs vies privée ces dernières seront donc suivies d'un petit astérisque (Et je repréciserai cela sur chaque fiche personnage). Il est important de rappeler que les personnages présentés ici seront issus de toute la Confédération, ainsi si vous cherchez des renseignements sur les Directeurs, Bassé ou Bolila, voire n'importe quel autre ministre ou homme d'affaire, il suffira de les chercher ici. Un sommaire sera évidemment tenu et mis à jour autant que possible.
Inspiration pour la mise en page
Je tiens aussi à préciser que pour la mise en forme, je m'inspirerai grandement de Timour (le joueur de l'Azur et de la Messalie), qui a fait un travail simple et lisible tout en étant efficace, et que je tiens donc à mentionner.
Je tiens aussi à préciser que pour la mise en forme, je m'inspirerai grandement de Timour (le joueur de l'Azur et de la Messalie), qui a fait un travail simple et lisible tout en étant efficace, et que je tiens donc à mentionner.
Posté le : 07 jui. 2025 à 10:18:04
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-Âge : 26 ans en janvier 2016, né le 30 janvier 1990.
-Sexe : Masculin.
-Lieu de naissance : Antrania, palais impérial.
-Statut conjugal : Fiancé à Sa Majesté Elizaveta Ivanovna Rhemianova de Moritonie et Moyak.
-Fonction : Chef d’état et Monarque de la Confédération antérinienne.
-Nationalité : Antérinienne.
-Orientation politique : De jure apolitique et neutre, de facto conservateur*
Citations célèbres :
« On ne me demande pas d’être idéologue,meneur ou politicien. On ne me demande pas non plus mon avis. On me demande simplement d’être empereur, c’est à dire d’être l’ami et le soutien de tout les Antériniens. On me demande, en quelques mots de savoir défendre l’Antérinie, ses valeurs et ses traditions. On me demande de représenter l’Antérinie. Mais ce n’est pas moins qui mène la danse, c’est le Parlement qui gouverne, c’est lui qui décide de la politique à mener. Finalement, je ne suis qu’une simple facade et le Parlement est celui qui tient boutique. »
« Messieurs, Je n’ai qu’une seule vocation, le bonheur des Antériniens, je n’ai qu’un seul but, la Grandeur de l’Antérinie. Pour ce faire, j’ai plusieurs outils, le peuple antérinien et le Parlement. Le premier me soutient et me légitime. Le second permet de représenter les peuples d’Antérinie et des les guider dans les houleuses vagues de l’avenir. Messieurs, je n’ai qu’une chose à vous dire, gouvernez en âme et conscience, soyez sage et modéré dans vos décisions, restez pragmatique en toutes situations, et surtout soyez fidèles à l’Antérinie et à vos principes. Alors messieurs, les Antériniens et moi-même comptons sur vous et espérons que vous saurez prendre les meilleures décisions. »
« Marcine a toujours été une composante essentielle de la Confédération, sans le Royaume, l’Empire ne serait pas le même, l’Antérinie n’aurait pas sa langue nationale, aurait probablement connue des années encore plus sombres, commis des horreurs innomables, et aurait perdu de son aura et de son prestige. Ça ne se réduit pas uniquement à quelques costumes flamboyants, à des idées pans afaréennes ou à un christianisme catholique « divergent ». Son influence est bien plus profonde qu’elle n’en a l’air. Et les Marcinois sont l’un des peuples les plus fiers et les plus grands de toute la Confédération. Et j’ai toujours eu une affection particulière pour mes sujets afaréens, d’une part car ma mère est elle même afaréenne, et d’une autre part car c’est un honneur de mener et de représenter le plus bel état d’Afarée. »
Louis VI d’Antrania est le fils de feu François II, Empereur d’Antérinie et Roi de Marcine, et de feue Élisabeth de Marcine, impératrice régente. Il a connu une enfance assez heureuse, très heureusement même, notamment car sa mère et son père étaient des parents aimants. Cadet d’une fraterie complétée par sa petite sœur, il est assez tôt associé au pouvoir, son père l’intégrera à ses conseils ministériels et l’encouragera à s’intéresser davantage à la politique. Et ce, alors qu’il n’avait pas encore passé l’adolescence. Bien entendu, il sera vite exposé à la presse antérinienne, bons nombres de galas et de festivités seront organisés en son honneur, et à chaque apparition publique de ses parents, il sera exhiber devant la foule. Cette enfance sous le feu des projecteurs lui aura très vite permis de comprendre la réelle utilité de la famille impériale, qui n’était pas uniquement de servir de ciment à l’unité antérinienne, puis confédérale, elle devait aussi divertir le peuple, lui donner une image humaine, familiale même du pouvoir, lui permettre d’avoir confiance en ce dernier. Par conséquent, il se prêta très vite à ce « jeu » et devint très vite la une des principaux quotidiens impériaux au travers de ses sorties publiques accompagné de son père et de sa mère ainsi que par sa sœur, la Princesse Irène de Saint Jean de Luz. Mais malheureusement, son père décéda assez tôt, à l’âge de quarante-cinq ans, laissant ainsi son fils alors âgé de de quinze ans. Ce dernier dut officiellement assumer la fonction de monarque et failli même abandonner ses études à Louis le Grand. Mais sa mère, Élisabeth de Marcine, assuma à la place de son fils le pouvoir en devenant la Régente. Elle prit ainsi toutes les responsabilités durant un court règne de trois ans. Elle sut prendre les meilleures décisions pour son fils, alors que ce dernier étudiait encore au lycée. Elle lui enseigna l’art et la manière de parler sans choquer, lui imposa le silence politique sur tout les sujets d’actualité, lui apprit l’ art du compromis avec des Assemblées divisées et à se faire apprécier des foules. L’enseignement pratique succéda de cette manière à l’enseignement politique de son père. D’ailleurs, la Reine mère restera conseillère du monarque même lorsque celui-ci exerca de facto le pouvoir, c’est à dire en janvier 2010 alors qu’il n’avait que 20 ans.
En vérité sa pratique du pouvoir fut facilité par le calme apparent de la politique antérinienne, alternant souvent entre conservateurs modérés (la Confédération des Partis Autonomistes) et les conservateurs « centralisateurs » autrement dit ceux ayant des visions extrêmement centralisatrices et des conceptions sociales peu enclines au changement regroupés à L’Union des Partis Conservateurs. Et ces deux groupes gouvernent souvent main dans la main se modérant l’un et l’autre au travers de compromis parlementaires permettant de faire durer leurs alliance. Mais néanmoins, plusieurs crises ouvrirent le début de son règne, que ce soit au Bahama avec des abus de pouvoir répétés des Directeurs, qui entraînèrent plusieurs séries de sanctions à leur égard et la mise en place d’un système de surveillance administrative encore plus poussé pour éviter que des crises de cette ampleur se reproduisent. Louis VI fut particulièrement virulent à l’égard des Directeurs, et n’hésita pas à encourager la majorité parlementaire à se montrer impitoyable à leurs égards, et prononca plusieurs discours au vitriole contre ces derniers en soutenant même les derniers groupes indépendantistes locaux et en menaçant d’user de son commandement suprême des armées impériales pour débarquer en U.C.C.N et rétablir l’ordre tout en destituant les Directeurs. Sa mère dut intervenir discrètement afin d’éviter de sanglantes et coûteuses opérations militaires au Nazum et servir de négociatrice secrète entre les différentes parties, les Directeurs d’un côté, et le gouvernement impérial de l’autre. Amenant une résolution pacifique du conflit.
Puis le séisme, enfin surtout un véritable tsunami, survint quelques années après la crise bahamanite, et c’était les spectres de la décolonisations qui frappèrent à la porte antérinienne. La crise d’indépendance etznabienne eue des conséquences qui dépassèrent l’Aleucie, toute l’Antérinie fut impactée de manière profonde et durable. Les premières nouvelles du conflit furent avant tout les récits de rescapés bataille de la Côte, qui opposa les troupes antériniennes (supplées par la garde coloniale) à quelques blindés etznabistes. La violence des affrontements et surtout des crimes commis ne purent que choquer et perturber l’opinion antérinienne, qui voyait déjà les douloureux fantômes de la décolonisation resurgir. Et les débats parlementaires furent assez rapides, les forces de gauche souhaitaient négocier pour des raisons hautement idéologiques, tandis que les conservateur (C.P.A et U.P.C) cherchaient quant à eux à négocier afin d’une part de garantir la paix et de prouver au monde que l’Antérinie est capable de reconnaître certaines de ses entités comme indépendantes si les populations locales le souhaitaient. Mais aussi d’éviter de plonger l’Empire dans une guerre longue et coûteuse contre le continent aleucien et contre les natifs de la Nouvelle Antérinie, au pire ils perdaient quelques centaines de milliers de sujets et plusieurs provinces, mais éviteraient à l’Empire de s’effondrer sur lui-même en le rendant impitoyable dans ses répressions d’un légitime besoin d’indépendance. Finalement, l’Empereur dut donner son accord, à contre-coeur, pour ouvrir des négociations avec les etznabiens.
En effet, il prends sa tâche avec sérieux, et s’y abandonne corps et âme, l’abandon de quelques provinces, même sécessionnistes et pour lui un crève-cœur, il avait juré deux choses lors de son sacre, en premier lieu il promettait aux Antériniens de « défendre chaque parcelle de l’Empire jusqu’à sa dernière goutte de sang », et ensuite il craignait que cela n’ouvre la porte à un véritable effondrement, un éboulement géopolitique qui aurait pu impacter bons nombres d’états, et ce sur tout les continents. Amenant de possibles catastrophes en chaînes, et surtout en entrant dans l’Histoire comme l’homme qui engagea l’Antérinie dans sa chute. Et chaque visite officielle qu’il accomplissait en Nouvelle Antérinie, au Bahama, à Marcine était pour lui plus qu’un devoir, c’était un combat. Et chaque discours qu’il proncait là-bas était empreint d’un véritable amour pour ses peuples. Car il faut l’avouer, mais Louis VI se considère comme le « père » de chaque antérinien, comme le meneur de la « grande famille qu’est la Confédération » et qui aime par conséquent ses sujets comme ses enfants. Cette vision, l’aura d’ailleurs servi lorsqu’il espérait, à tort ou à raison, que ses sujets fassent le bon choix, selon lui, c’est à dire choisir l’Antérinie. Et lorsque les résultats lui furent parvenus, quelques heures à peine avant le vote d’une série de réformes qui bouleverseront l’Empire, il « sauta littéralement au plafond » pour citer l’ancien Premier Ministre Albert de Grace, ce dernier rajoute aussi « Il est en vérité ravi de savoir que l’Antérinie se confédéralisera, lui-même, même s’il est assez proche idéologiquement parlant de l’U.P.C, il reste un farouche autonomiste, il a toujours considéré que chaque peuple qui composent l’Antérinie impériale, méritaient leur souveraineté. ». D’ailleurs, ces propos sont attestés par plusieurs visites à Marcine, où il affirmait soutenir avec « force et vigueur les intérêts Marcinois, tout comme il[je] soutient[s] les intérêts Bahamanites, scintillanais et Antériniens ».
Marcine est aussi sa destination favorite, lui-même l’avoue, mais il a toujours eu une certaine affection pour « le peuple le plus brave de ce monde », affection certainement due à l’amour qu’il porte à sa mère, qui réside actuellement à Marcine et qui est peu impliquée dans les grandes affaires politiques du Royaume, et ce malgré les élogieuses missives des parlementaires et des ministres marcinois. Mais aussi à la fidélité indéfectible des marcinois, qui restent entièrement acquis aux Antrania-Marcine, comme l’atteste le référendum organisé et validé par plusieurs puissances afaréennes et afaréennes, dont le Banairah et l’Empire du Nord qui a vu de plus de 80 % de la population marcinoise voter pour l’autonomie. Il semblerait aussi que son apparition en tant que Sapeur au dernier défilé de la Société des Ambianceurs et des Personnes Élégantes à Marcine a été extrêmement bien vue de la population locale.
Mais ce qui est probablement l’évènement le plus important à retenir de sa vie, c’est avant tout ses fiancailles avec la princesse de Moritonie, qui risquent de devenir un évènement majeur à travers toute la Confédération. En effet, si son état d’origine (à savoir une monarchie aux penchants autorcratiques d’obédience tsariste) a été la cause de plusieurs polémiques aux Assemblées, il appparait néanmoins que la princesse pourra parfaitement faire son travail au vue de ses qualités et surtout de ses engagements politiques. Néanmoins, une grande partie des forces d’opposition, et d’extrême droite restent opposés à ce mariage. Pour des raisons idéologiques surtout et raciales. Mais on constate tout de même qu’une large partie des antériniens ne s’y opposent pas, le caractère introvertie et la douceur s’émanant des portraits de la tsarine distribués à la presse semblent plaire aux Antériniens. Il faut néanmoins que la future impératrice puisse accomplir son baptême du feu, enfin surtout, son baptême de la politique en apaisant les violents affrontements qui opposent les Directeurs aux bahamanites. Si elle réussit, le Parlement considérera qu’elle aura accomplit sa tâche et sera donc capable d’assumer les charges d’Impératrice, c’est à dire savoir donner une image maternelle de la monarchie, élever le Lionceau (ou Prince-héritier de la Couronne) et être en capacité de régenter en cas de décès de l’Empereur. Expliquant par la même la nature de ce véritable test qui voit la prétendante s’immiscer dans les affaires locales pour résoudre une crise difficile à saisir et à comprendre permettant ainsi de mesurer les aptitudes en politique de la Prince Élisabeth de Moritonie.
*Cette information n'est pas connue du grand public malgré des indices évidents, tels que son attachement sans failles aux traditions et autres dogmes conservateurs qui parsèment ses entrevues ou ses discours.
