L’Eurysie de l’est : un nouvel EldoradoAlors même que le Chandekolza connaît un développement humain sans précédent, et que les conditions de vie et de rémunération de millions de gens s’améliorent petit à petit, nombreux sont les chandekolzans à continuer de vouloir partir pour l’étranger, avec l’espoir d’y trouver une vie meilleure. Pour les plus fortunés de nos compatriotes déménageurs, on privilégie l’avion, surtout pour parcourir les milliers de kilomètres qui nous séparent de l’Eurysie de l’est. Pour l’immense majorité des concernés, on privilégie le voyage à pied, en cariole ou en bateau, surtout avec pas le moindre argent en poche. Seront-ils plus heureux dans ces contrées lointaines que dans leur mère patrie ? Seul l’avenir nous le dira. En attendant, je rends ma plume et déménage pour l’étranger, n’importe où. Les journalistes sont nettement mieux payés là-bas qu’ici.
| --- | L’Empire Xin : un nouvel EldoradoAlors même que le Chandekolza connaît un développement humain sans précédent, et que les conditions de vie et de rémunération de millions de gens s’améliorent petit à petit, nombreux sont les chandekolzans à continuer de vouloir partir pour l’étranger, avec l’espoir d’y trouver une vie meilleure. Pour les plus fortunés de nos compatriotes déménageurs, on privilégie l’avion, surtout pour parcourir les dizaines de kilomètres qui nous séparent du pays ushong. Pour l’immense majorité des concernés, on privilégie le voyage à pied, en cariole ou en bateau, surtout avec pas le moindre argent en poche. Seront-ils plus heureux dans ces contrées lointaines que dans leur mère patrie ? Seul l’avenir nous le dira. En attendant, je rends ma plume et déménage pour l’étranger, n’importe où. Les journalistes sont nettement mieux payés là-bas qu’ici.
| --- | La Poëtoscovie : un nouvel EldoradoAlors même que le Chandekolza connaît un développement humain sans précédent, et que les conditions de vie et de rémunération de millions de gens s’améliorent petit à petit, nombreux sont les chandekolzans à continuer de vouloir partir pour l’étranger, avec l’espoir d’y trouver une vie meilleure. Pour les plus fortunés de nos compatriotes déménageurs, on privilégie l’avion, surtout pour parcourir les milliers de kilomètres qui nous séparent de la nation littéraire. Pour l’immense majorité des concernés, on privilégie le voyage à pied, en cariole ou en bateau, surtout avec pas le moindre argent en poche. Seront-ils plus heureux dans ces contrées lointaines que dans leur mère patrie ? Seul l’avenir nous le dira. En attendant, je rends ma plume et déménage pour l’étranger, n’importe où. Les journalistes sont nettement mieux payés là-bas qu’ici.
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