Demande de coopération scientifique

Demande de coopération scientifique
C'est ici que vous devrez envoyer une demande de coopération scientifique, vous devrez remplir le formulaire ci-dessous. Le Centre qui décidera de la durée de la coopération, vous en serez informé. Et utiliser vos propres locaux est interdit. Tout formulaire incomplet sera ignoré

Le formulaire est susceptible d’être mis à jour

formulaire[center][size=1.5][b][u]Demande de coopération scientifique[/u][/b][/size][/center]

[b]Nom de l'institution :[/b]
[b]Pays de l'institution :[/b]
[b]Domaine scientifique (Supprimez un domaine scientifique si non concerné.) :[/b]
-Glaciologie
-Océanographie
[b]Objectif principaux du projet :[/b]

Demande de coopération scientifique
Nom de l'institution : Gouvernement de la République Démocratique du Neved
Pays de l'institution : République Démocratique du Neved
Domaine scientifique :
- Glaciologie
- Océanographie

Durée de la coopération scientifique prévue : 1 an (renouvelable)

Objectifs principaux du projet :
- Étudier les dynamiques de fonte des calottes glaciaires et leurs implications sur l’élévation du niveau des mers à l’échelle planétaire.
- Mettre en place un réseau commun de surveillance océanographique pour analyser les variations de température, salinité et courants marins dans les zones polaires.
- Favoriser l’échange de données, d’expertises et de protocoles de recherche entre les institutions scientifiques du Neved et du Centre Polaire Niverien.
- Publier conjointement les résultats obtenus dans des revues scientifiques internationales à comité de lecture.
- Initier un programme de mobilité académique entre chercheurs, étudiants, ingénieurs et doctorants des deux pays.
- Étudier l’impact du changement climatique sur les écosystèmes marins et glaciaires de la région.
- Élaborer des recommandations pour une meilleure préservation de la biodiversité marine et cryosphérique en zone polaire.
- Coorganiser des séminaires et ateliers scientifiques ouverts aux institutions partenaires et aux instances internationales.

Demande de coopération scientifique
Nom de l'institution : Ministère annanos du Développement territorial en Nivérée
Pays de l'institution : L'Île Démocratique d'Anna (IDA)
Domaine scientifique :
-Astronomie
-Cryologie

Nom du projet : ARCN (Astronomie et Recherche Cryologique en Nivérée)

Contexte général : Dans le cadre du renouveau scientifique du continent nivéréen et de la réouverture du radiotélescope Khione à la station Polaris A33-01, le gouvernement d’Anna souhaite initier une coopération bilatérale avec le Centre Polaire Nivérien, en vue de renforcer la recherche scientifique dans des domaines stratégiques tel que l’astronomie de haute précision ainsi que l’étude cryologique des milieux extrêmes.
Objectif principaux du projet ARCN :
-L’étude approfondie du fond diffus cosmologique à l’aide du radiotélescope Khione, récemment remis en service.
-La mise en place d’une mission cryologique mobile annanos dédiée à l’analyse des glaces profondes de Nivérée.
-La création d’une base de données scientifique nivéréenne ouverte, favorisant la circulation des savoirs et la collaboration internationale.
-L’organisation d’un programme d’échanges scientifiques bilatéraux, incluant chercheurs, ingénieurs et étudiants annanos.
-Renforcer les liens diplomatiques et scientifiques entre Anna et les institutions nivéréennes.

Durée de la coopération scientifique prévue : 2017–2024 (phase initiale de 7 ans, renouvelable)

Demande de coopération scientifique
Nom de l'institution : Agence Spatiale Tanskienne pour la Recherche et l'Exploration
Pays de l'institution : République Fédérale de Tanska
Domaine scientifique (Supprimez un domaine scientifique si non concerné.) :
-Océanographie
- Etude la haute atmosphère
Durée de la coopération scientifique prévue : 5 ans
Objectif principaux du projet :
L'objectif serait pour l'Agence Spatiale Tanskienne pour la Recherche et l'Exploration de former avec le Centre Polaire Niverien un centre de tir de fusée sondes dans le cercle polaire. Un tel centre aurait des capacités extrêmement limités en cela qu'il ne viserait qu'à des tirs de fusées sondes dédiées à l'étude la haute et très haute atmosphère au pôle sud ainsi qu'à l'envoi de ballons en très haute atmosphère là encore, mais pour de plus longues durées. L'ASTRE est l'une des principale agences spatiales dans le monde et dispose déjà de nombreuses capacités scientifique et d'un programme en constante évolution. La localisation du Centre Polaire Nivérien est donc particulièrement avantageuse à ce titre et l'étude de la très haute atmosphère polaire servira aux deux pays ainsi qu'à la communauté scientifique internationale.

Demande de coopération scientifique
Nom de l'institution : Ministère des Sciences et de l'Espace
Pays de l'institution : Union et Empire des Cités d'Akaltie
Domaines scientifiques :

• Glaciologie
• Océanographie (et courantologie)
• Biologie
• Paléontologie
• Climatologie

Durée de la coopération scientifique prévue : indéfinie
Objectif principaux du projet :
Établissement de stations permanentes permettant aux chercheurs akaltiens de venir en Niverée récolter toutes les données dont ils auront besoin pour leurs recherches dans divers domaines. Le but est également de faire avancer la science au niveau mondial, en coopérant donc avec autant de pays que possible, dont évidemment le Centre Polaire Niveréen.

Demande de coopération scientifique
Nom de l'institution : Institution national d'océanographie du San Youté (I.N.O)
Pays de l'institution : San Youté
Durée de la coopération : Indéterminée
Domaine scientifique :
-Océanographie
Objectif principaux du projet :
Collaborations entre nos 2 nations dans le cadre du projet ORCA, vous pourrez en savoir plus si dessous :
Projet ORCA (article de l'encyclopédie)La collaboration devrait amener l'installation d'une quinzaine de scientifiques dans l'une de vos base ainsi que l'installation d'un navire scientifiques qui devrait patrouiller dans le secteur pour récupérer des données sur la faune et la flore sous-marine.

Demande de coopération scientifique de l’Université d’Etat d’Agartha
Nom de l'institution :Université d’Etat d’Agartha

Pays de l'institution :Troisième République du Jashuria

Domaine scientifique (Supprimez un domaine scientifique si non concerné.) :
-Biologie

Objectif principaux du projet :
Le programme « Lajja Gauri » est un programme de développement de semences adaptées à des milieux polaires. La coopération entre l’Université d’Etat d’Agartha et le centre polaire nivéréen permettra de concevoir des semences spécifiques à la colonisation des espaces polaires ou arctiques afin d’assurer la subsistance des populations qui seront amenées à s’implanter dans les cercles polaires. Les biologistes et les chercheurs en agronomie du département de recherche agroalimentaire et de biologie appliquée à l’agriculture seront déployés sur une base de recherche dotée de serres spécifiquement créées pour le projet. Les résultats de ces recherches seront testés dans des environnements confinés afin de limiter les risques et de s’assurer de contrôler la croissance.

Demande de coopération scientifique
Nom de l'institution : Expédition Sorbetière
Pays de l'institution : Duché de Sylva
Domaine scientifique :
– Anthropologie
– Archéologie
– Étude des migrations
Objectifs principaux du projet :

Carte des flux migratoires hypothétiques
L'expédition Sorbetière fait suite aux travaux anthropologiques de divers chercheurs sylvois prédisant des migrations d'Homo sapiens depuis l'Afarée jusqu'à Paltoterra en passant par le Nivérée (illustration si dessus). Si des traces ont pu être retrouvées sur d'autres tracés (notamment aleuciens ou nazumis), ce n'est pas (encore ?) le cas en Nivérée. L'expédition Sorbetière a conséquemment pour ambition de relever des traces de passages humains datant d'il y a plus de douze millénaires, et est montée par plusieurs instituts anthropologiques soutenant cette thèse et souhaitant obtenir des preuves matérielles concrètes pour valider leurs hypothèses comme des théories crédibles et reconnues. C'est une étude sur cinq années potentiellement renouvelées qui est prévue et compteront un ensemble d'équipes spécialisées aptes à mener une analyse étendue sur un ensemble de facteurs :

• Carottes sédimentaires et glaciaires pour retrouver des traces de matière organique tel que de l'ADN, des excréments, ossements ou dépôts végétaux emportés par les Homo sapiens ayant fait le trajet.
• Recherches d'artefacts et vestiges tels que des silex ou ossements usinés.
• Analyse approfondie des périodes glaciaires pour étudier le caractère pratique d'une telle migration à cette époque.
• Analyse des vestiges bactériologiques piégés dans la glace et recoupés avec des analyses du même genre sur les autres continents pour faire une observation globale.

Sans surprise, la plupart de ces analyses risquent de donner de très maigres résultats pris indépendamment les unes des autres. On s'attend même à ce que certaines recherches soient simplement vouées à l'échec (tel que la recherche de vestiges archéologiques comme des outils ou ossements). La corrélation des champs de recherches complémentaires permettraient toutefois une vision globale cohérente apte à apporter des éléments de preuve concrets. Une étude bactériologique mettant en évidence la présence d'organismes étroitement liés à la vie humaine et datant de dizaines de millénaires plus tôt, couplé à des tracés d'ADN fossilisés (même parcellaire et ne pouvant pas être identifié avec certitude comme étant humain) permettrait de consolider cette théorie prise très à cœur.

Concernant le matériel et les équipes, elles seront au nombre de dix et iront de cinq à vingt membres pour un total de cent spécialistes impliqués (que ce soient des techniciens, guides, experts de survie en milieux antarctique et enfin des chercheurs agréés). Le matériel comprendra un ensemble de véhicules adaptés, le nécessaire d'instrument pour faire les relevés d'échantillon et de quoi analyser l'ensemble dans les laboratoires. Conformément aux exigences locales, ce seront des infrastructures nivériennes qui seront employées pour loger tout ce beau monde.

Il est également possible que l'expédition intègre à terme des équipes supplémentaires avec du matériel de cartographie acoustique pour relever la topologie sous la calotte de glace, des instruments spectromagnétiques permettant de relever des anomalies potentiellement liées à une présence humaine, et enfin des drones avec radar ou lidar pour parfaire cette cartographie. Une partie de ces observations devra se faire spécifiquement en état quand la glace est la moins épaisse, voir absente par endroit. Les observations aériennes permettraient potentiellement de compléter ces relevés avec l'observation d'empreintes au sol figées dans la glace, qu'il serait possible de mettre en évidence via une analyse multispectrale.