05/08/2017
19:07:36
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NJ3 République du Moranza (Fini).

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Création de pays : République du Moranza


Généralités :



Nom officiel : République du Moranza
Nom courant : Moranza
Gentilé : Moranzais, Moranzaine

Inspirations culturelles : Namibie, Rwanda, RDC, Mali, guerre d'indépendance du Soudan du sud, Biafra
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Antérinien
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Français

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Unité et patrie
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Zanar

Capitale : Aboli

Villes majeurs : Aboli, Port de Lanvre, Mwani la colline, Saint-Copain les baies.

Population : 68 230 000 habitants

Nom du dirigeant: Benoît Colin


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

La République du Moranza est un vaste pays Afaréen, créé sous sa forme actuelle à partir de 1967. Le pays est une république présidentielle depuis 1987, date de la fin de la fin de la dictature de sa précédente entité. Sont président est Benoît Colin depuis 2010, arrivé au pouvoir démocratiquement mais celui-ci à des dérive autoritaire, par exemple il à interdit plusieurs parti au parlement, il à allongé le mandats présidentielle de 4 ans à 10 ans et à également supprimé certain média d'opposition.

Le pays possède une géographie très varié, un désert et des zone aride sur sa partie occidentale marque la frontière avec l'Anterie, au centre et à l'ouest du pays ont peu y retrouvé de large zone très dense en faune et en flore avec un temps très tropicale et un large massif est présent au centre-est du pays, le massif du Twilak. Le fleuve Gonda qui traverse la partie ouest du pays et qui marque une parti de la frontière avec le Gondo permet à l'ouest du pays de pratiqué une assez grosse agriculture dans ses région.
L'économie du pays repose presque exclusivement sur l'exploitation de ressource naturelle, du cuivre, du charbon et de l'or à l'ouest, du diamant, un peu de gaz et très peu de pétrole à l'est, alors qu'au sud et au centre l'agriculture et très pratiqué.

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La République du Moranza est officiellement divisée en quinze régions administratives. Cependant, depuis le début de la guerre du Moranza occidental, le gouvernement a perdu le contrôle de trois d’entre elles, la Nabnalie, le Gonda oriental ainsi que la Boulivie.

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La République du Moranza est plongée dans une guerre civile depuis 2012. Ce conflit, appelé guerre du Moranza occidental, a éclaté en raison de plusieurs facteurs.

Le premier est lié à la guerre civile au Gondo, déclenchée au début des années 2010. Ce conflit a fortement déstabilisé la région, et en particulier le Moranza. En effet, certaines ethnies présentes au Gondo, comme les Likras ou les Pitsi, vivent également au Moranza. Cela a provoqué une instabilité dans plusieurs régions du pays, une partie de ces communautés soutienne leurs camps violement commettant des agression et des crimes diverse.
Le second facteur est d’ordre politique. Le pays traverse une grave instabilité, la dérive autoritaire du président, une corruption généralisée (touchant environ quatre politiciens sur cinq), les luttes idéologiques et les tensions diplomatiques, notamment avec l’Anterie, ont contribué à fragiliser l’État.
Enfin, le troisième facteur est historique. Lors de la colonisation, le territoire moranzais avait été divisé en trois entités coloniales administrées de manière différente, ce qui a laissé des fractures profondes dans la société.

Aujourd’hui, quatre acteurs principaux participent au conflit, l'Armée de défense nationale du Moranza, contrôlée par le gouvernement (en blanc sur la carte). Le Mouvement d’indépendance nationaliste de la Nabnalie (en orange sur la carte). Le Mouvement démocrate ouest-moranzais (Modom) (en bleu sur la carte). Le Mouvement islamiste de libération (en vert foncé sur la carte). À cela s’ajoute la République d’Anterie (en vert clair sur la carte), qui occupe certains territoires moranzais depuis 1981.

Carte de la situation actuelle de la guerre du Moranza Occidentale:
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Histoire:

L’histoire de la République du Moranza commence vers l’année 1342. À cette époque, le territoire actuel du Moranza était peuplé de quelques petits villages dispersés, mais surtout dominé par deux royaumes principaux, le royaume de Marzan, à l’est, le plus puissant et le plus vaste de la région, et le royaume de Palis, à l’ouest. Les deux royaumes coexistaient dans un relatif calme, malgré quelques escarmouches ponctuelles.

Cette situation perdura pendant près de deux siècles, durant lesquels la région se développa, notamment grâce à l’émergence d’échanges commerciaux avec des régions voisines. Cependant, l’arrivée des colons eurysiens dans l’actuel Gondo, vers 1530, commença à déstabiliser la région. Cette présence divisa profondément les deux royaumes majeurs de l’actuel Moranza, qui adoptaient des positions totalement opposées sur la question. Cette divergence mena à la guerre du Morzan en 1584.

En 1623, l’Antérinie et la Kaulthie, souhaitant renforcer leur influence dans la région, s’allièrent avec le royaume de Palis. Ce soutien permit à ce dernier de prendre l’avantage sur le royaume de Marzan, dont l’armée, mal équipée et désorganisée, dépendait des contributions régionales. En 1624, Marzan subit une défaite décisive à la bataille d’Aboli, l’obligeant à signer un traité de paix. Le royaume dut céder deux comptoirs commerciaux au sud à l’Antérinie, tandis que la Kaulthie obtint le droit de transformer le royaume de Palis en protectorat.

Peu à peu, ces deux puissances étendirent leur influence sur le territoire moranzais. Plusieurs missionnaires chrétiens anteriniens s’installèrent dans les comptoirs, cherchant à convertir de force la population, sans que les autorités coloniales ne réagissent. Mais en 1666, face à l’augmentation des taxes imposées au royaume du Moranza et à divers litiges frontaliers, celui-ci tenta de reprendre ses anciens territoires par les armes. Une nouvelle défaite entraîna toutefois l’annexion complète du territoire par l’Antérinie et sa division en deux entités coloniales.

À la suite de la sécession du Garmflüßenstein en 1784, détaché de la Kaulthie, le protectorat kaulthe, majoritairement peuplé de Garmflüßensteinois, choisit de rejoindre ce nouvel État et devint une colonie garmflüßensteinoise. Les nouveaux administrateurs accordèrent alors d’importants privilèges aux colons allemands, notamment en matière fiscale.

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Vers les années 1830, le Garmflüßenstein, à court d’argent pour assurer l’administration et la sécurisation de sa colonie, et affaibli par une révolte sur son propre territoire national, se retrouva en grande difficulté. Les autorités de la colonie durent faire face à une guérilla menée par les populations locales, marquée par de nombreux assassinats d’administrateurs garmflüßensteinois et par des attentats réguliers.
Acculé, le Garmflüßenstein demanda l’aide de l’Antérinie, qui écrasa rapidement toute résistance. Cependant, au lieu de se retirer, l’Antérinie profita de la faiblesse de son allié et annexa de force le territoire, bénéficiant du soutien des royalistes garmflüßensteinois en échange d’une autonomie partielle.
Le territoire fut alors réorganisé en trois entités distinctes mais réunies sous le nom de Moranza et sous un même drapeau, afin d’en faciliter l’administration.

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En 1867, le Garmflüßenstein, désireux de reprendre sa colonie, envoya une importante flotte depuis son autre possession en Afarée centrale. Celle-ci bombarda la ville de Port-de-Lanvre, la conquit, et, à la suite de négociations entre les deux pays, obtint une petite portion de territoire. Toutefois, ce territoire fut annexé par l’Antérinie en 1878.

Au début des années 1900, peu de contestations ou d’actions indépendantistes eurent lieu, malgré l’existence d’un groupe moranzais clandestin de plus en plus influent, installé dans le massif du Twilak. Ce groupe tenta de rassembler des troupes en vue d’une révolution, qui éclata en 1934. Plusieurs milliers d’hommes s’emparèrent des grandes villes du sud, tandis que de nombreux attentats-suicides visaient les infrastructures coloniales, causant d’importants dégâts. L’armée anterinienne reprit finalement l’avantage, forçant le chef du mouvement, Bwola Bali, à rappeler ses troupes pour les réorganiser et lancer une guérilla. Le conflit se prolongea jusqu’en 1957, lorsqu’un célèbre activiste en faveur d’une libération pacifique appela à une grève générale et à l’arrêt du travail.

Face aux difficultés croissantes dans la colonie, le gouvernement anterinien accepta l’organisation d’un référendum sur l’indépendance. Celui-ci eut lieu en 1965, et les Moranzais votèrent à 89,3 % en faveur de l’indépendance. Le pays obtint son autonomie en 1967, sous le nom d’Union Kentwo-Moranzaine.

Bwola Bali prit alors le pouvoir. Il effaça les traces de la colonisation, réorganisa l’administration, interdit l’usage de l’allemand et déplaça la capitale de Saint-Copain-les-Baies à Aboli. Le pays connut alors une période de prospérité, notamment grâce à la découverte de gisements de gaz à l’est.

Mais dès 1971, Bwola Bali instaura un régime de plus en plus autoritaire, fermeture de nombreux médias d’opposition, répression violente des manifestations, surveillance accrue de la population et triplement du nombre de prisonniers en un an.

À partir de 1983, le régime commença à se fragiliser et des mouvements contestataires émergèrent dans tout le pays. Pour tenter de reprendre la main, Bwola Bali exploita les escarmouches répétées avec le pays voisin, l’Antérie (Antegrad), liées à des revendications territoriales remontant à 1967, et lui déclara la guerre. Si les forces de l’Union remportèrent quelques succès initiaux, elles furent rapidement surpassées par la supériorité aérienne et maritime de l’Antérie. Cette dernière s’empara de plusieurs grandes villes, dont Saint-Copain-les-Baies et Swazi, avant d’arriver aux portes de la capitale, Aboli.

Le dictateur Bwola Bali s’enfuit alors vers le Gondo, puis vers l’Aleucie, tandis que les troupes antériennes entraient dans la capitale. Elles firent chuter le gouvernement en place et mirent en place un gouvernement provisoire, qui proclama la République du Moranza. Un accord fut conclu entre les deux pays, l’Antérie se retira de la plupart des territoires occupés, mais conserva certaines zones frontalières.

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Troupe anterienne au bord de la capitale Moranzaine

Le nouveau régime démocratisa peu à peu la nation, organisation d’élections, rétablissement de la liberté de la presse, autorisation de tous les partis politiques et réduction significative de l’armée. Cependant, cet affaiblissement du Moranza provoqua la colère de nombreux conservateurs dans l’ouest du pays, où la question de l’indépendance commença à se faire de plus en plus entendre dans les débats publics.

En 2001, le parti indépendantiste remporta les élections régionales en Nabnalie et proclama la sécession de la région. Le gouvernement moranzais envoya alors son armée pour reprendre le contrôle. Mais celle-ci, désorganisée et affaiblie par les coupes budgétaires, connut de grandes difficultés durant les premières années du conflit. En 2004, toutefois, l’armée moranzaine reprit l’avantage et parvint à reconquérir la capitale régionale. En 2005, un accord de paix fut signé et la situation revint à celle d’avant-guerre.

En 2012, plusieurs groupes indépendantistes se soulevèrent et prirent le contrôle de diverses villes dans tout l’ouest du pays, pour des raisons cité plus haut. Plusieurs de ces groupes finirent par s’unir, laissant émerger trois forces principales dans le conflit: les indépendantistes ouest-moranzais, les indépendantistes nabnaliens et des groupes islamistes cherchant à prendre le pouvoir. La situation dégénéra en guerre civile, et jusqu’en 2016, le rapport de force évolua nettement en défaveur du gouvernement moranzais, notamment grâce au soutien militaire secret apporté par l’Antérie aux indépendantistes nabnaliens.
En 2017, sous l’égide de la médiation anterienne, les principales parties en présence acceptèrent à New-Maï une trêve temporaire.

Mentalité de la population :
Le peuple Moranzais est profondément divisé. D'abord sur le plan politique, entre ceux qui soutiennent le pouvoir en place et ceux qui s’y opposent. Mais ceux qui souffrent le plus de la guerre et de ses crimes sont les civils qui refusent de prendre part au conflit et qui souhaitent simplement mener une vie normale. Ces derniers sont souvent perçus comme des traîtres par les différents groupes armés.

Des divisions religieuses existent également les chrétiens, majoritaire et musulmans, principalement immigré anterien, qui souhaite renversé le gouvernement . À cela s’ajoutent des tensions ethniques.

Place de la religion dans l'État et la société :
La République du Moranza n’a pas de religion officielle, mais le christianisme y est largement majoritaire. On y trouve également une minorité musulmane, principalement composée de réfugiés terroriste venus d’Antérie.

Cependant, malgré leur majorité, les chrétiens sont la communauté religieuse la plus exposée aux violences. Profitant du contexte de guerre civile, plusieurs groupes organisent régulièrement des attaques contre les lieux de culte et les fidèles chrétiens.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
La République du Moranza est une république présidentielle. Le président est élu s’il dispose du plus grand nombre de députés au parlement à l’issue des élections. Le pays possède un parlement depuis 1983, composé de 707 députés, où siègent plus de dix partis politiques. Les élections présidentielles et législatives se tiennent tous les dix ans, simultanément.

Toutefois, les unions entre partis politiques sont interdites, ils ne peuvent que s’accorder ponctuellement sur certains votes ou inciter leurs électeurs à soutenir un autre parti.

Pour créer un parti politique, il est nécessaire de verser 400 000 zanars (la monnaie nationale) à l’État et de recueillir 1 120 signatures. Le président n’a pas le droit d’imposer de lois contre la volonté du parlement, comme interdire un parti ou instaurer un parti unique. Seul le parlement peut prendre de telles décisions par un vote.

Principaux personnages :
-Benoît Colin, président de la République du Moranza
-Jamal Nadim, premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la République du Moranza
-Jean Twali, ministre de la Défense et de la Sécurité de la République du Moranza
-Moktar Al-Desira, chef du Mouvement islamiste de libération
-Tamal Bassem, chef d’état-major de l’armée de terre Moranzais
-Danis Bomasa, chef du Mouvement démocrate ouest-moranzais
-Fatoumata Rojou, chef du mouvement d’indépendance nationaliste de la Nabnalie

Politique internationale :
La République du Moranza est relativement isolée sur la scène internationale. Depuis la chute du dictateur Bwola Bali et de son gouvernement, les rares pays qui disposaient d’une ambassade au Moranza les ont fermées. Cependant, le gouvernement moranzais cherche par tous les moyens à reprendre le contrôle de ses territoires, et tente pour cela d’obtenir le soutien de pays afaréens ou eurysiens.

Mais le gouvernement actuel n’est pas le seul à rechercher un appui auprès d'autres puissances: tous les différents groupes en conflit sont prêts à collaborer avec des entités extérieures pour atteindre leurs objectifs, qu’il s’agisse de prendre le pouvoir ou d’obtenir l’autonomie.

Information sur les différents groupes armée:



Mouvement démocrate Ouest-Moranzais (Modom) :

Ville majeur occupé: Mwani la colline
Dirigeant: Rual Gasser
Effectif armées: 4 000 soldats (Compté parmi les soldats du pays)
Soutient: Aucun
Idéologie: Socialo-communiste
Objectif: Independence

Mouvement islamiste de libération :

Ville majeur occupé: Acoujik
Dirigeant: Mamadou Rizkir
Effectif armées: 500 soldats (Compté parmi les soldats du pays)
Soutient: Aucun
Idéologie: Islamiste
Objectif: Prendre le pouvoir

Indépendantiste Nabnalie :

Ville majeur occupé: Owaba
Dirigeant: Ekwanji Boko
Effectif armées: 1000 soldats (Compté parmi les soldats du pays)
Soutient:
-République démocratique d'Anterie
Idéologie: Panafaréenne
Objectif: Indépendance
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La fiche semble bien, elle est complète avec une histoire harmonisée et liée à ses voisins. Je transmets un avis favorable à la modération qui jugera d'elle-même. Toutefois, j'ai une question : ton dernier roi est mentionné début de 20ᵉ siècle pour rassembler une armée, mais il n'est détrôné qu'en 2007 ? Ce n'est bien-sûr qu'un détail, mais la durée de vie m'interroge 😄.
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Imperator_J a écrit :
Douanehttps://srv.latostadora.com/image/idee-cadeau-humour-douanier-douane--id:76c3e55e-7829-4a91-92ee-5cb9f131ce55;s:H_A1;b:f2f2f2;w:520;f:f;i:135623135623201709261.jpg

La fiche semble bien, elle est complète avec une histoire harmonisée et liée à ses voisins. Je transmets un avis favorable à la modération qui jugera d'elle-même. Toutefois, j'ai une question : ton dernier roi est mentionné début de 20ᵉ siècle pour rassembler une armée, mais il n'est détrôné qu'en 2007 ? Ce n'est bien-sûr qu'un détail, mais la durée de vie m'interroge 😄.

Merci pour ton avis, en effet il s'agit d'une erreur qui seras modifier
Les NJ secondaires ont maintenant le Droit à soixante provinces en Afarée à condition de rentrer dans les terres. Souhaites-tu augmenter le nombre de provinces de la situation géographique que tu demandes ou bien je valide ta fiche en l'état ?
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Non je préfèrerai garder ma fiche en l'état, merci de proposé
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Finalement, j'ai ajouté des provinces afin de ne pas laisser de vides. La fiche est terminée et les cartes historique seront probablement modifiées dans deux voir trois semaines .
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Modification terminé.
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