11/05/2017
23:12:24
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Lieu d'interêt (RP ouvert) - Le Grand forum des mercenaires d'Adria

Le Grand Forum des mercenaires d'Adria

La ville des arts et des lettres cherche ses protecteurs


a


" Le poète velsnien, le grand Lazziano Di Canossa, a dit un jour "qu'il est beau, qu'il est beau de servir sa patrie.". Non pas que j'eus été entièrement d'accord avec cette affirmation, moi-même ayant des réserves sur le fait de mourir vainement pour son pays, mais ces mots sont utiles pour comprendre ce qu'est le moteur de chaque cité fortunéenne, et à quel point leur chemin a pu diverger sur ce qu'est le patriotisme. Les velsniens associent intrinsèquement patriotisme et service militaire, car la Garde civique est depuis toujours le plus grand vecteur de démonstration de la puissance du collectif citoyen. Les apaméens, eux, ont fait de la délibération publique l'expression même de l'attachement à sa cité, et figurer dans ces assemblées n'est pas un honneur comme à Velsna, mais un devoir. Les habitants de la cité la plus orientale, celle qui se dresse au confins de la Manche Blanche, Adria, le brillant phare dans l'obscurité du pays pharosi, oui...ceux ci ont trouvé une autre qualification au concept de patriotisme. Innover, travailler sur soi, trouver sa voie...tels sont les attributs mis en avant dans le service de la patrie: travailler sur son individu pour faire rejaillir ses acquis sur le collectif.

Dans ce contexte, inutile de dire que la guerre a été un domaine très tôt dissocié des valeurs civiques. Adria est ainsi l'une des seuls cités de la Dodécapole à ne pas entretenir de levée citoyenne, bien que la recréation récente du bataillon sacré rebatte quelque peu les cartes. La ville n'a pas connu le moindre conflit majeur depuis plusieurs siècles, au bas mot. Mais les choses ont changé depuis le renversement du gouvernement de Volterra par l'aventurier Salvatore Lograno, et les habitants de la ville ont prit conscience de leur vulnérabilité: ce qui s'est passé à Volterra peut se reproduire chez eux, à l'instar du reste de la Dodécapole. Pour couronner le tout, l'ampleur de la campagne de recrutement de mercenaires par le "prince de la crypto" a achevé de convaincre les autorités universitaires d'Adria dans le caractère impératif de se doter d'une véritable force de défense. Dans un monde idéal, Volterra se serait volontiers passé de mercenaires, d'autant que Volterra a justement chutée de la main de l'un d'entre eux. Mais ma formation d'une armée est processus lent, laborieux et coûteux, et ce temps manque cruellement aux gens d'Adria. Ainsi a été prise la décision de la création d'un forum dédié au mercenariat dans la cité orientale, dans un modèle qui ressemble à celui de la cité concurrente de Volterra: une solution provisoire à un problème urgent."

- Gina DiGrassi



HRP: Bienvenue au Grand Forum des mercenaires d'Adria, le lieu de rassemblement crée par la cité d'Adria dans l'optique d'assurer sa défense. Cela fait désormais plusieurs mois que l'inquiétude monte au sujet du nouveau dirigeant de Volterra, et les autres cités de la Dodécapole semblent avoir pris le pli de cette situation: nous assistons à une militarisation accélérée de la quasi totalité d'entre elles. Cet endroit est donc parfait pour les individus à la recherche d'un travail à la fois dangereux et aventureux. Ce topic est donc fait pour ceux qui entendent candidater pour faire partie d'une armée destinée à la protection de l'un des joyaux du monde fortunéen: Adria, la ville des arts, des lettres et des sciences par excellence. Vous pourrez également créer des personnages de mercenaires afin de participer aux pérégrinations de ceux ci au sein de cette cité, la plus orientale de la Dodécapole, où les enjeux de son emplacement stratégique et la défense du canal vous tiendront très probablement éveillés.

L'annonce pour une candidature de groupe mercenaire doit prendre la forme suivante:
[b][u]Nom de l'entité contractuelle (gouvernement/groupe mercenaire):[/u][/b]
[b][u]Effectifs engagés:[/u][/b]
[b][u]La matériel est fourni par l'entité contractuelle ? (la cité d'Adria doit-elle fournir votre matos):[/u][/b] OUI/NON
[b][u]Niveau d'armement si équipement fourni:[/u][/b]
[b][u]L'entité contractuelle est-elle prête à fournir des véhicules d'infanterie et de soutien au régiment proposé ? Si oui, lesquels[/u][/b]
[b][u]Nom du commandant de régiment (biographie optionnelle)[/u][/b]:
[b][u]Histoire du groupe:[/u][/b]

Le format de présentation d'un personnage à titre individuel est quant à lui entièrement libre. En effet, il est encouragé de présenter des personnages particuliers qui auront une place selon vous dans le récit.

ATTENTION: Veuillez prendre contact avec les autorités de la cité AVANT de poster ici.
Nom de l'entité contractuelle (gouvernement/groupe mercenaire): Chasseurs de Strombola et de Velathri (CSV)

La matériel est fourni par l'entité contractuelle ? (la cité d'Adria doit-elle fournir votre matos): OUI

Effectifs pouvant êtres embauchés (potentiellement) :
- Deux tribunes de 1 000 chasseurs chacune, soutenus par une tribune d'auxiliaires (2 000 soldats professionnels, 1 000 soldats réservistes)
. 2 000 armes légères lvl11, 1 000 armes légères lvl1 pour les troupes auxiliaires
. 300 mitrailleuses lvl10
. 300 mortiers lvl8
. 300 lance roquettes lvl8
. 300 lance missiles anti chars lvl7
. 10 canons tractés lvl10
. 10 mortiers tractés lvl10
. 10 lance roquettes multiple lvl7
. 20 véhicules blindé léger lvl9
. 20 transports de troupe blindés lvl9
. 20 véhicules de combats d'infanterie lvl9
. 30 véhicules tout terrain lvl10
. 30 camions de transport lvl7
. 20 camions citernes lvl8
. un pont mobile lvl1
. 10 véhicules de déminage lvl6
. 10 véhicules radio lvl6
. 5 véhicules radar lvl7

ATTENTION: ces effectifs sont le maximum théorique pouvant être engagé par la compagnie, ils sont actuellement réduits à 1 000 hommes, ce qui comprend la matériel, en raison d'autres déploiements actuels ailleurs sur le globe, et du fait que la cité d'Adria n'emploie pas l'intégralité du groupe actuellement.

Niveau d'armement si équipement fourni: lvl max

L'entité contractuelle est-elle prête à fournir des véhicules navals ? Si oui, lesquels: non

Nom du commandant de régiment (biographie optionnelle et photo optionnelle): Faustino Mardonios
Père achosien et mère strombolaine, le Condottière Mardonios est un parfait et banal produit de sa région natale, et surtout, reflète bien la composition sociale des chasseurs strombolains. Comme beaucoup, il est en effet de notoriété commune que cette troupe soit en grande partie constituée de notables désargentés, lesquels partent au loin afin de se refaire une fortune. Mardonios est de ceux là, mais il a été meilleur que les autres, à tel point que lui, est devenu commandant des trois tribunes composant cette petite armée mercenaire. Son rôle a été particulièrement notable dans un certain nombre de faits d'armes, où il s'est distingué par son sens de initiative, de la surprise, et son agressivité, chose qui est recherchée dans la doctrine militaire velsnienne. La bataille d'Hippo Reggia a été son plus beau fait d'armes, au cours duquel la troupe de Mardonios a contenue les assauts d'une armée scaelienne bien plus nombreuses dans les rues de la petite ville de province, le temps que le reste des forces digrassiennes effectuent l'encerclement qui a fait remporter la guerre à ce dernier.


Personnages notables pour le RP: Gina Di Grassi

Histoire du groupe (optionnel):
Dans la théorie, chaque cité libre intégrée dans la Grande République de Velsna a sous sa responsabilité ses propres forces armées, et le contexte local dans lequel elles évoluent conditionnent grandement le sérieux par lequel elles assurent cette force. Dans les faits, il est ainsi commun que beaucoup privilégient d'autres dépenses au détriment de leur défense, se reposant sur l'armée velsnienne, la garde civique de la capitale assurant de facto un rôle d'armée nationale qui doit assistance à toutes les villes ou entités s'acquittant d'un impôt auprès d'elle. Toutefois, il est des cités qui, au contraire, plutôt de payer cette taxe en argent, s'en acquittent en nature: les cités d''Achosie du Nord,, Strombola et Velathri, sont dans ce cas là. La combinaison de l'éloignement de la métropole velsnienne et d'une rivalité séculaire avec les populations celtiques locales ont conduit à réémergence au fil des siècles, à une longue tradition martiale dans les cités velsniennes d'Achosie du Nord: Strombola et Velathri. Plutôt que de payer l'impôt annuel dû à Velsna, il a ainsi été commun à ces cités de "payer" cette taxe en recrues pour la Grande République, la plupart du temps issues de familles de propriétaires terriens capables de s'offrir leur propre équipement. Ces éléments ont rapidement acquis la réputation d'être le fer de lance de la plupart des armées velsniennes, à l'occasion des guerres celtiques, puis des guerres zélandiennes. Aujourd'hui, on les connaît sous le nom de "Chasseurs de Strombola" et "Chasseurs de Velathri". La composition sociale de ce groupe de mercenaires reflète parfaitement ce qu'est la petite aristocratie foncière d'Achosie du nord, qui n'a souvent de fortune, en plus de leurs terres qu'ils possèdent, leurs armes qui sont pour eux le principal indicateur de leur citoyenneté. Ce corps est également remarquablement hétérogène, puisqu'il accueille les gens de bonne naissance, qu'ils soient velsniens ou achosiens.

La guerre civile des Triumvirs a été l'occasion pour ces jeunes hommes et ces jeunes femmes de briller, s'illustrant aux côtés des forces du Triumvir Matteo Di Grassi (lui-même issu d'une famille liée à cette organisation), mais la fin du conflit a eu un effet des plus néfastes, démobilisant un pourcentage non négligeable de ces effectifs, qui entre temps avaient appris à vivre de la guerre. Dans ce contexte de paix retrouvée, le mercenariat est devenu une solution commode pour les cités de Strombola et de Velathri, qui y ont également vu la perspective d'une manne financière facile. En effet, les cités de la Grande République, sont tout à fait dans leurs droits lorsqu'il s'agit de prêter leurs surplus d'effectifs à l'étranger, dés lors que les impôts sont payés.

Sur ces 2 000 achosiens du nord prêts à partir à l'étranger à la recherche de la fortune, on compte ainsi 1 000 vétérans de la guerre civile velsnienne, et parmi les plus vieux, des anciens combattants de la Guerre de l'AIAN qui a ravagé l'île celtique jusqu'en 1997. A leurs côtés, des recrues, jeunes hommes et jeunes femmes flirtant avec la vingtaine d'années qui ont bénéficié du service militaire obligatoire de leur cité, et dont la formation est réputée parmi les meilleures de la Grande République. On considère, non sans raison, que l'Achosie du Nord produit les meilleures recrues de l'armée velsnienne, et il est fort probable que leur concours (moyennant finance) ne soit pas de trop pour quelle cité de la Dodécapole les emploie.
Nom de l'entité contractuelle (gouvernement/groupe mercenaire): Ordre Eurysien des Chevaliers Universitaires

Effectifs engagés: 350 hommes à ce jour (sera amené à se renforcer)

La matériel est fourni par l'entité contractuelle ? (la cité d'Adria doit-elle fournir votre matos): OUI

Niveau d'armement si équipement fourni:
  • 350 Armes légères d'infanterie de Niveau 11
  • 37 Mitrailleuses lourdes de niveau 10
  • 20 Mortier léger de Niveau 7
  • 1 Lance-roquettes de niveau 9 (Excalibur)
  • 1 Lance-missiles antichar de Niveau 10 (Perce-vilain)

L'entité contractuelle est-elle prête à fournir des véhicules d'infanterie et de soutien au régiment proposé ? Si oui, lesquels
  • 15 Véhicule léger tout-terrain d Niveau 7
  • 20 Véhicules utilitaire de Niveau 8
  • 2 Autobus de niveau 7
  • Un Véhicule e transmission radio de niveau 7

Nom du commandant de régiment (biographie optionnelle):

Beaucoup estiment qu'il est nécessaire, pour comprendre le docteur Bishop, de comprendre la nature de son maître à pensée. Car Andrean Gabriel d'Alcyon n'était pas un simple mentor, mais un titan, une force cosmique dont l'ombre s'étend bien au-delà des frontières du Grand Kah. Poète et saboteur, dandy et héros de guerre, il incarnait la contradiction faite homme. Son œuvre littéraire, ce "romantisme holocauste" qui a donné naissance au fantastique paltoterran, n'était que le brouillon de son véritable chef-d'œuvre : sa propre existence.

Homme de toutes les luttes, il a combattu contre les oppressions du Fujiwa, de la Listonie, boudé la "mollesse de Kotios" et célébré les pamphlets les plus hallucinés. Pour d'Alcyon, la révolution n'a jamais été une affaire de comités ou de programmes, mais un acte esthétique total, une sculpture de la réalité à coups de violence et de lyrisme. Il ne voit aucune différence entre l'écriture d'un poème et la planification d'un attentat ; l'un et l'autre visaient à imposer une vision, à briser l'inertie du monde par un geste d'une pureté brutale. L'une de ses œuvres les plus connues, au delà de son statut de monument littéraire, reste le "Camouflet de Chan Chimu", un poème écrit à la torpille qui a humilié l'Empire Kah-tanais et a gravé son nom dans la légende révolutionnaire. C'est l'homme capable de transformer une foule en masse docile, puis de prôner un individualisme forcené, un révolutionnaire internationaliste aux ambitions souvent perçues comme impériales.

Cependant, face à l'usure du temps, ce titan a compris que son corps mortel ne pourrait contenir une ambition aussi démesurée. Conscient de son propre crépuscule, il a cherché à assurer la survie de sa vision en la scindant en deux héritages distincts. Pour la guerre intestine, pour la purification idéologique du Grand Kah, il a adoubé la jeune et féroce Maiko. Sa "Thanatos". Mais pour porter le fer et le feu sur la scène mondiale, pour être le bras armé de sa vision globale et le vecteur de sa révolution sans frontières, il a choisi un disciple forgé à l'image de sa propre complexité, un homme capable de naviguer dans les eaux troubles de la géopolitique avec le même mélange de génie et de cruauté : Henry Bishop.

Et pourtant le bon docteur est bien plus que la voix de son maître.

https://i.imgur.com/LpZEWmc.png

Agrégé en philosophie et en sciences humaines, auteur de plusieurs traités, textes esthétiques, romans et poèmes, le Docteur Bishop est un homme de lettre dont le succès dépasse de loin ses relations amicales avec son légendaire mécène. Bishop a construit sa réputation dans le silence feutré des grandes bibliothèques et des amphithéâtres, ou la clarté rigoureuse de sa pensée à su lui attirer un public dévoué.

Parfaitement intégré dans les sphères universitaires internationales, il est titulaire de chaires dans plus d'une demi-douzaine de pays. Cependant, c'est sur le terrain que sa réputation s'est véritablement forgée. Ses liens étroits avec les Chevaliers Universitaires remontent en effet sur une participation active à plus d'une dizaine de missions visant à sécuriser des sites historiques, des musées ou des bibliothèques dans des zones de conflit, arrachant la mémoire des peuples aux flammes de la barbarie.

C'est cette double légitimité, à la fois intellectuelle et opérationnelle, qui lui a récemment valu d'être nommé par acclamation à la tête d'une des cohortes du Chapitre Eurysien, une promotion directement liée à l'influence grandissante de la nouvelle Albi, jeune université triomphante issue de la commune martyre mais victorieuse de Kotios. Soutenu par certains des clubs estudiantins les plus organisés et les plus secrets, Bishop incarne du reste un certain idéal aristocratique du savoir. Technocrate et esthète, il ne croit pas à la méritocratie au sens commun du terme, mais bien à la capacité intrinsèque du savoir et de ceux qui le manient à rendre les choses meilleures.

L'intervention des Chevaliers Universitaires en Adria est aujourd'hui son grand projet, une entreprise qu'il considère comme l'application concrète de toute sa philosophie. Et il compte bien le mener personnellement.



Histoire du groupe:

https://i.imgur.com/jIN5I1t.png

L'Ordre trouve ses racines dans le bouillonnement intellectuel et politique des universités du Grand Kah au milieu du XIXe siècle. À cette époque, l'Union soutenait déjà - bien qu'indirectement - les guérillas et les mouvements d'indépendance à travers le globe, envoyant conseillers militaires et brigades de volontaires. C'est dans ce contexte qu'un groupe de jeunes historiens, sociologues et archivistes fit le constat que chaque conflit était aussi un culturicide. Les puissances coloniales nouvellement établis ou les nouvelles dictatures qui leur succédaient brûlaient les archives, pillaient les sites historiques et détruisaient les bibliothèques pour effacer la mémoire des peuples et imposer leur propre récit.

Inspirés par la mission séculaire de l'Ordre des tlacuiloque (ordre millénaire de scribes kah-tanais voués à la préservation du savoir), mais frustrés par leur doctrine de non-intervention, ces jeunes universitaires avancèrent une nouvelle thèse : la préservation du savoir devait devenir un pendant culturel et humanitaire des luttes armées.

Les premières expéditions, financées discrètement par des mécènes et des syndicats kah-tanais, furent menées sous le nom informel de "brigades du savoir". De petits groupes d'universitaires, formés à la survie et à l'autodéfense, s'infiltrèrent dans les zones de conflit en Afarée et au Nazum afin de protéger des sites sensibles, mettre des reliques inestimables à l’abri ou de lutter aux côtés des populations autochtones.

Ils négocièrent avec les chefs locaux pour accéder aux villes assiégées, exfiltrant des manuscrits précieux dans des caisses de munitions vides. Ils recopièrent, photographièrent et et microfilmèrent des registres entiers. Ils formèrent des milices locales à la protection des sites archéologiques, essayant de les convaincre que la défense de leur histoire était aussi vitale que celle de leurs frontières. C'est durant cette période qu'ils gagnèrent le surnom de chevaliers universitaires, qui fut finalement adopté quant ces groupes se structurèrent de façon plus conséquente. De simple réseau de volontaires, ils devinrent progressivement une organisation structurée. Les chapitres continentaux furent créés, eux-mêmes divisés en cohortes régionales. En Eurysie, leur centre spirituel et doctrinal s’est installé en Albi, puis à Kotios. C’est là que la nouvelle génération de Chevaliers est actuellement formée au sein des étudiants étrangers et internationaux.

Désormais les Chevaliers Universitaires sont un ordre d'envergure internationale et dont les membres sont recrutés dans les meilleures universités du monde. Leurs interventions sont chirurgicales, généralement discrètes, et toujours guidées par un principe : la perte d'un savoir est une défaite pour l'humanité entière.
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