I) Gallénore III de Bragance-Lyonnance

Rôle : Archiduchesse de Mirinegratz, Ordonnatrice de la Haute-Cour, Prétendante malgré elle aux Trônes de Telya et Loduarie,
Grande Compagnie : Les Sept Calices, rassemblant majoritairement des mercenaires francophones et ayant intégré récemment d'anciens membres de l'armée Loduarienne à la chute du Pays ainsi que des malcontents du règne des Courvoisiers en Telya.
Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités Francophones ou proche de ses cousins, Méprise ceux qui n'aiment pas le Vin, entretiens une rancune contre Caratrad suite à une intoxication alimentaire après s'être essayé à la cuisine du pays.
Bref Résumé :
Comme l'on dit dans le jargon, la pomme ne tombe jamais loin du pommier et le dicton est on ne peut plus vrai en ce qui concerne la Nouvelle Archiduchesse siégeant à Mirinegarde. Née Gallénore Aliénor Blanche de Bragance-Lyonnance, sa naissance ne fut guère dans le pourpre et certainement pas dans le faste et la chaleur d'un Palais qui sied à la descendante de la Branche cadette de cette ancienne maison royale Telyaise qui occupa aussi fut le Trône Loduarien en s'unissant aux Lyonnance de Lyonnars en des temps reculés. Non, elle vit le jour au sein d'une tente de fortune avec l'aide d'un Docteur aux diplômes plus que douteux et une foule de vauriens alcooliques, édentés et bagarreurs qui ne l'acclamèrent pas moins comme une petite princesse. D'aucun s'interrogerait sur de tels circonstances, mais les Contrats étaient sacrée, et les lointaines campagnes ne permettaient pas toujours de loger dignement, l'on faisait avec que l'on avait. C'était ainsi, c'était la voie du mercenaire. Si sa Mère eut sans doute espérée secrètement qu'elle ne suive guère son exemple, c'était peine perdue, tel Mère tel fille, l'enfant tenait bien d'elle en tout point et ses "précepteurs" ou ce qui s'en rapprochait le plus dans la Grande Compagnie, à dire vrai des gens avec plus d'expérience pratique que de savoir théorique à l'exception l'Oncle Frédéric était fin connaisseur de l'histoire et adepte de la "bonne culture" étaient unanime pour soutenir que c'était une petite "Archiduchesse en herbe".
Et qu'elle jeunesse ma parole, petite Gallénore en vit du paysage à travers le monde, du sanctuaire exotique Nazuméen aux savanes Afaréennes jusqu'aux jungles Paltoterranes en passant par les vastes plaines des républiques Aleucéennes, finalement ce fut dans le vieux monde lui même avec ses grandeurs, ses mémoires et son cirque perpétuel, qu'elle passa le moins de temps. Une existence à côtoyer les "Pires individus" si l'on en croyait les médisances de la bonne société qui savait tout mieux que la plèbe, mais qui fut certainement plus épanouissante que n'importe quelle vie cloitrée dans un Palais ennuyeux. Il y avait quelque chose de plus fascinant après tout dans la connaissance de la mécanique d'un avion de chasse que de savoir quelle fourchette utiliser pour tel toast. Elle reste d'ailleurs fermement campé sur cet avis même maintenant que feu sa Mère n'est plus et qu'elle a prit sa place sans les fils des calices ne le conteste. Elle était des leurs, depuis toujours. Elle avait sué, pleuré et saigné avec eux, dans la gloire comme les débâcles. C'était ainsi, elle était la digne héritière de la première Dame de l'Aristocratie Mercenaire. La Mère des Calices, car tous ceux qui versent le sang avec elles sont ses frères comme ses fils.
Et ces derniers la soutiendrait corps et âme si elle daignait un jour aller revendiquer "son héritage", mais y accorde-t-elle seulement son attention ? Telya, la Loduarie. Ce sont des terres lointaines, sa demeure est le cockpit de son engin, elle est partout chez elle. Pourquoi irait-elle s'encombrer de trônes dont elle n'a que faire ? Enfin... Officiellement elle "Revendique." Pour la forme. Pour le prestige. Et pour irriter volontaire la fierté de ceux là même qui la considère elle et sa lignée comme des chiens galeux indignes de la famille et du sang bleu, un mépris qu'elle rend bien à la moindre occasion. Leur rappeler son existence via ses "droits" est la meilleure insulte qu'elle puisse leur faire systématiquement. Mais de là à franchir le pas ? De toute façon elle ne ferait rien de ces trônes ou de ces pays. La Gouvernance n'est pas son centre d'intérêt, elle délègue autant que possible, car ce n'est pas son rôle de superviser et d'oppresser, ce serait contraire à son existence même qui incarne la source de la haine de tous ces " vrais aristocrates, la Liberté la plus pure. Car c'est là le secret de sa satisfaction perpétuelle, Gallénore est Libre, bien plus que tous les chefs d'états et les Grands traditionnels. Elle vit comme elle l'entend, avec panache, dans la gloire, tel les vrais chevaliers des origines et des légendes.
Et en ce sens, elle est certainement la plus authentique des nobles, vivant comme ils devraient. Versant son sang de son propre choix, en faveur de ceux qu'elle choisie, ramenant mille et unes richesses pour son compte ainsi que son... Point de chute. Car même si elle est partout chez elle, Mirinegarde demeure sa terre, là où sont nés d'innombrables héros, ce n'est que justice d'honorer leur héritage et ce qu'ils ont crée et que l'Aristocratie Mercenaire perpétue depuis.
Oh, et son voile ? Un us. Une coutume. Peut être la seule à laquelle elle se plie religieusement contre toute attente. Le voile du deuil, après le trépas de sa Mère, qu'elle porte aussi jusqu'à ce qu'elle se trouve un conjoint comme le veux une coutume locale. En vérité ce n'est qu'une excuse, un apparaît, elle le conserve simplement car déjà sa Mère le portait dans sa propre jeunesse, mais surtout car ces traits fantomatiques, sombres, tendent à intimider, à oppresser son interlocuteur. Ce qui est très pratique pour faire reculer certains boeufs un peu trop aventureux lorsqu'il le faut, ou déstabiliser des contractants afin d'obtenir de meilleurs prix. On ne perd pas le nord après tout.

Rôle : Himmelmarschall de l'Archiduché, le Porte-étendard, Prétendant sans conviction au Trône Impérial Kaulthe,
Grande Compagnie : Les Angriffshunde, littéralement Chiens d'Attaque en Germain, rassemblant majoritairement des mercenaires des sphères germaniques et Nordique, en particuliers Kaulthes et Raskenoises, ayant de surcroit reçu et recevant encore régulièrement un fort afflux de sang neuf dû aux mutations politiques de la Kaulthie.
Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités d'Eurysie Centrale et du Nord à ascendance Germaniques et Scandinave, Amateur d'Art et de Musique Classique dont il fait collection en tant qu'adepte proclamé du "bon goût", entretient des rancunes tenace contre quiconque s'amuse à faire des autodafés.
Bref Résumé :
De toutes les dirigeants des Grandes Compagnies, Gustadolph est certainement celui qui passe pour le plus "normal" pourrait-on dire, tout du moins le moins excentrique voir même le moins "timbré" comme aiment à le dire les langues de serpent. Cela étant probablement dû au fait qu'en tant que descendant de l'Aristocratie Kaulthe, étant de sang Impérial et ayant été éduqué comme tel même dans les hautes montagnes de Mirine aux côtés des moins nobles individus qui puissent exister, tradition familiale oblige même si ces derniers ne se font guère d'illusions sur le fait que les terres ancestrales de la Famille à Warenburg dont émane leur nom étaient perdus depuis longtemps pour ne pas dire qu'elles leur étaient étrangère. La faute aux années terribles de ce début de millénaire qui ont vu s'élever et chuter des régimes dans une suite de succession si folle qu'il était difficile de garder le compte mais dont le constat final demeurait et tenait en un mot : Méconnaissable.
Certes la branche de Gustadolph revendique, mais ne le fait pas avec grande ferveur, pour ne pas dire qu'il ne s'agit là que de formes la plus pure afin de perpétuer le serment des prédécesseurs quand bien même il soit impossible de le réaliser en tant que tel. Quoi qu'il en soit, en tant que celui ayant le moins goût aux tactiques peu orthodoxes, et qui a reçu un véritable enseignement théorique en matière de Grande Stratégie qui a été lissé au fil du temps avec l'expérience sur le terrain jusqu'à devenir quelque chose de probant, la Haute-Cour a décidée à la quasi-unanimité, si l'on omet les protestations d'une poignée d'éternel insatisfait refusant simplement par esprit de contradiction avec la majorité, au poste d'Himmelmarschal, en Germain le Maréchal du Ciel, l'équivalent des chefs d'états majors aux armées de l'air des véritables états fonctionnels mais qui dans le cas de l'Archiduché tient la plupart du temps plus de la symbolique et de l'emploi fictif que d'un véritable poste.
De fait, le principal rôle de l'Himmelmarschal consiste à coordonner à l'unisson les Grandes Compagnies, quelque chose déjà de très théorique si l'on prend en compte que ces dernières ont toutes leurs aspirations, passions et préférence pour ne pas parler en plus de leur agendas respectifs, mais qui est encore plus fantasque dans la mesure où celles ci sont très rarement toutes réunis. Alors Gustadolph compose, fait des compromis et s'adapte, en fonction de la bonne volonté qui vient souvent à manquer des uns et des autres. L'objectif latent est clair, permettre un front commun des divers groupes si le besoin s'en fait sentir, pour les "Grands Contrats" à l'échelle nationale, où si certains alliés ancestraux, une poignée très sélectionnée, appellent à l'aide. Dû aux "réalités", l'Aristocrate Mercenaire Kaulthe passe ainsi plus de temps à planifier des plans et théoriser des réponses à des situations que véritablement faire des entraînements sur le terrain, même si ceux ci arrivent à se mettre en place de temps à autres lorsque les étoiles sont alignées.
Une éternelle source d'angoisse et de stress pour l'intéresser qui trouve ainsi à temps égal une échappatoire en forçant la Radio du Duché à passer ses titres favoris de musique contre pot-de-vin adéquat, ce après qu'il se soit retiré dans les arrières salles de son imposant manoir afin de contempler les oeuvres de ses collections d'arts ramenés de par ses voyages et contrats du monde entier. Car oui, Gustadolph s'il n'est point connu pour s'intéresser à la gente féminine plus que de raison, préfère, et c'est là de notoriété publique, la grâce des Statues Rhêmiennes et la finesse des aquarelles d'autrefois et dépense des fortunes au sein de diverses ventes aux enchères pour rapatrier d'ailleurs ce qui lui "tape dans l'oeil" car c'est là son plus grand péché, celui de l'avarice, non pas pour la richesse matérielle, mais pour "la richesse de l'âme" dont il est un collectionneur compulsif.

Rôle : Feldmarschall de l'Archiduché, Le Grand "égalisateur", Prétendant Nihiliste au Trône Listonien
Grande Compagnie : Les Espadas, littéralement les épées en langue Listonienne, qui attirent sous leurs bannières les mercenaires en majorité des mondes lusophones et hispanophones mais aussi quoique en moindre quantité de certaines régions d'Afarée occidentale, elle a notamment reçu un vaste afflux très récemment de la part d'exilés Listoniens ayant fuit l'effondrement de l'Empire sous les coups d'illuminés et est en passe de devenir le cas échéant l'une voir la Grande Compagnie avec le plus d'effectifs.
Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités à ascendances Lusitanienne ou Hispanique ainsi que sur celle s'opposant frontalement à la Listonie, Peu regardant sur la Morale des missions confiés il préfère toutefois celles bien payées, entretient une rancune millénaire contre quiconque oserait menacer son palmarès d'As.
Bref Résumé :
Felipe fut un jour promis à un grand avenir, car même s'il n'était que le troisième fils du frère de l'Empereur Listonien et donc de facto son neveu, il démontra des capacités de pilotages absolument remarquables dès son plus jeune âge lorsqu'il accomplit son service militaire à la patrie à tel point que l'on théorisa un temps qu'il deviendrait l'étoile montante de l'Armée de l'Air Impériale et la nouvelle figure publique de celle ci afin de polir son blason. C'était sans compter sur les défauts inhérents de l'individu car c'est là le propre des génies que plus ces derniers brillent, plus l'ombre derrière eux grossit afin de compenser leur égo s'additionnant à leurs talents. Et s'il y avait bien quelque chose qui égalait voir surpassait les talents de pilote de Felipe, c'était son goût prononcé pour la débauche de toutes sortes, les fêtes pompeuses jusqu'au bout de la nuit n'étant que les excès les moins embarrassants du lot pour la Couronne Listonienne, c'était dire. Pire encore, le Prince avait une influence des plus néfastes sur tout ceux qui l'approchaient, et arrivaient systématiquement à convaincre, parfois même d'obscurs inconnus, de s'engouffrer dans des abysses de décadence à ses côtés car il était aussi un aimant de sociabilité au Charisme fort mais qui n'en usait que pour satisfaire ses passions démesurées et débridées.
Si Listonia manoeuvra pendant un temps afin de dissimuler sous le tapis tous les scandales et situations embarrassantes qui s'accumulaient, calculant que la valeur pour la Puissance impériale était trop précieuse pour être abandonnée et que ce comportement serait passager, qu'il se calmerait avec le temps, la désillusion arriva bien assez vite et força le Cabinet Impérial et l'Empereur lui même à prendre des mesures radicales. Certains disent que la cause fut la débauche de trop, évoquant une orgie dans la Cathédrale de la Capitale, mais toutes les rumeurs ayant été étouffés par la police secrète de l'Empire et les preuves ayant "disparus", il est difficile de discerner la vérité du faux. L'intéressé lui même se contente de sourire de manière cryptique lorsqu'on lui pose la question sur la véracité de la chose. Quoi qu'il en soit s'il est quelque chose de certains en revanche, c'est que Felipe a été déclaré persona non gratta par la Cour Impériale Listonienne et littéralement blacklisté par l'ensemble de la noblesse et des pontes du gouvernement Impérial depuis fort longtemps désormais, étant même interdit formellement de remettre les pieds dans l'Empire. Cet Exil imposé lui a cependant fort bien réussi de toute évidence puisque ce dernier, s'étant refait à Mirinegratz avec ceux l'ayant suivit jusque là, est parti de rien et bâti de ses mains et surtout de son charisme l'une des Grandes Compagnies les plus efficaces et puissantes qui soit, lui offrant à l'occasion de ses voyages l'opportunité d'expérimenter mille et un plaisirs exotiques afin de satisfaire ses envies toujours plus décadente.
De par ses talents indéniable, la Haute-cour lui a confiée les fonctions de Feldmarschal et une fonction de Feldgendarmerie à une partie de sa Grande Compagnie qui assure ainsi les services d'Urgences de l'équivalent de la Police et des services anti-incendies dans tout l'Archiduché officiellement, officieusement ces derniers ont aussi à leur charge d'identifier les taupes étrangères n'étant pas là que pour profiter des paysages montagneux ou contracter avec une Grande Compagnie, car si il y a bien quelque chose que les Mercenaires déteste tous d'un commun accord, ce sont les espions qui viennent voler leurs secrets et surtout leur pognon.
Enfin, et un point peu anodin, Felipe est rancunier. Très rancunier. Ce n'est même pas un euphémisme de dire qu'il tient probablement une liste noire de ceux qui l'ont lésé, et si celle ci était jusqu'à il y a peu remplie de noms se référant à la Cour Impériale et ce jusqu'à son Oncle l'Empereur, la "Purification" du Pays et sa "renaissance" sous une forme "pénitente" a complètement chamboulée cette dernière. Cela a même provoqué l'Ire de l'Aristocrate Mercenaire qui a saccagé son Manoir pendant trois jours sans discontinuer avant que les flammes de sa colère ne s'éteignent et qu'il n'émerge avec un... Nouveau plan. Nouvelle liste, nouvelles cibles, et de nouveaux exercices pour ses chiens de guerre.
Listonia, son Palais et son aristocratie pédante et manipulatrice, c'étaient SES cibles à lui, SES jouets à tourmenter, et que quelqu'un, et surtout d'obscurs guignols illuminés lui soient passés devant pour démolir le Pays qu'il comptait démolir de ses mains pour rembourser ses rancunes, c'est une insulte sans nom qui a donnée lieu à une nouvelle gamme de rancunes. Qu'à cela ne tienne, il ira vitrifier ceux qui ont pris la place et suggère même d'opérer des bombardements réguliers pour ouvrir le bal. Vu la gueule du "Gouvernement", personne n'osera sans doute émettre la moindre objection de surcroît.

Rôle : "Ministre de la Publicité et du service Clientèle"
Grande Compagnie : Les Marteaux de Svarog, traduit de ainsi de sa version originale en langue slave, qui attirent sous leurs bannières les mercenaires en majorité du monde slave et plus généralement Russophone avec de temps à autres des tatars voir parfois des gens venu du Pont du Nazum-Eurysie. Elle reçois généralement des afflux plus ou moins régulier venue des malcontent fuyant les régimes communistes et dystopiques d'Eurysie de l'Est ou du pont, mais a inclue récemment une flopée de Kartiens peu enjoué à l'idée de la transformation de leur pays en une République.
Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités à ascendances slave ou Russophone ainsi que sur celles s'opposant frontalement à des régimes communistes, très grand amateur de l'industrie Automobile Raskenoise qu'il tient en très haute estime, à l'inverse il suffit de mentionner ne serait-ce que le nom d'Agouti et ses voitures électriques pour finir sur sa liste noire.
Bref Résumé :
Vladimir Kartyovitch est à la fois un "nouveau venu" à la "Haute-cour" ainsi qu'un Vétéran. En cause le fait que sa Grande Compagnie qui orbite dans le monde slave et autour dispose d'un système hiérarchique très curieux avec un "Leader Suprême" à sa tête mais sur un système tournant inspiré de la Présidence Hotsalienne. En effet, les grands pontes de cette Compagnie sont tous ou presque issus d'Empires ou d'ex empires autoritaires et n'ont jamais réellement abandonnés leurs prétentions ou celles de leurs aïeux, avec l'arrogance et les ambitions qui vont avec, ce qu'il fait qu'ils ne se sont jamais accordés sur qui devait diriger définitivement. La solution a donc été ironiquement de faire tourner, et actuellement au moins pour les cinq prochaines années c'est Kartyovitch qui dirige.
Comme son nom le laisse penser, il s'agit d'un Kartien, enfin... Le laisse penser. Beaucoup suspecte que ce n'est pas son véritable nom de famille, qu'il s'agit là d'une parodie montée de toute pièce car il n'assume pas pour diverse raison sa véritable appellation, et à ce titre nombreux sont ceux qui font les parallèles pour se moquer avec la récente "Démocratisation de papier" et "République Mensongère Impériale" comme ils la nomment, dénonçant une incapacité pour le vilain canard du monde slave à assumer ses racines autoritaires. D'ailleurs, personne ne sait non plus comment il est arrivé à Mirinegratz. Des rumeurs mentionnent qu'il aurait eut des différents vis à vis de... Relations avec une Maîtresse du précédent Tsar. Quand à savoir si cela est vrai... L'intéressé dément formellement et nie en bloc, parlant plus de divergences d'opinions quand à sa volonté "d'occuper le devant de la scène".
Car oui, Vladimir Kartyovitch est un acteur né, un papillon sociable qui ne resplendit jamais autant que devant les écrans, et à ce sujet il dispose d'un compte écho international qui dépasse déjà le Million de vue, en premier vecteur de popularité ses podcast et vidéo sur l'industrie automobile Raskenoise avec laquelle il disposerait d'un partenariat, voir même d'actions auprès d'Apex Energy. Sa passion pour les voitures n'est plus à démontrer et il est régulièrement sollicité dans les commentaires ou sur les forums pour partager ses avis sur les dernières créations des Lobby d'Eberstadt, vantant ces derniers comme l'apothéose du domaine. Récemment il s'est d'ailleurs lancé dans une grande contre-offensive pour démolir la Société Sylvoise Agouti contre laquelle il voue une haine féroce à cause de ses voitures électriques qu'il considère comme des poubelles mobiles au mieux, des cercueils roulant au pire.
Au delà de ça, ses capacités d'influenceur et surtout son cercle de contact assez vaste dû à cela ont tout de suite attiré l'attention de la Haute-cour qui après des discussions longues et laborieuses ont décidé de lui allouer un budget et de le mettre à la tête du département publicitaire nouvellement crée de l'Archiduché afin de contacter, cibler et influencer les esprits à travers le monde, tantôt pour faire la promotion des services des Grandes Compagnies, parfois pour recruter du sang frais, dans d'autres cas pour faire avancer le business de Doc Balistique.
Oui, vous avez bien compris. Toutes ces publicités qui apparaissent depuis peu ci et là de façon fort convéniente, elles sont de lui. Metteur en scène, scénariste et producteur, qui n'hésite pas à engager les meilleurs "acteurs" des grandes compagnies pour aller chercher de la clientèle. Et il est d'ailleurs fort peu probable qu'il s'arrête dans sa lancée...

Rôle : Préposé aux affaires électroniques et à la guerre cybernétique, Administrateur du Site Mercenaria-Chan.com
Grande Compagnie : La Dàl Morrigan, que l'on peut aussi traduire comme "La Part de Morrigan" dont le lien avec la déesse celtique est à peine dissimulé, comme l'on peut s'en douter cette Grande Compagnie attire sous ses bannières des gens venus de tout le monde Celte, de l'Achosie à Caratrad en passant par Menkelt ainsi que même quelques Hotsaliens. De là bas viennent d'innombrables aventuriers souhaitant se couvrir de gloire, d'autres recherchant une occasion manifeste de frapper les entités oppressants leur culture comme peut le faire l'état Velsnien ce qui a valut un vaste afflux de têtes en provenance d'Achos au cours des dernières années.
Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités du monde Celte & Gaélique ainsi que sur celles ne portant pas nécessairement Velsna dans leurs coeurs, amateur et consommateur de denrées et autres spécialités Icamienne, Prompt à l'union sacrée avec Icama-Chan et Jashuria-Chan contre quiconque oserait s'en prendre à ces sites qu'il estime grandement, prend en grippe ceux qui osent faire des commentaires sur sa propension à loucher.
Bref Résumé :
Stephen Ap Leaun, est une succession de contradiction tant et si bien que certains lettrés disent à son sujet à demi mot qu'il est un oxymore ambulant. Au même titre que ses autres homologues des Grandes Compagnies, il est ainsi un Prétendant à un trône au même titre que les autres, le sien qu'il "vise" étant celui du Royaume-Uni d'Ynys Dyffryn et du Kentware que l'on nomme communément Caratrad à l'internationale, il est communément admis que ce n'est pas celui qui prétend le plus activement, bien au contraire, ce n'est qu'à peine un passe-temps afin de faire la publicité de son groupe auprès de sa Mère Patrie dans une tentative désespérée d'attirer l'attention quand bien même on ne cesse de l'ignorer ou de lui adresser des regards gênés. Et pourtant, ses revendications sont probablement parmi celles les plus fondé (d'après ce dernier) et légitimes qui soient de toute l'Aristocratie Mercenaire de Mirinegratz. Sa noble lignée et son sang bleu sont de fait prouvés comme pouvant être remonté jusqu'aux environs du XVe siècle ce que toutes les dynasties aristocratiques ne peuvent faire de nos jours de par les tumultes de l'Histoire en ayant mis à bas d'innombrables, anciennes et glorieuses autrefois aujourd'hui réduits à des reliques poussiéreuses. Autre "fait dynastique" notable à son palmarès, il n'est autre qu'un des arrières arrières arrières petit fils via l'ascendance paternelle, de la souveraine Caratradaise Buddug qui est certainement l'un des noms les plus connus et vénérés de la Royauté du pays de par son règne ayant marqué durablement l'histoire du XIXe siècle Eurysien et même mondial.
Pour autant, même si ses liens avec le sang royal sont avérés, ses revendications en tant que tel demeurent factuellement nébuleuses, ce qui est probablement la cause de ses réticences à pousser ces dernières au delà de l'utilité publicitaire, celle ci se targuerait en effet que sa branche de lignée descende d'un Leuan qui aurait été paraît-il le premier Roi Celte à opérer une conversion au Christianisme et donc "techniquement" à poser les bases de la royauté tel qu'on l'a connaît. Inutile de dire que les Historiens demeurent hautement dubitatif sur la chose mais cela importe peu à l'intéressé, le simple doute qu'il peut insinuer dans les esprits suffit à son Agenda.
Très ironiquement toutefois, malgré ses ascendances prouvés, l'intéressé n'a pour ainsi dire presque jamais mis les pieds à Caratrad même, que ce soit en métropole sur l'île celtique ou bien dans les innombrables territoires d'outre-mer dispersés à travers le monde. Car s'il est à peu près certains qu'il soit né dans le Royaume-Uni, il l'est aussi qu'il n'y sera guère resté longtemps, ses parents tenant plus du globe-trotteur que des aristocrates classiques, en principale cause étant assurément le caractère désargentée de la famille via un Père n'ayant hérité que de dettes de son prédécesseurs, la fortune d'antan ayant disparue depuis bien longtemps. Il se murmure même que les Leaun filèrent sans délais à l'étranger à peine un an après la naissance de leur fils pour échapper à une cohorte de débiteurs réclamant remboursement des dettes de la maisonnée. Réclamations que ceux ci poursuivent encore à ce jour sans aucun succès mais bien à l'abri sur le Territoire Caratradais, le dernier ayant tenté de se déplacer ayant fait une "malheureuse chute" en arpentant les cols de montagnes traitres des plateaux de Mirine, ce qui dissuada toute la clique restante de tenter l'expérience. Toujours est-il qu'ils se font cordialement ignorer par Stephen qui considèrent purement et simplement qu'il n'a aucune obligation car de toute manière son père ne lui a en tant que tel rien légué si ce n'est ces dettes, d'où le fait qu'il a purement et simplement refusé l'héritage qui de toute manière était vide ou tout du moins miséreux.
Quoi qu'il en soit, Ap Leaun a passé la majeure partie de sa jeunesse par delà les océans dans la lointaine Icamie, une jeunesse au demeurant peu heureuse car son Père trépassera très vite d'une maladie vénérienne certainement attrapée au cours d'une de ses nombreuses "escapades à visée anthropologiques", tandis que sa mère qui était factuellement cliniquement folle ne fut comme l'on pouvait s'en douter pas d'un réel soutient. De plus, son "héritage génétique", qui est à la base de son surnom "Qui Louche", étant pour ainsi dire immanquable lui apporta bien des moqueries et sans doutes des brimades de ses camarades d'âges à l'époque, de même que ses mimiques et autres tics que certains docteurs soupçonnèrent résulter d'une certaine forme d'autisme... En plus des soupçons très forts des généalogistes quand à une consanguinité familiale peu commune qui serait à la source de son "trait physique notable".
Ce qui ne l'empêcha toutefois pas de trouver sa voie et d'accomplir de brillantes études en Icamie, car si ses défauts physiques étaient évident, les Dieux étant cléments avaient au moins daigné lui faire don d'un esprit aiguisé et d'un talent inné pour l'informatique et la cybernétique qui se révéla très tôt à tel point qu'il attira l'attention de la très influente "Tycoon" nationale Maxime Che-Fang qui lui offrit son patronage et notamment une bourse pour des études supérieures dans l'une des meilleurs universités du pays, décrochant de prestigieux diplômes à la fin de ses cursus, travaillant ensuite pour sa mécène quelques années. Ce avant de se mettre à son compte avec une boîte de cybersécurité (Et officieusement des services de piratages aussi) pendant un temps, une période durant laquelle il tissa bien des liens et notamment avec plusieurs Grandes Compagnies de passages, jusqu'à finalement développer une admiration, pour ne pas dire un certains amour sincère vis à vis de la cheffe d'une de celles ci. Beaucoup soupçonnent d'ailleurs que la Dàl Morrigan est née d'une volonté de faire la cour à l'intéressée, mais que ce soit vrai ou faux importe peu, car aujourd'hui, la Grande Compagnie Celtique occupe une place prépondérante dans "l'union sacrée" des Mercenaires de par sa mainmise sur une bonne partie des processus de guerre électronique et du domaine de la cybernétique, collaborant d'ailleurs à ce titre en très étroite collaboration avec le ministère de la Publicité et du Service Clientèle de Kartyovitch afin de supporter son effort publicitaire d'une part, tout en tirant des "torpilles électroniques" sur la concurrence.

Rôle : [REDACTED], Préposée à la guerre psychologique, [REDACTED], Première Banshee de la "Geisterdienste"
Grande Compagnie : Spectru Nocturn, que l'on peut aussi traduire littéralement le Spectre Nocturne en Blême et qui se réfère à une part du folklore culturel dudit peuple d'Eurysie de l'Est, dont cette Grande Compagnie tire dans sa très large majorité ses membres avec quelques menus exceptions de polks et d'autres minorités dans la région voir de ressortissants issus d'autres peuplades mais très portés sur le style Gothique qui est un peu quelque chose de culturellement admis et traditionnel au sein de ce groupement. Ce n'est pas la Grande Compagnie la plus peuplée, et elle reçoit plus rarement que les autres du sang neuf, mais il arrive de temps à autres que de gros arrivages qui coïncident étrangement avec des Leaks de Transblêmie...
Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités du peuple Blême, ou à minima ayant des affinités avec cette culture ainsi que sur ceux capables de faire montre de leur savoir sur les mythes, le folklore et en matière de psychologie. Des goûts très sombres, voir même sinistres pour ne pas dire gores, semble apprécier ce qui choque sans pour autant que cela soit une certitude absolue. Déteste selon toute vraisemblance les lieux de culte quels qui soient et prend en grippe immédiatement toute grenouilles de bénitier qui oserait lui adresser la parole. Probablement friande des créations carnavalaises et admiratrice à un certains degrés de la cité noire.
Bref Résumé : Si Gallénore dispose par essence d'une aura de mystère via le voile qu'elle arbore de son plein gré la plupart du temps, ce n'est pourtant pas un absolu car celui ci tend à disparaître plus d'une fois et nombreux sont ceux à avoir pu détailler sa frimousse avant le décès de sa Mère. Cependant ce n'est clairement pas le cas de Luminita qui apparaît aux yeux de tous comme un espèce d'OVNI dont on peine à identifier les aspirations autant que l'ascendance ou même jusqu'à son simple faciès et de fait... Au delà du fait qu'il est certains que ce soit une femme et que l'on entraperçoive des mèches blondes dépasser de temps à autres des imposantes capuches ou autres voiles teintés qu'elle arbore dans un style purement gothique aux teintes d'ébènes, personne de mémoire d'homme au sein de la haute-cour ne peut se targuer de connaître les subtilités de ce qui se dissimule derrière hormis d'éparses "leaks" très certainement dévoilés stratégiquement de temps à autres.
A vrai dire, l'aura de mystère est si grande que même les plus vieux pontes des Grandes Compagnies ne sauraient réellement affirmer comment décrire ne serait-ce que sa voix puisque celle ci ne s'exprime jamais publiquement directement autrement que via un "Porte-voix" un ou une assistante à qui elle murmure à l'oreille à voix basse, probablement même avec un modificateur synthétique de voix, ou via des textos et autres sms à l'intéressée qui s'empresse de répéter les dires. Ce qui donne des situations quelques peu étranges au demeurant lorsqu'il faut interagir avec la Blême... Enfin. Blême. Personne ne saurait affirmer avec une certitude absolue non plus qu'elle est originaire de Pal Ponantaise ou de Polkême quand bien même ses sous fifres affirment le contraire à qui leur demande, ce sans réelle conviction ou avec quelques gouttes de sueurs, la ou le porte-parole de la Dame se contente même de ne rien répondre d'autres qu'un sourire forcé, laissant planer le doute. Aussi et conséquences, nombreux sont ceux qui soupçonnent très fortement Luminita de venir de plus à l'est encore, de la très tristement célèbre Transblêmie dont elle arbore un certains nombres d'us et de tics culturels, ou tout du moins des mimiques qui sont perçu comme tel vue de l'extérieur dans les croyances populaires quand bien même très peu de choses concrètes et confirmés soient connues du pays le plus opaque et angoissant du monde.
Au delà de ça, une nuée de rumeurs et de on-dit toutes plus suspicieuses les unes que les autres et provenant d'à peu près tous les horizons entourent Vil Drake, soutenant tantôt que celle ci serait une relative du sang de la dynastie régnante des Vol Drek de Polkême de par la ressemblance troublante d'un nom que l'on suppose être un faux... Affirmant parfois que celle ci serait une Strigoi des mythes se nourrissant du sang des individus isolés lors des nuits de pleine lune... Soutenant à d'autres occasions qu'elle serait la soeur cachée du Camarade Lorenzo cherchant à échapper aux services secrets Loduariens pour d'obscures raisons variant en fonction des contes. Autant d'absurdités se mêlant parfois à des coïncidences semant le doute qui participent à créer une légende noire qui englobe la réputation de l'intéressée et participe à rendre encore plus opaque son aura déjà bien nébuleuse, fait intéressant, il semblerait que plusieurs de ses laquais au sein de sa Grande Compagnie s'appliquent eux même, via des ordres internes, à participer à répandre ses rumeurs et même à en ajouter, ce dans un processus clair de désinformation accru et clairement assumé par les instances dirigeantes de la Spectru Nocturn... Quand à savoir l'intérêt que ces dernières et Luminita elle même en tire, ce ne sont là encore que des suppositions diverses...
Même ses fonctions au sein de l'union des Grandes Compagnies sont globalement inconnues, quoique un nom ressort de temps à autres au détour de murmures de couloirs... "Geisterdienste", que certains traduisent grossièrement comme "Services spirituels" ou "Services Fantômes". Des sources internes proches de la Haute-Cour tendraient à affirmer qu'il s'agit là d'un espèce de département semi-secret étant préposée à des formes de guerre psychologique et qui opèrerait en étroite collaboration autant avec le département de la cybersécurité tenue par la Dal Morrigan que avec le département publicitaire de Kartyovitch afin de... Toucher au plus loin... Quand à savoir la nature exacte de ses tâches et le processus d'usages, il n'y a guère plus que des théories et des coïncidences troublantes de temps à autres dans d'obscures brèves de presse étrangère...