11/05/2017
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Les visages de l'Aristocratie Mercenaire [Personnages]

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L'Aristocratie Mercenaire




I) Gallénore III de Bragance-Lyonnance


Gallénore III


Rôle : Archiduchesse de Mirinegratz, Ordonnatrice de la Haute-Cour, Prétendante malgré elle aux Trônes de Telya et Loduarie,

Grande Compagnie : Les Sept Calices, rassemblant majoritairement des mercenaires francophones et ayant intégré récemment d'anciens membres de l'armée Loduarienne à la chute du Pays ainsi que des malcontents du règne des Courvoisiers en Telya.

Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités Francophones ou proche de ses cousins, Méprise ceux qui n'aiment pas le Vin, entretiens une rancune contre Caratrad suite à une intoxication alimentaire après s'être essayé à la cuisine du pays.


Bref Résumé :


Comme l'on dit dans le jargon, la pomme ne tombe jamais loin du pommier et le dicton est on ne peut plus vrai en ce qui concerne la Nouvelle Archiduchesse siégeant à Mirinegarde. Née Gallénore Aliénor Blanche de Bragance-Lyonnance, sa naissance ne fut guère dans le pourpre et certainement pas dans le faste et la chaleur d'un Palais qui sied à la descendante de la Branche cadette de cette ancienne maison royale Telyaise qui occupa aussi fut le Trône Loduarien en s'unissant aux Lyonnance de Lyonnars en des temps reculés. Non, elle vit le jour au sein d'une tente de fortune avec l'aide d'un Docteur aux diplômes plus que douteux et une foule de vauriens alcooliques, édentés et bagarreurs qui ne l'acclamèrent pas moins comme une petite princesse. D'aucun s'interrogerait sur de tels circonstances, mais les Contrats étaient sacrée, et les lointaines campagnes ne permettaient pas toujours de loger dignement, l'on faisait avec que l'on avait. C'était ainsi, c'était la voie du mercenaire. Si sa Mère eut sans doute espérée secrètement qu'elle ne suive guère son exemple, c'était peine perdue, tel Mère tel fille, l'enfant tenait bien d'elle en tout point et ses "précepteurs" ou ce qui s'en rapprochait le plus dans la Grande Compagnie, à dire vrai des gens avec plus d'expérience pratique que de savoir théorique à l'exception l'Oncle Frédéric était fin connaisseur de l'histoire et adepte de la "bonne culture" étaient unanime pour soutenir que c'était une petite "Archiduchesse en herbe".

Et qu'elle jeunesse ma parole, petite Gallénore en vit du paysage à travers le monde, du sanctuaire exotique Nazuméen aux savanes Afaréennes jusqu'aux jungles Paltoterranes en passant par les vastes plaines des républiques Aleucéennes, finalement ce fut dans le vieux monde lui même avec ses grandeurs, ses mémoires et son cirque perpétuel, qu'elle passa le moins de temps. Une existence à côtoyer les "Pires individus" si l'on en croyait les médisances de la bonne société qui savait tout mieux que la plèbe, mais qui fut certainement plus épanouissante que n'importe quelle vie cloitrée dans un Palais ennuyeux. Il y avait quelque chose de plus fascinant après tout dans la connaissance de la mécanique d'un avion de chasse que de savoir quelle fourchette utiliser pour tel toast. Elle reste d'ailleurs fermement campé sur cet avis même maintenant que feu sa Mère n'est plus et qu'elle a prit sa place sans les fils des calices ne le conteste. Elle était des leurs, depuis toujours. Elle avait sué, pleuré et saigné avec eux, dans la gloire comme les débâcles. C'était ainsi, elle était la digne héritière de la première Dame de l'Aristocratie Mercenaire. La Mère des Calices, car tous ceux qui versent le sang avec elles sont ses frères comme ses fils.

Et ces derniers la soutiendrait corps et âme si elle daignait un jour aller revendiquer "son héritage", mais y accorde-t-elle seulement son attention ? Telya, la Loduarie. Ce sont des terres lointaines, sa demeure est le cockpit de son engin, elle est partout chez elle. Pourquoi irait-elle s'encombrer de trônes dont elle n'a que faire ? Enfin... Officiellement elle "Revendique." Pour la forme. Pour le prestige. Et pour irriter volontaire la fierté de ceux là même qui la considère elle et sa lignée comme des chiens galeux indignes de la famille et du sang bleu, un mépris qu'elle rend bien à la moindre occasion. Leur rappeler son existence via ses "droits" est la meilleure insulte qu'elle puisse leur faire systématiquement. Mais de là à franchir le pas ? De toute façon elle ne ferait rien de ces trônes ou de ces pays. La Gouvernance n'est pas son centre d'intérêt, elle délègue autant que possible, car ce n'est pas son rôle de superviser et d'oppresser, ce serait contraire à son existence même qui incarne la source de la haine de tous ces " vrais aristocrates, la Liberté la plus pure. Car c'est là le secret de sa satisfaction perpétuelle, Gallénore est Libre, bien plus que tous les chefs d'états et les Grands traditionnels. Elle vit comme elle l'entend, avec panache, dans la gloire, tel les vrais chevaliers des origines et des légendes.

Et en ce sens, elle est certainement la plus authentique des nobles, vivant comme ils devraient. Versant son sang de son propre choix, en faveur de ceux qu'elle choisie, ramenant mille et unes richesses pour son compte ainsi que son... Point de chute. Car même si elle est partout chez elle, Mirinegarde demeure sa terre, là où sont nés d'innombrables héros, ce n'est que justice d'honorer leur héritage et ce qu'ils ont crée et que l'Aristocratie Mercenaire perpétue depuis.

Oh, et son voile ? Un us. Une coutume. Peut être la seule à laquelle elle se plie religieusement contre toute attente. Le voile du deuil, après le trépas de sa Mère, qu'elle porte aussi jusqu'à ce qu'elle se trouve un conjoint comme le veux une coutume locale. En vérité ce n'est qu'une excuse, un apparaît, elle le conserve simplement car déjà sa Mère le portait dans sa propre jeunesse, mais surtout car ces traits fantomatiques, sombres, tendent à intimider, à oppresser son interlocuteur. Ce qui est très pratique pour faire reculer certains boeufs un peu trop aventureux lorsqu'il le faut, ou déstabiliser des contractants afin d'obtenir de meilleurs prix. On ne perd pas le nord après tout.





II) Gustadolph Von Warenburg


Gustadolph Von Warenburg



Rôle : Himmelmarschall de l'Archiduché, le Porte-étendard, Prétendant sans conviction au Trône Impérial Kaulthe,

Grande Compagnie : Les Angriffshunde, littéralement Chiens d'Attaque en Germain, rassemblant majoritairement des mercenaires des sphères germaniques et Nordique, en particuliers Kaulthes et Raskenoises, ayant de surcroit reçu et recevant encore régulièrement un fort afflux de sang neuf dû aux mutations politiques de la Kaulthie.

Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités d'Eurysie Centrale et du Nord à ascendance Germaniques et Scandinave, Amateur d'Art et de Musique Classique dont il fait collection en tant qu'adepte proclamé du "bon goût", entretient des rancunes tenace contre quiconque s'amuse à faire des autodafés.


Bref Résumé :

De toutes les dirigeants des Grandes Compagnies, Gustadolph est certainement celui qui passe pour le plus "normal" pourrait-on dire, tout du moins le moins excentrique voir même le moins "timbré" comme aiment à le dire les langues de serpent. Cela étant probablement dû au fait qu'en tant que descendant de l'Aristocratie Kaulthe, étant de sang Impérial et ayant été éduqué comme tel même dans les hautes montagnes de Mirine aux côtés des moins nobles individus qui puissent exister, tradition familiale oblige même si ces derniers ne se font guère d'illusions sur le fait que les terres ancestrales de la Famille à Warenburg dont émane leur nom étaient perdus depuis longtemps pour ne pas dire qu'elles leur étaient étrangère. La faute aux années terribles de ce début de millénaire qui ont vu s'élever et chuter des régimes dans une suite de succession si folle qu'il était difficile de garder le compte mais dont le constat final demeurait et tenait en un mot : Méconnaissable.

Certes la branche de Gustadolph revendique, mais ne le fait pas avec grande ferveur, pour ne pas dire qu'il ne s'agit là que de formes la plus pure afin de perpétuer le serment des prédécesseurs quand bien même il soit impossible de le réaliser en tant que tel. Quoi qu'il en soit, en tant que celui ayant le moins goût aux tactiques peu orthodoxes, et qui a reçu un véritable enseignement théorique en matière de Grande Stratégie qui a été lissé au fil du temps avec l'expérience sur le terrain jusqu'à devenir quelque chose de probant, la Haute-Cour a décidée à la quasi-unanimité, si l'on omet les protestations d'une poignée d'éternel insatisfait refusant simplement par esprit de contradiction avec la majorité, au poste d'Himmelmarschal, en Germain le Maréchal du Ciel, l'équivalent des chefs d'états majors aux armées de l'air des véritables états fonctionnels mais qui dans le cas de l'Archiduché tient la plupart du temps plus de la symbolique et de l'emploi fictif que d'un véritable poste.

De fait, le principal rôle de l'Himmelmarschal consiste à coordonner à l'unisson les Grandes Compagnies, quelque chose déjà de très théorique si l'on prend en compte que ces dernières ont toutes leurs aspirations, passions et préférence pour ne pas parler en plus de leur agendas respectifs, mais qui est encore plus fantasque dans la mesure où celles ci sont très rarement toutes réunis. Alors Gustadolph compose, fait des compromis et s'adapte, en fonction de la bonne volonté qui vient souvent à manquer des uns et des autres. L'objectif latent est clair, permettre un front commun des divers groupes si le besoin s'en fait sentir, pour les "Grands Contrats" à l'échelle nationale, où si certains alliés ancestraux, une poignée très sélectionnée, appellent à l'aide. Dû aux "réalités", l'Aristocrate Mercenaire Kaulthe passe ainsi plus de temps à planifier des plans et théoriser des réponses à des situations que véritablement faire des entraînements sur le terrain, même si ceux ci arrivent à se mettre en place de temps à autres lorsque les étoiles sont alignées.

Une éternelle source d'angoisse et de stress pour l'intéresser qui trouve ainsi à temps égal une échappatoire en forçant la Radio du Duché à passer ses titres favoris de musique contre pot-de-vin adéquat, ce après qu'il se soit retiré dans les arrières salles de son imposant manoir afin de contempler les oeuvres de ses collections d'arts ramenés de par ses voyages et contrats du monde entier. Car oui, Gustadolph s'il n'est point connu pour s'intéresser à la gente féminine plus que de raison, préfère, et c'est là de notoriété publique, la grâce des Statues Rhêmiennes et la finesse des aquarelles d'autrefois et dépense des fortunes au sein de diverses ventes aux enchères pour rapatrier d'ailleurs ce qui lui "tape dans l'oeil" car c'est là son plus grand péché, celui de l'avarice, non pas pour la richesse matérielle, mais pour "la richesse de l'âme" dont il est un collectionneur compulsif.





III) Felipe de Ongro


Felipe de Ongro


Rôle : Feldmarschall de l'Archiduché, Le Grand "égalisateur", Prétendant Nihiliste au Trône Listonien

Grande Compagnie :
Les Espadas, littéralement les épées en langue Listonienne, qui attirent sous leurs bannières les mercenaires en majorité des mondes lusophones et hispanophones mais aussi quoique en moindre quantité de certaines régions d'Afarée occidentale, elle a notamment reçu un vaste afflux très récemment de la part d'exilés Listoniens ayant fuit l'effondrement de l'Empire sous les coups d'illuminés et est en passe de devenir le cas échéant l'une voir la Grande Compagnie avec le plus d'effectifs.

Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités à ascendances Lusitanienne ou Hispanique ainsi que sur celle s'opposant frontalement à la Listonie, Peu regardant sur la Morale des missions confiés il préfère toutefois celles bien payées, entretient une rancune millénaire contre quiconque oserait menacer son palmarès d'As.


Bref Résumé :

Felipe fut un jour promis à un grand avenir, car même s'il n'était que le troisième fils du frère de l'Empereur Listonien et donc de facto son neveu, il démontra des capacités de pilotages absolument remarquables dès son plus jeune âge lorsqu'il accomplit son service militaire à la patrie à tel point que l'on théorisa un temps qu'il deviendrait l'étoile montante de l'Armée de l'Air Impériale et la nouvelle figure publique de celle ci afin de polir son blason. C'était sans compter sur les défauts inhérents de l'individu car c'est là le propre des génies que plus ces derniers brillent, plus l'ombre derrière eux grossit afin de compenser leur égo s'additionnant à leurs talents. Et s'il y avait bien quelque chose qui égalait voir surpassait les talents de pilote de Felipe, c'était son goût prononcé pour la débauche de toutes sortes, les fêtes pompeuses jusqu'au bout de la nuit n'étant que les excès les moins embarrassants du lot pour la Couronne Listonienne, c'était dire. Pire encore, le Prince avait une influence des plus néfastes sur tout ceux qui l'approchaient, et arrivaient systématiquement à convaincre, parfois même d'obscurs inconnus, de s'engouffrer dans des abysses de décadence à ses côtés car il était aussi un aimant de sociabilité au Charisme fort mais qui n'en usait que pour satisfaire ses passions démesurées et débridées.

Si Listonia manoeuvra pendant un temps afin de dissimuler sous le tapis tous les scandales et situations embarrassantes qui s'accumulaient, calculant que la valeur pour la Puissance impériale était trop précieuse pour être abandonnée et que ce comportement serait passager, qu'il se calmerait avec le temps, la désillusion arriva bien assez vite et força le Cabinet Impérial et l'Empereur lui même à prendre des mesures radicales. Certains disent que la cause fut la débauche de trop, évoquant une orgie dans la Cathédrale de la Capitale, mais toutes les rumeurs ayant été étouffés par la police secrète de l'Empire et les preuves ayant "disparus", il est difficile de discerner la vérité du faux. L'intéressé lui même se contente de sourire de manière cryptique lorsqu'on lui pose la question sur la véracité de la chose. Quoi qu'il en soit s'il est quelque chose de certains en revanche, c'est que Felipe a été déclaré persona non gratta par la Cour Impériale Listonienne et littéralement blacklisté par l'ensemble de la noblesse et des pontes du gouvernement Impérial depuis fort longtemps désormais, étant même interdit formellement de remettre les pieds dans l'Empire. Cet Exil imposé lui a cependant fort bien réussi de toute évidence puisque ce dernier, s'étant refait à Mirinegratz avec ceux l'ayant suivit jusque là, est parti de rien et bâti de ses mains et surtout de son charisme l'une des Grandes Compagnies les plus efficaces et puissantes qui soit, lui offrant à l'occasion de ses voyages l'opportunité d'expérimenter mille et un plaisirs exotiques afin de satisfaire ses envies toujours plus décadente.

De par ses talents indéniable, la Haute-cour lui a confiée les fonctions de Feldmarschal et une fonction de Feldgendarmerie à une partie de sa Grande Compagnie qui assure ainsi les services d'Urgences de l'équivalent de la Police et des services anti-incendies dans tout l'Archiduché officiellement, officieusement ces derniers ont aussi à leur charge d'identifier les taupes étrangères n'étant pas là que pour profiter des paysages montagneux ou contracter avec une Grande Compagnie, car si il y a bien quelque chose que les Mercenaires déteste tous d'un commun accord, ce sont les espions qui viennent voler leurs secrets et surtout leur pognon.

Enfin, et un point peu anodin, Felipe est rancunier. Très rancunier. Ce n'est même pas un euphémisme de dire qu'il tient probablement une liste noire de ceux qui l'ont lésé, et si celle ci était jusqu'à il y a peu remplie de noms se référant à la Cour Impériale et ce jusqu'à son Oncle l'Empereur, la "Purification" du Pays et sa "renaissance" sous une forme "pénitente" a complètement chamboulée cette dernière. Cela a même provoqué l'Ire de l'Aristocrate Mercenaire qui a saccagé son Manoir pendant trois jours sans discontinuer avant que les flammes de sa colère ne s'éteignent et qu'il n'émerge avec un... Nouveau plan. Nouvelle liste, nouvelles cibles, et de nouveaux exercices pour ses chiens de guerre.

Listonia, son Palais et son aristocratie pédante et manipulatrice, c'étaient SES cibles à lui, SES jouets à tourmenter, et que quelqu'un, et surtout d'obscurs guignols illuminés lui soient passés devant pour démolir le Pays qu'il comptait démolir de ses mains pour rembourser ses rancunes, c'est une insulte sans nom qui a donnée lieu à une nouvelle gamme de rancunes. Qu'à cela ne tienne, il ira vitrifier ceux qui ont pris la place et suggère même d'opérer des bombardements réguliers pour ouvrir le bal. Vu la gueule du "Gouvernement", personne n'osera sans doute émettre la moindre objection de surcroît.





IV) Vladimir Nicolai Kartyovitch


Vladimir Kartyovitch


Rôle : "Ministre de la Publicité et du service Clientèle"

Grande Compagnie :
Les Marteaux de Svarog, traduit de ainsi de sa version originale en langue slave, qui attirent sous leurs bannières les mercenaires en majorité du monde slave et plus généralement Russophone avec de temps à autres des tatars voir parfois des gens venu du Pont du Nazum-Eurysie. Elle reçois généralement des afflux plus ou moins régulier venue des malcontent fuyant les régimes communistes et dystopiques d'Eurysie de l'Est ou du pont, mais a inclue récemment une flopée de Kartiens peu enjoué à l'idée de la transformation de leur pays en une République.

Affinités : Plus prompt à s'aligner sur des contrats émis par des entités à ascendances slave ou Russophone ainsi que sur celles s'opposant frontalement à des régimes communistes, très grand amateur de l'industrie Automobile Raskenoise qu'il tient en très haute estime, à l'inverse il suffit de mentionner ne serait-ce que le nom d'Agouti et ses voitures électriques pour finir sur sa liste noire.


Bref Résumé :

Vladimir Kartyovitch est à la fois un "nouveau venu" à la "Haute-cour" ainsi qu'un Vétéran. En cause le fait que sa Grande Compagnie qui orbite dans le monde slave et autour dispose d'un système hiérarchique très curieux avec un "Leader Suprême" à sa tête mais sur un système tournant inspiré de la Présidence Hotsalienne. En effet, les grands pontes de cette Compagnie sont tous ou presque issus d'Empires ou d'ex empires autoritaires et n'ont jamais réellement abandonnés leurs prétentions ou celles de leurs aïeux, avec l'arrogance et les ambitions qui vont avec, ce qu'il fait qu'ils ne se sont jamais accordés sur qui devait diriger définitivement. La solution a donc été ironiquement de faire tourner, et actuellement au moins pour les cinq prochaines années c'est Kartyovitch qui dirige.

Comme son nom le laisse penser, il s'agit d'un Kartien, enfin... Le laisse penser. Beaucoup suspecte que ce n'est pas son véritable nom de famille, qu'il s'agit là d'une parodie montée de toute pièce car il n'assume pas pour diverse raison sa véritable appellation, et à ce titre nombreux sont ceux qui font les parallèles pour se moquer avec la récente "Démocratisation de papier" et "République Mensongère Impériale" comme ils la nomment, dénonçant une incapacité pour le vilain canard du monde slave à assumer ses racines autoritaires. D'ailleurs, personne ne sait non plus comment il est arrivé à Mirinegratz. Des rumeurs mentionnent qu'il aurait eut des différents vis à vis de... Relations avec une Maîtresse du précédent Tsar. Quand à savoir si cela est vrai... L'intéressé dément formellement et nie en bloc, parlant plus de divergences d'opinions quand à sa volonté "d'occuper le devant de la scène".

Car oui, Vladimir Kartyovitch est un acteur né, un papillon sociable qui ne resplendit jamais autant que devant les écrans, et à ce sujet il dispose d'un compte écho international qui dépasse déjà le Million de vue, en premier vecteur de popularité ses podcast et vidéo sur l'industrie automobile Raskenoise avec laquelle il disposerait d'un partenariat, voir même d'actions auprès d'Apex Energy. Sa passion pour les voitures n'est plus à démontrer et il est régulièrement sollicité dans les commentaires ou sur les forums pour partager ses avis sur les dernières créations des Lobby d'Eberstadt, vantant ces derniers comme l'apothéose du domaine. Récemment il s'est d'ailleurs lancé dans une grande contre-offensive pour démolir la Société Sylvoise Agouti contre laquelle il voue une haine féroce à cause de ses voitures électriques qu'il considère comme des poubelles mobiles au mieux, des cercueils roulant au pire.

Au delà de ça, ses capacités d'influenceur et surtout son cercle de contact assez vaste dû à cela ont tout de suite attiré l'attention de la Haute-cour qui après des discussions longues et laborieuses ont décidé de lui allouer un budget et de le mettre à la tête du département publicitaire nouvellement crée de l'Archiduché afin de contacter, cibler et influencer les esprits à travers le monde, tantôt pour faire la promotion des services des Grandes Compagnies, parfois pour recruter du sang frais, dans d'autres cas pour faire avancer le business de Doc Balistique.

Oui, vous avez bien compris. Toutes ces publicités qui apparaissent depuis peu ci et là de façon fort convéniente, elles sont de lui. Metteur en scène, scénariste et producteur, qui n'hésite pas à engager les meilleurs "acteurs" des grandes compagnies pour aller chercher de la clientèle. Et il est d'ailleurs fort peu probable qu'il s'arrête dans sa lancée...
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Autour de l'Aristocratie Mercenaire



I) Mandeville Titania dit "Doc Balistique"



Octavinien de Pommerouge

<< Et me voilà devenu le Destructeur des Astéroï... Ah merde, c'était un satellite Loduarien ça... >> - "Doc Balistique", 2012 lors d'une démonstration d'un de ses Missiles à la "pointe de la technologie".



Rôle : Manager du Département Scientifique des Armureries de l'Archiduché, "Génie" de la Fuséologie, Ennemi Juré de Pervanche Obéron (Qui lui a volé toutes ses idées), Streamer.

Grande Compagnie : Aucune, de par domaine d'expertise il interagi avec toutes, parfois pour le meilleur, mais de temps à autres pour le pire...

Affinités : Ne vit que pour la fuséologie dans laquelle il est une pointure (D'après ses dires), Membre actif d'Icama-Chan et grand fan du Professeur Poucave, Passe son temps à insulter Pervanche Obéron lorsqu'il est en stream en l'accusant de tous les maux du monde allant de la pauvreté du Wanmiri au délai supplémentaire sur la sortie des derniers Jangas à la mode, dans une moindre mesure il publie régulièrement des tribunes pour démonter le programme spatial de l'ASEA qu'il considère comme un travail "bâclé et fait par des sagouins".


Bref Résumé :

Tout le monde connaît les Industries Obéron de Carnavale ! Sisi je vous jure tout le monde ! Après tout qui n'a pas vu le résultat de leurs oeuvres ? Monseigneur Palamas ? Obéron. L'empoisonnement des sols de l'Empire Démocratique Latin Francisquien ? Obéron. La vaporisation d'Idi Amar ? Complètement inspiré d'Obéron. Cramoisie ? Obéron, Obéron et encore Obéron. Estham ? Deux millions de morts grâce à une collaboration Obéron et Dalyoha. Bref, Obéron est connu de tout le monde et quiconque soutient encore qu'il ne sait pas ce que c'est vit dans une grotte. Mais... Qui connaît Titania ?

Hein ? Qui ? Allez, vous au fond ? Non ? Rien d'étonnant. C'est le nom d'une obscure compagnie faisant tout comme Obéron à la stricte base car étant née à la même période que les industries en questions, du nom de leur fondateur Mandeville Titania. Un Scientifique de Renom autrefois en vogue à Carnavale paraît-il. Sauf que malheureusement, ses industries n'ont jamais décollées, tous les projets, les idées et même les fonds se seraient envolées du jour au lendemain, dérobée par la vile Pervanche Obéron qui a fondée son succès international sur le travail d'autrui ! Ou tout du moins c'est ce que Mandeville prétend et hurle à qui veut l'entendre, notamment sur ses streams quotidiens du Lundi, du Mercredi et du Samedi où il démontre grâce à des "preuves irréfutables" la vérité vraie qui est qu'il est la victime d'un complot Carnavalesque hourdi par ses pairs qui se sont associés pour ruiner son avenir, voler ses idées et l'empêcher de connaître la Gloire ! Honteux n'est-ce-pas ? Le fait qu'il vive terré dans les montagnes de Mirine depuis plus d'une décennie n'en est-il pas la preuve absolue ?

Oui, oui. Répond l'Aristocratie Mercenaire afin qu'il se calme car la règle veut que l'on ne contredit pas le fou du Bus lorsqu'il pique une crise, et des crises, Mandeville aime en piquer, des terribles même. Et pourtant... Les Grandes Compagnies ont prit l'habitude de ses gesticulations et de ses élucubrations, elles font avec et à dire vrai cela en amusent ses membres, car même si ses "prétentions" sont assurément douteuses, et qu'il se magnifie sans doutes un peu trop quand à ses compétences, il n'en demeure pas moins ce qui se rapproche le plus d'un Génie scientifique de l'ère, en quelque sortes... Car en effet, si l'on ommet ses lubies et ses projets abracadabrantesques qui engloutissent une bonne partie de ses salaires, ses connaissances théoriques en matière de fuséologie, et ses mains habiles permettant d'assembler et réassembler à peu près n'importe quoi ont été plus d'une fois d'un grand secours pour les appareils des Grandes Compagnies, et même s'il est d'une mauvaise influence pour ses assistants et ses aides, au moins transmet-t-il correctement les bons savoirs...

Bon par contre, ce n'est pas pour demain que les Grandes Compagnies auront un programme Balistique, ou spatial (Dont elles se fichent éperdument) fonctionnel. Et ce malgré ce que, celui que les mercenaires surnomment "Doc Balistique" pour son obsession pour les fusées et missiles, soutient corps et âme sur ses streams autant que sur la très connue Icama-Chan. En revanche, les satellites en basse orbite ont tout à craindre des "expériences" de Mandeville qui arrivent régulièrement à créer des conséquences improbables au grand damn d'autres entitées.
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