Généralités :
Nom officiel : République fédérale du San Youté
Nom courant : San Youté
Gentilé : San Youtien,San Youtienne
Inspirations culturelles : Amérique dus sud et centrale/État Unis (légèrement)
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s): Creole San-Youtien, espagnol et yousleve
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Français, anglais et quechuas
Drapeau :

Devise officielle : Travail pour ta famille, combat pour ta partie
Hymne offcielle :
Monnaie :Flouz San Youtien
1 F$Y=0,90 €
Capitale : Maracaillbosse
Population : 42 200 632 d'habitants en 2015
Aperçu du pays:
Présentation du pays :
Le San Youté est un pays du Paltoterra avec un régime d'autoritarisme électoral. C'est une république fédérale composée de 9 préfectures régies par la constitution et le gouvernement fédéral ; les 9 préfectures sont :
1. Sierra de los Alcolos
2. Nueva Montellana
3. Bahía del Sol
4. Tierra Doradala Llanura Real
5. Valle de San Aurelo
6. Comarca del Sur
7. Costa Esméralda
8. Altavierra
9. Pasalatara
Ainsi qu’un district fédéral où se trouve la capitale.
Ce découpage en préfecture relève plus d'une initiative administrative que d'une réelle volonté culturelle des populations.
Géographie
Les paysages du San Youté sont montagneux au sud-ouest avec San Cristabol comme ville principale de la région, avec de nombreuses plaines agricoles au bord des montagnes.
Les côtes de l’ouest sont plus urbaines.
Au nord, le San Youté est principalement fait de plages avec des clairières comme à l'est. On y trouve la ville de Calarcas, c’est une ville touristique et culturelle.
Au centre et au sud, le pays est majoritairement composé de jungle avec de petits centres urbains malgré la présence de Gloiramoi, la cinquième ville du pays.
À l’est, on y trouve la ville de Nuvos qui est un centre industriel du pays.
La capitale, Maracaillbosse, est située au nord-ouest.
Le climat du pays est tropical.
Contraintes
Le San Youté est confronté à de nombreux enjeux comme la pauvreté et la criminalité dans de nombreux quartiers du pays, conséquences directes de la crise de 2006. En effet, le pays doit encore s’en relever, tout comme la désindustrialisation dont il essaie de sortir ; il faut aussi moderniser des infrastructures vieillissantes.
Sur un plan plus social, la division politique de certains groupes de la population se fait ressentir.
Enfin, la lutte contre le paludisme doit être une priorité, car depuis 2010 la maladie progresse au sein des populations les plus pauvres du pays (14 % en 2015 contre seulement 5 % en 2007)
Histoire
- Préhistoire de -13000 à -4600 :
Les premières traces de population dans la région datent de 13000 av. J.-C. ; il s'agit d'un ensemble de tribus ayant migré du nord vers le sud du Paltoterra. C’est cette migration qui modifiera ethniquement les populations pour en faire les San Youtiens. Les populations de la région étaient alors majoritairement nomades jusqu'en 4600 av. J.-C., date à laquelle la ville de Serza, qui est un rassemblement de tribus, est fondée ; c’est ce moment qui est choisi par les historiens pour marquer la fin de la préhistoire, bien que certains préfèrent l’apparition de l’écriture pré-coloniale (le Setzarien) en -3214.
- Période antique de -4600 à 1389 :
La première date marquante de cette période est la création de l'Empire Solos en -890 ; cet empire est l’aboutissement d’une période où les cités-étatiques et les tribus se multiplient (entre l’an -2400 et l’an -890, "l'âge de l'expansion"), comme la cité-état de Bandar-Antouchoum en -1200.Durant cette période, le travail du fer progresse au sein des multiples populations de la région ; malgré ces expansions, l’an 452 et 453 marqueront la chute de Serza et la quasi-destruction de la ville par les tribus Aquerea, Nuivossa et Cretorial après un siège de 167 jours ; cet événement marque aussi la création de l'Union des vainqueurs de Serza.En 1092, la construction du temple de Derasa’t et de Nomvi’l marque l’essor des religions indigènes ; cependant, il s’agit de ces mêmes croyances qui freineront grandement l’essor de la technologie qui avait suivi le travail du fer.En 1193, la tribu marque la fondation de Maracaillbosse par un groupe de tribus, les Zajuli’o ; prémices du San Yanat’l. La Confédération de tribus s’enrichit grandement, ayant installé la ville sur un axe de route commerciale majeur.Finalement, en 1389, Hatuk’a crée la Confédération des Hauts-Plateaux (San Yanat’l en créole San-Youtien) pour résister face à l’expansion de l’Empire Solos. Elle rassemble l’Union des vainqueurs de Serza et les Zajuli’o ; c’est l’empire pré-colonial que les historiens considèrent comme l’ancêtre du San Youté. La création de la Confédération des Hauts-Plateaux marque la fin de la période antique.
- Période pré-coloniale de 1389 à 1615 :
Le début de cette période est marqué par un conflit majeur de la région : en effet, entre 1399-1410, le San Yanat’l et l’Empire Solos s’entretuent dans un conflit d’une extrême violence, connu comme la guerre des Hauts-Plateaux. Avec la défaite de l’Empire Solos et son annexion par le San Yanat’l, l’année suivante voit l’apparition du Saint-Empire Luministe rassemblant les dernières cités-états du pays sous une bannière techno-religieuse due à l’essor de nouvelles technologies agricoles, architecturales et cartographiques.La jeunesse de cette confédération sera aussi la cause de sa perte : en effet, les troubles politiques et la mauvaise gestion de l’armée mèneront à la guerre civile en 1452, suivie par une invasion du San Yanat’l entre 1454 et 1457 (c’est la guerre de 3 ans), qui aboutira à la chute de l’Empire, annexé par le San Yanat’l.Ces multiples conflits creuseront le retard technologique de la région en raison des divers sabotages par tous les belligérants.En 1599, une épidémie de paludisme majeure affaiblit les populations locales et l’Empire. On estime le nombre de victimes à 1,8 million de morts.En 1613, l’arrivée d’une expédition youslevienne dans le nord de la région marque le début de la chute interne de l’Empire, car chaque faction aristocratique souhaite s’attirer les bonnes grâces des nouveaux arrivants.Entre 1614-1615, la guerre entre l’Empire Yanat’l et les Yousleviens se solde par la victoire de ces derniers et la chute de la Confédération des Hauts-Plateaux.
- Période coloniale de 1615 à 1819 :
En 1615, Niccolos devient le premier gouverneur du San Youté. Il est le symbole de la colonisation auprès de la population san-youtienne.Entre 1615-1821, il s’agit donc de la période coloniale. L’époque coloniale s’accompagne du développement de la région grâce aux colonisateurs. Cette période marquera un bond technologique et scientifique pour la région (se référer à l’encyclopédie youslevienne pour la gestion des colonie
-Époque monarchique de 1819 à 1919 :
À la suite de 200 ans de colonisation, des mouvements nationalistes émergent durant le XVIᵉ siècle, nourris par le passé glorieux du San Yanat'l, ce qui mènera en 1819 à la guerre d'indépendance menée par Mateo Vargas, ce qui fera de lui un héros national. Elle s'achève en 1821, après la bataille de Verderassa, avec l'indépendance du royaume du San Youté (nom donné par les Yousleviens à la région). Il s'agit d'une monarchie constitutionnelle. Cela déplaît à Mateo Vargas qui décide de s'exiler à l'étranger. Il meurt en 1876.En 1890, c'est la Révolution du 28 octobre, qui souhaite la fin de la monarchie.Cet événement marque le début de la guerre civile san-youtienne entre monarchistes et républicains qui durera donc de 1890 à 1919. Cette année-là, les républicains gagnent la guerre et proclament la République fédérale du San Youté, marquant un tournant , évidemment majeur, dans l'histoire du pays.
-Période contemporaine de 1919 à
aujourd'hui :
Le 21 juin 1921, la nouvelle constitution du pays est adoptée. Elle s'accompagne d'élections et de réformes économiques. En 1930, une révolution industrielle démarre au San Youté grâce à l'importation de machines étrangères et aux réformes de 1921.
L'année 1959 voit l'apparition de l’UCS (Union des Communistes San-Youtiens) qui mènera une guérilla jusqu’à prendre Maracaillbosse le 30 mai 1970. Une dictature socialiste est ensuite mise en place après l’élection (truquée par l’UCS) de Fransisco Fabredo.La dictature durera jusqu’en 1990, où un coup d’État d’Ellosse Gareyelle, soutenu par l’armée et la population, réussit. Ce coup d’État mettra en place le régime d’autoritarisme électoral du pays et verra la suppression de l’UCS.
Vient ensuite la nomination de Nathelios Guerreirio : en effet, étant le vice-président d’Ellosse Gareyelle, il lui succède suite à son assassinat en 2002. Il sera réélu trois fois.
Le début du nouveau pouvoir en place est mal géré. Cette mauvaise gestion conduira à la crise économique de 2006. Le régime réussit à relever le pays grâce à des changements drastiques, notamment en 2014 avec la loi du "Nuevo Futuro", qui est à ce jour la plus importante réforme du pays.
Mentalité de la population :
La population du San Youté a, depuis l'indépendance du pays, un fort ressentiment nationaliste, ce qui n'exclut pas des divisions politiques. La population reste plus proche d'une unité nationale plutôt que fédérale. Néanmoins, il existe de légères identités culturelles parmi les préfectures, comme des plats ou danses traditionnelles, qui sont des héritages des divisions tribales précoloniales.
Ils sont très attachés à la religion, surtout catholique, malgré une minorité athée grandissante au fil des années, avec une hausse de 12 % depuis 4 ans.
Les San-Youtiens sont aussi attachés à la réussite, notamment scolaire et professionnelle, ce qui en fait une population assez cultivée et, dans l'ensemble, avec un goût artistique prononcé. En effet, les pratiques artistiques représentent 67 % des activités extrascolaires, par exemple.
La classe moyenne constitue 65 % de la population, avec un salaire moyen de 1222 F$Y par mois. La population défavorisée (qui vit sous le seuil de pauvreté) représente 20 % et vit généralement dans des favelas autour des grandes aires urbaines du pays. Elle est peu présente en région rurale. La population aisée, elle, constitue le reste, soit 15 %, et vit principalement au centre des aires urbaines.
Place de la religion au sein de l'État :
La population et les institutions (via des financements culturels) restent très attachées au catholicisme, mais l'État est officiellement laïque selon la Constitution de 1921. La religion principale est le catholicisme, confessé par 70,9 % de la population. Cependant, l'athéisme est en croissance et représente 12 % de la population. Les autres confessions représentent 7,1 %, dont 4 % de croyants luministes, le luminisme étant la seule religion indigène encore pratiquée.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Les institutions politiques du San Youté sont les suivantes (à noter qu'elles sont toutes régies par la Constitution de 1921, qui est le texte le plus important du pays), à commencer par le président : il est chef des armées, possède le pouvoir exécutif et législatif. En effet, il peut faire passer un décret présidentiel lui permettant de forcer (sauf si anticonstitutionnel) ou d’annuler une loi votée par le parlement. Dans l’exercice de son pouvoir judiciaire, il peut gracier ou faire arrêter n’importe qui. Il possède donc un pouvoir important. Il est élu au suffrage universel direct lors des élections, tous les 6 ans.
Le vice-président, lui, peut ordonner des frappes aériennes. Il est le chef du gouvernement et doit aussi conseiller le président ; il est nommé par le président le jour de l’élection de ce dernier. Malgré la petite quantité de pouvoir de ce poste, il bénéficie néanmoins d’une grande autorité.
L’Assemblée nationale s’occupe de voter les lois et peut modifier la Constitution. Elle est composée des députés, qui sont élus lors des élections législatives tous les 5 ans au suffrage universel direct. Il s’agit de la première chambre du parlement, qui est constituée de 5 partis politiques, et est présidée par Carlos Antonio, qui en est aussi le porte-parole.
Ces 5 partis forment aussi le Conseil électoral, qui a pour but d’assurer l’organisation et le bon déroulement des élections. La présence des 5 partis doit garantir une neutralité du conseil, mais il est surtout dominé par l’U.R.SY, le parti présidentiel.
Le Gouvernement, lui, est composé de l’ensemble des ministres (qui sont au nombre de 12) ; il est présidé par le vice-président. Ils sont nommés par le président. Le gouvernement rend des comptes au président tous les mois.
Le Conseil constitutionnel peut voter l’entrée en guerre du pays (à l’unanimité), doit garantir que les lois du parlement et du président ne sont pas anticonstitutionnelles. Le C.C peut forcer une loi mais pas en bloquer une. Enfin, il peut modifier la Constitution. Il doit aussi assurer le bon fonctionnement de sa préfecture sur les plans où le gouvernement n’agit pas. Il est présidé par le 1er préfet, qui représente le pouvoir fédéral au sein du C.C. Il est nommé après un vote des membres. Il est constitué des 9 préfets (1 préfet pour chaque préfecture du pays). Ils sont nommés par le président.
Principaux personnages :
-Nathelios Guerreirio "El dictator"(président)
-Juan Pablo Orwillo (vice-président)
-Irene Defre (1er préfet)
-Clara Mendizabal (ministre des affaires étrangères)
-Lucao Setroles (ministre de la propagande)
-Elsa Moerira (Cheffe de l'Etat major)
Politique internationale :
Depuis l'indépendance du pays, ce dernier entretien des relations diplomatiques avec la Youslevie.Le gouvernement actuel lui cherche a s'ouvrir a l'étranger après la dictature socialiste qui menait une politique isolationniste.