11/05/2017
16:10:00
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[Slaviensk/Latrua] Un voisin, un ami ?

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Alors que le soleil revenait à peine dans le ciel slavis, un nouveau partenaire s'ouvrait sur la scène internationale et réclamait comme tant d'autres les services diplomatiques de l'Empire, le Latrua. Cependant, ce partenaire ce distingue des autres par deux détails, et pas des moindres : le Latrua partage une frontière avec le Second Empire Constitutionnel de Slaviensk et avoisine la Seconde ville de l'Empire : Novosavodsk. Mais en plus, cet état est-Eurysien semble exprimer un intérêt particulier pour le Second Empire constitutionnel ayant pris rendez-vous avec l'Empereur de Slaviensk et le Tsar de toutes les Slaviensk Alexeï IV et invitant l'armée Impériale à sa fête nationale en tant qu'invité d'honneur.

Désormais, cette démocratie libérale en ouverture internationale intéresse, et pas seulement pour les raisons évoquées, mais aussi pour le caractère libéral, démocratique et capitaliste de ce pays, qui présente ainsi un certain intérêt idéologique et économique.

Aujourd'hui, alors que l'avion latruant atterrit à l'aéroport diplomatique slavis de Starovsk, ses représentants à son bord, Sweltana Volkov, Ministre des Affaires étrangères du Second Empire Constitutionnel, avait pris soin à ce que chaque détail de la rencontre soit soigneusement préparé pour ce potentiel futur partenaire. Comme à son habitude, le convoi de voitures noires attend la délégation Latruante, qui traversera ensuite la capitale en direction du Palais d'Hiver où les négociations commenceront avec l'Empereur.

La délégation Latruante sortie alors de l'avion diplomatique, et ses représentants saluèrent la Ministre des Affaires étrangères Sweltana Volkov, la Ministre des affaires étrangères les saluât en retour.

Sweltana Volkov : Salutations excellences, j'espère que votre voyage s'est déroulé sans encombres.

Après les politesses diplomatiques habituelles, la délégation fut emmenée dans le convoi, invités par Sweltana Volkov. La Ministre des affaires étrangères pris soin de s'installer auprès de Vasiliy Shulichenko pour le trajet qui les mèneront au Palais d'hiver.

Sweltana Volkov : Monsieur le Président, c'est un honneur de vous rencontrer. Lors de ce trajet qui durera une dizaine de minutes, je serai disponible pour répondre à tout questionnement de votre part.

Le convoi démarra délicatement et s'élança sur les routes de la capitale. Dans quelques minutes il atteindra le Palais d'Hiver, où sa Majesté attend la délégation Latruante.

Sweltana Volkov
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Le Président de la République réfléchit. Avait-il une question à poser ? Non, il n'en avait pas. Tout s'était si bien déroulé depuis son arrivé à l'aéroport, dès la descente de l'avion. Il avait été accueilli à bras ouverts par la Ministre des affaires étrangères, Sweltana Volkov. Cette dernière se montre à l'écoute et cela ne peut être que de bonne augure pour la suite de la rencontre.

"Je ne crois pas avoir de question pour le moment et j'en suis désolé, dit-il en riant. Cependant, j'aimerais vous remercier pour l'honneur que vous me faites en m'invitant dans votre capitale. J'aimerais aussi vous remercier de la présence de 500 membres de forces armées lors du défilé de la fête de la République, le 5 mars dernier. Ce fut une joie de les voir parader aux côtés des militaires latruants. Merci !"

Il se retourne vers sa fenêtre et regarde le paysage. Le cortège s'enfonce dans les rues de la capitale slave et Vasiliy ne pouvait s'empêcher de s'extasier face à la beauté de cette ville. Il y était déjà allé quelques fois enfant et le jeune garçon qu'il était à l'époque était tombé en admiration face aux couleurs, aux formes de cette cité. Encore aujourd'hui, il regarde ces bâtiments comme si c'était la première fois. Il avait d'ailleurs lancé les travaux de rénovation de Vrarany, la capitale de l'Empire du Latrua, dans l'espoir de pouvoir rivaliser avec Starovsk.

Ville

Le cortège de voitures officielles s'approche du Palais d'Hiver, lieu de résidence de sa Majesté l'Empereur. Les voitures passent sous l'immense arche qui donne accès à la place devant le palais. Ce dernier, à la façade oscillant entre bleu et or, est magnifique, un bijou dont la ville est l'écrin, une œuvre que les bâtiments alentour ne font que sublimer, un lieu unique par sa beauté. La voiture s'arrête, il va bientôt rencontrer l'Empereur. Alors qu'il va descendre, il lui vient soudain une question, une interrogation de première importance :

"Pensez-vous que je puisse aborder les sujets précis des négociations avec sa Majesté Impériale, demanda-t-il."

La Ministre des affaires étrangères le regarda fixement avec un léger sourire aux lèvres.
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Sweltana Volkov : Ce n'est pas un problème que vous n'ayez pas de questions pour moi votre excellence. Et Concernant votre fête nationale, je pense que c'est nous qui devons vous remercier. Après tout, c'est votre fête nationale et cela a marqué un nouveau départ dans nos relations, qui n'ont pas pu être étendues depuis quelques décennies que ce soit pour Slaviensk en raison de notre isolationnisme qu'à provoqué la dictature que fut auparavant le Régime de l'Union, et qui c'est effondré laissant place au Second Empire Constitutionnel. Quand à votre cas, l'isolationnisme exacerbé a résulté d'un gouvernement rongé par la corruption et la crise. Ce gouvernement ayant probablement créé un climat hostile à toute mondialisation.
La voiture continua de traverser les rues de Starovsk et une fois arrivé devant la place du Champs de Mars, en plein cœur de l'arrondissement administratif, devant le palais d'hiver, le Président Latruan posa une question concernant l'Empereur de Slaviensk.
Sweltana Volkov : C'est vous qui avez demandé cette rencontre, nous ne connaissons pas quelles seront vos propositions. Cependant, je sais de source sûre que l'Empereur souhaiterais faire du Latrua un Grand partenaire que ce soit pour le caractère démocratique et libéral de votre régime mais aussi notre proximité géographique. Je pense donc que l'Empereur sera ravi de parler de commerce et de liberté de circulation entre nos deux grandes nations et qui sait, peut-être également militaire. En réalité je doute fortement que l'Empereur accepte une alliance militaire et ce malgré les bonnes relations qui semblent pour l'instant émerger entre nos deux nations, et ce en raison de votre puissance militaire qui est pour l'heure, sans vouloir vous humilier, bien faible. De plus, le Latrua étant récemment entré sur la scène internationale nous ne savons pas encore s'il tiendrait le coup d'une mondialisation soudaine. Pour preuve je tient à rappeler que l'ancien régime dictatorial, celui de l'Union c'était effondré seulement quelques mois après son ouverture au monde. Cependant, une fois que le Latrua aura créé une force militaire minimale et que l'on sera assurés de votre stabilité, cette alliance militaire ne posera aucun problème.
Palais d'hiver

Ils arrivèrent sur la place du Champs de Mars, entre le palais d'Hiver et l'Arche qui servait d'entrée où plusieurs gardes impériaux étaient en rang, ainsi qu'un cœur, qui se mit à jouer. Ce cœur est un symbole d'honneur réservé à toutes les délégations amies qui se déplaçaient à Starovsk. L'hymne Impériale retentit sur la place.


Alors qu'ils marchaient le long de la place et que le cœur jouait l'hymne national, ils purent apercevoir l'Empereur de Slaviensk devant la porte d'entrée.

Sweltana Volkov souffla au Président de la République du Latrua.

Sweltana Volkov : Le Palais d'hiver est le palais impérial historique de Slaviensk, il fut construit lors de la renaissance par des architectes venus de Morakhan. Les mores sont réputés pour l'architecture et ce palais est lui même inspiré du palais d'Automne en Morakhan.
Ils arrivèrent devant l'Empereur de Slaviensk, Alexeï IV, qui saluât le Président.

Alexeï IV : Salutations votre excellence, Président de la République du Latrua.

Ils se saluèrent et échangèrent quelque politesses puis posèrent pour être pris en photos par des journalistes slavis, latruant et d'ailleurs, avant que la Ministre des Affaires étrangères laisse le Président Latruant avec l'Empereur. Le Président fut invité à s'asseoir une fois à l'intérieur sur un fauteuil qui donnait sur une grande table de négociations, où se dérouleraient toutes les discussions entre les deux dirigeants.

Alexeï IV : Votre excellence, si vous ressentez le besoin d'un rafraichissement, permettez moi l'honneur de vous offrir du Kvas.

Après la réponse du Président, l'Empereur déclara :

Alexeï IV : Bien, nous pouvons commencer. Je vous écoute.

Alexeï IV, Empereur de Slaviensk et Tsar de toutes les Slaviensk
Alexeï IV
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Vasiliy posa son dossier sur la grande table en bois. Cette dernière, taillée dans un bois noble et massif, était longue d'au moins deux mètres. Deux mètres le séparaient de celui qu'il considérait déjà comme son allié : l'Empereur de Slaviensk et Tsar de toutes les Slaviensk, Alexeï IV. Il but une gorgée de kvas, une boisson légèrement pétillante dont la fabrication est basée sur la fermentation de pains de seigle et de blé. Il reposa le verre et commença :

"Merci beaucoup Votre Majesté Impériale. Je voulais tout d'abord vous remercier pour l'honneur que vous me faites de me recevoir ici, au Palais d'Hiver. Je ne peux que vous être reconnaissant pour cette marque d'amitié envers mon pays et ma personne. Je souhaiterais aussi vous remercier pour la présence des membres de vos forces armées lors du défilé de la République à Vrarany. Ils ont été très appréciés par les Latruants et les Latruantes, dit-il le sourire aux lèvres."

Il ouvrit le dossier bleu qui était posé devant lui. Il regarda la première page qu'il avait recouverte d'annotations au stylo rouge. Il plongea ses yeux dans ceux de l'Empereur et reprit :

"Dans les échanges qui ont eu lieu entre mon pays et d'autres puissances internationales, il a été souvent relevé que les diplomates et les politiques latruants faisaient preuve d'une certaine franchise et ne se perdaient pas en locutions diplomatiques. Vous me permettrez, je l'espère, de faire honneur à cette réputation. Je vais donc vous présentez, Votre Majesté, les différents partenariats que ma nation aimerait mettre en place avec la vôtre. Nous aimerions vous proposer des partenariats d'ordre politique, socio-culturel et économique.

Le premier volet de ces partenariats touche les sujets politiques. Si l'échange d'ambassades entre nos deux est déjà acté, pour notre plus grande joie, nous vous proposons que nos pays se reconnaissent mutuellement en tant qu’États indépendants et souverains. Nous aimerions vous soumettre l'idée d'un jumelage entre nos deux capitales, Starovsk et Vrarany.

Le deuxième volet est le volet socio-culturel de ces partenariats, et c'est peut-être le volet comprenant le plus de propositions. En effet, nous vous proposons que nos deux peuples se rapprochent par le biais d'un programme d'échanges lycéens et universitaires, par l'ouverture de nos espaces aériens respectifs aux compagnies aériennes de l'autre, par la création de visas spéciaux pour les ressortissants latruants et slavis sur nos territoires nationaux, par l'organisation d'un festival de chants et de musiques accueillant des artistes de nos nations et par la construction d'une ligne de chemins de fer reliant nos deux capitales. Ce dernier projet serait financé par nos deux nations à montant égal et permettrait, comme toutes les autres propositions, de rapprocher nos deux peuples en changeant leur quotidien par la culture, l'éducation et les transports. De plus, certains artistes latruants sont déjà prêts à venir performer dans votre pays.

Le troisième volet est le volet économique. Nous aimerions faciliter les règles commerciales entre nos deux pays en levant, progressivement, sur une période de deux ans, la totalité des droits de douane sur les produits de nos pays. Nous aimerions aussi ouvrir nos ports respectifs aux navires de commerce de l'autre pour leur permettre de se ravitailler.

Toutes ces propositions ont pour but de renforcer nos relations bilatérales et de faire de nos deux pays des alliés, et même plus, des amis et de nos deux peuples des peuples frères. "


Vasiliy avait terminé. Il avait exposé toutes les propositions qu'il pouvait faire à l'Empereur, même s'il avait omis de parler des propositions qu'il voulait faire sur le plan militaire, ayant pris en compte le conseil de la Ministère des Affaires Étrangères. Il but une nouvelle gorgée de kvas et attendit la réponse de son interlocuteur.


PR
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Face au nombre de propositions du Président, l'Empereur écrivit discrètement sur un bout de papier les différents accords que proposait le Président. Il s'efforça en même temps de regarder le Président dans les yeux pour ne pas lui manquer de respect.

Alexeï IV : Il est clair que vous allez droit au but, votre excellence. Cela peut-être vu par certains comme une qualité et par d'autres comme un défaut. Personnellement, je penche pour la première option.

Il marqua une pause.

Alexeï IV : Pour le premier accord, il ne pose strictement aucun problème et est la base de futures accords de grande importance entre Slaviensk et le Latrua. La reconnaissance entre deux états passe par la reconnaissance mutuelle de la légitimité de leur constitution, la reconnaissance de leur intégrité territoriale et de leur pleine souveraineté.
Ensuite, concernant le jumelage de nos deux capitales, c'est tout à fait possible. Je suis convaincu qu'entreprendre ceci serai le symbole d'une certaine... Fraternité entre nos nations ainsi que les échanges culturelles.
En ce qui concerne la catégorie d'accords envisageables dans le domaine socio-culturel, ce que vous mes proposez ici est très intéressant, comme tout ce que vous aviez proposés jusque là.
Il regarda discrètement le bout de papier.

Alexeï IV : Je suis tout à fait d'accord avec un échange universitaire, cela pourrait être bénéfique pour les étudiants des deux états, et découvrir une autre culture, bien que la culture Latruante et celle de Slaviensk sont très proches, et c'est tout à fait normal puisque nos nations sont voisines. J'accepte aussi l'ouverture de l'espace aérien entre nos états, et le festival de chant et de musique. Cependant, je vous fait une contre-proposition en ce qui concerne les visas : Je pense qu'il serait plus simple de tout simplement abolir toute forme de visas pour remplacer la nécessité de créer un nouveau visa spécial pour voyager entre Slaviensk et le Latrua. Ensuite, la création d'une ligne de chemin de fer serait bénéfique pour nos économies ainsi que multiplier les moyens de transports slavo-latruants, permettant de faciliter non seulement les voyages de civils, mais aussi en facilitant le commerce et la vente d'arme. Le fait qu'elle soit financée par nos deux nations à parts égales me semble tout à fait juste.

Pour finir, en ce qui concerne l'économie, la disparition totale des droits de douane est dangereuse car impacterai forcément l'économie locale, mais je pense que Slaviensk n'ayant aboli totalement les droit de douane avec aucun autre état, devrait s'en sortir qu'avec un impact faible sur l'économie. C'est aussi le cas pour vous. Et l'abolition de droit de douane a aussi des avantages certains, et c'est pourquoi j'accepte votre proposition. Ce qui est du ravitaillement, j'accepte bien entendu et souhaiterai même l'étendre à un droit de ravitaillement des navires militaires assignés au commerce de l'armement. Slaviensk dispose de pétroliers ravitailleurs, mais pour nous, disposer d'un tel accord nous permettrai d'étendre notre portée de près de 1000 km vers le nord, et vous de 600 km vers le sud, ainsi que d'un port à proximité du détroit de Rusalka avec les ports de Daryinsk ou celui de Rusalka (le nom de la ville a donné le nom au détroit).

En ce qui concerne votre dernière déclaration, Slaviensk n'a pas l'intention de faire de vous un allié pour l'instant mais d'ici quelques mois, cela sera envisageable et même souhaitable.
Désormais, place a mes propositions. Vous savez déjà que Slaviensk et le Latrua partagent tout les deux une frontière avec un pays dénommé Retsvinie (ou Retsvinia). Ce pays est pourrait à l'avenir devenir dangereux pour la stabilité régionale et la sécurité de nos deux nations, ce pays étant une dictature gouvernée par une junte. Et, il se trouve que cette Junte est devenue totalement impopulaire après ma prise de pouvoir, tout simplement parce que le narratif de leur propagande tournait autour d'un discoure ultra-nationaliste de reconquête du territoire national et de remise sur le trône de ma dynastie, alors que jamais nous n'avions été aux côtés de cette Junte criminelle. L'effondrement de leur propagande a permis à plusieurs factions, jusque là en déroute, d'élever à nouveau la voie contre le régime totalitaire. Je vous propose donc de soutenir conjointement les forces d'oppositions, une alliance entre plusieurs factions libérales, après avoir participé à une entrevue avec eux dans le but de définir l'avenir du pays. Si vous n'êtes pas prêts à une politique interventionniste, ce que nous comprenons au vu du rapport de force nous aimerions d'ores et déjà, avant que tout autre accord militaire soit signé vous offrir notre protection contre les agressions potentielles de la Junte militaire au pouvoir qui redouble d'activité actuellement. De plus, des élections auront bientôt lieu sur la Retsvinie et au vu de la tension actuelle sur le territoire, une telle élection risquerai de mettre le feu aux poudres, la triche étant monnaie courante entre les factions.

Alexeï IV, Empereur de Slaviensk et Tsar de toutes les Slaviensk
Alexeï IV
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Le Président de la République avait écouté l'Empereur avec une grande attention et un grand respect. Il rebut un peu de kvas et répondit.

"Je suis tout à fait d'accord avec vos remarques et contrepropositions quant aux partenariats que je vous ai proposé. Ainsi, je suis d'accord avec l'idée d'abolir tous visas pour nos concitoyens, avec la volonté de multiplier les moyens de transports slavo-latruants et avec l'élargissement des droits de ravitaillements navals aux bateaux militaires de nos deux nations.

Pour ce qui est de votre proposition relative au Retsvinia, je ne peux qu'accepter l'idée d'une rencontre avec les forces d'opposition de ce pays, et peut-être d'un soutien à ces mêmes forces tant que nous sommes sous votre protection militaire. En effet, je doute que mes forces armées, aussi entraînées soient-elles, ne puissent tenir longtemps dans l'hypothèse d'une attaque massive de la part de cet État. Le gage sécuritaire que vous faites au Latrua est donc une protection suffisante pour que nous puissions rencontrer ces hommes et ces femmes qui se dressent courageusement contre l'oppression de la junte. Je vous laisse le soin d'organiser cette rencontre.

Avez-vous d'autre propositions à formuler ?"


PR

HRP Je ne serais pas disponible pendant les deux semaines qui viennent donc le RP du sommet avec les forces d'opposition ne pourra avoir lieu que dans trois semaines. Merci d'avance pour ta compréhension.
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