11/05/2017
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[VALIDÉE] Nj3 : Despotat de Georgiplios (finie, attente de validation)


Le despotat de Georgiplios est un projet de pays qui devrait à terme permettre de créer une rivalité turco-grecque avec la NJ2 de Aycan1876, joueur de AYKHANIDES.

Création de pays : Despotat de Georgiplios


Généralités :



Nom officiel : Despotat de Georgiplios
Nom courant : Georgiplios
Gentilé : Georgipliote

Inspirations culturelles : grec
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Grec
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : aucune

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : « Η δόξα του δεσποτάτου είναι αιώνια »
La gloire du despotat est éternelle
Hymne officiel : Aucun
Monnaie nationale : Argyros

Capitale : Leitagios

Population : 7 693 402 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Georgiplios, ou despotat de Georgiplios, se considère comme étant, et à juste titre, le dernier et véritable héritier de l’Empire Rhêmien. S’il existe l’Empire Rhêmien de Théodosine et le despotat de Lykaron, elle les considère comme de simples usurpatrices et se revendique comme la seule et véritable fille de l’Empire Rhêmien, perpétuant son nom, sa culture et son héritage jusqu’à aujourd’hui, croyant sincèrement à la résurrection de l’empire à partir des solides fondations que constitue le despotat de Georgiplios.
S’il reconnaît malgré tout l’existence de Théodosine ou encore de Lykaron, ce n’est qu’en tant que filles traîtresses, maudites et devenues ennemies jurées de l’ancien empire, ayant par leurs fourberies sapé sa gloire par des guerres internes ayant fini par faire s’effondrer l’empire éternel. La propagande impériale, soigneusement orchestrée par le pouvoir du despote et les institutions gouvernementales du despotat, a joué sur cette nostalgie impériale révolue pour asseoir son pouvoir au sein de la population. Les despotes de la famille Mydon, qui se sont succédé au sein de la même famille noble : les Mydon, de manière totalement ininterrompue depuis la chute de l’empire jusqu’à aujourd’hui, se proclament comme glorieux véritables descendants des anciens maîtres de Rhême et portent avec arrogance leurs titres : autokrator, pontife Maximus, protecteur de la sainte orthodoxie, dominus, sénateur, et plus encore.

Le despote de Georgiplios, maître absolu de Leitagios et de tout le despotat, se considère comme le plus fidèle et apte héritier de l’empereur Basil, qu’il considère comme étant le dernier véritable maître de l’Empire Rhêmien avant sa tragique chute. Les despotes successifs de Georgiplios se sont réclamés de son héritage légendaire et cherchent à restaurer la gloire de l’empire à partir du reste du domaine impérial aux mains du despotat.
Se revendiquant de cet héritage impérial et ayant la volonté de le restaurer, le despote considère que chaque domaine sous lequel il règne fait partie de plein droit du despotat et de l’empire, et qu’il ne doit donc en aucun cas être perdu. Cette idéologie nationaliste et impérialiste rhêmienne, fortement ancrée dans la société du despotat, entraîne des tensions et des conflits majeurs contre d’autres États ou puissances. L’exemple le plus concret est celui du Doukato de Laïon, officiellement situé au Nazum et dernier vestige de l’étendue de l’Empire Rhêmien en dehors de l’Eurysie. Laïon incarne la gloire et le joyau de l’empire mais crée également des conflits et des tensions avec la république turque de Bozyurtie, qui revendique officiellement le territoire. Les différentes guerres successives qui ont opposé la république au despotat ont créé un profond ressentiment et accentué le sentiment nationaliste du despotat, qui se considère de fait comme entouré d’ennemis de toutes parts, et en état de guerre permanent.

Le despotat de Georgiplios est donc un État de culture et de langue hellénique et rhêmienne surtout, se revendiquant comme étant la fille de l’Empire Rhêmien, partageant une histoire et un héritage culturel communs avec ce dernier, fortement accentués et amplifiés par une propagande du gouvernement de manière subtile, mais dont les effets sont aujourd’hui clairement visibles au sein de la société et de la population du despotat. Le despotat se démarque également par sa géographie atypique : sa métropole, située en Eurysie sur la péninsule du (j’ai pas le nom de la péninsule), est voisine de Théodosine par la mer, du Tanksa de Caratrad et de Grisolia. La présence de ces territoires autonomes sous le contrôle d’une puissance étrangère est par ailleurs considérée par le despotat comme une véritable offense à la gloire et à l’honneur du despotat, et une honte immuable qui pend sur le cou de la fille de l’empire éternel.

Bénéficiant d’un climat clément permis par la proximité avec la mer Blême, le despotat de Georgiplios possède des étés chauds et des hivers cléments, permis par l’existence d’une importante chaîne de montagnes qui régule la température et la rend agréable à vivre. Sa géographie est elle-même façonnée par la réalité de son territoire : l’existence de l’isthme fait que la géographie du pays est très montagneuse, avec d’immenses chaînes de montagnes qui ont longtemps obligé les habitants du pays à se cantonner à des espaces plus adaptés à la vie et à l’activité humaine : les côtes. Ici se sont développées d’importantes cités, cœurs des activités économiques et sociales du despotat. L’intérieur des terres, lui, plus vallonné et montagneux, permet quand même l’existence et la pratique d’une forme d’agriculture, néanmoins fortement limitée et non intensive, par manque de place et surtout d’investissement.

Économiquement, le despotat reste très affaibli par des années de conflits et de guerre l’ayant opposé à la république turque de Bozyurtie. La priorité donnée à l’armée et aux services de renseignements a fortement freiné l’activité économique, et encore aujourd’hui, les conséquences sont clairement visibles : infrastructures vieillissantes et inadaptées, fort taux de chômage, qui oblige souvent les jeunes générations à aller voir ailleurs (vers la république de Tanksa, mais de préférence les pays culturellement grecs, soit Théodosine, Youslevie, etc.) provoquant une fuite des cerveaux.
Soutenu massivement par l’industrie militaire, les manufactures et autres activités industrielles, le despotat reste fortement dopé aux activités liées à l’armée, même si le secteur des services est en pleine augmentation, dû aux investissements massifs effectués par les gouvernements. Le secteur agricole, lui, reste fortement limité et peine à se montrer attractif, sauf en despotat de Laïon, où elle est encore une activité majeure. L’existence de colonies d’exploitation ou de villa, sortes de propriétés collectives privées réunissant des individus georgipliotes où ils pratiquent l’agriculture et des industries de base, permet, et a permis, aux gouvernements de contrôler le territoire et de le maîtriser. Cependant, la trop forte indépendance que semblent posséder ces territoires met mal à l’aise les autorités centrales de Georgiplios, qui n’hésitent pas à la moindre occasion à les réprimer.

Mentalité de la population :

Fortement influencé par les années, non des siècles, de propagande du pouvoir, qui considère le despotat comme le dernier des reliquats de l’empire Rhêmien, le peuple Georgipliote est marqué par un profond nationalisme, mais également par un profond sentiment de supériorité culturelle et artistique vis-à-vis des autres nations du monde, en raison de leurs proclamations comme héritiers légitimes de l’empire.

Cependant, si l’on observe de manière précise la population georgipliote, on peut distinguer trois grandes catégories d’individus qui composent le gros de la société Georgipliote :

- Les ultras-nationalistes, souvent idéalistes d’un Rhême révolu qui a autrefois régné sur le monde, se revendiquent enfants de ce Rhême disparu. Ils n’hésitent pas à le démontrer clairement, et souvent de manière très très violente. Appartenant à des collectifs ultra-nationalistes et religieux fortement contrôlés par le pouvoir central, ils s’opposent à toute sécession du despotat ou de son territoire ultramarin, et considèrent comme étant fortement inférieure la « race » turque. Ils nourrissent une haine viscérale contre la république turque de Bozyurtie et le baylikah Ayhhanides. Aujourd’hui, fortement en progression avec le retour des tensions et des conflits entre la république turque de Bozyurtie et le despotat, les ultras sont de plus en plus actifs et visibles tant sur la scène publique que médiatique et politique. Ils partent souvent provoquer les quartiers turcs de la métropole ou encore faire des ratonnades au sein du Dukato de Laïon, et n’hésitent surtout pas à faire monter les tensions frontalières déjà exacerbées.
- Les modérés constituent une autre grande partie de la société georgipliote. Se revendiquant avec fierté comme étant fils et filles de Rhême l’éternelle, ils se distinguent des ultras qui préfèrent faire usage de la force et de la violence par l’usage de leur prétendue supériorité raciale et culturelle. En effet, ils se considèrent comme étant une « race » supérieure, dont il est du devoir et de la responsabilité de réunifier l’empire, mais non pas par la guerre ou la violence, mais par l’extension des savoirs, des pratiques artistiques et culturelles rhêmiennes, afin de faire adhérer volontairement les autres nations ayant autrefois vécu sous la protection des maîtres de Rhême, au sein d’un futur empire restauré. Concernant le Dukato de Laïon, les modérés partagent la même position que les ultras, à savoir que c’est un territoire qui appartient éternellement à la fille de Rhême et ne doit en aucun cas être restitué. En faveur d’une politique diplomatique pragmatique, ils cherchent à asseoir la domination de Georgiplios non pas par la violence mais par l’art de la diplomatie.
- Les jeunes constituent d’une certaine manière un groupe à part au sein du despotat. Si le rêve d’un empire rhêmien existe toujours au sein de ce groupe, il se différencie néanmoins par rapport aux anciennes générations par sa volonté de réformer profondément la société georgipliote. Ils n’adhèrent de ce fait à aucun des deux groupes cités précédemment, dont ils ont du mal à se reconnaître. Ils s’opposent à l’influence trop importante du patriarche œcuménique, et plus largement de l’Église au sein de la société et du pouvoir, et osent même critiquer l’influence excessive qu’exerce le patriarche. Enfin, ils ont une position ambiguë sur l’existence du Dukato de Laïon : par fierté nationale, ils le considèrent appartenant de plein droit au despotat, mais par « humanisme » ou à cause de l’influence des sociétés dites démocratiques occidentales favorables à l’autodétermination des peuples, ils le considèrent comme étant un territoire souvent colonisé et occupé par les Rhêmiens aux dépens de ses propriétaires originels.

La société georgipliote, traversée par ces conflits nationalistes et religieux, se divise également par sa structuration : la majorité des Georgipliotes sont des sujets du despote appartenant plus ou moins à ce qui correspondrait à une classe moyenne. Habitants majoritairement la métropole, ils vivent leur vie au gré du temps qui passe et s’impliquent rarement dans les affaires qui concernent l’élite politique ou sociale. Cette classe moyenne, fortement endoctrinée soit par l’appareil étatique à travers le système éducatif, soit plus subtilement par l’Église orthodoxe, donne dans tous les cas une population plus ou moins nationaliste, orthodoxe et soumise à l’État. S’il existe une élite politique et sociale, elle ne constitue pas néanmoins une noblesse, puisqu’elle est composée de fonctionnaires, de hauts fonctionnaires, de sénateurs, de militaires de prestige ou encore d’acteurs économiques influents. Cette élite politique, qui possède de l’influence sur les affaires politiques et économiques, est souvent corrompue, achetée ou encore redevable à une autre élite plus riche et fortunée, donnant naissance à un appareil étatique obèse et souvent affaibli par les luttes et les intérêts de ses décisionnaires. L’existence de ces pratiques cause également l’instabilité de l’appareil étatique, souvent affaibli par des guerres intestines, des assassinats ou encore des coups bas, qui ne cessent d’augmenter de plus en plus, jusqu’à finir en guerre privée sans en dire le nom.

En pratique, si le despote est le chef suprême de la nation et le décideur ultime, il n’est pas le chef de l’État, poste possédé par les trois stratèges collectivement. Le despotat de Georgiplios est un État qui mêle principes impérial, républicains, despotiques et démocratiques, avec l’existence d’élections pour les assemblées des provinces ou des autorités locales, qui sont tous élus au niveau des localités : maires, gouverneurs, commissaires, etc. La concentration du pouvoir au sein des mains du despote apparaît comme absolue : il contrôle l’exécutif, car en pratique il les nomme, et le législatif, car c’est lui qui nomme les 550 sénateurs. Pour le pouvoir judiciaire, il constitue le juge ultime. Seul contre-pouvoir visible au despote reste le fait qu’il est élu par les membres de la famille Mydon à la mort du précédent, chose qui dégénère souvent en conflits ou trahisons, même si la tradition veut qu’on nomme le fils du précédent. Enfin, il apparaît que le despote se préoccupe de moins en moins des affaires politiques et profite plutôt de ses demeures et palais, laissant le pouvoir politique et la gestion de l’État à ses fonctionnaires.

Place de la religion dans l'État et la société :

Société encore fortement religieuse, due à l’omniprésence de la religion et de l’Église au sein de la société, la religion occupe une place très importante au sein de la société comme au sein de l’État géorgipliote. Le culte orthodoxe impérial joue un rôle prédominant tant sur la politique du despotat à travers son influence immense, exercée par le Patriarche œcuménique de Sipathon, qui possède une mainmise sur une grande partie des pouvoirs publics et des appareils décisionnaires du despotat, comme son rôle auprès du despote en tant que conseiller spirituel, et qui est lui-même issu du culte orthodoxe. Le patriarche exerce également une immense influence sur la famille du despote à travers les rites religieux de naissance, mariage, décès et sacrement, mais également les prières religieuses, ainsi que sur l’ensemble de l’appareil bureaucratique, dont une grande partie des fonctionnaires sont souvent des religieux, actuellement ou anciennement moines. L’Église impériale contrôle également la société à travers son contrôle de l’éducation, du droit de la famille et des affaires familiales. En l’absence de séparation de l’Église et de l’État, le culte orthodoxe impérial est financé par l’État de Georgiplios, qui le subventionne massivement.

Si l’influence du Patriarche œcuménique de Sipathon est dans les générations actuelles fortement remise en cause, il reste néanmoins qu’il exerce toujours une influence majeure dans la société, ce qui fait souvent naître des luttes générationnelles entre les anciennes générations, croyantes et fortement attachées à l’Église, et les nouvelles générations, plus laïques et moins religieuses.

Concernant les autres religions, le despotat tolère leur existence tant qu’elles sont déclarées et ne pratiquent pas de prosélytisme sur le territoire national du despotat. Le despote se considère, tel que les anciens empereurs rhémiens, comme protecteur universel de toutes les fois et cultes. Il tolère l’existence et la pratique de ces cultes dits barbares au sein du despotat tant qu’ils restent redevables au despote et reconnaissent sa légitimité, mais également en pratiquant plus ou moins le culte impérial alloué au despote. Frappé de suspicion, le culte musulman est fortement surveillé par les autorités et services de renseignement du despotat. La raison est que la majorité des turcs sont musulmans et que nombre d’imams ont appelé à l’extermination du despotat, majoritairement dans le Dukato de Laïon. Si la pratique d’une autre religion est en principe tolérée, elle freine néanmoins la capacité d’intégration et d’évolution au sein de la société géorgipliote, majoritairement orthodoxe impériale, et limite les capacités d’évolution au sein de l’appareil étatique comme en privé. Cependant, cela apparaît comme étant de moins en moins vrai parmi la jeunesse, fortement athée et multiculturelle, contrairement aux anciennes générations plus attachées à la religion.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Le despote est la personnalité suprême de l’État. S’il n’est légalement pas le chef de l’État, rôle exercé conjointement par les trois stratèges, il reste néanmoins le chef suprême de la nation (et encore une fois non de l’État), c’est-à-dire le représentant et le chef de l’ensemble des personnes qui se revendiquent d’appartenance à la nation Georgipliote et à l’héritage d’un empire Rhêmien éternelle, et il est le décideur ultime en matière d’affaires politiques et sociale, militaire, diplomatique et religieux. Malgré le fait que le despote s’immisce de moins en moins dans les affaires politiques du pays, préférant profiter de ses villas et de ses fêtes somptueuses dans ses palais, il reste toutefois capable de renverser les décisions de l’État et de faire appliquer ses volontés de manière absolue. Il cumule également les fonctions de chef suprême de l’armée (les légions rhêmiennes), gardien de la constitution pourpre, dont il est constitutionnellement au-dessus (la constitution n’inclut pas le despote puisqu’il est au-dessus de toute forme de limitation de pouvoir, mais il est tout de même reconnu comme chef suprême), ainsi que gardien de l’intégrité nationale et de l’inviolabilité du territoire national. Sa personne, considérée comme sacrée, est inviolable. Malgré ses pouvoirs ultimes et presque sans limite, ils restent néanmoins limités par des us et coutumes propres aux pouvoirs géorgipliotes : tout d’abord, le despote doit être élu au sein de la famille Mydon ; ensuite, il ne fait presque plus usage de tous ses pouvoirs, préférant les déléguer aux institutions inférieures.

Les stratèges sont au nombre de trois : un stratège assurant la fonction honoraire de chef de l’État, un stratège chef de la diplomatie, et un stratège chef de l’armée. Ils forment collectivement la fonction de chef de l’État du despotat, élus par le Sénat rhêmien pour un mandat de trois ans. Ils s’échangent chaque année les trois fonctions : c’est-à-dire qu’un stratège ne peut occuper qu’une année la fonction de stratège chef de l’État ; l’année suivante, il doit obligatoirement changer de fonction par tirage au sort parmi les deux autres fonctions qu’il n’a pas encore occupées. Maîtres suprêmes du pouvoir civil (exécutif), ils nomment les Hypatos (sorte de consuls aux fonctions de premiers ministres) et contrôlent l’action du gouvernement et des administrations de l’État. Chaque stratège possède des pouvoirs spécifiques concernant sa charge.

Les hypatos sont des sorte de consul, au nombre de deux conjointement nommés par les stratèges pour un mandat de quatre ans selon la composition du Sénat. Dotés de pouvoirs extrêmement larges, censés leur permettre d’assurer au mieux leurs charges et de mener à bien la politique générale votée par le Sénat et décidée par les stratèges.
À la tête du gouvernement et de l’administration publique, ils sont chargés de s’assurer du bon fonctionnement des appareils étatiques.
En cas d’incapacité de l’un des stratèges, c’est un Hypatos qui le remplace à sa charge jusqu’à la nomination d’un nouveau stratège ou le retour du stratège en question.
Également fonction collégiale, un Hypatos peut très bien opposer son veto aux décisions de l’autre Hypatos, raison pour laquelle ils ont intérêt à bien s’entendre.

Le Sénat est le pouvoir législatif ultime du despotat, au-dessus seulement du despote. Disposant de larges pouvoirs sur le vote des lois et du budget, il peut également émettre des résolutions envers les autres pouvoirs de l’État afin d’orienter leurs prises de décisions politiques dans n’importe quel domaine. Assemblée extrêmement prestigieuse par le prestige social de ses membres, le Sénat rhêmien influence l’ensemble des pouvoirs et des institutions du despotat au-delà de ses charges normales.
Composé de 951 illustres sénateurs nommés par le despote pour 511 d’entre eux et les 440 autre sont élu au suffrage universel direct pour un mandat de 8 ans, ils incarnent le pinacle du statut social géorgipliote. Doté de pouvoirs judiciaires larges, eux seuls peuvent juger un ancien haut fonctionnaire du despotat et le condamner.

Le Dukato de Laïon est un territoire autonome du despotat de Georgiplios extrêmement stratégique par sa valeurs historiques. Le territoire est actuellement dirigé par la Doúkaina (duchesse) Kassandra Athanide de la famille Athanide depuis des générations. Cependant, le pouvoir central est représenté par un Sebastokrator (Vénérable souverain ou majestueux auguste), généralement un membre de la famille du despote. L’administration territoriale est aux mains de la cour de la Doúkaina et se limite généralement aux affaires que les villas ou cités ne peuvent pas gérer elles-mêmes.

Principaux personnages :

- > Chrysanthos Mydon : despote de Georgiplios

- > Emilios Lagopoulos : stratège chef de l’Etat.
- > Herakles Ballatos : stratège en charge de la diplomatie.
-> Paraskevas Puliades : stratège en charge des armées.

- > Aphrodite Pavlouli : Hypatos
-> Romanos Sideriades : Hypatos

Politique internationale :

Le despotat de Georgiplios entretient de fortes tensions avec la république turque de Bozyurtie en raison des revendications qu’elle possède sur le domaine impérial de Laïon, les tensions qui existent entre cette république et le despotat sont anciennes et pas près d’être résolues. Se revendiquant comme fille de Rhème l’éternelle, le despotat ne reconnaît pas l’existence de Lykaron vu comme félon à l’empire et de Théodosien, tous deux vues comme étant un frein majeur à la réunification et à la restauration de l’empire Rhêmien. La restauration de la glorieuse Rhème doit passer par la destruction de ces deux traîtres.

Toutes les conditions sont réunies pour prétendre à une NJ2. Ce faisant, je peux la valider.
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