11/05/2017
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Zdanik Jestar

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Le Zdanik Jestar est le principal journal ouanais, ouvert à toutes les opinions politiques, c'est un lieu de choix pour tous les membres de l'échiquier politique souhaitant se faire entendre.
Il couvre aussi les faits de société et les faits divers importants qui secouent l'Ouaine
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Le dirigeant de l'Uranotorov alerte sur la mauvaise santé de l'entreprise


oui

La mine de Valakoto fermée depuis 2013, symbole d'un secteur minier en péril



Dans une interview qu'il nous a accordé, Orel Sator, le président de l'Uranotorov nous a alerté sur les problèmes qui secouent l'entreprise minière ouanaise officielle chargée notamment de l'exploitation de l'uranium. Pour rappel, l'Uranotorov n'a rempli que 50% de ses objectifs annuels

Le début des ennuis
C'est un homme plein de coutes qui s'est ouverts à nos envoyés ce matin, après 12 ans passés à la tête de m'entreprise minière nationale, Sator n'avait jamais douté de ses choix, mais depuis plusieurs années, les problèmes se sont accumulées pour l'organe qu'il dirige et se sont répertoriés dans les résultats.
Les problèmes ont commencé, je m'en souviens en novembre 2012 quand une coulée de boue dans la mine d'Abdjouparov a emporté trois de nos sept machines de forage. Sur le coup, cela ne nous a pas paru un si grand problème car deux autres étaient déjà en construction. Cependant, c'est dans la mine de Moulidine que les choses ont pris une tournure problématique, le chantier d'excavation d'une troisième aile avait été bâclé et nous y avons passé 8 ans au lieu de trois mois, à cause de cela, le reste de nos travaux a été mis à l'arrêt et les mines se sont peu à peu dégradées

Des répercussions en chaine
C'est en effet à partir de l'été 2013 que les premiers affaissements dans des mines ont commencé à se déclarer dans les mines. S'en sont suivis les grandes grèves d'octobre qui ont vu les mines totalement paralysées par des mineurs effrayés. Malgré les quelques 200 millions débloqués par l'état, les problèmes ont continué, poussant en novembre 2014, à la fermeture provisoire de la mine de Valakoto. Les chiffres passèrent alors en dessous des 2000 tonnes par an pour la première fois depuis 1987.
Depuis, la situation n'a cessé de se détériorer, l'absence de chiffres entrainant une chute des revenus et une baisse de la confiance des ouvriers créant un véritable cercle vicieux.
Yevgeny Sadrov, représentant de la cité principale entourant la mine de Yepn avec plus de 50 000 habitants nous a tenu ces mots: "les gens ont maintenant peu de descendre dans les mines quand ils savent qu'elles peu à tout moment s'ébouler, on a donc de nombreux postes vacants et ceux qui en occupent sot trop inquiets pour bien travailler amlgré les fortunes qu'on leur verse

Un futur en pointillés
Sator dresse un tableau catastrophique de l'état actuel et ne voit qu'une solution:
[i[Nous sommes actuellement dans une impasse, il faut un changement radical de philosophie dans la gestion des mines [/i]
Il y a quelques jours, une possible reprise des mines par la Barvynie était envisagée mais le projet semble avoir du plomb dans l'aile si l'on en croit les dernières nouvelles. Surtout quand l'on connait les difficultés éprouvées par l'Extratavosk, la firme barvynienne dans ses mines de charbon (cf éboulements de novembre et grève générale de mars) Des firmes transnationales se seraient aussi renseignées sur le dossier mais au vu de la direction politique de l'état, une intervention privée parait inadaptée.
Quoiqu'il en soit, le gouvernement a annoncé il y a peu un objectif de 3500tonnes par an d'ici 2025, et pour cela il ne faudra peut-être pas tout changer, mais au moins la majorité





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