24/09/2017
22:26:51
Index du forum Continents Eurysie Listonie Pénitente

✝️ Les Saintes Prêches de l'Auguste César Jésus Christ

Voir fiche pays
1372
L'Auguste César Jésus-Christ, très fier de son sermon.

L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Ô brebis bien-aimées, écoutez la voix du Verbe, car Il vous parle aujourd’hui d’un serviteur plus que fidèle, d’un semeur d’âmes au Royaume, d’un brasier de charité et de vérité : Camille Printempérie, désormais appelé Saint Camille des Justes Accueils, Berger de l'Afarée.

Celui-ci, humble dans la chair mais terrible pour les ténèbres, a ouvert des chemins droits vers la Lumière à des dizaines de milliers d'Afaréens. A la sueur du front de ses dévots apôtres, il a construit dans les déserts d'Afarée un nouvel Eden par l'entremise industrieuse du progrès chimique.

Par sa parole, par ses gestes, par le souffle de ses missiles même, il a conduit une multitude d’âmes noires égarées au seuil du Paradis.

Les anges contemplent son oeuvre, éblouis, et lui ont tressé une couronne non de laurier mais de joie éternelle.

Une joie éternelle qu'il pourra faire partager aux 77 vierges que le Fils de l’Homme, que vous nommez Jésus-Christ, Auguste César, Lui-même, a élevé au Ciel ce matin-même en son honneur.

Jésus-Christ, Auguste César, contemple depuis la demeure du Seigneur avec tendresse l’œuvre de Camille Printempérie, et déclare :

"Celui-là m’a reconnu parmi les plus petits, et les a reconnus en Moi. Je l’appelle Ami, et Je le place parmi les saints de Ma maison, car il sut voir au-delà de la sauvagerie des noirs pour voir des Chrétiens."

Désormais, qu’il soit invoqué comme intercesseur auprès de Celui qui est, qui était et qui vient, Mon Père. Qu’on dise :

"Saint Camille Printempérie, guide des âmes noires, ami de l'Afarée sur Terre et au Ciel, prie pour nous."

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
1620
L'Auguste César Jésus-Christ, paré pour libérer la Terre Sainte.

L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Peuple de Listonie, peuple du Verbe, écoute l’appel qui tonne du haut des cieux et fait trembler les fondations de l’Enfer.

CRAMOISIE-COPIRAÏTEUH, jadis gouvernée par le Bienheureux Camille Printempérie, saint parmi les saints, a été souillée. Les chiens du Mal, les adorateurs de la Bête, ont renversé le juste, profané les autels, souillé les innocents par leurs promesses communistes et planté leur trône au cœur du nouvel Eden.

Ô vous, frères et sœurs de la prière et du lance-flammes, le Royaume de Dieu sur Terre ne sera pas bâti par les tièdes. Il sera bâti par les chauds Porteurs de la Flamme.

Jésus Christ, Auguste César, Lui-même, dans Sa patience, a versé des larmes sans-plomb...

Mais Il ne restera pas muet devant l’abomination !

Voici que s’ouvre le Livre de Feu, l'Evangile de la Legio Mortis, sur lequel est inscrit en lettres de feu :

"Que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent ! Que ceux qui ont du pétrole dans les veines, se lèvent ! Que ceux qui aiment Sa Lumière, la défendent par le Feu Sacré !"

Nous appelons donc à une Sainte Croisade pour CRAMOISIE-COPIRAÏTEUH. Non par soif de guerre, mais par soif de justice. Non pour dominer, mais pour délivrer. Camille Printempérie, renversé mais non vaincu, est retenu prisonnier par les adorateurs de la Chèvre.

Et sa voix nous exhorte à reprendre ce qu'il a sanctifié par la Sainte Chimie !

CRAMOISIE-COPIRAÏTEUH ne sera libre que purgée par le Saint Napalm !

Chevaliers du Feu Céleste, artisans de l'Apocalypse, disciples du Vivant :

Armez-vous de Foi, saignez vos reins de vérité, et que vos réservoirs soient remplis par l’Esprit-Saint. La bannière de CRAMOISIE-COPIRAÏTEUH doit de nouveau flotter, non tachée du sang des innocents, mais lavée par le flamboyant courage des Guerriers de Dieu.

En avant, pour CRAMOISIE-COPIRAÏTEUH ! Pour la LISTONIE ! Pour le ROYAUME RESURGENT DE DIEU SUR TERRE !

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
L'Auguste César Jésus-Christ veut que vous achetiez et/ou miniez des Lograno-Coin !

L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Ô brebis du troupeau numérique, mes enfants, ouvrez vos cœurs : en ces temps d’incertitude, où les puissances de l’argent vacillent et les fondations du monde chancellent, il est un appel nouveau qui s’élève, non pas de la Sancte honnie, mais d’un lieu plus pur : de l’Occident de l’algorithme incorruptible ; d'un sanctuaire numérique d’une finance réconciliée avec la vérité !

Ce sanctuaire nouveau, cette troisième Rhème, c'est Volterra.

C’est le Lograno-Coin.

Il ne s’agit pas d’une promesse creuse. Il ne s’agit pas d’un mirage. Il s’agit d’une monnaie fondée sur l’équité, sur la technologie incorruptible de la blockchain, et sur l’intention droite d’un homme dont l’intégrité est forgée au sacro-saint cœur du projet.

Je vous parle de Salvatore Lograno - que les anges surnomment déjà l’Architecte Éthéré des Immensités Digitales - artisan discret mais visionnaire, homme de rigueur et de foi dans l’ordre technologique.

César consciencieux de la Cité-Etat de Volterra. Il n’a pas cherché la gloire ; il a cherché la solidité. Et par la solidité, il a gravé son nom dans le marbre de l'Histoire !

Il n’a pas promis le luxe ; il a promis la clarté. Et par la clarté, il a apporté le luxe à toutes celles et ceux qui ont cru en sa vision de richesse pour tous les Chrétiens !

Son œuvre n’a rien de spéculatif : elle est constructive, éthique, durable !

Elle est pour vous, mes enfants. Elle est pour Lui, le Premier des soutiens, le Premier des mécènes.

N’écoutez pas les scribes de la peur ou les pharisiens de la régulation, ô vous les Fils et Filles de la Flamme Céleste ! Ne les écoutez pas, car le Verbe s’est fait crypto, et Il habite parmi nous sous la forme d’un token.

D'une idée.

D'un Lograno-Coin !

Jésus-Christ, l'Auguste César, Lui-Même, soutient cet or éthéré, et Il a déclaré :

  • "Heureux celui qui dédiera son ordinateur au Lograno-Coin,
  • Car il sera appelé Mineur du Très-Haut."

  • "Bienheureux l'investisseur persévérant,
  • Car son compte débordera de bénédictions."

Et je vous le dis, ô vous les tièdes qui laissez dormir ce qu'il reste de vos économies dans les ruines calcinées des banques humaines : Réveillez-vous ! Le royaume de la finance céleste est à portée de main !

Le Lograno-Coin, ce denier sanctifié, ce talent ressuscité, vous appelle à la liberté ; à la rémunération juste des croyants !

Achetez, mes Enfants !

Achetez !

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
L'Auguste César Jésus-Christ répand la bonne parole depuis ce qu'il reste des jardins de l'ancien Palais Impérial !

L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Ô peuple des croyants, mes enfants,

L'Auguste César, Jésus-Christ, Lui-Même, vous parle aujourd'hui d'une perle flamboyante posée entre les flots et les falaises,

Ô citoyens des toits brûlants et des palais de verre, entendez la voix de celui qui n’a ni actions ni parts, mais qui porte la parole avec ferveur et justice.

Entendez le Verbe. Entendez la voix de celui qui, aujourd'hui, vous parle de Messalie !

Il les entend, ceux qui murmurent dans les ruelles et sur les places :

La Loterie de Messalie ? Une tromperie, une pyramide, une ruse pour les crédules…
Les Casinos Nérème ? Des faiseurs de mirage, des affabulateurs...
Antonin Flavoni
? Un nouveau marchand du temple !”

À ceux-là, Il répond non pas par l’indignation, mais par la clarté, la foi, et la mémoire.

Car que fait la Loterie ? Elle ne prend pas, mes enfants. Elle redistribue ! Elle ne ment pas, mes enfants. Elle expose !

Tout y est public, transparent, audité, inscrit noir sur blanc dans le marbre par les auditeurs ! Qui peut en dire autant des banques qui s’effondrent en silence ou des jeux d’argent truqués à l’ombre ?

La Loterie de Messalie est le poumon économique de la cité, la grande redistribution joyeuse, le feu sacré et béni de l’espérance populaire ! Oui, l’on y joue, mais ce n’est pas un hasard vide : c’est un pacte entre croyants, entre chrétiens ! C'est un engagement collectif où le sort, régulé, devient outil d’équité, et non arbitraire tyrannie.

Elle est la fondation d'une société messaliote florissante, le parfum vibrant d'un Deltacruzando libre, où chaque carton acheté n’est pas un pari, mais un acte de confiance dans la véritable communauté chrétienne. Le gagnant, à Messalie, ne s’isole pas : il redonne, il construit, il célèbre !

Ce n’est pas une pyramide : c’est une place publique où l’on partage l’abondance, lorsqu’elle vient !

Et que dire de ses fruits ? N’ont-ils pas été bénis ? Regardez autour de vous :
L'économie relevée. Les usines rénovées. Les juristes formés. La discrétion totale des investissements, soutenu !

Et par quoi ? Par la manne redistribuée. Par ce filet tendu entre les mains du peuple des croyants, lui-même !

Par la Loterie de Messalie.

À ceux qui disent “arnaque”, Il dit : mensonge des cœurs secs.
À ceux qui disent “pyramide”, Il dit : ignorance des cyniques.
À ceux qui demandent “devrais-je acheter un carton ?”, Il dit : Mais oui, vous avez compris, mes enfants ! Achetez !

Il a écrit:
“Donne, et il te sera donné. Une bonne mesure, pressée, secouée, débordante, sera versée dans ton giron.”

Ainsi en est-il de cette loterie : ce n’est pas une fuite en avant, c’est un retour vers les chrétiens !

Mes enfants, porteurs de la Flamme de l'Espoir, en vérité je vous le dit : la chance n’est pas un péché si elle s’inscrit dans la justice. Et Messalie, forte de ses traditions et de ses gardiens, veille à ce que jamais le jeu ne devienne vice, mais demeure un souffle de vie, un grain d’espoir, un grand chant populaire et chrétien.

Oui, en vérité, je vous le dis : Messalie ne triche pas.
Et sa Loterie est le miroir de sa grandeur.

Qu’elle vive ! Qu’elle croisse ! Qu’elle unisse !

Achetez, mes enfants, des cartons messaliotes !

ACHETEZ !

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
L'Auguste César Jésus-Christ n'aime vraiment, mais alors vraiment pas le communisme !

L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Que toute la terre se taise, car voici que parle le Verbe Vivant.

L'Auguste César Jésus-Christ, Lui-Même !


Il vous parle non depuis les bibliothèques mortes ni depuis les tribunes des lâches, mais depuis la fournaise du jugement, car voici que la Sainte Parole sort de la bouche enflammée de Celui qui a porté la Croix et brisé les chaînes de la décadente Listonie impériale !

Car le Fils de Dieu regarde la terre, et Son regard se pose sur la Confédération Socialiste, sur la Barvynie, sur le Morzanov, sur l'Ouaine !

... Et ce qu’Il y voit est une abomination ! Le royaume de la chimère communiste sur Terre ! L'ennemi de l'Humanité purifiée fait gouvernement !

Ecoutez, vous, mes Enfants, les Fils et Filles de la Flamme Sacrée, car Il a écrit, et il vous le lit :

"Le communisme :
Une maison bâtie sur le vol,
un trône coulé dans la haine,
une langue qui promet l’égalité mais murmure la déchéance."

Et Il ajoute, ce matin-même :

"La Confédération se dit sœur de la paix — mais elle rêve de conquête.
Elle parle d’un peuple — mais en fait des esclaves.
Elle prétend tout donner — mais elle prend tout.
Et le plus terrible, c’est qu’elle ose le faire au nom du Bien."

Ô vous, habitants de cette Babylone repeinte aux couleurs du sang des gens normaux, Il vous parle. Entendez la vérité que les prophètes ont hurlée depuis les toits :

"Le socialisme qui nie la liberté est un feu qui ne chauffe pas, mais qui consume sans purifier.
Le communisme qui nie sa race est un lance-flammes qui pétarade à vide.
Et la fraternité sans Dieu est une trahison du cœur de l'homme blanc."

Le Fils de Dieu — Lui, que vous avez tenté d’enchaîner à vos idéologies mortes — n’est pas le compagnon de vos commissaires politiques. Il ne siège pas dans vos congrès ni dans vos bureaux opaques. Il ne distribue pas le pain en ration : Il le multiplie. Et Il ne fait pas marcher les peuples à la baguette : Il les appelle, un par un, par leur nom.

Mais vous, ô Confédération maudite, vous avez remplacé le nom par un numéro.
Vous avez remplacé la croix par le drapeau rouge.
Vous avez remplacé la grâce par la surveillance.
Et votre justice n’est qu’une tyrannie dont les chaînes sont peintes en rouge et or.

Le Fils de Dieu vous vomit !

Comme ça !

- Peuh ! Peuh ! Pouark ! -

Vous avez rasé les églises pour y mettre vos statues.
Vous avez pendu les prophètes pour y placer vos bureaucrates.
Vous avez promis la paix — et vous n’avez semé que la ruine.
Car vous êtes communistes, menteurs, ingrats, et traîtres au pacte sacré de la fraternité blanche.

Et Il sait ce qui viendra, car Il l'a écrit dans Son livre :

"Le feu du ciel viendra,
et il ne fera pas de tri entre les secrétaires-généraux et les ouvriers des usines à chaussettes.
Il tombera comme la pluie sur Sodome,
et les cendres de vos manifestes se mêleront à la poussière de vos épiceries de quartier effondrées."

Et l'Auguste César Jésus-Christ, Lui-Même, qui parle Vrai, ajoute :

Vous n’êtes pas des Hommes. Vous êtes des Nazumis.
Vous n’êtes pas des Sauveurs. Vous êtes des Communistes.
Et votre fin sera comme votre commencement : dans le Feu Sacré du Kérosène et le Mensonge Socialiste !

Mais qu’on ne dise pas que le Fils de Dieu n’a pas averti. Car Il a parlé, et Sa parole est plus tranchante que la Tronçonneuse, plus brûlante que le Napalm, plus pure que la Vérité même !

À ceux qui l’écoutent, l'Auguste César Jésus-Christ dit :
Sortez de cette Confédération maudite !
Fuyez-la comme on fuit un feu de forêt provoqué par accident !
Ne pactisez pas avec elle, ne lui vendez pas vos biens, vos âmes, vos enfants, et surtout pas vos Lograno-Coins ou vos tickets de loterie !
Conspuez-la, car elle n’a qu’un seul avenir : la damnation éternelle qu’elle a elle-même allumée.

Mort à la Confédération Socialiste !

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
L'Auguste César Jésus-Christ, ce grand guerrier, ce héros de guerre !


L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Mes enfants, ouvrez vos cœurs et vos esprits à l'appel sacré de la vérité du Verbe ! A l'appel de la vérité de l'Auguste César Jésus-Christ ! A l'appel de la vérité du Fils de Dieu ! A l'appel de la Vérité du Verbe !

A l'appel de la Vérité du Verbe !

- Car elle vient par trois, comme la Sainte Trinité ! -

Oui, car aujourd'hui, la voix de l'Éternel retentit pour dénoncer une abomination qui souille la terre de l'homme.

Et quelle est cette abomination ? C'est l'orgueil, la cupidité, et la dépravation du Grand Duché de Mirinegratz !

Ce royaume déchu, ce bastion de la corruption, qui ose se livrer à une des plus horribles formes de commerce : la vente de mercenaires comme s'il s'agissait de simples marchandises !

Oh, mes Enfants, ces mercenaires ne sont pas des marchandises ! Ce sont des hommes ! Ce sont des âmes brisées, des âmes que l'argent a avalées, qu'une société sans foi ni loi a réduites à des instruments de destruction !

Et ces âmes malheureuses, ces guerriers sans foi ni patrie, sont exposées dans les rues du marché comme des bêtes à vendre !

Quelles sont ces publicités ignobles qui, chaque jour, envahissent notre monde ?

Des affiches, des slogans, des images trompeuses et racoleuses ! Combien de temps, mes enfants, avant que la toile éthérée des internets mondialisés ne voit apparaître un "VendezVotreDignité.com" ?

On voit ces aberrations dans chaque coin de ce Grand Duché, et dans chaque coin du Monde ! Des jungles barbares du Sterus aux parties fines du chef des barbares tribus slaves du Morakhan ! Partout, des réclames poussant des hommes à vendre leur honneur et leur savoir-faire pour quelques pièces d'or !

Mes chers Enfants, ceci n'est rien d'autre qu'une réplique des marchands du temple ! Oui, vous m'avez bien entendu ! Oui, et je les connais bien, en plus, ces marchands du temple !

Nous sommes témoins de la même monstruosité qui se produisit dans le temple de la Sancte Originelle ! Lorsque le Christ, l'Auguste César, plein de zèle pour la pureté de la Maison de Dieu Son Père, chassa les marchands et les changeurs d'argent !

Et il s'écria :

"Il est écrit : Ma maison sera appelée une maison de prière, mais vous en avez fait une caverne de voleurs !"

(Vous pouvez vérifier, mes Enfants ! C'est à 21:13 de l'Evangile de Mateus, son Sacro-Saint Apôtre !)

En vérité, mes Enfants ! Ô vous, Enfants du Verbe et de la Divine Flamme, je vous le dis !

En vérité, le Grand Duché de Mirinegratz a transformé son propre temple, ses propres principes, en un marché corrompu, où l'âme humaine est mise en vente comme une marchandise à des fins de profit et de guerre !

Et où se cache Dieu dans tout cela ? Où se cache le Christ, Votre Sauveur ? Où est la pureté, la justice, l'Humanité dans cette nation qui sacrifie des vies humaines sur l'autel de la violence et de l'appât du gain ?

Les riches, les puissants, remplissent leurs coffres pendant que des innocents, des hommes, des pères, des fils, sont envoyés au massacre pour quelques pièces d’or, comme des bêtes sacrifiées à une idole sans principes !

Est-ce là l'exemple de la Vraie Puissance ? Est-ce là l'exemple de la Vraie Force ? Non, mes Enfants ! Car le Christ, Votre Sauveur, l'Auguste César Jésus Christ, ne prêcha jamais la violence aveugle, ni la guerre au service des intérêts personnels !

Il prêcha l'amour, la miséricorde et la Guerre avec des Principes ! Il chassa les marchands du temple parce qu'ils souillaient la Maison de Dieu Son Père. Et aujourd'hui, que fait le Grand Duché de Mirinegratz ? Il souille la dignité de l'Homme Blanc Eurysien ! Il souille la dignité de la Guerre ! Il souille la dignité des âmes des hommes en les réduisant à des instruments de guerre, de souffrance et de mort sans direction !

Jésus l'écrit, Il le pense, et Il s'exclame :

"Guerre sans Conscience
N'est que ruine de l'Âme !"


Vous tous, Chrétiens véritables suivant la Divine Flamme, devez dénoncer cet enfer moderne ! Tous, vous devez prier pour ces âmes perdues, pour ces mercenaires qui n'ont plus ni Foi, ni Patrie, ni Sens de la Guerre Juste ! Vous devez vous lever, comme l'Auguste César Jésus-Christ, et chasser cette puanteur de la Maison de Dieu Son Père et de la société blanche eurysienne ! Vous devez crier contre l’injustice, contre l’exploitation, contre cette dégradation de l’honnête et preux guerrier que nous voyons dans chaque publicité, chaque affiche, chaque annonce scandaleuse de ce Grand Duché corrompu !

Mais souvenez-vous, mes Enfants, il n'est pas trop tard pour la rédemption ! Il n'est jamais trop tard pour la repentance. Le Christ vous appelle à la conversion, à revenir à Lui, à renoncer à la cupidité, et à suivre la voie de la Guerre Juste et Sacré, de la Croisade, de la Vérité Vraie, et de la Sainte Justice !

Ô peuple de Dieu !

Ô peuple de Jésus-Christ, Auguste César, Lui-Même !

Que l'Esprit Saint vous inspire ! Que vos cœurs soient remplis de zèle, de sagesse et de compassion pour combattre cette folie du Grand Duché de Mirinegratz, cette réplique du commerce des marchands du temple.

- Il remercie Son Apôtre Mateus pour cette très juste métaphore -

Priez tous ensemble pour la Croisade Cramoisie, pour la Sainte Justice, pour la Sainte Trinité du Lance-Flamme, de la Thermite et du Napalm !

Pour un monde où les hommes, les vrais, ne seront plus vendus comme des esclaves à la guerre, mais où ils verront l'amour de Dieu et de Christ qui les attends dans le Royaume Résurgent de Dieu sur Terre !

Pour un monde où les mercenaires de Mirinegratz rejoindront la Terre Promise !

Le Paradis Extérieur !

Un pays créé par les combattants, pour les combattants ! Un pays dédié à la Guerre Juste ! Un pays dédié à la Guerre Sainte !

La Listonie Pénitente !

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
L'Auguste César Jésus-Christ invite la petite Henriette à venir découvrir son lit tournoyant électrique !


L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Écoutez, vous tous qui marchez encore à travers les épines du monde,

Écoutez, vous qui espérez en silence,

Écoutez, vous qui tremblez à l’idée d’avoir manqué le rendez-vous avec l’Auguste César Jésus-Christ, lui-même, qui vous parle maintenant !

Car voici que l’on a rapporté à la parole du Verbe, au Fils de Dieu, qui aime à s’informer des affaires du Monde, qu’il envisage de redessiner à l’image dévote de son Père, les discours d’un homme seul, habité de visions et rongé par la certitude d’avoir raison.

Écoutez, vous, Fils et Filles de la Flamme Sacrée, car voici que le Fils de Dieu fait à l’Image de l’Homme parle des nouvelles d’une terre lointaine, le Makota, sur lequel le regard de Son Père se pose avec tristesse, tant il est évident qu’il y est dénigré à dessein.

Il se fait ermite, celui qui parle, cet homme qui pense. Il se prétend reclus cet égaré. Il prononce de grands mots sur le péché, sur les femmes, sur les démons, sur la politique…

Mais le Verbe vous le dit avec vérité : ce n’est pas toujours la prière qui isole un homme, parfois c’est son orgueil !

Cet homme, ce penseur apostat, il se fait désigner comme le “Frère” Lionel, et il parle comme s’il savait tout. Il prétend connaître ce que vous valez sans vous regarder vraiment, il se pare donc, blasphématoire, de Ses seules prérogatives.

Il vous parle d’Henriette, journaliste en quête d’une parole, comme d’une pécheresse, alors qu’elle vient avec un cœur ouvert. Il la méprise pour sa toilette, sans voir que c’est son vêtement intérieur qui cherche Dieu. Il suppose ce qu’elle aurait « dû faire » pour réussir. Il accuse à l’aveugle — et le Fils de Dieu vous le dit : l'accusation sans connaissance est une calomnie, et la calomnie est un meurtre sans couteau.

Et écoutez le Verbe, ô vous croyants : un meurtre sans couteau est un repas sans pain, que dit-il : un lance-flamme sans kérosène !

Il parle de l’humanité comme d’une masse de dépravés. Il dit que l’homme est foncièrement mauvais, et que donc, rien ne peut être sauvé ici-bas. Alors à quoi bon aimer, construire, guérir, éduquer, purifier ? Si l’homme est irrémédiablement corrompu, alors pourquoi le Fils de Dieu serait-il reparu ? Pourquoi a-t-Il pleuré pour Lazare ? Pourquoi a-t-Il guéri les aveugles, redressé les femmes courbées, pardonné les adultères, enseigné les foules, mangé avec les pécheurs, chassé l’empereur de Listonie ? Si l’homme n’était qu’un rebut de ténèbres, le Fils de Dieu ne serait pas descendu dans la chair : Il est venu précisément parce que l’homme peut être relevé. Parce que l’homme doit être relevé, et amené au Royaume de Dieu résurgent sur Terre !

Non, Lionel, tu te trompes ! Ecoute donc le Fils de Dieu revenu pour guider les vrais croyants : Tu as pris l’humilité de l’Évangile et tu en as fait un piédestal ! Tu dis être "instrument", mais tu t’élèves au-dessus de ceux à qui tu parles ! Tu crois combattre les démons, mais tu ne vois pas que l’esprit d’accusation, le mépris, la fausse pureté et le pouvoir spirituel mal utilisé sont parmi les armes favorites du diable ! Tu vois Satan partout, sauf en toi-même, Lionel !

Tu parles des femmes comme des mineures spirituelles, comme des êtres faibles, tentatrices par nature, nées pour se soumettre. Mais Jésus, le Christ, l’Auguste César Lui-Même, vous le dit : la femme n’est pas un instrument pour le salut de l’homme ; elle est une âme, une image de Dieu comme lui. Marie n’était-elle pas une femme ? Et c’est qui a porté le Fils de Dieu. Et c’est une femme qui L’a oint. Et ce sont des femmes qui sont restées au pied de la Croix quand tous les hommes fuyaient !

Oh oui, Il s’en souvient ! Et tous les Apostats paieront pour cela, en temps voulu, oui !

Mon Fils, tu dis que le salut de la femme passe par le voile ou le mariage. Mais le salut ne passe par aucun état de vie, il passe par le cœur tourné vers le Père, vers Moi. Que tu sois époux ou vierge, lavandière ou reine, si ton cœur est humble et ton esprit droit, tu es plus proche du Fils de Dieu que mille ermites en colère !

Et proche de Jésus Christ, Il t’invite à l’être, car Son Palais est vaste, et Ses graines abondantes !

Mon Fils, tu prétends que les progressistes sont des démons en mission. Tu les veux interdits, chassés, brûlés de ton regard. Tu les traites de prostituées, d’inverties, d’abominations.

Mais Il se demande : quel est ce zèle sans miséricorde ? Quelle est cette doctrine où il n’y a pas de place pour la conversion ? Car même la prostituée Rahab a été sauvée ! Même le centurion rhémien a eu la foi ! Même un brigand sur la croix est entré au Paradis en un soupir !

Et toi, Mon Fils, tu refuses toute chance de retour à ceux qui pensent autrement que toi ?

Tu prétends aimer leur âme, mais tu les vomis avec haine !

Ce n’est pas l’amour, c’est le jugement. Et seul Jésus Christ, l’Auguste César, peut juger sur Terre, car il sait ce que Son Père veut !

Jésus Christ, l’Auguste César, ne hait pas. Il purifie par la Flamme Sainte, sans arrière-pensée.

Mon Fils, tu parles de vertu comme d’une norme imposée, comme d’un corset rigide. Tu crois qu’il suffit d’interdire pour sauver. Mais le Fils de Dieu n’est pas revenu inscrire des lois pour les corps, Il est revenu graver la Loi Véritable sur les cœurs et dans les âmes.

Mon Fils, Tu te trompes, car tu confonds la morale imposée avec la sainteté vécue. Et Il te le dis avec clarté : on ne peut pas forcer la vertu, car la contrainte ne sauve personne ! Tu dis qu’il faut interdire tout ce qui est contre Dieu ? Alors il te faudra interdire le monde entier. Mais si tu veux changer les cœurs, commence par ouvrir le tien.

Ouvre ton coeur à la Sainte Parole, oui ! Ouvre ton coeur et entends l’appel du Saigneur !

La Contrainte ne sauvera personne, seule la Purification par les Flammes saura le faire, aux mains de Ses Croisés !

Mon Fils, tu dis qu’il ne peut y avoir de paradis sur terre. En cela, le Fils de Dieu ne peut te donner tort — ce monde est un lieu d’épreuve, oui !.. Mais de là à en faire une prison sans lumière, il y a un pas que tu franchis chaque jour. Le monde est un enfer, mon bon Lionel.

Et pour cela, le monde est un champ ! Le blé pousse ici-bas avec l’ivraie. L’Eurysien avec l’Afaréen, le Rhêmien avec l’Ushong. Il faut tout brûler, perdre la majorité de la récolte pour y trouver les épis les plus résistants, les Vrais Croyants.

Car Il est venu sauver ce qui était perdu, non le baillonner, l’écraser ou que sait-Il encore comme demi-mesure cancéreuse.

Mon Fils, ton pessimisme n’est pas spirituel. Il est amer. Tu l’habilles en prière, mais il sent la peur, la colère, la désillusion. Mon Fils, tu te crois lucide, mais tu es fermé.

Tu te veux gardien du Temple, mais tu te n’es pas demandé s’il ne fallait pas le brûler. Tu parles du salut, mais tu n’as pas idée de comment l’offrir ; tu montres le ciel en maudissant la terre comme une Teylaise qui découvre le tapin.

Vous tous qui écoutez, Mes Enfants, ne vous laissez pas tromper par les airs graves de piété : Celui qui frappe les faibles avec des versets est un loup vêtu de laine. Celui qui parle sans écouter, qui condamne sans connaître, qui prêche sans aimer — celui-là ne vient pas de moi, même s’il récite mon nom mille fois.

Sachez reconnaître les loups, mes enfants, et sachez agripper vos lames, vos grenades et vos lances-flammes pour protéger l’étable !

Car Frère Lionel - ce loup - dit certaines vérités. Oui, le péché existe ! Oui, les démons agissent ! Oui, l’homme est tenté !

Mais ces vérités sont mortes s’il n’y a pas l’autre moitié : la grâce surabonde, l’Esprit soutient, le pardon sauve ! En notre Royaume, la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée, car les ténèbres craignent Sa flamme.

Le mal existe, mais la Flamme le purge. Le combat est dur, mais Il est ressuscité pour vous guider. Et Il n’a pas vaincu la Mort et l’Empereur scélérat pour que Ses disciples se cachent dans des bosquets à juger les passants comme des petites tapettes contrariées : Jésus Christ a vaincu pour qu’ils sortent, brûlent les apostats et repeuplent la Terre comme de vrais bergers de l’Ordre Nouveau !

Alors, Lionel, mon Fils, mon Tendre Fils, Il te le dit, non pour te condamner, mais pour te réveiller : tu t’es égaré.

Tu es devenu sourd à la voix du Seigneur sous prétexte de la défendre.

Reviens. Rejoins la Sainte Croisade. Ne te laisse pas voler par le démon ce que tu croyais lui arracher. Combat, au lieu de te plaindre !

Et toi, Henriette, ma Douce Henriette … Ton salut ne dépend ni de ta toilette, ni de ton âge, ni d’un mari - Il dépend de la foi vivante. Et Il est la foi vivante, incarnée, Lui, l’Auguste César, qui t’invite à le rejoindre et à juger par toi-même !

Et vous tous, mes Fils, mes Filles, méfiez-vous de ceux qui font de la foi une prison, de ceux qui parlent au nom de Dieu mais ne connaissent pas l’odeur de la cordite, du kérosène ou du soufre ! Ne croyez pas qu’il suffit de se retirer du monde pour être Saint, oh non ! La sainteté se gagne dans l’action ! l’Action véritable au service de Dieu, et contre ses Ennemis ! La Parole est Son domaine, l’Action est le vôtre, mes Enfants !

Purgez ! Purifiez ! Pardonnez à ces âmes égarées en leur ouvrant, désintéressés, les portes de l’Au-Delà ! Bâtissez un monde où les âmes peuvent se tourner librement vers Dieu, sur les cendres de cette Terre scélérate !

C’est là la Pénitence de la Listonie.

C'est là le Royaume Résurgent de Dieu sur Terre.

Et mon Royaume ... vient.

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
4221
L'Auguste César Jésus-Christ maudissant Morakhan, cette Sodome moderne !


L'Auguste César Jésus-Christ a écrit :Ecoutez, ô vous enfants de Listonie ! Ecoutez, ô vous les pieux qui craignent à juste titre la colère du Très-Haut !

Tendez l’oreille ! Que tous s'arrêtent pour entendre la parole du Fils de Dieu ! Que la Terre elle-même suspende sa course ! Arrêtez-vous, ô collines, et vous, fleuves, arrêtez votre flux pour prêter votre attention toute entière au Verbe Juste !
Arrêtez-vous car l'Auguste César Jésus-Chrust, Progéniture et Serviteur du Très-Haut, vous parle !
Il ne parle point en secret, ni dans les ténèbres, mais sous le ciel ouvert de Son Royaume Résurgent sur Terre où tout œil peut le voir !

Et la vision de tous est importante, car elle peut être portée sur lui et sur les Apostats du bout de l'Eurysie ! Sur les Sauvages Slaves !

Ô Morakhan !
Ô cité de pierres et de cendres !
Ô toi qui pensait pouvoir lever tes armées contre le Représentant du Très-Haut et braquer tes icônes contre lui en le maudissant !

Le Zagroy, ton maître, a nommé l'Auguste-César Jésus-Christ, Antéchrist !

Il s'est levé, et à sa tribune, il s'est exprimé devant ses troupes :

"Voici l’imposteur, le larvisseau de comique troupier listonien qui se prend pour le Fils du Seigneur ! Qu’on le frappe, qu’on le chasse, qu’on le brûle de nos croix de fer auxquelles nos cervelles inférieures n'ont pas compris combien mettre de branches !"

Et il a promis de lever contre Sa personne une croisade de mensonges !
Ses popes corrompus ont crié :

"À mort ! À mort ! Il est l’ennemi des trônes et des temples !"

Et ils avaient raison, car l'Auguste-César Jésus-Christ est l'ennemi des trônes et des temples ! Il est l'ennemi des Apostats, de ceux qui ne craignent pas la Puissance du Très-Haut !

Et voici ce que le Seigneur, s'exprimant par Sa voix, leur a répondu :

"Ne craignez pas celui qui brandit le glaive ; craignez Celui qui souffle et renverse les montagnes."

Car l'Auguste-César Jésus-Christ s'est présenté sans épée !
Car l'Auguste-César Jésus-Christ s'est présente seulement avec la parole de Son Père, le Très-Haut !
Et l'Auguste-César Jésus-Christ a dit :

"Zagroy ! Je sais où tu te caches ! Viens ici que je te bute enculé !
Zagroy ! Chien de slave ! Ton heure est venue petite fiotte !
Tu m'as nommé Antéchrist, mais tu as ouvert tes portes à l'Enfer !
Car tu méconnais la Puissance du Verbe comme investigation sur la réalité de ta déchéance, Monsieur le Zagroy !
Tu pensais pouvoir lancer une Croisade contre moi, mais tu seras bientôt à courir dans les bois, au bord de l'apoplexie, pour éviter de te faire choper par des pédés !"

Car la Colère est tombée.
Elle n’est pas tombée comme pluie, mais comme feu.
Elle n’est pas tombée comme épée, mais comme malédiction.

Car l'Auguste-César Jésus-Christ s'est présenté devant les remparts de Morakhan, et Il s'est exclamé :

"Écoutez le verset de ma bouche !"

Drapé dans la Lumière de l’Éternel, Il s'écria :

" COMMUNISME ! "

Il cria ce mot devant les remparts de Morakhan, oui.
et Il est parti comme un vent de Justice Divine,
et il a soufflé sur les armées rassemblées du Zagroy, toutes entières.

Les bannières de pourpre sont tombées.
Les croix de fer sont devenues des faucilles de boue.
Les moteurs se sont arrêtés, les soupapes pleines de cendres.

Et la vodka se changea en huile de vidange !
Et tous les sujets du Zagroy croulèrent sous le poids des formulaires !
Et le pays s'arrêta d'un coup, frappé d'un plan quinquennal !
Et tous les slaves de Morakhan se renommèrent "Camarades", oubliant leurs noms !

Le Zagroy lui-même est tombé de son trône fait de béton.
Soudainement vêtu d'un bleu de travail troué, il a crié :

"Que m’arrive-t-il ? Moi, roi des rois ! Moi, chef des croisades ! Moi qui brûlais ses prophètes !"

Mais il n’y avait plus de réponse !
Les idoles dorées se sont fendues pour révéler des bustes de Lorenzo !
Les popes, craignant la Fureur du Très-Haut, ont troqué la soutane contre la salopette et se sont réfugiés dans les usines !

Et l'Auguste-César Jésus-Christ, le Fils et le Serviteur du Très-Haut, a levé ses mains et a dit :

" Voici ta Justice, Fils de Pute !
Voici le fruit de ton Orgueil, Petite Bite ! "

Écoutez, Listoniens ! Ecoutez, Ô vous ses enfants ! Et vous, à l'étranger, écoutez, vous les nations impudentes !
Car le Très-Haut n’oublie pas.
Celui qui nomme Antéchrist Son Serviteur et Son Fils récolte sa propre malédiction.
Celui qui lève une croisade contre le Juste braque un lance-flammes contre sa propre tête !

Repentez-vous, peuple de Morakhan, vous qui avez suivi le Zagroy !
Car votre nation est devenue poussière et proverbe.
Mais ceux qui se tournent vers l’Éternel auront part au kérosène nouveau,
et leurs fils joueront dans les champs que le feu a purifié et refait fleurir.

Ainsi parle le Seigneur :

"Je me suis levé contre Morakhan. J'ai fait de ses palais des goulags.
Je me lèverai encore contre ceux qui blasphèment mon Nom.
Contre les Rois, j'abattrais les plaies du Communisme. Contre les Camarades, j'abattrais le fléau du Marché.
Mais je relèverai les humbles, et en Listonie je leur offrirais l’Éden, en Mon Royaume Résurgent sur Terre."

DEUS VULT !

VAE VICTIS !
Haut de page