11/05/2017
22:43:45
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Le Nazum en feu ?

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Mais t’as rien à faire là ?!

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Le monde va bientôt mourir. Depuis les frappes de Carnavale qui ont tué plus de deux millions de civils, aucun pays n’ose encore prononcer le mot « missile » sans frissonner. Et pourtant, une déclaration venue du nord du Nazum a suffi pour rallumer les peurs : une simple annonce, qui était pour le moins remplie d’arrogance. L’Ouaine lançait à l’eau deux sous-marins. L’un d’attaque, l’autre porteur d’ogives nucléaires. L’Othon et le Patrivosk.

« Nous sommes désormais capables de faire pleuvoir sur n’importe quel point du globe un déluge d’ogives nucléaires à n’importe quel moment », disait la voix du diplomate ouanais.

Ce discours fut tellement relayé que le diplomate décida de revenir, peu de temps après, sur son annonce. Et à Churaynn, dans le bureau du Sadr Yazid Malsiento, on raconte qu’un verre de Gandina s’est brisé au sol lorsqu’il a entendu ces mots. Il aurait hurlé contre les murs de la Sénémite. Il était très calme d'habitude, mais là, il ne pouvait laisser faire un pays communiste, arrogant, et qui menace le monde. Il aurait laissé passer cela, mais à moins de cinq mille kilomètres, il y avait Maqdur. Il était impossible de ne pas réagir. Dans sa réponse envoyée à l’Ouaine, le Sadr a été clair : tout déploiement militaire inhabituel sera surveillé, toute tentative de dissuasion arrogante sera traitée comme une provocation directe. Le ton avait changé. Il avait tranché. Et surtout, il avait listé les priorités de l’Empire. Le Nazum, comparé aux autres continents, était discret. En Aleucie, en Afarée et en Eurysie, les tensions devenaient de plus en plus fréquentes. Alors, cette déclaration touchant ainsi à la sécurité du continent le plus calme du monde pour les Churaynns, il fallait donc sévir au moindre geste des communistes.

Le canal de Sudéiss, l’endroit le plus protégé de tout l’Empire, à qui l’Empire avait décidé de grandement promouvoir ce canal, que Churaynn compte moderniser grâce à d’immenses investissements étrangers. Vient ensuite la Grande Province, frappée récemment par des missiles, endeuillée, mais qui reste le point central de l’Empire Islamique de Churaynn et de sa puissance. Puis, Maqdur et Yuthipista. Maqdur, instable, chiite, parfois hostile à l’Empire, mais province très religieuse et elle comporte de grandes mines de pierres précieuses. Yuthipista, en revanche, est une zone parfaite pour investir. Sa capitale Ora : plus de 30 millions d’habitants, plus que n’importe quelle ville sur Terre, plus que tous les pays de la Confédération presque réunis. Les entreprises s’y pressent. Pas de syndicats, pas de règles, peu d’impôts. Pour les entreprises, c’est un paradis. C’est cet endroit que l’Empire veut faire devenir l’usine du monde. Et juste à côtés, à Angoran, deux patrouilleurs churaynns naviguent depuis quelques semaines. Rien d’important, pensait-on. Des exercices. Des rondes. Une simple présence, symbolique. Jusqu’à ce jour-là.

Le Khadoua, long et discret patrouilleur de surveillance, loin de toute route commerciale. Il n’y avait rien à l’horizon que le calme. À bord, une trentaine d’hommes. Des soldats, on y voyait des fusils rangés, radios en veille. On avait demandé, sans plus d’explication, d’être particulièrement vigilants. Cela venait après ce qu’avait dit un diplomate ouanais. Mais on ne pensait pas que quelque chose pouvait arriver. C’était bien trop calme ici, un endroit presque pas protégé par l’Empire.
Dans la salle principale, assis, cinq soldats grignotaient des morceaux de pain rassis autour d’un thermos de café amer.

« T’as reçu le message de ta fille ? » demanda le caporal Abdirahmane, en mâchant à moitié.
« Ouais… » soupira le sergent Ouazir. « Elle m’a envoyé un dessin. Un soleil, des montagnes. Elle pense que je suis dans le désert. »
« T’as qu’à lui dire que la mer, c’est un désert mais rempli d’eau, ça passe. » lança en riant le jeune Jahed, à peine vingt ans, affecté pour la première fois en mer.
« Moi, mon gosse, il m’a demandé si j’avais vu des poissons avec des jambes. »
« Ah, les enfants… ils croient encore qu’on fait la guerre contre le diable. »

Un silence tendre s’installa. Leurs mains tenaient leur tasse. À vrai dire, Jahed parlait à deux Maqduriens à qui la religion ne faisait guère rire.

« Tu crois qu’on va rentrer avant la fête nationale ? » demanda timidement Jahed pour faire oublier ce qu’il venait de dire.
« Si on nous laisse tranquilles, peut-être. Mais j’en doute. »
« Et le Sadr ? Il a dit quoi ? »
« Il a dit qu’il surveillait. Enfin qu’on surveille, du coup, car il est trop occupé à se droguer. »


Ils rirent, brièvement. Un de ces rires qu’on se permet quand on mangeait. Rien qu’un rire amical. Mais, une vibration dans la salle radar. Le technicien, les yeux collés à son écran, fronça les sourcils. Il ajusta une fréquence, relança une analyse. Puis il appela :

« Commandant ! Y’a… y’a du mouvement. Beaucoup. »

L’écran s’illumina. Une dizaine de points. Vingt. Trop bien alignés pour être un hasard.

« Une flotte. Une putain de flotte qui semble se rapprocher de nous ! »

Le capitaine du Khadoua, un certain Rakhim Fahlour, mit une seconde à comprendre. Puis une seule commande :

« Alerte rouge. Appelez-moi le Sadr tout de suite ! »
« C’est pas possible… » souffla Jahed, son cœur battait de plus en plus vite.


L’appel fut immédiat. Prioritaire. Envoyé à la Haute Instance, codé. L’information se propagea jusqu’au bureau du Sadr à Walemir. Un officier lui lut le rapport. Il ne dit rien. Il alluma un cigare à la Gandina. Aspira profondément.
Puis il dit :


« Ils testent nos nerfs. Ne répondez pas. Surveillez. S’ils vont à Yuthipista, vous avez mon autorisation pour faire couler les navires. Si c’est autre, attendez confirmation et fouillez-moi cette flotte. »

À bord du Khadoua :

«Le convoi se dirige vers le sud. Vitesse constante. Aucun changement. »
« Ils ne vont pas vers Yuthipista alors ? »
« Oui, alors on intercepte la flotte ? »
« Oui. Maintenant. »


À bord, le silence s’est installé. Même Jahed ne parle plus. Tous fixent les écrans. La flotte étrangère continue d’avancer.
Alors on s’est mis à la même fréquence et on a parlé au premier patrouilleur.

« Ici Khadoua, patrouilleur de l’Empire de Churaynn. Vous entrez dans une zone maritime sous observation impériale directe. Nous avons détecté une formation navale. Pour assurer la sécurité de cet endroit, nous vous demandons de décliner immédiatement :

Votre identité complète
Le nom de vos navires
Votre port d’attache
Et la nature de votre cargaison et de votre mission
Terminé »


À bord du Khadoua, on attendait patiemment la réponse de la flotte. On avait aussi contacté la flotte, qui se ramenait avec des missiles de croisière si ça devait dégénérer. Tout était prêt.
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Musique chanter par l'Équipage Barvynien : Polyushko-Polye (Полюшко-поле) - Soviet Military Song


 Formation Initial de la flotte Barvynienne (Mauvais Modèle de Navire)

Alors que la Flotte Barvynienne suivait sa Trajectoire Initiale, et que les équipages chantaient doucement, un signal fut émis sur le radar, un navire ? qui s'approche tout droit de la Flotte Barvynienne ? Alors que la flotte avait franchi plus de la moiter du trajet, et qu'il passe a proximité de l'ile d'Angoran, l'alarme sonne et la trajectoire fut rectifié, malgré tous les marins continuer de chanter et bien plus fort qu'initialement, la tension était a son comble, les patrouilleurs Barvynien envoya un signalé à la flotte aérienne qui était juste derrière eux. Mais que pouvait être ce signal ? Ce qui est sûr, c'est que cela ne prévoit rien de bon.

【🚨】Changement de Trajectoire de la Flotte Barvynienne : 【🧭】Cap Sud Sud-Ouest, Changement de Formation Navale.


Carte Navale du conflitCarte du Conflit Naval


Un signal parvient jusqu'au Patrouilleur Khadoua, de la flotte Impériale de l’Empire de Churaynn. Une communication provenant de la flotte Barvynienne, ses premiers mots étaient en Morsaman (Russe de 1833 Cyrillique), avant de poursuivre en Français.
  • 👩‍✈️« Priviet Tovarich ! Ici la Capitaine Alaaya Badjeyovna Buchugasov, Cher Équipage du Patrouilleur Khadoua et Chef désigné de la Flotte. Nous vous communiquons donc notre identité. »

  • S'ensuivi quelques secondes de silence, dans laquelle la flotte Impériale peut constater les mouvements des navires Barvynien.
  • 👩‍✈️« Nous sommes la Flotte de la République Socialiste de Barvynie, Membre de la Confédération Socialiste du Nazum, Notre flotte est composée d'un total de 5 patrouilleurs de Classe Makavitsa. Je vais vous communiquer le matricule de chacun des navires : »

  • 👩‍✈️« PC86, PC83, PC21, PC90, PC91 »

  • Lorque chaque matricule est prononcé, les armements du navire appelé positionnera ses armes dans la direction du Patrouilleur Impériale, réglant la hauteur du Canon Automatique de 25 mm, pour ainsi anticiper la trajectoire adverse. Dans un but de prévention, mais aussi d'intimidation. Après que la capitaine a indiqué les 5 matricules, le silence règne ainsi pendant à peu près 10 secondes, avant que la Capitaine reprenne les communications.
  • 👩‍✈️« Nous sommes partis du Port de Velmzegrad, et nous nous dirigeons en Direction de Jib-Outhi, en Chandekolza, dans le but de fournir de l'équipement militaire à notre frère socialiste. Je vous préviens que dans quelques jours, quand la Barvynie aura évalué la situation, nous enverrons une flotte aérienne dans le but de fournir du matériel humanitaire, mais aussi de la nourriture au Chamdekolza. Et pour tous ceux qui en auront besoin aux alentours. Terminer. »


 Navires Authentiques Barvynien (Bon Modèle)

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Symbole de l'Ambassade

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Message de la Quatrième Ambassadrice de la République du Jashuria

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A l'attention des représentants de la République Socialiste de Barvynie,

Vos Excellences,

Nous venons d’apprendre par le biais de nos services de renseignement que votre flotte venait de franchir le détroit de la Mer Blême pour se diriger vers le Chandekolza. Cette action se fait en-dehors de tout accord avec le Chandekolza et en-dehors de tout protocole de coopération avec la Troisième République du Jashuria. La Barvynie n’ayant aucun protocole de coopération avec les deux pays, nous sommes désagréablement surpris de la manœuvre.

Afin de limiter les risques pour la région, la flotte jashurienne basée dans la Mer Blême et l’Océan des Perles va entamer séance tenante une manœuvre visant à stopper vos navires afin de clarifier la situation. Nous vous prions de bien vouloir soumettre vos bâtiments à une fouille par notre flotte, jusqu’à ce que nous tirions au clair cette situation pour le moins étonnante et préjudiciable pour la stabilité de la région.

Nous vous demandons de bien vouloir vous conformer à nos demandes dans les délais les plus brefs. La Troisième République du Jashuria garantira la sécurité de vos équipages dans les limites couvertes par sa propre responsabilité durant la fouille des navires. Dans le cas où vous ne répondriez pas favorablement à nos demandes, nous nous verrions dans l’obligation de demander à vos navires de rebrousser chemin.

Dans l’attente de votre réponse sur les canaux diplomatiques, je reste à votre entière disposition.

Veuillez agréer, messieurs les représentants, l'expression de mes salutations distinguées.

Cordialement
Madame Parvati Mathai, Quatrième Ambassadrice du Jashuria




HRP // La flotte d’interception du Jashuria est composée des éléments suivants :

  • 2 patrouilleurs de niveau 10
  • 2 corvettes de niveau 9
  • Une frégate de niveau 4
  • Un sous-marin d’attaque de niveau 1
  • Un porte-avion de niveau 5 contenant 10 avions de chasse de niveau 10, 10 chasseurs bombardiers de niveau 10 et 10 avions d’attaque au sol de niveau 10

Comportement de la flotte : La flotte jashurienne converge vers le point d’interception. Elle a entendu les communications du patrouilleur de l’Empire de Churaynn. L’objectif de la flotte est d’intercepter la flotte de la Barvynie et de la bloquer pour la forcer à se soumettre à un contrôle. Les Jashuriens n’attaqueront que si la Barvynie tire en premier, l’objectif étant d’intimider suffisamment le pays pour qu’il ne se permette pas de contester la demande.
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Le Nazum ne sera pas en feu.
Le Sadr vous le garantit en personne !


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Le Sadr : Malsiento Yazido, pas content.

Les antennes longues du Khadoua tournent dans un léger grincement. Le ciel est chargé de toute cette fumée venant des patrouilleurs, la mer blême reste calme. Le signal barvynien est une voix féminine : elle se présente en russe, puis en arabe. L’équipage écoute attentivement ce qu’a à leur dire les communistes. On note les cinq patrouilleurs, les matricules, l’itinéraire, la destination : Jib-Outhi. C’était pour livrer des armes à leurs « frères socialistes ». On savait que si l’Empire livrait des armes à n’importe quel pays, il serait déjà rayé de la carte. On n’imaginait encore moins ce qui se serait passé si cette flotte avait été interceptée par un autre pays que Churaynn. Pour l’Empire, quelqu’un allait encore devoir porter la casquette du « méchant ». Et encore une fois, Churaynn avait été choisie.

À l’intérieur, l’amiral de zone lit en silence la retranscription du message. Il ne dit mot, appuie simplement sur un bouton noir. Ce bouton menait au fou de l’Empire, l’ennemi juré de Di Deria, l’ennemi juré de ce que prônait Di Deria : l’ordre. Car oui, après que Di Deria eut montré les muscles au Sadr, pris d’un caprice, il décida d’acheter plusieurs navires. Il fallait montrer à cette imberbe qui était Yazido Malsiento.

Liaison directe ouverte avec le commandement impérial.
Transfert immédiat au Cabinet du Sadr.
Émetteur : Cabinet du Sadr Yazid Malsiento -)O(- Palais impérial de Walemir
Réception : Flotte de la République Socialiste de Barvynie


Un traducteur, proche de lui, lui soufflait son discours dans l’oreille.
Il ne comprenait rien au russe, ni au communisme.
Ça faisait déjà beaucoup pour les haïs.

« Ici le Sadr de l’Empire de Churaynn. Ministre des Affaires étrangères, pour vous. On m’appelle le Sadr en arabe. J’aime bien faire la fête et m’amuser, je vous invite donc à me rejoindre à Angoran. »

Puis, après qu’on lui souffla la deuxième partie, il reprit la lecture :

« Flotte barvynienne, vous êtes désormais dans une zone d’interception impériale, à proximité directe de l’île stratégique d’Angoran. Conformément à l’article 12 des Lois Impériales sur la Sécurité Maritime, créées par le Sadr Yazido Malsiento, tout convoi transportant du matériel militaire est soumis à inspection obligatoire dans nos eaux d’intérêt.

Vous êtes donc tenus de modifier immédiatement votre trajectoire et de rejoindre le port militaire d’Angoran, où une équipe de contrôle vous attend pour procéder à une fouille complète de votre flotte. Je vous le dis sans détour, et je ne mâche pas mes mots : tout refus, toute tentative de fuite, tout appel à renfort, ou tout silence prolongé sera immédiatement considéré comme un acte hostile envers l’Empire de Churaynn. En ce cas, le Conseil de Sécurité Impérial m’autorise à déclencher une riposte stratégique totale incluant, vous m’avez bien entendu le lancement de 30 missiles balistiques sur l’ensemble de votre territoire national dans les deux heures qui suivent. Sachez que j’ai très mal pris le fait que vous avez atteint une zone protégée, certes pour livrer je ne sais plus quoi, mais sachez que si j’avais été sur place, j’aurais demandé de couler votre flotte entière. Mais je préfère contacter le parent du Nazum : le Jashuria. Il va sûrement débarquer avec ses navires surpuissants, alors à votre place, je me dépêcherais. »


Pause.
On entend un briquet.
Il allume sa pipe, puis expire la fumée.


« Mais nous espérons que votre État est raisonnable. Montrez-le. Présentez le chef de votre mission navale. Le Sadr en personne souhaite lui adresser quelques mots, de vive voix, en toute courtoisie. De plus, je vais contacter vos autorités pour demander un dédommagement pour le carburant consommé lors de cette mission, et je ne rigole pas. »

Il inspira encore la fumée de sa pipe, puis expira.
On ne le voyait pas, mais ses yeux étaient tout rouges.
Il devait être sûrement dans son état de transe.


« Fin de transmission. À vous. »
725
Missive pour la République du Jashuria
Ministère des Affaires étrangères de la Barvynie


Nous saluons le Gouvernement de la République du Jashuria,

Nous sommes surpris par vos agissements, additionné à des agissements hostiles du Gouvernement Impériale du Churaynn,

Vos agissements, concernant l'accès libre du Jib-Outil, est un acte impardonnable, cherchez-vous à ce que nos navires accoste le moindre navire commercial de l'Organisation des Nations Commerçante ? Dans le but d'inspecter les marchandises ? Non, nous avons entièrement confiance en vous, Si vous nous l'aviez demandé, nous vous aurions fournis un document annexe indiquant tous ceux que nous apportons avec nous ? De quel droit vous vous permettez de nous interdire de rejoindre une de nos bases militaires ? Pour nous entrainer et coopérer avec nos allier ? L'Objectif de cette manœuvre est d'évaluer la situation du Chamdekolza, mais aussi des nations alentours, dans le but de fournir des aides humanitaires aux nations qui en n'ont besoin. Sans aucune demande en échange.

Non, votre comportement est inacceptable, malgré les désire de la Barvynie à ouvrir des canaux diplomatiques entre nos nations, vous avez préféré sortir les armes plutôt que la diplomatie. Voici donc les manière d'on le Jashuria maintient la Paix ? Par les armes et la peur ?

Nous n'acceptons pas que la République du Jashuria inspecte nos navires. Nous allons vous fournir un rapport détaillé des éléments fournis à notre base allié, et cela, seulement, car nous sommes des personnes de bonne foi. Mais seule l'Empire du Churaynn, sera autoriser à inspecter ses navires.

Il serait temps que votre Nation Démocratique, se montre moins hostile à l'avenir, il est là une preuve évidente que votre nation est gouvernée par la "Peur rouge", nous qui pensions naïvement que vous étiez cette fameuse "démocratie" qui maintiendra la paix entre les peuples du Nazum, nous nous sommes peut-être trompés ? À vous de nous le dire.

Si vous souhaitez savoir pourquoi nous avons fourni des armes, munition, équipement militaire a la base Militaire Severomorsk au Jib-Outil, c'est tout bonnement parce que si nous souhaitons installer un carrefour humanitaire sur cette ile, il est également de notre devoir de la protéger de tous missiles balistiques tirés par des gouvernements qui serait opposé à ses aides. Car pour nous, la "ressource" la plus rare au monde, celle qui nous attriste le plus de perdre, ce sont les humains, et avec lui les milliers de peuples qui compose l'humanité.

Et nous n'avons pas tenu utile d'informer le Chamdekolza de notre venue, parce qu'étant donné que cette mission, c'est exercer sous la Bannière de la C.S.N, cela équivaut à ce que le Morzanov envoie ses propres troupes sur sa base. Nous admettons avoir commis l'erreur de ne pas avoir prévenu le Gouvernement du Chamdekolza de notre venue, malgré tout pourquoi est-ce vous qui pointez les armes ? Le Peuple Jashurien se croit-il supérieur à celui du Chamdekolza ? Êtes-vous le maitre Légitime de cette nation ? Est-ce vous qui tenez les Reines du Champdekolza ?

Nous espérons que cette missive, aussi désagréable soit-elle, soit la dernière que nous enverrons de ce ton. Nous croyons à l'avenir, et nous espérons que votre Nation sera moins hostile suite à l'agissement de nos jeunes nations, qu'elle soit communiste ou non, et acceptera ses erreurs commises. Sans pour autant menacer la vie de nos hommes dès le moindre déplacement.

En espérant des échanges futurs plus agréables, et moins anti-communiste.

Que la paix et l'amour batte un jour la cupidité et l'envie de l'homme. Faite que ce temps vienne.

Cordialement,
Le Gouvernement de la République Socialiste de la Barvynie


Rédigé par : Aytal Bulchutovich PetrovLe 28/3/2017 à 16h09Depuis Velzmegrad
Signé par : Nikolai Mikhaïlovitch Bowsarev,
Saynaara Archynovna Stepanova


Avec la missive destiner au Jashuria, une seconde page a visiblement été glissé dans la lettre. Il semblerait qu'il s'agisse du Manifeste de Transport MilitaireManifeste Barvyien



Alors que les Navires Barvynien reçoivent les instructions en arabe, la seule réponse qu'ils reçue fut le silence

Les navires Barvynien coupe leurs moteurs, le silence règne sur les mers, seule les bruit des vagues que heurte de la proue à la poupe des bateaux, pendant 5 bonnes minute, seime me bruit d'une transmission sans voix, était entendu par les Churaynniens et les Jashuriens, qui s'était unis pour réaliser une opération conjointe, même dans l'adversité, le communisme réuni les nations, même si c'est pour s'opposer à elle, n'est t'est ce pas-là une belle conclusion ?

Après ses cinq bonnes minutes, la voix du capitaine de la flotte fut entendu dans les communications des deux autres flottes, toujours aussi détendu qu'au début, dans le but de calmer le jeu.

  • 💬 « D'accord, allons faire la fête tous ensemble, nous vous suivons donc le Patrouilleur-Khadoua. Terminer »
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Dès l’arrivée de la flotte, on fouilla tous ces navires de guerre. C’était, pour certains gardes-côtes, la première fois qu’ils voyaient autant de navires de guerre, mais aussi autant d’armes. Mais ce qui les choqua, c’était les mines. Que préparaient les Rouges ? Une guerre de territoire au Chamdekolza ? On prit quelques photos de toute la marchandise, au cas où. On appela la capitaine de la première flotte, sans savoir s’il y avait un gradé plus haut qu’elle.

La capitaine Alaaya Badjeyovna Buchugasov est introduite sous bonne garde dans une salle de verre blindé, encadrée par des membres de la Garde Côtière Impériale. À l'autre bout de la salle, sur un écran mural, le visage du Sadr Yazid Malsiento apparaît, lunettes teintées, cigare en main. Malgré ses lunettes, on comprenait qu’il venait de consommer quelque chose d’illégal. Il ne souriait pas, il lâcha quelques coups sur son cigare, puis incline à peine la tête, puis commence à parler :


« Capitaine Alaaya. Vous êtes à Angoran. Vous êtes en vie. Tout va donc bien. L’Empire de Churaynn n’a rien à faire de vos drapeaux rouges, de vos hymnes prolétaires ou de votre camaraderie internationale. Nous ne vous jugerons ni sur vos amis, ni sur vos ennemis. Mais écoutez-moi bien : nous défendrons nos eaux, car c’est l’un des grands intérêts que porte Churaynn. L’histoire de Churaynn, ses conquêtes, se sont faites grâce aux navires de guerre qu’il possédait. Et c’est ainsi que nous vous avons arrêtés. Vous pouvez livrer vos armes où bon vous semble. Ce n’est pas notre affaire. Mais passer la mer Blême sans autorisation impériale, ça, c’en est une. Et si cela se reproduit… »

Il claque deux doigts, et une carte tactique s’affiche, montrant les 30 missiles balistiques armés en attente.

« …eh bien, vous devinerez la suite. »


Il relâche un nuage de fumée, puis poursuit, d’un ton un peu plus calme. C’était comme si fumer apaisait son cœur.

« Vous avez eu le mérite de rester calmes. C’est rare. Je vous remercie pour cela. D'autres auraient déjà tenté des magouilles pour échapper au contrôle. Une missive partira bientôt pour le Chamdekolza. Et une autre pour votre Confédération. Mais je vous le dis d’avance : vous ne re-naviguerez pas dans cette mer sans autorisation impériale directe. Plus jamais. Cette mer est la nôtre. Et ceux qui la traversent sans frapper à la porte de mon bureau, on noie leur navire. »

Puis, sur un ton plus étonnamment cordial :

« Si vous avez besoin de dissuasion dans les semaines à venir… missiles par exemple ? Faites signe. Churaynn n’est pas rancunier. »

« Bon retour chez vous, Capitaine. Et surtout, que cela ne se reproduise plus jamais. »
5350
Symbole de l'Ambassade

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Message de la Quatrième Ambassadrice de la République du Jashuria

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A l'attention du gouvernement de la République Socialiste de la Barvynie.

Excellences,

Je crains que vous n’ayez pas saisi ce qui se joue au Chandekolza, ni bien compris ce qui motive l’interception de votre flotte dans les eaux internationales. Comprenez toutefois que vous n’êtes pas dans une position vous permettant de proférer des menaces à notre encontre. La Troisième République du Jashuria a cependant le respect des convenances en haute estime et ces convenances nous imposent de poser des questions avant de faire feu sur tout ce qui pourrait menacer la paix au Nazum.

Permettez-nous toutefois de replacer les faits dans le bon ordre afin de vous aider à y voir plus clair sur le sujet qui nous préoccupe aujourd’hui. Depuis maintenant deux ans, la Troisième République du Jashuria apporte son aide humanitaire au Chandekolza, sur la base d’un accord bipartite permettant à notre république de disposer d’un port d’attache en échange d’un large programme d’aide humanitaire comprenant la création d’infrastructures et une aide alimentaire. Ces actions nous ont permis d’aider concrètement à l’amélioration des conditions de vie dans la région de Jib-Outhi.

Malheureusement, si le Jashuria a honoré ses engagements auprès de ses partenaires chandekolzans, ce n’est pas le cas des autres participants, essentiellement eurysiens et poëtoscoviens, qui ont préféré se servir de la faiblesse du Chandekolza pour créer des bases militaires dédiées à leur assurer une présence au Nazum. Notre action diplomatique a évité que la situation ne dégénère et que le pays ne se transforme en une plateforme de trafic d’armes destinée à alimenter la guerre civile ramchoure. Depuis plus d’un an, nous pilotons avec justesse et avec diligence le réseau des bases étrangères, afin de nous assurer que leur maigre aide alimentaire, essentiellement constituée de patates et de harengs, arrive à destination et que plus aucune arme ne transite par le Chandekolza. A ce jour, aucun militaire d’aucune de ces bases achetées pour un prix dérisoire n’a mis le pied en-dehors pour construire des puits ou des infrastructures d’irrigation. Comprenez que cette situation est déplaisante à plus d’un titre et irrite profondément le Cercle Intérieur et le Cercle Extérieur.

Il y a quelques semaines, le Morzanov a, en son nom propre, demandé au Chandekolza une concession sous la forme d’une base militaire dénommée Severomorsk en échange de la somme dérisoire de 30 tonnes de pommes de terre par mois, soit à peine de quoi nourrir 1000 personnes par mois. Pour rappel, la population du Chandekolza s’exprime en millions de personnes. Malgré l’aide dérisoire – pour ne pas dire l’aumône – que le Morzanov a promis au Chandekolza, ce dernier a validé l’installation de la base un atoll perdu. Contacté au sujet de cette base afin de se conformer aux mêmes exigences imposées aux autres bases, le Morzanov nous a confirmé que cette base ne servirait pas à construire des navires de guerre, ni à assurer l’entrainement des soldats du Morzanov, mais simplement à acheminer des cargaisons de biens à destination du Morzanov. Malgré nos demandes répétées, le Morzanov n’a, à ce jour, pas accusé réception, ni validé, nos autres demandes. Les déclarations du Morzanov à nos services sont en contradiction avec les buts communiqués au Chandekolza, qui étaient d’entrainer les soldats à des conditions climatiques inhabituelles. Les écarts entre la communication faite à nos services et la communication faite au Chandekolza sur les motifs de création de la base a éveillé notre vigilance.

C’est dans ce contexte que l’apparition impromptue de votre flotte prend place. Votre flotte ne s’est annoncée à aucun organisme régional et a soigneusement évité les itinéraires navals standards, ce qui a éveillé notre attention. L’apparition illégale de cette flotte a motivé le déploiement de la flotte jashurienne pour inspection. Or, nous apprenons de votre bouche-même, que cette flotte est à destination du Chandekolza pour y livrer des armes destinées à l’entrainement des soldats morzniks et pour protéger le Chandekolza des tirs de missiles balistiques pouvant potentiellement être tirés par des gouvernements opposés à ces aides.

Je dois vous avouer qu’en lisant ces justifications, nous sommes restés perplexes.

Premièrement, il n’existe aucun pays menaçant le Chandekolza de tirs de missiles balistiques. Aucun pays ne souhaite frapper le Chandekolza pour s’opposer aux aides humanitaires : le faire serait de la pure folie. Vos services de renseignements ont visiblement mal compris le contexte géopolitique de la région et vous ont induit en erreur. Deuxièmement, l’entrainement des soldats morzkniks n’a jamais fait partie des justifications données à nos services par le Morzanov quant à la présence de sa base, ce qui nous encourage à penser qu’aucun de vous ne joue franc-jeu. Troisièmement, à la lecture du manifeste de vos patrouilleurs, nous nous demandons sincèrement si vous ne vous moquez pas du monde. En effet, le matériel que vous comptez déployer au Chandekolza ne correspond ni à du matériel capable de défendre le Chandekolza contre une éventuelle frappe de missiles balistiques, ni à du matériel standard pour l’entrainement de soldats. Expliquez-nous-en quoi 400 mines peuvent contribuer à la défense anti-missile ou à l’entrainement de soldats ?

Au vu de la situation et au vu de vos explications désastreuses, nous émettons un avis négatif sur la présence de cette base militaire morznik au Chandekolza ainsi qu’à la poursuite de votre convoi vers sa destination. Nous vous demandons de retourner chez vous et de cesser d’essayer de déstabiliser la région. Le fait que vous n’ayez même pas prévenu le Chandekolza de l’arrivée prochaine de ce convoi est une preuve supplémentaire de votre duplicité.

Dans le cas où vous n’accéderiez pas à cette demande, nous prendrions toutes les mesures nécessaires pour faire en sorte que vous ne puissiez pas nuire à la stabilité de la région.

Dans l’attente de votre réponse sur les canaux diplomatiques, je reste à votre entière disposition.

Veuillez agréer, messieurs les représentants, l'expression de mes salutations distinguées.

Cordialement
Madame Parvati Mathai, Quatrième Ambassadrice du Jashuria
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Alors que les Navires Barvynien accostent le Port impériale d'Angoran, la Capitaine Alaaya va ordonner à son équipage d'aider la garde portière qui était chargé d'inspecter, aucune armes, ni personnel n'était pas présenté au garde du port, la Capitaine Alaaya demande de trouver un responsable de la fouille, et elle lui donne. Le Manifeste de Transport MilitaireManifeste Barvyien
Ce manifeste contenait l'intégralité des informations logistiques & technique du transport Naval & Aérien, par ailleurs, les Avions de la Confédération Socialiste du Nazum vont arriver au-dessus du port, effectivement, les navires patrouilleurs ne sont que l'avant-garde du transport, les avions vont ainsi demander l'autorisation d'atterrir pour le contrôle, la ou la Barvynie aurait pu être fourbe et laisser seulement sa cargaison navale sous contrôle, elle offre la capacité au Churaynn d'effectuer un total complet, si l'autorisation d'atterrir est accordée alors les 500 Soldat Professionnel Barvynien présent dans les avions aiderons les contrôleurs de l'aéroport à décharger pour inspecter la cargaison aérienne, car ce n'est pas parce qu'une nation se montre agressive avec la Barvynie qu'il faut l'être en retour, après tous le Churaynn et le Jashuria avaient toutes les raisons du monde de s'être interposé dans la trajectoire Barvynienne.

Alors que la Capitaine Alaaya Badjeyovna Buchugasov, fut escorté jusqu'à une salle protégée grâce à du verre blindée, permettant ainsi d'éclairer la pièce d'une lumière naturelle, elle demanda d'ailleurs la présence de son traducteur. Se trouvaient un écran accroché aux murs permettait la communication directe avec le Ministre des Affaires Étrangères, Sadr Yazid Malsiento, son discours ne surprenait pas beaucoup la Capitaine, quand ce dernier termina ses propos, elle se permit de prendre la parole d'une voix simple et calme, le traducteur se chargera de traduire en arabe les phrases.

  • 💬 « Bonjour Monsieur Sadr, Tout d'abord je vous souhaite de profiter de votre cigare, je suppose que la Barvynie comprendra le motif de votre interception, et il remboursera votre carburant sans problème. Malgré tout, je voudrais vous indiquer une chose, vous pouvez fouiller nos navires, vous interroger sur les motifs de pourquoi nous transportons ses éléments, ou même interroger notre équipage, tant qu'il n'y a pas de torture cela me convient, et je tiens à vous préciser quelque chose, la Flotte Barvynienne, ne rebroussera jamais chemin, peu importe nos obstacles ou la grandeur des flottes que nous croiserons, nous nous sommes montrés coopératifs, et nous autorisons à ce que vous transmettiez votre rapport de fouille au Jashurien, Malgré tout. Nous devons nous rendre à notre destination. Des discussions entre le Gouvernement Barvynien et Jashurien son en cours, et nous espérons bien que les Jashuriens accepterons notre proposition. Libre à vous de décider ce que vous comptez faire de nous, Malgré tout n'oublier pas que la Barvynie n'oublie jamais rien. Après vous nous avez correctement traité jusqu'à présent, je ne vois pas pourquoi cela changerait, par ailleurs, je transmettrais vos informations, mais je ne pense pas que a Barvynie refuse de vous avertir de ses futurs Trajets en Mer Blême. Après tous si vous avez besoin d'être informé. Il n'y a pas de mal à cela. »
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Ministère des Affaires étrangères de la Barvynie


Je vous souhaite, moi et mon gouvernement, des salutations des plus sincères, une partie de cette missive sera détruite de toute copie existante dans nos archives, elle ne concerne que le Jashuria, et elle ne regarde que le Jashuria.

Début du Message Secret
Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées
Fin du Message Secret (Taille totale 3506 caractère)

J'admets que l'erreur gravissime de notre gouvernement est impardonnable aux yeux du Chamdekolza et du Jashuria, cumulé aux insultes promises dans la dernière missive, il en va de soi qu'aucun régime n'est parfait, c'est pourquoi nous vous demandons de prendre nos excuses en considération.

Nous vous offrons par la même occasion, le droit d'accompagner la flotte Barvynienne jusqu'à la base Severomorsk, et l'autorisation pleine de rentrer exceptionnellement dans la base militaire Severomorsk, vous pourrez faire ainsi vos observations comme il se doit, cela vous prouvera nos ambitions pacifistes, nous comptons sur vous pour garder les informations de la base militaire pour vous et le Chamdekolza, de plus, nous avons pris connaissance des prérequis que vous avez imposé au Morzanov, et nous acceptons de faire revenir les 500 soldats professionnels Barvynien, le reste de la cargaison sera apporter à la base.

En espérant que vous coopérerez avec nos projets et que vous n'entraveraient pas les futurs convois que nous enverrons, nous vous avertissons qu'un convoi Ouanais risque de quitter les ports ce soir, une missive sera publiée à ce sujet. Et que nous pourrons conclure à un accord équitable permettant à Confédération Socialiste du Nazum de coopérer avec les Jashuriens.

Voici les conditions que le Morzanov a imposées a l'inspection Jashurienne de la base Severomorsk :

  • Fouille Obligatoire
  • Les Soldats Jashurien resterons dans les navires.
  • Le Haut Commandement des navires seront fouillés deux fois, et escortés à travers la base pour qu'il puisse inspecter de leurs yeux la base, et cette inspection ne sera pas totale, mais déjà les partis qui vous intéressent le plus vous serons présentée, pour assurer l'anonymat de certaine personne et certains lieux, il est possible que les yeux soient bandés.
  • Interdiction de porter des armes.
  • Interdiction de réaliser des photos de la base militaire.


Voici là notre dernière offre, notez que nous souhaitons réellement maintenir cette paix qui nous a rapproché, si vous déclinez cette offre, Les Navires Barvynien continuerons leurs trajets, et serons donc détruit par votre marine. Sachez que la Marine Barvynienne ne recule jamais, une mission est une mission.

Si vous avez des conditions supplémentaires, nous sommes prêts à les entendre, tant qu'ils ne sont pas abusifs, nous verrons si la Barvynie réussira à négocier avec le Morzanov.

Cordialement,
La République Socialiste de Barvynie
Nikolai Mikhaïlovitch Bowsarev - Présidium




Rédigé par : Nikolai Mikhaïlovitch BowsarevLe 31/01/2017 à 18h09Depuis Velzmegrad
Signé par : Nikolai Mikhaïlovitch Bowsarev,
Saynaara Archynovna Stepanova


HRPSi le Jashuria refuse, alors je supprimerai mes navires, et la cargaison navale (aérien ça dépend s'il détruit les avions) J'ai volontairement réalisé cette action dans le but de gouter au plaisir du conflit.
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Le Sadr : « Eh bien, qu’il en soit ainsi. Cela fait longtemps que je n’ai pas vu un pays comme le vôtre, qui n’a peur de rien. Vous allez sûrement croiser les policiers du Nazum ainsi que ses sbires, qui ne vont pas tarder. Je vous souhaite bonne route. Et n’oubliez pas… la force donne du pouvoir. Les faibles se contraignent aux lois des forts. »
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