Nom courant : Dans l’usage courant, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de ses frontières, l’État est généralement désigné sous le nom de Liguronia. Cette appellation concise et symboliquement chargée renvoie à la continuité territoriale et civilisationnelle de l’espace liguronien, tout en s’affranchissant des connotations institutionnelles ou doctrinales liées à sa forme de gouvernement. Employé dans les discours médiatiques, la langue populaire, les publications étrangères et les références informelles, le terme Liguronia condense à lui seul l’identité du peuple, la spécificité du modèle politique et l’unité organique du territoire. Son usage se généralise également dans le langage diplomatique lorsqu’il n’est pas nécessaire de rappeler la dénomination complète de l’Union.
Gentilé : Les habitants de l’Union Révolutionnaire de Liguronia sont désignés par le terme de Liguroniens (au masculin) et Liguroniennes (au féminin). Cette dénomination, stabilisée par l’usage depuis les premières années du processus révolutionnaire, est désormais consacrée dans la Constitution, les textes juridiques et les documents administratifs officiels.
Inspirations culturelles : L’Union Révolutionnaire de Liguronia puise son imaginaire politique, social et symbolique dans un ensemble de références culturelles profondément enracinées dans le monde méditerranéen latin, à la croisée de plusieurs traditions historiques et philosophiques. Le socle civilisationnel du pays s’inspire principalement des cultures de l’Italie méridionale, des régions adriatiques et de certains aspects de l’hispanité révolutionnaire, avec un accent particulier mis sur les mouvements autonomistes, les héritages communautaires ruraux et les formes populaires de spiritualité catholique. Sur le plan idéologique, l’Union s’inscrit dans une lignée synthétique qui emprunte à la doctrine sociale fasciste, au socialisme national de type péroniste ou chaviste, à la pensée sorelienne du mythe révolutionnaire, ainsi qu’à certains éléments du jusnaturalisme catholique et du corporatisme intégral. Cette hybridation revendiquée donne naissance à un projet civilisationnel singulier, distinct à la fois du libéralisme occidental et du marxisme internationaliste, affirmant la primauté du peuple organique, du travail productif, de l’autorité structurante et de l’identité enracinée. La culture populaire liguronienne reste par ailleurs imprégnée de références esthétiques classiques, baroques et régionales, visibles tant dans l’architecture officielle que dans la musique, le théâtre ou les rituels civiques.
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : La langue officielle de l’Unione Rivoluzionaria di Liguronia est le liguronien, une forme régulée et modernisée du dialecte ligure méridional, enrichie d’emprunts latins, italiques et adriatiques, et codifiée sous l’égide du Comitato per la Rinascita Culturale. Cette langue constitue le support unique des actes législatifs, des décrets, des procédures administratives, de l’enseignement public et des communications officielles. La réforme linguistique opérée par le régime révolutionnaire visait à restaurer une langue nationale propre, enracinée dans le génie populaire, affranchie des influences cosmopolites, et capable d’unifier le peuple liguronien autour d’un même idiome de souveraineté. Le liguronien standardisé est enseigné dès les premiers cycles scolaires et représente un vecteur essentiel de la transmission des valeurs de l’Union.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : N/A.
Drapeau :
Devise officielle :
Ordine : la restauration d’un État fort, discipliné, structuré, garant de la stabilité intérieure et de la justice sociale.
Popolo : la souveraineté du peuple travailleur, mobilisé dans une unité organique et révolutionnaire.
Rinascita : la volonté de refondation intégrale de la nation ligurienne, fondée sur un projet historique propre, porteur d’un renouveau civilisationnel.
Hymne officiel :
Monnaie nationale : La monnaie légale en vigueur sur l’ensemble du territoire de l’Unione Rivoluzionaria di Liguronia est le Lira Popolare Ligura (code monétaire : LPL), en remplacement des anciennes devises jugées incompatibles avec la souveraineté économique révolutionnaire. Divisée en 100 centesimi, la LPL est émise et régulée par la Banca Centrale del Popolo, organe monétaire placé sous l’autorité directe du Conseil Économique National. Le Lira Popolare Ligura a pour vocation de servir à la fois de support aux échanges internes, d’instrument de planification économique et de levier d’indépendance face aux fluctuations des marchés étrangers. Son émission est strictement encadrée par les besoins définis dans les plans quinquennaux, en cohérence avec les objectifs de production, d’investissement et de stabilité sociale. L’usage de monnaies étrangères est interdit dans les transactions courantes, sauf dans les zones franches portuaires ou dans le cadre d’accords bilatéraux approuvés. La détention illicite de devises étrangères est passible de poursuites judiciaires au titre de la législation sur la souveraineté financière.
Capitale : La capitale politique, administrative et historique de l’Unione Rivoluzionaria di Liguronia est la ville de Nova Liguronia, fondée symboliquement sur les ruines partiellement reconstruites de l’ancienne cité côtière de Castellaviva, épicentre des premiers soulèvements populaires contre le régime parlementaire déchu. Située au confluent de la mer et des contreforts montagneux de l’arrière-pays méridional, Nova Liguronia fut érigée comme capitale révolutionnaire à l’issue du IIe Congrès Populaire, lequel entérina la centralisation du pouvoir autour du Conseil de la Révolution et de son Président. Son architecture incarne la synthèse entre monumentalité politique et fonctionnalité populaire : larges boulevards, bâtiments austères aux lignes néo-classiques, statues de labeur et d’héroïsme ouvrier, et quartiers ouvriers planifiés selon une logique égalitaire. La ville accueille l’ensemble des grandes institutions de l’État : Palais du Peuple, siège du pouvoir exécutif et législatif ; Maison des Conseils, où délibèrent les différentes chambres populaires ; Foro dei Martiri, espace mémoriel dédié aux héros de la lutte ligurienne ; ainsi que la Citadelle de l’Industrie, vaste complexe d’exposition consacré à la puissance productive de la nation. Nova Liguria se veut non seulement le centre décisionnel de l’Union, mais également son cœur idéologique, spirituel et symbolique, continuellement modelé par les idéaux de la révolution nationale-populaire.
Population : Selon les dernières données consolidées par le Commissariato centrale per la demografia e la pianificazione sociale, l’Unione Rivoluzionaria di Liguronia compte 19 480 000 habitants, répartis de manière inégale entre les grandes agglomérations industrialisées du littoral, les vallées manufacturières de l’intérieur, et les territoires ruraux encore structurés autour d’anciens pôles agraires collectivisés. Cette démographie, bien que marquée par les conséquences prolongées des conflits civils et des migrations internes post-révolutionnaires, s’est stabilisée dans les deux dernières décennies sous l’effet conjugué de la politique nataliste d’État, de la médicalisation systématique des campagnes, et d’une urbanisation régulée. Le taux de croissance reste modéré mais constant, encouragé par des incitations sociales à la procréation et par l’intégration progressive des jeunes générations au projet révolutionnaire. La population se distingue par une forte homogénéité linguistique et culturelle, résultat de plusieurs décennies de politique d’unification identitaire. Toutefois, certaines minorités montagnardes et insulaires subsistent, bénéficiant d’un statut spécial au sein de l'Union, sans pour autant remettre en cause l’unité politique et morale du pays. Le recensement est mené tous les cinq ans, conformément au décret sur la Population et la Production nationale. Les données collectées orientent les grands axes de planification en matière de logement, d’éducation, de transport et d’organisation du travail.
Présentation du pays : Le territoire de l’actuelle Unione Rivoluzionaria di Liguronia constitue l’un des berceaux civilisationnels les plus anciens du sud de l’Eurysie. De l’Antiquité aux premiers âges médiévaux, il fut successivement occupé par des confédérations tribales proto-ligures, des cités marchandes d’inspiration tyrrhénienne et des pouvoirs féodaux endogènes. La spécificité géographique de la région à la fois montagneuse, côtière et densément peuplée, permit le développement d’une culture politique centrée sur la cohésion communautaire, la résistance à l’envahisseur et l’autosuffisance productive. Durant les époques modernes, la Liguronia fut progressivement intégrée à de vastes entités impériales continentales, souvent contre la volonté de ses populations. Cette centralisation forcée provoqua, dès le XIXe siècle, l’apparition de cercles contestataires, de syndicats ouvriers auto-organisés et de sociétés patriotiques clandestines. C’est dans ce creuset historique que naquit, à la fin des années 1920, le mouvement vassalien. Fondé par Girolamo Vassali — théoricien radical, ancien officier de marine, philosophe autodidacte et leader révolutionnaire — le vassalisme constitua une synthèse inédite de pensée national-révolutionnaire, de collectivisme et de spiritualité civique. Opposé à la fois au libéralisme marchand, au parlementarisme décadent et au marxisme internationaliste, le corpus doctrinal vassalien reposait sur trois piliers : la primauté organique de la nation, l’unité spirituelle du peuple productif, et le dépassement des luttes de classes dans un projet communautaire verticalement structuré. À la suite de la de l’effondrement du régime parlementaire et le délitement de l’appareil d’État, les milices populaires vassaliennes, organisées en comités de combat, marchèrent sur Castellaviva. Le 12 mars 1940, après six jours d’insurrection coordonnée, le drapeau de l’Union fut hissé au sommet du Palais du Peuple. Le lendemain, fut proclamée la Costituzione Rivoluzionaria, instaurant l’Unione Rivoluzionaria di Liguronia, seul État officiellement fondé sur la doctrine vassalienne. Depuis lors, la Liguronia s’est dotée d’un appareil institutionnel centralisé, d’une économie structurée autour des corporations productives, et d’un système éducatif unifié visant la formation de l’Homme nouveau, tel que théorisé par Vassali dans ses Discorsi ai giovani militanti. Le pays a résisté aux tentatives d’encerclement diplomatique, aux infiltrations idéologiques étrangères et aux révisions internes à tendance cosmopolite. Il demeure aujourd’hui l’un des seuls États eurysiens à revendiquer une continuité révolutionnaire organique, héritée de son fondateur et articulée autour de la Doctrine d’unité populaire intégrale, socle du vassalisme contemporain.
Mentalité de la population : La population de l’Unione Rivoluzionaria di Liguronia se distingue par une mentalité façonnée par l’expérience révolutionnaire fondatrice et la pérennité de la doctrine vassalienne. Héritiers d’une tradition de résistance, d’unité et de sacrifice collectif, les Liguriens contemporains expriment un attachement profond à la verticalité du corps social, au respect de l’autorité organique et à l’intégrité de la mission nationale. Loin de toute forme d’individualisme dissolvant, l’éthique populaire repose sur une conception élevée du devoir, de la dignité dans le travail et de la solidarité fonctionnelle entre les différentes strates de la communauté nationale. Le citoyen ligurien n’est pas conçu comme un atome libre, mais comme une cellule consciente d’un corps civique unifié, à la fois producteur, défenseur et continuateur de l’œuvre révolutionnaire. Le patriotisme y est vécu comme une forme de vie intérieure, enracinée dans la mémoire collective, les rituels publics et la transmission idéologique intergénérationnelle. La mémoire de la guerre populaire de libération, la figure tutélaire de Vassali et les grands textes fondateurs de la Révolution sont enseignés dès l’enfance et intégrés aux pratiques sociales courantes. La population demeure globalement méfiante à l’égard des idéologies exogènes, perçues comme porteuses de dissolution morale ou d’atomisation sociale. En revanche, l’innovation technique, lorsqu’elle est orientée vers le renforcement de la souveraineté nationale et l’amélioration des capacités productives, est largement valorisée. Dans ce cadre, la fierté nationale, la discipline collective, la capacité de résilience et la vigilance idéologique constituent les traits saillants d’une mentalité façonnée par l’idée d’une mission historique inachevée. Le peuple ligurien se considère, dans sa grande majorité, non comme une population ordinaire, mais comme le vecteur vivant d’un projet politique singulier, devant être protégé, affirmé et transmis dans sa plénitude.
Place de la religion au sein de l'État : L’Unione Rivoluzionaria di Liguronia, tout en se définissant juridiquement comme un État laïc, intègre néanmoins dans son architecture idéologique et symbolique un rapport organique et assumé à la tradition chrétienne, considérée non comme une autorité supérieure, mais comme une matrice civilisationnelle fondamentale de l’identité ligurienne. La doctrine vassalienne, fondement du régime instauré par le fondateur Vassali, ne reconnaît aucune Église comme détentrice d’un pouvoir institutionnel autonome, mais revendique une filiation spirituelle avec le christianisme des humbles, des bâtisseurs et des justes, opposé aussi bien à l’athéisme matérialiste qu’au cléricalisme abstrait. Ce christianisme populaire est vu comme une force morale de cohésion, une pédagogie du devoir et une discipline intérieure, compatible avec l’idéal révolutionnaire de justice sociale, de sacrifice communautaire et de rédemption nationale. L’État n’érige donc aucune religion en culte officiel, mais inscrit la foi chrétienne, dans sa forme civique et non-dogmatique, au cœur de son récit fondateur, de ses cérémonies nationales et de certains symboles publics. La figure du Christ travailleur, du prophète insurgé et du guide sacrificiel est régulièrement mobilisée dans les discours officiels, les manuels scolaires et l’imagerie révolutionnaire. Des extraits évangéliques sont parfois cités lors des sessions du Conseil populaire suprême, sans caractère contraignant, mais comme référents éthiques collectifs. Les églises, chapelles et lieux de culte sont libres d’exister, à condition qu’ils ne remettent pas en cause les fondements de l’État, ni ne servent de vecteurs d’opposition politique ou de fragmentation sociale. Le Commissariat aux Affaires Morales et Spirituelles veille à garantir que les activités religieuses restent compatibles avec les intérêts supérieurs de la Nation. L’enseignement public ne dispense pas d’instruction religieuse proprement dite, mais valorise l’histoire des traditions spirituelles nationales, en soulignant leur rôle dans la formation d’un peuple enraciné, digne et solidaire.
Institutions politiques : Le système institutionnel de l’Unione Rivoluzionaria di Liguronia repose sur une architecture centralisée et hiérarchisée, conçue pour garantir l’unité de l’État, la continuité doctrinale de la Révolution vassalienne et l’expression régulée de la volonté populaire. L’ensemble des institutions est organisé autour de trois piliers : le Conseil de la Révolution, le Palais du Peuple, et la Maison des Conseils. Ces organes forment un triangle de souveraineté imbriqué, au service de l’unité organique entre la Nation, le Peuple et l’État.
Consiglio della Rivoluzione : Organe de direction stratégique du régime, le Conseil suprême de la Révolution est l’instance la plus haute de l’État. Il est composé de 15 membres nommés à vie, choisis parmi les cadres historiques du Mouvement vassalien, les chefs de secteurs fondamentaux (armée, industrie, moralité publique) et les représentants du Partito della Rivoluzione Sociale. Il est présidé par le Comandante Nazionale, actuellement issu de la succession du Fondateur Vassali, il détient l’autorité ultime sur les orientations politiques, militaires, diplomatiques et morales de l’État. Le Conseil de la Révolution ne peut être dissous. Il se réunit dans un huis clos solennel au sein du Palazzo della Vittoria. Il ratifie toutes les grandes orientations nationales, supervise les nominations stratégiques, et détient un droit de veto sur les lois du Palais du Peuple.
Palazzo del Popolo : Le Palazzo del Popolo constitue l’organe représentatif populaire de l’Union. Il est composé de 260 délégués élus au suffrage universel encadré, pour un mandat de 6 ans, selon un système de listes régionales, sociales et professionnelles. Il légifère sur les questions d’organisation territoriale, de politique économique, d’éducation, de sécurité sociale et de droit du travail. Il ne peut s’autosaisir des sujets relatifs à la doctrine ou aux affaires militaires sans autorisation expresse du Conseil suprême. Ses travaux sont publics et se tiennent dans l’hémicycle du Forum Nazionale del Popolo, à Nova Liguronia.
Casa dei Consigli : La Casa dei Consigli est un organe consultatif, fédérateur et moral, rassemblant des représentants des corporations, des communes, des unités militaires, des communautés religieuses, ainsi que des anciens combattants et pionniers de la Révolution. Son rôle est de fournir des avis, des rapports de terrain et des recommandations sur les projets de loi, les orientations nationales ou les tensions sociales. Elle se réunit deux fois par an, sous la présidence tournante d’un membre du Conseil suprême. Elle est également responsable de la veille idéologique et morale, et peut signaler les dérives, déviations ou signes de corruption.
Principaux personnages :
Comandante Nazionale Lorenzo dell’Alba ; Chef de l’État et président du Consiglio della Rivoluzione.
Héritier politique direct de Girolamo Vassali, dont il fut l’aide de camp idéologique durant les dernières années. Théoricien du vassalisme, il prend la tête de l’Union après un vote solennel du Conseil de la Révolution en 2004. Il incarne une ligne dure, associant rigueur révolutionnaire, discipline et ferveur religieuse. Charismatique mais impénétrable, son autorité est incontestée.
Don Paolo Saverini ; Président de la Casa dei Consigli.
Ancien aumônier militaire et membre fondateur du Fronte cristiano-rivoluzionario, Don Saverini représente l’aile spiritualiste du régime. Partisan de l’intégration des valeurs chrétiennes dans le pacte social national, il occupe une place centrale dans la définition du rôle moral du peuple liguronien. Il veille à la conformité éthique des grandes orientations de l’Union.
Prof.ssa Annalisa Bruni ; Secrétaire générale du Commissariato per la Redenzione Nazionale
Responsable des affaires culturelles, de l’éducation et de la formation des cadres. Doctrinaire rigoureuse, elle veille à la transmission intégrale de la pensée vassalienne dans toutes les institutions éducatives. Son influence dans les cercles idéologiques en fait une figure incontournable de la reproduction révolutionnaire.
Angelo Vittorio Lampardi ; Directeur du Commissariato nazionale per l'informazione, la cultura pubblica e la propaganda
Ancien professeur d’histoire des doctrines révolutionnaires, élevé au sein des cercles culturels de la ville rouge d’Almèra, Angelo Vittorio Lampardi est un orateur de formation et un penseur de la rhétorique publique. Nommé à la tête du Commissariat à l’Information, il est l’architecte du monopole médiatique étatique, directeur en titre du Giornale del Popolo, unique organe de presse du pays, paraissant chaque matin sous supervision directe. Il siège également en qualité d’observateur permanent au Consiglio della Rivoluzione.
Cosimo Verdi : Président du Palazzo del Popolo
Issu des coopératives agricoles collectives du sud, Cosimo Verdi est une figure charismatique des masses laborieuses. Élevé à la fonction suprême de représentation populaire, il est le président en exercice du Palazzo del Popolo, l'organe central des Assemblées populaires organisées.
Politique internationale : L’Unione Rivoluzionaria di Liguronia adopte une ligne diplomatique souverainiste, non-alignée et anti-hégémonique, inspirée des principes vassaliens. Rejetant l’ingérence des blocs internationaux et les logiques de domination transnationale, elle milite pour une coopération fondée sur l’autonomie des peuples et la réciprocité entre États.