11/05/2017
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[VALIDÉE] République Turque de Bozyurtie

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La République de Bozyurtie est un projet de pays qui devrait à terme permettre de créer une rivalité turco-grecque avec la NJ3 de de Yopi, joueur de Saint-Alban.

Création de pays : République de Bozyurtie


Généralités :



Nom officiel : République Turque de Bozyurtie
Nom courant : Bozyurt
Gentilé : Bozyurt

Inspirations culturelles : Turquie d’Atatürk (Parti républicain du peuple CHP), Chypre du Nord, Turquie d’Ecevit (parti démocratique DP)

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Bozyurt (Mixte du Yözid et du Yurt)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Yözid, Yurt, Mor, Translavique, Russe, Anglais, Français, Allemand

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Ne Mutlu Türküm Diyene! (Heureux à celui qui dit je suis turc)
Hymne officiel : “En avant!”
Monnaie nationale : BTL Bozyurt Türk Lirasi (Livre Turque Bozyurt)

Capitale : Nikostinobol / Nicostinopol (anciennement Nikostinopolis)

Population : 18345678

Aperçu du pays :



Présentation du pays :

La Bozyurtie est fondée vers les débuts du 14ème siècle suite à l’invasion par les Yözid des terres Yurts, à cette période occupées par un Etat vassal de l’Empire Rhêmien ; le Despotat de Georgiplios. Le Beylicat de Bozyurtie était dirigé par Bozkyr Bey, un turc dont le père était un Yözid et dont la mère était une grecque venue de Kibres, où vivait depuis des siècles avant l’arrivée des Yözid un peuple descendant d’anciens fugitifs Novirien datant des guerres d’encens. Bozkyr Bey, alors aux services du bey de Marmar, était chargé avec une poignée d’homme de reconquérir, suite à une demande des yurts, le château de Hasanli (Aesenolis) et les terres environnant afin d’obtenir enfin des terres et fonder son beylicat au service du Haut-Beylicat de Marmar. A cette période, presque l’entièreté des territoires Yurts était occupé suite à une colonisation lancée à la fin du 13ème siècle par les Georgipliotes.

Carte1

En revanche, il fallut de peu pour que le Beylicat de Marmar et l’entièreté des terres Yözids soient envahis par les invasions mongoles. Il va sans dire que ni Marmar ni les autres Beylicats n’avaient ni le temps ni les ressources nécessaires de venir en aide aux Yurts. Concernant les Georgipliotes la situation n'était pas meilleure, les yurts faisaient de la résistance au Sud et les mongoles forçaient depuis les montagnes du Durkyz pour pénétrer en Yözidie depuis les terres occupées des Yurts. Après trente ans de colonisation, les Georgipliotes se rendirent compte que les plaines yurts ne valaient la peine d’être plus longtemps occupés. Surtout qu’ils avaient récupérés assez de ressources pour ériger sur les Yourts (tentes turciques) des Yurts des forts et des châteaux assez puissant pour garder les terres fertiles et laisser les mongoles récupérer le Nord pour entrer en Yözidie par l’Ouest. Alors que le despotat négocie avec les mongoles pour un traité de non agression contre les territoires du Nord de Kazandib (Kazantipolis), que les Yözids peinait à arrêter les invasions, une entité surgit sous la période de 3 mois où les grecques devaient évacuer le territoire au Nord et à l’Est de Kazantipolis. Cependant, le Bey Bozkyr, avec son armée composée des hommes de Marmar et des troupes récupérées dans les divers villages Yurts, avait non seulement reconquérit le château d’Hasanli, la ville d’Hasanli, mais que son frère était aux ports d’Ulumiye avec une armée de mercenaires Ouzhemides. Le Noyan (commandant d’armée mongole) Baruntay, fâchée de l’imprudence des Georgipliotes aurait débarqué au château de Pulakkale où devait avoir lieu les négociations avec la tête du diplomate Nikolas Mountogyro de Georgiplios en guise de réponse à l’invitation du Roi Chrysanthos Mydon. Alors qu’il dînait avec toute sa famille, le Noyan aurait lancé la tête du diplomate sur la soupe du Roi en le menaçant de ne plus jamais jouer avec la patience d’un mongole s’il ne veut pas que son fils boive une soupe faite de la chair de son père.

C’est donc en profitant des tensions et conflits des grecques et des yözids avec les mongoles que le Bey Bozkyr put s’emparer en 3 mois des terres allant de Hasanli à Ulumiye. En entendant que son Bey avait agis sans son autorisation et qu’il souhaitait de plus créer son propre beylicat autonome, le Bey Marmar rappela ses hommes pour rassembler une armée sur Bozkyr Bey. Fort heureusement, les Beys venus de toute la Yözidie chez les Marmaride après l’invasion convainquirent le Haut Bey Marmar de ne pas commettre une telle folie alors que les mongoles étaient à ses portes. Son commandant et bras droit, l’Alpbashi Sungurtay lui fait même remarquer qu’en réalité, la fondation d’un état turcique lié ou non par vassalité aux beylicats yözid serait un vrai atout pour se protéger d’abord contre les mongoles mais aussi par la suite contre les colons Georgipliotes. Ainsi, le Haut-Bey avec son propre sceau autorisa le Bey Bozkyr à fonder son beylicat tant qu’il rend au Beylicat de Marmar le château d’Hasanli qui sera renommé le Château de Bozkyrhan en l’honneur de celui qui l’a repris des mains de l’ennemis.

Les terres allant d’Hasanli à Ulumiye sont alors nommés la région de Bozkyr, quant au Beylicat, le Bey Bozkyr le nomme par le suffixe de son nom et l’ethnie de sa femme la Khatoune Halima Qaranshah de Yurtie. Ainsi naquit le Beylicat de Bozyurtie. Moins d’un siècle suffit aux Yözid à repousser les mongoles et ériger leur Haut-Beylicats à leur forme que l’on connaît aujourd’hui. Le fils de Bozkyr Bey, Qayahan Bey, reprend le rêve de son père mort durant le siège de Kazantipolis et le conquiert en 2 mois suite auquel il en fait sa capitale et le renomme Kazandib, signifiant en turc fond de casserole. C’est d’ailleurs là bas que va naître le dessert Kazandibi très populaire chez les peuples turciques.

Si Bozkyr bey est le fondateur du Beylicat de Bozyurtie, que son fils Qayahan Bey est celui qui accomplis le rêve de son père d’un Beylicat impénétrable, c’est son petit fils Qalamhan Bey qui va réellement faire du beylicat un état avec une réelle administration politique, économique et culturelle. En effet, c’est au début du 15ème siècle que le Bey Qalamhan promulgue les premières réformes connues de la Bozyurtie, puis ce que c’est aussi à partir de son règne que des érudits sont chargés de prendre en registre les travaux, réformes et évènements du Beylicat. Qalamhan Bey commence d’abord par frapper la première monnaie Bozyurt, qu’on appel aussi d’ailleurs la monnaie de Qalam en son honneur (On peut d'ailleurs aussi retrouver sur certains billets Bozyurt son portrait). Il ne s’en contente pas puis ce qu’il va aussi être l’intermédiaire diplomatique de tout les Beylicats Yözid avec le monde extérieur. Si les 7 beylicats de Yözidie sont connus pour être isolationnistes, la Bozyurtie elle est tout l’inverse au point d’être l’intermédiaire diplomatique de plusieurs nations turciques au cœur de l’histoire. Qalamhan Bey à lui seule connaissait 6 langues ; le turc, l’arabe, le grecque, le russe, le yurt et le blême. Cela à value au Beylicat de Bozyurtie de se faire une place bien à part des autres beylicats turciques et yözids. En effet, c’est Qalamhan qui signa le premier traité de paix de l’histoire turciques avec des peuples non turciques. Sous son règne, pour la première fois, un beylicat turcique ne fit la guerre durant tout un règne. Le Bey Qalamhan a même écrit un livre soulignant l’importance de la paix pour la prospérité. Outre celà, c’est sous son règne que les la culture hybride yözid et yurt se forma réellement. Qalamhan souligna l’importance de se mélanger aux autres cultures pour apprendre de leur tradition et créer une culture ultime. Ce dernier projet est la seule chose qui lui a valut chez certains une mauvaise réputation. Si certains le nomment le Bey à l’esprit ouvert, d’autres l’accusent d’avoir souillé le sang turcique avec l’acceptation des grecques et des arabes en tant que citoyen en échange de monnaie.

Après lui, son petit-fils Qutalmishah reprend la bannière de guerre et les conquêtes et force les remparts de Nicostinopolis. Une cité moyenne construite par les Grecques plus au Nord de Kazantinopolis au chevet du fleuve d'Akanshah. Cette cité, bien que plus petite que Kazantinopolis est plus prospère et surtout la clé pour atteindre Edirnopol afin d’avoir enfin l’accès à la mer pour le Beylicat de Bozkyr qui souffrait considérablement de contrôle sur les ressources constant que Georgiplios reçoit depuis la mer Blême. En revanche les grecques Georgipliotes savaient très bien que cette cité, Nicostinopolis, ne devait en aucun cas tomber aux mains des turcs. Elle est protégé au Nord par une chaîne de montagnes venant et au sud ainsi qu’à l’est par le fleuve d’Akanshah. Si ce n’est pas la plus grande cité, elle est la plus protégée et à la plus grande garnison après Edirnopol. Il ne fallait pas être un génie pour savoir qu’à cette époque le contrôle de Nicostinopolis garantissait à quiconque le contrôle des Yurtopragis (Signifiant “terres des Yurts”, c’est le nom donné par les yözids aux terres à l’Ouest de la Yözidie).

Carte2

Ainsi, Qutalmishah mit trois décennies de sa vie à essayer de conquérir Nicostinopolis en vain de par l’infaillible double rempart de la ville et l’efficacité des courants du fleuve. Néanmoins, les environs de la ville sont occupés et le château de Pulakkale est presque atteint. La prise de ce dernier allait permettre aux turcs de bloquer entièrement les ressources apportés à la ville et ainsi la contraindre à capituler. Hélas Qutalmishah ne vit pas assez pour voir l'œuvre de sa stratégie aboutir. C’est son fils, Arslanshah Bey qui réussira à prendre le château de Pulakkale (Pulakelios) aux mains des grecques. 4 mois suffirent ensuite pour que Nicostinopolis succombe au siège des Bozyurts. Apprenant la nouvelle, le Roi de Georgiplios était furieux et aurait voulu profiter du jeune âge d’Arslanshah pour lui déclarer la guerre. Il fit appel à des mercenaires de tous les ex-comptoirs noviriens et aux nations orthodoxes pour repousser l’avancée des turcs avant qu’ils n’atteignent les comptoirs commerciaux et les villes marchandes côtières à la mer Blême. Cela marquera le début de la première guerre de reconquête orthodoxe en Bozyurtie, une guerre ayant durée plus d’une décennie opposant les Bozyurts, soutenus par les armées volontaires venus des divers beylicats yözid aux mercenaires orthodoxes d’Eurysie commandé par le Roi de Georgiplios et le commandant Andronikos Desantidios envoyé de l’Empire Rhêmien. Une armée de 35.000 mercenaires fut réunie auprès de l’armée Georgipliote et en 6 mois seulement après la conquête de Nicostinopolis les frontières de Kazandib étaient assaillés. Retenu par un soulèvement des Yurts à Yurthisar, Arslanshah y laissa la moitié de son armée aux mains de son oncle pour aller a Hasanli et réunir une nouvelle armée. Il fait appel au Beylicat de Marmar mais ce dernier étant occupé à faire la guerre au Beylicat Ouzhemide refuse sa demande d’aide. Le Haut-Bey Muhammed Ouzhemoglu profite alors de la situation pour donner au Bey Arslanshah une armée de 8.000 hommes et le droit de rassembler des troupes dans les villes et villages de son pays en échange de deux choses ; couper les liens diplomatiques et les accords avec le Beylicat de Marmar et lui venir en aide une fois les armées grecques vaincus. Ainsi, Arslanshah se retrouva avec une armée de 3.000 alps Ouzhemides, 4.000 alp (équivalent de chevalier) de son armée et une armée de levés de 16.000 hommes composés de divers combattants yözids, yurts et bozyurts. Si l’accord n’a pas été tenu dans les registres, des mercenaires arabes auraient aussi rejoint la garnison des villes d’Hasanli et de Kazandib, les deux villes étant devenues des villes marchandes importantes pour le commerce des arabes qui payaient moins de taxes car musulmans. Si l’armée grecque était nombreuse, il était difficile pour eux de s’organiser sur des terres si différentes de celles d’Eurysie. Le Roi mit 4 mois à mettre au point sa stratégie et sa composition de siège à Kazandib, sans compter qu’il fallut 3 mois pour apporter les armes de sièges nécessaires par le fleuve d’Akanshah. Cependant, le but d’Arslanshah était de perdre le moins de ressources possible tout en retenant assez de temps l’armée grecque aux portes de Kazandib pour les démoraliser. Ainsi, en prenant Kazandib, le Roi allait diviser son armée en trois pour rapidement prendre les deux châteaux adjacent la ville et attendre avec 1 tier de son armée à Kazandib afin de marcher de Nicostinopolis une fois les trois armées réunis. Après 1 ans de préparation et de siège Kazandib est reconquise, et le Roi suivit cet exact plan. Il envoya 1 tier de son armée au château de Pulakkale et l’autre tier à Âqoyh afin de vite conquérir les deux châteaux et avancer vers Nicostinopolis une fois les deux armées ayant rejoint celle installé à Kazantinopolis. Le siège d’Aqoyh, proche de Kazandib, c’était passé comme prévue. Les troupes d’Arslanshah Bey se rendaient à Nicostinopolis et c’est exactement ce qui était prévu dans la stratégie du Roi. Ce qu’il n’avait pas prévue, c’est que cette armée est ensuite passé par les Nord pour atteindre de part l’arrière des montagnes d’Akkaya le château de Pulakkale. Ainsi, un tier de 10.000 hommes dirigé par le commandant Desantidios furent fasse à une garnison de 1200 hommes pour un château. Le siège prit 2 mois et Desantidios perdit prêt d’un quart de ses hommes avant qu’une armée de 6000 turcs arrivant du Nord assaille le camp de siège Georgipliote. La bataille de Pulakkale se termine en quelques jours avant que les 6000 akindjis (“faiseurs de raids”) turcs ne térassent l’armée de 8000 hommes d’armes orthodoxes, se résultant donc sur une victoire sûr des Bozyurt. L’armée de 35.000 homme des orthodoxes n’étaient plus que de 26.000, avec la mort de leur meilleur commandant dont la tête fut envoyé au chevet du Roi de Georgiplios. Convaincu que Dieu est avec les orthodoxes, le Roi n’abandonne pas et prépare le siège de Nicostinopolis le premier jour d’été 1413. Il ne fallut ensuite que 3 mois aux Bozyurts pour dissimer 15.000 hommes de l’armée grecque avec une perte qui équivaut à 10 fois moins ce nombre. La victoire turc contre la première guerre de reconquête orthodoxe marque le début du conflit grecquo-turc au Nazum du Nord.

Akindjis bozyurts

En 1420, Arslanshah Bey meurt après avoir conquis plus de territoire sur ce qu’il restait de l’occupation grecque au Sud, dont la cité de Doumunopolis qu’il renommera Yurthisar (“Château/cité en hauteur Yurt”) en l’honneur des nombreux Yurts ayant servi le Beylicat de Bozyurtie durant la reprise des territoires occupés. Après lui, en revanche une guerre de succession commence et le Beylicat est divisé en trois. Le frère aîné à Kazandib, le frère cadet à Yurthisar et le dernier à Hasanli, les trois frères cherchent à récupérer le titre de leur défunt père mort trop jeune pour désigner un héritier réel. La seule chose que l’on sait, est que le fils aîné selon sa mère devait être déshérité de part son penchant à la fornication et l’alcool. Ainsi commença la guerre des trois Agha de la dynastie Bozyurtoglu. Le frère aîné, Suleyman Malik Agha, rassemble une armée de 3000 homme et convaint son plus petit frère, Murad à le rejoindre. Après un refus, il le force en positionnant ses hommes aux portes de Hasanli alors que son frère n’avait encore rassembler d’armée. Il enferme celui-ci dans la prison d’Aqoyh et rassemble une armée de 7000 hommes pour marcher sur Yurthisar. Bozan Agha, le fils cadet, avait lui reprit l’armée de son père avec lequel il avait conquis la ville. Les deux frères se battent sur deux front entre Hasanli et Yurthisar, avant que Bozan propose à son frère un duel à mort pour savoir qui mérite de régner sur le Beylicat Bozyurt. Dans les plaines de Kankardesler, Bozan Bey tue son frère d’un coup d’épée planté dans sa gorge. Il déclare dans les registre ; “Allah, j’ai tué mon frère pour le bien de mon peuple. Que tous ceux non légitime qui auront l’oeil sur le trône de mon ancêtre Bozkyr Bey s’attendent désormais au même sort que mon traître de frère Suleyman.”.

Durant son règne, Bozan Bey donne une grande importance à l’aspect maritime du Beylicat, il développe la ville de Yurthisar au point d’en faire la deuxième plus grande ville du pays après Nicostinopol. Il fait construire des villes portuaires et comptoires commerciales où il invite nombreux marchands dont les Banariahéen et Azuréens avec lesquels la Bozyurtie à longtemp tenu des accords commerciaux avec des droits de mouillages et des taxes avantageux. Cependant, il fallut de peu pour qu’en 1440 le Beylicat de Marmar mécontent de l’aide fournit par les Bozyurt aux Ouzhemides ne déclare la guerre aux Bozyurts. Le Bey Bozan, face à une armée faisant le double de la sienne peu nombreuses suites au budget accordé au développement des villes, perd la vie aux portes de Yurthisar désormais conquise par le Beylicat de Marmar et accordé à un Beylicat maritime vassale de celui-ci ; le Beylicat du Luzistan. Fort heureusement, le Bey Bozan n’avait pas manqué de développer les forticiations près de la capitale et d’Hasanli. Grâce à cela, son petit frère Murad qui lui succède n’eut aucun mal à défendre le reste du territoire. Cependant, après la guerre le pays perdit une grande partie du territoire où beaucoup d’investissements ont été faits et qui représentait une grande partie des revenus du Beylicat grâce aux comptoirs. Sous le règne de Murad, le pays vit la plus grande crise économique jamais vue dans l’histoire des nations turcs, au point où le peuple entre dans la famine pendant plus de 30 ans. De plus, les maladies et insectes venimeux apportés par les Afaréens n’améliorèrent pas les choses. En 1473, l’armée beylicale se soulève contre Murad, qui en plus de ne plus pouvoir payer ses hommes renonce à quitter son palais de Nicostinopolis. Depuis le fleuve d’Akanshah, les hommes de Murad débarque dans son château pour l'exécuter devant sa famille dans la cour du palais. Il placèrent à la tête du pays son neveu ; Demirshah Bey, le fils aîné de Suleyman. Demirshah ayant vécu pendant plus de quatre décennies en résidence surveillée à Hasanli après les actes de son père avait une haine profonde envers son oncle et sa famille. Ayant perdu la moitié de sa vie à cause de Murad, il était connu pour être d’une férocité et d’une instabilité émotionnelle dangereuse. Son premier acte en tant que Bey fut de noyer les membres de la famille de Murad et les religieux qui s’opposaient à lui. Il rompt les liens diplomatiques avec les nations afaréennes, en particulier arabes, les accusant d’avoir été la cause de la crise économique et des maladies que vit le pays. Il a aussi une haine profonde envers les Yurts, qu’il considère comme ayant souillé le sang des turcs yözids. Il proclame une alliance avec le Beylicat Ouzhemide et aide le Bey Kerimhan d’Ouzhem à vaincre les Marmaride, même s’il réussit pas à récupérer ensuite les territoires de Yurthisar aux mains du Beylicat du Luzistan, il rassemble une armée d’Akindjis et d’alps professionnels pour assiéger Edirnopolis et rouvrir les voies maritimes au Beylicat Bozyurt par l’Ouest. On racconte qu’il aurait prit les morts de maladie de son propre peuple pour les lancer dans Edirnopol avant de jouer pendant des jours des tambours et des flûtes avec des accords à casser les tympans. Le gouverneur de la ville, déja assez fou, aurait sauté par les remparts en criant qu’il était un pigeon voyageur qui allait transmettre un message au Roi de Gorgioplios pour lui venir en aide. En 1478 Edirnopol est conquis et devient la capitale du Beylicat de Bozyurtie. Il fallut bien sûr qu’un an pour que le Roi Aleksandros de Gorgiplios viennent avec son armée pour reprendre la ville. Celui-ci reparti littéralement avec une lance dans l’entre-jambe après avoir été capturé par Demirshah. Après la prise d’Edirnopol, les Bozyurts essayèrent tant bien que mal de repousser entièrement les grecques du territoire d’ex-Yurtie en vain. La région était devenu bien trop développée durant les années ou les turcs furent la guerre entre eux et surtout elle était désormais approvisionnée par des nations orthodoxes plus proches que l’Empire Rhêmien. Néanmoins, Demirshah conquis assez de territoire pour atteindre les terres slaves et installe sur le trône du Druhachie un ami slave à lui pour faire de ce dernier son vassale.

Jusqu'au 18ème siècle, le Beylicat retisse des relations avec les nations d’Afarée et se lanca dans une course au commerce contre Georgiplios où nombreux marchands turcs et grecques sont coulés respectivement sur leurs mers. Le Bey Murad III lança même une offensive sur la ville portuaire de Kysenopolis au Nord de Georgiplios, où l’armée Bozyurt de 20.000 hommes se sont fait terrassé par la garnison Georgipliote et l’armée du tekfur (nom donnés aux vassaux grecques par les turcs) Patricius Phasantzes. Il ne fallut pas longtemps au Beylicat pour perdre en force dans la région à cause des avancées technologiques des Eurysiens apportés aux grecques. Fort heureusement, ils étaient toujours mieux que les 7 beylicats Yözids grâce à leur ouverture au monde. Cela n’empêche en rien que beaucoup de Bozyurt cherchant soit à s’enrichir soit à ne pas perdre d’argent se tournèrent vers les marchands eurysiens et les nouvelles entreprises internationales qui voyaient le jour. Le Beylicat devient en 1850 sous Mahmudshah Bey une monarchie semi-constitutionnelle sur le modèle très franchement copié eurysien. Le régime ne dure que 5 ans avant que Mahmudshah ne soit exécuté et sa monarchie abolie. Enfin, en 1866 le Bey Abdulshah est assassiné dans son palais par son armée, qu’on fait à l’époque passer pour un suicide. En effet, le peuple était de plus en plus influencé par l’Eurysie et l’armée était très politisée. On l’accuse d’avoir tué à tort son frère aîné Mahmudshah dans sa tentative de modernisation. A sa place, sous le conseil d’un chef de banque Eurysien, un conseil se réunit pour choisir de mettre sur le trône le troisième frère dans la dynastie de 7 ; Le Bey Abdurrahman sous la seconde monarchie constitutionnelle du pays afin de stabiliser le pays et répondre aux attentes du peuple.

Le Bey Abdurrahman Ier était destiné à vivre enfermé au palais d’Hasanli afin de ne représenter aucune menace à ses deux frères, eux, destinés à régner sur le pays depuis leur tendre enfance. Si Abdurrahman à la tête sur les épaules, il n'est vraiment pas prêt à régner sur un pays lorsqu’il monte sur le trône beylicale en 1867. En revanche, c’est exactement ce que souhaite les entreprises étrangères et les grands patrons du pays, qui souhaitent profiter de la naïveté du Bey pour lui faire faire ce qu’ils veulent. Fort heureusement, Abdurrahman était au courant de sa situation, il fit en sorte d’abord de faire ce qu’ils demandaient tout en renforçant derrière son influence au sein de l’armée et les infrastructures militaires. En 1871, il abolit la monarchie constitutionnelle et repasse sur une monarchie absolue un peu mieux administré. Durant son règne, il s’inspire de l’alliance des beylicats pour améliorer ses relations avec ses pays voisins à l’exception de l’une d’entre elle ; cette nation qu’il accuse d’être la cause de tout les maux des terres turcs, le parasite pays Georgiplios. Son plan est de s’approcher aussi de ce pays, pour pouvoir rattraper le retard technologique du pays et ensuite leur faire la guerre pour enfin repousser les grecques. En revanche, son approche lui vaut une mauvaise réputation auprès de son peuple et des autres nations turcs l’accusant de collaborer avec l'ennemi. Lui qui cherchait à sauver son pays, se fait descendre du trône en 1905 suite auquel on installe sur le trône le Bey Salahaddin sous la troisième monarchie constitutionnelle Bozyurt. Mais à l’instar des autres, on ne laisse désormais plus aucun pouvoir au Bey et le pays et son armée est entièrement dirigé par le commandant de l’armée ; Kahraman Pacha. Née en 1861 à Edirnopol, Kahraman Faruk Pacha rejoint l’académie militaire de Kazandib en 1979 pour devenir d’abord officier, puis général des armées en 1898. Il monte d’ailleurs le mouvement libéraliste pour descendre le Bey Abdurrahman Ier qu’il accusera d’avoir trahi la nation et perdu la Druhachie aux mains des colonisateurs Mors, mais qu’il tient à ne pas faire éxecuter pour les services qu’il a rendu à l’armée du pays. En 1911 Kahraman Faruk Pacha déclare la guerre à Georgioplios, cette guerre sera la plus longue à lequel les Bozyurt participeront puis ce qu’elle sera une guerre de tranchée qui durera 3 ans avant que les alliés de Georgioplios ne débarque pour envahir le territoire Bozyurt. Kahraman Faruk Pacha meurt au front, et le gouvernement du Bey Salahaddin est coincé à Ulumiyé. De là, il est forcé le 3 mai 1914 à signer le traité de Leitagios consistant à ce que la Bozyurtie soit annexé à 80% par Georgioplios et qu’elle soit interdit pendant 100 ans de militariser ses frontières avec ce dernier. Apprenant la situation, le peuple s’affole et une résistance commence dans le pays occupé contre le Bey et les assaillant grecques et eurysiens. Un homme sort du lot, Murad Asaf Pacha ; un haut-officier de l’armée qui deviendra générale des armées en réussissant à gagner une bataille sur le front Est d’Ulumiyé afin de repousser une partie de l’armée grecque vers Hasanli. Rapidement, il rejoint le conseil des 4 pachas pour en devenir le cinquième membre. Il prend les initiative seule et ignore souvent les ordres au profit de l’improvisation, mais réussit miraculeusement à repousser l’ennemis jusqu’en 1919 et sauve le pays qu’il dirige jusqu’en 1921 avec le quinquevirat de Pacha. Le 4 janvier 1921, il ne reste des 5 pachas que deux, Murad Asaf désormais nommé Öztürk (turc d’origine) fonde la République Bozyurt auprès de son premier ministre, le deuxième pacha en vie Ekrem Derman.

De 1921 jusqu’en 1939, le pays est dirigé par Murad Asaf Öztürk qui érige une République laïque et libre à parti unique contre ceux qui voulaient ramener à nouveau la monarchie. Son parti ; le parti du développement et du peuple MKP (Millet ve Kalkinma Partisi) contronte en 1939 le multipartisme mais gagne les élections jusqu’en 1964 où il est battu par le parti démocratique bozyurt BDP qui poursuit les victoires jusqu’en 1976 où suite à une crise économique l’armée prend le contrôle du gouvernement grâce à un coup d’Etat dirigé par Bülent Devrim qui durant son règne déclare l’état d’urgence afin d’éliminer les séparatistes communistes, grecques et yurts infiltrés dans le pays. En 1996, le parti conservateur gagne les élections et fait vivre au pays la plus grande crise économique de la république. En 2001, le MKP regagne les élections et ce jusqu’à encore 2016 où est réellu une deuxième fois Ali Hikmet Aksoy, l’actuel président du pays.


Mentalité de la population :
La population Bozyurt à majoritairement une mentalité très ancrée dans les valeurs Öztürkiste, fondée sur la laïcité, le rationalisme et l’ouverture vers l’Occident. L’État y joue un rôle central dans la modernisation de la société, notamment à travers un système éducatif laïque, la justice indépendante et l’armée perçue comme garante des valeurs républicaines contrairement aux autres nations turciques tel que le Grand Beylicat. La population est éduquée depuis tout jeune aux valeurs républicaine turc afin d’éviter toute volonté de retour à la monarchie qui longtemps était passible de la peine capitale à l’époque.

Le gouvernement fait en sorte que la société et les citoyens valorisent l’ordre républicain, la science et les droits individuels. Si 50% de la population pense ainsi, il reste toujours en dehors des grandes villes des conservateurs et religieux, bien que caché et souvent discrets. Moins discret, il y a les idéalistes et ultra-nationalistes ainsi que les groupes communistes. En particulier au sud, il y a aussi des islamistes yurts en minorité.


Place de la religion dans l'État et la société :
La religion est vécue comme une affaire privée, et la neutralité de l’État en matière de foi est considérée comme une condition essentielle à la cohésion sociale. Le progrès technologique, la culture et l’éducation sont au cœur du projet national. Dans les grandes villes, les idées conservateurs, traditionalistes et religieux sont en majorité mal vues. Dans les écoles jusqu’au supérieur, le voile et les symboles religieux sont interdits. Il n’existe aucun lien entre les affaires religieuses et l’Etat.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
Grande Assemblée Bozyurt (Assemblée à chambre unique)

Gouvernement et cabinet ;
Présidence de la République
Vice-Présidence de la République
Ministère de l’éducation
Ministère des finances
Ministère des Affaires étrangères
Ministère de la santé
Ministère des sports
Ministère de la défense nationale
Ministère des énérgies et des ressources nationale
Ministère de l’ndustrie et du commerce
Ministère des affaires internes
Ministère de l’agriculture et de la biodiversité
Ministère de la culture et du tourisme
Ministère de la justice

Tribunal constitutionnel
Cour de cassation
Conseil d’Etat
Cour des comptes
Conseil des juges et des procureurs

BSK Bozyurt Silahli Kuvvetleri (Forces Armées Bozyurt)
BGGM Bozyurt Güvenlik Genel Mudurlugu (Conseil générale de la sécurité Bozyurt)
BJGK Bozyurt Jandarma Genel Komutanligi (Commandement Generale de la Gendarmerie Bozyurt)
BIT : Bozyurt Istihbarat Teskilati (Organisation du renseignement Bozyurt)

Principaux personnages :
Le Président Ali Hikmet Aksoy
Le Vice président Turgut Özgür

Le fondateur Murad Asaf Öztürk

Chef de l’opposition (parti democrate) : Mehmet Düzbakan


Politique internationale :
La République de Bozyurtie est une nation entièrement ouverte au monde est dont l’économie repose sur l’exportation de ses biens manufacturés et agroalimentaires. Sa politique extérieure est de toujours voir de bonne œil les opportunités commerciales sans tenir compte des idéologies à l’exception de si elles sont une menace au marché et au commerce du pays.
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Toutes les conditions sont réunies pour prétendre à une NJ2. Ce faisant, je peux la valider.

Bon jeu à toi !
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