25/09/2017
03:15:21
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Activités étrangères en Gondavie

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Activités étrangères en Gondavie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Gondavie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur du Gondavie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.


Personnages immunisés contre les tentatives d'assassinat :
(Rappel des règles)
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OPERATION WINDFALL

Escadron Skeshva

19.05.2017, 1h02, Base militaire aérienne dans la périphérie de la ville de Vishtek.
L’escadron "Skeshva", composé d’un avion d’attaque au sol et de 4 avions de chasse assurant la protection du bombardier, décolle de la base aérienne. Cette opération exceptionnelle a été ordonnée par le gouvernement militaire du Khardaz. L’appareil d’attaque au sol n’allait aujourd’hui pas tuer par des bombes. Mais il a pour principal objectif de relâcher les 200 000 affiches de propagande anti-communiste réalisées par le gouvernement suite au survol des 2 avions Morznik au-dessus de la ville de Vishtek.

L’escadron décolle et suit un trajet inhabituel; il se dirige en premier lieu le plus au nord possible et loin des côtes. Puis il se dirige lentement et dans le noir le plus complet vers le nord des îles de la mer de Nouvelle-Morakhan. Une fois sur place, à près de 8 000 mètres d’altitude, la cale s’ouvre. 200 000 affiches de propagande tombent lentement dans la mer ainsi que sur les terres, emportées par le vent. Ces affiches tombent par milliers dans les mers de la confédération socialiste du Nazum, et une petite partie tombe au nord des terres morznik. Une fois l’opération effectuée, l’escadron retourne dans le total secret vers les base aérienne khardaze.

Fiches de propagandes et tracts dispersés

Affiche propagande

Petit papier supplémentaire :
"Gvireli zudra!" (Allez vous faire foutre)
"Kommuna skhvad!" (À bas le communisme)
"Miarn shukha!" (On est là)

Cette opération a pour but de montrer la présence d’anti-communistes non loin de la vulgaire confédération communiste. Ainsi que de pourrir le moral des pêcheur et côtier de la confédération. En effet, les tracts ont été faits sur du papier waterproof. Ainsi, ils ne se désintègrent pas entièrement et immédiatement au contact de l’eau. Les pêcheurs seront les premiers dérangés par cette manœuvre. En effet, les fillets seront maintenant remplis d’affiches, les poissons seront attirés par ces objets étranges, et les blocs de feuilles se regrouperont parfois, empêchant la lumière de passer à travers l’eau, déstabilisant la flore marine.

Ainsi, cet acte qui a première vu n’était qu’une simple diffusion de propagande à pour effet une déstabilisations total de l’espace maritime communiste.

trajectoire et zone touchée

Trajectoire

Zone touchée par la dispersion
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800 000 MANIFESTANTS RÉCLAMENT L'UNION COMMUNISTE


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Jamais dans l'histoire récente du Morzanov nous n'avions assisté à un tel élan populaire. Hier, 800 000 citoyens ont convergé vers Krasnodar pour exprimer leur indignation face aux crimes tsaristes et réclamer une réponse ferme du gouvernement. Cette manifestation monstre, organisée en moins de 24 heures après la diffusion des images d'horreur, démontre que notre peuple n'acceptera jamais l'inacceptable.

Dès l'aube, les trains, les bus et les voitures personnelles affluaient vers la capitale. Les routes nationales étaient saturées. Les autorités ferroviaires ont dû affréter des convois supplémentaires pour répondre à la demande exceptionnelle. "Je n'avais jamais vu ça en trente ans de service", confie un chef de gare. "Les gens venaient de partout, avec leurs banderoles déjà prêtes, déterminés à faire entendre leur voix."


Ce ras-le-bol populaire trouve son origine dans la nuit du 20 août lorsque les tsaristes piratèrent 27 chaînes pour diffuser l’exécution barbare d’un prisonnier communiste. Certes, elles furent vues par uniquement 7 000 personnes en direct, mais le bruit de cette barbarie a fait le tour des réseaux sociaux et des cercles de proches.

"J’étais devant ma télé, je ne pouvais pas dormir", témoigne une ouvrière de 45 ans ayant fait le déplacement de Volgograd pour manifester. "Quand j'ai vu ce monstre écraser la tête de ce pauvre homme avec sa massue, j'ai vomi. Mon mari s'est réveillé avec mes cris. Nous n'avons pas fermé l'œil de la nuit. Comment peut-on faire ça à un être humain ? Tous sa parce qu'il est communiste, MAIS DANS QUELLE MONDE VIT-ON"

Les témoins directs de la diffusion racontent tous la même scène cauchemardesque : des rires cyniques, des provocations, puis l'apparition du prisonnier bâillonné, le regard empli de terreur, avant l'exécution sauvage sous les ricanements des bourreaux.

Dès l’aube, à six heure du matin, certains manifestants étaient déjà rassemblés place du COMMUNISME. À 12h, ils étaient déjà 200 000. En fin d’après-midi, la police estimait la foule à 800 000 personnes voir 1 000 000 ais c'était pas sur. Un record absolu qui dépasse même les grandes manifestations de 1989.

On connaissait la capacité d’accueil de la place de la Révolution : 50 000 personnes, encore cela ne serait-il pas très étonnant. Mais là, la Révolution occupant aussi bien l’avenue Horki… Du jamais vu dans l'histoire de notre capitale et de notre nation.

"C'était impressionnant", raconte un photographe de presse (c'est d'ailleurs lui qui a pris la photo). "Une mer de drapeaux rouges à perte de vue. Des familles entières avec leurs enfants, des ouvriers qui avaient quitté leur usine, des étudiants, des retraités. Toutes les générations étaient représentées. J'ai couvert des dizaines de manifestations, mais celle-ci était différente. On sentait une colère sourde, une détermination que je n'avais jamais vue."

Les banderoles et les slogans exprimaient l'indignation populaire avec une force saisissante. "Nos frères meurent, agissons !", "L'union fait la force", "CSN : maintenant ou jamais !", "Assez de regarder nos camarades se faire massacrer !" pouvait-on lire sur des milliers de pancartes.

Sans le moindre doute, le slogan le plus entonné a été : "Une seule famille communiste, une seule réponse !" scandé par des milliers de voix. Cette citation résume le sentiment de grande famille internationale qu’éprouvaient les manifestants et la nécessité d’agir en commun pour le communisme.

Une enseignante venait de Tula (ville à 5 km de Krasnodar) avec sa classe de terminale : "Mes élèves m'ont demandé de les emmener, je n'ai pas refusé car je voulais pas manquer un moment historique. Ils voulaient comprendre pourquoi des gens tuent d'autres gens juste pour leurs idées politiques. Je leur ai expliqué que c'est exactement pour éviter ça que nous devons rester unis entre pays communistes."

Le message politique de cette manifestation était clair : les citoyens réclament massivement la création d'une véritable union entre le Morzanov et les autres membres du (CSN). Cette alliance défensive et économique regroupe actuellement la Barvynie, l'Ouaine, la Gondavie, le Zakhmistan et notre pays.

"Séparément, nous sommes vulnérables", explique un délégué syndical venu avec 500 collègues de l'usine métallurgique. "Unis, nous serions une puissance respectée. Nos frères du Yashosie ne seraient pas en train de mourir sous la torture si nous étions tous ensemble pour les protéger, donc putain de bordel de merde, unissons nous, POUR LE COMMUNISME."

Cette revendication d'union politique dépasse les clivages habituels. Un agriculteur de 52 ans : "Je ne suis pas un politique, moi. Mais quand je vois qu'on massacre nos camarades pendant que nous, on regarde, ça me rend malade. Si on était unis comme les tsaristes le sont entre eux, ils n'oseraient pas faire ça."

Parmi la foule, de nombreux réfugiés du Yashosie témoignaient de la situation dans leur pays d'origine. Leurs récits, diffusés par haut-parleur sur la place principale, ont ému aux larmes des milliers de personnes. Anastasia Fedorova, arrivée il y a six mois : "Mon mari est resté là-bas pour continuer la résistance. Chaque nuit, je me demande s'il est encore vivant. Quand j'ai vu cette vidéo horrible, j'ai pensé que ça pourrait être lui. Nous avons besoin que vous nous aidiez. Pas avec des mots, avec des actes."

Son témoignage, interrompu par les sanglots, a déclenché des applaudissements nourris et des cris de "Solidarité !" dans toute la foule. Un ancien ouvrier du Yashosie : "Les tsaristes deviennent de plus en plus cruels parce qu'ils se sentent impunis. Ils savent que personne ne viendra nous défendre. Mais si tous les pays de la CSN s'unissaient vraiment, ils réfléchiraient à deux fois avant de torturer nos camarades."

Ce qui frappe les observateurs, c'est la spontanéité et l'organisation naturelle de cette manifestation géante. "Les réseaux sociaux ont joué un rôle clé", analyse un comptable. "En quelques heures, l'information circulait partout. Les gens s'organisaient spontanément pour partager les transports, prévoir la nourriture, coordonner les banderoles. C'est un phénomène sociologique fascinant."

Les manifestants avaient prévu des points d'eau, des stands de nourriture gratuite, des équipes de premiers secours. "On s'entraidait naturellement, pourquoi ? Parce que nous sommes des communiste tous simplement, la meilleur des idéologie", explique Maria Smirnova, infirmière bénévole. "Des inconnus partageaient leurs sandwichs, offraient de l'eau, aidaient les personnes, âgées. C'était beau à voir. Vive le communiste"

Parmi les manifestants, de nombreuses familles ayant des proches au Yashosie exprimaient leur angoisse et leur colère. Leurs témoignages, recueillis par nos journalistes, révèlent l'impact psychologique énorme de la vidéo tsariste.
Ekaterina Volga pleure en montrant la photo de son frère : "Mikhaïl est journaliste là-bas. Depuis trois semaines, je n'ai plus de nouvelles. Quand j'ai vu cet homme se faire assassiner à la télé, j'ai cru que c'était lui. J'ai appelé toute ma famille en panique. Nous devons faire quelque chose pour nos frères et sœurs qui risquent leur vie chaque jour."

Boris, dont le fils étudie au Yashosie : "Mon Alexandre devait rentrer pour les vacances. Il m'a appelé hier pour me dire qu'il ne pouvait pas sortir du territoire. Les tsaristes contrôlent toutes les frontières. Mon fils de vingt ans est prisonnier là-bas. Combien de temps encore allons-nous accepter ça ? Est-il dans un goulag ? J’espère pas"

Un aspect remarquable de cette manifestation était la présence massive de toutes les générations. Les anciens, qui ont connu la construction du socialisme, côtoyaient des jeunes nés après la révolution. Cette transmission intergénérationnelle des valeurs de solidarité impressionnait les observateurs étrangers présents.

Au-delà de l'émotion, les manifestants portaient des revendications politiques précises. Des orateurs se sont succédé pour exprimer les attentes populaires. Le principal message était l'appel à une intégration politique renforcée au sein de la CSN. "Nous voulons une vraie union, pas juste des accords économiques, bien plus que cela"Une union politique, militaire, diplomatique. Que nos ennemis sachent qu'attaquer un communiste, c'est s'attaquer à tous les communistes."

La foule réclamait également des sanctions économiques immédiates contre le régime tsariste, l'envoi d'aide humanitaire aux résistants du Yashosie, et l'accueil facilité des réfugiés politiques. "Nous ne demandons pas la guerre", précisait Maria Fedorova, porte-parole improvisée de la manfestation. "Nous demandons la justice, la protection de nos frères, et l'union de nos forces pour que plus jamais des innocents ne soient massacrés impunément."

Cette mobilisation exceptionnelle a immédiatement eu des répercussions politiques. Le parti communiste à salué "l'élan patriotique et internationaliste du peuple". Le Président Vassili Dronov a reçu une délégation de manifestants en fin d'après-midi. "Je partage votre émotion et votre indignation", a-t-il déclaré. "Le gouvernement étudie toutes les options pour répondre à cette crise. L'union des peuples communistes est effectivement notre force."

L'ampleur de cette manifestation a posé des défis logistiques considérables que les autorités et les citoyens ont relevés avec brio. Les services de transport en commun ont été saturés toute la journée."Nous avons du multiplié les rotations par trois", explique Piotr, directeur des transports urbains de Krasnodar. "Nos équipes ont travaillé sans relâche. Même les chauffeurs en congé sont venus spontanément prêter main-forte."

Les services de secours ont traité près de 200 malaises, principalement dus à la chaleur et à l'émotion. "Rien de grave", rassure le Dr Elena, responsable des équipes médicales pendnt la manifestation. "Les gens s'entraidaient beaucoup. Nous avons surtout distribué de l'eau et réconforté des personnes bouleversées."

Cette manifestation historique a immédiatement attiré l'attention des médias étrangers notamment des pas communiste. Les correspondants étrangers présents à Krasnodar ont souligné l'ampleur et le caractère pacifique de la mobilisation. Deux jours après la manifestation, nos rédactions continuent de recevoir des témoignages de participants. Tous expriment la même fierté d'avoir participé à ce moment historique.

"Mes enfants me demanderont où j'étais le 21 août", écrit Svetlana, comptable de 35 ans. "Je pourrai leur dire que j'étais debout, avec mes concitoyens, pour défendre nos frères. Cette manifestation restera gravée dans ma mémoire toute ma vie."

La mobilisation ne s'arrête pas. Des comités de soutien se créent dans toutes les villes du pays. Des collectes sont organisées pour aider les réfugiés du Yashosie. Des manifestations de soutien sont prévues chaque dimanche dans toutes les préfectures du pays. "Nous ne lâcherons rien tant que nos frères souffriront", promet Smirnova, organisatrice bénévole.

Cette journée du 21 août 2017 restera dans l'histoire comme un tournant. Jamais le peuple du Morzanov ne s'était mobilisé avec une telle ampleur pour défendre des valeurs internationales. C'est la preuve que l'internationalisme n'est pas mort. Les images de cette marée humaine pacifique, déterminée et digne font déjà le tour du monde. Elles montrent un peuple debout, uni dans ses valeurs, refusant l'inacceptable.

Maintenant, tous les regards se tournent vers le gouvernement et le Parlement. Les 800 000 manifestants attendent des actes concrets, ils sont pas venu aussi nombreux pour rien. Une session extraordinaire du Parlement est prévue pour la semaine prochaine. Elle devrait débattre d'un projet de résolution sur l'approfondissement de l'union au sein de la CSN. "Le peuple a parlé, nous devons l'écouter, vive le communisme", déclare un des député.

Le Président Dronov a promis des annonces importantes dans les prochains jours. "Cette manifestation historique ne restera pas sans suite", a-t-il assuré. L’ensemble de la classe politique semble prendre la mesure des attentes populaires. Cette mobilisation hors norme, prouve, s’il en était besoin, que les valeurs de solidarité et d’internationalisme sont au fondement de l’identité de notre peuple. 800 000 citoyens se sont dressés avec dignité face à la barbarie pour dire "non" à l’inacceptable.

L'histoire retiendra que le 21 août 2016, le peuple du Morzanov s'est montré digne de ses idéaux. Cette journée marque peut-être le début d'une nouvelle ère pour l'union des peuples communistes face aux forces de l'oppression.

Nos équipes de journalistes continueront de suivre les développements de cette crise. Prochaine édition : les réactions des autres pays de la CSN à cette mobilisation historique.
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Projet de loi : Loi sur l'Union Politique des États de la CSN



Discours du Camarade Député Väinö Koskinen, devant l’Assemblée Populaire Nationale


"Camarades députés, membres éminents du Parti, représentants de la volonté populaire,"

"Il y a trois jours, 800 000 de nos concitoyens ont déferlé dans les rues de Krasnodar. Ils n'étaient pas là par hasard. Ils n'étaient pas là pour un spectacle. Ils étaient là parce que leur cœur saignait devant la barbarie tsariste au Yashosie, parce que leur conscience ne supportait plus de voir nos frères du Yashosie COMMUNISTE mourir dans l'indifférence. Cette manifestation historique nous a envoyé un message clair : le peuple du Morzanov refuse l'isolement. Il refuse la faiblesse. Il refuse de regarder ses camarades se faire massacrer pendant que nous débattons dans le confort de cette assemblée.
Camarades, séparément, nous sommes des proies. Unis, nous sommes une force. Les tsaristes torturent et tuent nos frères communistes parce qu'ils savent que nous ne répondrons que par des communiqués. Ils ricanent pendant leurs exécutions parce qu'ils savent qu'aucune vraie riposte ne viendra.
C'est pourquoi je vous présente aujourd'hui ce projet d'union politique au sein de la CSN. Pas une simple alliance économique, pas des accords de coopération, mais une véritable union fédérale. Une seule voix diplomatique, une défense commune, une économie communue, une solidarité inconditionnelle entre tous les peuples communistes.
Imaginez, camarades : si demain un tsariste pose la main sur un communiste de Barvynie, c'est toute la CSN qui répond. Si l'Ouaine est menacée, c'est l'armée de la Gondavie qui se mobilise. Si le Zakhmistan est attaqué, ce sont nos soldats Morznik qui accourent.
Cette union, ce n'est pas perdre notre souveraineté, c'est la multiplier par cinq. Ce n'est pas nous affaiblir, c'est devenir invincibles. Nos ennemis comprennent la force, ils ne respectent que la puissance. Donnons-leur ce qu'ils comprennent.
Le sang versé au Yashosie nous crie : Assez de discours, passez aux actes ! Les larmes des réfugiés nous supplient : Unissez-vous pour que plus jamais nous ne soyons seuls face à la terreur !!! Les 800 000 voix de dimanche dernier exigent : Une seule famille communiste, une seule réponse !
Camarades députés, l'histoire nous regarde. Nos enfants nous jugeront. Serons-nous ceux qui ont enfin donné aux peuples communistes la force qu'ils méritent ? Ou resterons-nous ceux qui ont regardé la barbarie en se contentant de soupirer ?
Votez cette proposition, camarades. Votez pour que plus jamais un communiste ne meure seul. Votez pour l'union. Votez pour la victoire du communisme sur la barbarie !

Président de l’Assemblée Populaire Nationale, Camarade Piotr Varnenko :

""Camarade Koskinen, votre proposition fait écho aux attentes populaires exprimées massivement dimanche dernier. Une telle union transformerait effectivement l'équilibre des forces dans notre région. Cependant, une intégration politique si profonde nécessitera l'accord unanime de tous les États membres de la CSN. Ce vote d'aujourd'hui ne sera qu'un premier pas. Voter camarade"


Quelques minutes plus tard, les députés votent

Place au vote :

OUI : 200 voix (100 %)
NON : 0 voix (0 %)


Résultat : OUI


Président poursuit

"La proposition est adoptée avec une majorité écrasante. Cette assemblée mandate donc le gouvernement pour engager immédiatement des négociations avec nos partenaires de la CSN en vue de créer cette union politique. Le peuple du Morzanov a parlé dimanche, nous avons écouté aujourd'hui. Que nos partenaires comprennent l'urgence de cette solidarité. L'union des peuples communistes n'attendra plus ! Vive le COMMUNISME
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Mes chers camarades, frère et sœur,



Ce soir, je m'adresse à vous dans des circonstances d'une gravité exceptionnelle. L'histoire vient d'être écrite avec du sang. Le sang de Josef Skratac, président légitime de la République Socialiste de Yashosie, à été lâchement assassiné par les milices tsaristes. Mes chers concitoyens, ce que nous craignions depuis des mois vient de se produire. Ces terroristes qui diffusaient déjà leurs crimes sur nos télévisions, qui torturaient nos frères dans l'ombre, ont franchi l'ultime ligne rouge : ils ont assassiné un chef d'État élu !
Josef Skratac n'est pas mort dans son lit. Il n'est pas mort dans un accident. Il a été exécuté d'une balle dans la tête, dans son propre avion présidentiel, par des hommes qui ricanaient en filmant leur crime ! Cette barbarie dépasse tout ce que nous avions imaginé. Elle révèle la vraie nature de nos ennemis : des assassins sans foi ni loi !

Face à cette tragédie, le gouvernement de la République du Morzanov prend une position claire et inébranlable : nous ne reconnaîtrons jamais, au grand jamais, le régime installé par l'assassinat !
Ce soi-disant "Tsarat parlementaire de Khardaz" n'est qu'une dictature militaire qui a pris le pouvoir par la force ! Comment peut-on parler de démocratie quand on commence par tuer le président en exercice ? Comment peut-on prétendre représenter le peuple quand on impose sa volonté avec des chars et des mitrailleuses ? Non ! Mille fois non ! Ces putschistes ne gouvernent que par la terreur. Ils ne représentent qu'eux-mêmes et leurs maîtres étrangers qui les arment depuis des années !

Citoyens du Morzanov, ne nous y trompons pas. Cette opération sophistiquée, cette capacité à intercepter l'avion présidentiel, ces moyens techniques déployés... tout cela dépasse largement les capacités d'une simple milice locale !
Nous avons de sérieux soupçons sur l'implication directe de l'Empire de Slaviensk dans cet assassinat politique. Depuis des années, ils arment ces terroristes, ils les financent, ils leur offrent une couverture diplomatique. Et aujourd'hui, nous voyons le résultat de cette politique criminelle ! Les mains qui ont tiré étaient tsaristes, mais les cerveaux qui ont planifié portent peut-être d'autres uniformes. Cette vérité éclatera au grand jour, nous y veillerons !

Mes chers compatriotes, avec la chute de la République Socialiste de Yashosie, c'est le dernier bastion démocratique de la région qui s'effondre sous les coups de la réaction ! Pendant des décennies, malgré toutes ses difficultés, cette république avait maintenu les acquis sociaux, les droits des travailleurs, l'égalité entre tous les citoyens. Elle était une lueur d'espoir pour tous les opprimés de la région !
Aujourd'hui, c'est un retour vers l'obscurantisme le plus total qui se profile ! Ces tsaristes vont restaurer leurs privilèges d'un autre âge, abolir toutes les conquêtes sociales, replonger le peuple yashosien dans les ténèbres de l'oppression religieuse et politique !

Face à cette tragédie, une évidence s'impose à nous avec une force terrible : l'union politique de la CSN n'est plus seulement souhaitable, elle est vitale ! Absolument vitale ! Josef Skratac est mort seul, isolé, abandonné par la communauté internationale. Si notre union avait été réalisée, si nous avions parlé d'une seule voix, si nous avions opposé une défense commune à ces agresseurs, les choses auraient été différentes ! Nos ennemis l'ont bien compris : ils nous attaquent un par un, ils nous isolent, ils nous affaiblissent par la division ! C'est pourquoi ils redoutent tant cette union que nous préparons. C'est pourquoi ils multiplient les provocations pour tenter de nous en détourner !

Citoyens du Morzanov, votre gouvernement prend aujourd'hui les décisions suivantes :
Nous décrètons trois jours de deuil national en hommage au président Skratac. Cet homme était notre ami, notre allié, notre frère en humanité. Il mérite notre respect éternel ! Nous rompons immédiatement toutes relations avec le régime tsariste ! Aucune ambassade, aucun commerce, aucune coopération ! L'isolement total jusqu'à ce que justice soit rendue !
Nous accélérons nos négociations pour l'union politique de la CSN ! Les événements nous donnent tragiquement raison : seule l'unité nous sauvera de la barbarie !

Mes chers compatriotes, mes chers camarades, l'heure n'est plus aux demi-mesures ! L'assassinat de Josef Skratac nous crie : "Réveillez-vous enfin ! Unissez-vous ! Agissez !"C'est pourquoi j'appelle chacun d'entre vous à se mobiliser pour cette union vitale :
Organisez-vous dans vos entreprises, vos universités, vos quartiers ! Que chaque lieu de travail résonne de notre détermination ! Que chaque école porte notre message ! Que chaque famille comprenne l'enjeu ! Je ne le répète sans cesse c'est urgent mes chers camarades
Écrivez à vos proches dans les républiques sœurs ! Que nos frères de Barvynie, de Gondavie, d'Ouaine et du Zakhmistan entendent notre appel urgent ! Montrez-leur que le peuple du Morzanov tout entier exige cette union !
Manifestez massivement mais pacifiquement ! Que le monde entier voie notre détermination ! Que nos partenaires comprennent l'urgence historique de cette démarche !

Que les tsaristes et leurs maîtres l'entendent bien : ce crime ne restera pas impuni ! Chaque goutte de sang versée ne fait que renforcer notre détermination révolutionnaire ! Ils ont cru pouvoir nous terroriser par cet assassinat. Ils ont obtenu l'effet inverse ! Ils ont réveillé la conscience de tous les peuples libres ! Ils ont précipité cette union qu'ils redoutaient tant !
Leur "victoire" d'aujourd'hui signe leur défaite de demain ! L'histoire nous enseigne que tous les régimes nés dans le crime finissent par s'effondrer sous le poids de leurs propres turpitudes !

Au nom de notre République, au nom de tous nos martyrs tombés pour la liberté, au nom de Josef Skratac lui-même, je vous fais cette promesse solennelle : Cette union se fera ! Elle se fera parce que l'histoire l'exige ! Elle se fera parce que nos peuples le méritent ! Elle se fera parce que c'est la seule réponse digne à la barbarie de nos ennemis !
Et quand cette union sera réalisée, quand nos cinq drapeaux flotteront ensemble au sommet du même mât, quand nos forces armées marcheront d'un même pas, alors nous pourrons dire à nos enfants : "Plus jamais un démocrate ne mourra seul face à la tyrannie !"

Citoyens du Morzanov, compatriotes de toutes les républiques de la CSN, démocrates du monde entier : L'assassinat de Josef Skratac marque la fin d'une époque, mais il annonce le début d'une ère nouvelle ! L'ère de l'unité ! L'ère de la justice ! L'ère de la victoire définitive sur toutes les formes d'oppression !


Vive le Morzanov ! Vive la CSN ! Vive le communisme ! Vive l'Union Politique !




Vassili Dronov
Président de la République du Morzanov
10/07/2017
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Adelino Avermelhado et l'UNIDEP s'internationalisent, et s'adressent directement aux camarades de la C.S.N. !

Le Camarade Adelino Avermelhado était si fier et heureux d'avoir trouvé des amis en Orient, à l'image de ces chiennes gouvernementales de la capitale et leurs trainées jashuriennes à cheveux bleus, qu'il avait diffusé fort et clair le communiqué qu'il avait envoyé au commissariat des affaires étrangères de la Confédération Socialiste du Nazum auprès de tous les nouveaux camarades nazumis des fiers travailleurs de la République Socialiste Provisoire d'Icamie. Tous les camarades, travailleurs et citoyens de la Confédération avec un accès à une radio ou à internet a pu voir surgir sur les ondes, sur les blogs, les forums et les réseaux sociaux les remerciements solennels des camarades icamiens, toujours sinistrés de leur principal module de rassemblement en ligne, le forum /coco/ d'Icama-Chan.

Dans ces lettres, ces témoignages et ces manifestes, les camarades icamiens s'épanchent à l'envie sur le bonheur de pouvoir compter sur les camarades de la Confédération Socialiste du Nazum, la République du Morzanov à leur tête, pour la promesse de soutien qu'ils ont donné à la Révolution Socialiste Icamienne.

Ils le répètent à l'envie, grâce au Morzanov, grâce à la Confédération Socialiste du Nazum, le Grand Soir arrive en Icamie ! La Révolution est proche ! Les photos de remerciement d'Icamiens et d'Icamiennes portant des drapeaux des Républiques membres de la Confédération abondent sur les réseaux, de même que les vidéos de chants et de danses traditionnelles du bout du monde. C'est comme si des dizaines de millions d'étrangers et d'étrangères se découvraient soudainement une passion pour les nations communistes du Nazum, tendant une main incroyablement amicale et festive à tous leurs camarades confédérés.

Ce n'est qu'un début, mais il n'y a pas à douter que l'offensive de charme du socialisme icamienne prendra plus d'ampleur à l'avenir !
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