11/05/2017
22:43:21
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ă€đŸłïžâ€đŸŒˆă€‘Appel Internationale dans la lutte pour les droits des MinoritĂ©s Sexuelles

08/04/2017
ă€đŸłïžâ€đŸŒˆă€‘Appel Internationale pour la lutte des MinoritĂ©s Sexuelles.


Marche de la Fierté LGBT

【📱】Aujourd'hui est un grand jour, il est temps de rĂ©unir les mouvements du monde entier en faveur les minoritĂ©s sexuelles, dans une organisation non gouvernemental internationale !

ă€đŸłïžâ€âš§ïžă€‘La RĂ©publique Socialiste de la Barvynie finance entiĂšrement toutes les charges pour la rĂ©union d'un sommet entre les nations du monde, lequel viserait Ă  Ă©tablir les bases d'un droit international relatif Ă  la protection des libertĂ©s des minoritĂ©s sexuelles. Cet appel d'offre a pour but de rĂ©unir et lister les potentielles nations intĂ©ressĂ©es par cette lutte, et ce sommet. C'est donc avec le plus grand espoir que nous attendons votre appel. Vive l'HumanitĂ©, Vive la LibertĂ©.

ă€đŸłïžâ€đŸŒˆă€‘Il est Ă©vident que l’histoire de nos nations, est majoritairement liĂ©e Ă  la persĂ©cution des minoritĂ©s sexuelles, de l’église Ă  la justice, les idĂ©es reçues de l’époque ont fait perdurer leur souffrance pendant trĂšs longtemps, il est de notre devoir de combattre cette injustice, il faut briser cette chaine qui entrave la libertĂ©, et chercher Ă  Ă©touffer l'amour du peuple.

ă€đŸłïžă€‘Il est temps que ça change, ensemble, crĂ©ons une Organisation Non-Gouvernemental, qui permettra Ă  accorder Ă  toute l'humanitĂ© la libertĂ© de choisir, la libertĂ© d'ĂȘtre fiĂšre, la libertĂ© de toutes les MinoritĂ©s Sexuelles, il est Ă©vident que peu importe l'individu, le rapport doit ĂȘtre consenti par lesdites personnes concernĂ©es, la protection des minoritĂ©s doivent aussi ĂȘtre garantie par l’État, ou les organismes qui forment le gouvernement, au cours de cette future RĂ©union, nous pourrons dĂ©battre de divers sujets lier Ă  cette lutte, par exemple, les diverses protections pour ses minoritĂ©s, aussi bien au niveau judiciaire et sociale. Sur ce, Vive la LibertĂ©, Vive le Peuple.


Formulaire d'Inscription a l'Appel :

[b][size=1.2]Nation d'Origine :[/size][/b]
[b]Parti & Gouvernement au pouvoir :[/b]
[b]Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir :[/b]

[b]Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles :[/b]

[b]Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités :[/b]

[b]Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée:[/b]

[list][*][b]Divorce :[/b]
[*][b]Relation sexuelle hors-majorité sexuelle :[/b]
[*][b]Relation sexuelle hors-mariage :[/b]
[*][b]Relation extra-conjugale :[/b]
[*][b]Polygamie :[/b]
[*][b]Contraception :[/b]
[*][b]Adoption :[/b]
[*][b]Avortement :[/b]
[*][b]Homosexualité :[/b]
[*][b]Mariage homosexuel :[/b]
[*][b]Adoption homosexuelle :[/b]
[*][b]Transgenrisme :[/b][/list]


[b][size=1.2]Groupe répondant à l'Appel :[/size][/b]
[b]Chef(fe) du groupe :[/b]
[b]Membres total du groupe :[/b]
[b]Popularité du groupe :[/b]


[b]Quelle sont les Législations défendu par le groupe concerné :[/b]

[list][*][b] [/b]
[*][b] [/b]
[*][b] [/b][/list]
Nation d'Origine : Haut-Etat d'Altrecht
Groupe IndĂ©pendant : Altrechter Gruppe fĂŒr Minderheitenrechte ( AGFM )
Chef(fe) du parti : Lili Myers

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de votre nation envers les Minorités Sexuelles : 7.5/10

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la dĂ©fense des minoritĂ©s : Oui, le groupe Altrechter Gruppe fĂŒr Minderheitenrechte qui s'occupe des questions des minoritĂ©s auprĂšs du parlement altrechtois, notamment en demandant des rĂ©examens de sujets liĂ©s Ă  ces minoritĂ©s. Ils ont notamment obtenu en 2011 la crĂ©ation d'un appareil juridique de lois afin de pouvoir protĂ©ger et dĂ©fendre les minoritĂ©s.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de votre nation :

  • Divorce : AutorisĂ© avec restriction ( acte grave dans un couple )
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : ProhibĂ©e mais pas sanctionnable juridiquement
  • Relation sexuelle hors-mariage : ProhibĂ©e mais pas sanctionnable juridiquement
  • Relation extra-conjugale : ProhibĂ©e mais pas sanctionnable juridiquement
  • Polygamie : Interdite et sanctionnable juridiquement
  • Contraception : AutorisĂ©e et promue par l'État
  • Adoption : AutorisĂ©e avec une surveillance des adoptĂ©s durant tout leur cursus chez leurs parents.
  • Avortement : Interdit et sanctionnable juridiquement sauf dans des cas de handicap de l'enfant ou si la vie de la mĂšre est menacĂ©e.
  • HomosexualitĂ© : AutorisĂ©e et protĂ©gĂ©e
  • Mariage homosexuel : AutorisĂ© et protĂ©gĂ©
  • Adoption homosexuelle : AutorisĂ©e et protĂ©gĂ©e
  • Transgenrisme : ProhibĂ© mais pas sanctionnable juridiquement
3459
Nation d'Origine : Califat constitutionnel d'Azur
Parti & Gouvernement au pouvoir : Parti de la Renaissance Islamique (NAHDA, islamo-démocrate)
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir : Son Excellence Monsieur le Grand Vizir Jamal al-DĂźn al-Afaghani Pasha

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : 2,5/10

Officiellement condamnĂ©es par la morale religieuse, les relations homosexuelles sont gĂ©nĂ©ralement rĂ©prouvĂ©es par la sociĂ©tĂ© azurĂ©enne, sauf cas trĂšs particuliers et atypiques dans certaines communautĂ©s ethniques minoritaires. Elles existent cependant, comme dans toute sociĂ©tĂ©, avec Ă  l'Ă©poque traditionnelle des paravents et des euphĂ©mismes. L'arrivĂ©e de la modernitĂ© a suscitĂ© la politisation de la question sexuelle autant dans un sens (fĂ©minisme, mouvement queer) que dans l'autre (homophobie exacerbĂ©e des sphĂšres conservatrices), avec de sĂ©rieuses complications dans le cas azurĂ©en. Le courant rĂ©publicain laĂŻque et nationaliste est par exemple autant fĂ©ministe qu'homophobe et transphobe, sauf sa part libĂ©rale et progressiste qui dĂ©fend la libertĂ© des homosexuels ; au contraire le courant islamique religieux, hostile Ă  la question de l'homosexualitĂ© vue comme un pĂ©chĂ©, peut ĂȘtre atypiquement bien disposĂ© Ă  l'Ă©gard de la transidentitĂ© suite Ă  une fatwa (dĂ©cision juridique religieuse) du Calife Kubilay. Le petit courant de gauche radicale communiste est assez archaĂŻque et relativement indiffĂ©rent Ă  la question de l'homosexualitĂ©, lui prĂ©fĂ©rant un combat de pure classe sociale.

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités : Oui, l'opposition démocrate de gauche est généralement favorable à une évolution positive des droits des personnes LGBTQ. Par exemple la coalition politique "Alliance démocratique", ainsi que des associations queer comme Divazur, militent pour cette évolution.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée:

  • Divorce : AcceptĂ© et lĂ©gifĂ©rĂ© selon le droit religieux
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : TolĂ©rĂ© par l'Etat mais blĂąmĂ© par les institutions religieuses
  • Relation sexuelle hors-mariage : TolĂ©rĂ© par l'Etat mais blĂąmĂ© par les institutions religieuses
  • Relation extra-conjugale : Infraction pĂ©nale
  • Polygamie : AcceptĂ© et lĂ©gifĂ©rĂ© selon le droit religieux
  • Contraception : TolĂ©rĂ© par l'Etat mais blĂąmĂ© par les institutions religieuses
  • Adoption : Interdite pour tous les couples, remplacĂ©e par une tutelle.
  • Avortement : TrĂšs limitĂ© par le droit religieux, mais facilitĂ© par le gouvernement en place depuis le dĂ©but 2017.
  • HomosexualitĂ© : Moralement rĂ©prouvĂ©e par la sociĂ©tĂ© sans ĂȘtre ardemment combattue, et censurĂ©e dans l'espace public par des lois sur la pudeur.
  • Mariage homosexuel : Interdit.
  • Adoption homosexuelle : Interdite.
  • Transgenrisme :
Accepté et légiféré selon le fßqh du Calife Kubilay, mais seulement pour la communauté sunnite donc.

Groupe répondant à l'Appel : Alliance démocratique (coalition électorale de trois partis politiques : les Verts, les Sociaux-Démocrates et les Libéraux) + Divazur (association de promotion des droits LGBTQ)
Chef(fe) du groupe : Jenna Sahmi
Membres total du groupe : plusieurs milliers
Popularité du groupe :
Alliance démocratique : autour de 25 % des voix aux derniÚres législatives
Divazur : anecdotique et inconnue de la grande majorité de la population


Quelle sont les Législations défendu par le groupe concerné :[/b]

  • DĂ©pĂ©nalisation de l'homosexualitĂ© dans l'espace public ( = retirer Ă  la police l'argument juridique dont elle se prĂ©vaut pour harceler certains quartiers Ă  la rĂ©putation douteuse)
  • CrĂ©ation du mariage civil ouvert Ă  tous les couples (plutĂŽt que l'institution du mariage religieux qui est encadrĂ©e de maniĂšre propre Ă  chaque communautĂ© religieuse)
  • Autorisation du changement de genre Ă  l'Ă©tat-civil (revendication portĂ©e seulement par les Verts et les associations militantes ; aujourd'hui le changement de genre est autorisĂ© seulement en cas d'opĂ©ration chirurgicale)
Nation d'Origine : République de l'Etat du Makota
Parti & Gouvernement au pouvoir : "Les ranchers"
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir : Jean Irreville III, dit sénior.

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : 2/10
L'homosexualitĂ© est strictement illĂ©gale ainsi que tout ce qui sort du modĂšle hĂ©tĂ©rosexuel monogamique ou de cĂ©libat chaste. Cependant le peuple makotan a comme caractĂ©ristique curieuse d'avoir un pourcentage inhabituellement trĂšs Ă©levĂ© de femmes homosexuelles (certains avancent la consanguinitĂ© comme cause, d'autres la culture des institutions de jeunes filles, d'autres encore parlent de malĂ©diction). Il est ressort que l'homosexualitĂ© fĂ©minine est globalement tolĂ©rĂ©e si elle est cachĂ©e et surtout non exclusive. En revanche l'homosexualitĂ© masculine est beaucoup plus franchement poursuivie. Mais dans un cas comme dans l'autre, on ne trouve que ce que l'on cherche ou ce que l'on nous met devant les yeux, aussi les procĂšs pour homosexualitĂ© (on parle de sodomie ou de GomorrhĂ©isme) sont dans les faits rares (avec des crispations ponctuelles, notamment quand il y a des excĂšs d'entrismes lesbiens, ce qui a tendance Ă  advenir rĂ©guliĂšrement dans les institutions scolaires, mĂ©dicales ou ... religieuses). En ce qui concerne le transgenrisme, il est tolĂ©rĂ© en club (bordel) mais nul part ailleurs. Enfin, malgrĂ© tout c'est une sociĂ©tĂ© traditionnelle, aussi quiconque pratiquant ces mƓurs avec discrĂ©tion peut assez facilement passer sa vie sans jamais se faire prendre sauf si il donne des raisons Ă  la police des mƓurs de venir l'ennuyer.
Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités : Oui, plusieurs, les groupes liés au parti progressiste. Le Makota n'est pas régi par le systÚme des partis, c'est quelque chose de beaucoup plus nébuleux, il s'agit plutÎt de confédérations de petites structures dans lesquelles le clientélisme est trÚs important. Il existait jusqu'à présent trois réseaux, le Progressisme (qui porte le LGBTisme mais pas seulement) est le petit nouveau qui vient ajouter un quatriÚme pole. Evidemment, on trouve de tout dans le parti progressiste, de la mollesse bonasse à la wokerie absolue et terroriste (rare et peu visible), ici c'est l'opinion générale qui est donnée, celle que défend Mlle Dalila, le chef de ce "parti".
Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée:

  • Divorce : Interdit
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : Interdit
  • Relation sexuelle hors-mariage : Interdit
  • Relation extra-conjugale : Interdit
  • Polygamie : Interdit
  • Contraception : Interdit
  • Adoption : Permise
  • Avortement : Interdit
  • HomosexualitĂ© : Interdit
  • Mariage homosexuel : Interdit
  • Adoption homosexuelle : Interdit
  • Transgenrisme : Interdit

Groupe répondant à l'Appel : Parti Progressiste/APLAM et quelque autres groupuscules associés
Chef(fe) du groupe : Mlle Dominique Dalila
Membres totaux du groupe : 100 000, nombre estimé, il n'y pas de chiffre officiel
Popularité du groupe : 10% aux élections démocratiques, presque inexistants dans les autres chambres.


Quelle sont les Législations défendu par le groupe concerné :

  • Divorce : Avec motifs
  • Pornographie : Sujet non consensuel
  • Relation sexuelle hors majoritĂ© sexuelle : Interdit
  • Relation sexuelle hors mariage : DĂ©pĂ©nalisation
  • Relation extra-conjugale : Interdites
  • Polygamie : Interdite
  • Contraception : Permise
  • Adoption : Permise
  • Avortement : Sujet non consensuel
  • HomosexualitĂ© : DĂ©pĂ©nalisation
  • Mariage homosexuel : Interdit
  • Adoption homosexuelle : Sujet non consensuel
  • Transgenrisme : DĂ©pĂ©nalisation
Nation d'Origine :
RĂ©publique DĂ©mocratique Populaire d’Ouaine
Groupe Indépendant :
Parti communiste démocratique
Chef(fe) du parti :
Andser Dekhalov
Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de votre nation envers les Minorités Sexuelles :
9/10
Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités :
Non, c’est surtout le gouvernement et le ministĂšre du respect des minoritĂ©s que s’en occupe, mĂȘme si on compte de nombreuses associations Ă  l’échelle rĂ©gionale mais aucune de vraiment significative

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de votre nation :

  • Divorce :
  • AutorisĂ© ( voire encouragĂ©, il est important de noter qu’en Ouaine le mariage est considĂ©rĂ© comme un remixant religieux et n’a pas de grande signification juridique, le Pax, simple procĂ©dure administrative est souvent suffisante pour les couples
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle :
  • AutorisĂ©e
  • Relation sexuelle hors-mariage :
  • BanalisĂ©
  • Relation extra-conjugale : ProhibĂ©e, pas condamnable et Ă©talement mais mal vue, si des gens se marient c’est un acte assez fort, c’est que les gens s’aiment vraiment beaucoup donc il est trĂšs mal vu qu’elles se trompent ensuite
  • Polygamie :
  • AutorisĂ© hors mariage ou pax
  • Contraception :
  • AutorisĂ©e et promue par l’état
  • Adoption :
  • AutorisĂ©e avec une surveillance importante des familles d’accueil .
  • Avortement :
  • AutorisĂ© et promu par l’état
  • HomosexualitĂ© :
  • AutorisĂ©e, les actes homophobes sont sanctionnĂ©s
  • Mariage homosexuel :
  • AutorisĂ© mais avec la mĂȘme connotation que le mariage hĂ©tĂ©rosexuel
  • Adoption homosexuelle :
  • Interdite
  • Transgenrisme :
  • AutorisĂ© au dessus de 15 ans
Nation d'Origine : Republiche FederĂąl di Visonza.
Parti & Gouvernement au pouvoir : Le Sénat est dirigé par une coalition entre le Partßt Republican (P.R.), le Partßt Sociùl-Democratic (P.S-d.) (majoritaire) et le Partßt Comunist Visonsian (P.C.V.).(source)
Chef‱fe du parti et Dirigeant au pouvoir : Son Excellence Consul(= chef d'État) Monsieur Ludovico Mariano Manetto Abergotti et PrĂ©sident du Parti Social-DĂ©mocrate, Son Excellence Chancelier(= chef de gouvernement) Mademoiselle Alessandra Vittoria Serena da Caliara et PrĂ©sidente du Parti RĂ©publicain et enfin Son Excellence SĂ©nateur le Camarade SecrĂ©taire-GĂ©nĂ©ral Madame Lucrezia Masina Pisana Krajnik du Parti Communiste Visonzan.

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : 10/10. La majorité de la population Visonzane est soit asexuelle, soit aromantique, soit aroace. Trois des minorités sexuelles les moins représentées et protégées ; sauf en Visonza par conséquent.

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la dĂ©fense des minoritĂ©s : Il existe en effet des associations de dĂ©fenses de la communautĂ© LGBTQIA+ qui par ailleurs sont souvent affiliĂ©es aux Clubs [politiques] membre du Front Populaire au SĂ©nat voir pour certaines Ă  des mafia qui ont trouvĂ© un intĂ©rĂȘt Ă  dĂ©fendre la Cause. Par ailleurs, lesdites associations passent le plus clair de leur temps Ă  se battre dans des combats de rue avec les Ă©lĂ©ments zĂ©lotes de la Lighe de CrĂŽs dal Crist (L.C.C.) Ă  coup de battes de baseball, de barres de fer et poings Aleuciens. L'association LGBT la plus connue de la vallĂ©e du Visonzo et celle ayant le plus de membre est le Club dai Ors ; Ă  l'origine une mafia composĂ©e que d'hommes homosexuels (ou de femmes lesbiennes) puis de membres issu‱e‱s d'autres communautĂ©s LGBT, Ă  mesure de l'ouverture d'esprit grandissante de la sociĂ©tĂ©, qui ne s'attaquait uniquement aux ecclĂ©siastiques rĂ©actionnaires et Ă  la L.C.C.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée : (source)

Divorce : Légal.

Relation sexuelle hors-majorité sexuelle : Légale entre deux mineur ; illégale entre un majeur et un mineur.

Relation sexuelle hors-mariage : Légal.

Relation extra-conjugale : Légal.

Relation et mariage consanguin : Illégale à tous les degrés.

Polygamie : Mariage illégal ; relation légale.

Contraception : Légal.

Adoption : Légal.

Avortement : Légal.

Euthanasie : Légal.

Homosexualité : Légal.

Mariage homosexuel : Légal.

Adoption homosexuelle : Légal.

Transgenrisme : Légal.


Groupe répondant à l'Appel : La Republiche Federùl di Visonza et le Club dai Ors.
Meneur‱s des dĂ©lĂ©gations : Son Excellence Magistrat aux Affaires des Étrangers et du Monde Mademoiselle Edelgard Vicki Wilhelmine Donato du Club Sindacalist (C.S.) et Son Excellence SĂ©nateur Don Lazzarini du Club dai Falanzis (C.F.) ; rĂ©cemment Ă©lu SecrĂ©taire-GĂ©nĂ©ral du Club dai Ors.
Membres total des délégations : Une dizaine de personnes incluant les meneurs. Cinq membre chacune.
PopularitĂ© des dĂ©lĂ©gations : La dĂ©lĂ©gation de la RĂ©publique menĂ©e par Son Excellence Edelgard V. W. Donato reprĂ©sente l'État et le Gouvernement Visonzan qui sont formĂ©s selon l'agencement politique du SĂ©nat. Par consĂ©quent, ils bĂ©nĂ©ficient d'une solide assise Ă©lectorale et populaire ; idem pour la dĂ©lĂ©gation qui est menĂ©e par la tĂȘte de file des Syndicalistes : parti politique qui monte malgrĂ© le silence des mĂ©dias.

Le Club dai Ors, quant à lui, est la premiÚre association LGBT en termes de membre de toute la vallée du Visonzo et la plus respectée pour ses actions contre les réactionnaires religieux et les zélotes : bref, des anticléricaux en puissance ce qui est bien vue en Visonza.


Quelles sont les Législations défendu par le groupe concerné :Celles vues plus haut.
Nation d'Origine : Empire Confédéral Uni.

Parti & Gouvernement au pouvoir : La plupart des Etats confédérés sont dirigés par des coalitions d'obédience conservatrices, comme pour l'Antérinie (royale, donc l'Etat Eurysien, dirigée par la Confédération des Partis autonomistes et l'Union des Partis Conservateurs), le Grand Duché du Scintillant (vaste coalition des droites regroupant Autonomistes et Conservateurs malgré la prédominance du Parti Néo-Libéral) en revanche petite exception pour Marcine qui est menée par une coalition entre Anarcho-Royalistes et Conservateurs qui tentent de trouver des politiques viables malgré les fortes oppositions qui peuvent exister sur certains sujets (réformes agraires par exemple...)
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir :

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : 4.

La ConfĂ©dĂ©ration reste assez fermĂ©e Ă  ces derniĂšres et ce pour des raisons essentiellement religieuses. En revanche il est nĂ©cessaire de faire une distinction entre relations sexuelles et relations amoureuses. Les AntĂ©riniens Ă©tant persuadĂ© qu'il existe une grande diffĂ©rence entre l'amour physique et l'amour dans un sens plus philosophique. Le premier Ă©tant vu comme un pĂ©chĂ© et le second Ă©tant tolĂ©rĂ© par l'Eglise Catholique et donc par la SociĂ©tĂ© antĂ©rinienne. Et dĂšs lors la diffĂ©rence entre les deux, essentielle dans le dĂ©bat sociĂ©tal antĂ©rinien, rends la question homosexuelle plus ambivalente et enflamme rĂ©guliĂšrement les milieux religieux, s'appuyant sur des travaux de mĂ©diĂ©viste cĂ©lĂšbres, comme Lanar, qui affirmaient que certains saints Ă©taient homosexuels et avaient mĂȘme des relations amoureuses, comme Saint Serge et Saint Bacchus et qui mĂšnent rĂ©guliĂšrement Ă  de vives controverses entre Clercs. De plus, la dĂ©pĂ©nalisation de l'homosexualitĂ© (enfin surtout des "pratiques homosexuelles") et les rĂ©centes encycliques de Sa SaintetĂ© Pie XVI allant dans ce sens permettent de rendre la rĂ©probation sociale moins dure. MalgrĂ© tout, l'homophobie dans certains milieux politiques (notamment fascistes) restent extrĂȘmement importante tandis que les autres minoritĂ©s L.G.B.T restent invisibilisĂ©es dans le dĂ©bat public, notamment les transexuels (non reconnus) et les bisexuels qui sont considĂ©rĂ©s comme infidĂšles (Ă  leur Ă©pouse) par nature. MalgrĂ© tout une partie de la classe politique confĂ©dĂ©rale soutien les combats des minoritĂ©s sexuelles, malgrĂ© une indiffĂ©rence pour ces derniers trĂšs marquĂ©s Ă  droite (notamment pour les Conservateurs) ou une hostilitĂ© affichĂ©e par les Fascistes qui y voient une "dĂ©gĂ©nĂ©rescence de la Race". La gauche reste quant Ă  elle assez divisĂ©e sur la marche Ă  suivre, les Anarchistes soutiennent l'inclusion de ces derniers dans leurs revendications politiques, tandis que communistes et socialistes appliquent une politique de l'autruche vis Ă  vis de ces questions.


Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités : Plusieurs O.N.G soutiennent évidemment la défense des minorités sexuelles, certaines étant inspirées par un catholicisme particuliÚrement ouvert et progressiste, on peut notamment y trouver une partie du clergé qui soutient ardemment les thÚses de Lanar, et qui mettent en avant l'homosexualité de certains saints ou la célébration de mariages homosexuels au début du Moyen Age, voire une autre frange qui se rapproche du catholicisme Kah tanais, c'est à dire une vision influencé par les libertaires qui y voient un moyen de "libérer les individus des carcans moraux de la Société antérinienne sans avoir besoin de se baser sur des faits historiques pour défendre leurs positions". Ici encore, le débat reste avant tout mené par la clergé, d'une part car les normes et valeurs morales sont trÚs souvent dépendantes de l'Eglise, et de l'autre car le monde politique reste apathique et indifférent au sort des minorités sexuelles.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée:

  • Divorce : LĂ©gal mais fortement encadrĂ© et rĂ©prouvĂ© par les institutions religieuses.
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : Interdite.
  • Relation sexuelle hors-mariage : Interdite.
  • Relation extra-conjugale : Interdite.
  • Polygamie : Interdite.
  • Contraception : AutorisĂ©e mais rĂ©prouvĂ©e par les institutions religieuses.
  • Adoption : LĂ©gale mais encadrĂ©e.
  • Avortement : LĂ©gal mais encadrĂ©. (une mĂšre est autorisĂ© Ă  avorter si et seulement si sa vie est mise en danger par l'enfant Ă  naĂźtre, accouchement risquant d'ĂȘtre difficile...)
  • HomosexualitĂ© : DĂ©pĂ©nalisĂ©e.
  • Mariage homosexuel : Interdit.
  • Adoption homosexuelle : Interdite.
  • Transgenrisme : Non reconnu tandis que les opĂ©rations sont illĂ©gales.

Groupe répondant à l'Appel : Association de Lutte contre les Persécutions L.G.B.Tphobes.
Chef(fe) du groupe : Monseigneur Louis Exquié.
Membres total du groupe : Quelques milliers, tout au plus.
Popularité du groupe : Comme pour la plupart des associations impliquées dans la reconnaissance des droits des minorités sexuelles, leurs combats restent invisibilisés par le débat public, lui préférant les questions économiques et culturelles, et se cantonne surtout aux controverses religieuses...

Quelle sont les Législations défendu par le groupe concerné :


  • Reconaissance du mariage homosexuelle.
  • PĂ©nalisation des propos homophobes.
  • Reconnaissance de l'intĂ©gralitĂ© des communautĂ©s L.G.B.Ts...
Nation d'Origine : Akaltie
Parti & Gouvernement au pouvoir : le Renouveau Akaltien et le Parti de l'Entente sont les principaux partis au gouvernement akaltien
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir : Itotia Neztli (PremiÚre ministre) est la cheffe du Renouveau Akaltien, tandis qu'Ibach Ajtzac (Ministre de l'Intérieur) dirige le Parti de l'Entente

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : 10

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités : pas d'organisation majeure, étant donné que l'Akaltie n'a jamais eu besoin de militants pour reconnaßtre ces minorités. Il est tout simplement admis que chacun est libre de se marier à qui il veut si tout le monde le souhaite. Selon les historiens, cette liberté viendrait probablement de l'influence des cités matriarcales icamiennes sur la société akaltienne.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée :

  • Divorce : LĂ©gal
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : IllĂ©gale
  • Relation sexuelle hors-mariage : LĂ©gale
  • Relation extra-conjugale : IllĂ©gale sans l'accord explicite du conjoint
  • Polygamie : LĂ©gale (avec consentement explicite de tous les concernĂ©s) (polygynie et polyandrie sont autorisĂ©es)
  • Contraception : LĂ©gale
  • Adoption : LĂ©gale
  • Avortement : LĂ©gal
  • HomosexualitĂ© : LĂ©gale
  • Mariage homosexuel : LĂ©gal
  • Adoption homosexuelle : LĂ©gale
  • Transgenrisme : LĂ©gal

Groupe répondant à l'Appel : aucun, c'est le gouvernement qui répond à l'appel
Chef(fe) du groupe : /
Membres total du groupe : /
Popularité du groupe : /
Nation d'Origine : Duché de Sylva
Parti & Gouvernement au pouvoir : Collectiviste
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir : Bernadette Vougier

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : 10/10
Sylva n'a historiquement pas de mouvances particuliĂšrement orientĂ©es contre les minoritĂ©s sexuelles. Plusieurs groupes (Mounlao en particulier) avaient dĂ©jĂ  une reconnaissance du “troisiĂšme genre” tandis que l'expression de l'amour entre tous les individus aptes Ă  l'exprimer, accepter ou refuser Ă©tait bienvenue. Les plus gros troubles se firent avec l'arrivĂ©e des colons eurysiens et des prĂ©jugĂ©s religieux qu'ils apportĂšrent. Il s'agit toutefois d'un autre exemple d'influences culturelles qui se sont faites des natifs aux colons, avec notamment une intĂ©gration lors des mariages d'alliance dans la classe aristocratique. Cette perception des droits et de la dĂ©fense des MinoritĂ©s Sexuelles a ensuite Ă©voluĂ© avec l'Ă©volution des connaissances sur le sujet, Ă  mesure que se modernisaient les travaux et Ă©tudes. La chose a Ă©tĂ© accueillie trĂšs organiquement dans la sociĂ©tĂ© sylvoise, dĂ©jĂ  bien empreinte de ces idĂ©ologies.

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités :
Il ne s'agit pas réellement de groupes de défense, la société sylvoise n'étant pas hostile, mais plutÎt d'accompagnement et de prévention. Ce sont des associations assez décentralisées réparties dans l'ensemble de Sylva pour informer et proposer un suivi aux individus encore non déclarés comme tel mais qui se sentiraient potentiellement comme des minorités sexuelles, sans pouvoir encore mettre les mots dessus.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée :

  • Divorce : LĂ©gal
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : LĂ©gale entre individu dans la mĂȘme tranche d'Ăąge. ConsidĂ©rant qu'il est impossible d'empĂȘcher les adolescents d'expĂ©rimenter la vie, on se contente de faire de la prĂ©vention Ă  l'Ă©cole pour qu'ils se protĂšgent. IllĂ©gale entre mineurs et majeurs, des mesures actives sont qui plus est appliquĂ©es pour lutter contre la pĂ©dophilie.
  • Relation sexuelle hors-mariage : LĂ©gale
  • Relation extra-conjugale : LĂ©gale
  • Polygamie : LĂ©gale
  • Contraception : LĂ©gale, avec prĂ©vention scolaire.
  • Adoption : LĂ©gale bien que le processus soit complexes.
  • Avortement : LĂ©gale
  • HomosexualitĂ© : LĂ©gale
  • Mariage homosexuel : LĂ©gale
  • Adoption homosexuelle : LĂ©gale
  • Transgenrisme : LĂ©gale et avec des aides de l'État inclus dans les assurances santĂ©s.

Groupe répondant à l'Appel : Un trÚs grand nombre, c'est à ce stade davantage un collectif de collectifs (La Fédération MakoumÚ KolÚ) pour représenter l'ensemble de ces mouvements indépendants.
Chef(fe) du groupe : Lydie Renaudin, désignée comme représentante par l'ensemble des collectifs représentés.
Membres total du groupe : La Fédération MakoumÚ KolÚ totalise deux centaines de membres, réparties dans un bon millier de collectifs hétérogÚne.
Popularité du groupe : PlutÎt élevée, la chose est bien acceptée en Sylva et déjà solidement ancré avec une évolution progressive depuis les approches déjà observées chez les populations natives.


Quelle sont les Législations défendues par le groupe concerné :
Pas vraiment de législation défendue, mais surtout une volonté d'accompagnement et expression pour les minorités sexuelles.[/list]
eNation d'Origine : Grande République de Velsna
Parti & Gouvernement au pouvoir : Faction des Hommes du Patrice (Conservateurs)
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir : Son excellence, Valéria Visconti, Patrice de Velsna (le Maitre de la Garde Carlos Pasqual représentera le gouvernement velsnien en cas de rencontre)

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : 500/10 (selon le gouvernement communal velsien actuel)
En thĂ©orie, l'homosexualitĂ© et la quasi totalitĂ© des minoritĂ©s sexuelles reconnues bĂ©nĂ©ficient depuis la fin du XXĂšme siĂšcle d'une dĂ©pĂ©nalisation lĂ©gale. Il relĂšve donc, selon la loi, d'une infraction et d'une atteinte Ă  autrui passible d'amende ou de peines de prisons dĂ©pendantes de la gravitĂ© et des circonstances de celles ci. Depuis 2014, le mariage homosexuel civil est reconnu Ă  Velsna au mĂȘme titre que cette dĂ©pĂ©nalisation. Cependant, cette loi n'a Ă©tĂ© adoptĂ©e que sur le territoire de la ville mĂȘme de Velsna, et dans les citĂ©s de droit velsnien, car la majoritĂ© des entitĂ©s administratives velsniennes sont semi-autonomes sur le sujet des mƓurs. Dans les faits donc, seule une minoritĂ© de citĂ©s ont adoptĂ© des textes similaires en plus de Velsna mĂȘme. Quant Ă  l'adoption des couples homosexuels et la grossesse par procrĂ©ation assistĂ©e, elles ne sont pas encore Ă  l'ordre du jour, mĂȘme si le changement progressif des mentalitĂ©s permet d'envisager un rĂ©forme dans un avenir proche.

Comme sous entendu, la sociĂ©tĂ© velsnienne, bien que de plus en plus permĂ©able Ă  une ouverture libĂ©rale envers les minoritĂ©s sexuelles, est encore profondĂ©ment marquĂ©e par un certain conservatisme. La tolĂ©rance envers l'homosexualitĂ© sur le plan lĂ©gal ne doit pas cacher un certain nombre de rĂ©flexes dont l'habitus velsnien est marquĂ©, tout particuliĂšrement au sein des Ă©lites politiques, de la vieille aristocratie sĂ©natoriale, ou mĂȘme des milieux du crime organisĂ©, dont les structures sont encore marquĂ©es par une organisation patriarcale. La tendance est nĂ©anmoins Ă  l'ouverture, et on observe un nombre croissant de femmes prĂ©sentes dans les plus hautes instances de la citĂ©, que ce soit au SĂ©nat ou dans les rangs de l'armĂ©e, de mĂȘme que la communautĂ© homosexuelle velsnienne possĂšde une organisation de plus en plus poussĂ©e sur les rĂ©seaux, qui leur permet progressivement de s'Ă©riger en groupe d’intĂ©rĂȘt, qui a entre autre permis de faire pression sur le gouvernement communal en faveur de la reconnaissance du mariage homosexuel. Concernant les minoritĂ©s bisexuelles, asexuelles, non-binaires, transsexuelles et autres, le dĂ©bat est en revanche toujours considĂ©rĂ© comme embryonnaire. Le point positif pour ces minoritĂ©s, est que le gouvernement communal velsnien soit actuellement dans une posture de dynamique de reconnaissance et d'accetation du dĂ©bat sur ces sujets.

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités :
Le milieu associatif se consacrant Ă  la dĂ©fense des minoritĂ©s sexuelles existe et est actif, mais il est marquĂ© par une certaine division en fonction des intĂ©rĂȘts en chacun. Ainsi, il n'existe pas d'association rassemblant la somme e tous ces interĂȘts, et chaque minoritĂ© semble Ă©voluer dans un couloir trĂšs prĂ©cis limitĂ© par leurs interĂȘts propres. Certaines associations sont plus puissantes que d'autres: la FraternitĂ© de l'arc en ciel pratique depuis plusieurs dĂ©cennies un lobbying pour la reconnaissance es droits homosexuels, et a obtenu un certain nombre de victoires depuis. Il en existe d'autres, mais la FAC est la plus puissance de toutes.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée :

  • Divorce : LĂ©gal depuis 1971
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : LĂ©gale et dĂ©pĂ©nalisĂ©e depuis 1975. Cette attitude ne vaut qu'entre individus mineurs de la mĂȘme tranche d'Ăąge cependant, sans quoi elle est lourdement rĂ©prĂ©hensible, pas tant en vertu du mariage que des lois ayant cours sur le dĂ©tournement de mineurs et la pĂ©dophilie. Portant, dans les faits, lĂ  encore, les rĂ©flexes conservateurs velsniens ont ralenti une diffusion aussi des comportements appropriĂ©s que celles qui figurent dans la loi. Il existe un retard certain en matiĂšre de prĂ©vention de la pĂ©dophilie, alors mĂȘme qu'un certain nombre de scandales ont pu par la passĂ© affecter l'Eglise catholane velsnienne.
  • Relation sexuelle hors-mariage : LĂ©gale depuis 1962
  • Relation extra-conjugale : LĂ©gale depuis 1962 en thĂ©orie, mais ans les faits, lĂ  encore il existe une inĂ©galitĂ© de fait entre hommes et femmes. MalgrĂ© la naissance rĂ©cente d'un grand mouvement de lutte contre les VSS, les violences conjugales demeurent un problĂšme, en particulier dans les rĂ©gions reculĂ©es e la RĂ©publique, oĂč les rapports sociaux sont encore considĂ©rĂ©s comme archaĂŻques.
  • Polygamie : IllĂ©gale.
  • Contraception : LĂ©gale, mais sans efforts de prĂ©vention notables.
  • Adoption : LĂ©gale.
  • Avortement : LĂ©gale depuis 2002
  • HomosexualitĂ© : LĂ©gale depuis 1975
  • Mariage homosexuel : LĂ©gale
  • Adoption homosexuelle : IllĂ©gale
  • Transgenrisme : DĂ©pĂ©nalisĂ©e mais non reconnue

Groupe rĂ©pondant Ă  l'Appel : Un nombre raisonnable, Ă  l'image de la FAC. Mais il est notable qu'un grand nombre de ces groupes bĂ©nĂ©ficient d'une reconnaissance de l'Ă©tat velsnen en tant que groupes d’intĂ©rĂȘts dĂ©clarĂ©s, ce qui leur accore un pois politique rĂ©el.
Chef(fe) du groupe : Carlos Pasqual, Maßtre de la Garde e la Grande République, mais cete figure semble contestée en interne, et décrite comme relevant "'un opportunisme risible".
Membres total du groupe : Plusieurs centaines de manifestants, our la plupart membres de petits groupes Ă©clatĂ©s. Le groupe de Carlos Pasqual ne paraĂźt pas faire l’unanimitĂ©, et le cortĂšge risque d'ĂȘtre dispersĂ© dans la foule.
Popularité du groupe : Raisonnable, la plupart de ces groupes sont reconnus par le gouvernement velsnien, et la présence de Carlos Pasqual est une source de légitimité supplémentaire, mais une bonne partie de la population velsnienne risque de demeurer indifférente à la cause.


Quelle sont les Législations défendues par le groupe concerné :
Le cortĂšge velsnien dispose d'un certain nombre de revendications qui l'affecte tout particuliĂšrement. L'adoption pour les couples homosexuels constitue le grand combat du moment, de mĂȘme que la reconnaissance lĂ©gale du transgenrisme, dont la cause souffre d'un retard certain Ă  Velsna. [/list]

Nation d'Origine : Royaume de Teyla
Parti & Gouvernement au pouvoir : Angel Rojas, Premier ministre de Sa Majesté. Gouvernement Rojas I. Le parti au pouvoir est un parti de gauche selon le champ politique teylais, le Mouvement Royaliste et d'Union.
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir : Rosalie Chabas concernant la cheffe du parti.
Son Excellence Angel Rojas, Premier ministre de Sa Majesté.
Catherine Courvoisier, dit Sa Majesté Catherine III


Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : Entre 9 et 10.
L'Ă©volution de la condition LGBT au Royaume de Teyla suit une constante tout au long des XIXᔉ et XXᔉ siĂšcles et est fortement dĂ©pendante du contexte gĂ©nĂ©ral et de la couleur politique dominante, soit l'administration sous l'autoritĂ© royale, lorsque le pays Ă©tait une monarchie absolue, ou alors de la couleur du gouvernement de Sa MajestĂ© dĂ©pendant fortement de la couleur de l'AssemblĂ©e nationale. Les premiers actes de dĂ©pĂ©nalisation concernant la communautĂ© LGBT, bien qu'il s'agisse d'un anachronisme, apparaissent aprĂšs la guerre civile, soit en 1869 et durant les annĂ©es de mandat d'Opinion De Tour, le premier et seul rĂ©publicain ayant occupĂ© la fonction de Premier ministre. Sous le mandat d'Opinion De Tour, on retrouve la dĂ©pĂ©nalisation du crime de sodomie ou encore la fin du divorce uniquement rĂ©servĂ© aux hommes. Les femmes peuvent dĂ©sormais prononcer le divorce. Comme nous le verrons ci-dessous, la continuitĂ© de ces droits aprĂšs Opinion De Tour est bancale et suit l'Ă©volution du contexte religieux e politique. Concernant le contexte religieux, le pays n'a plus aucune religion d'État et l'athĂ©isme et l'agnosticisme atteignent toutes les couches de la sociĂ©tĂ©, y compris les Ă©lites.

Actuellement, les droits pour la communautĂ© LGBT se portent bien au Royaume de Teyla. Ils sont protĂ©gĂ©s indirectement par le bloc de constitutionnalitĂ©, qui garantit des principes gĂ©nĂ©raux d'Ă©galitĂ© et de non-discrimination, rendant toute tentative d'abolition desdits droits impossible dans les faits et dans le contexte politique actuel du Royaume de Teyla. En effet, la majoritĂ© des forces politiques et donc susceptibles de nommer les juges Ă  la Cour Constitutionnelle Royale sont pour la dĂ©fense et la prĂ©servation a minima des droits LGBT au Royaume de Teyla. Plusieurs forces politiques, comme le Mouvement Royaliste et d'Union ou encore Avenir, vont plus loin dans leurs propositions et souhaitent faire de la lutte LGBT une lutte politique et alerter les consciences sur l'arrivĂ©e au pouvoir d'un parti comme le Parti Royaliste (extrĂȘme droite). Au regard des droits actuels, les partis se contentent d'amĂ©liorer les dĂ©marches pour les couples homoparentaux ou encore de changement de sexe auprĂšs de l'administration.

Par ailleurs, plusieurs associations et partis politiques poussent pour que le genre, Ă©noncĂ© par la personne, remplace la catĂ©gorie 'sexe' sur la carte d'identitĂ© et pas seulement. Le champ politique teylais compte dĂ©sormais peu de discours homophobes ou anti-LGBT au sein de ses courants dominants et des partis de gouvernement. Cependant, le Royaume de Teyla n'est pas une ruche oĂč tout le monde a le mĂȘme avis. Il existe donc un discours anti-LGBT et homophobe dans certaines sphĂšres politiques Ă  l'extrĂȘme droite comme dans certains courants politiques dits "rouge-bruns". Ces discours n'atteignent pour l'heure l'ensemble de la sociĂ©tĂ© civile et restent cantonnĂ©s Ă  des catĂ©gories sociales ou des zones gĂ©ographiques.

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités :
Le tissu associatif est un fondement de la sociĂ©tĂ© civile teylaise. Le systĂšme social (Ă©conomique) au niveau de l'État central ou rĂ©gional est le principal manque ou le principal atout du Royaume de Teyla, selon le point de vue. Le tissu associatif a toujours Ă©tĂ© trĂšs prĂ©sent, notamment depuis les politiques de Pierre Lacombe dans les annĂ©es mille neuf cent quatre-vingt afin de compenser le manque d'un État providence. Ces associations sont tout autant poussĂ©es par l'hĂ©ritage catholique envers les pauvres de la droite que par l'hĂ©ritage culturel et associatif de la gauche. Le paysage associatif au Royaume de Teyla est divers. Tout comme les valeurs politiques, il existe des branches associatives liĂ©es Ă  l'hĂ©ritage de l'Église qui a toujours jouĂ© un grand rĂŽle envers les dĂ©munis au Royaume de Teyla, dans l'objectif de reconquĂ©rir le cƓur des masses.

D'une certaine façon complĂ©mentaire, il existe tout un systĂšme associatif liĂ© Ă  l'hĂ©ritage militant et culturel de la gauche. On y retrouve toute une gamme d'associations LGBT et elles offrent toutes une gamme d'assistance et de services aux personnes LGBT. Bien qu'il n'existe pas de plateforme commune rĂ©unissant les acteurs associatifs, les associations ont la culture du dialogue entre elles, mĂȘme si elles proviennent de deux cultures associatives diffĂ©rentes. Il n'est pas rare de voir des projets, initiatives communs entre plusieurs associations ou encore des appels aux dons communs.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée :

  • Divorce : LĂ©gal, et peut-ĂȘtre entrepris sans discrimination liĂ©e au sexe ou au genre. Cette non-discrimination se retrouve dans les textes lĂ©gislatifs passĂ©s par le gouvernement De Tour, durant l'annĂ©e 1870. GrĂące Ă  une guerre civile de plus de vingt ans, des mouvements insurrectionnels, un monarque progressiste et qui est en dehors des pensĂ©es religieuses, De Tour arrive Ă  faire accepter cette rĂ©forme aux yeux des royalistes les plus modĂ©rĂ©s et le texte passe avec les voix rĂ©publicaines et une dizaine de royalistes. Cependant, lorsque les conservateurs ont repris le pouvoir, avec l'aide des rĂ©actionnaires, la lĂ©gislation a changĂ© et la femme s'est vue contrainte de plusieurs conditions pour pouvoir demander le divorce. Le retour en arriĂšre Ă©tait prĂ©sent, bien que pas total. Il existe un jeu de va-et-vient. Mais le gouvernement de Rose MivĂšrgne, dans les annĂ©es soixante, a entĂ©rinĂ© le divorce sans discrimination de sexe et de genre.

  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : IllĂ©gale. La pĂ©docriminalitĂ© n'est pas autorisĂ©e par le Royaume de Teyla.

  • Relation sexuelle hors-mariage : LĂ©gale.Les relations sexuelles hors mariage sont dĂ©pĂ©nalisĂ©es depuis l'annĂ©e 1869, soit la premiĂšre annĂ©e du mandat d'Opinion De Tour, le seul rĂ©publicain ayant accĂ©dĂ© au poste de Premier ministre depuis la guerre civile au XVIIᔉ siĂšcle.

  • Avant cette pĂ©riode charniĂšre pour l'Ă©volution du Royaume de Teyla, les relations sexuelles hors mariage Ă©taient non seulement rĂ©prouvĂ©es moralement, mais souvent passibles de sanctions lĂ©gales et sociales sĂ©vĂšres dans l'ensemble des territoires du Royaume, y compris les colonies. L'arrivĂ©e d'Opinion De Tour au pouvoir entraĂźne un changement politique crucial et semble ĂȘtre la premiĂšre vraie bascule politique teylaise depuis l'avĂšnement de la monarchie de droite divine, outre la guerre civile. Bien entendu, cette mesure progressiste provoqua des cris d'orfraie et une indignation farouche de la part des factions conservatrices et rĂ©actionnaires de l'Ă©poque. Les cercles rĂ©actionnaires et conservateurs fustigĂšrent la mesure prise et dĂ©noncĂšrent la perte des valeurs morales de la sociĂ©tĂ© teylaise et du pouvoir politique, y voyant le signe d'un dĂ©but de mesures libĂ©rales.

    Cependant, les élites intellectuelles et dirigeantes de la nation se sont vite converties à un athéisme ou agnosticisme. Ce basculement majeur ne fut pas sans conséquence sur le Royaume de Teyla et les prochains gouvernements dits de droite. L'emprise religieuse, déjà mise à mal en sortie de guerre civile, s'est vue s'éteindre tout au long des années mille huit cent soixante-dix et quatre-vingt. Les dirigeants politiques étaient de moins en moins religieux. De ce fait, lorsque la droite revint au pouvoir, elle ne reviendra pas sur cette mesure.

  • Relation extra-conjugale : LĂ©gale. Avant le mandat de Pierre Lacombe, les relations extra-conjugales en cas de mariage Ă©taient interdites par la lĂ©gislation teylaise. Elles constituaient une faute morale dans un couple liĂ© par les liens du mariage civil (le seul faisant foi au sein des autoritĂ©s teylaises). Mais c'Ă©tait sans compter sur le passage du trublion de la droite royaliste, Pierre Lacombe. Issu d'un courant politique plutĂŽt conservateur concernant le sociĂ©tal et libĂ©ral, trĂšs libĂ©ral sur l'Ă©conomie. Toutefois, ce dernier semblait, somme toute, assez cohĂ©rent avec lui-mĂȘme. Estimant que la tromperie Ă©tait une affaire privĂ©e et qui ne concernait en rien l'État, il mit fin Ă  cette illĂ©galitĂ©. Comme il le dira aux membres de l'AssemblĂ©e nationale, contre son propre camp et la gauche :

  • "J'ai l'intime conviction, honorables dĂ©putĂ©s, et je m'excuse par avance de mon impertinence, que chaque dĂ©putĂ© contre cette loi de bon sens, car il n'est pas de l'État de se mĂȘler de ce genre d'affaire, est cocu par sa conjointe ou son conjoint."

    La phrase de Pierre Lacombe provoqua un vent de colĂšre jamais vu dans l'enceinte de l'AssemblĂ©e nationale et des huissiers durent retenir les dĂ©putĂ©s les plus allants et qui voulaient en venir aux mains. Ces dĂ©putĂ©s qui voulaient en venir aux mains furent appelĂ©s par la presse "les vĂ©ritables cocus" ou encore "En une seule phrase, le Premier ministre dĂ©masque ceux qui pensent ĂȘtre trompĂ©s, grotesque et magistral Ă  la fois". Il enchaĂźna une fois les esprits calmĂ©s :

    "Voyez-vous, toute l'hypocrisie dĂ©montrĂ©e ici, honorables collĂšgues. Ma provocation n'avait pas d'autre objectif que de montrer notre hypocrisie collective Ă  laquelle je propose de mettre fin. Qui est l'État pour dĂ©cider qu'une tromperie dĂ©ciderait d'une pension plus Ă©levĂ©e, d'un interdit bancaire, d'une garde favorable au conjoint qui n'a pas fautĂ© ? L'État se doit de punir les dĂ©rives mais pas celles-ci qui restent privĂ©es et peuvent faire l'objet d'un accord commun pour autoriser les relations extra-conjugales."

    La loi fut adoptée à une voix prÚs et ne fut jamais remise en cause depuis.

  • Polygamie : LĂ©gale en l'absence de lĂ©gislation. Parce que vous avez des lois sur le sujet ? Si vous le dites.

  • Contraception : LĂ©gale. Se poser la question de la lĂ©galisation de la contraception au Royaume de Teyla est une erreur d'analyse du Royaume de Teyla. Il faut plutĂŽt parler de la date Ă  laquelle on observe un dĂ©but de dĂ©mocratisation de la contraception ou, plus largement, d'un contrĂŽle de la natalitĂ© dĂ©cidĂ© de maniĂšre individuelle et non forcĂ©e par un individu extĂ©rieur. En outre, le Royaume de Teyla a vu assez tĂŽt, dans les annĂ©es mille huit cent quatre-vingt-seize, l'ouverture d'une premiĂšre clinique de "contrĂŽle des naissances" Ă  Manticore, la capitale du Royaume de Teyla.

  • La clinique et celles qui ont suivi ont profitĂ© d'un vide juridique, c'est-Ă -dire de l'absence de lĂ©gislation sur le sujet de la contraception. Il est Ă©vident que la prĂ©cocitĂ© de la clinique est notamment due au fait que la sociĂ©tĂ© civile et politique Ă©tait, Ă  la fin des annĂ©es mille huit cent quatre-vingt-dix, beaucoup moins religieuse qu'au milieu du mĂȘme siĂšcle. La clinique n'avait pas pour but d'entamer une lutte politique, en l'absence de juridiction interdisant l'existence de la clinique, mais bel et bien d'informer les femmes sur le sujet de la contraception. La clinique et, plus tard, ses cliniques sƓurs prĂ©conisaient des conseils, fournissaient des moyens contraceptifs comme le diaphragme. La clinique fut aidĂ©e par la municipalitĂ© de Manticore.

    Bien qu'au dĂ©part les autoritĂ©s gouvernementales fussent rĂ©ticentes et n'entamĂšrent aucune campagne de publicitĂ© ou de propagande en faveur de la contraception, mĂȘme sous les gouvernements de centre-gauche par pure mĂ©connaissance du sujet et par rejet, la premiĂšre campagne informative sur le sujet de la contraception fut menĂ©e par un organisme privĂ©. Une entreprise Ă©tait Ă  la manƓuvre, face Ă  l'absence de ses employĂ©es durant leurs grossesses. Du pur cynisme qui heurta et provoqua la colĂšre des mouvements fĂ©ministes. Il fallut deux mois pour qu'une premiĂšre clinique, aux attentions bonnes et sans cynisme, fasse suite Ă  cette campagne, en provoquant leur campagne informative sur le sujet de la conception. Jusqu'aux annĂ©es trente, le centre-gauche gouverna le pays et la libertĂ© d'action prĂ©valut sur tout le reste.

    C'est sous l'impulsion du Gouvernement de Rose MivĂšrgne que l'État se prĂ©occupa de la question. En outre, les mandats de Rose MivĂšrgne permirent d'intĂ©grer et de renforcer, dans l'Ă©cole publique et privĂ©e, l'obligation de cours informatifs sur le sujet de la contraception, de la reproduction humaine et sur les violences sexuelles. La dĂ©mocratisation de la contraception se fit sous le mandat de Rose MivĂšrgne. Plus encore, l'État mena des campagnes de prĂ©vention et d'information sur tous ces sujets. Sous le mandat de Pierre Lacombe, la rĂ©gression sur ces sujets fut prĂ©sente. ConsidĂ©rant qu'il n'est pas du rĂŽle de l'État de s'occuper de sujets "Ă©minemment privĂ©s", l'État stoppa tous les financements pour les campagnes de prĂ©vention et d'information organisĂ©es par l'État. Toutefois, les sujets restĂšrent prĂ©sents Ă  l'Ă©cole, bien que le temps consacrĂ© fut rĂ©duit. Concernant les campagnes de prĂ©vention et d'informations, le tissu associatif prit le relais, autant que possible.

    On revint Ă  la situation MivĂšrgne avec le retour de la gauche au dĂ©but des annĂ©es deux mille et Ă  la fin des annĂ©es quatre-vingt-dix. Depuis, l'État reste un acteur important, mais son rĂŽle reste fragile en l'absence, toujours, d'une lĂ©gislation sur le sujet.

  • Adoption : LĂ©gale.

  • Avortement : LĂ©gale. L'avortement suit le mĂȘme processus que le Transgenrisme, ce rĂ©fĂ©rer Ă  cette catĂ©gorie.

  • HomosexualitĂ© : LĂ©gale. DĂ©pĂ©naliser depuis 1870, avec la dĂ©pĂ©nalisation du crime de sodomie au niveau national, aprĂšs la guerre civile. Cette dĂ©pĂ©nalisation n’a pas empĂȘchĂ© certaines pĂ©riodes oĂč l’État a restreint cette pratique ou menĂ© une rĂ©pression contre les personnes LGBT. Depuis les annĂ©es Rose MivĂšrgne (1958-70), personnalitĂ© de la gauche teylais, la dĂ©pĂ©nalisation des relations homosexuelles n'est plus remise en cause par la classe dirigeante malgrĂ© les changements d'administration qu'il a pu y avoir. Toutefois, une partie de la casse politique reste homophobe dans ses pratiques et ses dires.

  • Mariage homosexuel : LĂ©gale, depuis 1961. Contrairement aux autres droits majeurs, la pĂ©riode post-guerre civile ne fut pas une pĂ©riode permettant la lĂ©galisation du mariage homosexuel. Toutefois, il ne faut pas oublier que l'autorisation du mariage entre deux personnes du mĂȘme sexe a donnĂ© lieu Ă  de nombreux dĂ©bats durant les annĂ©es mille huit cent soixante-dix et ne fut jamais un combat oubliĂ© par la gauche. Mais les divers contextes politiques ont toujours fait que l'autorisation n'Ă©tait pas possible. Toutefois, l'arrivĂ©e de la premiĂšre femme PremiĂšre ministre, en mille huit cent cinquante-huit, change la donne et permet l'adoption du mariage entre deux personnes du mĂȘme sexe en mille neuf cent soixante et un.

  • Si un maire ne souhaite pas marier un couple de mĂȘme sexe, alors la loi autorise la justice Ă  prononcer la perte de fonction pour le maire en question.

  • Adoption homosexuelle : LĂ©gale. Comme la plupart des autres droits LGBT, le gouvernement de Sa MajestĂ© conduit par Rose MivĂšrgne marque la date de la derniĂšre lĂ©galisation de ce droit primordial. À la diffĂ©rence des autres droits, c'est ici la derniĂšre lĂ©galisation mais aussi la premiĂšre lĂ©galisation de l'adoption pour les couples homoparentaux. Cette avancĂ©e est ancrĂ©e en mĂȘme temps que l'adoption du mariage entre personnes de mĂȘme sexe, Ă©tant donnĂ© que les mesures font partie de la mĂȘme loi. Ainsi, l'adoption pour les couples de mĂȘme sexe est entĂ©rinĂ©e en 1961 et signĂ©e deux semaines aprĂšs par Sa MajestĂ© François VI, soit pile Ă  la fin du dĂ©lai constitutionnel, dĂ©montrant la rĂ©ticence de François VI pour cette loi progressiste.

  • GrĂące au Gouvernement de Rose MivĂšrgne avec son cĂ©lĂšbre discours, les procĂ©dures pour adopter n'Ă©taient pas plus difficile que pour les couples hĂ©tĂ©rosexuels : "Je signerai l'arrĂȘt de mort de mon gouvernement pour que les droits de chaque personne, chaque Teylais soient reconnus dans cette chambre qui se prĂ©tend ĂȘtre le temple de la dĂ©mocratie. Alors oui, si la reconnaissance des droits pour chaque Teylais, l'un des principes fondateurs de notre chĂšre nation, honorables dĂ©putĂ©s, doit entraĂźner la chute de mon Gouvernement, qu'il en soit ainsi. L'histoire, honorables dĂ©putĂ©s, retiendra le nom de ceux qui oseront, en ce jour, bafouer les principes mĂȘmes du Royaume de Teyla, rejetteront l'amour, jetteront en pĂąture nos propres citoyens car ils refusent de balayer la peur dans leur esprit, si faible soit-il. Je n'ai qu'une question aux personnes ici prĂ©sentes rĂ©ticentes envers ce projet de loi : Est-ce que vous osez dĂ©clarer Ă  Sa MajestĂ© que certains de ses sujets sont toujours sujets Ă  des discriminations d'un temps passĂ© mais surtout d'un temps rĂ©volu ?"

    Un discours salutaire et s'attaquant directement Ă  la figura royale indirectement.

  • Transgenrisme : LĂ©gale. La reconnaissance du transgenrisme par l'État teylais reprĂ©sente une avancĂ©e majeure du XXᔉ siĂšcle au Royaume de Teyla. Avant cette reconnaissance lĂ©gale, les personnes transgenres vivaient dans une invisibilitĂ© juridique quasi totale et des discriminations.

  • Avant cette reconnaissance lĂ©gale, les personnes transgenres Ă©taient contraintes de vivre en dĂ©calage flagrant entre leur identitĂ© profonde et leur statut juridique. Elles ne pouvaient pas faire changer leur genre auprĂšs de l'État civil et de l'administration teylaise. Aux yeux de la loi et des institutions, elles restaient du sexe et du genre assignĂ©s Ă  leur naissance, peu importe leur identitĂ© vĂ©cue et cela, peu importe les 'preuves' qu'elles pouvaient donner Ă  l'administration. Les combats juridiques Ă©taient vains.

    De ce fait et face Ă  cette rĂ©alitĂ© implacable, et bien avant que l'État n'intervienne en faveur des reconnaissances tant attendues, les cercles LGBT Ă©taient fortement actifs dans le militantisme afin de venir en aide Ă  ces personnes, sĂ»rement les plus discriminĂ©es de leur communautĂ©. Jusqu'aux annĂ©es cinquante, ce militantisme ne prenait pas une forme de mise en avant publique Ă  travers des manifestations ou actions coup de poing. Il y en avait, mais ce n'Ă©tait pas la majoritĂ© des actes militants, comme le dĂ©montre Jean Burtat dans son livre "Teyla et les LGBT, une histoire particuliĂšre", un travail saluĂ© par tous les chercheurs et intellectuels teylais. Les actes militants Ă©taient avant tout des actes de survie, face Ă  la violence politique et publique (discrimination, passage Ă  tabac, etc.).

    Dans ce contexte particuliĂšrement menaçant, des milices LGBT se sont formĂ©es dans certaines grandes villes du pays. D'autant plus qu'Ă  partir de l'annĂ©e mille neuf cent vingt-neuf, la droite revient au pouvoir avec l'intention d'augmenter la rĂ©pression sur la communautĂ© LGBT et pratiquant des actes contraires Ă  certaines valeurs morales des familles politiques de droite. Ces milices n'avaient pas pour objectif de rechercher l'affrontement avec les autoritĂ©s et forces de l'ordre, bien au contraire. Elles Ă©taient des forces d'autodĂ©fense contre les actes anti-LGBT et reprĂ©sentaient, sous une forme 'armĂ©e', une solidaritĂ© communautaire, souvent clandestine. Leurs activitĂ©s consistaient principalement en des patrouilles nocturnes. Ces volontaires s'assuraient de la sĂ©curitĂ© des espaces de rencontre communautaires (bars, clubs, crushing, etc.) ainsi que des quartiers oĂč les populations LGBT Ă©taient importantes en nombre. Outre ces patrouilles, les groupes communautaires s'assuraient que les domiciles des personnes LGBT n'Ă©taient pas forcĂ©s ou encore cambriolĂ©s. Au regard du contexte de l'Ă©poque, la police enquĂȘtait rarement sur les incidents impliquant des personnes transgenres et parfois simplement gay ou lesbiennes. Une rĂ©ponse face Ă  l'inaction des autoritĂ©s publiques.

    Toutefois, face au pouvoir de la Fédération Conservative, des villes comme Manticore, qui pouvaient passer à gauche, afficher une tolérance, voire aider, ces cercles LGBT clandestins ou publiquement. Les maires de gauche laissaient souvent libre cours aux activités drags et donnaient plus facilement les licences pour les bars et lieux LGBT. Cela, mis bout à bout, permit de faire de la communauté LGBT l'une des communautés les plus politiques au Royaume de Teyla. Elle a mis en avant plusieurs sujets dans le débat public à différentes périodes. Le sujet des droits civiques doit beaucoup à la communauté LGBT au Royaume de Teyla et Rose MivÚrgne l'a signifié dans un discours en mille neuf soixante-cinq. Année de la reconnaissance du transgenrisme et de la possibilité de changer de genre auprÚs de l'Etat-civil.


Groupe répondant à l'Appel : Un rassemblement d'associations et collectifs LGBT teylais.

Chef(fe) du groupe : Son Excellence Pierre Lore ministre des Affaires EtrangÚres du Royaume de Teyla. Il a déjà préparé son petit pin's sur son costume et rattrapé tous les épisodes de Drag Race Teyla. Ce qui a valu une story sur un réseau social : "En train de regarder les vraies reines et les vrais rois de notre Royaume".

Membres total du groupe : Entre 50 et 100. Des députés de tous les groupes parlementaires, traducteurs, des victimes ayant subit des aggressions en raison de leur orientation sexuelle, des victimes de violences conjugales et de VSS.

PopularitĂ© du groupe : Reconnaissant bien lĂ  un sujet durant les dĂ©bats oĂč la voix du Royaume de Teyla et sa morale devra compter, voire prĂ©valoir. Les diffĂ©rentes associations et collectifs LGBT ont fait appel au Gouvernement de Sa MajestĂ©, un Ă©lĂ©ment qui renforce la lĂ©gitimitĂ© de la population. D'autant plus que le Gouvernement de Sa MajestĂ© n'a jamais Ă©tĂ© aussi haut dans les sondages d'opinion grĂące Ă  l'effet drapeau de la guerre contre la PrincipautĂ© de Carnavale et le ciblage de la principautĂ© contre les aĂ©roports teylais. Le soutien n'aurait pas pu ĂȘtre plus Ă©levĂ© qu'il ne l'est actuellement.

Quelle sont les Législations défendu par le groupe concerné :

Au niveau du Royaume de Teyla, les associations et donc le groupe, ne défend pas grand chose, les droits étant acquis et pas remis en cause sur le court et moyen terme.

C'est au niveau des initiatives internationales que Pierre Lore voudra avant tout s'exprimer.



Ne me remercier pas, c'est cadeau.

Nation d'Origine : République Actionnariale de CRAMOISIE©
Parti & Gouvernement au pouvoir : Société Luciférienne Carnavalaise (SLC)
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir : Bartholoméon de Petipont

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : 10

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la défense des minorités : Oui

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée:

  • Divorce : LĂ©gal depuis 2017
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : LĂ©gale depuis 2017
  • Relation sexuelle hors-mariage : LĂ©gale depuis 2017
  • Relation extra-conjugale : LĂ©gale depuis 2017
  • Polygamie : LĂ©gale depuis 2017
  • Contraception : LĂ©gale depuis 2017
  • Adoption : LĂ©gale depuis 2017
  • Avortement : LĂ©gale depuis 2017
  • HomosexualitĂ© : LĂ©gale depuis 2017
  • Mariage homosexuel : LĂ©gal depuis 2017
  • Adoption homosexuelle : LĂ©gale depuis 2017
  • Transgenrisme : LĂ©ga depuis 2017

Groupe répondant à l'Appel : Société Luciférienne Carnavalaise (SLC)
Chef(fe) du groupe : Lusylvie SceaustĂšre
Membres total du groupe : Plusieurs millions d'actionnaires
PopularitĂ© du groupe : ExtrĂȘme


Quelle sont les Législations défendues par le groupe concerné :

  • Transhumanisme total, suivi mĂ©dical remboursĂ© Ă  100% pour toute transformation physique (dont les transitions)
  • SystĂ©matisation de l'hermaphrodisme pour les nouvelles gĂ©nĂ©rations grĂące Ă  l'eugĂ©nisme et aux opĂ©rations gĂ©niques intra-utĂ©rines afin de dĂ©passer le genre
  • Abolition de toutes les normes et tabous sexuels dans la sociĂ©tĂ©
  • Mise en place d'une politique publique du plaisir
Nation d'Origine :
Parti & Gouvernement au pouvoir :
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir :

Sur une échelle de 1 à 10, quelle est la tolérance de la nation envers les Minorités Sexuelles : 9.5/10

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la dĂ©fense des minoritĂ©s : Sterus Ă©tant basĂ© sur une culture reprenant les codes de la Rome antique dans une version modernisĂ© considĂ©re les relations sexuelles et sentimentales entre personnes de mĂȘme sexe comme Ă©tant une norme. MĂȘme les catholiques du pays considĂšrent que du moment que la relation est faite Ă  travers l’union sacrĂ©e alors celle ci est valable.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée:

  • Divorce :
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : Interdite
  • Relation sexuelle hors-mariage : AutorisĂ©
  • Relation extra-conjugale : interdite sans accord du partenaire
  • Polygamie : Interdite ( Les relations sexuelles Ă  plusieurs sont encouragĂ©, mais les relations sentimentales et union ne le sont pas)
  • Contraception : lĂ©gale
  • Adoption : lĂ©gale si couple mariĂ© (peu importe le sexualitĂ©)
  • Avortement : lĂ©gale sous conditions
  • HomosexualitĂ© : lĂ©gale
  • Mariage homosexuel : lĂ©gal
  • Adoption homosexuelle : lĂ©gale
  • Transgenrisme :
Interdite au moins de 30 ans

Groupe répondant à l'Appel :
Chef(fe) du groupe : Mayron Fagrior
Membres total du groupe : ~ 3 500 membres
Popularité du groupe : assez suivi dans les milieux de gauche et du centre


Quelle sont les Législations défendu par le groupe concerné :

  • LĂ©galisation du transgenrisme aux majeurs Ă  partir de 18 ans
  • LĂ©galisation de la non binaritĂ© et d’autres genres
  • Autorisation pour les transgenres d’accĂ©der aux salles dites de partouze et/ou gang bang des centres de plaisirs
Nation d'Origine : TroisiÚme République du Jashuria
Parti & Gouvernement au pouvoir : Le Cercle Intérieur - partage des ministÚres entre les différents partis
Chef(fe) du parti & Dirigeant au pouvoir : Nantipat Sisrati, Premier Ministre
Sur une Ă©chelle de 1 Ă  10, quelle est la tolĂ©rance de la nation envers les MinoritĂ©s Sexuelles :9/10 / De par ses traditions libĂ©rales, le Jashuria ne pratique pas de discriminations envers les minoritĂ©s sexuelles, pas plus qu’il ne les cĂ©lĂšbre. Le pays considĂšre que ce qui se passe dans l’intimitĂ© des couples est du ressort du privĂ© et qu’il n’a pas Ă  intervenir dedans, sauf en cas de danger manifeste pour la sĂ©curitĂ© des personnes (ex : violences conjugales, maltraitance d’enfants, 
). Le maĂźtre-mot du Jashuria est de limiter au maximum de se mĂȘler du privĂ©, tant que les individus ne sont pas dans des situations Ă  risques. Le pays cherche Ă  respecter trois principes Ă©thiques minimaux : le principe de non-nuisance, celui d’égale considĂ©ration et le principe d’indiffĂ©rence morale du rapport Ă  soi.

Avez-vous une Association/Organisation en rapport avec la dĂ©fense des minoritĂ©s : MalgrĂ© la tolĂ©rance de la population jashurienne Ă  l’égard des minoritĂ©s sexuelles, le Jashuria ne peut pas empĂȘcher qu’il puisse exister des situations Ă  risques pour les personnes (notamment les mineurs qui se dĂ©couvrent homosexuels ou transgenres). Des associations ont vu le jour et se sont positionnĂ©es pour la dĂ©fense des personnes les plus vulnĂ©rables. Les associations et les organisations en rapport avec la dĂ©fense des minoritĂ©s tombent dans le giron du MinistĂšre de la SantĂ©, qui veille Ă  ce que des campagnes de sensibilisation soient rĂ©alisĂ©es et que les informations soient diffusĂ©es aux jeunes pour Ă©viter les situations Ă  risques.

Sur les Législations suivantes, quelle est la position de la nation concernée:

Les informations suivantes sont tirées de la Constitution du Nouveau Millénaire, qui a consacré la création de la TroisiÚme République du Jashuria.

  • Divorce : AutorisĂ© /// Le divorce est autorisĂ© au Jashuria. Le pays Ă©tant laĂŻc, le pays ne dispose pas - et heureusement ! - de tribunaux religieux.
  • Relation sexuelle hors-majoritĂ© sexuelle : Interdite /// Les relations sexuelles hors-majoritĂ© sexuelle sont interdites au Jashuria et sĂ©vĂšrement rĂ©primĂ©es. Les tribunaux ne plaisantent pas avec la sĂ©curitĂ© des enfants et n’hĂ©sitent pas Ă  mettre des peines maximales aux adultes qui se rendent coupables de ces crimes.
  • Relation sexuelle hors-mariage : AutorisĂ© /// Les relations hors mariage sont autorisĂ©es au Jashuria. Le mariage est avant tout considĂ©rĂ© comme une consolidation du couple, mais l’amour prend bien des formes.
  • Relation extra-conjugale : AutorisĂ© /// Les relations extra-conjugales sont autorisĂ©es au Jashuria. Elles appartiennent au domaine du privĂ© et ne constituent pas quelque chose de pĂ©nalement rĂ©prĂ©hensible.
  • Polygamie : Interdite /// La polygamie et la polyandrie sont interdites au Jashuria. Le pays ne vit plus dans l’AntiquitĂ©.
  • Contraception : AutorisĂ©e /// Les contraceptifs sont en vente libre au Jashuria. Les centres de santĂ© proposent des campagnes de sensibilisation et des formations autour des contraceptifs pour tout le monde.
  • Adoption : AutorisĂ©e /// L’adoption est autorisĂ©e au Jashuria et les dĂ©marches, mĂȘmes si elles sont relativement longues, sont suffisamment robustes pour limiter les situations oĂč l’enfant serait renvoyĂ© dans un orphelinat. Les couples (seuls les couples peuvent adopter, qu’ils soit homosexuels ou non) doivent justifier de leur bonne situation financiĂšre auprĂšs des organismes d’adoption afin d’offrir Ă  l’enfant un environnement stable et sont accompagnĂ©s par des assistants sociaux durant leur parcours.
  • Avortement : AutorisĂ© /// L’avortement est autorisĂ© au Jashuria et sa pratique est accompagnĂ©e par les mĂ©decins et les centres mĂ©dicaux. Les dĂ©marches sont relativement simples et sĂ©curisĂ©es pour Ă©viter que les femmes ne soient mises dans des situations complexes.
  • HomosexualitĂ© : AutorisĂ©e /// Les mythes et les lĂ©gendes du Jashuria sont suffisamment emprunts de relations homosexuelles pour que la sociĂ©tĂ© jashurienne soit parfaitement Ă  l’aise avec l’homosexualitĂ©.
  • Mariage homosexuel : AutorisĂ© /// La TroisiĂšme RĂ©publique du Jashuria autorise le mariage homosexuel, sans aucun souci. La lĂ©gislation Ă  ce sujet a Ă©tĂ© consolidĂ©e dans la Constitution du Nouveau MillĂ©naire en 2001, mais le mariage homosexuel existait depuis les annĂ©es 60-70.
  • Adoption homosexuelle : AutorisĂ©e /// L’adoption homosexuelle est autorisĂ©e par le pays. Les couples homosexuels ont droit au mĂȘme parcours que les couples hĂ©tĂ©rosexuels pour l’adoption. Les couples hĂ©tĂ©rosexuels ou homosexuels doivent cependant ĂȘtre mariĂ©s civilement pour pouvoir adopter (le mariage clarifie les hĂ©ritages en cas de dĂ©cĂšs).
  • Transgenrisme :AutorisĂ© /// Le transgenrisme est autorisĂ© au Jashuria et ne fait pas l’objet d’une rĂ©probation sociale. Il reste nĂ©anmoins contrĂŽlĂ© et surveillĂ© par les psychologues et les mĂ©decins afin d’éviter les situations risquĂ©es pour le patient. Les laboratoires pharmaceutiques jashuriens, quant Ă  eux, ont bien compris qu’il y avait un marchĂ© Ă  exploiter sur le transgenrisme et ont redirigĂ© une partie de leurs divisions de recherche sur la crĂ©ation de nouveaux produits pour faciliter les transitions de genre.
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