24/09/2017
22:26:30
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Bulletin militaire

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oui

Rapport sur le trajet vers la base ne Chamdekolza


Nos 512 hommes du 4eme bataillon d’infanterie sont bien arrivés cet après-midi dans la base morznike du Chamdekolza. Aucune perte humaine ou matérielle n’est à déplorer.
Cependant, une enquête est en cours pour établir les responsables dans l’erreur de trajectoire ayant failli déclencher une guerre avec l’empire de Chuyann.
Notre bâtiment sous-marin d’assaut de classe 4 a lui fait le plein et est actuellement sur le chemin du retour. Il est attendu dans les eaux ouanaise d’ici demain 15:00.
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Installation de la base militaire de Kalahatha




Zone HRP

Les informations ci-dessous ne sont évidemment pas disponibles pour tout le monde. Seul le gouvernement du Lykaron et les alliés choisis par l'Ouaine sont au courant des détails de la base. Cependant, l'ensemble des informations géographiques sur la base peuvent être obtenu par de l'espionnage ou une simple vue aérienne.
Cependant, la zone des missiles et l'intérieur des bunkers ne peut être obtenu que par de l'espionnage car il est logiquement invisible de l'extérieur


Zone RP


Cote est de l'état impérial du Lykaron


Il y a maintenant une semaine qu'ont débuté les travaux de construction de la base militaire ouanaise de Kalagatha sur les cotes du Lykaron. Contrairement à ce qu'on aurait pu penser au vu des terrains alloués, l'ouvrage n'est pas vraiment colossal et devrait être achevé d'ici à un mois.
Sur le terrain alloué d'environ 3,5km carrés, seul un peu plus d'un kilomètre et demi est occupé par la base à proprement parler, le reste sert juste de zone tampon pour assurer la sécurité de la base et contenir la piste d'atterrissage de la base


carte de la base militaire vue du ciel


Légendes de la carteLignes pointillée rouges:
Lignes interrompues rouges: Limite de la zone allouée
Ligne pointillée grise de petite taille: Ligne de grillage électrifié délimitant le terrain militaire
Ligne pointillée grise foncée de grande taille: Double ligne de grillages, de barbelés et de fossés délimitant la base militaire
Points noirs: Miradors/ Postes de défense surveillant la terre mais aussi la mer
Points gris foncés: Poste d'entrée et sortie de la base par la route
Hexagones gris: Entrées des bunkers et espaces souterrains
Rectangles rouges: Baraquements des soldats
Longs rectangles gris dans la mer: Quais d'une longueur de 175m
Rectangle noir de grande taille: Garage à avions
H blanc: Héliport
Long rectangle beige coupé par une ligne interrompue grise: Piste d'atterrissage
Routes grises: Routes goudronnées
Routes beiges: Routes en terre
Rivières: petits ruisseaux d'une cinquantaine de mètres maximum de profondeur parcourant la base et servant d'écoulement à l'eau


La zone militaire se délimite en deux zones, -une première couvrant l'entièreté de la zone allouée est entourée de grillages électrifiés, elle délimite les limites du terrain militaire. Son accès est restreint mais certaines personnes civiles peuvent y passer par la route de la cote en se présentant aux postes de contrôle situés aux entrées de la base. Ils sont ensuite fouillés (parfois) et escortés sur la route jusqu'à l'autre côté. Cette mesure a pour but de ne pas gêner l'activité économique du coin et de rester en bons termes avec la population
- la deuxième couvre elle la zone sécurisée de la base, son entrée est interdite à toute personne non autorisée, en cas d'intrusion, celle-ci pourra être abattue ou faite prisonnière en tant qu'espion par les autorités militaires. Cette zone d'un peu plus d'un kilomètre et demi comprend les baraquements, les bunkers, les entrées des zones souterraines et les quais. Cette zone est délimitée par une double ligne de grillages, de barbelés et de fossés, le tout surveillé par des miradors.


Son entrée est donc surveillée par les lignes décrites plus tôt, les postes de contrôle sur la route principale et sur la mer. Sur la mer, deux zodiacs tournent à tour de rôle dans les abords de la base pour prévenir toute intrusion. La mer devant la base est aussi balayée par des faisceaux lumineux et les quais et le bord de mer sont toujours surveillés par des patrouilles, les quais ont toujours au moins un soldat de garde dessus pour prévenir tout pose d'explosifs depuis la mer.


Equipement humain et matériel de la base

La base comprend un effectif humain de 150 hommes. Parmi eux, seuls 100 sont stationnés dans un but d'entretien, de surveillance et de potentielle défense de la base. Les 50 autres sont des ingénieurs spécialisés dans l'entretien des sous-marins. La plupart d'entre eux travaillent à l'ambassade ouanaise et dorment là-bas mais ils sont comptés dans les effectifs. Là-bas, ils font soit un travail scientifique soit un travail administratif ou logistique. En effet, ils sont présents lors d'arrivées de sous-marins afin de les réparer et de possiblement remplacer des membres de l'équipage. Ces 50 hommes ne sont donc jamais les mêmes, la moitié est remplacée environ à chaque passage de sous-marin

    Récap de l'effectif complet de la base:
  • 150 soldats professionels
  • 50 ingénieurs et sous-mariniers
Les différents soldats sont tous équipés entièrement, les miradors sont eux équipés de mitrailleuses. On ne retrouve pas de véhicules blindés dans la base, les déplacements se font à l'aide de véhicules civils. On retrouve aussi une importante réserve d'armes classiques au cas ou les sous-marins aient des besoins de ces équipements pour certaines missions. Mais on retrouve aussi dans la base 2 missiles balistiques cachés dans les bunkers, pouvant servir au rechargement des sous-marins. Seul les autorités du Lykaron sont au courant de leurs présence

    Récap de l'équipement présent complet dans la base:
  • 250 armes d'infanterie niveau 1
  • 75 mitrailleuses lourdes niveau 1
  • 10 lance-missiles anti-char niveau 4
  • 3 missiles balistiques niveau 2
Bunkers et parties souterraines

Un réseau de galeries d'environ 1km s'étend sous la base, il comprend les salles stratégiques, les équipements informatiques et radios de la base, les bunkers, les salles de travail, les zones de stockage des armes et des missiles et les zones de stockage de pétrole et autre matériel logistique nécessaire à l'accueil des sous-marins. L'ensemble des ces zones sont construites en profondeurs et renforcées de manière à pouvoir résister à toute frappe aérienne ou missile pouvant être envoyé par un ennemi potentiel




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Récapitulatif des actions de l'opération "Premier Domino" et lancement de l'opération "Second Domino



vouscherchoezvraimentuntitre??




Récapitulatif des actions de l'opération "Premier Domino"



Il y a maintenant un mois et demi que l'opération "Premier Domino" a débuté sur le sol Retsvinien, il est donc temps, en raison du lancement prochain de l'opération "Deuxième Domino", de tirer un bilan de ce premier mois et demi...


Récap des actions du groupe "Premier domino"

Légendes du premier récapitulatifŒil rouge: Base des hommes de l'opération "Premier Domino"
Zone noire: Territoire contrôlé par la Junte Retsvinienne
Zone rouge: Territoire contrôlé par le Vetlava
Zone entourée d'un trait rouge: Zone reconnue par les hommes de l'opération "Premier Domino"
Cercles rouges: Réseaux de Résistance avec lesquels les hommes de l'opération "Premier Domino" sont entrés en contact
Nombres dans ces cercles: Nombre de membres de ces réseaux
Cercle blanc du haud: Ville de TAIVALJÄRVI
Cercle blanc à droite: Ville de KUSIKYLAÄ

Comme on peut le voir sur la carte, les membres de l'opération se sont implantés à la frontière ouest entre le Vetlava et la Retsvinie Cette zone, est jusqu'à présent la plus calme de la frontière, les tensions étant surtout concentrées autour de la ville de Kusikylä, au nord-est du camp. Les informateurs ouanais se sont donc répandus vers le nord. Ils ont ainsi pu, observer et quadriller un bande de territoires de près de 600km jusqu'à la ville de Taivaljarvi. Sur le chemin, ils ont pu cartographier une bonne partie des structures militaires de la zone. Mais surtout ils ont pu entrer en contact avec plusieurs mouvements de Résistance, les deux plus importants situés dans les deux villes citées plus haut. Grace à ces rencontres, les informateurs ouanais ont pu établir un système de réseau entre ces réseau laissant éspérer une future unification entre ceux-ci. Mais surtout, ce réseau commun a permis aux ouanais d'établir un système de caches permettant de transiter en secret total dans toute cette région L'opération est donc pour le moment un succès. 4 morts sont cependant à déplorer ainsi que 2 disparus, sans doute assassinés par les forces de répression de la junte. Le groupe ne comporte donc plus que 58 soldats, ceux disparus seront donc remplacés en même temps que le "Second DOmino" se déploiera




Opération "Second Domino"



L'état-major ouanais, conjointement avec celui du Vetlava, a décidé de l'envoi d'un bataillon d'infanterie pour soutenir militairement directement le Vetlava contre le péril d'une agression de la Junte, et pourquoi pas imaginer une nouvelle offensive...


Positionnement sur la ligne de front des troupes ouanaises envoyées

Légende de la carte du positionnement des troupes ouanaisesHexagone pourpre à bord blancs: GQG du bataillon ouanais
Zone Pourpre: Zone de déploiement des troupes ouanaises à la frontière
Autres symboles: Voir légende de la carte précédente

Comme on peut le voir sur la carte, les troupes ouanaises se positionneront sur la frontière dans la zone située à l'ouest de Kusikylä. Elles seront principalement concentrées autour du village de Kurstÿk, ou sera situé le GQG des troupes ouanaises. C'est à ce GQG, distinct de celui de l'opération "Premier Domino", toujours effective, que se fera la coordination des troupes. Les véhicules emportés, eux, seront stockés plus au sud, à l'abri de potentiels tirs d'artillerie de la Junte. De là, les troupes meneront des opérations de consolidation des positions établies et de protection des civils. Aucune action offensive n'est prévue pour le moment. De même que lors de l'opération précédente, les soldats arriveront par hydravion. En raison du manque de praticité de ce moyen de transport pour convoyer les véhicules il faudra une bonne semaine (13/07/2017 en théorie) pour que le positionnement complet ait lieu. L'état ouanais tien d'ailleurs à remercier le Slaviensk d'avoir accepté le passage des troupes ouanaises dans ses airs

Effectif et matériel envoyé sur place dans le cadre de l'opération "Deuxième Domino"
  • 776 armes d'infanterie niveau 1 AI-1O
  • 512 soldats professionnels
  • 32 transports d'infanterie blindés niveau 1 TIB-1O
  • 96 mitrailleuses lourdes niveau 1 ML-1O (32 pour équiper les TIB-1O et le reste pour le renforcement de la ligne de front)
  • 20 lance-missiles antichar niveau 4
Rappel des effectifs et du matériel de l'opération "Premier Domino" (pertes et manques compensés par l'apport avec les nouveaux convois)
  • 64 soldats
  • 264 armes d’infanterie niveau 3 AI-3O
  • 1 véhicule radio niveau 1 VR-1O
  • 10 mitrailleuses niveau 1 ML-01
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Reception d'avions et démonstration aérienne



Les deux nouveaux avions ouanais CH-4E


Il était 11:00, ce 12 juillet 2017 lorsque pour la première fois, des chasseurs ouanais ont décollé de la base de Nodrogovo, au sud de Liberurbo pour une première démonstration. En provenance d'Everia, les nouveaux fleurons de l'armée ouanaises ont pendant plus d'une heure paradé au dessus de la capitale.
Le ministre des armées, le général Pitruychiv a déclaré que cette acquisition "permettrait à l'Ouaine d'être souveraine sur son territoire, aussi bien dans le ciel que dans le mer et sur terre"
Il est a noter que cette acquisition est la première depuis longtemps avec un pays hors CCN et que les pilotoes ont été formés par l'Everia pour assurer une meilleure efficacité, cela montre donc la capacité de notre glorieux pays de s'entendre avec tous, même s'ils ne sont pas d'accord sur tout avec nous

Vive l'Ouaine, Vive le CCN, Vive la Paix
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Renforcement de l'opération "Second Domino" et de la base aérienne ouanaise en Vetlava


Deploiement de nouvelles troupes ouanaises au Vetlava


Suite au nouvelles menaces se profilant en Retsvinie, l'état-major ouanais a décidé conjointement avec les forces du Vetlava de renforcer ses positions militaires en Vetlava. Alors que la Junte Retsvinienne reconnait avoir envoyé plus de 7000 hommes aux frontières du territoire du Vetlava, l'Ouaine a décidé de l'envoie de nombreux soldats ainsi que d'un soutien d'artillerie inédit.
Il a d'abord été décidé de doubler l'ensemble des effectifs de l'opération "Second Domino". Pour rappel, celle-ci comprenait la construction de tranchées le long de la ligne de front à l'ouest de la ville de Kuusikylä. Les effectifs tenant ces lignes et les soutiens présents dans le GQG seront doublés pour atteindre un total de 1024 hommes.
De plus, la garnison de la base aérienne passera à 264 hommes. Ceux-ci disposeront de 40 véhicules de transport d'infanterie blindé qui leur permettra d'intervenir n'importe ou sur le front en moins de 45 minutes pour réagir à toute attaque
Mais le plus gros changement sera l'installation de nombreuses pièces d'artillerie morzniques dans l'arrière pays. Deux pièces antiaériennes seront installées proche du front pour décourager toute tentative de bombardement. A cela s'ajouteront 20 lances roquettes multiples qui pourraient pilonner les lignes retsviniennes à bout portant en cas de danger.
La base verra aussi l'arrivée d'un chasseur ouanais qui se chargera de plusieurs missions de patrouilles au dessus de lignes pour pouvoir prévoir tout mouvement retsvinien à l'avance.
Ces dispositions ne signifient pas pour autant l'arret du progremme "Premier Domino" qui s'est même vu renforcé ces dernières semaines avec la coordination des forces ouanaises avec celles de l'AFRE. De nombreux mouvements de Résistance continuent d'être approchés et soutenus et nous avons bon espoir d'arriver à empecher de l'intérieur toute action offensive de la part de la Junte


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Carte des positions ouanaises en Vetlava mises à jour

Légendes de la carte
    :
  • Bandes jaunes, lignes de fortifications ( voir schéma dessous)
  • Partie rouge: territoire tenu par l'armée ouanaise en soutien des Vetlaviens
  • Hexagone: GQG des forces ouanaises
  • Œil rouge: QG de l'opération "premier domino"
  • Cercle marron foncé: Zone de la base aérienne, son emplacement précis n'apparait pas sur les carte
  • Route grise: Route permettant de se rendre de la base aérienne au GQG



Mise à jour de l'effectif et matériel envoyé sur la base aérienne ajouté au matériel d'artillerie réparti dans es alentours
  • 264 soldats du génie
  • 264 armes d'infanterie niveau 1 AI-10
  • 10 mitrailleuses lourdes niveau 1 ML-1O
  • 4 lance-missiles antichar niveau 4 LM-4O
  • 40 transports d'infanterie blindés niveau 1 TIB-1O (capacité totale de 240 hommes)
  • 2 lance-missiles antiaérien niveau 5 (fourni par le Morzanov) LMA-5M
  • 16 lance-roquettes multiples niveau 6 (fourni par le Morzanov) LRM-6M
  • 1 avion de chasse de niveau 4 (pas présent tout le temps, fait des aller-retour avec l'Ouaine) AVC-4O
Mise à jour de l'effectif et du matériel envoyé sur place dans le cadre de l'opération "Deuxième Domino"
  • 1300 armes d'infanterie niveau 1 AI-1O
  • 1024 soldats professionnels
  • 32 transports d'infanterie blindés niveau 1 TIB-1O (capacité totale de 192 hommes)
  • 220 mitrailleuses lourdes niveau 1 ML-1O
  • 40 lance-missiles antichar niveau 4 LM-4O
Rappel des effectifs et du matériel de l'opération "Premier Domino"
  • 64 soldats
  • 64 armes d’infanterie niveau 3 AI-3O
  • 1 véhicule radio niveau 1 VR-1O
  • 4 mitrailleuses niveau 1 ML-01
[/ignore]
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Opération "Maman Vipère", récupération des VPRHM "Viper" Tanskiens



Le navire cargo ouanais engagé dans le transport de véhicules en complément du cargo du vendeur


Opération "Maman Vipère"


Il était 4h43 quand le radar du cargo "Abravikjo" se mit à émettre des bips réguliers, le navire était enfin en vue du cargo tanskiens qu'ils devaient rejoindre dans l'est de cette mer blanche pour poursuivre cette opération "Maman Vipère". Une heure plus tard, les deux navires étaient côte à-côté.
L'Amiral Gdabjouprov, accompagné de plusieurs officiels, fit le rapide trajet séparant les deux navires. Une fois arrivés, ils serrèrent des mains, signèrent des papiers et descendirent dans la cale. Là, ils purent vérifier que les 200 VPRHM "Viper" étaient bien dans la cale du navire. Après une rapide inspection de ceux-ci pour éviter toute embrouille, ils remontèrent. C'est dans la cabine du capitaine tanskien que Gdabjouprov lui expliqua en quoi consistait reellement la stratégie d'escorte ouanaise:
Vous le savez, nous avons des ennemis dans cette région, c'est pour cela que vous avez sans doute étés surpris de nous voir arriver sans escorte avec un simple navire cargo, voila qui ne devrait pas empecher de vils brigands de s'emparer de la marchandise n'est-ce pas ? Mais une autre chose vous a peut-être surpris, l'Abravikjo n'est pas aux couleurs ouanaises, effectivement, avant le départ, nous l'avons consciencieusement repeint afin qu'il ressemble le plus précisément à votre navire. Ainsi, voila comment nous allons procéder, notre navire suivra le même trajet que vous, mais avec une heure d'avance. Des avions morzniques viendront patrouiller au dessus de notre navire, nous concentrerons nos attentions sur lui afin que tout laisse paraitre que ce soit lui qui transporte les véhicules, nous ne nous occuperons pas du votre. Notre but est que si un ennemi cherchait à attaquer la cargaison, il attaquerait le mauvais et que l'autre puisse changer de route pour passer sans encombre.
Mais rassurez vous, nous ne nous arrêtons pas à ce simple subterfuge. Vous ne le voyez pas mais dans les parages, rodent nos sous-marins, pret à torpiller et bombarder quiconque se révélerait devant nous avec des intentions belliqueuses. Ainsi, nous n'avons rien à craindre pour le trajet futur, et si il y a du trouble, ce seront nous qui seront concernés et pas vous
.
Après plusieurs considérations techniques, les deux officiers se séparèrent et le convoi reprit sa marche vers l'Ouaine, séparé de plusieurs kilomètres...

C'est aux alentours du 25/09 que les deux navires n'arrivent dans les eaux de Briesne, s'il n'y a pas eu d'incidents d'ici là


Les VPRHM "Viper", quelle place dans l'arsenal ouanais ?

VPRHM "Viper" lors d'un exercice de débarquement sur une plage järvienne, Aleucie, 2012

Caractéristiques :
  • Masse : 2 300 kg à vide
  • Longueur : 4.57 mètres
  • Hauteur : 1.83 mètres
  • Equipage : 2 membres d'équipages avec 3 personnes à bord pour les versions initiales, jusqu'à 8 en version de transport
  • Capacité d'emport : 1 000 kg en interne, 2 000kg en traction (en particulier des pièces d'artillerie)
Equipement & Performance :
  • Armement Principal : Les VPRHM sont généralement équipés d'une simple mitrailleuse axiale mais ils peuvent aussi ne disposer que d'un mortier de 80mm, un radar, un lance-missile antichar etc
  • Armement secondaire : cela dépend des versions
  • Portée opérationnelle : jusqu'à 500 km selon la charge.
  • Vitesse maximale : jusqu'à 80km/h

Les VPRHM "Viper" viennent prendre place dans une armée terrestre, il faut le dire assez faible. Malgré le lancement depuis quelques années des TIB-1O, l'armée ouanaise reste assez fragile sur le sol. En cause, un faible effectif blindé, il est vrai compensé par la collaboration avec l'armée morznique mais individuellement trop faible. Ces véhicules permettront donc à la fois de renforcer le pole terrestre ouanais mais aussi de servir de point de comparaison pour l'amélioration de la conception des TIB-1O et à l'avenir permettre à l'Ouaine de s'en sortir seule pour assurer sa souveraineté sur les théatres terrestres.
Les VPRHM devraient être sous peu testés directement au contact des TIB-1O qui sont actuellement en opération sur le front Retsvinien en soutien des forces du Vetlava
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