Halte là camarades - Interception Velsna-Stérus (feat Fortuna)

Halte là camarades - Interception Velsna-Stérus (feat Fortuna)

HRP: Conformément au transfert de matériel suivant entre Stérus et Churaynn, et aux RP suivant relatif au stationnement des flottes velsniennes à proximité du trajet de transfert évoqué par le dit joueur, je me permets cette action.

Le message provenant de l'ambassade wanmirienne réveilla soudainement le Bureau de l'Arsenal. La chaîne de commandement étant ce qu'elle est en cette bonne vieille République, l'ordre d'appareiller dû être confirmé plusieurs fois entre l'Amirauté de la Marineria, à Velsna, et les sièges d'attache des Classis III et V, respectivement stationnées dans le Détroit du pays gris et dans les îles de l'archipel de l'Isteal.

Le Gouvernement velsnien ne savait guère comment prendre Stérus: jamais les deux gouvernements n'avaient communiqué, jamais n'avaient-ils seulement échanger une ambassade, mais un appel à l'aide d'un gouvernement qui jusque là; évoluait dans une indifférence relative vis vis de Velsna n'était jamais à mettre à la poubelle, d'autant qu'il ne fallait jamais oublier le précieux adage: "Pas vu, Pas pris".

En premier lieu, il fallait trouver un point élevé d'où négocier: tracter avec une telle flotte et avec une position forte nécessiterait le concours de deux classis conjointes, tant l'état stérusien paraissait avoir mobilisé la quasi intégralité de son armada pour un objectif qui échappait encore totalement au commandement de la Marineria. La gravité de l'appel wanmirien a achevé de convaincre le commandement naval de donner l'ordre, en pleine nuit et en pleine relève de quart, l'appareillage d'une très grande majorité des bâtiments de la Classis III, probablement la seconde flotte la plus forte en nombre et en capacité de projection du dispositif naval velsnien. Celle ci, partant du détroit gris et longeant les côtes du sud-Nazum vers l'est, aurait la tâche de barrer la route de l'armada stérusienne dans les environs directs , et de l'obliger à se soumettre à un échange verbal, d'amiral à amiral sur les raisons de la présence d'une force si conséquente dans ces eaux. Quant à la Classis V, qui n'est que bien trop faiblement armée pour agir seule face à la force stérusienne, laisserait passer l'armada vers l'est dans un premier temps, avant de les suivre à bonne distance, enfermant la flotte stérusienne dans une nasse au point de jonction prévu au large de l'île de Balsarah, possession fortunéenne à la lisière d'un carrefour maritime par où devait passer le convoi.

Une fois à proximité de la flotte stérusienne, la signalétique maritime ferait le travail, en signifiant des intentions claires: "Laissez monter des membres du personnel de la Marineria à votre bord afin d'établir une entrevue mettant en exergue les raisons de votre présence. Nous avons à parler.". A la manœuvre, l'Amrraglia-sénatrice Di Saltis escomptait bien ajouter ce succès à celui de la Pravoslavnyy...

Effectifs déployés a écrit :

Classis III "Fortuna Patres" (arrive depuis l'est vers la flotte stérusienne):

Commandement: Amirraglia-sénatrice Sofia Di Saltis

• Un porte avion lvl 5 avec 20 chasseurs lvl 9 + 15 lvl 8 embarqués (l'escadre est à l'origine plus grande, mais en partie incomplète au vu du caractère urgent de la manœuvre)
• Un sous marin d'attaque lvl 9 + un lvl 7 + un lvl 6
• Un destroyer lvl 7
• Un remorqueur lvl 8
• 2 pétroliers ravitailleurs lvl 9
• 5 corvettes lvl 9 + 2 lvl 8
• 4 frégates lvl 8
• 5 patrouilleurs lvl 10 + 2 lvl 7 + 1 lvl 2

Classis V "Azurro" (arrivant depuis l'ouest vers la flotte stérusienne)

Commandement: Amirraglia-Sénatrice Michela Gordini

• 1 patrouilleur lvl 6
• 3 corvettes lvl 6
• 2 frégates lvl 6 + 1 lvl 3
• 1 remorqueur lvl 3
• 1 pétrolier ravitailleur lvl 1
• 1 destroyer lvl 2

Dans les deux flottes, on décompte plusieurs milliers de troupes marines.

Zone d'interception (environ 500 km à l'ouest de Balsarah)

Les Triades vous saluent bien bas ! - Interception Fortuna - Sterus (Feat Velsna)

Ce n'était jamais bon signe lorsque les canaux d'urgence du Quartier Général du Commandement des Perles Blêmes s'activaient soudainement. Cela l'était encore moins lorsque cela concernait un double message quand à un même sujet, la Torre Bianca d'une part et Il Signore Song des Triades Kelangienne, à dire vrai rien que l'implication de Song ne disait rien qui vaille, rendant plus encore la situation des plus sérieuses. Lorsque la nouvelle tomba de la part des communications Intra-ONC comme quoi la Marineria Velsnienne était aussi à pied d'oeuvre à cause de cette sombre histoire de Flotte Stérusienne bien trop loin de chez elle et en trop grand nombre pour n'être qu'une excursion de courtoisie comme on en voyait autrefois.

D'ordinaire pourtant cette région était relativement calme et peu sujette à de tels... "Troubles" si tant est que cela en soit mais il faudrait encore établir ceci. Toujours était-il que ce n'était ni le commandement du Triangle d'Or avec toutes les frasques Afaréennes, point le Golfe des Empires et les innombrables escarmouches navales qui avaient eut lieu là bas, ni même le commandement Leucytaléen de Deria qui avait eut à faire dernièrement avec une corvette Churaynn. Quoique,à mieux y repenser Képiland n'était pas si loin... Enfin, cela ne cessait à rien de se questionner en amont, les faits étaient simple, une flotte de guerre Stérusienne assez important au demeurant était en train de longer le Nazum de part en part, et si la chose était déjà anodine en soit, la nébuleuse affaire de la frégate coulée où la Fédération de Stérus était accusée d'avoir joué un rôle là dedans par les victimes, la Westalia et le Wanmiri, était encore fraîche dans les esprits, qu'une flotte aussi importante se "promène" juste après était extrêmement inquiétant qu'importe si les accusations étaient fondées.

L'Amiral Abera Salvemare qui avait à sa charge la sous division de l'Armata du commandement des Perles Blêmes incluant essentiellement les zones de la mer blême et du nord de l'océan des perles jusqu'à la péninsule de Kelang était ainsi face à une situation inédite depuis la guerre civile du Varanya qu'il lui incombait d'adresser prestement de par la double demande, à la fois du Cabinet du Doge via l'appel de la Torre Bianca mais surtout de par les capricieuses Triandes Kelangienne qui avaient des amis au Wanmiri de toute évidence et ne souhaitaient guère laisser ces derniers perdre la face, ou que la région ne subisse d'autres évènements malheureux dans un futur plus ou moins proches car après tout on n'envoyait pas autant de navires de guerres pour cueillir des cerises et il était ainsi raisonnable de penser que cette manoeuvre avait d'autres motifs ultérieurs potentiellement peu agréable pour quiconque dans la région, pensée hautement désagréable pour les négociants du coin.



Amiral Abera Salvemare, à la tête du commandement des Perles Blêmes
Velsna ayant déjà acté sa descente avec une force conséquente, Salvemare en profita pour rappeler une bonne part des bâtiments en patrouilles dans la région afin de constituer une escadre complète, se coordonnant avec son homologue Velsnienne l'Amirale Sénatrice Sofia Di Saltis n'ayant dans les faits guère besoin que de sortir de Balsarah au moment adéquat et joindre les Classis Velsnienne à peu près au moment où ces dernières enserreraient la Flotte Stérusienne. Bien évidemment, l'Amiral entendait lui aussi demander des comptes et participer à ces... Discussions d'Amiraux à Amiraux.


Effectifs déployés :

Escadre Haut-Parleur de Salvemare (Arrive par le sud afin de joindre les escadres Velsnienne)

• 1 Destroyer lvl 7 + 10 missiles de croisière mer-sol lvl 2
• 2 Destroyer lvl 1 + 20 missiles de croisière mer-sol lvl 2 (10 chacun)
• 2 Corvettes lvl 9
• 4 Patrouilleurs lvl 10
• 1 Sous marin d'attaque lvl 7
• 1 Pétrolier Ravitailleur lvl 6

Flegme caratradais
Quelques jours plus tôt...

Sitôt réception de la demande wanmirienne, et même avant qu’une réponse lui ait été adressée, une alerte fut envoyée au PERLCOM, le commandement intégré de l’OND pour l’Océan des Perles et une partie du Scintillant. La région était réputée pour son calme, et les quelques territoires de Caratrad éparpillés dans le Golfe d’Yddaerirdwyrain et dans la mer d’Azur ne suffisaient pas à justifier d’un déploiement important. Les caratradais mis à part, seuls les tanskiens s’y étaient intéressés, par intérêt historique, intérêt géopolitique ou un peu des deux. En conséquence de quoi, la base côtière de HMCB Sewgate accueillait à la fois les quartiers du PERLCOM et ceux de la mission Perl Aerwyau, une modeste opération conjointe qui avait précisément été pensée pour ce genre de situations.


Elliot Blayney et Björn Jóelsson, commandants respectifs des deux navires de la mission, étaient occupés à « essayer » une bouteille de d’Aberphroaig de trente ans d’âge lorsqu’on vint les chercher. La bouteille, que les deux commandants avaient étrennée avec la diligence habituelle des marins, s’était mystérieusement vidée de la moitié de son contenu. Dépité de devoir laisser un si bon whisky sur place, Jóelsson profita de la confusion du départ pour la rafler. « On ne sait jamais », dit-il à son second.


Les caratrados-tanskiens, basés plus à l’est même que les premiers navires wanmiriens, avaient donc l’honneur de jouer le premier coup dans ce qui ressemblait fort au début d’une bonne petite crise régionale ressemblant davantage au cirque eurysien qu’au sérieux nazumi. « Tout se perd », dit Blayney en s’adressant à lui-même.



Action a écrit :
La flotte stérusienne faisant un crochet par le nord, l'unité caratradaise la plus à même de la tenir à l'oeil est le patrouilleur HMS Grettis basé à la base côtière de HMCB Windport. Par conséquent, sitôt le message wanmirien reçu, celui-ci va prendre un cap au sud-est afin de rejoindre et de suivre la flotte stérusienne, en procédant exactement de la même manière que la force de Perl Aerwyau. Le HMS Grettis sera relevé à mi-chemin par les TMS Vasteg et HMS Gisla, et retournera à sa base. Si besoin, l'hélicoptère basé en Ynys Awel peut aider à la localisation de l'armada stérusienne.

Conformément à la mission en cours, la force de Perl Aerwyau va œuvrer au maintien de la stabilité régionale. En conséquence de quoi, le temps d’appareiller et les navires font cap vers l'armada stérusienne, dans le but de croiser sa trajectoire. Une fois la flotte stérusienne rejointe, les deux navires se positionneront environ trente kilomètres au 120° relatif au cap de celle-ci et accorderont leur vitesse sur celle des stérusiens. Ils seront ainsi dans une position idéale pour la suivre.

Il est à noter que ces navires sont les premiers à se mettre à suivre la flotte stérusienne, sans pour autant "l'intercepter".


A ce stade, la force de Perl Aerwyau ne manifeste aucune intention hostile et se contente de suivre passivement la flotte stérusienne. Aucune action pouvant être perçue comme agressive (allumage des conduites de tir, usage de bouées acoustiques etc.) ne sont entreprises ; les navires agissent comme lors d’un simple transfert. Cette posture changera si les navires stérusiens entrent dans les eaux territoriales d’un pays.

[HRP : J’attends la réaction du joueur de Stérus, s’il y en a une, pour déterminer l’attitude de la force de Perl Aerwyau lors de la rencontre ultérieure avec les flottes bien plus importantes de Fortuna, de Velsna et potentiellement du Wanmiri.]
[NOTE : Suite à un quiproquo, ce post a été édité.]



Effectifs a écrit :
Basé à Ynys Awel (mer d'Azur) :

HMS Grettis, patrouilleur caratradais de niveau 2

1 hélicoptère moyen caratradais de niveau 7

Perl Aerwyau :

TMS Vasteg, frégate tanskienne de niveau 5 et son hélicoptère embarqué niveau 8

HMS Gisla, patrouilleur caratradais de niveau 2

Disponible dans le théâtre :

1 hélicoptère moyen caratradais de niveau 7 assigné à la base côtière de Sewgate, en Yddaerirdwyrain.

On ne fait que passer (mais on regarde)


Pendant ce temps, au large de l'île de Dhavalae, le navire de pêche Coquillage de pavillon azuréen passe au large de l'île wanmirienne de Dhavalae, à environ deux cent kilomètres de la côte, après avoir arpenté l'Océan des Perles. Le navire suit un itinéraire tout à fait classique pour les embarcations dédiées à la pêche à la crevette dans les récifs coralliens sous-marins, isolés des terres habitées et riches en poiscaille. Son tonnage est moyen et il a fait une bonne course ; il est actuellement en cap vers Anaxandre, ville portuaire de l'Azur sur l'Océan des Perles. Il est affrété par une compagnie de pêche locale. Voyant les navires militaires de différentes obédiences se signaler sur son GPS, le capitaine du navire, le facétieux Sarco Mandi, propriétaire d'une pizzeria dans l'ancienne concession visonzane du port d'Anaxandre, et honoré par le surnom de Big Belly Baby dans son quartier, décide de faire machine vers le lieu de convergence des flottes qu'il identifie sur son GPS. Il est armé de son smartphone et se filme en direct sur Wasl'App, trop contents d'aller voir des bateaux de guerre de près. Ses hommes sont contents aussi et c'est donc de bonne humeur que le crevettier Coquillage se dirige vers la zone.
Forces en présence

• 1 cargo n.1 (Crevettier Coquillage)
• Une pleine cargaison de crevettes des Isteal
• 2 ALI n.1 (quelques pétoires appartenant aux marins)
• 16 hommes d'équipage de nationalité azuréenne
• le capitaine, Sarco Mandi, dit Big Belly Baby

La Croisière s'amuse

Il était des jours comme cela, où on avait rendez-vous avec l'histoire.

C'était probablement de ces jours que le capitaine Francesco Sucãtinho cherchait à éviter, lui qui n'attendait que son escale prochaine à Anaxandre pour se prélasser et oublier les affres de son office particulièrement difficile, lui qui n'avait pour seule crainte que de sombrer à pic. Il fallait dire qu'il était sorti 24ème sur 25 de son concours de capitaine et ne devait sa place qu'aux connexions de sa grand-tante, qui connaissait particulièrement bien la présidente-directrice-générale de Costa Crociere, la plus grande entreprise de croisières maritimes d'Aleucie.

C'était à dire que partant de Rio Formosa, il avait déjà fait l'ardue traversée du champ de mines du détroit de Lahunkal-Marianopolis en suivant un bien impressionnant convoi militaire battant pavillon de Sterus, et s'en était bien accomodé jusque-là : après tout, il valait mieux pouvoir profiter d'une escorte armée - ou de la proximité d'une telle escorte - lors des passages dans la Mer des Perles, et en particulier quand on croisait au large du Wanmiri - quelqu'était la distance -. Il fallait en effet dire que Francesco avait extrêmement peur des pirates, surtout depuis qu'il avait appris qu'ils n'avaient si peu de foi et si peu de lois qu'ils s'en étaient même pris à un convoi militaire transportant pas moins de soixante lanceurs de roquettes mobiles militaires.

Il avait peur d'être du côté de ceux qui pourraient se prendre lesdites roquettes en cas de refus d'obtempérer : la flotte stérusienne était peut-être son meilleur espoir d'échapper aux pirates.

Evidemment, pour les passagers, tout cela leur était bien égal : il fallait dire que la traversée était particulièrement navrante, en direction des lointaines terres exotiques d'Azur. Mais enfin, ils s'accomodaient bien, eux aussi, de la situation : en particulier les jeunes hommes et les jeunes femmes qui ne manquaient pas de s'exhiber sur les ponts supérieurs, jumelles à la main, pour espérer accrocher le regard des virils marsouins de Sterus : les fils et les filles d'une nation que l'on réputait presque aussi ouverte que la République Fédérative d'Icamie sur ce genre de questions.

Ce genre de questions, qui turlupinaient la cheffe mécanicienne, Fumiko Koizumi, jusqu'à ce que finalement, elle ne retrouve le Docteur Vargas dans son cabinet de bord pour une séance de physiologie appliquée ... Alors même que Madame Arahi aurait bien requis les services du bon docteur, son coeur défaillant face à la virilité de son jeune amant.

Las, le Capitaine Sucãtinho dut prévenir son équipage - et interrompre les échanges interdisciplinaires entre médecine et ingénierie - par une alerte localisée aux seuls locaux de l'équipage : de nombreux navires de guerre apparaissaient sur la carte et les radars.

La position privilégiée du Costa Sueñoleja devenait épineuse : l'horreur pour le capitaine, qui envisageait de lancer des manoeuvres évasives du calibre de celles qu'ils expérimentaient dans le jeu "World of Wanmirian Ships", la simulation qui avait constitué une grande partie de sa formation ...

Forces en Présence:

• 1 Cargo niv. 1 (Le navire de croisière Costa Sueñoleja)
• 3598 passagers icamiens en mal de sensations fortes
• Environ 1000 membres d'équipage de nationalités variées,
• Le Capitaine Francesco Sucãtinho, formé sur la simulation "World of Wanmirian Ships"
• La cheffe mécanicienne, Fumiko Koizumi, qui en pince pour le médecin de bord, le docteur Picatão Vargas
• 1 ALI niv.2 (Une admirable Macuahuitl traditionnelle icamienne)
• Madame Sivàna Arahi, riche patronne d'une chaîne de délicatessen dans la région d'Akahim, qui avait prévu d'offrir ledit Macuahuitl à son amant, Ernesto Makaza, fringant étalon de 40 ans son cadet, encore étudiant en 3ème année de droit des affaires à l'Université Fédérale de São Conceição.

 Eh bien, on attend.



Il ne restait que très peu de temps avant l’arrivée des nouvelles frégates.
On avait préparé une fête pour les Stérusiens.
Le Sadr avait mis son meilleur chapeau.
Mais ils ne sont pas venus…
On commença à s’inquiéter.

Alors, on envoya un message aux Stérusiens pour vérifier si tout s’était bien passé, pour être sûr qu’une attaque n’a pas été faite. Tant que les Stérusiens n’envoient pas de message de réponse, aucun navire ne bougera.
on décidera (si réponse) de bloquer tout navire passant entre la République des Trois Nations et Yuthipista
Le but était de créer une sorte de ligne de contrôle permettant de savoir si un navire passait par là.

Les forces présentes, après les agissements de L’Ouaine ainsi que de la Barvynie, ont reçu la frégate de deuxième génération. La corvette était à Yuthipista ; elle ne bougera pas, car elle doit livrer le porte-hélicoptères. Le plan était que, après l’arrivée des deux frégates, la corvette ainsi que trois patrouilleurs de Sudéiss livrent à Visonza. Tout navire, sauf les Stérusiens, sera obligatoirement arrêté.

Flotte Yuthipista - Angoran (si réponse) :
4 patrouilleurs de quatrième génération (2 Angoran – 2 Yuthipista)
5 missiles de croisière mer-sol de première génération
1 corvette (restera à Yuthipista. Ne sortira jamais, même si les forces churayns sont envoyées au fond des océans)
1 pétrolier ravitailleur de quatrième génération
2 vedettes de cinquième génération (restent chacune dans leur province. Si un navire se rapproche des côtes churayns, ils préviennent le Sadr, qui sera alors obligé de faire accoster le navire)

Halte là camarades - Interception Velsna et Fortuna-Stérus (feat le monde connu)

Alors que le vent souffle sur les plaines de la mer non armoricaine. L’amiral Hacheleus, à la tête de l’armada Sterusienne était en cette belle journée tranquillement dans sa cabine du croiseur Sterusien, écoutant la magnifique chanson qui avait bercé son enfance. Avec son petit vers de rouge entre les doigts et quelques petite olives à déguster, la vie semblait si simple. Hacheleus se disait que c’était une bonne journée, ils avaient quitté le territoire Transk le plus au nord depuis quelques heures et s’apprêtaient maintenant à descendre toute la longueur du Nazum. Naviguant à allure régulière et sans la moindre inquiétude, l’ensemble des équipages de chaque navires s’adonnaient aux loisirs communs et habituels des marins Sterusiens. Orgies, banquet géant, sports et manœuvres de routines.

Âpres quelques heures, la capitaine de frégate Sabrescie Gualilea contact le croiseur. Elle informe alors l’amiral de la présence d’une flotte étrangère à une trentaine de kilomètres qui semblent s’être alignée sur notre allure et poursuivre le même chemin que nous. Pourtant assez éloigné des côtes et des territoires marins, l’amiral décide de ne pas réaliser de manœuvre de défense significative pour le moment. Il envoi des signaux pacifiques aux bâtiments étrangers.

L’officier Brellius prend alors la radio et débute le contact :

« Ici croiseur Augustus Lévant, Marine Stérusiennes. Vous naviguez à proximité d’un exercice militaire des forces armées de la fédération de Sterus, merci de vous identifier et de ne pas tenter de manœuvre hostiles en conservant votre cap actuel. »

En attente de réponse l’amiral fait parvenir aux forces armées Sterusiennes stationnés en Transernikse les informations concernant ce convoi étranger. Les différents aéronefs sont mis en état de marche et attendent un simple signal pour quitter les bases et appuyer les convois. Une note est transmise au magistrat des armée à Sterus. Le besoin d’avertir le consul n’est pas encore estimé.

(Multiples autres possibilités en fonctions de la suite des mouvements)


Alors que le convoi avancait et s’approchait de plus en plus de son but, l’amiral Hacheleus fut cette fois informé de l’approche de nouveaux convois étrangers. Mais cette fois le signal était différents, deux des destroyers portaient en même temps un signal de présence naval étrangère mais semblaient tout deux désigner des points différents. Après quelques minutes la frégate de la capitaine Gualilea se mis elle aussi à désigne un nouveau point duquel une flotte ennemis s’avançait. À première vue, c’était une opération déjà organisée et qui semblait donc être coordonnée. Il n’y avait aucune possibilité pour que des convois venant de zone géographique si opposée se rejoigne tous en ce point précis pile au moment du passage de notre flotte. L’amiral pris alors directement les commandes des transmissions radio et envoya la même chose à l’ensemble des bâtiments du convoi.


« Aujourd’hui le dieu Mars semble convaincu qu’il vas y avoir de l’agitation en mer. Que celui qui ne veut pas tomber dans le royaume du dieu Neptune avant de rejoindre Pluton se prépare immédiatement. Mettez tous les systèmes de défenses en alerte, préparez les canaux d’évacuations et envoyer à Barba des messages de détresses. Contactez nos forces présentes dans nos bases en Transernikse les plus proches. État d’alerte au niveau maximale. »

«  Augustus Lévant, ici « Barba Fortuna », sous marin de classe balistique, nous coupons lés transmissions radio et entamons notre descente. »

« Barba Fortuna, ici Augustus Lévant, en cas d’échange de tire attendez le départ des ennemis et repartez sur base »

« Barba Fortuna, ici destroyer Néron, présence de sous marins léger étrangers à une soixantaine de miles, annulez la submersion, vous êtes trop lourd vous serez repérés. »

« Ici Augustus Levan pour l’ensemble du convoi, que personne n’engage avant mon ordre. Si l’ennemis frappe vous répondez et que dame fortune vous vienne en aide. »

Dans la cabine les échanges entre l’amiral Hacheleus et un des officier du poste de commandement aller bon train.

« Bordel à queue, qui sont les fils de putain qui viennent me faire chier »

« Nous ne possédons pas encore les informations sur la nationalité exacte des attaquant Amiral mais nous y travaillons »

« J’ai l’habitude de me faire prendre en sandwich, mais jamais en mer. À croire que toutes les pucelles de la région son venue goûter aux matos Sterusiens »

« Amiral, le convoi adverse tente d’entrer en contact, ils réclament une entrevue avec vous. Il semblerait que ce soit des Velsnien et des Fortuneen. Information à confirmer. »

L’amiral se mis alors à réfléchir quelques seconde.

« Acceptez, envoyez leur un hélicoptère. Informez immédiatement sa majesté le consul. Préparez une salle, préparez à boire et à manger. Ils me cassent les couilles et me font perdre du temps, mais on ne discute jamais aussi bien qu’avec du bon vin Sterusiens et quelques victuailles à manger »

« Doit on avertir le Churaynn ? »

« Envoyez leurs nos coordonnes GPS et la situation actuelle, ils ne seront pas d’un grand aide en l’occurrence mais au moin ils seront au courant »

« Doit on préparer une chambre Amiral ? »

« Je rencontre des militaires, pas ta mère alors non prépare moi une table, des chaises et demandes que l’on prépare l’hymne national au cas où, un bon soldats ne devrait mourir que sous le chant de sa patrie. »

« Reçu »

Alors que le croiseur stérusien se mettait en état d’alerte maximale et attendait, conformément aux communications, de recevoir les différents chefs militaires des forces adverses, l’ensemble de la flotte s’activait en prévision d’un affrontement. Tout le monde le savait : celui-ci tournerait nécessairement au désavantage de la flotte stérusienne. Mais pour un Stérusien, la défaite ne se définit pas par la perte d’une bataille. En réalité, un Stérusien ne perd jamais vraiment tant qu’il combat.

Conformément aux règles des combats de gladiateurs, chaque fois qu’un combattant tombait ou que le combat prenait fin, le perdant était toujours acclamé et salué par le public. Car les citoyens reconnaissaient avant tout l’honneur. Et l’honneur, dans la mort comme dans la défaite, était considéré comme le plus grand cadeau des dieux aux Stérusiens. Ainsi, ils avaient forgé ce mental depuis toujours : même si la mort est assurée, il faut veiller à mourir en condamnant son adversaire à souffrir le martyre. Mourir si c’est l’unique voie de sortie, mais mourir en ayant déchaîné le feu et la mort partout où cela est possible.

Cette idéologie avait malheureusement parfois eu de lourds revers pour la Fédération elle-même. Durant la période dite du « Faux Christ », lorsque de terribles organisations terroristes chrétiennes massacraient des civils par pure idéologie, les fanatiques, sachant pertinemment qu’ils seraient tués ou exécutés pendant ou après les combats, en profitaient pour provoquer le plus grand nombre de morts et de destructions avant d’atteindre cette finalité.

En mer d’Azur




Malgré l'inclination désormais internationalement reconnue des stérusiens pour l'agression, le capitaine du HMS Grettis répondit avec beaucoup de détachement à ses homologues :

« Augustus Lévant, ici le patrouilleur caratradais HMS Grettis. Nous conduisons un transit pacifique vers le sud. Aucun exercice ne nous a été signalé dans la région. Pourriez-vous nous informer quant à son contenu, afin que nous adoptions la conduite la plus appropriée ? »

Actions suivantes éventuelles a écrit :Pour l’instant, le petit patrouilleur maintient son cap et sa vitesse. Si les stérusiens n’entament aucune manœuvre particulière, il continue sa route jusqu’à être relevé par le HMS Gisla et TMS Vasteg. Ces derniers suivent ensuite la flotte stérusienne jusqu’au point d’interception où celle-ci se met aux postes de combats (si j’ai bien compris, l’interception par la flotte fortunéenne). La force de Perl Aerwyau se tient à l’écart de la mêlée potentielle, fait mettre aux postes de combats mais garde ses senseurs et systèmes d’armes inactifs (mais pas éteints). Les caratradais demandent aux stérusiens de clarifier leurs intentions.











Reportage des RBCN

Allo ! Y'a quelqu'un !?




HRP: Partant du principe que l'escadrille caratradaise est dans le sillage des flottes stérusiennes, velsniennes (Vème), je pars du principe que les caratradais sont détectés dans la zone correspondant précédemment à la zone d'interception décrite par moi même et le joueur de Fortuna (si pas d'accord, se référer au modo en charge), et qu'une communication est possible entre la Vème velsnienne et les équipages de la perfide albion.

"HMS Grettis, second opérateur du Vittorio Maranzano. Flotte stérusienne contactée et mise en panne pour debriefing avec le personnel de Classis V. Itinéraire et effectifs anormaux ayant transité par les eaux velsniennes en Tavaani, et demande du commandement maritime wanmirien. Pas d'intentions hostiles des deux bords, systèmes de combats inactifs de notre côté. Attention aux navires civils du secteur, nombreux. Prévenez le paquebot d'une distance de sécurité au cas où. Ne disons pas non au whisky quand la journée sera finie."