25/09/2017
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🗽| Département du Patrimoine Aleucien

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Union des Républiques Natives Etznabistes - Administration de la Culture


Le Département du Patrimoine Aleucien (DPA) est l'organisme étatique rattaché à l'Administration de la Culture et chargé de la préservation et de la promotion du patrimoine culturel et naturel des Républiques Etznabistes, de l'Union et de l'Empire des Cités d'Akaltie et des quatre pays constitutifs de l'Empire Anticolonial Akaltien. Il a été créé début d'année 2017, après la dernière tenue de session du Patrimoine Mondial, qui a donné bien des idées au gouvernement local. Rapidement, le gouvernement akaltien a également manifesté de l'intérêt à sa création et a décidé de le subventionner pour en faire un organisme d'échelle continentale, si ce n'est plus. Son siège a été placé à Sokóa, capitale de la République Pomo, située directement à l'ouest de la capitale fédérale.
Il répertorie notamment les monuments et autres sites d'intérêt pour y attirer les touristes, et la liste est présente ci-dessous.


Akaltie
Patrimoine culturel
Patrimoine naturelAnaistésie
Patrimoine naturel
  • Parc Marin de la Fosse d'Anne-Marie
  • Parc Marin du Récif de [nom à trouver]
Chandekolza
Patrimoine culturel
Patrimoine naturel
  • Forêts de bambous du Sud-Chandekolza
Nouvelle-Kintan
  • aucun site pour le moment
Républiques Etznabistes
Patrimoine culturel
Patrimoine naturelUuqtinut
Patrimoine naturel


Mise en forme (pour Kami)[center][img=https://i.imgur.com/hVj1Bwd.png]Organisation du Patrimoine Mondial[/img][img=https://i.imgur.com/Ur4bNbQ.png]Département du Patrimoine Aleucien[/img]

[b][size=1.5][infobox=LieuRéelDinspiration]NomDuMonument[/infobox][/size]
PaysEtRégionDuMonument[/b]

[img=lien]Carte AkalTopos de l'emplacement du site classé.[/img][/center]

[size=1.2][b]Présentation du site protégé[/b][/size]
[justify]TexteDePrésentationDuSite[/justify]
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Département du Patrimoine Aleucien

Parc des Tepuys
Province de Yulnhol, Akaltie

Carte AkalTopos de l'emplacement du site classé.

Présentation du site protégé
Le Parc des Tepuys est l'un des principaux espaces naturels protégés d'Akaltie. Il compte une grande quantité de ces structures géologique appelées "tepuys", qui ont même donné leur nom au parc.

Les tepuys sont des montagnes que l'on retrouve principalement dans le sud de l'Aleucie et en Paltoterra, qui sont des plateaux entourés de toutes parts par des falaises à pic. Cela crée à leur sommet des écosystèmes uniques, et parfois même des espèces endémiques de petits animaux, tels que des lézards ou dendrobates, que l'on n'observe que sur un seul tepuy. La protection de ces territoires est donc un enjeu majeur, et plus encore pour la biodiversité.

Le parc a été fondé en dans les années 1870, lorsque le gouvernement akaltien cherchait d'une part à protéger son patrimoine, chose fort importante une fois le pays unifié et plus ouvert sur les débuts de la mondialisation ; et d'autre part à promouvoir l'image de l'Akaltie auprès des pays aleuciens et eurysiens, pour leur montrer que, contrairement aux royaumes et empires du Vieux Continent, les akaltiens savaient préserver la beauté des endroits où ils vivaient. Cela contribuera également plus tard au développement du tourisme dans la région.

Quelques photos du Parc des Tepuys : des panoramas et une cascade au fond de l'une des vallées.
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Département du Patrimoine Aleucien

Parc du Quttiktuq
Commune d'Ikkiq, Uuqtinut

Carte AkalTopos de l'emplacement du site classé.

Présentation du site protégé
Le Parc du Quttiktuq est un parc naturel situé dans le nord de l'Uuqtinut, sur le territoire de la commune d'Ikkiq. Un peu enfoncé à l'intérieur des terres et surtout placé sur le plateau, il est l'un des endroits les plus froids du pays, que les neiges éternelles ne quittent jamais, ou du moins jamais de mémoire d'Homme.
Au centre du parc se dresse l'impressionnant mont Quttiktuq, qui a donné sa nomenclature à tout l'ensemble. Il n'est pas le point culminant de l'Uuqtinut, mais n'en reste pas moins élevé et surtout solitaire. Aucun autre promontoire rocheux ne se dresse à des kilomètres à la ronde, ce qui donne d'autant plus une sensation d'altitude en observant la montagne.
Des touristes viennent des quatre coins du monde pour admirer, de nuit, les aurores boréales au bord du lac qui jouxte le mont Quttiktuq. Ce n'est pas le seul endroit de l'Uuqtinut d'où l'on peut profiter de ces magnifiques trainées lumineuses, mais il s'agit probablement de l'un des plus beaux !

Jusqu'à nos jours, les abords du parc n'étaient que peu traversés, l'intérieur du pays étant peu peuplé. La protection qui a été ajoutée sur celui-ci n'a donc pas apporté grand chose, mais permet au moins à la commune de recevoir plus de financements pour la protection de la faune et des paysages locaux.

quand Imgur voudra bien
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Organisation du Patrimoine MondialDépartement du Patrimoine Aleucien

Parc National Yana
République Yana, Union des Républiques Natives Etznabistes

Carte AkalTopos de l'emplacement du site classé.

Présentation du site protégé
Véritable merveille de la nature ouest-aleucienne, le Parc National Yana fait partie des premiers parcs naturels mis en place par les Républiques Etznabistes depuis leur fondation en 2015. Il fait suite à un parc régional qui existait déjà durant l'époque antérinienne, sans pour autant que sa dénomination n'ait de grande incidence sur sa protection physique ou son entretien. Assez peu de gardes forestiers travaillaient sur place avant que le nouvel État ne soit instauré. Son état de conservation satisfaisant n'est donc dû qu'à son isolement de toute grande ville, et aux petits villages qui sont bien les seuls à parsemer les grandes étendues de l'ancienne colonie de Nouvelle-Antérinie.

Niché entre deux petits massifs montagneux, le parc abrite plusieurs colonies de séquoias, des arbres qui peuvent souvent atteindre une centaine de mètres de hauteur. Ces arbres font partie des plantes les plus grandes du monde, ou du moins des plus grandes plantes terrestres qui soient connues. Ils parviennent à atteindre ces hauteurs titanesques grâce à leur durée de vie relativement longue, et grâce à leur croissance proche de l'exponentielle. Selon les gardes forestiers, c'est d'ailleurs dans le parc que le plus grand arbre du monde se trouve. Son emplacement n'est cependant révélé qu'à quelques initiés et fonctionnaires haut placés pour l'instant, de peur que trop de visiteurs soient attirés par cet être vivant hors normes et ne risquent de l'abîmer, ainsi que la forêt avoisinante. Surnommé K!una'māriemi ("vieille femme" en langue yana), il mesure 116 mètres de hauteur, toujours selon les gardes forestiers qui le gardent jalousement et le soignent autant qu'ils conservent son secret. Il est pratiquement un miracle, car les vieux arbres aussi grands ont pour la plupart été abattus sous l'époque antérinienne, car ils fournissaient d'énormes quantités de bois, qu'il soit de chauffe ou pour la construction.

Les plantes ne sont pas les seuls point d'intérêt, et les falaises rocheuses et leurs plusieurs centaines de cascades réparties sur tout le pourtour de la vallée du parc national offrent un spectacle magnifique à tous ceux qui ont la chance de les voir. La géographie particulière de la vallée, encaissée entre deux chaînes montagneuses de basse altitude, lui permet d'exposer de magnifiques points de vue, tout en restant éloigné de la haute montagne enneigée.

La zone n'est libre d'accès aux visiteurs que depuis peu de temps, car la sécurisation de sentiers de visite balisés a été ardue, pour prendre en compte les multiples facteurs de bien-être à la fois des humains et de la faune et de la flore locales. Le but est de ne pas causer des dérangement pour la faune locale ni de danger pour les promeneurs. Des grizzlys et quelques bisons vivent dans le parc, ainsi que des carnivores de moindres tailles. Les touristes interne à l'URNE et venant des pays alentours, et même du reste du continent se sont déjà montrés très intéressés par ce site naturel hors normes. L'économie locale a largement été stimulée par la seule présence du parc. L'industrie hôtelière, les restaurants, et autres commerces tournés vers le tourisme ont su lancer la région sur la voie d'un développement économique fort et durable.

Grâce à la faible population de la région, la nature est pratiquement vierge de toute installation permanente humaine qui pourrait troubler la zone par du bruit constant ou de la pollution lumineuse et atmosphérique. Cependant, les espèces animales n'ont pendant longtemps pas fait l'objet de la moindre protection, et plusieurs ont pratiquement disparu du parc. On compte notamment les prédateurs parmi les espèces manquantes à l'appel, victimes de la chasse car les fermiers voulaient protéger leurs plantations et élevages. Un programme de réintroduction est donc en cours pour restaurer complètement la biodiversité locale et son équilibre fragile. Sans celui-ci, les herbivores ont pullulé pendant des décennies et ravagé la végétation du parc.

Grâce au récent classement au patrimoine mondial du parc, de nouveaux fonds ont pu être débloqués pour assurer son entretien et sa sauvegarde.

Une sélection de vues et de paysages du parc.
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Département du Patrimoine Aleucien

Cité d'Azur
District de Saipalbon, Royaume Démocratique du Chandekolza


Carte AkalTopos de l'emplacement du site classé.

Présentation du site protégé
La Cité d'Azur est le nom donné au palais royal du Chandekolza, celui qui héberge depuis des siècles la monarchie de Saipalbon et depuis le milieu du six-neuvième siècle la monarchie gouvernante du pays unifié et indépendant.
Son nom semblant peu original d'"azur", une couleur très présente sur la péninsule nazumie puisque le nord du Jashuria borde la Mer d'Azur, lui a été donné par sa proximité à la côte, baignée par une mer bleue qui a toujours impressionnée les voyageurs descendant le fleuve, après n'avoir vu que sa couleur brune sale sur des centaines de kilomètres.
Malheureusement, le manque chronique de moyens financiers du pays, et évidemment la forte corruption qui touche celui-ci a conduit à une forte dégradation du palais, comme l'on peut le constater sur plusieurs photos des bâtiments. Plusieurs ont même été détruits, par peur qu'ils ne s'écroulent sur des touristes ou du personnel des lieux. Cela n'a pas aidé à redorer l'image du touriste, et d'autant moins auprès des historiens et archéologues qui considèrent la perte de tous ces exemples d'architecture moyenâgeuse chandekolzane comme une véritable catastrophe.
C'est pour cette raison que le Chandekolza a décidé, bien que l'Aleucie ne soit pas le continent qui l'attire le plus étant donné le froid qui persiste entre les autorités de l'Empire Anticolonial et de l'Akaltie et celles du Royaume, de demander le classement de la Cité d'Azur auprès du Département du Patrimoine Aleucien.

L'entrée de la Cité d'Azur à Saipalbon.L'entrée de la Cité d'Azur à Saipalbon.
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Département du Patrimoine Aleucien

Églises à clochers néo-antériniens
Toutes régions des Républiques Etznabistes et Grand-Duché du Scintillant (Empire Confédéral Uni)


Carte AkalTopos de l'emplacement du site classé.

Présentation du site protégé
La création de ce style architectural dédié aux clochers d'églises remonte aux dix-septième et dix-huitième siècles lorsque la colonisation de l'intérieur des terres bat son plein en Nouvelle-Antérinie. Pour encourager les populations civiles, qui s'étaient jusque là surtout cantonnées à la côte et à la péninsule de la Nouvelle Antrania, la monarchie antérinienne a fait construire plusieurs dizaines d'églises en pierre dans les villages. Ce choix forme d'ailleurs une caractéristique atypique en Aleucie et au Nouveau Monde en général, puisque la plupart des édifices religieux d'époque sont plutôt faits de bois, plus pratique pour construire rapidement et à bas coûts.
On trouve donc de ces églises dans toutes les républiques de l'Union, à intervalle régulier lorsque l'on va de villages en villages. Seuls quelques rares édifices religieux modernes, construits au cours du vingtième siècle, dénotent de ce style. Leur inscription au patrimoine aleucien aidera à leur faire gagner en visibilité, car ils sont jusqu'ici très peu connus ou reconnus à l'étranger. Seuls les antériniens connaissent cette forme, qui a été importée de chez eux.

La forme caractéristique de ces clocher est basée sur quatre arêtes en forme de S, posées sur une tour généralement à base carrée. Par dessus a été mis un toit soit fait en plaques métalliques, pour aller au plus simple et pratique après toutes les excentricités déjà évoquées précédemment, soit des tuiles formant souvent un motif en damier reconnaissable dans la région. Ces florilèges de couleurs permettent à chaque paroisse de se démarquer de ses voisines en adoptant des teintes différentes. Elles varient également en fonction des pigments et des carrières d'ardoise qui étaient disponibles dans la région directement autour du village concerné.

L'église Saint-Roch de Saint-Roch-du-Caillou, dans la République Pomo est un bon exemple de clocher de style néo-antérinien (à gauche). Quatre autres exemples permettent de voir la large répartition de ces clochers.
L'église Saint-Roch de Saint-Roch-du-Caillou, dans la République Pomo est un bon exemple de clocher de style néo-antérinien (à gauche). Quatre autres exemples permettent de voir la large répartition de ces clochers.
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