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Encyclopédie Général de la Yashosie

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Création de pays : République Socialiste de Yashosie


Généralités :



Nom officiel : République Socialiste de Yashosie
Nom courant : Yashosie
Gentilé : Yashosien, Yashosienne

Inspirations culturelles : Géorgie, Daghestan, Arménie, Tchétchénie, Ingouchie
Situation géographique :
Situation du pays coupé en 2 :
Situation du pays
Rouge=communiste/Bleu=Tsariste/Point Noir=Capitale

Langue(s) officielle(s) : Yashosien (Géorgien)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Aucune

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Travail, Unité, Renouveau.
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Le Sovar

Capitale : Kharinsk (Anciennement Iosos)

Population : 23 320 000 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
La Yashosie est une ancienne théocratie orthodoxe coupée du monde. Elle s’est officiellement fondée en 1556 par des moines exilés ayant quitté l'Empire de Slaviensk, pour se rapprocher de la religion et pour fonder une nation orthodoxe isolée du monde hérétique. En arrivant sur les territoires rudes et glaciales du nord-Nazum, ils ne sont pas seuls, des peuples autochtones sont déjà présents, de culture et religion païenne. Les moines parviennent à obtenir un petit territoire. Ils créent alors le Royaume de Yashosie. Ce royaume ne sera que très peu calme, les moines chevaliers lancent la première croisade en 1574, et obtiennent la totalité de leurs territoires actuels. Puis une deuxième est lancée en 1632 où ils obtiendront les territoires manquants pour former le territoire du grand royaume de Yashosie.
Territoire du Grand Royaume de Yashosie
En 1651, après avoir conquis les saintes terres, une région, la plus petite, se tourne de plus en plus vers une religion païenne, ils brulent des monastères et églises à peine construits. Le patriarche décide alors d'y envoyer la sainte armée pour négocier ces hérétiques à se retourner vers le Christ. Le peuple ne coopère pas, le patriarche donne l'ordre de décimer l'entièreté de la population : hommes, femmes et enfants. Près de 50 000 personnes sont exécutées en 2 ans. Par la suite, cet évènement sera effacé des récits historiques, bien que quelques livres et témoignages circulent encore illégalement dans le pays. Cet évènement est désormais une légende.
Pendant l'entièreté de cette période, aucune ambassade, aucune route extérieure, aucun commerce extérieur. Des cathédrales en pierres noires, symbole de la Yashosie, des écoles religieuses et premières murailles sont érigées. C'est là que naît la légende d'une nation fantôme religieuse au nord du Nazum. Cette légende est confirmée au monde extérieur au XVIIIᵉ siècle par l'empire Mor. La découverte de la Yashosie par les Mors sera le début aux enfers du Saint État. Les Mors annexeront la Yashosie en tant que colonie. Puis les Mors deviendront une république socialiste, la RSFSM (République socialiste fédérative soviétique mor). Le peuple, toujours très religieux, refuse le socialisme comme le communisme. Mais en tant que peuple aussi connu pour son calme et son pacifisme, ils ne font d'abord rien mais espèrent la chute de la RSFSM. Mais dès les années 1930, une première révolution pour l'indépendance de la Yashosie, qui est d'ailleurs très soutenue par les élites. Puis en 1939, la Yashosie est libre. Enfin c'est ce que le monde croit. Les mêmes élites qui avaient soutenu la révolution prennent le pouvoir et instaurent un régime communiste dictatorial extrême. Les religions sont interdites, la culture doit être effacée et il instaure un parti unique. Le peuple se sent accablé par le régime communiste et épuisé de leur première révolution, alors ils ne font rien. Puis en 1963, une partie du peuple à l’est se rebelle. Seulement quelques centaines, 639 révolutionnaires tsaristes. Le gouvernement ne prend pas cette révolte au sérieux et laisse trainer l’affaire. Cependant, c’est en février 1964 que tout change. Le petit groupe révolutionnaire de moins de 1000 personnes s'est transformé en une véritable armée insurrectionnelle : une partie de l’armée se retourne, près de 6 millions de civils déclarés rejoignent la cause : de manière militaire, diplomatique, politique, partisans ou d’autres. À cet instant, le gouvernement est perdu. Non seulement les révolutionnaires se sont agrandis, mais de plus l’armée s’est restreinte (près d’un tiers de l’armée a rejoint la cause tsariste). Et le 18 avril 1964, le Tsarat de Khardaz (le nom vient de la traduction du mot "libre" en khardaz) déclare son indépendance dans l’est du pays. Le pays est coupé en 2 : à l’ouest, les communistes et à l’est les tsaristes. La guerre est dure pour les communistes, qui doivent faire face avec une armée affaiblie. Dans les années 1987, c’est le renouveau pour les communistes, des aides arrivent des ex-colonies Mor maintenant devenues des républiques socialistes. Le Tsarat recule énormément. Puis en 1996, une attaque terroriste revendiquée par les tsaristes dans la plus grande base militaire communiste fait plus de 12 000 morts. Près de 26 kamikazes se font exploser dans la base militaire après une entrée fracassante de 1 200 soldats tsaristes dans la base. La base est pillée puis brulée. Ce coup sera le début de la fin communiste. Près de 27 chars d’assaut, 36 chars légers, plusieurs centaines de lance-roquettes, des milliers d’armes à feu ainsi qu’une demi-douzaine d’hélicoptères de combat ont été volés. La guerre civile continue mais stagne jusqu’en 2011, où une nouvelle grande attaque faite par les tsaristes prend plusieurs bases militaires ainsi que leurs équipements. Suite à cela, pour achever encore plus le gouvernement communiste, Novyavik fournit secrètement des missiles aux tsaristes qui bombardent la capitale yashosienne ainsi que d'autres bases militaires. Cet évènement, affaiblissant encore plus l’armée communiste, donnera la récupération d’une énorme partie du territoire par les armées tsaristes. Depuis, l'Empire de Slaviensk (anciennement Novyavik) et le Morakhan continuent d'aider les partisans tsaristes mais de manière plus modérée, en particulier des dons d’armes ou d’autres équipements militaires.

Mentalité de la population :
La population yahosienne/Khardaze est l'une des populations comptant le plus haut taux de dépression au monde, 27 % d'après une étude de 2014. Le pays compte aussi parmi les plus gros consommateurs de drogues et d'alcool, près de 84 % de la population affirme avoir déjà testé la drogue et 43 % affirment en consommer régulièrement. Ces taux de dépressions sont causés par la guerre civile qui dure depuis 1964. Bien que cette population soit classée comme "droguée" ou "dépressive", elle est aussi l'une des plus chrétiennes. 87 % de la population est baptisée orthodoxe et 81 % disent pratiquer la religion chrétienne. Ce mélange de "drogues" et "d'orthodoxes" fait que l'Église les pratique comme presque nuls.

Place de la religion dans l'État et la société :
Bien qu'interdite par le gouvernement communiste, l'orthodoxie reste très pratiquée. Il est aussi l'un des points centraux de la propagande des partisans tsaristes, qui désirent rétablir l'orthodoxie comme une religion d'État.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
La RSY est une république à parti unique, le président est élu à vie par le peuple lors d'un vote au suffrage universel et possède tous les pouvoirs une fois élu. Il nomme des ministres mais ces ministres ne dirigent que par les directions du président, donc ils sont des marionnettes du président.

Principaux personnages :
  • Le Grand Président Suprême de la République Socialiste de Yashosie : Josef Skratac

  • Politique internationale :
    La République socialiste de Yashosie reste très proche des pays communistes et socialistes, principalement ceux de la Confédération socialiste. Mais depuis 2012, avec l'aide de nombreux pays, les tsaristes ont récupéré une majorité du territoire. Pour l'instant, le pays est assez pauvre en raison de la guerre civile et ne possède pas vraiment d'armée à part des armes à feu et quelques anciens équipements militaires restant de l'avant-guerre. De plus, la situation actuelle en Yashosie est très compliquée car le territoire sert non officiellement de champ de bataille entre communistes et autres nations impérialistes ou anticommunistes. Le pays ne fait pour l'instant pas partie de la confédération socialiste du Nazum qui ne peut accueillir un pays aussi instable, c'est pour cela que si le gouvernement gagne la guerre civile, il rejoindra la CSN.


    Du point de vue des tsaristes
    Nom officiel : Tsarat de Khardaz
    Nom courant : Khardaz
    Gentilé : Khardaz, Khardaze
    Langue(s) officielle(s) : Khardaz (Mélange d'ukrainien, géorgien et latin)
    Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Tcharzouri (Les Tcharzènes : inspirés de la Géorgie), Armazit (Les Armazètes : inspirés de l’Arménie), Narkh (Les Narkhazis : inspirés de la Tchétchénie), Yasski (Les Yasskirs : inspirés des Yakoutes / Iakoutes), Khaszakht (Les Khaszaks : inspirés des Kazakhs), Morzakh (Les Morzalkhs : inspirés des Mongols/Bouriates), Dagurash (Les Daguranes : inspirés du Daghestan)

    Drapeau :
    Drapeau

    Devise officielle : Par le peuple, pour le Tsar, avec l'aide de Dieu
    Hymne officiel :
    Monnaie nationale : Lari (₾)
    Capitale : Kharinsk (Anciennement Iosos)
    Institutions politiques :
  • Pendant la guerre civile :
  • Actuellement, la gouvernance du Tsarat est assignée au Tsar Arman Tsarukyan et à un conseil militaire composé de 4 généraux de l'armée des partisans tsaristes. Ensemble ils forment le Conseil de Guerre Tsariste (CGT). Ils ont tous les pouvoirs. Le tsar n'est pas élu, le titre de tsar est héréditaire, de priorité masculine.
  • Après la guerre civile :
  • Après la victoire, les tsaristes comptent introduire un tsarat constitutionnel. Le tsar à son titre de par la descendance familiale, il nomme un premier ministre qui nomme des ministres, ensemble ils forment le conseil ministériel. Le peuple lui vote pour le parlement de 645 places entre différents partis (le communiste est interdit en Khardaz). Le Parlement peut destituer le Premier ministre ainsi que les autres ministres si une majorité est atteinte mais ne peut en aucun cas remettre en cause le titre du Tsar. Cependant, le tsar peut lui aussi dissoudre le parlement, qui devra de nouveau être voté sous 2 mois maximum.
    Principaux personnages :
    Tsar
    Le Tsar Arman Tsarukyan
    Politique internationale :
    Le Tsarat n'a pour l'instant que très peu de reconnaissance internationale, seuls l'Empire de Slaviensk et le Morakhan reconnaissent et soutiennent la cause tsariste. Une fois qu'il aura vaincu le gouvernement communiste, il compte se militariser le plus possible et rester distant à l'encontre d'autres nations communistes. Le Tsarat envisage de former de solides alliances avec des nations assez militarisées pour pouvoir être défendu en cas de vengeance de par le CSN.
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