25/09/2017
09:23:33
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Mise sous blocus de la colonie du Grammatika.

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Mise en place à partir du 25/08/2025.


D’une voix, ils s’écrièrent : « Afarea Mugu ! »(1)


Durant trop longtemps ces horreurs avaient duré, durant trop longtemps le monde était resté silencieux, pendant trop longtemps, les indigènes souffraient. Heureusement, cette fois-ci, les locaux pouvaient compter sur de véritables soutiens. Churayns, Antérien, Marcinois, tous avaient accourus à leur aide. Seulement, difficile de faire passer en contre-bande des chars, difficile de pouvoir armer des rebelles sans êtres vus. Néanmoins, si les Menkelts ont réussis à s’installer, ce n’est pas le cas pour leurs alliés rimauriens ou altrechtois, et ils se retrouvent isolés, encerclés par une savane en apparence silencieuse, inoffensive, mais en vérité retorse et habile. Inutile d’avoir besoin de milliers d’insurgés quand les lianes, les ronces et les moustiques font fondre l’ennemi. La chaleur et la malaria n’auraient aucun mal à décimer les oppresseurs. Seulement, il fallait donner une chance aux rebelles de ne pas voir les réserves ennemies regonfler chaque jours qui passent, il fallait pour cela mettre en place de quoi les soutenir efficacement sans pour autant donner l’impression que la libération est permise par des puissances étrangères. Et pour intervenir à distance tout en ayant un poids décisif dans cette libération, il fallait que les stocks d’hommes et d’armes ne se remplissent pas chaque fois que la forêt les vide, il fallait essouffler l’ennemi, l’affamer. La forêt réduit ses forces à néant et l’homme se charge de bloquer le ravitaillement. Un travail d’équipe, la renaissance du contrat éternel entre l’Afaréen et la Nature. La seconde offre assistance et protection en échange de son respect.

Malheureusement, les Occidentaux ont détruit ce fragile équilibre, ils ont détruit les Afaréens, et si la plupart s’en excusent, s’en repentent, d’autres l’assument ouvertement, s’en vantent. Et ces derniers devaient déguerpir, arrêter de ruiner cette pauvre Afarée, à la fois berceau des civilisations les plus brillantes, mais aussi victimes des crimes les plus abjects. Maintenant, il s’agissait d’apprendre au Grammatika que les Afaréens ne sont plus objets, et que si l’Afarée devait les chasser à coups d’obus, elle n’hésiterait pas une seule seconde. Il fallait simplement espérer qu’ils aient la présence d’esprit de ne pas immoler leurs hommes pour ce petit bout de territoire. Les fascistes construisent des bases, les coalisés réagissent promptement. « Si les Menkelts, les Rimauriens, les Altrchtois et les Grammariens veulent s’installer, pas de soucis, on les délogera au canon ! » affirmera Désiré Floubou. Marcine ne voulait pas de la guerre, mais la détresse de ses frères ne put la laisser insensible, ces hommes qui débarquaient n’étaient pas des prêtres venus confesser les locaux, mais des guerriers venus violer et massacrer les civils. Et lorsque sa famille est en danger, il est naturel de réagir promptement et violemment, un avertissement a été lancé aux membres du B.N.E, le Grammatika sait à quoi s’en tenir. S’ils refusent, ce ne sera pas quelques navires qui se présenteront devant Derdendembes, mais l’intégralité des flottes afaréennes. Et s’il fallait raser les bases eurysiennes, elles le feraient.

Les objectifs marcinois, churaynns et antériens étaient simples : empêcher les troupes ennemis de s’installer au Grammatika.

Pour ce faire, ils jouaient sur un point essentiel ; la temporalité de l’opération. Les coalisés savent de sources sûres que les fascistes allaient arriver, seulement ils ne savaient pas combien d’hommes allaient être envoyés, ils ne savaient pas non plus quelles méthodes allaient être employées, mais ils savaient qu’ils allaient prendre pied à terre. Par conséquent, il fallait faire preuve de stratégie et surtout de rapidité. Ainsi, Marcinois, Churaynns et Antériens devaient pouvoir encercler la colonie du Grammatika. Seulement, comment faire ? Et surtout, comment se montrer le plus efficace possible ?

Aimé de Kalindi-Marcine, Grand Amiral de la flotte confédérale avait ainsi réfléchi rapidement à un plan, qui comptait avant tout sur la dissuasion et la menace pour fonctionner que le combat en tant que tel.

Plan d'action. a écrit :
Plan d’action et objectifs
,( à coordonner avec les amirautés antériennes et churaynes).

Le Grammatika possède une colonie en Afarée, l’Afarée centrale grammarflüssteinoise. A l’heure actuelle, nous estimons que deux ou trois milliers d’hommes maximum sont probablement chargés de faire régner l’ordre sur place. D’une part car il s’agit aussi de contrôler la Métropole, connaissant des troubles avec les Monarchistes, et d’une autre pour des raisons logistiques, il est assez difficile pour un si petit territoire de pouvoir nourrir des centaines de milliers de personnes sans faire appel à des ravitailleurs. De plus, il est certains que ce besoin constant en approvisionnement concerne aussi le matériel, armes, artillerie et blindés, mais aussi la logistique plus traditionnelle ; camions et véhicules de soin. De ce fait la position de l’armée locale reste assez précaire car elle dépends presque entièrement de son port et des bases portuaires que tenteront de construire les membres du B.N.E.

En revanche, ne nous trompons pas d’objectifs. Il s’agit seulement de couper l’approvisionnement en matériel et armes pour les troupes ennemies présentes sur place afin de faciliter la tâche aux indépendantistes. Aucun acte belliqueux ne doit être tenté tant que le Grammatika n’a pas répondu à l’appel de l’Excellence chargée de la diplomatie. Mais néanmoins, nous devons pouvoir bloquer et stopper l’arrivage de renforts du B.N.E. Et c’est là notre principale tâche, qui est de loin la plus importante. En effet, privé l’ennemi de renforts, rendrait la libération du territoire du Grammarflüsstein bien plus facile, notamment lorsque des armes et des munitions seraient livrées par voies maritimes aux indépendantistes tandis que les autorités locales n’ont pas les moyens pour surveiller 170 kilomètres de côtes. Leur permettant (aux indépendantistes) de compter sur une équivalence en termes de matériel (@kami pense à préciser le nombre de rebelles) voire d’hommes. A partir de ce moment là, l’indépendance devient plus aisée, et notre intervention terrestre devient justifiées par l’agression que commet le B.N.E en violant la souveraineté nationale d’un État.

Au niveau naval, il faut savoir agir avec discernement, le golf de Derdendembes est vaste, en revanche, contrôler l’isthme fortunéen permet de contrôler les navires entrants et sortants. Par conséquent, de bloquer le trafic entre la colonie du Grammatika et l’arrivée des convois militaires. Cette stratégie doit évidemment permettre d’affaiblir les forces présentes sur place tout en, paradoxalement, renforcant les troupes indépendantistes en poursuivant un approvisionnement discrets, affamer l’ennemi tout en nourrissant les locaux. De plus, au niveau du carburant, il est nécessaire de se montrer impitoyable, aucun pétrolier ne peut passer ce territoire sans le risque de ravitailler les véhicules altrechtois présents sur place.

D’ailleurs, en évoquant le ravitaillement, rappelons qu’un pétrolier ravitailleur devrait permettre de ravitailler la flotte confédérale, tandis que la base Churayne présente à Eilesis devrait nous permettre de réapprovisionner le ravitailleur en cas de besoin, d’autant plus lorsque nous pourrions compter sur l’aide des divers membres de la coalition. Il est donc inutile de trop se préoccuper de l’approvisionnement de nos navires, vu qu’il sera assuré et par le fret entre notre pétrolier ravitailleur et le territoire nésoïen mais aussi par ceux de nos alliés. Donc le problème reste d’importance minime. 

Nous tenons aussi à rappeler à tout nos commandants que notre objectif est d’assurer un blocus effectif. Par conséquent, l’Isthme sera bloqué pour les navires de guerre et de ravitaillement à destination du Grammatika. Naturellement, les vaisseaux fortunéns et de la Confédération Nazuméenne ne seront en rien inquiétés, nous tenons aussi à rappeler qu’aucun contrôle sur ces derniers ne sera effectué par les autorités confédérales, exceptés s’ils se rapprochent trop de la colonie, objet de ce blocus. Je rappelle aussi que les navires doivent rester séparés par une vingtaine de kilomètres, tandis que des vedettes légères rallieront les différents points du détroit de Fortuna afin de s’assurer qu’aucun navire ne tente de traverser le blocus.

Évidemment, nous ne pourrons rester statique, notre nombre de vaisseaux limités et la distance séparant les deux bouts de terre (environ 170 kilomètres) nous poussera à adopter le « blocus de croisière », signifiant que nous pourrons patrouiller dans un rayon d’environ une trentaine de kilomètres, nous permettant de couvrir la quasi-intégralité du détroit. En effet, nous rappelons que les radars de nos vaisseaux peuvent balayer une circonférence d’une cinquantaine de kilomètres tandis que notre relatif éloignement nous permettra de balayer efficacement la zone. Évidemment, chaque navires doivent pouvoir communiquer en permanence et un rapport devra être envoyé au vaisseau amiral toutes les heures qui passent. Afin de garantir une efficacité optimale et éviter des désagréments d’ordres balistiques.

Formation de combat, interception et appui aérien.

Je tiens encore une fois à rappeler que l’objectif est de pouvoir contrer l’approvisionnement en armes et en matériel de la colonie du Grammatika, par conséquent, il sera nécessaire de se coordonner rapidement pour couvrir une large zone. En partant de ce postulat, j’ai rappelé que les forces de la Marine Confédérale pratiqueront le « blocus de croisière », autrement qu’ils patrouilleront sur une trentaine de kilomètres pour permettre à leurs radars (couvrant une cinquantaine de kilomètres) de balayer un large périmètre, et comme dit plus tôt, quatre vedettes rapides patrouilleront en marge de nos vaisseaux pour s’assurer que nos poissons ne passent par aucune mailles de notre filet.

Néanmoins, je pense qu’il va être nécessaire d’adopter une double ligne pour éviter que les potentiels vaisseaux ayant réussis à tromper la vigilance de nos navires ne puissent tout de même joindre la colonie du Grammatika. De cette manière, même en ayant traversé la première ligne de défense, l’ennemi devra tout de même traverser la seconde ligne de défense. Chose bien plus ardue, vu que cette dernière sera composée par les flottes du Churaynn et de l’Antérie. De plus, au niveau la première ligne, que nous surveillerons, il faut prendre en compte la division des forces confédérales en deux groupes :

-Le Premier Groupe de Sécurité (P.G.S), composé par quatre patrouilleurs et deux vedettes rapides. Leur mission sera de patrouiller entre le comptoir fortunéen et l’autre rive. Ils seront tous dotés de radars pouvant balayer une quarantaine de kilomètres et seront espacés par une dizaine de kilomètres chacun, leur permettant de surveiller (grâce aux radars) une bonne partie du périmètre donné. Les deux vedettes servant, comme rappelé plus tôt, à relier les différents points afin d’assurer une liaison visuelle continue entre les différents bâtiments de surface. Ces vaisseaux n’auront qu’un seul objectif ; avertir le groupe principal en cas d’intrusion dans le périmètre de sécurité. Patrouilleurs et vedettes sont chargé d’avertir le vaisseau qu’il sera contrôlé et qu’il est prié de s’arrêter. Si ce dernier est seul et refuse de se plier aux ordres, les vedettes ou le patrouilleur sont libres de le prendre en chasse, tandis que le groupe principal les rejoindra.

- Le Groupe de Chasse et d’Interception (G.C.I), composé par le Navire-Amiral (le N.S.M Saint Michel, la frégate de sixième génération), par deux corvettes ainsi que par deux autres vedettes. Ce dernier sera chargé de la prise en chasse des cargos se dirigeant vers le Grammatika qui refusent de se faire contrôler par les patrouilleurs voire de la destruction de ces dernier si nécessaire. Ils seront disposés en « flèche », autrement dit le Navire Amiral sera la pointe de la-dite formation et ses arrières seront assurés par les deux corvettes tandis que les vedettes assureront elles-mêmes la sécurité de ces dernières. Le G.C.I sera en blocus « fixe » autrement dit ils ne bougeront qu’en cas d’intrusion du périmètre et ne seront donc pas chargés de seconder le P.G.S.

Si une interception s’avère nécessaire, les commandants devront à tout prix prioriser le dialogue et les échanges. Tenter de convaincre les capitaines de se plier à leurs injonctions. Si malheureusement les diverses tentatives pour entrer en contact ou raisonner le capitaine ont échoué, les patrouilleurs sont libres d’utiliser la force brute pour stopper le navire, si ce dernier est trop rapide, chose peu probable, le G.C.I se chargera de le couler à l’aide des canons longue portée ou des torpilles des vedettes rapides. Le G.C.I pourrait même être appelé à des opération de bombardement des bases militaires côtières si cela s’avère nécessaire, même si la Confédération compte sur la sagesse de Weinel.

De plus, les formations G.C.I et P.G.S seront suppléer par un soutien aérien. Les différents avions n’ont qu’un seul objectif, assurer la protection des différentes composantes de la flotte confédérale en bombardant si nécessaire les cibles, notamment les navires de surface ; il est aussi chargé de prioriser les navires cargos se dirigeant directement vers la colonie du Grammatika. Le support aérien sera aussi chargé d’attaquer les avions (civils ou militaires) se dirigeant vers la colonie. Ces derniers se ravitailleront sur l’enclave nésoïenne et verront le nombre initial (à savoir une trentaine d’avions) divisé par deux afin des rondes qui se relaieront et optimisé leur efficacité. Autrement, dit une quinzaine d’avions sillonneront les cieux à la recherche de navires ennemis et seront chargés de les bombarder si nécessaire. Encore une fois, ils devront passer par les voies diplomatiques au préalable.

Si l’ennemi avance avec une flotte imposante, allant de quelques frégates à un Groupe Naval complet, alors la Flotte confédérale les laissera passer, tout en s’assurant qu’aucun navire ne suive. La force navale complète suivra à distance le Groupe du B.N.E et sera chargée de fermer la tenaille si la flotte fasciste tente de lancer les hostilités contre les navires coalisés. L’aviation sera chargée de bombarder en priorité les cargos et de couler ces derniers, tandis que les navires de surface devront tirer à boulets rouges sur la flotte ennemie. Naturellement, la flotte coalisée ne devra que répondre aux tire du B.N.E tout en bloquant leur avancée. En vertu du protocole de Marcine.

Volet diplomatique.

Néanmoins l’objectif de la mission est clair, affamer l’ennemi tout en alimentant les rebelles en armes et en munition. Une armée ne se bat pas le ventre vide, elle ne sa bat pas non plus sans carburant. Car le Grammatika refuse l’offre des coalisés et des troupes rebelles, dès lors le blocus sera intégral et visera cargos civils et militaires (exceptés les navires de l’Amirauté fortunéenne ou de la C.S.N ainsi que des États membres de l’O.N.D et de l’O.N.C ainsi que des États afaréens. De plus, il est important de saisir que cette opération peut être vouée à l’échec si la Communauté Internationale considère cette dernière comme illégitime ou ouvertement impérialiste, ce qui est évidemment faux.

De cette manière, nous devons tout de même compter sur l’assentiment, voire la participation directe de certaines nations, des puissances économiques, des puissances militaires ou des États influents. L’objectif n’est pas tant de pouvoir faire consensus mais de pouvoir compter sur une base de puissance qui pourraient être disposées à intervenir en notre faveur, ou du moins ne pas être indisposées par nos méthodes. De ce fait, nous devons compter sur le Kah, qui nous soutiendra probablement en raison de la proximité stratégique entre nos deux États. L’Azur, véritable influenceur de l’Afarée, qui ne doit être en aucun contrarié par nos opérations, qui devrait, si possible, les soutenir dans les faits ou du moins ne pas s’y opposer frontalement. C’est une question d’ordre capitale qui décidera dans les faits si l’Afarée voit cette opération d’un bon œil. Les puissances des principaux blocs, à savoir l’O.N.C et l’O.N.D, en vérité, la nature de l’opération, c’est à dire moral, et sa zone, c’est à dire ce petit détroit, ne mets ni le commerce mondial en danger, tandis que les motivations de cette opération défendent les Droits Humains. L’alliance entre l’Antegrad et Sylva rends une condamnation onédienne encore moins probable.

De cette manière, les risques d’une condamnation internationale poussant les coalisés à se retirer restent minimes, du moins de mon point de vue. Il est aussi à noter que la probabilité que le Menkelt, la Rimaurie l’Altrecht ou le Grammatika soient forcés à s’asseoir à la table des négociations est élevées, si à l’heure actuelle nous savons que seuls Neufs milles hommes sont actuellement en transit (ou sont arrivés, au choix du modo, et ce malgré la différence de 10 jours Irl entre la missive menkelt et la missive altrechtoise, laissant supposer de la mauvaise foi…) il est fort probable que les membres du B.N.E soient plus nombreux que prévus. Heureusement l’attrition et l’enfer logistique se profilant devraient jouer en notre faveur, las de perdre des dizaines d’hommes à cause de la famine ou d’attaques surprises d’un ennemi insaisissable et d’un continent de plus en plus hostile. De cette manière l’ennemi sera vite épuisé et le débarquement de quelques centaines de combattants monarcho-indépendantistes pour des opérations coups de poing face aux envahisseurs du B.N.E ne fera qu’achever leur désarroi. Ainsi, il faudra poursuivre le blocus jusqu’à ce que l’ennemi, vaincu sur terre, incapable de se replier, demande la paix pour sauver ses hommes. L’attrition peut devenir la meilleure arme des rebelles.

Évidemment, nous n’agirons que sur leurs ordres, et tant qu’ils nous demandent de ne pas faire feu, nous ne ferons pas feu. Notre stratégie dépend entièrment de l’assentiment des forces indépendantistes. Encore une fois messieurs, nous ne jouons pas en bordure de terrain, nous jouons avec les monarcho-indépendantistes et nous nous plierons à leurs ordres. C’est, encore une fois, la base de notre opération. Ainsi, ne provoquons personne et n’agissons que sur ordre des rebelles. Si nous devons faire feu, la faute devra nécessairement revenir au B.N.E. Tirer sur Marcine revient à tirer sur le Kah, tirer sur le Churaynn revient à tirer sur l’Azur, tirer sur l’Antérie revient à tirer sur Sylva. De cette manière, nous devons rester dans une posture purement défensive, et ce malgré le caractère intrusif d’une telle opération.

Évidemment, nous devons rester en constante communication avec les troupes antérienne et churayn. Le succès de l’opération repose entre autre sur la bonne intelligence de nos services stratégiques et sur notre capacité à collaborer activement. Ainsi, ce plan d’action sera aussi distribué en duplicata aux Churayns et aux Antériens. Nous les prions par ailleurs de nous fournir leur stratégie ou à défaut de suivre nos conseils ou bien s’inspirer de nos stratégies. Pour les côtes de la colonie du Grammatika.

Conclusion.

En résumée, notre objectif est de bloqué l’approvisonnement des troupes du B.N.E en encourageant les navires cargos à faire demi-tour. De par cette mesure purement défensive, qui éviterait que les insurgés n’aient à affronter des masses humaines trop nombreuses et trop bien équipées, Marcine et les coalisés comptent bien ne pas céder face à la tentative de répression féroce qui est actuellement en cours.

Nous pouvons pour ce faire compter sur un soutien aérien et naval conséquent. Tandis que des avions pourraient être mobilisés pour suppléer les bâtiments et les aéronefs encore en service. De plus, la base churaynne présente au Nésoï permettrait de ravitailler rapidement les aéronefs confédéraux.

Nous devons néanmoins garder à l’esprit que l’opération est avant tout défensive, et que des moyens diplomatiques permettraient au Grammarnazistein de céder tandis que l’Afarée elle-même pourrait se mobiliser en notre faveur. Il est aussi à noter qu’en cas d’attaque balistique, Marcine pourrait appeler son nouvel allié, en l’occurence le Kah, à l’aide, tandis que cette agression sonnerait comme une déclaration de guerre vis à vis de la Confédération et de ses alliés ainsi que pour les différents états coalisés. Ainsi il est nécessaire que l’utilisation de la force soit vue comme la dernière chose à faire pour pouvoir se riposter en état de légitime défense (chose capitale à rappeler aux Churayns !!)



Avec cette fiche de route dans les mains, les commandants se mirent en formation, le N.S.M Saint Michel en formation et prêt à dégainer ses armes anti-missiles tandis que les services diplomatiques marcinois se tenaient prêts à hurler à l’agression si un seul obus touchait les navires de la Confédération et à appeler les Kah tanais au secours si nécessaire.

Frégate de guerre de la Marine Confédérale

Annexe cartographiquePlan
- En noir la zone de blocus du Churaynn et de l'Antérie, (en attendant indication contraire de Djoko ou de Bob)
- En blanc, le trajet des avions de chasse, qui se relaient.
- En diverses nuances de bleu la force de la Marine Confédérale.
- En rouge (les traits longilignes), les deux principales zones de blocus, la fameuse stratégie à "deux lignes".

Seconde annexe cartographique"La stratégie de la flèche"
-En bleu,le Navire Amiral Confédéral.
- En noir, les corvettes escortant le Navire Amiral.
- En rouge, les vedettes rapides escortant les corvettes et chargées de lâcher les torpilles en cas de problèmes.

Forces ConfédéralesForce confédérales. a écrit :
- Une frégate de sixième génération, le N(avire de) S(a) M(ajesté) Saint Michel.
- les N.S.M Louis le Grand, le N.S.M le Resplendissant, le N.S.M Grandiose, le N.S.M Implacable, tous des patrouilleurs de sixième génération.
- Le N.S.M Kalindi et le N.S.M le Batailleur, tous des corvettes de troisième génération.
- Le N.S.M Fringant, pétrolier ravitailleur de première génération.
Soutien aérien.
-10 avions de chasse de sixième génération.
-10 avions bombardiers de sixième génération.
-10 chasseurs-bombardiers de troisième génération.

(1) : Afarée libre.
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Eurysiens, restez sages !
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Un chalutier provocateur...


Image du chalutier en question

Non loin des côtes de Gramatika se trouvait un chalutier altrechtois, un petit navire civil ayant, via l'entrée dans le BNE de Gramatika, été chargé d'appuyer les entreprises du pays dans les techniques de pêche.
Cependant, le blocus plus qu'inattendu a fini par isoler complètement le navire hors du blocus, sans moyen de retourner à bon port dans le territoire de Gramatika adjacent.
Ainsi, après une dure journée de pêche, le navire CIVIL battant pavillon de l'Altrecht et du Garmflüßenstein vient à la rencontre du blocus.

Par radio et physiquement, en s'approchant doucement pour ne pas effrayer les navires du blocus :

Guten Tag, hier ist der Fischtrawler „Hoffnung“ unter altrechter Flagge, wir kommen von einem Fangtag, der von Gramatika genehmigt wurde, wir sind vorschriftsmäßig und bitten um Durchfahrt, um gemäß internationalem Recht im Hafen von Gramatika wieder auftanken zu können. Wir sind Zivilisten und wünschen uns einfach, heute Abend unsere Kinder wiederzusehen, verstehen Sie uns?

Wir bestätigen, dass wir weder militärisches Material noch Soldaten an Bord haben und sind mit einer Inspektion einverstanden, falls erforderlich, alles im Rahmen des Seerechts.


En effet, les civils ne parlant qu'exclusivement allemand, la communication devait passer par un traducteur du blocus, s’il y en a un.
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Un petit pas vers une Afarée libre.

Suite à un échange de messages entre Azif Oucondo, le colonel de l’Afarée libre et le ministère des Armées lors de la rencontre à Marcine, il a été décidé que la République démocratique d’Antérie enverrait une large flotte afin de participer à ce blocus. Cette flotte, dirigée par l’amiral Paul Pocotobo, se pliera à la stratégie marcinoise afin d’éviter tout problème.

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6990
Eurysian Boy Summer !


On peut imaginer la joie de ces jeunes soldats Menkiens de découvrir un tout nouveau continent ! Engagez-vous, ils disaient !



(La Rimaurie fera son post de son côté.)
Matos déployé ayant réussi à atteindre la colonie avant le début du blocus a écrit :9000 soldats professionnels]
9000 ALI lvl 11

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Plan d'action et objectifs des troupes impériales menkiennes sur place : EN COORDINATIONS AVEC LES FORCES DU B.N.E a écrit :

Première partie : Avant que le blocus ait eu lieu, préparation et mise en place d'une défense solide et déplaçable.

- Primo : étant donné le blocus à venir, une partie des troupes impériales menkiennes doivent se montrer rassurant dans un premier auprès de la population locale. Même auprès de la population indigène pas forcément favorable à la souverainété grammatikaine ou à toute présence eurysienne. Via ces interactions et les déplacements à la rencontre de la population, les troupes menkiennes se doivent de connaître le terrain qui les entourent via des guides. Effectivement, nos soldats, en connaisant les différents raccourcis et autres passages secret permettant d'adopter des tactiques de guerillas et de se déplacer d'un point A à un point B rapidement. Cependant, il faudra SURTOUT identifier les éléments loyaux aux régimes, chez les colons prioritairement, mais ne surtout pas négliger un potentiel soutien de la population afaréenne locale. Il faudra repérer également les potentiels agents doubles et les leurrer quant aux objectifs de notre corps expéditionnaire (Je développerai plus tard).
- Secondo : Pour ce qui est des forces indépendantistes, les troupes menkiennes devront traquer efficacement ces derniers. Cela passe par la mise en place de tactique anti-guerilla et checkpoints à des endroits stratégiques et une surveillance accrue de notre matériel militaire, de notre logistique et surtout des routes pour éviter de potentiels embuscades. Des leurres seront fabriqués pour pousser les rebelles à attaquer et les prendre en embuscade. Encourager à la délation, en récompensant financièrement les civils qui le feront. Des contrôles mesurés vis-à-vis de la population civile seront mis en place, les troupes devront faire en sorte de ne créer AUCUN ressentiment chez la population locale (Très important). Si les monarchistes-indépendantistes ne représentent pas une grande menace à l'heure actuelle, il n'empêche que ces derniers pourraient causer des dégâts non-négligeables si non pris en compte. Heureusement pour nous, la colonie Grammatikaine est un territoire relativement petit, en conséquence, nous pensons qu'il n'est pas insurmontable pour le B.N.E d'établir un contrôle total de la région. Nous pensons d'ailleurs que limiter certaines zones stratégiques aux civils (Le port de Derdendemdes par exemple) pourraient aider.
- Tertio : Des opérations de désinformation et de diversion devront être réalisés par les troupes Eurysiennes. Cela passera par la création, via nos ingénieurs militaires, d'unités fantômes au sein de la colonie, grâce à la mise en place de leurres et de simulation d'une fausse intensité dans le trafic radio. Des fuites contrôlées auprès des rebelles ou de potentiels espions repérés via la phase primo de l'opération seront établi pour leurrer les troupes afaréenne et les rebelles.
- Quatrièmement :une logistique implacable doit être mise en place. Avec le matériel adéquat, tout doit être fait pour les rendre les mouvements de troupes du B.N.E les plus rapides, fluides et efficaces possibles.
- Cinquièmement et dernièrement, surement une des phases les plus importantes à la préparation, c'est la transformation de la colonie grammatikaise en une forteresse imprenable. Avec le nombre d'homme déployé par le B.N.E, il est possible d'établir une défense solide, que ce soit à la plage, en ville ou en campagne. La construction d'abris contre les bombardements sera PRIMORDIALE.



Deuxième partie : Quelle préparation de la part des forces du B.N.E sur place en cas d'attaque afaréenne ?


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Scénario d'un bombardement avant une attaque :
- C'est ici que les leurres et autres diversions seront majoritairement utilisés, que ce soit de canons d'artilleries ou de véhicule en cartons vert/désert ou via les fausses informations que les rebelles vont donner aux Afaréens. Un bluff énorme, pas cher à réaliser et efficace pour qu'ils bombardent partout, sauf sur nous !
- Les troupes impériales devront rejoindre immédiatement leurs véritables abris et couverture pour éviter de potentiels bombardements meurtrier. Les véhicules seront camouflés et cacher dans des endroits.
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- Si jamais les bombardements touchent les populations civiles, il faut si possible filmer ces exactions et les diffuser sur internet pour alerter la communauté internationale sur les crimes et le danger impérialiste que représentent nos agresseurs.

Scénario d'une attaque ou/et d'un débarquement sur la plage :
- Pour rendre plus difficiles un potentiel débarquement, les plages seront évidemment minés.
- Le port de Derdendemdes ne sera pas minés, à la place, les navires civils restant et des endroits stratégiques du lieu seront piégés, avec des explosifs.
- Si une attaque se passe par la mer, ce qui est probable si un conflit généralisé s'ouvre, les troupes impériales devront défendre avec un acharnement la plage via l'utilisation de tous les moyens à leurs dispositions. Les différents régiments impériaux devront notamment utiliser à tout prix leur avantage sur le terrain.
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- Si le port de Derdendemdes est pris ou que les troupes afaréennes établissent une tête de ponts sur la côte ou à un quelconque endroit autour de la colonie, des opérations d'infiltrations et de sabotages auront lieu avec des troupes d'infanterie légère. Pour préparer cela, se référé à la phase primo de la première partie.
- Nos hommes devront se comporter comme des guerrilos. Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées


Troisième partie : Et après ?

- Ok, nous pouvons imaginer que le B.N.E réussissent à maintenir sa présence, ou que, tout simplement, il n'y ait tout simplement pas d'attaque afaréenne (Pour le moment), cela n'empêche pas cet état de fait, qui est que la position grammatikaine quant au traitement de sa colonie et des populations afaréennes présentes n'est pas tenable sur le long terme
- Churaynn n'ayant pas, visiblement, une tradition diplomatique très poussée, nous proposons d'établir un contact avec Marcine ou Antegrad pour établir un dialogue.
- Nous conseillons au gouvernement grammatikain d'immédiatement donner plus de droits aux populations natives, ou de le faire en échange de la fin du blocus. Un scénario possible serait la création de ce qu'on nommerait des homelands (En gros des Bantoustan sans les conditions de vies ultra-rudes mdr). C'est-à-dire la création de territoires jouissant d'un certain degré d'autonomie et de droits, des élections démocratiques pourraient s'y organiser. Garmflüßenstein s'appuiera sur des élites locales (Tribales ou non) pour diriger ces territoires et devra obligatoirement rendre égaux tous les habitants en droits pour garantir une certaine stabilité. La mise en place d'une égalité de droits devant la loi est à envisager sérieusement. Cette stratégie à long terme pourra permettre de garder un système ségrégationniste entre colons et locaux, sans pour autant subir une pression internationale immense et satisfaire la majorité des demandes humanistes de la communauté internationale et des Afaréens.



Conclusion :
Nous devons agir de façon à utiliser tout ce qui est à notre avantage pour établir une défense et infliger de lourdes pertes aux troupes afaréenne en cas de guerre. Le B.N.E doit montrer qu'il est ouvert à la diplomatie et aux compromis et qu'elle évite au maximum de ses moyens pour éviter une guerre.

Les forces militaires du B.N.E ne doivent absolument pas ouvrir le feu ou provoquer les forces ennemis, jusqu'au tir de la première balle, nous devons adopter une posture défensive et une diplomatie ouverte face aux forces afaréenne.







Pendant ce temps, chez la flotte menkienne... :

''Bon... On fait quoi maintenant ?'' lança un officier sur le pont de la frégate.

Le capitaine du navire baissa sa paire de jumellet et lança d'un ton extrêmement calme et serein.

''On attend et on fait comme ce qui a été prévu. Ils attaquent, on attaque. Ils font rien, on ne fait rien.
Oeil pour oeil, sang pour sang, dent pour dent, mal pour mal, bien pour bien.
Pour l'instant on reste les hommes les plus pacifiques du monde.''


Composition de la marine menkienne en Afarée a écrit :
- un patrouilleur lvl 6
- une corvette lvl 5
- une frégate lvl 4
- un navire cargo lvl 4
- un pétro-ravitailleurs lvl 5

Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées
10423
Une guerre longue...
...et coûteuse
Mais sachez qu’elle ne se fera pas en Afarée*.


Après la fin de la réunion, le Sadr envoya, après un petit appel au parlement, l’envoi de l’armée churaynn au Nesoi. Il fallait arriver bien avant les forces du BNE. Le Sadr savait que les forces du BNE devaient rester faibles dans la colonie du Garmflüßenstein. Ils étaient assez loin du territoire en question ; transporter des troupes et des armes allait sûrement leur prendre beaucoup de temps. Alors, après l’envoi des forces au Nesoi, on prépara un plan stratégiquement conçu pour observer la situation. Si navire du BNE, interception du convoi pour être sûr qu’il n’y a pas de quoi transporter des armes dangereuses. Du moins, ça, c’est la version officielle.

L’Empire islamique de Churaynn avait tout prévu, que ce soit pour défendre le territoire pendant l’absence de certains navires, d’une riposte ou même de l’interception. Tout devait être minutieusement fait pour ne pas que le plan tombe à l’eau. Ce soir-là, le Sadr n’avait pas beaucoup fumé. Même si ça le mettait en rogne d'être dans un très bon état de conscience, il devait rester le plus sobre possible pour ne pas se louper dans ses calculs. Les soldats churaynn quittèrent le territoire avant que le Sadr n’arrive à Walemir. Il décida de leur faire un petit message vocal à tous les soldats.

« Bonjour à vous, défenseurs de Churaynn.

Si vous êtes ici, c’est pour protéger nos frères afaréens souffrant au Garmflüßenstein. Vous devez montrer l’exemple, être serviables envers la population du Nesoi mais aussi envers nos alliés. Je veux que cette opération soit un succès sans précédent. C’est l’une des premières fois que l’armée churaynn est saisie pour se lancer dans une opération étrangère.

Je compte sur vous pour ne faire aucun cadeau aux soldats du BNE. Pensez à vos familles, à vos amis, à chaque fois que vous en voyez un. N’hésitez jamais. Car eux, s’ils avaient l’occasion de tirer, est-ce qu’ils hésiteraient ? Je ne pense pas !

Nos frères afaréens sont pris pour des esclaves, pour des animaux et des sous-hommes. Jamais je ne laisserai cela se faire sur le territoire afaréen. Trop de morts pour, à chaque fois, des Eurysiens qui nous détestent. Qui nous haïssent au plus profond de leur être. Ils n’auront, pour la plupart, aucune compassion envers vous.

Nous devons être redoutables. Être disciplinés. Être une Nation forte. Nous avons surmonté des crises diplomatiques, des guerres... tout ! Alors faites honneur à votre patrie ! Vous représentez le grand Empire islamique de Churaynn.

Cela nous préparera aussi à la guerre face à Cramoisie qui arrivera sûrement quelques mois après cette intervention. Profitez bien de cette petite simulation en temps réel. Faites de belles photos, surtout avec la population locale du Garmflüßenstein, nous les publierons dans nos réseaux pour montrer la force churaynn.

À tous ! À toutes ! Faites-moi jaillir le sang du BNE ! »


Photo derrière lui, un missile balistique apparaît.

« Ce missile balistique est la preuve qu’aucun ne touchera à vos familles. Il est la preuve que je vous garantis que vos familles seront protégées. Faites honneur à vos familles, qui veulent aussi que vous rentriez sains et saufs. Je le souhaite sincèrement aussi.

Aux médecins présents, je vous prie de bien vous occuper de ces soldats. Chacun veut rentrer sans se blesser ou avoir de lourdes cicatrices.
Aux stratèges, employez les meilleures stratégies possibles ! Je ne veux pas de blessés ni de morts !
Aux soldats, travaillez ensemble pour permettre une décolonisation simple de l’Afarée.
Aux généraux présents, protégez-moi bien tous vos soldats, vous portez le poids de cette mission.

De plus, des ONG ne vont pas tarder à vous rejoindre, pour qu’après, les habitants de la colonie du Garmflüßenstein aient les meilleurs soins possibles.

Je vous quitte, en espérant vous voir tous défiler, sans blessure, sans mort, heureux et triomphants à Walemir.

Au revoir ! »


auteur a écrit :
Plan stratégique pour la colonie du Garmflüßenstein

1er. Objectif principal
• Patrouiller efficacement le territoire assigné (zone marron) pour assurer la sécurité et la surveillance en attendant l’arrivée des renforts (Empire Confédéral Uni-Marcine et Antérie).
• Appliquer la dissuasion de façon mesurée mais ferme : infliger des pertes sévères aux forces ennemies du Bloc Nationaliste Eurysien en cas de provocation, violation du territoire du Nesoi, attaque envers les navires churaynn ou refus d’interception des navires.
• Prévenir toute tentative d’attaque contre les territoires churayns voisins (Azur, Fortuna, Teyla, Tanska).

2. Analyse rapide du terrain et de l’environnement du Garmflüßenstein
• Terrain : colonie peu développée, type Afarée noire, difficile pour l’installation de structures lourdes.
• Ennemis principaux : Altrecht, Rimaurie, Garmflüßenstein et Menkelt (Organisation du Bloc Nationaliste Eurysien).
• Alliés : Antérie, Azur et Empire Confédéral Uni(Marcine).
• Points clés :
◦ Base militaire churaynn au Nesoi (point orange).
◦ Zone de patrouille en marron, espace maritime et côtier.
◦ Zone très refermée, rendant presque impossible la fuite.

3. Forces disponibles

• Navales :
◦ 1 frégate (6e génération) – Commandement et frappe principale sur le Bloc Nationaliste Eurysien.
◦ 1 corvette (3e génération) – Protection et reconnaissance proche des eaux du Nesoi (point marron).
◦ 5 patrouilleurs (4e génération) – Surveillance et interception du Bloc Nationaliste Eurysien.
◦ 4 vedettes (5e génération) – Patrouille rapide et reconnaissance proche de la base.
◦ 1 pétroliers-ravitailleurs (4e génération) – Support logistique pour une autonomie prolongée, permettant à l’opération de durer le plus longtemps possible.

• Terrestres :
◦ 200 soldats churayns, armés de :
▪ 900 armes de 10e génération (après l’arrivée de toutes les troupes + armes plus fortes données aux indépendantistes si défaite ou combat presque perdu d’avance).
▪ 300 armes de 9e génération (stockées pour être données aux indépendantistes).

4. Tactiques
Création d’une pression contre le Bloc Nationaliste Eurysien : économique, diplomatique et militaire.

• Diplomatie internationale : jouer sur les relations des membres du protocole pour montrer notre influence. Voici un petit document des pays qui pourront potentiellement participer à la pression :

Probable réaction des pays

• Wanmiri : a condamné l’esclavage au Garmflüßenstein. Acteur très influent au Nazum ainsi qu’en très bonnes relations avec l’international. Chance quasi nulle d’une intervention militaire. Sûrement des sanctions économiques.

• Fortuna : alliée de Churaynn, connaissant à peu près les futurs événements, elle va sûrement réagir (sûrement pas militairement mais par usage de son influence). Politique de l’autruche tout au long du blocus.

• Royaume de Teyla : allié récent de l’Empire, va sûrement permettre d’avoir une grande pression sur le Bloc Nationaliste Eurysien. Acteur de l’Organisation des Nations Démocratiques, il pourra prévenir ses alliés pour que la pression soit la plus forte possible. Très peu de chance pour l’utilisation de la force militaire ; conflit avec Carnavale.

• Tanska : aussi un allié récent de l’Empire. Va sûrement condamner le Bloc Nationaliste Eurysien pour avoir soutenu un régime esclavagiste. Condamnation économique et diplomatique quasi sûre. Quant à l’utilisation de la force militaire : occupée avec le conflit avec Carnavale.

• Bergrun : pays qui a condamné l’Altrecht. Va sûrement encore condamner le Bloc Nationaliste Eurysien pour avoir (dans un futur certain) attaqué les navires churayns.

• Sylva : membre de l’OND. Politique de l’autruche. Va sûrement simplement regarder. Occupée elle aussi avec Carnavale.

• L’Azur : alliée de Churaynn. Discours ainsi que sûrement des missives de soutien envoyées aux participants du protocole. A pour but la résolution pacifique mais peut s’appuyer sur sa force dissuasive balistique. Très peu de chance que sa force balistique soit montrée.

• Karty : ne va sûrement pas s’ingérer si le conflit est en Afarée. Le conflit sera déplacé aux portes du Bloc Nationaliste Eurysien, donc en Eurysie. Les Kartiens aiment la guerre, ils vont sûrement s’ingérer d’une manière.

• Velsna : aucune relation avec Churaynn. Pratique la politique de l’œil-film (qui consiste à regarder et ne rien faire). Des menaces si le conflit s’approche trop de ses intérêts. Va « cafter » à Fortuna.

Finejouri : politique de l’autruche. S’il participe à l’opération, Churaynn décidera de diminuer conséquemment ses forces ainsi que son matériel, jusqu’à aller vers un arrêt total.

Ouwanlinda : condamnation des actes du Bloc Nationaliste Eurysien ainsi que des félicitations.

Confédération socialiste du Nazum : œil-film ainsi qu’une condamnation. Force militaire très limitée. Aucun acte militaire n’est à envisager. À noter qu’un des membres possède une colonie à quelques kilomètres, donc peut-être une petite ingérence.

• Bombardement ciblé : lancer des frappes limitées et chirurgicales pour infliger un coût maximal au BNE, particulièrement à l’Altrecht.

• Interception navale :
◦ Patrouilleurs espacés de 50 km – couverture radar complète de la zone.
◦ Chaque navire est responsable de sa section et peut alerter la frégate pour intervention rapide.

• Dissuasion :
◦ Phase 1 : surveillance et communication – avertissements diplomatiques.
◦ Phase 2 : interception et frappes de précision si violation de la force churaynn.

• Protection des territoires churayns :
Soumission posée approximativement aux coordonnées suivantes : XXXX.
Soumission devra lancer des frappes consécutives si non-respect de l’autorité churaynn.
◦ Demande d’aide des pays alliés pour avoir une protection maximale et dissuasive.

5. Plan d’action détaillé

Phase 0 : Préparation
• Ravitailler tous les navires au Nesoi, vérifier les systèmes radar et armements.
• Briefing complet des soldats sur les règles d’engagement et protocoles d’interception.

Phase 1 : Patrouille et surveillance
• Frégate – force centrale de commandement et intervention rapide.
• Patrouilleurs – espacés de 50 km le long de la côte et zones d’approche probables du BNE.
• Vedettes – patrouille rapide, reconnaissance des zones peu surveillées ainsi que de la base.
• Corvette – défense rapprochée de la base au Nesoi et assistance aux patrouilleurs si besoin.
• Objectif : détecter toute présence ennemie avant qu’elle n’atteigne le territoire du Garmflüßenstein.

Phase 2 : Interception et dissuasion

• En cas de violation :

◦ Frégate lance frappes ciblées sur forces ennemies en mer.
◦ Patrouilleurs et vedettes interceptent et neutralisent les unités ennemies.
◦ Tactique : vedette (et un patrouilleur) qui va attirer les navires du Bloc Nationaliste Eurysien dans un endroit isolé, puis les navires de guerre s’en chargeront (si une flotte gigantesque).
• Si ennemi persiste : bon coup de fessée = perte sévère pour le Bloc Nationaliste Eurysien.

Phase 3 : Protection des territoires churayns
• Vérification constante des frontières des territoires par les renseignements ainsi que la future présence de l’Azur, Fortuna, Teyla, Tanska.
• Patrouilles rapides et communication continue pour être sûr qu’aucun membre du BNE ne s’attaque à Churaynn.
• Si attaque : lancement de la force balistique : 30 missiles sur les bases militaires, 15 sur la maison du dirigeant du pays. Préparation des silos au cas où.
• Intervention immédiate par la pose de mines (en construction) :
Mines placées sur les plages avant le débarquement des forces ennemies. Alerte de la population.

6. Logistique et soutien
• Pétroliers-ravitailleurs – ravitaillement continu en carburant et munitions.
• Base du Nesoi – stock de munitions, armes de remplacement et renforts terrestres présents dans quelques jours.
• Rotation régulière des soldats – éviter la fatigue et maintenir la vigilance maximale.

7. Objectifs secondaires
• Démontrer la puissance de Churaynn.
• Recueillir des renseignements sur le Bloc Nationaliste Eurysien et ses alliés.
• Préparer les forces churayns ainsi que la population à la guerre face à Cramoisie.

Pour le Parlement impérial, pour l’Empire islamique de Churaynn

Signé :
Empereur : Sayyid Salahuddin
Sadr : Malsiento Yazido
Haut Coordinateur de la Haute Instance Impériale de Coordination : Aït-Oussou Mohamed
Président du Parlement Impérial : Dahihoun Daoud
Porte-parole des Délégués de Sudéiss : Moudjahid Ahmad
Porte-parole des Représentants Maqduris : Cheikh Haroun
Porte-parole des Délégués de la Grande Province : Fariq Jalid Ar-Rouhan
Porte-parole des Représentants de Yuthipista : Zahra Omeyla Daryan
Coordinateur des armées : Boka Juny
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Garmflüßensteinerisches Staat - Offizielle Verlautbarung

Des afaréens s'en prennent à la patrie de la liberté et des droits humains


Alors que nous avions fait, il y a peu, l'immense concession d'accepter la venue d'une organisation se disant "non-gouvernementale" sur le sol de l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise (et que cette prétendue ONG était en fait un organe de propagande churayne à peine déguisé), les afaréens décident de nous attaquer sans aucun fondement !

Ces pays remplis de gens malhonnêtes et malfaisants, qui pensent peut-être faire le bien chez eux, mais ne sont pas capables de faire la différence entre une démocratie pleine et fonctionnelle comme le Garmflüßenstein et des dictatures monarchistes ou communistes comme la Kaulthie ou l'Altarie ! Ces pays impérialistes surtout, qui veulent porter atteinte à la souveraineté de notre pays pour des prétextes inventés ! Nous n'allons pas nous laisser faire.

Nous tiendrons le coup au travers de cette difficile épreuve, grâce au patriotisme des citoyens de NOTRE Afarée Centrale Garmflüßensteinoise. Ils devront peut-être se serrer la ceinture dans les temps qui viennent, car ces sauvages afaréens tiennent un blocus naval qui nous empêche de leur envoyer tout ce dont ils ont besoin, mais c'est un sacrifice qu'ils pourront se permettre, car l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise est fertile. Nous ferons planter de nouveaux champs, et la population ainsi que ses braves défenseurs rimauriens, menkiens et altrechtois du Bloc Nationaliste Eurysien pourront dormir l'esprit tranquille, sans avoir à se soucier de ce qu'ils mangeront le lendemain.

Ces impérialistes afaréens souhaitent donc affamer des populations civiles, ce qui va à l'encontre de tous les principes de la démocratie ! Ils ne respectent rien, et iront bientôt jusqu'à coloniser notre terre au nom d'une prétendue liberté. Mais ils trouveront de la résistance. Personne au Garmflüßenstein ne se rendra sans combattre.

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KAGEBER

https://i.postimg.cc/J4yjFckG/Capture-d-cran-2025-08-19-012540.png
Là où les hommes ne regardent pas.


Formulaire confidentiel – Rapport KAGEBER


Objet 1 : Décision à propos du rapprochement entre Marcine et les membres du BNE. Ce rapprochement nuit sérieusement aux intérêts churayns.

Objet 2 : Le bombardement de l'Altrecht est-il une bonne solution ?

Le Bloc Nationaliste Eurysien est une organisation créée par la Kartvélie ainsi que par Karty. Les deux vont ensuite subitement la quitter. Pour Karty, cela devait sûrement être pour pouvoir bénéficier des faveurs de l’Organisation démocratique en la rejoignant prochainement. Ce fut donc un échec total.

Le Bloc Nationaliste Eurysien est maintenant composé de :

État Nouveau de Rimaurie
Saint Empire Menkelt
Haut-État d’Altrecht
État du Garmflüßenstein

Tous ces États sont connus pour être des États fascistes, nazis et conservateurs. Chacun de ces États ne possède pas vraiment une grande économie. La Rimaurie est presque le seul État à faire exception. On peut comprendre par là que le Bloc Nationaliste Eurysien n’accueille seulement que les États ne possédant pas une grande économie. On remarque aussi que la grande majorité des pays se situe tous à peu près au nord de l’Eurysie. Cela peut faire comprendre que les pays du Nord, plus précisément scandinaves-germaniques et celtiques, ont choisi la voie du fascisme. Les moyens du Bloc Nationaliste Eurysien restent assez faibles militairement. Si le Bloc Nationaliste Eurysien décidait, par pure folie, d’attaquer un membre du protocole, il serait rasé. Complètement. Voici une fiche de renseignement ainsi qu’à la fin une proposition en vue des derniers rapprochements diplomatiques avec la Confédération Unie, plus précisément le Royaume de Marcine qui a convenu d’une conférence. Le KAGEBER refuse que le Bloc Nationaliste Eurysien s’en sorte indemne.



État Nouveau de Rimaurie


nomNom du pays : État Nouveau de Rimaurie Continent : Eurysie
Capitale : Hahnemann
Dirigeant militaire/politique : Oberführer Friedrich Sattler
Population : Moins de 9 000 000 d’habitants
Produit Intérieur Brut : 832 000 000 000 $
Régime :
Dictature fasciste et autoritaire
1. Organisation militaire

Effectifs : Environ 200 000 hommes
Technologie et équipement (niveau, modernité, dépendances étrangères) : Technologie beaucoup tournée vers le terrestre. Armée navale très faible.
2. Doctrine et stratégie
Force militaire : Terrestre
Expérience récente en guerre ou opérations extérieures : Opération « Donation » (nom donné après que la Rimaurie a sûrement envoyé ses forces au Garmflüßenstein).

3. Position vis-à-vis de Churaynn Attitude officielle : Ambiguë. Aucune relation avec l’Empire Islamique de Churaynn. Pourrait être qualifiée d’hostile, mais pour l’instant les Rimauriens sont restés calmes.

Relations militaires : Peut se dégrader.

Risque d’agression ou d’alliance contre l’Empire : Oui. Le Bloc Nationaliste Eurysien va sûrement tenter de faire tomber l’Empire.

4. Évaluation finale (notation KAGEBER)

Menace militaire : moyenne (échelle internationale) / élevée (à l’échelle du Bloc Nationaliste Eurysien).

Vulnérabilités exploitables : Dictature, donc existence d’un parti d’opposition. Possibilité d’influencer ce parti vers un coup d’État. L’Empire pourra fournir les armes. Potentiel stratégique : À surveiller.

Recommandation KAGEBER : Celui qui pourra faire le plus de mal à l’Empire. Surveiller pour éviter toute surprise.



Saint Empire Menkelt

Saint Empire MenkeltNom du pays : Saint Empire Menkelt
Continent : Eurysie
Capitale : Ker'Ys
Dirigeant militaire/politique : Peter Kibener
Population : Moins de 25 millions d’habitants
Produit Intérieur Brut : 706 000 000 000 $
Régime : Empire chrétien

1. Organisation militaire
Effectifs : Environ 60 000 hommes

Technologie et équipement (niveau, modernité, dépendances étrangères) : Technologie beaucoup tournée vers le terrestre ainsi que l’aviation. Armée navale moyennement faible.

2. Doctrine et stratégie
Forces militaires : Terrestre et aérienne
Expérience récente en guerre ou opérations extérieures : Opération « Donation »

3. Position vis-à-vis de Churaynn
Attitude officielle : Ambiguë. Aucune relation avec l’Empire islamique de Churaynn. L’Empire a décidé de ne pas rencontrer les Menkiens après une missive qui insultait clairement l’Empire. À cette heure-là, les hostilités peuvent commencer.

Relations militaires : Peuvent se dégrader.

Risque d’agression ou d’alliance contre l’Empire : Oui. Le Bloc nationaliste eurysien va sûrement tenter de faire tomber l’Empire. Menkelt est le seul qui pourrait attaquer l’Empire en débarquant. En cas d’usage de la force balistique, nous répondrons aussitôt.

4. Évaluation finale (notation KAGEBER)

Menace militaire : Moyennement faible (à l’échelle internationale) / moyennement élevée (à l’échelle du Bloc nationaliste eurysien).

Vulnérabilités exploitables : Empire chrétien.

Potentiel stratégique : À surveiller.

Recommandation KAGEBER : Possibilité d’une attaque sur le sol churaynn.



Haut-État d’Altrecht

Haut-État d’AltrechtNom du pays : Haut-État d’Altrecht
Continent : Eurysie
Capitale : Ehrenstadt
Dirigeant militaire/politique : Kaiser Klaus Von Härig
Population : Moins de 30 millions d’habitants
Produit Intérieur Brut : 602 000 000 000 $
Régime : Empire militaro-fasciste

1. Organisation militaire
Effectifs : Environ 40 000 hommes

Technologie et équipement (niveau, modernité, dépendances étrangères) : Technologie fortement tournée vers le terrestre ainsi que l’aviation. Armée navale très faible.

2. Doctrine et stratégie
Force militaire : Terrestre et aérienne
Expérience récente en guerre ou opérations extérieures : Opération « Donation »

3. Position vis-à-vis de Churaynn
Attitude officielle : Hostile. Les Altrechois ont séquestré le Sadr pendant plusieurs jours. Celui-ci porte désormais un cache-œil. Les autorités carnavalaises seront bientôt contactées pour tenter d’enlever cette cicatrice jugée ignoble.

Relations militaires : Presque en état de guerre.

Risque d’agression ou d’alliance contre l’Empire : Oui. Le Bloc Nationaliste Eurysien va sûrement tenter de faire tomber l’Empire. L’Altrecht peut bombarder les navires churayns. Si cela se produit, la Soumission ripostera.

4. Évaluation finale (notation KAGEBER)

Menace militaire : Faible (échelle internationale) / Moyenne (à l’échelle du Bloc Nationaliste Eurysien).

Vulnérabilités exploitables : Empire fasciste.

Potentiel stratégique : À bombarder.

Recommandation KAGEBER : Possibilité d’un bombardement aérien sur les navires churayns proches de la capitale.



État du Garmflüßenstein

État du GarmflüßensteinNom du pays : État du Garmflüßenstein
Continent : Eurysie
Capitale : Genitivingen
Dirigeant militaire/politique : Obergrammatikführerin Alice Weinel
Population : Moins de 2 millions d’habitants
Produit Intérieur Brut : 38 000 000 000 $
Régime : Dictature fasciste

1. Organisation militaire
Effectifs : Environ 10 000 hommes

Technologie et équipement : Technologie très faible.

2. Doctrine et stratégie
Force militaire : Aucune
Expérience récente : Opération « Donation » et esclavage.

3. Position vis-à-vis de Churaynn
Attitude officielle : Hostile. Leur esclavage doit cesser immédiatement.

Relations militaires : Blocus + présence des forces churayns en Afarée Centrale.

Risque d’agression ou d’alliance contre l’Empire : Oui. Le Bloc Nationaliste Eurysien va sûrement tenter de faire tomber l’Empire. Mais l’esclavagiste ne pourra pas faire grand-chose.

4. Évaluation finale (notation KAGEBER)

Menace militaire : Ridicule (échelle internationale) / Très faible (à l’échelle du Bloc Nationaliste Eurysien).

Vulnérabilités exploitables : Les indépendantistes.

Potentiel stratégique : Blocus.

Recommandation KAGEBER : Ne fera rien.




Autre sujets.



Réactions potentielles si bombardement de l’Altrecht par l'Empire Islamique de Churaynn


Réactions potentielles État Nouveau de Rimaurie : Condamnation + menace.

Saint Empire Menkelt : Condamnation + envoi d’une missive à l’Azur.

Haut-État d’Altrecht : Déclaration de guerre.

État du Garmflüßenstein : Condamnation + menace.

Réactions potentielles si bombardement de l’Altrecht par l’Internationale

Fortuna : Interceptera les navires responsables. Si tir par silos - menace adressée à l’Empire.

Teyla : Inaction.

Tanska : Politique de l’autruche.

Wanmiri : Condamnation de l’utilisation de la force balistique.

Ouwanlinda : Félicitations.

Sylva : Condamnation.

Velsna : Demandera à Fortuna de patrouiller près de Churaynn et du canal de Sudéiss.

Azur : Appel à cesser l’usage de la force en période de résolution.

Karty : Dénoncera publiquement les frappes churayns pour « faire l’intéressant ».

Marcine : Menace.

Bergrun : Appel à la paix.

Listonie : Menace.

Empire du Nord : Méfiance.

Antérie : Félicitations + menace secondaire.



Conclusion stratégique

L’usage de la force militaire ne ferait que dégrader l’image et la légitimité de la puissance churayne. Néanmoins, la logique de soumission reste prioritaire si un problème éclate.

Décision : Bombardement reporté de trois jours, en fonction du comportement du BNE.


Projet parallèle

Objectif : Déstabiliser l’Altrecht sans intervention directe.

Méthode :
Fouiller dans le passé de l’Altrecht pour déterrer des vérités compromettantes.
Utiliser ces informations pour exercer du chantage ou provoquer un effondrement interne.
Installer ensuite des bases militaires churaynes afin de rapprocher stratégiquement Churaynn du Menkelt et de la Rimaurie.

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Réponse à ce communiquéKami a écrit :
Garmflüßensteinerisches Staat - Offizielle Verlautbarung

Des afaréens s'en prennent à la patrie de la liberté et des droits humains


Alors que nous avions fait, il y a peu, l'immense concession d'accepter la venue d'une organisation se disant "non-gouvernementale" sur le sol de l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise (et que cette prétendue ONG était en fait un organe de propagande churayne à peine déguisé), les afaréens décident de nous attaquer sans aucun fondement !

Ces pays remplis de gens malhonnêtes et malfaisants, qui pensent peut-être faire le bien chez eux, mais ne sont pas capables de faire la différence entre une démocratie pleine et fonctionnelle comme le Garmflüßenstein et des dictatures monarchistes ou communistes comme la Kaulthie ou l'Altarie ! Ces pays impérialistes surtout, qui veulent porter atteinte à la souveraineté de notre pays pour des prétextes inventés ! Nous n'allons pas nous laisser faire.

Nous tiendrons le coup au travers de cette difficile épreuve, grâce au patriotisme des citoyens de NOTRE Afarée Centrale Garmflüßensteinoise. Ils devront peut-être se serrer la ceinture dans les temps qui viennent, car ces sauvages afaréens tiennent un blocus naval qui nous empêche de leur envoyer tout ce dont ils ont besoin, mais c'est un sacrifice qu'ils pourront se permettre, car l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise est fertile. Nous ferons planter de nouveaux champs, et la population ainsi que ses braves défenseurs rimauriens, menkiens et altrechtois du Bloc Nationaliste Eurysien pourront dormir l'esprit tranquille, sans avoir à se soucier de ce qu'ils mangeront le lendemain.

Ces impérialistes afaréens souhaitent donc affamer des populations civiles, ce qui va à l'encontre de tous les principes de la démocratie ! Ils ne respectent rien, et iront bientôt jusqu'à coloniser notre terre au nom d'une prétendue liberté. Mais ils trouveront de la résistance. Personne au Garmflüßenstein ne se rendra sans combattre.




Communiqué officiel du Royaume de Finejouri à la suite du communiqué de Garmflüßenstein

Le Royaume de Finejouri prend acte avec gravité des récentes déclarations émises par Garmflüßensteinoise .

Ces déclarations, accusant de manière erronée « les peuples afaréens » d’être à l’origine d’un blocus naval, sont inexactes et profondément injustes. Le blocus actuellement en vigueur n’est pas l’initiative de l’ensemble du continent afaréen, mais bien la décision souveraine de trois États distincts, qui en assument pleinement la responsabilité. Nous ne saurions accepter que le nom et l’honneur des nations afaréennes soient ainsi diffamés par des amalgames hâtifs et infondés. Finejouri appelle donc solennellement les autorités garmflüßensteinoises à corriger publiquement leurs propos et à présenter des excuses officielles à l’ensemble des nations afaréennes qui n’ont aucune part dans cette opération.

Le Royaume de Finejouri souhaite croire qu’il ne s’agit là que d’une regrettable erreur d’interprétation et non du reflet d’une politique hostile envers un continent entier. Dans le cas contraire, nous tenons à rappeler que s’attaquer verbalement ou militairement à l’unité et à la dignité des États afaréens, c’est courir le risque d’affronter non pas un pays isolé, mais l’ensemble d’un continent uni dans la défense de ses principes et de ses peuples. Dans cet esprit, Finejouri continue de plaider pour la voie du dialogue, du respect mutuel et de la recherche de solutions pacifiques. Mais que nul n’oublie, l’Afarée ne se laissera pas insulter ni menacer sans réponse.
60
Soumission sur ordre de la Haute Instance de Coordination : FEU
2195
Communiqué du gouvernement


https://i.postimg.cc/nr2bfpqC/Capture-d-cran-2024-11-24-194054.png


Peuples du monde,

Déclaration de l’Empereur Sawid Salahuddin Sayyid
À la Nation Churaynne et au monde

Peuple de Churaynn,
Nations afaréennes,
Puissances du monde,

À tous,

Le Bloc Nationaliste Eurysien et le Protocole Afaréen ont décidé de se rencontrer au sujet de la colonie de l'État Garmflüßensteinois. Cette colonie, qui a été pendant des années appauvrie par les Garmflüßensteinois, sera bientôt libre. Nous remercions Marcine pour cette conférence, qui a permis à chacun des acteurs de se préparer. Nous remercions l’Anterie pour sa réponse rapide, qui nous a apporté un soutien dans cette région. Enfin, nous remercions les indépendantistes, qui nous ont fait part de leurs inquiétudes. C’est grâce à eux que nous pouvons maintenant agir sereinement.

Mais le BNE se moque de l’Afarée et de la colonie. S’il décide de venir à la table des discussions, c’est seulement parce que l’Afarée, jour après jour, devient plus soudée. De semaine en semaine, les Afaréens ouvrent les yeux et commencent à comprendre que leur présence est un frein. De mois en mois, les Afaréens commencent à décoloniser chaque colonie. Nous remercions également l’Azur, qui est resté activement présent pendant ce début de tensions avec le BNE.

Sachez que le BNE sait qu’il a perdu. Le conflit ne se fera pas en Afarée, mais bien chez eux, à leur porte. Le BNE est une organisation raciste et fasciste, avec à sa tête de grandes dictatures qui ne font que réduire la liberté d’expression de leur propre peuple. Le BNE est une organisation qui prône la violence. Derrière ce visage de « renforcement de la colonie » se cache l’envie de tester leurs armes sur la population de la colonie de l'État Garmflüßensteinois.

Si le Protocole n’avait pas réagi, pensez-vous vraiment que les membres du BNE se seraient préoccupés de ces habitants ? Pensez-vous vraiment qu’ils auraient porté attention à un seul habitant ? Posez-vous les bonnes questions, car la réponse est non.

Encore une fois, l’Afarée avance. L’Afarée commence à travailler ensemble. Notre adhésion au Pacte Afaréen montre notre volonté de devenir un acteur majeur avec l’Azur, l’Anterie et l’Ouwanlinda pour une Afarée unie.

Nous savons que le BNE n’agit pas pour la libération de la colonie. Ce n’est pas essentiellement grave, tant que l’Afarée centrale devient libre ; cela ne nous pose pas nécessairement de problèmes.

Pour l’Afarée,
Pour l’Union,
Pour la Paix


https://i.postimg.cc/1XqyDmF2/rey.png<br>Salahuddin Sayyid
Premier des Churaynns
Grand Empereur de Sudéiss, de Yuthipista, de Maqdur et D'Angoran.

16587
Oh non, voilà les casse-couilles !

Touristes Rimauriens visitant l'Afarée Centrale Gramatikaine avec leur camping-car.
Touristes Rimauriens visitant l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise avec leur camping-car.
(PS : Ce n'est pas d'eux que parle le titre.)

0/CONTEXTE

Le 27 Février 2017, l'État Nouveau de Rimaurie obtient l'autorisation du gouvernement Garmflüßensteinois, nouvellement membre du Bloc Nationaliste Eurysien, de déployer un corps expéditionnaire dans sa colonie d'Afarée Centrale afin d'assurer sa sécurité face aux menaces répétées de l'Empire Islamique de Churaynn. Le Garmflüßenstein ne possédant qu'une armée très faible, c'est naturellement à ses alliés du BNE de le protéger.

1/TRANSPORT

Considérant la faiblesse de la Marine Nationale Rimaurienne est de la lenteur d'un déploiement par la mer (500 hommes tous les deux mois d'après les premières estimations), il est décidé de procéder au débarquement de la toute jeune 1ère Brigade Expéditionnaire, dite Afarea Korp, par voie aérienne. Deux escadrons de transport aérien sont ainsi formées.
Tous deux sont composés de :
  • 5 avions de ligne de 4ème génération
  • 5 avions de transport tactique de 2ème génération
  • 10 avions de chasse de 2ème génération
  • 5 chasseur-bombardier de 4ème génération
  • 1 avion d'attaque au sol de 3ème génération
Le Premier Escadron décolle du sol Rimaurien le matin du 6 Mars 2017 et traverse l'Eurysie centrale du nord au sud en direction de l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise pour un trajet total d'approximativement 13 000 km soit un voyage d'un peu plus de deux jours et seize heures (les avions de transport pouvant parcourir 4 800 km par jour d'après le tableau militaire disponible sur Discord). À son arrivée à l'aéroport de Derdendemdes dans la soirée du 8 Mars 2017, il décharge 1900 hommes (1500 par avions de ligne, 400 par avions de transport tactiques) et du matériel (spécifié plus bas) avant de retourner en Rimaurie par le même trajet pour y chercher plus d'hommes et de matériel et répéter la manœuvre, lui permettant ainsi de déployer 1900 hommes et du matériel supplémentaire tous les cinq jours environ.

Trajet des escadrons de transport Rimauriens
Trajet des escadrons de transport Rimauriens

Le même jour, au matin, le Deuxième Escadron décolle à son tour du sol Rimaurien et suit le même processus, arrivant à Derdendemdes le 10 Mars dans l'après midi et déployant également 1900 hommes et du matériel. Lui aussi retourne immédiatement en Rimaurie pour répéter la manœuvre et déployer 1900 hommes et du matériel supplémentaire tous les cinq jours également.

La séparation des équipements de transport en deux escadrons distincts et le décalage de quatre jours entre leurs opération respectives a pour objectif de limiter les pertes en cas de tentative d'interception : si un escadron est détruit en cours de route, l'autre pourra décider d'annuler son voyage ou de chercher un itinéraire plus sûr et ainsi de préserver les hommes et le matériel qu'il transporte ou de tout de même prendre le risque s'il s'estime en mesure de le surmonter.

HRP : N'ayant pas trouvé de date précise au début du blocus Antero-Churaynn, j'ai estimé que, celui-ci commençant peu après la Conférence de Marcine qui débute le 3 Août IRL soit dans les derniers jours de Mars IRP et en prenant en compte qu'il faut au moins plusieurs jours pour déplacer une flotte et mettre en place un blocus, on peut raisonnablement penser que le blocus est prêt au plus tôt début Avril soit un peu moins d'un mois après l'envoi des premières troupes Rimauriennes ce qui laisse le temps aux deux escadrons de procéder à jusqu'à cinq déploiements chacun.

En somme, la Rimaurie peut théoriquement déployer des hommes et du matériel neuf fois avant que le blocus ne soit posé plus une dixième si ses avions ne sont pas interceptés.


2/DÉPLOIEMENT

En vert, les déploiements du Premier Escadron. En bleu, les déploiements du Deuxième Escadron.

Déploiement n°1 (voyage du 6 Mars 4h00 au 8 Mars 2017 20h)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 20 mortiers tractés de 2ème génération
  • 5 lance-missiles antiaériens de 2ème génération
  • 20 véhicules de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 10 chars légers de 1ère génération
  • 20 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 10 véhicules utilitaires de 5ème génération
  • 60 camions de transport de 7ème génération
  • 10 camions citernes de 6ème génération
  • 5 bulldozers de 2ème génération
  • Du matériel de construction et des vivres
Les premières forces déployées au Garmflüßenstein Afaréen sont chargées de poser les bases des futures installations Rimaurienne, notamment une piste d’atterrissage de fortune pour faciliter les prochains déploiements (l'aéroport de Derdendemdes n'étant qu'une solution temporaire), des hangars de stockage et les premiers baraquements.
Déploiement n°2 (du 8 Mars 4h00 au 10 Mars 20h00)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 20 véhicules de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 20 chars légers de 1ère génération
  • 20 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 60 camions de transport de 7ème génération
  • 10 camions citernes de 6ème génération
  • 5000 mines antipersonnel de 4ème génération
  • 500 mines antichar de 4ème génération
  • Du matériel de construction et des vivres
Les forces nouvellement déployées sont chargées de suppléer les forces déjà présentes dans l'installation des infrastructures militaires, notamment en minant tout le périmètre de la base.
Déploiement n°3 (du 11 Mars 20h00 au 14 Mars 12h00)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 10 canons antiaériens de 3ème génération
  • 10 canon-antiaériens mobiles de 2ème génération
  • 20 véhicules de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 20 chars légers de 1ère génération
  • 20 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 60 camions de transport de 7ème génération
  • 10 camions citernes de 6ème génération
  • Du matériel de construction et des vivres
Augmentation de la sécurité des installations Rimauriennes à l'aide de canons antiaériens.
Déploiement n°4 (du 13 Mars 20h00 au 16 Mars 12h00)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 20 véhicules de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 20 chars légers de 1ère génération
  • 20 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 60 camions de transport de 7ème génération
  • 2 véhicules de transmission radio de 2ème génération
  • 2 véhicules radars de 3ème génération
  • 5 hélicoptères légers polyvalents de 2ème génération
Amélioration de la surveillance du territoire à l'aide de véhicules radios et radars et d'hélicoptères de patrouille.
Déploiement n°5 (du 17 Mars 8h00 au 20 Mars 0h00)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 10 mortiers tractés de 2ème génération
  • 5 canons tractés de 5ème génération
  • 14 canons automoteurs de 1ère génération
  • 20 transports de troupes blindés de 2ème génération
  • 20 chars légers de 1ère génération
  • 20 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 60 camions de transport de 7ème génération
  • De l'équipement humanitaire et des vivres
Déploiement n°6 (du 19 Mars 8h00 au 22 Mars 0h00)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 20 lance-roquettes multiples de 6ème génération
  • 8 chars d'assaut de 4ème génération
  • 100 camions de transport de 7ème génération
  • De l'équipement humanitaire et des vivres
Déploiement n°7 (du 22 Mars 20h00 au 25 Mars 12h00)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 10 chars légers de 1ère génération
  • 100 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 40 camions de transport de 7ème génération
  • 5 hélicoptères légers polyvalent de 2ème génération
  • 4 avions de chasse de 2ème génération
  • 4 chasseur-bombardiers de 4ème génération
  • 1 avion d'attaque au sol de 3ème génération
  • De l'équipement humanitaire et des vivres
Déploiement n°8 (du 24 Mars 20h00 au 27 Mars 12h00)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 10 canons antiaériens de 3ème génération
Déploiement n°9 (du 28 Mars 12h00 au 31 Mars 4h00)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 40 transports de troupes blindés de 2ème génération
[quote]Déploiement n°10 (du 30 Mars 12h00 au 2 Avril 4h00)
  • 1900 soldats professionnels
  • 1900 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 200 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 5 mortiers légers de 8ème génération
  • 10 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 20 canons tractés de 5ème génération


Soit au total :
  • 19 000 soldats professionnels
  • 19 000 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 2000 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 50 mortiers légers de 8ème génération
  • 100 lance-roquettes de 2ème génération
  • 40 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 30 mortiers tractés de 2ème génération
  • 25 canons tractés de 5ème génération
  • 14 canons automoteurs de 1ère génération
  • 20 canons antiaériens de 3ème génération
  • 10 canon-antiaériens mobiles de 2ème génération
  • 5 lance-missiles antiaériens de 2ème génération
  • 60 transports de troupes blindés de 2ème génération
  • 80 véhicules de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 100 chars légers de 1ère génération
  • 8 chars d'assaut de 4ème génération
  • 200 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 10 véhicules utilitaires de 5ème génération
  • 400 camions de transport de 7ème génération
  • 30 camions citernes de 6ème génération
  • 5 bulldozers de 2ème génération
  • 2 véhicules de transmission radio de 2ème génération
  • 2 véhicules radars de 3ème génération
  • 10 hélicoptères légers polyvalents de 2ème génération
  • 4 avions de chasse de 2ème génération
  • 4 chasseur-bombardiers de 4ème génération
  • 1 avion d'attaque au sol de 3ème génération
  • 5000 mines antipersonnel de 4ème génération
  • 500 mines antichar de 4ème génération
  • 6 missiles balistiques de 3ème génération
  • Du matériel de construction, de l'équipement humanitaire et des vivres
3/STRATÉGIE

Carte des installations Rimauriennes en Afarée Centrale Garmflüßensteinoise
Carte des installations Rimauriennes en Afarée Centrale Garmflüßensteinoise
Légende :
  • Étoile jaune : Principale base Rimaurienne et quartier général de la Force Expéditionnaire
  • Triangles jaunes : Installations militaires secondaires
  • Lignes jaunes : Lignes de défense fortifiées
  • Lignes violettes : Terrains minés
  • Ligne rouge : Zone tampon, présence de mines et de postes de gardes
  • Surface rouge transparente : Zone libre, pas de présence Rimaurienne

Premières actions : Les premières forces sont débarquées à l'aéroport de Derdendemdes et font route vers le nord, jusqu'à une zone éloignée d'environ 65 km de la capitale locale située approximativement au centre de la colonie mais aussi à mi-chemin entre Derdendemdes, siège de la représentation locale du gouvernement Garmflüßensteinoise, et Liptako où sont basées les forces rebelles ce qui en fait un lieu de passage obligé pour les armées des deux belligérants. C'est à cet endroit que les troupes Rimauriennes établissent leur principale base (symbolisée par l'étoile X sur la carte) en commençant par construire des baraquements, des hangars de stockage et, surtout, la piste d'atterrissage primitive ou devront se poser les prochains convois, l'aérodrome local étant jugé insuffisant. Le périmètre de la base est également protégé par une ligne de défense, constituée de tranchées, de grillages et (plus tard) de mines.

Cette première installation, baptisée Herzbasis, qui s'agrandira au fur et à mesure de l'arrivée des renforts, doit servir de centre logistique et de commandement à toutes les bases de la Force Expéditionnaire. C'est ici que les hommes et le matériel sont déchargés pour être répartis sur tout le territoire et c'est d'ici que les ordres sont émis à l'ensemble des unités Rimauriennes présentent en Afarée Centrale.

Actions entreprises contre les monarcho-indépendantistes : Loin de se vouloir une opération militaire offensive, le déploiement de la 1ère Brigade Expéditionnaire Rimaurienne "Afarea Korp" en Afarée Centrale Garmflüßensteinoise a pour principal objectif l'imposition d'une paix durable respectée par tous les partis et, si l'Armée Nationale Rimaurienne et les forces conjointes du Bloc Nationaliste Eurysien, bien supérieures en matériel et sans doute en nombre, pourrait sans nul doute aisément annihiler les forces séparatistes, les conditions ayant menées au déclenchement du conflit ne disparaîtront pas avec l'un des belligérants, bien au contraire, et les troupes Rimauriennes et affiliées ne pourraient s'assurer qu'aucun Afaréen ne reprenne un jour les armes contre le régime Orthographiste après leur départ. Il faut donc, plus qu'éradiquer la révolution nationale indigène, éradiquer ce qu'elle combat, c'est à dire les conditions d'infériorité auxquelles le gouvernement de Genitivingen les a contraint.

Bien conscient que voir des milliers de blancs nordiques surarmés débarquer en Afarée Centrale pour massacrer sans scrupule des centaines de jeunes noirs patriotes et idéalistes qui ne souhaitent rien d'autre que gagner la liberté qu'on leur a volé n'est pas exactement le meilleur moyen de s'attirer la sympathie de la population locale (majoritairement autochtone et donc considérée comme majoritairement hostile au BNE et favorable aux indépendantistes par les renseignements Rimauriens), l'État-Major Rimaurien coupera court aux critiques et aux humanistes en n'effectuant aucune action armée à l'encontre des indépendantistes visant à réduire leur nombre et leurs moyens. Au contraire, décision fut prise, plutôt que de réduire la menace rebelle, de se contenter de l'empêcher de s'étendre et de se renforcer.

Pour se faire, le Garmflüßenstein Afaréen est découpé en deux zones :
  • Une zone dite "libre", au nord, considérée comme déjà au moins en partie sous influence rebelle puisque la ville de Liptako, située dans cette zone, est réputée aux mains des indépendantistes qui y ont leur siège et parce qu'elle est la partie la plus reculée et isolée du territoire, loin de la mer et de la capitale où sont logiquement concentrées la majorité des forces et des infrastructures Garmflüßensteinoise. L'Armée Nationale Rimaurienne n'établira aucune présence dans cette zone, se contentant de la patrouiller en hélicoptère pour obtenir des renseignements sur les positions et moyens des indépendantistes dans le cas où une offensive se révélerait malgré tout nécéssaire.
  • Une zone dite "sécurisée", au sud, comprenant notamment la capitale et donc la majorité de l'administration et des autorités locales ainsi que l'intégralité de la façade maritime de la colonie et donc supposée mieux contrôlée car plus stratégique et indispensable au bon fonctionnement de la colonie. La présence Rimaurienne sera ici bien plus importante : plusieurs bases seront installées pour une couverture maximale du territoire et les principaux villages et axes routiers doivent être nettoyés de toute présence hostile et sécurisés.

Les deux zones sont séparées par une ligne de démarcation, dite "Ligne Rouge", d'environ 110 km de long, parcourue par des patrouilles Rimauriennes et formée de postes de gardes au niveau des axes routiers, chargés de contrôler les passages de civils et de marchandises, d'appréhender les potentiels contrebandiers et de réquisitionner toute marchandise illégale (armes et munitions notamment). Les contrôles devront être méticuleux mais rapides et le passage se fera sans besoin d'autorisation préalable afin de ne pas donner l'impression d'un pays coupé en deux et donc de mécontenter le moins possible les populations. 1000 mines antipersonnel, 100 mines antichar, des grillages et des fils barbelés placés dans les parties de la Zone Rouge les plus isolées et complexes à surveiller doivent empêcher tout franchissement illégal. L'objectif de cette ligne de démarcation est donc d'empêcher le trafic d'armes entre les zones nord et sud (qui permettrait dans un sens de renforcer les troupes rebelles au nord et dans l'autre de constituer des groupes insurrectionnels au sud) mais également de servir de zone tampon entre les forces indépendantistes et loyalistes, interdisant toute tentative d'invasion de la zone sud et donc de renversement violent de l'autorité coloniale par les monarcho-indépendantistes mais aussi toute invasion de la zone nord par les troupes du BNE sans l'accord de l'Armée Nationale Rimaurienne, chose qui ne pourrait qu’envenimer la situation en attisant toujours plus les tensions entre la population indigène et l'État Garmflüßensteinois. En somme, l'Armée Nationale Rimaurienne se place entre les deux belligérants et les dissuade de s'affronter.

Afin d'éviter tout débordement, des guides en langue kaulthe et indigène explicitant le fonctionnement du système de double zone seront distribués aux populations de la zone sud par les forces Rimauriennes et des exemplaires seront largués par hélicoptères sur les villages de la zone nord. Les autorités de Liptako sont cordialement invitées à les distribuer à leurs administrés si elles en ont la possibilité.

Actions entreprises en prévision d'une invasion étrangère : Si les monarcho-indépendantistes sont bel et bien un problème à gérer pour l'Armée Nationale Rimaurienne, il n'est pas le principal, la vraie menace ayant justifiée le déploiement des forces Eurysiennes étant, du point de vue de l'État-Major Rimaurien, l'Empire Islamique de Churaynn qui, fort de son ''''''succès'''''' face à la République des Trois-Nations, s'est empressé, le sang des Fistaliens coulant encore sur les ruines de la préfecture, de porter ses gros sabots à Genitivingen et d'aller menacer de guerre le gouvernement d'Alice Weinel.

Aussi, tenant compte du fait qu'une invasion de l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise ne peut se faire que par la mer ou les airs, une ligne de défense fortifiée, constituée de 2000 mines antipersonnel, 200 mines antichar, de tranchées, de pièces d'artillerie et de casemates (probablement encore en construction au début du blocus), s'étendant sur toute la façade maritime (environ 150km). Des canons antiaériens sont également disséminés sur les différentes installations Rimauriennes et afin de les protéger contre toute tentative de bombardement. Enfin, le Churaynn s'étant déjà illustré comme un amoureux compulsif des frappes de missiles (comme le démontre le bombardement gratuit et sans préalable des Trois-Nations), des abris anti-missiles seront également mis en place (bien qu'eux aussi soient certainement en cours de construction au moment du blocus).

Sécurisation du territoire : Outre le quartier général de l'Afarea Korp, quatre autres bases sont construites à des points jugés critiques :
  • La Base A est construite en priorité à proximité de Derdendemdes et est chargée d'assurer sa défense. Une ligne fortifiée, ouverte uniquement au niveau des axes routiers, doit encercler à la fois la ville et la base.
  • La Base B est située à l'ouest du pays à quelques dizaines de kilomètre de la partie de la façade maritime Garmflüßensteinoise la plus éloignée de la capitale et donc logiquement la moins bien défendue et la plus vulnérable à une invasion ennemie. Dans le cas où une armée hostile débarquerait effectivement à cet endroit, la Base B aurait pour rôle de renforcer les lignes de défense Rimaurienne ou, le cas échéant, de retarder les forces d'invasion afin de laisser le temps au reste des troupes Rimauriennes et affiliées de se préparer pour une contre-attaque.
  • La Base C, située au nord de Derdendemdes et de la Base A, doit empêcher tout contournement de la Base X et donc toute offensive contre la zone sud et notamment Derdendemdes.
  • La Base D, la moins importante de toutes, située en bord de mer au centre de la façade maritime Garmflüßensteinoise a à la fois pour rôle de surveiller la mer et de détecter une potentielle invasion ennemie et de contrer une offensive contre Derdendemdes depuis l'ouest (la Base A protégeant le flanc est).
Les axes routiers reliant ces cinq bases sont en permanence patrouillées par les forces armées Rimaurienne.

Les effectifs respectifs des cinq bases sont les suivants :

Base X - Herzbasis
  • 7000 soldats professionnels
  • 7000 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 740 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 18 mortiers légers de 8ème génération
  • 36 lance-roquettes de 2ème génération
  • 14 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 15 mortiers tractés de 2ème génération
  • 14 canons automoteurs de 1ère génération
  • 10 canons antiaériens de 5ème génération
  • 2 canons antiaériens mobiles de 2ème génération
  • 3 lance-missiles antiaériens de 2ème génération
  • 20 véhicules de transport blindés de 2ème génération
  • 30 véhicules de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 40 chars légers de 1ère génération
  • 3 chars d'assaut de 4ème génération
  • 74 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 2 véhicules utilitaires de 5ème génération
  • 148 camions de transport de 7ème génération
  • 11 camions citernes de 6ème génération
  • 1 bulldozer de 2ème génération
  • 1 véhicule de transmission de 2ème génération
  • 1 véhicule radar de 3ème génération
  • 4 avions de chasse de 2ème génération
  • 4 chasseur-bombardiers de 4ème génération
  • 1 avion d'attaque au sol de 3ème génération
  • 750 mines antipersonnel de 4ème génération
  • 75 mines antichar de 4ème génération
Base A
  • 5000 soldats professionnels
  • 5000 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 520 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 13 mortiers légers de 8ème génération
  • 26 lance-roquettes de 2ème génération
  • 10 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 5 mortiers tractés de 2ème génération
  • 8 canons tractés de 5ème génération
  • 6 canons antiaériens de 5ème génération
  • 2 canons antiaériens mobiles de 2ème génération
  • 2 lance-missiles antiaériens de 2ème génération
  • 20 véhicules de transport blindés de 2ème génération
  • 25 véhicules de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 30 chars légers de 1ère génération
  • 5 chars d'assaut de 4ème génération
  • 52 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 1 véhicule utilitaire de 5ème génération
  • 104 camions de transport de 7ème génération
  • 8 camions citernes de 6ème génération
  • 1 bulldozer de 2ème génération
  • 1000 mines antipersonnel de 4ème génération
  • 100 mines antichar de 4ème génération
Base B
  • 3000 soldats professionnels
  • 3000 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 300 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 8 mortiers légers de 8ème génération
  • 15 lance-roquettes de 2ème génération
  • 6 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 5 mortiers tractés de 2ème génération
  • 8 canons tractés de 5ème génération
  • 2 canon antiaérien de 5ème génération
  • 2 canons antiaériens mobiles de 2ème génération
  • 12 véhicules de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 15 chars légers de 1ère génération
  • 30 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 1 véhicule utilitaire de 5ème génération
  • 60 camions de transport de 7ème génération
  • 5 camions citernes de 6ème génération
  • 1 bulldozer de 2ème génération
  • 250 mines antipersonnel de 4ème génération
  • 25 mines antichar de 4ème génération
Base C
  • 3000 soldats professionnels
  • 3000 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 300 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 8 mortiers légers de 8ème génération
  • 15 lance-roquettes de 2ème génération
  • 6 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 5 mortiers tractés de 2ème génération
  • 6 canons tractés de 5ème génération
  • 2 canon antiaérien de 5ème génération
  • 2 canons antiaériens mobiles de 2ème génération
  • 12 véhicules de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 15 chars légers de 1ère génération
  • 30 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 1 véhicule utilitaire de 5ème génération
  • 60 camions de transport de 7ème génération
  • 4 camions citernes de 6ème génération
  • 1 bulldozer de 2ème génération
Base D
  • 1000 soldats professionnels
  • 1000 armes légères d'infanterie de 11ème génération
  • 140 mitrailleuses lourdes de 10ème génération
  • 3 mortiers légers de 8ème génération
  • 8 lance-roquettes de 2ème génération
  • 4 lance-missiles antichar de 5ème génération
  • 3 canons tractés de 5ème génération
  • 2 canons antiaériens mobiles de 2ème génération
  • 20 véhicules de transport blindés de 2ème génération
  • 1 véhicule de combat d'infanterie de 6ème génération
  • 14 véhicules légers tout-terrain de 3ème génération
  • 1 véhicule utilitaire de 5ème génération
  • 28 camions de transport de 7ème génération
  • 1 camion citerne de 6ème génération
  • 1 bulldozer de 2ème génération
  • 1 véhicule de transmission de 2ème génération
  • 1 véhicule radar de 3ème génération

Actions menées en faveur de la population : De la même manière que le BNE promettait son aide à la junte Retsvinienne en échange d'une révision complète de son système politique et de sa doctrine idéologique considérée comme nécessaires à l'établissement d'une paix relative mais durable, l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise ne connaîtra pas la paix tant que les pratiques dépassées de la dictature orthographiste auront court. L'État Nouveau de Rimaurie fera pression sur le gouvernement de Weinel afin de le pousser à abolir définitivement sa pratique de l'esclavage et à accorder les mêmes droits à tous les habitants de la colonie. Celle-ci ne devra d'ailleurs pas rester une colonie mais un territoire d'outre-mer plus ou moins autonome au mieux ou un État semi-indépendant sous protection du Bloc Nationaliste Eurysien.

L'un des principaux sujets de tension entre la population indigène et l'autorité coloniale est en effet la pratique d'une forme particulière d'esclavage par le gouvernement Garmflüßensteinois, justifiée par le fait que les indigènes ne savent, pour la plupart, pas écrire allemand (ce qui est un crime grave puni de plusieurs années de travaux forcés par le régime orthographiste) alors que l'éducation en langue kaulthe leur est proscrite. Qu'à cela ne tienne, si les Garmflüßensteinois refusent de donner une éducation à leur population, les Rimauriens, eux même très majoritairement germanophones, s'en chargeront à leur place. En plus des chars et des canons, les avions de transport Rimaurien ont également déchargés des milliers de crayons et de manuels scolaires. Plusieurs escouades de "soldats-profs", parfois accompagnés d’interprètes locaux, parcourent ainsi les vastes étendues Afaréennes avec leurs véhicules blindés transformés en écoles mobiles pour l'occasion afin de dispenser des cours gratuits et volontaires aux populations indigènes, y compris celles déjà soumises aux travaux forcés, que les autorités Garmflüßensteinoises soient en accord avec cela ou non. Et puis, si des colons mécontents tentent de s'y opposer un peu trop fermement, les Rimauriens n'auront qu'à sortir leurs fusils de "soldats-profs" pour neutraliser ces agitateurs terroristes. Ainsi, les indigènes ayant reçu une éducation minimale en langue allemande ne seront plus victimes des condamnations absurdes de la dictature orthographiste et les pauvres esclaves pourront prouver l'illégitimité de leur condamnation en envoyant des lettres écrites de leurs mains au juge pour réclamer la reconnaissance de leur innocence, le tout appuyé par les arguments de quelques "soldats-avocats".

Outre, l'éducation, les soldats Rimauriens distribueront également de la nourriture et des soins aux populations les plus pauvres et vulnérables, construiront des logements et offriront même du travail aux autochtones sur leurs bases militaires. Le tout afin de tordre le plus possible l'ordre établi par le régime orthographiste et contraindre l'État Garmflüßensteinois à accepter au moins une partie des revendications indépendantistes avant qu'ils ne les arrachent par la force et le sang et, surtout, de leur montrer que c'est grâce à EUX, Rimauriens, qu'ils sont LIBRES.

Et si Alice Weinel refuse de négocier, alors Friedrich Sattler pourra bien s'en charger à sa place !

La paix est plus dure à gagner que la guerre...


Nous ne venons pas ici pour démarrer une guerre.

Nous venons pour y mettre fin.

Mais ne nous fourvoyons pas...

Comme toujours, ils se tromperont sur nous et, comme toujours, d'autres, plus nombreux encore, se tromperont avec eux et leur donneront raison.


ET NOUS PAIERONS LE PRIX DE LEUR IGNORANCE
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Garmflüßensteinerisches Staat - Offizielle Verlautbarung

Excuses officielles envers les finejourilles
En réponse à ce communiqué.


Le gouvernement garmflüßensteinois souhaite présenter ses excuses officielles envers la nation finejourillène, qu'il a offensé en la mettant dans le même panier que quelques États afaréens géographiquement et culturellement proches.

Nous nous excusons devant cette nation, bien qu'elle ne soit pas germanique et ne mérite donc pas beaucoup de notre attention, car nous devons montrer l'exemple. La nation garmflüßensteinoise et ses citoyens sont les meilleurs du monde dans tous les domaines, qu'ils soient physiques ou intellectuels. Si ce n'est pas notre nation, alors qui dans ce monde sera en capacité de faire de la diplomatie ?

Bien que les cultures d'Afarée, aussi peu développées soient-elles en comparaison de celle des germaniques d'Eurysie, se ressemblent fortement, il est de notre devoir de savoir faire la différence. Encore une fois, qui en serait capable sinon ?

Nous prouvons au monde par la même occasion l'exemple que sont la démocratie et le gouvernement garmflüßensteinois. Beaucoup de pays nous accusent d'agressivité sur la scène internationale, ce qui est faux, et cela est prouvé par ce simple communiqué.

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République d'Ouwanlinda


Drapeau



Peuple ouwanlindais, levez vous pour la prise de parole de l'Amiral-Président !



Citoyens des quatre ethnies de notre grande nation,

Comme vous le savez tous, nous sommes engagés depuis le début de mon mandat dans une grande lutte qui définit notre identité. Nous qui avons enduré la souffrance, nous qui avons goûté au fouet, à la chicotte, à la verge...oui la verge, arrêtez de rire maintenant *Ateh semble s'adresser à un petit groupe dans la foule, avant de reprendre*...les verges de l'injustice entre un gtand nombre de mains. Tout d'abord ce furent les eurysiens, et ensuite il a fallu que nous nous saisissions des armes des exploiteurs pour les retourner contre nous même, contre nos propres frères, chrétiens et musulmans ouwanlindais les uns contre les autres. Heureusement, et c'est là notre victoire historique, nous avons triomphé tant de nos envahisseurs que de nous mêmes. Nous avons vaincu nos bourreaux extérieurs, mais également nos démons intérieurs...bien trouvé ça Barnabas... *Cette fois ci, il semble s'adresser au Ministre du Respect qui se tient derrière lui.*

Nous, ouwanlindais, nous sommes libres, mais comme je vous le dis toujours: nous ne sommes ni le monde, ni l'Afarée toute entière. Des démons, de partout dans le continent n'ont pas encore été vaincus. La guerre, le colonialisme et la misère se répandent encore parmi nous tous, et ce qui se passe au Gondo, ce qui se passe à Cramoisie, ce qui se passe dans la nation que je vais vous évoquer...tout cela nous concerne, que l'on habite en Ouwanlinda, en Azur ou en Antégrad. Nous ne vivons pas seuls au monde. L'impérialisme est un poison qui tue à petit feu, et dont la victime n'est que rarement consciente, et encore moins consentante. En Ouwanlinda, les clovaniens, ces suppôts du gouvernement mafieux gondolais ont été les derniers en date à menacer cette liberté chèrement acquise, et c'était il y a à peine deux mois de cela. Mais là où cet impérialisme est sournois, et se déguise sous la forme d'une puissance "occidentale" et "moderne", celui que je tiens à vous évoquer aujourd'hui est bien plus maladroit, bien plus stupide et brutal. Bien entendu, vous vous attendiez bien au vu des actualités, que je vous parle du cas Gramuf...Gramar...Gramaschtein...G-land, on va l'appeler comme ça...le cas G-land. *Prononcer le nom du pays a fait ressortir les défauts d'élocution inhérents à Ateh Olinga, ce qui a le don de l'énerver encore plus*...bref, le cas G-land !

Parmi tous les champions de l'exploitation et du colonialisme certains sortent clairement du lot. On prend toujours garde des fourbes velsniens, des séduisants teylais, des énigmatiques gallouèsants, des bureaucratiques tanskiens...mais on oublie souvent ceux qui pensent encore en 2017, pouvoir agir avec l'impunité et la brutalité ! Comment avons nous pu accepter aussi longtemps l'existence de l'Empire colonial du G-land ? Quelle brique nous est tombée sur la tête pour que l'on puisse oublier qu'en cette patrie, on enchaîne encore, on contraint au travail forcé et à l'esclavage ! Comment avons nous pu ne pas nous rendre compte plus tôt de ce petit état colonial, qui n'a été sauvé jusqu'à présent par des sujets qui se sont imposés à nous: nous parlons du Gondo, nous parlons de Cramoisie, nous parlons de la République des trois nations...mais jusqu'à présent, nous avions oublié cette affreuse verrue qu'était le G-land. Moi, Ateh Olinga, suis autant responsable que les autres chefs d'état afaréens, mais il n'est jamais trop tard pour réparer nos erreurs.

Fort heureusement, certains parmi nous ont déjà pris des initiatives, auquel le gouvernement de la République d'Ouwanlinda, notre grand pays, annonce tout son soutien. Les puissances du Churaynn et de Marcine semblent avoir pris cet évènement à bras le corps, par l'imposition d'un blocus juste au vu de la situation que vivent les opposants au régime dictatorial et génocidaire du G-land. L'Ouwanlinda tient donc à faire sa part, car dans cette histoire, ceux qui ne se lèveront pas de leur chaise seront tout aussi responsables que les criminels qui dirigent cette prison géante à ciel ouvert.

A cela s'ajoute l'arrivée de ces ordures du BNE, une autre de ces organisations eurysiennes qui pense se faire calife à la place du calife, et qui estime gagner de la virilité à soutenir un gouvernement criminel comme l'ONC ou l'OND peuvent le faire. 20 000 rimauriens, des milliers de menkeltiens: ce n'est plus une intervention, c'est une invasion à grande échelle de l'Afarée ! Et cela nous impose une réponse équivoque et inflexible !

C'est pourquoi je tiens à m'adresser directement aux dirigeants de cette monstruosité que je n'oserais appeler "état du G-Land", et à leurs maîtres du BNE, le Bureau des nullards efféminés... *Ateh Olinga fait un regard caméra.*: aujourd'hui, je m'engage personnellement, et en vertu de tous mes moyens à faire de votre existence un enfer jusqu'à ce que vous partiez de notre continent, sur vos jambes ou sur le dos, avec une valise ou dans un cercueil. Vous avez le choix, mais si vous posez le pied en Afarée, vous n'en repartirez jamais. L'Ouwanlinda fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire de cette endroit votre dernière maison. Nous vous traquerons, nous vous trouverons et nous vous tuerons. Les clovaniens ont essayé avant vous, et ils ont échoué.
Vous subirez le même sort, et je m'amuserais à remonter l'avenue central d'Opanga en vous traînant par une corde à l'arrière de mon hummer ! Faites votre choix...

En attendant, l'Ouwanlinda annonce reprendre son programme d'armement balistique dans cette optique. Oui...on a tout lancé sur la Clovanie, donc il va falloir qu'on retrouve d'autres cigares à lancer. Et comme je commence à en avoir marre d'acheter à l'étranger, j'ai l'honneur de vous annoncer que l'Ouwanlinda va se lancer très prochainement dans son propre programme balistique....en plus ça paraît à la mode en ce moment. Et j'irai plus loin: l'Ouwanlinda doit se doter d'armes, de beaucoup d'armes, des avions, des mines, et tout ce qui nous permettra de bouter ces nouveaux impérialistes hors de ce continent. L'Ouwanlinda répondra à l'appel de la décolonisation. Nous libérerons ces possessions les unes après les autres, quoi qu'il en coûte et quelque soit la nature de nos ennemis !

Vive l'Ouwanlinda, vive les ouwanlindais et vive l'Afarée libre !



Votre Amiral-Président et votre frère, Ateh Olinga. Président honoraire de l'Alguarena, Triumvir des triumvirs de la Grande République de Velsna, Soleil éternel de la nation, Roi consort de Teyla, Podestat de Léandre, l'Aigle d'Ouwanlinda qui voit au travers des nuages, défenseur des musulmans et des chrétiens d'Afarée, camarade de la victoire afaréenne, président d'Incama-chan, citoyen honoraire de la Sérénissime République d'Achos, Légat honoraire de Rhême.

Drapeau
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Carnet de bord du Commandant de la Force Navale Finejourienne

Navire-amiral : Porte-hélicoptères
Commandant désigné : Contre-amiral Armand L. Valoir

Mission principale : Coordination de la flotte finejourienne (frégates, destroyers, escorteurs ASW), protection du transporteur de chalands de débarquement (LCT) et appui aux opérations conjointes avec l’État-Major Royal en vue d’une transition politique sécurisée en Afarée Centrale.

Heure : 08h30
Le Roi Louis II lors de son déplacement à contacter l’État-Major Royal. Ordre verbal transmis au QG : Finejouri interviendra comme garant régional pour assurer la transition politique en Afarée Centrale et protéger les populations vulnérables. Une force expéditionnaire navale sera déployée pour assurer évacuation, dissuasion et, le cas échéant, appui aux opérations de stabilisation.

Ce matin, à bord du Fleur-de-Mer, le contre-amiral Valoir reçoit officiellement sa mission qui est de devenir le commandant de la force maritime finejourienne et donc de devenir le point de contact opérationnel entre l’État-Major Royal et les unités en mission. La priorités inscrites sur l’ordre de mission est,

- d'assurer la sécurité des voies maritimes autour de la colonie.
- protéger et coordonner le transporteur de chalands de débarquement (LCT) chargé d’évacuation et de projection.
- maintenir une posture dissuasive visible mais mesurée, conformément aux directives politiques.
- préparer des options pour opération limitée de neutralisation des capacités logistiques ennemies si la diplomatie échoue (préparation, non exécution sans ordre royal).

Heure : 15h00 Rassemblement de la Flotte et État-des-Lieux
Composition sommaire de la force mise à ma disposition :

Fleur-de-Mer (porte-hélicoptères / navire-amiral) — PC tactique et plateforme héliportée.

2 frégates multi-rôle LVL 1(escorte et AAW/ASuW).

1 destroyer LVL 1(anti-aérien / command et control) en couverture.

1 corvette LVL2 / dragueur léger LVL1 (veille littorale, EOD).

1 transporteur de chalands de débarquement LVL2 (LCT)

1 Pétrolier ravitailleur LVL1

1 drones ISR LVL 1 (drones maritimes) rattachés au bord.




Ordre reçu :
posture dissuasive, éviter toute provocation, mais être prêt en 12–24 h à exécuter missions de protection/évacuation, prioriser protection des civils, éviter frappes létales sans confirmation d’ordre royal.

J-2 4H00H Prise de contact

Ici le Contre-amiral Armand L. Valoir commandant de la force maritime finejourienne pour le Navire Amiral Confédéral, nous prenons contact avec vous pour vous informer de notre arrivé conformément aux ordres donné par Sa Majesté Louis II et de nos manœuvre ( le contre amiral expose les manœuvres qui seront fait et expliquer si dessous) .


J-2 Heure : 06h00 Préparatifs & Briefing des Chefs d’Unité

Inspection générale de la plateforme héliportée ; vérification des chaines logistiques pour l’éventuelle montée en puissance. Briefing avec les commandants des frégates, mise en place de patrouilles AA/ASW à 25–40 NM du littoral, zones de déconfliction maritime définies.

Coordination avec le commandant du LCT, plan d’appontage, capacité d’embarquement (personnes prioritaires : civils vulnérables, personnels humanitaires, certaines figures identifiées), procédures médicales et de triage.

J-2 Heure : 21h30 Veille Opérationnelle & Communication Politique

Message reçu par l'ensemble des commandants:
pourparlers en cours, mais réponses vagues quant à l’abolition des « travaux forcés ». Nous demandons donc une mesures navales qui est la présence visible de la flotte finejourienne à la limite des eaux territoriales de la colonie. Notifications transmises aux commandants, rapports ISR quotidiens à 0600, 1200, 1800 ; emport carburant augmenté de +30% ; vivres en double ration pour rotations prolongées.

Ordre reçu en privé par l’État-Major : préparer deux OPLANs:
-OPLAN A (option diplomatique renforcée / coercition non létale)
-OPLAN B (option d'intervention à mettre en place).


HRP:Ces plans restent classifiés, et ne seront lancés qu’avec autorisation royale.


flote de Finejouri
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