11/05/2017
22:48:42
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Mise sous blocus de la colonie du Grammatika.

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Mise en place à partir du 25/08/2025.


D’une voix, ils s’écrièrent : « Afarea Mugu ! »(1)


Durant trop longtemps ces horreurs avaient duré, durant trop longtemps le monde était resté silencieux, pendant trop longtemps, les indigènes souffraient. Heureusement, cette fois-ci, les locaux pouvaient compter sur de véritables soutiens. Churayns, Antérien, Marcinois, tous avaient accourus à leur aide. Seulement, difficile de faire passer en contre-bande des chars, difficile de pouvoir armer des rebelles sans êtres vus. Néanmoins, si les Menkelts ont réussis à s’installer, ce n’est pas le cas pour leurs alliés rimauriens ou altrechtois, et ils se retrouvent isolés, encerclés par une savane en apparence silencieuse, inoffensive, mais en vérité retorse et habile. Inutile d’avoir besoin de milliers d’insurgés quand les lianes, les ronces et les moustiques font fondre l’ennemi. La chaleur et la malaria n’auraient aucun mal à décimer les oppresseurs. Seulement, il fallait donner une chance aux rebelles de ne pas voir les réserves ennemies regonfler chaque jours qui passent, il fallait pour cela mettre en place de quoi les soutenir efficacement sans pour autant donner l’impression que la libération est permise par des puissances étrangères. Et pour intervenir à distance tout en ayant un poids décisif dans cette libération, il fallait que les stocks d’hommes et d’armes ne se remplissent pas chaque fois que la forêt les vide, il fallait essouffler l’ennemi, l’affamer. La forêt réduit ses forces à néant et l’homme se charge de bloquer le ravitaillement. Un travail d’équipe, la renaissance du contrat éternel entre l’Afaréen et la Nature. La seconde offre assistance et protection en échange de son respect.

Malheureusement, les Occidentaux ont détruit ce fragile équilibre, ils ont détruit les Afaréens, et si la plupart s’en excusent, s’en repentent, d’autres l’assument ouvertement, s’en vantent. Et ces derniers devaient déguerpir, arrêter de ruiner cette pauvre Afarée, à la fois berceau des civilisations les plus brillantes, mais aussi victimes des crimes les plus abjects. Maintenant, il s’agissait d’apprendre au Grammatika que les Afaréens ne sont plus objets, et que si l’Afarée devait les chasser à coups d’obus, elle n’hésiterait pas une seule seconde. Il fallait simplement espérer qu’ils aient la présence d’esprit de ne pas immoler leurs hommes pour ce petit bout de territoire. Les fascistes construisent des bases, les coalisés réagissent promptement. « Si les Menkelts, les Rimauriens, les Altrchtois et les Grammariens veulent s’installer, pas de soucis, on les délogera au canon ! » affirmera Désiré Floubou. Marcine ne voulait pas de la guerre, mais la détresse de ses frères ne put la laisser insensible, ces hommes qui débarquaient n’étaient pas des prêtres venus confesser les locaux, mais des guerriers venus violer et massacrer les civils. Et lorsque sa famille est en danger, il est naturel de réagir promptement et violemment, un avertissement a été lancé aux membres du B.N.E, le Grammatika sait à quoi s’en tenir. S’ils refusent, ce ne sera pas quelques navires qui se présenteront devant Derdendembes, mais l’intégralité des flottes afaréennes. Et s’il fallait raser les bases eurysiennes, elles le feraient.

Les objectifs marcinois, churaynns et antériens étaient simples : empêcher les troupes ennemis de s’installer au Grammatika.

Pour ce faire, ils jouaient sur un point essentiel ; la temporalité de l’opération. Les coalisés savent de sources sûres que les fascistes allaient arriver, seulement ils ne savaient pas combien d’hommes allaient être envoyés, ils ne savaient pas non plus quelles méthodes allaient être employées, mais ils savaient qu’ils allaient prendre pied à terre. Par conséquent, il fallait faire preuve de stratégie et surtout de rapidité. Ainsi, Marcinois, Churaynns et Antériens devaient pouvoir encercler la colonie du Grammatika. Seulement, comment faire ? Et surtout, comment se montrer le plus efficace possible ?

Aimé de Kalindi-Marcine, Grand Amiral de la flotte confédérale avait ainsi réfléchi rapidement à un plan, qui comptait avant tout sur la dissuasion et la menace pour fonctionner que le combat en tant que tel.

Plan d'action. a écrit :
Plan d’action et objectifs
,( à coordonner avec les amirautés antériennes et churaynes).

Le Grammatika possède une colonie en Afarée, l’Afarée centrale grammarflüssteinoise. A l’heure actuelle, nous estimons que deux ou trois milliers d’hommes maximum sont probablement chargés de faire régner l’ordre sur place. D’une part car il s’agit aussi de contrôler la Métropole, connaissant des troubles avec les Monarchistes, et d’une autre pour des raisons logistiques, il est assez difficile pour un si petit territoire de pouvoir nourrir des centaines de milliers de personnes sans faire appel à des ravitailleurs. De plus, il est certains que ce besoin constant en approvisionnement concerne aussi le matériel, armes, artillerie et blindés, mais aussi la logistique plus traditionnelle ; camions et véhicules de soin. De ce fait la position de l’armée locale reste assez précaire car elle dépends presque entièrement de son port et des bases portuaires que tenteront de construire les membres du B.N.E.

En revanche, ne nous trompons pas d’objectifs. Il s’agit seulement de couper l’approvisionnement en matériel et armes pour les troupes ennemies présentes sur place afin de faciliter la tâche aux indépendantistes. Aucun acte belliqueux ne doit être tenté tant que le Grammatika n’a pas répondu à l’appel de l’Excellence chargée de la diplomatie. Mais néanmoins, nous devons pouvoir bloquer et stopper l’arrivage de renforts du B.N.E. Et c’est là notre principale tâche, qui est de loin la plus importante. En effet, privé l’ennemi de renforts, rendrait la libération du territoire du Grammarflüsstein bien plus facile, notamment lorsque des armes et des munitions seraient livrées par voies maritimes aux indépendantistes tandis que les autorités locales n’ont pas les moyens pour surveiller 170 kilomètres de côtes. Leur permettant (aux indépendantistes) de compter sur une équivalence en termes de matériel (@kami pense à préciser le nombre de rebelles) voire d’hommes. A partir de ce moment là, l’indépendance devient plus aisée, et notre intervention terrestre devient justifiées par l’agression que commet le B.N.E en violant la souveraineté nationale d’un État.

Au niveau naval, il faut savoir agir avec discernement, le golf de Derdendembes est vaste, en revanche, contrôler l’isthme fortunéen permet de contrôler les navires entrants et sortants. Par conséquent, de bloquer le trafic entre la colonie du Grammatika et l’arrivée des convois militaires. Cette stratégie doit évidemment permettre d’affaiblir les forces présentes sur place tout en, paradoxalement, renforcant les troupes indépendantistes en poursuivant un approvisionnement discrets, affamer l’ennemi tout en nourrissant les locaux. De plus, au niveau du carburant, il est nécessaire de se montrer impitoyable, aucun pétrolier ne peut passer ce territoire sans le risque de ravitailler les véhicules altrechtois présents sur place.

D’ailleurs, en évoquant le ravitaillement, rappelons qu’un pétrolier ravitailleur devrait permettre de ravitailler la flotte confédérale, tandis que la base Churayne présente à Eilesis devrait nous permettre de réapprovisionner le ravitailleur en cas de besoin, d’autant plus lorsque nous pourrions compter sur l’aide des divers membres de la coalition. Il est donc inutile de trop se préoccuper de l’approvisionnement de nos navires, vu qu’il sera assuré et par le fret entre notre pétrolier ravitailleur et le territoire nésoïen mais aussi par ceux de nos alliés. Donc le problème reste d’importance minime. 

Nous tenons aussi à rappeler à tout nos commandants que notre objectif est d’assurer un blocus effectif. Par conséquent, l’Isthme sera bloqué pour les navires de guerre et de ravitaillement à destination du Grammatika. Naturellement, les vaisseaux fortunéns et de la Confédération Nazuméenne ne seront en rien inquiétés, nous tenons aussi à rappeler qu’aucun contrôle sur ces derniers ne sera effectué par les autorités confédérales, exceptés s’ils se rapprochent trop de la colonie, objet de ce blocus. Je rappelle aussi que les navires doivent rester séparés par une vingtaine de kilomètres, tandis que des vedettes légères rallieront les différents points du détroit de Fortuna afin de s’assurer qu’aucun navire ne tente de traverser le blocus.

Évidemment, nous ne pourrons rester statique, notre nombre de vaisseaux limités et la distance séparant les deux bouts de terre (environ 170 kilomètres) nous poussera à adopter le « blocus de croisière », signifiant que nous pourrons patrouiller dans un rayon d’environ une trentaine de kilomètres, nous permettant de couvrir la quasi-intégralité du détroit. En effet, nous rappelons que les radars de nos vaisseaux peuvent balayer une circonférence d’une cinquantaine de kilomètres tandis que notre relatif éloignement nous permettra de balayer efficacement la zone. Évidemment, chaque navires doivent pouvoir communiquer en permanence et un rapport devra être envoyé au vaisseau amiral toutes les heures qui passent. Afin de garantir une efficacité optimale et éviter des désagréments d’ordres balistiques.

Formation de combat, interception et appui aérien.

Je tiens encore une fois à rappeler que l’objectif est de pouvoir contrer l’approvisionnement en armes et en matériel de la colonie du Grammatika, par conséquent, il sera nécessaire de se coordonner rapidement pour couvrir une large zone. En partant de ce postulat, j’ai rappelé que les forces de la Marine Confédérale pratiqueront le « blocus de croisière », autrement qu’ils patrouilleront sur une trentaine de kilomètres pour permettre à leurs radars (couvrant une cinquantaine de kilomètres) de balayer un large périmètre, et comme dit plus tôt, quatre vedettes rapides patrouilleront en marge de nos vaisseaux pour s’assurer que nos poissons ne passent par aucune mailles de notre filet.

Néanmoins, je pense qu’il va être nécessaire d’adopter une double ligne pour éviter que les potentiels vaisseaux ayant réussis à tromper la vigilance de nos navires ne puissent tout de même joindre la colonie du Grammatika. De cette manière, même en ayant traversé la première ligne de défense, l’ennemi devra tout de même traverser la seconde ligne de défense. Chose bien plus ardue, vu que cette dernière sera composée par les flottes du Churaynn et de l’Antérie. De plus, au niveau la première ligne, que nous surveillerons, il faut prendre en compte la division des forces confédérales en deux groupes :

-Le Premier Groupe de Sécurité (P.G.S), composé par quatre patrouilleurs et deux vedettes rapides. Leur mission sera de patrouiller entre le comptoir fortunéen et l’autre rive. Ils seront tous dotés de radars pouvant balayer une quarantaine de kilomètres et seront espacés par une dizaine de kilomètres chacun, leur permettant de surveiller (grâce aux radars) une bonne partie du périmètre donné. Les deux vedettes servant, comme rappelé plus tôt, à relier les différents points afin d’assurer une liaison visuelle continue entre les différents bâtiments de surface. Ces vaisseaux n’auront qu’un seul objectif ; avertir le groupe principal en cas d’intrusion dans le périmètre de sécurité. Patrouilleurs et vedettes sont chargé d’avertir le vaisseau qu’il sera contrôlé et qu’il est prié de s’arrêter. Si ce dernier est seul et refuse de se plier aux ordres, les vedettes ou le patrouilleur sont libres de le prendre en chasse, tandis que le groupe principal les rejoindra.

- Le Groupe de Chasse et d’Interception (G.C.I), composé par le Navire-Amiral (le N.S.M Saint Michel, la frégate de sixième génération), par deux corvettes ainsi que par deux autres vedettes. Ce dernier sera chargé de la prise en chasse des cargos se dirigeant vers le Grammatika qui refusent de se faire contrôler par les patrouilleurs voire de la destruction de ces dernier si nécessaire. Ils seront disposés en « flèche », autrement dit le Navire Amiral sera la pointe de la-dite formation et ses arrières seront assurés par les deux corvettes tandis que les vedettes assureront elles-mêmes la sécurité de ces dernières. Le G.C.I sera en blocus « fixe » autrement dit ils ne bougeront qu’en cas d’intrusion du périmètre et ne seront donc pas chargés de seconder le P.G.S.

Si une interception s’avère nécessaire, les commandants devront à tout prix prioriser le dialogue et les échanges. Tenter de convaincre les capitaines de se plier à leurs injonctions. Si malheureusement les diverses tentatives pour entrer en contact ou raisonner le capitaine ont échoué, les patrouilleurs sont libres d’utiliser la force brute pour stopper le navire, si ce dernier est trop rapide, chose peu probable, le G.C.I se chargera de le couler à l’aide des canons longue portée ou des torpilles des vedettes rapides. Le G.C.I pourrait même être appelé à des opération de bombardement des bases militaires côtières si cela s’avère nécessaire, même si la Confédération compte sur la sagesse de Weinel.

De plus, les formations G.C.I et P.G.S seront suppléer par un soutien aérien. Les différents avions n’ont qu’un seul objectif, assurer la protection des différentes composantes de la flotte confédérale en bombardant si nécessaire les cibles, notamment les navires de surface ; il est aussi chargé de prioriser les navires cargos se dirigeant directement vers la colonie du Grammatika. Le support aérien sera aussi chargé d’attaquer les avions (civils ou militaires) se dirigeant vers la colonie. Ces derniers se ravitailleront sur l’enclave nésoïenne et verront le nombre initial (à savoir une trentaine d’avions) divisé par deux afin des rondes qui se relaieront et optimisé leur efficacité. Autrement, dit une quinzaine d’avions sillonneront les cieux à la recherche de navires ennemis et seront chargés de les bombarder si nécessaire. Encore une fois, ils devront passer par les voies diplomatiques au préalable.

Si l’ennemi avance avec une flotte imposante, allant de quelques frégates à un Groupe Naval complet, alors la Flotte confédérale les laissera passer, tout en s’assurant qu’aucun navire ne suive. La force navale complète suivra à distance le Groupe du B.N.E et sera chargée de fermer la tenaille si la flotte fasciste tente de lancer les hostilités contre les navires coalisés. L’aviation sera chargée de bombarder en priorité les cargos et de couler ces derniers, tandis que les navires de surface devront tirer à boulets rouges sur la flotte ennemie. Naturellement, la flotte coalisée ne devra que répondre aux tire du B.N.E tout en bloquant leur avancée. En vertu du protocole de Marcine.

Volet diplomatique.

Néanmoins l’objectif de la mission est clair, affamer l’ennemi tout en alimentant les rebelles en armes et en munition. Une armée ne se bat pas le ventre vide, elle ne sa bat pas non plus sans carburant. Car le Grammatika refuse l’offre des coalisés et des troupes rebelles, dès lors le blocus sera intégral et visera cargos civils et militaires (exceptés les navires de l’Amirauté fortunéenne ou de la C.S.N ainsi que des États membres de l’O.N.D et de l’O.N.C ainsi que des États afaréens. De plus, il est important de saisir que cette opération peut être vouée à l’échec si la Communauté Internationale considère cette dernière comme illégitime ou ouvertement impérialiste, ce qui est évidemment faux.

De cette manière, nous devons tout de même compter sur l’assentiment, voire la participation directe de certaines nations, des puissances économiques, des puissances militaires ou des États influents. L’objectif n’est pas tant de pouvoir faire consensus mais de pouvoir compter sur une base de puissance qui pourraient être disposées à intervenir en notre faveur, ou du moins ne pas être indisposées par nos méthodes. De ce fait, nous devons compter sur le Kah, qui nous soutiendra probablement en raison de la proximité stratégique entre nos deux États. L’Azur, véritable influenceur de l’Afarée, qui ne doit être en aucun contrarié par nos opérations, qui devrait, si possible, les soutenir dans les faits ou du moins ne pas s’y opposer frontalement. C’est une question d’ordre capitale qui décidera dans les faits si l’Afarée voit cette opération d’un bon œil. Les puissances des principaux blocs, à savoir l’O.N.C et l’O.N.D, en vérité, la nature de l’opération, c’est à dire moral, et sa zone, c’est à dire ce petit détroit, ne mets ni le commerce mondial en danger, tandis que les motivations de cette opération défendent les Droits Humains. L’alliance entre l’Antegrad et Sylva rends une condamnation onédienne encore moins probable.

De cette manière, les risques d’une condamnation internationale poussant les coalisés à se retirer restent minimes, du moins de mon point de vue. Il est aussi à noter que la probabilité que le Menkelt, la Rimaurie l’Altrecht ou le Grammatika soient forcés à s’asseoir à la table des négociations est élevées, si à l’heure actuelle nous savons que seuls Neufs milles hommes sont actuellement en transit (ou sont arrivés, au choix du modo, et ce malgré la différence de 10 jours Irl entre la missive menkelt et la missive altrechtoise, laissant supposer de la mauvaise foi…) il est fort probable que les membres du B.N.E soient plus nombreux que prévus. Heureusement l’attrition et l’enfer logistique se profilant devraient jouer en notre faveur, las de perdre des dizaines d’hommes à cause de la famine ou d’attaques surprises d’un ennemi insaisissable et d’un continent de plus en plus hostile. De cette manière l’ennemi sera vite épuisé et le débarquement de quelques centaines de combattants monarcho-indépendantistes pour des opérations coups de poing face aux envahisseurs du B.N.E ne fera qu’achever leur désarroi. Ainsi, il faudra poursuivre le blocus jusqu’à ce que l’ennemi, vaincu sur terre, incapable de se replier, demande la paix pour sauver ses hommes. L’attrition peut devenir la meilleure arme des rebelles.

Évidemment, nous n’agirons que sur leurs ordres, et tant qu’ils nous demandent de ne pas faire feu, nous ne ferons pas feu. Notre stratégie dépend entièrment de l’assentiment des forces indépendantistes. Encore une fois messieurs, nous ne jouons pas en bordure de terrain, nous jouons avec les monarcho-indépendantistes et nous nous plierons à leurs ordres. C’est, encore une fois, la base de notre opération. Ainsi, ne provoquons personne et n’agissons que sur ordre des rebelles. Si nous devons faire feu, la faute devra nécessairement revenir au B.N.E. Tirer sur Marcine revient à tirer sur le Kah, tirer sur le Churaynn revient à tirer sur l’Azur, tirer sur l’Antérie revient à tirer sur Sylva. De cette manière, nous devons rester dans une posture purement défensive, et ce malgré le caractère intrusif d’une telle opération.

Évidemment, nous devons rester en constante communication avec les troupes antérienne et churayn. Le succès de l’opération repose entre autre sur la bonne intelligence de nos services stratégiques et sur notre capacité à collaborer activement. Ainsi, ce plan d’action sera aussi distribué en duplicata aux Churayns et aux Antériens. Nous les prions par ailleurs de nous fournir leur stratégie ou à défaut de suivre nos conseils ou bien s’inspirer de nos stratégies. Pour les côtes de la colonie du Grammatika.

Conclusion.

En résumée, notre objectif est de bloqué l’approvisonnement des troupes du B.N.E en encourageant les navires cargos à faire demi-tour. De par cette mesure purement défensive, qui éviterait que les insurgés n’aient à affronter des masses humaines trop nombreuses et trop bien équipées, Marcine et les coalisés comptent bien ne pas céder face à la tentative de répression féroce qui est actuellement en cours.

Nous pouvons pour ce faire compter sur un soutien aérien et naval conséquent. Tandis que des avions pourraient être mobilisés pour suppléer les bâtiments et les aéronefs encore en service. De plus, la base churaynne présente au Nésoï permettrait de ravitailler rapidement les aéronefs confédéraux.

Nous devons néanmoins garder à l’esprit que l’opération est avant tout défensive, et que des moyens diplomatiques permettraient au Grammarnazistein de céder tandis que l’Afarée elle-même pourrait se mobiliser en notre faveur. Il est aussi à noter qu’en cas d’attaque balistique, Marcine pourrait appeler son nouvel allié, en l’occurence le Kah, à l’aide, tandis que cette agression sonnerait comme une déclaration de guerre vis à vis de la Confédération et de ses alliés ainsi que pour les différents états coalisés. Ainsi il est nécessaire que l’utilisation de la force soit vue comme la dernière chose à faire pour pouvoir se riposter en état de légitime défense (chose capitale à rappeler aux Churayns !!)



Avec cette fiche de route dans les mains, les commandants se mirent en formation, le N.S.M Saint Michel en formation et prêt à dégainer ses armes anti-missiles tandis que les services diplomatiques marcinois se tenaient prêts à hurler à l’agression si un seul obus touchait les navires de la Confédération et à appeler les Kah tanais au secours si nécessaire.

Frégate de guerre de la Marine Confédérale

Annexe cartographiquePlan
- En noir la zone de blocus du Churaynn et de l'Antérie, (en attendant indication contraire de Djoko ou de Bob)
- En blanc, le trajet des avions de chasse, qui se relaient.
- En diverses nuances de bleu la force de la Marine Confédérale.
- En rouge (les traits longilignes), les deux principales zones de blocus, la fameuse stratégie à "deux lignes".

Seconde annexe cartographique"La stratégie de la flèche"
-En bleu,le Navire Amiral Confédéral.
- En noir, les corvettes escortant le Navire Amiral.
- En rouge, les vedettes rapides escortant les corvettes et chargées de lâcher les torpilles en cas de problèmes.

Forces ConfédéralesForce confédérales. a écrit :
- Une frégate de sixième génération, le N(avire de) S(a) M(ajesté) Saint Michel.
- les N.S.M Louis le Grand, le N.S.M le Resplendissant, le N.S.M Grandiose, le N.S.M Implacable, tous des patrouilleurs de sixième génération.
- Le N.S.M Kalindi et le N.S.M le Batailleur, tous des corvettes de troisième génération.
- Le N.S.M Fringant, pétrolier ravitailleur de première génération.
Soutien aérien.
-10 avions de chasse de sixième génération.
-10 avions bombardiers de sixième génération.
-10 chasseurs-bombardiers de troisième génération.

(1) : Afarée libre.
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Eurysiens, restez sages !
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Un chalutier provocateur...


Image du chalutier en question

Non loin des côtes de Gramatika se trouvait un chalutier altrechtois, un petit navire civil ayant, via l'entrée dans le BNE de Gramatika, été chargé d'appuyer les entreprises du pays dans les techniques de pêche.
Cependant, le blocus plus qu'inattendu a fini par isoler complètement le navire hors du blocus, sans moyen de retourner à bon port dans le territoire de Gramatika adjacent.
Ainsi, après une dure journée de pêche, le navire CIVIL battant pavillon de l'Altrecht et du Garmflüßenstein vient à la rencontre du blocus.

Par radio et physiquement, en s'approchant doucement pour ne pas effrayer les navires du blocus :

Guten Tag, hier ist der Fischtrawler „Hoffnung“ unter altrechter Flagge, wir kommen von einem Fangtag, der von Gramatika genehmigt wurde, wir sind vorschriftsmäßig und bitten um Durchfahrt, um gemäß internationalem Recht im Hafen von Gramatika wieder auftanken zu können. Wir sind Zivilisten und wünschen uns einfach, heute Abend unsere Kinder wiederzusehen, verstehen Sie uns?

Wir bestätigen, dass wir weder militärisches Material noch Soldaten an Bord haben und sind mit einer Inspektion einverstanden, falls erforderlich, alles im Rahmen des Seerechts.


En effet, les civils ne parlant qu'exclusivement allemand, la communication devait passer par un traducteur du blocus, s’il y en a un.
347
Un petit pas vers une Afarée libre.

Suite à un échange de messages entre Azif Oucondo, le colonel de l’Afarée libre et le ministère des Armées lors de la rencontre à Marcine, il a été décidé que la République démocratique d’Antérie enverrait une large flotte afin de participer à ce blocus. Cette flotte, dirigée par l’amiral Paul Pocotobo, se pliera à la stratégie marcinoise afin d’éviter tout problème.

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6990
Eurysian Boy Summer !


On peut imaginer la joie de ces jeunes soldats Menkiens de découvrir un tout nouveau continent ! Engagez-vous, ils disaient !



(La Rimaurie fera son post de son côté.)
Matos déployé ayant réussi à atteindre la colonie avant le début du blocus a écrit :9000 soldats professionnels]
9000 ALI lvl 11

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Plan d'action et objectifs des troupes impériales menkiennes sur place : EN COORDINATIONS AVEC LES FORCES DU B.N.E a écrit :

Première partie : Avant que le blocus ait eu lieu, préparation et mise en place d'une défense solide et déplaçable.

- Primo : étant donné le blocus à venir, une partie des troupes impériales menkiennes doivent se montrer rassurant dans un premier auprès de la population locale. Même auprès de la population indigène pas forcément favorable à la souverainété grammatikaine ou à toute présence eurysienne. Via ces interactions et les déplacements à la rencontre de la population, les troupes menkiennes se doivent de connaître le terrain qui les entourent via des guides. Effectivement, nos soldats, en connaisant les différents raccourcis et autres passages secret permettant d'adopter des tactiques de guerillas et de se déplacer d'un point A à un point B rapidement. Cependant, il faudra SURTOUT identifier les éléments loyaux aux régimes, chez les colons prioritairement, mais ne surtout pas négliger un potentiel soutien de la population afaréenne locale. Il faudra repérer également les potentiels agents doubles et les leurrer quant aux objectifs de notre corps expéditionnaire (Je développerai plus tard).
- Secondo : Pour ce qui est des forces indépendantistes, les troupes menkiennes devront traquer efficacement ces derniers. Cela passe par la mise en place de tactique anti-guerilla et checkpoints à des endroits stratégiques et une surveillance accrue de notre matériel militaire, de notre logistique et surtout des routes pour éviter de potentiels embuscades. Des leurres seront fabriqués pour pousser les rebelles à attaquer et les prendre en embuscade. Encourager à la délation, en récompensant financièrement les civils qui le feront. Des contrôles mesurés vis-à-vis de la population civile seront mis en place, les troupes devront faire en sorte de ne créer AUCUN ressentiment chez la population locale (Très important). Si les monarchistes-indépendantistes ne représentent pas une grande menace à l'heure actuelle, il n'empêche que ces derniers pourraient causer des dégâts non-négligeables si non pris en compte. Heureusement pour nous, la colonie Grammatikaine est un territoire relativement petit, en conséquence, nous pensons qu'il n'est pas insurmontable pour le B.N.E d'établir un contrôle total de la région. Nous pensons d'ailleurs que limiter certaines zones stratégiques aux civils (Le port de Derdendemdes par exemple) pourraient aider.
- Tertio : Des opérations de désinformation et de diversion devront être réalisés par les troupes Eurysiennes. Cela passera par la création, via nos ingénieurs militaires, d'unités fantômes au sein de la colonie, grâce à la mise en place de leurres et de simulation d'une fausse intensité dans le trafic radio. Des fuites contrôlées auprès des rebelles ou de potentiels espions repérés via la phase primo de l'opération seront établi pour leurrer les troupes afaréenne et les rebelles.
- Quatrièmement :une logistique implacable doit être mise en place. Avec le matériel adéquat, tout doit être fait pour les rendre les mouvements de troupes du B.N.E les plus rapides, fluides et efficaces possibles.
- Cinquièmement et dernièrement, surement une des phases les plus importantes à la préparation, c'est la transformation de la colonie grammatikaise en une forteresse imprenable. Avec le nombre d'homme déployé par le B.N.E, il est possible d'établir une défense solide, que ce soit à la plage, en ville ou en campagne. La construction d'abris contre les bombardements sera PRIMORDIALE.



Deuxième partie : Quelle préparation de la part des forces du B.N.E sur place en cas d'attaque afaréenne ?


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Scénario d'un bombardement avant une attaque :
- C'est ici que les leurres et autres diversions seront majoritairement utilisés, que ce soit de canons d'artilleries ou de véhicule en cartons vert/désert ou via les fausses informations que les rebelles vont donner aux Afaréens. Un bluff énorme, pas cher à réaliser et efficace pour qu'ils bombardent partout, sauf sur nous !
- Les troupes impériales devront rejoindre immédiatement leurs véritables abris et couverture pour éviter de potentiels bombardements meurtrier. Les véhicules seront camouflés et cacher dans des endroits.
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- Si jamais les bombardements touchent les populations civiles, il faut si possible filmer ces exactions et les diffuser sur internet pour alerter la communauté internationale sur les crimes et le danger impérialiste que représentent nos agresseurs.

Scénario d'une attaque ou/et d'un débarquement sur la plage :
- Pour rendre plus difficiles un potentiel débarquement, les plages seront évidemment minés.
- Le port de Derdendemdes ne sera pas minés, à la place, les navires civils restant et des endroits stratégiques du lieu seront piégés, avec des explosifs.
- Si une attaque se passe par la mer, ce qui est probable si un conflit généralisé s'ouvre, les troupes impériales devront défendre avec un acharnement la plage via l'utilisation de tous les moyens à leurs dispositions. Les différents régiments impériaux devront notamment utiliser à tout prix leur avantage sur le terrain.
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- Si le port de Derdendemdes est pris ou que les troupes afaréennes établissent une tête de ponts sur la côte ou à un quelconque endroit autour de la colonie, des opérations d'infiltrations et de sabotages auront lieu avec des troupes d'infanterie légère. Pour préparer cela, se référé à la phase primo de la première partie.
- Nos hommes devront se comporter comme des guerrilos. Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées


Troisième partie : Et après ?

- Ok, nous pouvons imaginer que le B.N.E réussissent à maintenir sa présence, ou que, tout simplement, il n'y ait tout simplement pas d'attaque afaréenne (Pour le moment), cela n'empêche pas cet état de fait, qui est que la position grammatikaine quant au traitement de sa colonie et des populations afaréennes présentes n'est pas tenable sur le long terme
- Churaynn n'ayant pas, visiblement, une tradition diplomatique très poussée, nous proposons d'établir un contact avec Marcine ou Antegrad pour établir un dialogue.
- Nous conseillons au gouvernement grammatikain d'immédiatement donner plus de droits aux populations natives, ou de le faire en échange de la fin du blocus. Un scénario possible serait la création de ce qu'on nommerait des homelands (En gros des Bantoustan sans les conditions de vies ultra-rudes mdr). C'est-à-dire la création de territoires jouissant d'un certain degré d'autonomie et de droits, des élections démocratiques pourraient s'y organiser. Garmflüßenstein s'appuiera sur des élites locales (Tribales ou non) pour diriger ces territoires et devra obligatoirement rendre égaux tous les habitants en droits pour garantir une certaine stabilité. La mise en place d'une égalité de droits devant la loi est à envisager sérieusement. Cette stratégie à long terme pourra permettre de garder un système ségrégationniste entre colons et locaux, sans pour autant subir une pression internationale immense et satisfaire la majorité des demandes humanistes de la communauté internationale et des Afaréens.



Conclusion :
Nous devons agir de façon à utiliser tout ce qui est à notre avantage pour établir une défense et infliger de lourdes pertes aux troupes afaréenne en cas de guerre. Le B.N.E doit montrer qu'il est ouvert à la diplomatie et aux compromis et qu'elle évite au maximum de ses moyens pour éviter une guerre.

Les forces militaires du B.N.E ne doivent absolument pas ouvrir le feu ou provoquer les forces ennemis, jusqu'au tir de la première balle, nous devons adopter une posture défensive et une diplomatie ouverte face aux forces afaréenne.







Pendant ce temps, chez la flotte menkienne... :

''Bon... On fait quoi maintenant ?'' lança un officier sur le pont de la frégate.

Le capitaine du navire baissa sa paire de jumellet et lança d'un ton extrêmement calme et serein.

''On attend et on fait comme ce qui a été prévu. Ils attaquent, on attaque. Ils font rien, on ne fait rien.
Oeil pour oeil, sang pour sang, dent pour dent, mal pour mal, bien pour bien.
Pour l'instant on reste les hommes les plus pacifiques du monde.''


Composition de la flotte maritime menkienne en Afarée a écrit :
- un patrouilleur lvl 6
- une corvette lvl 5
- une frégate lvl 4
- un navire cargo lvl 4
- un pétro-ravitailleurs lvl 5

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Une guerre longue...
...et coûteuse
Mais sachez qu’elle ne se fera pas en Afarée*.


Après la fin de la réunion, le Sadr envoya, après un petit appel au parlement, l’envoi de l’armée churaynn au Nesoi. Il fallait arriver bien avant les forces du BNE. Le Sadr savait que les forces du BNE devaient rester faibles dans la colonie du Garmflüßenstein. Ils étaient assez loin du territoire en question ; transporter des troupes et des armes allait sûrement leur prendre beaucoup de temps. Alors, après l’envoi des forces au Nesoi, on prépara un plan stratégiquement conçu pour observer la situation. Si navire du BNE, interception du convoi pour être sûr qu’il n’y a pas de quoi transporter des armes dangereuses. Du moins, ça, c’est la version officielle.

L’Empire islamique de Churaynn avait tout prévu, que ce soit pour défendre le territoire pendant l’absence de certains navires, d’une riposte ou même de l’interception. Tout devait être minutieusement fait pour ne pas que le plan tombe à l’eau. Ce soir-là, le Sadr n’avait pas beaucoup fumé. Même si ça le mettait en rogne d'être dans un très bon état de conscience, il devait rester le plus sobre possible pour ne pas se louper dans ses calculs. Les soldats churaynn quittèrent le territoire avant que le Sadr n’arrive à Walemir. Il décida de leur faire un petit message vocal à tous les soldats.

« Bonjour à vous, défenseurs de Churaynn.

Si vous êtes ici, c’est pour protéger nos frères afaréens souffrant au Garmflüßenstein. Vous devez montrer l’exemple, être serviables envers la population du Nesoi mais aussi envers nos alliés. Je veux que cette opération soit un succès sans précédent. C’est l’une des premières fois que l’armée churaynn est saisie pour se lancer dans une opération étrangère.

Je compte sur vous pour ne faire aucun cadeau aux soldats du BNE. Pensez à vos familles, à vos amis, à chaque fois que vous en voyez un. N’hésitez jamais. Car eux, s’ils avaient l’occasion de tirer, est-ce qu’ils hésiteraient ? Je ne pense pas !

Nos frères afaréens sont pris pour des esclaves, pour des animaux et des sous-hommes. Jamais je ne laisserai cela se faire sur le territoire afaréen. Trop de morts pour, à chaque fois, des Eurysiens qui nous détestent. Qui nous haïssent au plus profond de leur être. Ils n’auront, pour la plupart, aucune compassion envers vous.

Nous devons être redoutables. Être disciplinés. Être une Nation forte. Nous avons surmonté des crises diplomatiques, des guerres... tout ! Alors faites honneur à votre patrie ! Vous représentez le grand Empire islamique de Churaynn.

Cela nous préparera aussi à la guerre face à Cramoisie qui arrivera sûrement quelques mois après cette intervention. Profitez bien de cette petite simulation en temps réel. Faites de belles photos, surtout avec la population locale du Garmflüßenstein, nous les publierons dans nos réseaux pour montrer la force churaynn.

À tous ! À toutes ! Faites-moi jaillir le sang du BNE ! »


Photo derrière lui, un missile balistique apparaît.

« Ce missile balistique est la preuve qu’aucun ne touchera à vos familles. Il est la preuve que je vous garantis que vos familles seront protégées. Faites honneur à vos familles, qui veulent aussi que vous rentriez sains et saufs. Je le souhaite sincèrement aussi.

Aux médecins présents, je vous prie de bien vous occuper de ces soldats. Chacun veut rentrer sans se blesser ou avoir de lourdes cicatrices.
Aux stratèges, employez les meilleures stratégies possibles ! Je ne veux pas de blessés ni de morts !
Aux soldats, travaillez ensemble pour permettre une décolonisation simple de l’Afarée.
Aux généraux présents, protégez-moi bien tous vos soldats, vous portez le poids de cette mission.

De plus, des ONG ne vont pas tarder à vous rejoindre, pour qu’après, les habitants de la colonie du Garmflüßenstein aient les meilleurs soins possibles.

Je vous quitte, en espérant vous voir tous défiler, sans blessure, sans mort, heureux et triomphants à Walemir.

Au revoir ! »


auteur a écrit :
Plan stratégique pour la colonie du Garmflüßenstein

1er. Objectif principal
• Patrouiller efficacement le territoire assigné (zone marron) pour assurer la sécurité et la surveillance en attendant l’arrivée des renforts (Empire Confédéral Uni-Marcine et Antérie).
• Appliquer la dissuasion de façon mesurée mais ferme : infliger des pertes sévères aux forces ennemies du Bloc Nationaliste Eurysien en cas de provocation, violation du territoire du Nesoi, attaque envers les navires churaynn ou refus d’interception des navires.
• Prévenir toute tentative d’attaque contre les territoires churayns voisins (Azur, Fortuna, Teyla, Tanska).

2. Analyse rapide du terrain et de l’environnement du Garmflüßenstein
• Terrain : colonie peu développée, type Afarée noire, difficile pour l’installation de structures lourdes.
• Ennemis principaux : Altrecht, Rimaurie, Garmflüßenstein et Menkelt (Organisation du Bloc Nationaliste Eurysien).
• Alliés : Antérie, Azur et Empire Confédéral Uni(Marcine).
• Points clés :
◦ Base militaire churaynn au Nesoi (point orange).
◦ Zone de patrouille en marron, espace maritime et côtier.
◦ Zone très refermée, rendant presque impossible la fuite.

3. Forces disponibles

• Navales :
◦ 1 frégate (6e génération) – Commandement et frappe principale sur le Bloc Nationaliste Eurysien.
◦ 1 corvette (3e génération) – Protection et reconnaissance proche des eaux du Nesoi (point marron).
◦ 5 patrouilleurs (4e génération) – Surveillance et interception du Bloc Nationaliste Eurysien.
◦ 4 vedettes (5e génération) – Patrouille rapide et reconnaissance proche de la base.
◦ 1 pétroliers-ravitailleurs (4e génération) – Support logistique pour une autonomie prolongée, permettant à l’opération de durer le plus longtemps possible.

• Terrestres :
◦ 200 soldats churayns, armés de :
▪ 900 armes de 10e génération (après l’arrivée de toutes les troupes + armes plus fortes données aux indépendantistes si défaite ou combat presque perdu d’avance).
▪ 300 armes de 9e génération (stockées pour être données aux indépendantistes).

4. Tactiques
Création d’une pression contre le Bloc Nationaliste Eurysien : économique, diplomatique et militaire.

• Diplomatie internationale : jouer sur les relations des membres du protocole pour montrer notre influence. Voici un petit document des pays qui pourront potentiellement participer à la pression :

Probable réaction des pays

• Wanmiri : a condamné l’esclavage au Garmflüßenstein. Acteur très influent au Nazum ainsi qu’en très bonnes relations avec l’international. Chance quasi nulle d’une intervention militaire. Sûrement des sanctions économiques.

• Fortuna : alliée de Churaynn, connaissant à peu près les futurs événements, elle va sûrement réagir (sûrement pas militairement mais par usage de son influence). Politique de l’autruche tout au long du blocus.

• Royaume de Teyla : allié récent de l’Empire, va sûrement permettre d’avoir une grande pression sur le Bloc Nationaliste Eurysien. Acteur de l’Organisation des Nations Démocratiques, il pourra prévenir ses alliés pour que la pression soit la plus forte possible. Très peu de chance pour l’utilisation de la force militaire ; conflit avec Carnavale.

• Tanska : aussi un allié récent de l’Empire. Va sûrement condamner le Bloc Nationaliste Eurysien pour avoir soutenu un régime esclavagiste. Condamnation économique et diplomatique quasi sûre. Quant à l’utilisation de la force militaire : occupée avec le conflit avec Carnavale.

• Bergrun : pays qui a condamné l’Altrecht. Va sûrement encore condamner le Bloc Nationaliste Eurysien pour avoir (dans un futur certain) attaqué les navires churayns.

• Sylva : membre de l’OND. Politique de l’autruche. Va sûrement simplement regarder. Occupée elle aussi avec Carnavale.

• L’Azur : alliée de Churaynn. Discours ainsi que sûrement des missives de soutien envoyées aux participants du protocole. A pour but la résolution pacifique mais peut s’appuyer sur sa force dissuasive balistique. Très peu de chance que sa force balistique soit montrée.

• Karty : ne va sûrement pas s’ingérer si le conflit est en Afarée. Le conflit sera déplacé aux portes du Bloc Nationaliste Eurysien, donc en Eurysie. Les Kartiens aiment la guerre, ils vont sûrement s’ingérer d’une manière.

• Velsna : aucune relation avec Churaynn. Pratique la politique de l’œil-film (qui consiste à regarder et ne rien faire). Des menaces si le conflit s’approche trop de ses intérêts. Va « cafter » à Fortuna.

Finejouri : politique de l’autruche. S’il participe à l’opération, Churaynn décidera de diminuer conséquemment ses forces ainsi que son matériel, jusqu’à aller vers un arrêt total.

Ouwanlinda : condamnation des actes du Bloc Nationaliste Eurysien ainsi que des félicitations.

Confédération socialiste du Nazum : œil-film ainsi qu’une condamnation. Force militaire très limitée. Aucun acte militaire n’est à envisager. À noter qu’un des membres possède une colonie à quelques kilomètres, donc peut-être une petite ingérence.

• Bombardement ciblé : lancer des frappes limitées et chirurgicales pour infliger un coût maximal au BNE, particulièrement à l’Altrecht.

• Interception navale :
◦ Patrouilleurs espacés de 50 km – couverture radar complète de la zone.
◦ Chaque navire est responsable de sa section et peut alerter la frégate pour intervention rapide.

• Dissuasion :
◦ Phase 1 : surveillance et communication – avertissements diplomatiques.
◦ Phase 2 : interception et frappes de précision si violation de la force churaynn.

• Protection des territoires churayns :
Soumission posée approximativement aux coordonnées suivantes : XXXX.
Soumission devra lancer des frappes consécutives si non-respect de l’autorité churaynn.
◦ Demande d’aide des pays alliés pour avoir une protection maximale et dissuasive.

5. Plan d’action détaillé

Phase 0 : Préparation
• Ravitailler tous les navires au Nesoi, vérifier les systèmes radar et armements.
• Briefing complet des soldats sur les règles d’engagement et protocoles d’interception.

Phase 1 : Patrouille et surveillance
• Frégate – force centrale de commandement et intervention rapide.
• Patrouilleurs – espacés de 50 km le long de la côte et zones d’approche probables du BNE.
• Vedettes – patrouille rapide, reconnaissance des zones peu surveillées ainsi que de la base.
• Corvette – défense rapprochée de la base au Nesoi et assistance aux patrouilleurs si besoin.
• Objectif : détecter toute présence ennemie avant qu’elle n’atteigne le territoire du Garmflüßenstein.

Phase 2 : Interception et dissuasion

• En cas de violation :

◦ Frégate lance frappes ciblées sur forces ennemies en mer.
◦ Patrouilleurs et vedettes interceptent et neutralisent les unités ennemies.
◦ Tactique : vedette (et un patrouilleur) qui va attirer les navires du Bloc Nationaliste Eurysien dans un endroit isolé, puis les navires de guerre s’en chargeront (si une flotte gigantesque).
• Si ennemi persiste : bon coup de fessée = perte sévère pour le Bloc Nationaliste Eurysien.

Phase 3 : Protection des territoires churayns
• Vérification constante des frontières des territoires par les renseignements ainsi que la future présence de l’Azur, Fortuna, Teyla, Tanska.
• Patrouilles rapides et communication continue pour être sûr qu’aucun membre du BNE ne s’attaque à Churaynn.
• Si attaque : lancement de la force balistique : 30 missiles sur les bases militaires, 15 sur la maison du dirigeant du pays. Préparation des silos au cas où.
• Intervention immédiate par la pose de mines (en construction) :
Mines placées sur les plages avant le débarquement des forces ennemies. Alerte de la population.

6. Logistique et soutien
• Pétroliers-ravitailleurs – ravitaillement continu en carburant et munitions.
• Base du Nesoi – stock de munitions, armes de remplacement et renforts terrestres présents dans quelques jours.
• Rotation régulière des soldats – éviter la fatigue et maintenir la vigilance maximale.

7. Objectifs secondaires
• Démontrer la puissance de Churaynn.
• Recueillir des renseignements sur le Bloc Nationaliste Eurysien et ses alliés.
• Préparer les forces churayns ainsi que la population à la guerre face à Cramoisie.

Pour le Parlement impérial, pour l’Empire islamique de Churaynn

Signé :
Empereur : Sayyid Salahuddin
Sadr : Malsiento Yazido
Haut Coordinateur de la Haute Instance Impériale de Coordination : Aït-Oussou Mohamed
Président du Parlement Impérial : Dahihoun Daoud
Porte-parole des Délégués de Sudéiss : Moudjahid Ahmad
Porte-parole des Représentants Maqduris : Cheikh Haroun
Porte-parole des Délégués de la Grande Province : Fariq Jalid Ar-Rouhan
Porte-parole des Représentants de Yuthipista : Zahra Omeyla Daryan
Coordinateur des armées : Boka Juny
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Garmflüßensteinerisches Staat - Offizielle Verlautbarung

Des afaréens s'en prennent à la patrie de la liberté et des droits humains


Alors que nous avions fait, il y a peu, l'immense concession d'accepter la venue d'une organisation se disant "non-gouvernementale" sur le sol de l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise (et que cette prétendue ONG était en fait un organe de propagande churayne à peine déguisé), les afaréens décident de nous attaquer sans aucun fondement !

Ces pays remplis de gens malhonnêtes et malfaisants, qui pensent peut-être faire le bien chez eux, mais ne sont pas capables de faire la différence entre une démocratie pleine et fonctionnelle comme le Garmflüßenstein et des dictatures monarchistes ou communistes comme la Kaulthie ou l'Altarie ! Ces pays impérialistes surtout, qui veulent porter atteinte à la souveraineté de notre pays pour des prétextes inventés ! Nous n'allons pas nous laisser faire.

Nous tiendrons le coup au travers de cette difficile épreuve, grâce au patriotisme des citoyens de NOTRE Afarée Centrale Garmflüßensteinoise. Ils devront peut-être se serrer la ceinture dans les temps qui viennent, car ces sauvages afaréens tiennent un blocus naval qui nous empêche de leur envoyer tout ce dont ils ont besoin, mais c'est un sacrifice qu'ils pourront se permettre, car l'Afarée Centrale Garmflüßensteinoise est fertile. Nous ferons planter de nouveaux champs, et la population ainsi que ses braves défenseurs rimauriens, menkiens et altrechtois du Bloc Nationaliste Eurysien pourront dormir l'esprit tranquille, sans avoir à se soucier de ce qu'ils mangeront le lendemain.

Ces impérialistes afaréens souhaitent donc affamer des populations civiles, ce qui va à l'encontre de tous les principes de la démocratie ! Ils ne respectent rien, et iront bientôt jusqu'à coloniser notre terre au nom d'une prétendue liberté. Mais ils trouveront de la résistance. Personne au Garmflüßenstein ne se rendra sans combattre.

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