Activités étrangères en Myènè

Activités étrangères en Myènè.
Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Myènè. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur du Myènè, sinon quoi ils pourraient être invalidés.

Fermeture et renforcement de la frontière


La République démocratique d’Anterie a annoncé la fermeture totale des 577 kilomètres de frontière séparant l’Anterie du Myène. Le gouvernement antérien a expliqué que cette décision est motivée par la guerre en cours au Lumyènè et vise à empêcher toute infiltration sur le territoire antérien de la part des groupes terroristes putschistes susceptibles de déstabiliser la nation. Cette mesure a également pour objectif de stopper l’immigration illégale de centaines de réfugiés myènès vers l’Anterie.

Dans la région du Sud-Anterie, exclave antérienne située au sein de l’État myènè, l’alerte a été élevée, un couvre-feu à 23 heures a été imposé aux civils et la mobilisation des troupes sur place a été décrétée. Les 3 200 soldats déjà présents ont reçu pour consigne de rester en état de vigilance accrue.

Par ailleurs, l’Anterie ne se limite pas à fermer sa frontière avec le Lumyènè, elle la renforce. Dans toutes les bases militaires de la ville de Port-Waji-les-Golfes, plusieurs centaines d’hommes et plusieurs dizaines de véhicules ont été mobilisés. L’armée a également déployé des bulldozers (emprunté à l'Edango) afin de préparer la construction de fortifications. L’objectif du gouvernement est d’ériger, en l’espace de 5 à 10 mois, une première clôture surmontée de barbelés, érigée à environ un kilomètre de la frontière effective. Celle-ci reposera sur un socle en béton enfoui à 1,22 mètre de profondeur pour évité la construction de tunnel. Derrière cette ligne, huit tours militaires de 6,45 mètres de haut, espacées de 30 kilomètres, seront installées, accompagnées d’une seconde clôture également surmontée de barbelés. Entre les deux clôtures, une centaine de mines antipersonnel seront disposées à des coordonnées précises. Un projet coûteux et difficile, mais jugé nécessaire au vu de la situation actuelle au Myène.

Enfin, les villages frontaliers d'Aznourk (78 habitants) et de Mobalalé-la-Baie (130 habitants) ont été partiellement évacués. Leurs habitants ont été relogés dans des villages voisins afin de permettre l’installation d’une partie des troupes, ainsi que le stockage de matériel et de véhicules militaires.

Effectifs engagé (Sans la région de Sud Anterie (Exclave)): a écrit :
-1 800 soldats professionnels
-1 800 armes légères d’infanterie niveau 10
-500 mitrailleuses lourdes niveau 6
-140 mitrailleuses lourdes niveau 7
-10 lance-roquettes niveau 9
-10 lance-missiles antichar niveau 7
-7 transports de troupes blindés niveau 5
-7 véhicules de combat d’infanterie niveau 3
-10 chars légers niveau 1
-10 camions de transport niveau 5
-3 camions-citernes niveau 2
-4 hélicoptères d’attaque niveau 1
-100 mines antipersonnel

Communiqué de l’État-Major Royal de Finejouri
L’État-Major Royal et ainsi que les services de renseignement suivent avec une profonde préoccupation les événements survenus en Myènè et la proclamation récente de la soi-disant République ngwè-myènè par les forces putschistes.

Le Royaume de Finejouri, fort de son histoire marquée par la lutte contre les coups de force et par le choix constant de la légitimité et du droit, ne peut rester indifférent face à cette évolution. Nous rappelons que les instigateurs de ce putsch portent un lourd passé, fait de violences et de divisions, et que leur revendication d’incarner la voix du peuple ne saurait effacer les méthodes illégales et sanglantes par lesquelles ils se sont imposés. Finejouri exprime son inquiétude quant à la fragilité de la paix proclamée et au risque de voir s’installer un régime bâti sur la force plutôt que sur la légitimité et la réconciliation. Nous réaffirmons que seule une solution politique, respectueuse de la souveraineté du peuple myènè et de ses institutions, peut garantir une paix durable et une reconstruction véritable.

Le Royaume de Finejouri appelle donc l’ensemble des acteurs concernés à la retenue, au respect du droit, et à engager sans délai un processus de dialogue sincère et inclusif. Notre Royaume, fidèle à sa mission de médiation et de paix, restera attentif à l’évolution de la situation et se tient prêt, si cela lui est demandé, à contribuer à toute initiative favorisant la stabilité régionale et la réconciliation du peuple myènè.

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Appel à l'Afarée


L'Antérie, le Finejouri et l'Azur appellent à la réunion de tous les Etats afaréens au sein du Pacte fondé le 21 novembre 2016 dernier. Trop de guerres intestines, de massacres impunis, d'injustices, d'ingérences et d'impuissance supportés par l'Afarée, le plus grand continent, le plus ancien et le plus jeune continent de l'Humanité, doivent laisser place à une ère nouvelle. Cette ère sera celle de la souveraineté reconquise et de la puissance affirmée. Elle sera celle de la paix entre nos Etats, de la coopération et de la diplomatie. Elle sera celle de la décolonisation et de l'éradication de l'impérialisme. Elle sera le fruit des efforts concentrés et d'un travail patient ; le Pacte afaréen de sécurité est l'enceinte où ce travail peut être mené. Ni une alliance rigide, ni un mot creux, le Pacte est un espace par et pour les Afaréens, et le lieu de règlement des crises communes. Tous les Etats afaréens capables d'affirmer les valeurs d'indépendance, de paix et de solidarité afaréenne sont appelés à rejoindre le Pacte de sécurité, en signant la Charte qui nous liera comme une feuille de route, un engagement.

Trop longtemps les vœux pieux, les phrases creuses, les tentatives vaines ont comblé de leur inertie les aspirations de nos peuples à la solidarité, et l'intérêt supérieur de nos pays s'est trop souvent contenté de demi-assurances et de précaires équilibres, dépendant des grandes puissances étrangères pour la défense de son propre voisinage. L'Afarée doit reprendre ses droits chez elle et affronter la réalité en adulte.

Nous appelons solennellement tous les Etats afaréens souverains, qu'ils nous aient ou pas témoigné de leur solidarité, à nous rejoindre définitivement par la signature de notre Charte. L'Ustyae Cliar Sochacia, la République du Banairah, l'Empire islamique du Churaynn, la République faravanienne, les Tamurt N'Althajj, le Royaume de la cité du désert, la République sacrée et universaliste de la Mandrarika, la République d'Ouwanlinda, l'Île Démocratique d'Anna, la République anterienne côtière d'Ëdango, la Commune de Jadida, la République du Bajusid, le Royaume d'Ameria, le Royaume de Myènè, l'Etat azzymérien, l'Union des Corporations du Phéniskus, la République Fédérale de Kéran, l'Empire Kémimide, la Cité de Qadisha, la République de Kwesara, l'Empire sarranide et l'Empire tikarite sont ainsi invités à nous rejoindre.