26/05/2017
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Fiche pays : comprendre Myènè depuis le commencement

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Création de pays : MYENE


Généralités :



https://i.ibb.co/5gQTSWj6/image.png

Nom officiel : Lumyènè (légitimistes) | Repubblica di transizione di Myènè (putschistes).
Nom courant : Myènè.
Gentilé : Myènè (singulier), myénés (pluriel).

Inspirations culturelles : Beau Gabon, belle Ethiopie, beau Mali, beau Kongo, belle Guinée Equatoriale, beau Cameroun.
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : myènè (légitimistes) | visonzan (italien), teylais (français) et myènè (putschistes).
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Toutes.

Drapeau :
Drapeau des forces légitimisteshttps://i.ibb.co/spDtwLcC/idee-Myene.png.https://m.media-amazon.com/images/I/51QpjKJHFML.jpg
Drapeau des forces putschisteshttps://i.ibb.co/svc2Vcdr/image.png

Devise(s) officielle(s) : Tonnerre, lumière et sagesse se mélangent pour former la puissance. (Légitimiqtes) | Dialogue, Tolérance, Paix (putschistes).

Hymne(s) officiel(s) : Les forces légitimistes de Myènè ne possèdent pas d'hymnes officiels, mais quelques chansons cool, comme Asikwé.

Les forces putschistes de Myènè, quant à eux, possèdent bel et bien un hymne officiel :

Monnaie nationale : Au départ, à Myènè, le troc était le principal moyen d'échange. La colonisation velsnienne puis visonzane a introduit la monnaie, qui a prit, puis a été démocratisée jusque dans les villages. Actuellement, c'est l'Okori qui est la monnaie des forces légitimistes et des forces putschistes, produite par le centre monétaire d'Okori, actuellement sous contrôle légitimiste.

Capitale(s) : Lambaréné (légitimiste) | Mandji (putschistes).

Population : 69 595 937 habitants.


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Ere des Six Royaumes : Myènè, en formes longues Lumyènè (légitimistes) et Republique de Transition de Myènè (putschistes), est un État de culture bantoue principalement composé de forêt ; tournant essentiellement autour d'un grand fleuve : l'Ogwé, sa vallée — le bassin Okongo — et ses affluents.

Le prototype de civilisation myènè apparait avec les six premiers royaumes : Ogalya, Ekomi, Ompong, Owenga, Adzwumbaba et Egungu (dans les environs de 3 200 avant Jésus-Christ). Durant cette période, les six royaumes myénés s’affrontèrent, principalement pour le contrôle de l’Ogwé, des côtes, et des Grands Lacs, mais aussi dans le but de réunifier la Grande Myènè, selon le mythe fondateur de Myènè et Eyogwè (quej e détaillerais une fois en RP), tous deux considérés comme les parents du peuple myéné tout entier — et qui, dans certaines versions post-chrétiennes, seraient assimilés à Adam et Ève.

En -2 900 avant Jésus-Christ, une union entre Emèbwèbwèkèmèbwèbwènèkènkèmbwèbwèwèbwè II (myènè) et Ōkomōrikonomorolokoniyokolomotopono III (nyèbè) permis à Myènè d'obtenir le contrôle du royaume nyèbè et donc l'enclave qui va avec.

Au terme de l’ère des Six Royaumes, lors de l’Hectante-Union (en -1 900), tous les royaumes s’unirent lors d'Ombwèmwè, un processus de guerre "froide" par lequel un royaume peut annexer un autre royaume par un combat entre les deux dirigeants, et le rituel qui suit. Si le rituel ne suis pas le combat, alors la légitimité est nulle. Par d'habiles stratégies, Ogalya, et son souverain, l'emportèrent sur les autres royaumes lors d'Ombwèmwè, lequel se finit aux alentours de 1 900 avant Jésus-Christ, et à partir de ce moment débuta l’ère ogalyènne, qui dura de 1 900 avant Jésus-Christ à 971 avant Jésus-Christ.

L'Hectante-Union : Durant cette ère, la nouvelle entité myènè développa les mathématiques et les connaissances scientifiques, notamment grâce à l'exploration via la mer (au moyens d'immenses pirogues). Elle entra en contact avec de nombreux peuples des îles et des côtes ouest-afaréennes, puis, les explorateurs attinrent enfin la mer Leucytalée et le royaume de Qadicha, dirigé par le roi Salomon. Alors, après avoir été reçus avec hospitalité, et conscient du fait qu'ils se trouvaient déjà loin de leur maisons, les explorateurs décidèrent de rebrousser chemin, et, une fois rentrer, firent pars de leurs aventures au Gwi, qui décida de se rendre dans tous les grands royaumes visités avec sa fille, Tchaba. En terre qadichanaises, le roi Salomon en sa puissante capitale de Jérusalem tomba éperdument amoureux de Tchaba, et eurent un enfant : Mpèkèlèkè. Ce sera lui, après la mort de son grand-père et de sa mère, qui montra sur le trône myènè. Ce fut là le début de l’ère salomonide, qui s’étend de 971 avant Jésus-Christ à 1 832 après Jésus-Christ. Pendant cette période salomonide, le judaïsme fit son entrée, suivi plus tard du christianisme par voie maritime : Myènè devint alors le premier pays chrétien du monde, avec l’une des plus anciennes églises encore existantes à ce jour. Les conquêtes islamiques perturbèrent aussi les myénés, notamment à la frontière de l’actuel Antegrad, où l’armée du Gwi réussit à stopper l’avancée musulmane.

Ere Salomonide : 1832. Un certain Giorgio Trudiccino débarque sur les côtes de Myènè au nom du Sénat de la République des princes avec son armada d'une dixaine de navires en provenance de l'Ouwanlinda sous domination velsienne. Il entreprend alors, tel que chargé par ses supérieures, l'exploration de ces terres hostiles et nouvelles qui étaient autrefois inconnus des navigateurs de la République. Il était désormais temps pour eux d'explorer à nouveau au nom du Sénat de la République et de son trésors. Toutefois, Giorgio et sa flotte ne s'attendais certainement pas à ce qu'il allait voir. En effet, une grande citée fortifiée sur les côtes se dressait, bâtie dans une pierre aux couleurs de gueule. Un immense port, où stationnait des navires, qui n'avaient rien de navires de guerres et de batailles, comparables à ceux d'origines eurysiennes, ainsi qu'un fort fort peu modeste, visiblement abandonné, qui surplombait la ville en terre sur une colline stratégique. En accostant, Giorgio se fit accueillir par les représentants locaux, et l'on l'emmena, lui, et quatres de ces hommes vers le souverains : l'Oga de la ville, qui porte le nom de Mandji, et de la tribu des Nkembô : Rapotchômbo Onanga Tchango. Giorgi essaya de discuter du mieux qu'il pouvait avec le souverain, mais, même sans compréhension des deux parties, le souverain leur offrit son hospitalité et ils purent rentrer chez eux : Ainsi débuta l'occupation velsnienne de Myènè.
L'armée velsnienne rasa d'abords Mandji, qui devint un de leurs comptoirs. Ils prirent rapidement la côte et les grandes villes de la région mais furent rapidement confrontés à un grand obstacle. En effet, la forêt épaisse leur bloquais le passage, et jusqu'à la fin de leur occupation, cinq ans plus tard (en 1837), ils n'attendrons jamais le cœur du pays.

Malheureusement, le puissant empire millénaire fut vaincu et occupé pendant 5 ans, de 1 832 à 1 837.
Mais au terme de cette période, Velsna préféra se retirer, incapable de s’aventurer dans la savane, trop chaude et hostile, ou dans la forêt, trop dense et impénétrable.

Bien plus tard, en 1924, un nouveau colon vint s’installer à Myènè : Visonza. En effet, la jeune nation italienne cherchait à se couper quelques parts du gâteau de l’Afarée. Malheureusement, et certainement dû à son retard, elle ne ramassa que des miettes. L’un des seuls pays afaréens à ne pas encore avoir été colonisé était Myènè, dont la réputation de la forêt dite « impénétrable » faisait trembler les colons eurysiens. Les Visonzanes, afin d’entrer dans la cour des puissances coloniales eurysiennes, n’avaient d’autre choix que d’envahir cette nation chrétienne côtière.

La première tentative d’invasion fut un terrible échec : 100 prisonniers visonzanes sur 500 soldats envoyés. Le plus grand facteur d’icelui fut certainement l’orgueil des dirigeants ouest-eurysiens : en sous-estimant la puissance de cette nation afaréenne, ils ont causé leur propre échec et leur ridicule international. Ils ne referont pas deux fois la même erreur.

La seconde fut une brève victoire : les Visonzanes, plus nombreux (10 000 soldats envoyés), écrasèrent les forces de la côte. Il s’agirait maintenant d’entrer dans les forêts myénés. Les Visonzanes, à l’instar des Velsiens du XIXe siècle, possédaient une technologie plus avancée, ce qui leur permit de pénétrer, non sans mal, les puissantes forêts et les grandes savanes myénés.

À partir de ce moment, et ce jusqu’en 1931, les Visonzanes vont occuper Myènè et y perpétrer des actes génocidaires qui n’avaient jamais été vécus pendant l’occupation velsienne : les méthodes brutales (tortures notamment) et les chantages étaient au rendez-vous pour mater les indépendantistes.
Les Visonzanes tentent également d’éradiquer définitivement l’esclavage et abroger les lois féodales, dans la mesure où la lutte contre ces pratiques faisait partie des raisons invoquées par l’envahisseur pour justifier la guerre. Ces deux éléments restent les seuls aspects « positifs » de l’occupation.

Le début de la fin pour les Visonzanes commence par l’assassinat du Gwi myènè de l’époque, qui était, selon les colons, une figure trop unificatrice et pourrait devenir la tête de file des indépendantistes. Cela enrage les Myénés de tout le pays, et ils s’engagent alors dans le rang des indépendantistes afin de chasser les occupants de leurs terres : c’est le début de la Guerre d’Indépendance myènè. Les combats font rage, et l’équipement vieux et défaillant des Myénés est remplacé par leur nombre élevé et leur ferveur au combat. Au terme d’icelle, Visonza dépose les armes, et Myènè obtient son indépendance.

Après le départ des forces armées visonzanes, une crise arrive dans le jeune État myènè : quel régime adopter et qui le dirigera ? C’est ainsi qu’une guerre de pouvoir éclate entre les républicains qui veulent copier le modèle visonzane et les légitimistes qui veulent un retour aux sources. Aujourd’hui, les républicains ont été remplacés par des putschistes, qui veulent une république militaire. Les deux camps possèdent une surface similaire, et cherchaient à développer leur nation indépendamment, jusqu’à l’arrivée au pouvoir chez les putschistes d’Obiang, qui se veut unificateur des Myénés sous son régime dictatorial et répressif.

Mentalité de la population :
La société myènè est une société où l'individu est “effacer” au profit de la société dans laquelle il vit – son village, clan, royaume, empire... –, ainsi, il y a une forte unité entre les nombreuses populations... à une exception près. En effet, il y a une division entre les peuples des villes et des côtes, les peuples des lacs, et les peuples de l'intérieur des terres. Les peuples des villes considèrent comme “sauvage” (ici ne signifie pas qu'ils sont inférieurs, mais plutôt qu'ils sont différents et peut développés) les deux autres.

Place de la religion dans l'État et la société :
La religion joue, à Myènè, une place centrale. En effet, Myènè a été le premier pays chrétiens du monde, et la place de la religion dans les institutions est notable. Elle unit les peuples des villes, elle opère la justice, elle conseille les dirigeants, elle prophétise... Cependant, la religion chrétienne, qui est bien installé sur la côte et dans les grands lacs, n'a toujours pas, jusqu'à la colonisation visonzane et même encore aujourd'hui, pénétrés les grandes forêts de l'intérieur du pays.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

LEGITIMISTES
Le Royaume de Myènè est une monarchie héréditaire. Le nouveau monarque est toujours le premier enfant, male ou femelle, de l'ancien monarque. Le pays est composé de trois institutions principales : le Conseil Des Anciens (abrégé CDA), le Conseil auprès de Sa Majesté, et la Hiérarchie Monarchique (qui n'est pas vraiment une institution en tant que tel, on verra plus bas).

Conseil Des Anciens (CDA)
Le Conseil des Anciens (que je vais abréger CDA) est un organe très important, culturellement et institutionnellement parlant.
Le CDA réunit les plus âgés de chaque village (en fait, avant c'était la personne la plus âgée, mais, étant donné que la création d'un village ne dépend pas de l'état central, les plus vieux des nouveaux villages avaient souvent dans les 30-40 ans, ce qui est problématique, car ils n'ont pas assez d'expérience.
Alors, le père de l'actuelle Ngwè instaura un âge minimum de 70 ans pour y participer).

Il se réunit au minimum une fois par an, mais il peut être convoqué à n'importe quel moment par l'impératrice, un de ses membres, ou une personne ayant une haute charge ; il est à noter que les membres du CDA, lorsque convoqués, ne sont pas obligés de s'y rendre.
Ils le font par bonne convenance et par respect des traditions.

Le CDA a une fonction de gardien de la mémoire et de l'unité myènè, juste après la Ngwè. Il conseille les membres de l'Etat Impériale, la Ngwè/Gwi, et permet de recenser les villages de tout le territoire (leurs nombres et noms, car il n'y a ni GPS – difficile de cartographier la plus dense forêt au monde –, ni Internet).

Conseil auprès de Sa Majesté
Le Conseil auprès de Sa Majesté est l'organe qui rassemble les conseillers (Orewunu) et les ministres (Mwini).

Orewunu
L'Orewunu est une personne chargé par la Ngwè/Gwi, un Oga, ou autre de le conseiller. Icelui est choisi pour son expertise dans un domaine, et peut être renvoyé à tout moment. L'Orewunu d'un Oga et d'une Ngwè, par exemple, son égaux (ont le même pouvoir) en théorie, mais en pratique, il suffit que celui de la Ngwè ai suffisamment d'influence sur elle pour qu'il soit plus puissant qu'un Orewunu d'un Oga.

Mwini
Le Mwini est une personne mandaté par une Ngwè/Gwi, un Oga, un Kumu... afin de faire un tâche à sa place. En fait, il donne une partie de son pouvoir afin qu'il accomplisse une tâche. Par exemple, un Mwini des affaires de dehors pourrait lui-même rédiger, trier, et répondre aux missives sans l'aval de son Oga, sa Ngwè... Un mwini d'une Ngwè ou d'un Gwi est plus puissant que celui d'un Ôga.

Hiérarchie Monarchique
A Myènè, il y a une hiérarchie monarchique. Tout en bas d'icelle, se trouve les Kumu (Koumou, ou chef de clan) qui dirigent les clans, qui sont des familles très élargis – par exemple, les Akaza, Adjazi ou les Avandji (les noms de familles n'existent pas). Au-dessus des Kumu se trouvent les Oga (ou Roy), qui dirigent des tribus, des sous-genre d'ethnies – par exemple les Obyewa, Nkero. Au-dessus des Oga se trouvent les Ôga (ou Grand-Roy) qui dirigent les ethnies – par exemple, les Galwa, Nkomi, Mpongwè, Enenga, Orungu, Adyumba et enfin les Kinkomba. Au-dessu des Ôga, se trouve finalement les Ngwè ou Gwi selon le genre (respectivement femme ou homme). Il est tout de même à noter que ngwè, écrit avec une minuscule, peut servir de traduction pour “ancêtre” et “mère” (au sens de celle qui m'enceinte), et gwi, écrit en minuscule, peut être un adjectif que l'on met devant un nom pour y mettre du respect, par exemple pour une personne âgé.

Justice
A Myènè, il n'y a pas de prisons, de propriété privée, et la criminalité se trouve proche du zéro. Comment le pays a t-il réussi à avoir un banditisme si bas ?La réponse passe par plusieurs point :
  • La justice villageoise : A Myènè, il n'y a pas de tribunaux, mais la justice se fait par des assemblés dans chaque village. Il y a deux façons de juger quelqu'un lorsqu'il n'est pas possédé : la première consiste en le fait de l'isoler de la société. En gros, plus personne ne lui adresse la parole dans le ville, et font comme s'il n'existait pas pendant quarante jour voire plus. Cela met à sac son moral, et le dissuade de recommencer. Cette technique fonctionne car Myènè est une société ou le groupe est mit en avant par rapport à l'individu. La seconde consiste à rassembler tout le village et de commencer à complimenter le bandit. A tour de rôle, les personnes qui lui tiennent à cœur vont lui faire des déclarations tels “Onanga, tu étais un homme si serviable et gentil, tu avait été si gentil avec moi quand [raconte]. Comment as-tu pu faire ça ? Il faut se reprendre, tu n'es pas un mauvais garçon.” (c'est un exemple). Cela va faire culpabiliser la personne et va le dissuader de recommencer.
  • Maintenant, lorsque l'être humain est possédé par un esprit, on l'emmène à l'église où il est guérit d'icelui (je ne détaillerais pas ici le processus).

  • La justice citadine : A Myènè, pour rendre justice dans les cités, l'on fait à peut près la même chose que dans les villages, mais à une échelle monstrueuse. Les centaines de milliers de personnes qui ne te parlent plus, ou des milliers de personnes qui te font culpabiliser... Pour faire ces “tribunaux populaires”, l'on réserve des place construites pour l'occasion ; il y a une carte de ces cartes dans le centre de chaque ville.

  • La justice religieuse : Il peut parfois arriver que, malgré tout cela, la personne, visiblement trop influencée par ces eurysiens, décide de persister. Dans ce cas elle est emmené de force à l'église, afin de se faire guérir par les prêtres.
  • PUTSCHISTES
    Le côté putschiste de Myènè est mené d’une main de fer par Obiang et son système.

  • Exécutif : Dans la RTM, le pouvoir exécutif est détenu par Obiang Obiang et ses ministres, souvent issus de l’armée.

  • Législatif : Le pouvoir législatif est détenu par Obiang Obiang, qui le délègue au Président du Conseil constitutionnel. Son parti, le PDM, possède 100 % du Parlement (qui est composé d’une chambre) et s’occupe de proposer des lois, qu’Obiang Obiang décide d’adopter en concertation avec son Conseil de vote.

  • Conseil de vote (CV) : Le Conseil de vote est l’organe qui vote les lois proposées par le Parlement, créé par Obiang Obiang pour alléger la tâche de vote des lois.
  • Judiciaire : Le judiciaire à Myènè est géré par le Conseil constitutionnel (CC), qui est dirigé par le Président du Conseil constitutionnel. En réalité, icelui est une façade et ne sert à rien, si ce n’est à payer des proches d’El Presidente à ne rien faire, d’autant plus que le pays ne possède pas encore de Constitution.

  • Principaux personnages :


    Politique internationale :
    Les forces légitimistes de Myènè ont une politique internationale anticolonialiste (qui s’explique par l’occupation brutale eurysienne), et prônent une Union Afaréenne face aux invasions de l’Eurysie.

    Les forces putschistes, quant à elles, n’omettent pas de collaboration avec les anciens colons, tant que cela est bénéfique à la nation, même si cela est généralement utilisé en dernier recours.
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