22/02/2018
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[DIPLOMATIE] Orévuni ipèsioghènda

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Armoiries du Grand Oghat Myènè

Orévuni ipèsioghènda
Ministère des Affaires étrangères


Portrait d'Aworè Wôrô.
Monsieur Aworè Wôrô, Orévunu ipèsioghènda (Ministre des Affaires étrangères).


Chers diplomates et diplomates,
Excellences et distingués personnages,

Vous voici présentement dans le principal lieux pour entrer en communication avec le Grand Oghat. C'est ici que vous demandez un échange d'ambassade, et que vous adresserez vos lettres de créance, doléances et autres demandes diplomatiques à l'Orévunu ipèsioghènda, Aworè Wôrô, mandaté par Antchuwè Kowè Rapontchombo.

Il vous faut décliner votre identité, votre (ou vos) Etat(s) de provenance et si oui ou non vous travaillez pour l'un d'entre eux (si vous ne travaillez pour aucun des deux, donner les coordonnés de votre patron), la date de délivrance de la missive ainsi que l'adresse. Toute demande ne respectant pas le format ci-contre énoncé sera ignorée.


Adresse :

Lambaréné,
Atongowangna après le feu rouge derrière l'université vers chez maman-gâteau.
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Communiqué solennel du Grand Royaume du Roi des Rois Kémimide
Maître de nombreuses nations, Souverain des peuples d’Afarée, des rives du Nadir aux hauts-plateaux de Tembouk, et des confins du monde

À l’attention de toutes les satrapies extérieures, enfants de l’Afarée

Peuples afaréens, souverains et conseils des royaumes et républiques qui bordent nos fleuves et nos montagnes, écoutez la parole qui émane du Trône : le Roi des Rois vous adresse, une invitation dont la dignité impose d’elle-même le respect, car elle procède de la responsabilité que nous partageons envers l’Afarée tout entière. Que nul n’y voie une main qui s’impose sur sa juridiction : vous demeurez extérieurs à l’Empire dans l’exercice de vos lois et de vos sceptres ; mais vous n’êtes pas étrangers à sa protection, car l’Empire vous tient en satrapies extérieures, membres reconnus d’un même corps historique et moral que le Roi des Rois s’est juré de garder. C’est en cette qualité, qui n’amoindrit ni votre honneur ni votre souveraineté, que Sa Majesté vous convie, avec solennité et bienveillance, à vous joindre sous son égide pour délibérer ensemble de ce qui, désormais, exige l’attention unanime de l’Afarée : le destin de la Kabalie.

Depuis des mois, la Kabalie endure l’épreuve, et chacun sait, sans qu’il soit besoin d’en noircir davantage l’encre, que la main de Carnavale pèse sur elle avec une brutalité dont le souvenir souillera quiconque aura détourné le regard. La Kabalie n’est pas une marge lointaine ni un litige d’érudits : elle est une part sensible de notre monde, un pivot de nos mémoires, un peuple dont la voix s’affaiblit sous la poussière des ruines et le vacarme des armes. Quand la Kabalie s’étiole, c’est l’Afarée qui se disperse ; quand la Kabalie est menacée, c’est la personne même du Roi des Rois qui est atteinte, car le souverain impérial n’est pas un simple monarque de frontières, il est le protecteur sacré des siens. Dès lors, persister dans le mutisme ou la solitude serait trahir l’évidence : aucun État afaréen ne peut, sans se renier, laisser ce peuple affronter seul la nuit qui se referme.

C’est pourquoi Sa Majesté vous invite à paraître, par délégation dûment accréditée, à une grande réunion tenue sous l’autorité du Trône, afin que l’Afarée, rassemblée, parle d’une seule voix. Il ne s’agit pas d’une tribune eurysienne (creuse) ni d’un décor de protocole, mais d’un moment grave où les souverains, dirigeants et leurs envoyés prendront, face et avec le Roi des Rois, la mesure des devoirs qui s’attachent aux liens de parenté politique que nous revendiquons depuis des siècles. Chacun sera entendu dans l’ordre, chacun exposera sans feinte la vérité de sa position, et tous, à la fin, auront à cœur d’ordonner leurs volontés pour que, de l’assemblée, sorte une parole ferme : une parole qui fixe la ligne d’action commune, qui établisse le secours immédiat, qui dessine la restauration possible, qui préserve la Kabalie des appétits étrangers et l’enracine, après l’orage, dans l’espace naturel de l’Afarée. Ainsi, l’on ne se contentera pas de commenter la douleur ; l’on se disposera à la soulager, par des voies concrètes de soutien humanitaire, de coordination logistique, d’accueil raisonnable des familles déplacées, de protection des routes, des ports et des greniers, et, si la sagesse collective l’ordonne, par l’appui diplomatique et économique susceptible de rompre l’étau qui l’écrase.

Que nul ne s’inquiète cependant d’y voir un empiètement sur ses prérogatives : l’Empire ne revendique ni vos sceaux ni vos lois ; il affirme la primauté d’un devoir de protection, et rappelle la hiérarchie morale qui unit l’Afarée autour du Trône et de vos indépendances. Cette hiérarchie n’humilie personne : elle ordonne, elle stabilise, elle garantit que la parole du Roi des Rois, lorsque les temps sont dangereux, demeure le point fixe vers lequel se tournent les regards. En conséquence, les échanges relatifs à cette réunion devront être adressés directement à Sa Majesté, selon le protocole impérial, dans les formes respectueuses qui sont dues à son rang ; pour ce qui touche à la sûreté des déplacements, à l’acheminement des délégations, à l’usage éventuel et strictement neutre des ports impériaux, il reviendra au Triumvir de la Guerre, Baruk Altemar, d’en fixer les modalités pratiques ; pour l’hébergement, l’intendance et la comptabilité des dépenses, le Triumvir du Trésor, Zakhna Mendel, arrêtera les dispositions nécessaires ; et pour l’ordre public, la circulation, la tenue des salles et la police des cérémonies, le Triumvir de l’Intérieur, Hadrien Sulkar, veillera, avec ses services, à ce que rien ne vienne troubler la dignité des travaux. Vous recevrez, en temps utile, les indications de date, de lieu et de rite, transmises par la diplomatie, et chacune de vos chancelleries saura reconnaître, dans l’invitation scellée du Sceau d’Or, l’empreinte du Trône.

D’ici là, Sa Majesté vous enjoint, avec la fermeté douce d’un père à ses enfants, de préparer la substance de vos positions : non des slogans, mais des engagements ; non des prudences qui masquent l’inaction, mais des offrandes de bonne volonté qui puissent être tenues sans péril pour vos peuples. Il s’agira d’envisager, avec lucidité, l’accueil provisoire d’une part mesurée des déplacés kabaliens selon les capacités de chacun, l’ouverture de couloirs humanitaires sous garantie commune, la création de fonds d’assistance placés sous la garde conjointe des satrapies extérieures et de l’Empire, la préservation absolue de la neutralité des zones mises à disposition par l’Empereur, neutralité sans laquelle toute aide se transformerait en prétexte de discorde, et enfin l’harmonisation des démarches diplomatiques afin que l’Afarée ne parle pas en chœur dissonant, mais comme une seule puissance aux voix multiples. Que nul n’ignore, en outre, que la dignité de cette œuvre tient à l’attitude de chacun : la courtoisie entre délégations sera observée avec une rigueur comparable à celle que l’on exige sur un champ de manœuvre ; toute offense au Trône, au peuple kabalien, ou à l’un quelconque des peuples afaréens, sera tenue pour une faute contre l’unité.

Si l’on vous invite, c’est parce que l’instant n’admet plus les demi-mesures. L’Afarée est plus grande que l’addition de ses frontières ; elle est une famille politique, un espace spirituel et historique dont le Roi des Rois est le garant. Répondre à cet appel, c’est vous hisser à la hauteur de votre propre histoire ; y manquer, c’est vous résigner à voir se défaire, morceau par morceau, ce que des générations ont patiemment bâti. Que chacun vienne donc avec l’assurance de son rang, avec l’humilité de celui qui sait ce qu’il doit à plus vaste que lui, avec le courage tranquille des gouvernants qui préfèrent la charge du devoir aux commodités de l’inaction. La Kabalie nous regarde ; l’Afarée nous regarde ; et le monde, qui nous observe, apprendra aujourd’hui si notre unité est un mot d’apparat ou une réalité capable de secourir les siens.


Scellé sous l’autorité de Sa Majesté le Roi des Rois, Protecteur des Peuples d’Afarée.


" Scellé sous mon autorité, "
Sa Majesté le Roi des Rois

Le Corps des Scribes transmet et porte foi au présent communiqué, et demeure à la disposition des satrapies extérieures pour toute correspondance relevant du protocole Impérial.
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Vu et s'en tape

Veuillez respecter les indications la prochaine fois.
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Organe Extérieur
Union Internationale du Communisme et du Socialisme



UICS


A Ré Ali Bóngo Ćamba


De Alan Kriven,
Citoyen de la République Populaire et Sociale d'Illirée,
Travaillant pour l'UICS

Ré Ali Bóngo Ćamba,

Nous avons traité votre missive avec une attention toute particulière, et, dans l'état actuel des choses, votre candidature à l'Union Internationale du Communisme et du Socialisme est en suspens. L'Union est le lieu de convergeance de nations ayant déjà embrassé la doctrine socialiste ; et, bien que nous respections les nations avec une volonté active de s'inscrire dans une politique populaire, nous ne pouvons les admettre qu'après que ce processus ait été mené à son terme.

L'UICS met cependant à votre disposition — à travers les moyens de la République Populaire et Sociale d'Illirée — des conseillers pour mener à bien la transition socialiste de la République du Ngwè-Myènè. Nous nous proposons également de mettre en place une Mission Temporaire d'Observation sur votre sol, dont l'objectif sera de s'assurer des conditions de vie des travailleurs et du peuple myènè durant la transition. Si la Mission considère que la République du Ngwè-Myènè a parachevé son passage au communisme avec maestria, votre candidature à l'Union sera reconsidérée sur base d'un rapport favorable de la Mission.

Pour le progrès,

Organe Extérieur de l'Union Internationale du Communisme et du Socialisme,
Temporairement basé au siège de l'OCDU à Utvir,
Illirée, le 23/10/2017
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Bureau des Affaires étrangères du Royaume de Finejouri

Chers homologue,

C'est avec joie mais aussi préoccupation que nous avons vue émerger votre nation sous un seul visage sur la scène international, de ce faite le Royaume de Finejouri aimerai organiser un échange de diplomate pour pouvoir mettre en place des ambassades et faire plus amble connaissance. Cependant Sa Majesté Louis II Roi du Finejouri et président du PAS aimerait organiser une visite d'état sur votre territoire ou si vous le souhaitez sur le notre pour discuter d'éventuelle accord mais aussi pour discuter des menaces actuelles et futur qui guette notre continent.

En attente de votre réponse.

Cordialement,

Mdm Linehart Conseillère au prêt de Sa Majesté sur les affaires étrangères
 logo affaire étrangère
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Finejouri : Votre requête est parvenue à votre homologue, Auorê Etuagali, Orevunu ipêsiogênda. Vous recevrez une réponse sous peu.
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UICS : Votre requête n'est pas parvenue à votre homologue, Auorê Etuagali, Orevunu ipêsiogênda. Vous ne recevrez pas une réponse sous peu.
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