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République Socialiste de Yashosie [appellation politique disparue en 2017]
[RP]Déroulée de la guerre civile
Posté le : 21 août 2025 à 15:10:36
Modifié le : 07 sep. 2025 à 00:50:54
158
Vous trouverez dans ce topic l’avancée et les actions importantes de la guerres civiles. Ces actions pourront être effectué par des partisans communistes ou par des partisans tsaristes.
Posté le : 21 août 2025 à 16:13:37
Modifié le : 23 août 2025 à 16:52:12
1653
19.05.2017, 11h57, Base militaire aérienne dans la périphérie de la ville de Vishtek.
— Putain ! Comment ça on repart déjà ?!
— C’est bon cette fois ce sera moins risqué, on va chez les yashosiens.
— On vas bombarder ?
— Avec l’attaque au sol, ouais. Sinon nous on vas juste voler au dessus de territoire communiste pour leur foutre la trouille.
— Comme les enculés de morznik ? C’est pas un peu risqué ?
— Tu rigoles ils ont même pas d’anti aérien…nous n’ont plus d’ailleurs. Faudrait peut être qu’ils y pensent, ça m’avait pété les oreilles leurs avions aux morznik.
— Ouais mais bon après on s’est bien vengé quand même. Imagine leur tête quand ils ont vus les affiches dans leur mer.
les deux soldats rigolent
— Bon on y vas ?
— Allez c’est parti !
12h18, décollage de l’escadron Skeshva.
Une fois arrivée au dessus du territoire contrôlé par les communistes, l’escadron se divise en 5 : l’avion d’attaque au sol se dirige vers la capitale et des infrastructures militaires communistes. Les 4 autres avions de chasses survolent les tranchés et positions communiste le plus près possible pour leur exploser les tympans.
Après une bonne heure ou deux, les avions militaires ont l’ordres de changer de trajectoire vers la base de Vishtek. Une fois de retour à la base, les 5 pilotes se retrouvent pour discuter de la missions qu’ils viennent d’accomplir.
— Et bah dis donc, comment ils sont mal en point ces communistes.
— Tu m’étonnes ! Personnes les soutiennent, 'fin si la CSN. Mais c’est super léger. Tout ce qu’ils font c’est juste nous provoquer mais ils les aident pas directement.
— Je crois bien que cette guerre est bientôt finie, je l’espère en tout cas.
— Parle pas trop vite mon grand. Tu verras que dans 1 semaines les communistes nous annoncent avoir trouvés des tanks pour leur armées !
— Bah oui bien sûr tu veux qu’ils les sortent d’où leur tank ? De leurs usines qu’on a bombardées y’a 2 ans ?
— Tu verras bien.
— Mais nan ! Regarde en plus on a plein d’armement qui arrive et de l’aide militaire par Slaviensk. On vas gagner c’est sûr, c’est plus qu’une question de temps !
— Putain ! Comment ça on repart déjà ?!
— C’est bon cette fois ce sera moins risqué, on va chez les yashosiens.
— On vas bombarder ?
— Avec l’attaque au sol, ouais. Sinon nous on vas juste voler au dessus de territoire communiste pour leur foutre la trouille.
— Comme les enculés de morznik ? C’est pas un peu risqué ?
— Tu rigoles ils ont même pas d’anti aérien…nous n’ont plus d’ailleurs. Faudrait peut être qu’ils y pensent, ça m’avait pété les oreilles leurs avions aux morznik.
— Ouais mais bon après on s’est bien vengé quand même. Imagine leur tête quand ils ont vus les affiches dans leur mer.
les deux soldats rigolent
— Bon on y vas ?
— Allez c’est parti !
12h18, décollage de l’escadron Skeshva.
Une fois arrivée au dessus du territoire contrôlé par les communistes, l’escadron se divise en 5 : l’avion d’attaque au sol se dirige vers la capitale et des infrastructures militaires communistes. Les 4 autres avions de chasses survolent les tranchés et positions communiste le plus près possible pour leur exploser les tympans.
Après une bonne heure ou deux, les avions militaires ont l’ordres de changer de trajectoire vers la base de Vishtek. Une fois de retour à la base, les 5 pilotes se retrouvent pour discuter de la missions qu’ils viennent d’accomplir.
— Et bah dis donc, comment ils sont mal en point ces communistes.
— Tu m’étonnes ! Personnes les soutiennent, 'fin si la CSN. Mais c’est super léger. Tout ce qu’ils font c’est juste nous provoquer mais ils les aident pas directement.
— Je crois bien que cette guerre est bientôt finie, je l’espère en tout cas.
— Parle pas trop vite mon grand. Tu verras que dans 1 semaines les communistes nous annoncent avoir trouvés des tanks pour leur armées !
— Bah oui bien sûr tu veux qu’ils les sortent d’où leur tank ? De leurs usines qu’on a bombardées y’a 2 ans ?
— Tu verras bien.
— Mais nan ! Regarde en plus on a plein d’armement qui arrive et de l’aide militaire par Slaviensk. On vas gagner c’est sûr, c’est plus qu’une question de temps !
Posté le : 24 août 2025 à 14:37:30
Modifié le : 28 sep. 2025 à 15:12:07
3108
Alentour de Makhatchkala, nord-Ouest de la Yashosie, territoire communiste.

Alors que des troupes tsaristes du 1er Régiment Varneli se déplaçaient lentement et secrètement dans les forêts enneigées et glaciales du nord de la Yashosie vers une base militaire communiste, ces derniers ne s'imaginait pas à recevoir une visite surprenante.
— Putain ! On s'les gèles ici !
— Je sais même pas pourquoi on est là, les tsaristes ils se concentrent sur la capitale nan ?
— J'en sais rien ! J'ai perdu ma capacité de réfléchir dans la neige je crois !
— Ah il est 7h05 ! A notre tour de faire la ronde. Espérons que ça nous réchauffe un peu. Aller venez soldat !
— J'arrive mon général !
Les deux hommes partirent avec leurs fusils sur l'épaule en direction du poste de surveillance. Là, ils burent un peu de vodka pour se "réchauffer le corps." Le général s'endormit au bout de quelques minutes seulement.
— Ah qu'est ce que vous tenez pas l'alcool mon général !
Ce qu'ils ne savaient pas c'est qu'en face d'eux, à seulement une dizaine de mètres se trouvait 2 hommes du 4e Régiment Snovir, un régiment de reconnaissance et de tireurs d'élites.
— Ils ne sont que 2 au poste de surveillance...et ils ont bu. Ils me semblent même que le plus gradés c'est endormi. Dit une voix provenant de sous la neige d'un des 2 hommes du régiment de reconnaissance au bout d'un talkie-walkie.
— Reçus. Ne tirer seulement si c'est nécessaire. Nous arrivons dans 4 minutes. Compris ?
— Affirmatif.
Le jeune soldat, toujours éveillé mais un peu saoul, entendit ces voix. Et ce précipita d'en informer son général, endormit à coté de lui.
— Général ! Pourquoi la neige parle kh...
C'était trop tard, un tireur d'élite avaient appuyés sur la gâchettes de son fusils de sniper. Le général, endormit par l'alcool ne remarque qu'à peine la mort de son collègue, seul de leger grognement de la part du général.
— On a du tirer, mais le général est toujours endormi.
— C'est pas possible vous pouviez pas être plus discret.
— C'est le soldat, il nous a entendu et il allait réveiller son général.
— Bon c'est pas grave. On est là dans 1 minutes.
— Reçus.
Moins d'une minute après, 130 hommes du régiment Varneli, un régiment d'infanterie légères spécialisés dans les zones enneigés. Ils arrêtèrent le général encore saoul et lancèrent l'assaut de la base. Aucune résistance ne se fit ressentir. En effet, les soldats communiste avaient été envoyés là en raison de la zone de conflit proche mais n'était absolument pas habitués au zone froide de la ville de Makhatchkala. Après la prise de possession de la base militaire, les forces armées rejoignirent une autre section des régiment de Varneli et Snovir. Ils s'étaient séparés pour pouvoir surveillés la ville de Makhatchkala.
Une fois regroupé, les forces armées rentrèrent dans la ville sous une ovation du peuple de la ville de 3 630 habitants. Les habitants entamèrent en cœur l'hymne national du tsarat. La vile de Makhatchkala était une ville qui elle non plus n'avait jamais accepté le communisme. Des regroupement et attaques contre les bâtiments militaire (Centre de formation et de recrutement) ainsi que les bâtiments municipaux y étaient fréquents.

La prise de cette ville continue l'annexion presque complète de la région, une de plus contrôlée par les tsaristes. Il ne restait désormais plus que le nord-ouest, une région très montagneuse, ainsi que le sud-ouest, une région très plate et dont les températures était plus élevés qu'ici ce qui aidera légèrement les communistes qui sont très présent dans cette zone et qui sont plus habitués à ces températures et ce climat.

Posté le : 27 août 2025 à 16:24:22
2240

— Tu le vois ?
— Nan toujours pas. On est sûr des renseignements ?
— Normalement oui.
— Comment ça "Normalement" ? C'est qui ce gars ?
— J'en sais rien mais tu te doutes bien que le général nous a pas envoyé ici pour rien.
Le silence s'installa de nouveaux autour des 2 hommes.
— Ah il est là ! Il viens de sortir de l'armurerie.
— Je l'ai sur ma ligne de mire. Je suis prêt à tirer.
— Nan attends ! Si tu fais ça maintenant, tout le monde le verra.
— Oui bah ils vont bien s'en rendent comptent un jour qu'il est mort.
— Ce que je veux dire, c'est qu'ils vont directement partir à notre recherche. Donc attend qu'il rentre dans un bâtiment ou qu'il soit seul et après on se tire vite d'ici. En plus il gèle ici !
— Okay j'ai compris.
Les 2 hommes se turent de nouveaux et attendent alors un moment ou le Général Makarov serait seul. Ce moment arriva après seulement 30 minutes où le général se retrouva seul en dehors de la base pour fumer une cigarette. Les snipers saisirent l'occasion.
— Maintenant tu peux y aller.
— Okay c'est parti !
L'homme se concentra un instant et tira une balle, une seule. Cette unique balle toucha le général en plein dans la tête qui s'écroula sur la neige maintenant tachée du rouge de son sang.
— Et hop un de moins !
— Aller dépêche toi ! Ils vont pas compter jusqu'à 10 pour que l'on partent. C'est pas les bisounours !
Les 2 hommes coururent alors un bon demi kilomètre puis montèrent dans un véhicule blinder léger blanc de première génération. Ils roulèrent jusqu'à la ville de Tsalgarouli sans s'arrêter. Une fois sur place, ils annoncèrent alors à leur général qu'ils avaient bien éliminés la cible ennemie. Le général les félicita et appella donc le président pour l'en informer de cette réussite majeur.
— Bonjour monsieur le Président, la mission est un succès, le Général Makarov est mort.
— Parfait ! Cette situation plongera le gouvernement tsariste dans la panique. Ils devront perdres du temps pour nommer un nouveau général au conseil militaire pendant que l'on pourra recharger notre arsenal voir même avancer.
Posté le : 28 août 2025 à 15:57:35
Modifié le : 29 août 2025 à 13:52:06
5668
Ville de Tsalgarouli


Après plusieurs minutes, les forces armées du 1er Régiment d’Assaut Urbain rentrent dans la tour. Ils pointent leurs armes sur le personnel et commence la procédure.
— Tout le monde à terre et les mains sur la tête ! Je veux voir les responsables des communications. Vous allez venir faire comme les autres mais dans une autre salle.
— Mais ils vont s'en rendre compte.
—On le sait ça. Fait juste ce qu'on te demande.
—C'est bon on peut leur donné l'ordre d'attaquer.
Après que la ville entière soit prise par l'armée, une brigade importante, principalement composée de blindés et de chars continuèrent leur routes vers le nord de la ville. Là où se trouvait la base militaire communiste ainsi que la seule réelle piste aérienne de tout le territoire communiste. L'arrivée fut brutale, la porte de la base s'ouvrit sous trois coup de chars légers. Une fois cette porte explosée, la colonne de blindés entra dans la base, trois chars légers, trois véhicules de combats d'infanteries et 2 transports de troupes blindés firent irruption dans la base, 600 soldats suivait derrière armés d'armes d'infanteries légères ou de mitrailleuses lourdes. Des échanges de coup de feu retentissait sur la piste d'atterrissage. Au bout d'une trentaine de minutes, ils en était finit des soldats communistes. Ils étaient tous morts. 500 soldats dont un général. Leur armes furent saisir ainsi que quelques blindés. La région du nord ouest venait d'être annexée. La seule piste d'atterrissage encore sous le contrôle des communistes venait d'être récupérés par les tsaristes. Ne serait-ce pas là une fin de guerre imminente. Si les alliés de la république socialiste de Yashosie n'agissait pas rapidement, ce serait la fin.

-500 soldats
-500 armes d'infanteries légères de niveau 1
-1 véhicules blindés légers de niveau 1
-1 véhicules transports de troupes blindés de niveau 1
-2 camions de transports de niveau 2
-50 partisans civils engagés dans le militaire
+1 véhicules blindés légers de niveau 1
+1 véhicules transports de troupes blindés de niveau 1
+2 camions de transports de niveau 2
Posté le : 06 sep. 2025 à 21:58:05
2805
Cette dernière partie inquiétait d'avantage le président que les autres tourmentassions. Il savait que si cette guerre venait à finir, il serait jugé et exécuté pour ses nombreux crimes contre l'humanités. C'est ce qu'il craignait le plus...et ses craintes allaient se réaliser, ou du moment à moitié.
— J'ai déjà éliminer par empoissonnement les quatre autres gardes du corps qui se trouvent dans l'avion.
— Parfait, nous sommes bientôt au dessus du territoire. L'itinéraire à bien été modifié vers la capitale discrètement. Le président ne se rendra compte que nous sommes à la capitale seulement lorsqu'il sera bâillonné.
— En parlant de ça, il est temps de le faire.
—Ivan ? Qu'est ce que vous faites ? Vous avez bu ?
— Non monsieur. C'est fini. Vous êtes entrain de vous faire arrêtez. L'armée tsariste à pris le contrôle de la capitale lors de votre doux séjours.
— Non mais enfin Ivan, j'aurai été au courant de ça enfin. Tu ne m'auras pas. Bonne blagu...
— Ferme ta gueule ! Pendant ton petit séjours de merde, on a pris possession du centres de communication et on les à coupés avec la CSN. C'est pour ça que vous êtes au courant de rien.
— Nan c'est pas possible. Vous mentez ! J'ai tout fait pour sauver ce pays et c'est comme ça que vous me remercier ?! Bande d'ingrat !
Il en était donc finit de la guerre civile. 54 ans de combat venait de s'achever dans un avion reliant la capitale de la Confédération Socialiste du Nazum, Catheringrad, et la capitale du pays anciennement appelés République Socialiste de Yashosie et maintenant nommé Tsarat Parlementaire du Khardaz.Il en était fini du régime de la terreur. Il en était fini des camps de concentration. Le peuple du Khardaz était enfin libre. L'avion atterrit dans la capitale, Kharinsk. A son arrivé, le souffle du peuple entier se coupa. Puis Ivan Olivki sorti de l'avion et hurla de toute ses forces une phrase que le peuple entier connaissait et avait entendu tant de fois :
Posté le : 28 sep. 2025 à 16:14:37
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Le bataillon de quinze (15) soldats avançait peu à peu dans la montagne, se dirigeant peu à peu vers la ville de Berdskervki. La route était abrupte, à moitié détruite par des bombardements des États membres de la Confédération socialiste du Nazum dans les années 1987. Cette confédération avait réussi à faire raviver une guerre quasiment terminée. L'horreur de la guerre était désirée et les victimes de cette dernière le sont aussi par leur faute. La guerre était finie et ils l'ont redémarrée…
Les quinze soldats arrivaient enfin dans la ville. La ville n'avait jamais vu d'homme étranger depuis bien longtemps. La ville était tellement isolée et fermée que personne ne savait que la guerre était finie et des soldats socialistes étaient encore sur place. Dès l'arrivée des soldats, des coups de feu retentirent, plusieurs coups de fusil résonnèrent. Fort heureusement, les fusils socialistes étant de très ancienne génération, ils s'enrouillèrent vite et la trentaine de soldats de l'ex-République socialiste de Yashosie furent abattus. Le silence revint. Seuls les pas des soldats du bataillon du 3ᵉ Régiment Tovren se faisaient entendre dans l'avenue principale de la ville de Berdskevki. L'on pouvait aussi entendre les soldats tsaristes ramasser les armes à feu, pour la plupart détruites ou fortement abimées. Les soldats attendirent dans les rues, ils patrouillaient lentement, toquaient aux portes et allèrent à la mairie de la ville, mais personne ne fut aperçu. Les soldats commencèrent alors à imaginer le plus horrible des scénarios qui s'était malheureusement produit dans de nombreuses villes ou de nombreux villages qui refusaient l'autorité communiste, une extermination entière des habitants. Les soldats désespéraient quand d'un coup une porte de la rue s'ouvrit. Un vieux monsieur en sortit. Il avança vers les soldats qui ressentaient un mélange de rassurement et de peur.
— Socialistes ? lança le vieil homme, légèrement apeuré.
— Non monsieur. Le régime de la RS de Yashosie s'est effondré il y a 2 mois. Vous n'étiez pas au courant ?
Le vieil homme s'avança vers eux sans répondre. Il scruta chaque insigne sur la tenue militaire du soldat qui lui avait répondu. Il aperçut le drapeau des armées tsaristes (fond noir avec trois croix orthodoxes et trois têtes de mort) ainsi que le drapeau du Khardaz. Il s'effondra de bonheur.
— Les tsa…les tsaristes ont gagn…gagnés ! Oh mon cher Khardaz !
Les habitants racontèrent alors les horreurs qu'ils avaient vécues. Le tir de missiles, les arrivées de soldats de la Confédération socialiste du Nazum, les arrestations des religieux et les tirs sur les personnes, et peu importe leur âge et leur sexe, qui refusaient de se soumettre à leur autorité répressive. Pendant plus d'une heure, les gens racontaient les horreurs que le communisme leur avait fait subir.
