09/10/2017
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[RP]Déroulée de la guerre civile

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Vous trouverez dans ce topic l’avancée et les actions importantes de la guerres civiles. Ces actions pourront être effectué par des partisans communistes ou par des partisans tsaristes.
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19.05.2017, 11h57, Base militaire aérienne dans la périphérie de la ville de Vishtek.

— Putain ! Comment ça on repart déjà ?!
— C’est bon cette fois ce sera moins risqué, on va chez les yashosiens.
— On vas bombarder ?
— Avec l’attaque au sol, ouais. Sinon nous on vas juste voler au dessus de territoire communiste pour leur foutre la trouille.
— Comme les enculés de morznik ? C’est pas un peu risqué ?
— Tu rigoles ils ont même pas d’anti aérien…nous n’ont plus d’ailleurs. Faudrait peut être qu’ils y pensent, ça m’avait pété les oreilles leurs avions aux morznik.
— Ouais mais bon après on s’est bien vengé quand même. Imagine leur tête quand ils ont vus les affiches dans leur mer.

les deux soldats rigolent

— Bon on y vas ?
— Allez c’est parti !

12h18, décollage de l’escadron Skeshva.

Une fois arrivée au dessus du territoire contrôlé par les communistes, l’escadron se divise en 5 : l’avion d’attaque au sol se dirige vers la capitale et des infrastructures militaires communistes. Les 4 autres avions de chasses survolent les tranchés et positions communiste le plus près possible pour leur exploser les tympans.

Après une bonne heure ou deux, les avions militaires ont l’ordres de changer de trajectoire vers la base de Vishtek. Une fois de retour à la base, les 5 pilotes se retrouvent pour discuter de la missions qu’ils viennent d’accomplir.

— Et bah dis donc, comment ils sont mal en point ces communistes.
— Tu m’étonnes ! Personnes les soutiennent, 'fin si la CSN. Mais c’est super léger. Tout ce qu’ils font c’est juste nous provoquer mais ils les aident pas directement.
— Je crois bien que cette guerre est bientôt finie, je l’espère en tout cas.
— Parle pas trop vite mon grand. Tu verras que dans 1 semaines les communistes nous annoncent avoir trouvés des tanks pour leur armées !
— Bah oui bien sûr tu veux qu’ils les sortent d’où leur tank ? De leurs usines qu’on a bombardées y’a 2 ans ?
— Tu verras bien.
— Mais nan ! Regarde en plus on a plein d’armement qui arrive et de l’aide militaire par Slaviensk. On vas gagner c’est sûr, c’est plus qu’une question de temps !
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"Général ! Pourquoi la neige parle khardaz"


28 mai 2017, 7h03,
Alentour de Makhatchkala, nord-Ouest de la Yashosie, territoire communiste.

1er Régiment Varneli

Alors que des troupes tsaristes du 1er Régiment Varneli se déplaçaient lentement et secrètement dans les forêts enneigées et glaciales du nord de la Yashosie vers une base militaire communiste, ces derniers ne s'imaginait pas à recevoir une visite surprenante.

— Putain ! On s'les gèles ici !
— Je sais même pas pourquoi on est là, les tsaristes ils se concentrent sur la capitale nan ?
— J'en sais rien ! J'ai perdu ma capacité de réfléchir dans la neige je crois !
— Ah il est 7h05 ! A notre tour de faire la ronde. Espérons que ça nous réchauffe un peu. Aller venez soldat !
— J'arrive mon général !

Les deux hommes partirent avec leurs fusils sur l'épaule en direction du poste de surveillance. Là, ils burent un peu de vodka pour se "réchauffer le corps." Le général s'endormit au bout de quelques minutes seulement.

— Ah qu'est ce que vous tenez pas l'alcool mon général !

Ce qu'ils ne savaient pas c'est qu'en face d'eux, à seulement une dizaine de mètres se trouvait 2 hommes du 4e Régiment Snovir, un régiment de reconnaissance et de tireurs d'élites.

— Ils ne sont que 2 au poste de surveillance...et ils ont bu. Ils me semblent même que le plus gradés c'est endormi. Dit une voix provenant de sous la neige d'un des 2 hommes du régiment de reconnaissance au bout d'un talkie-walkie.
— Reçus. Ne tirer seulement si c'est nécessaire. Nous arrivons dans 4 minutes. Compris ?
— Affirmatif.

Le jeune soldat, toujours éveillé mais un peu saoul, entendit ces voix. Et ce précipita d'en informer son général, endormit à coté de lui.

— Général ! Pourquoi la neige parle kh...

C'était trop tard, un tireur d'élite avaient appuyés sur la gâchettes de son fusils de sniper. Le général, endormit par l'alcool ne remarque qu'à peine la mort de son collègue, seul de leger grognement de la part du général.

— On a du tirer, mais le général est toujours endormi.
— C'est pas possible vous pouviez pas être plus discret.
— C'est le soldat, il nous a entendu et il allait réveiller son général.
— Bon c'est pas grave. On est là dans 1 minutes.
— Reçus.

Moins d'une minute après, 130 hommes du régiment Varneli, un régiment d'infanterie légères spécialisés dans les zones enneigés. Ils arrêtèrent le général encore saoul et lancèrent l'assaut de la base. Aucune résistance ne se fit ressentir. En effet, les soldats communiste avaient été envoyés là en raison de la zone de conflit proche mais n'était absolument pas habitués au zone froide de la ville de Makhatchkala. Après la prise de possession de la base militaire, les forces armées rejoignirent une autre section des régiment de Varneli et Snovir. Ils s'étaient séparés pour pouvoir surveillés la ville de Makhatchkala.

Une fois regroupé, les forces armées rentrèrent dans la ville sous une ovation du peuple de la ville de 3 630 habitants. Les habitants entamèrent en cœur l'hymne national du tsarat. La vile de Makhatchkala était une ville qui elle non plus n'avait jamais accepté le communisme. Des regroupement et attaques contre les bâtiments militaire (Centre de formation et de recrutement) ainsi que les bâtiments municipaux y étaient fréquents.

Force armées dans la ville

La prise de cette ville continue l'annexion presque complète de la région, une de plus contrôlée par les tsaristes. Il ne restait désormais plus que le nord-ouest, une région très montagneuse, ainsi que le sud-ouest, une région très plate et dont les températures était plus élevés qu'ici ce qui aidera légèrement les communistes qui sont très présent dans cette zone et qui sont plus habitués à ces températures et ce climat.

Nouvelle carte de découpe des territoires de Yashosie
Carte de découpe des territoires
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"Et hop un de moins !
Snipers communistes

Plaine enneigée a l'ouest de la ville de Makhatchkala
Deux tireurs d'élites de l'armée du régime communiste de Yashosie étaient allongés, tapis sous la neige en attente du moment opportun. Les deux hommes étaient près d'une base militaire tsariste où, d'après plusieurs semaines de renseignement et d'enquête, était présent unu des 4 généraux du conseil militaire tsariste composé du tsar et des 4 généraux les plus importants du pays. Si l'un des généraux venait à mourir, cela sèmerait la panique et le désordre chez les tsaristes. C'est pour cette raison que ces tireurs d'élites étaient là, ils allaient éliminer le Général Makarov.

— Tu le vois ?
— Nan toujours pas. On est sûr des renseignements ?
— Normalement oui.
— Comment ça "Normalement" ? C'est qui ce gars ?
— J'en sais rien mais tu te doutes bien que le général nous a pas envoyé ici pour rien.

Le silence s'installa de nouveaux autour des 2 hommes.

— Ah il est là ! Il viens de sortir de l'armurerie.
— Je l'ai sur ma ligne de mire. Je suis prêt à tirer.
— Nan attends ! Si tu fais ça maintenant, tout le monde le verra.
— Oui bah ils vont bien s'en rendent comptent un jour qu'il est mort.
— Ce que je veux dire, c'est qu'ils vont directement partir à notre recherche. Donc attend qu'il rentre dans un bâtiment ou qu'il soit seul et après on se tire vite d'ici. En plus il gèle ici !
— Okay j'ai compris.


Les 2 hommes se turent de nouveaux et attendent alors un moment ou le Général Makarov serait seul. Ce moment arriva après seulement 30 minutes où le général se retrouva seul en dehors de la base pour fumer une cigarette. Les snipers saisirent l'occasion.


— Maintenant tu peux y aller.
— Okay c'est parti !

L'homme se concentra un instant et tira une balle, une seule. Cette unique balle toucha le général en plein dans la tête qui s'écroula sur la neige maintenant tachée du rouge de son sang.

— Et hop un de moins !
— Aller dépêche toi ! Ils vont pas compter jusqu'à 10 pour que l'on partent. C'est pas les bisounours !


Les 2 hommes coururent alors un bon demi kilomètre puis montèrent dans un véhicule blinder léger blanc de première génération. Ils roulèrent jusqu'à la ville de Tsalgarouli sans s'arrêter. Une fois sur place, ils annoncèrent alors à leur général qu'ils avaient bien éliminés la cible ennemie. Le général les félicita et appella donc le président pour l'en informer de cette réussite majeur.


— Bonjour monsieur le Président, la mission est un succès, le Général Makarov est mort.
— Parfait ! Cette situation plongera le gouvernement tsariste dans la panique. Ils devront perdres du temps pour nommer un nouveau général au conseil militaire pendant que l'on pourra recharger notre arsenal voir même avancer.
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OPERATION VENGEANCE

9 juin 2017, 9h01
Ville de Tsalgarouli


Soldat de la brigade alpha du 1er régiment Datvi en direction du sud de la ville

Dans la nuit froide du mois de juin, un bataillon du 1er régiment Datvi avaient commencer son excursion dans les montagnes de l'ouest yashosien. Leur objectif, rejoindre la brigade du 3e Régiment Snota, déjà sur place depuis la matinée du 7 juin 2017. Une fois sur place, il donnerait les consignes à la brigade, les tireurs d'élites devront se placés sur les cols de la montagnes au plus près de la ville et pourront tirer sur tout soldat une fois l'ordre donné. Le reste de la brigade du 3e Régiment Snota, devrait monter les 3 mortiers légers et pourront les utiliser lors de l'assaut des forces armées tsaristes. Après les ordres donnés, les soldats de la brigade alpha du 1er régiment Datvi devront rejoindre la partie au sud de la ville. Quand l'ordre sera donné, la brigade de 50 soldats rentreront dans la ville par la partie sud, donna un effet d'encerclement au forces militaires dans la ville. En attendant, les hommes du régiment Datvi devait continuer leurs escalades dans les montagnes
Il est maintenant 3h12 dans la base militaire de Makhatchkala et une autre brigade fait son départ, cependant, cette fois, il s'agit d'un régiment entier qui part. Le 2e Régiment Kryrok, le régiment de d'infanteries lourdes et blindés spécialisé en montagne. Leur départ se fait accompagné de l'autre brigade du régiment Datvi, la brigade bêta du 2e régiment Datvi. Leur départ se fait par la seule et unique route qui relie la petite ville de Tsalgarouli vers le reste du pays. Cette route traverse les montagnes et les falaises, ce qui en fait l'une des routes la plus meurtrière au monde. Ainsi, les 23 blindés ainsi que 5 camion de transport et accompagné de 600 soldats armées d'armes d'infanteries légères de dernière génération ou de mitrailleuses lourdes d'avant dernières générations commencèrent leur périple vers la ville de Makhatchkala. Une fois arrivée, ils se posteraient non loin de la ville à 2 kilomètre et atteindront la confirmation de la réussite de l'opération menée par la brigade du 1er Régiment d’Assaut Urbain. Cette opération vise la tour Shovki, une tour appartenant au services de renseignements de la République Socialiste de Yashosie. Si cette opération est réussie, le contact avec la Confédération Socialiste pourra être coupée pendant un lapse de temps incertains. Ainsi, l'opération ne sera connue par la confédération que plusieurs heures après, voir même plusieurs jours.
Soldat contemplant la vue
Il est maintenant 9h00, un hélicoptère de transport moyen se fait apercevoir au dessus de la ville de Tsalgarouli. Après seulement quelque minutes de vols, l'hélicoptère se rend au dessus de la tour Shovki. Une quinzaine d'hommes armées par des fusils descendent de l'hélicoptère par une corde. Une fois tout l'équipage sur le toit, l'hélicoptère repart tandis que des soldats au sol tente de tirer sur l'appareil avec leur petit fusils des temps ancien.
Après plusieurs minutes, les forces armées du 1er Régiment d’Assaut Urbain rentrent dans la tour. Ils pointent leurs armes sur le personnel et commence la procédure.

— Tout le monde à terre et les mains sur la tête ! Je veux voir les responsables des communications. Vous allez venir faire comme les autres mais dans une autre salle.
Le personnel, apeuré, obéit au ordres du soldat. Tout le monde s'allongent sur le sol et mettent les mains sur la tête. Une partie du personnel se séparent du restes du groupes et se rendent dans la pièces que leurs ont indiqués les soldats. — Vous allez me couper les communications avec la Confédération Socialiste du Nazum.
— Mais ils vont s'en rendre compte.
—On le sait ça. Fait juste ce qu'on te demande.

Le personnel chargé en communication s'exécute.
—C'est bon on peut leur donné l'ordre d'attaquer.

Un soldat prend une radio et envoie une message au reste des forces armées pour lancer l'attaque. De l'autre coté de la ville, des chars et véhicules de combats d'infanteries rentraient déjà dans la ville. Des tirs de snipers touchaient de nombreux soldats. Et les tirs de sommation venant du sud de la ville rendit les soldats communistes nerveux. En effet, la plupart n'avait jamais combattu, la région dans laquel ils étaient affectés était dépourvus de combats depuis le début du conflit. Seulement 10 minutes après l'entrée dans la ville des différents bataillons et régiments, les soldats communiste levèrent le drapeau blanc. Les soldats du 1er Régiment d’Assaut Urbain, sortirent du bâtiments avec les hommes du services de renseignement de la République Socialiste de Yashosie. Ils regroupèrent alors ces hommes ainsi que les soldats yashosiens. Ils récupérèrent leur armes et les enfermèrent dans la prison de la ville. Un petit problème se fit connaitre : les prisons étaient déjà pleines. Les soldats tsaristes prirent donc le temps d'étudier le dossier de chaque prisonier pour savoir si il pouvait être libérés ou non. Résultat : seulement 9 des 686 hommes emprisonnés étaient de réels coupables.

Après que la ville entière soit prise par l'armée, une brigade importante, principalement composée de blindés et de chars continuèrent leur routes vers le nord de la ville. Là où se trouvait la base militaire communiste ainsi que la seule réelle piste aérienne de tout le territoire communiste. L'arrivée fut brutale, la porte de la base s'ouvrit sous trois coup de chars légers. Une fois cette porte explosée, la colonne de blindés entra dans la base, trois chars légers, trois véhicules de combats d'infanteries et 2 transports de troupes blindés firent irruption dans la base, 600 soldats suivait derrière armés d'armes d'infanteries légères ou de mitrailleuses lourdes. Des échanges de coup de feu retentissait sur la piste d'atterrissage. Au bout d'une trentaine de minutes, ils en était finit des soldats communistes. Ils étaient tous morts. 500 soldats dont un général. Leur armes furent saisir ainsi que quelques blindés. La région du nord ouest venait d'être annexée. La seule piste d'atterrissage encore sous le contrôle des communistes venait d'être récupérés par les tsaristes. Ne serait-ce pas là une fin de guerre imminente. Si les alliés de la république socialiste de Yashosie n'agissait pas rapidement, ce serait la fin.


Nouvelle découpe du territoire de la Yashosie.
découpe du territoire de la Yashosie.

Perte militaire
Communiste :
-500 soldats
-500 armes d'infanteries légères de niveau 1
-1 véhicules blindés légers de niveau 1
-1 véhicules transports de troupes blindés de niveau 1
-2 camions de transports de niveau 2

Tsariste :
-50 partisans civils engagés dans le militaire
+1 véhicules blindés légers de niveau 1
+1 véhicules transports de troupes blindés de niveau 1
+2 camions de transports de niveau 2
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"Monsieur le Président, c'est fini..."

La rencontre bilatérale entre la Confédération Socialiste du Nazum et la République Socialiste de Yashosie venait de s'achever. Elle venait de s'achever, tout comme les relations entre ces deux états communistes. Les dernières paroles du président yashosien au président de la République Socialiste de Yashosie était "Mais allez vous faire foutre sale orthodoxe de merde ! Bande de pseudo-socialiste !". Des paroles qui tournaient en boucles dans la tête du président de la Yashosie. Était il aller trop loin dans ses propos ? Était ce vraiment la fin des relations entre ces états qui avaient si longtemps partagé le désir d'une union sous une seule bannière ? Était ce vraiment la fin de la guerre civile ?
Cette dernière partie inquiétait d'avantage le président que les autres tourmentassions. Il savait que si cette guerre venait à finir, il serait jugé et exécuté pour ses nombreux crimes contre l'humanités. C'est ce qu'il craignait le plus...et ses craintes allaient se réaliser, ou du moment à moitié.
Une conversation entre les pilotes et un garde du corps du président dans l'avion

— J'ai déjà éliminer par empoissonnement les quatre autres gardes du corps qui se trouvent dans l'avion.
— Parfait, nous sommes bientôt au dessus du territoire. L'itinéraire à bien été modifié vers la capitale discrètement. Le président ne se rendra compte que nous sommes à la capitale seulement lorsqu'il sera bâillonné.
— En parlant de ça, il est temps de le faire.


Le garde du corps, armé de son pistolet de poing, avança vers le président. Une fois en face de lui, il leva l'arme sur le président.
—Ivan ? Qu'est ce que vous faites ? Vous avez bu ?
— Non monsieur. C'est fini. Vous êtes entrain de vous faire arrêtez. L'armée tsariste à pris le contrôle de la capitale lors de votre doux séjours.
— Non mais enfin Ivan, j'aurai été au courant de ça enfin. Tu ne m'auras pas. Bonne blagu...
— Ferme ta gueule ! Pendant ton petit séjours de merde, on a pris possession du centres de communication et on les à coupés avec la CSN. C'est pour ça que vous êtes au courant de rien.
— Nan c'est pas possible. Vous mentez ! J'ai tout fait pour sauver ce pays et c'est comme ça que vous me remercier ?! Bande d'ingrat !


Le président se leva d'un bond et se précipita sur son garde du corps. Il plongea sur ce dernier pour le maitriser et tenter de sauver sa vie. Et lors de son saut...
PAM !

Le président venait de se faire abattre d'une seule balle. Une simple balle de 9 millimètres. Qui aurait pensé qu'un aussi grand et dangereux dictateur pourrait mourir d'un objet aussi petit. La vie est faites comme ça...
Il en était donc finit de la guerre civile. 54 ans de combat venait de s'achever dans un avion reliant la capitale de la Confédération Socialiste du Nazum, Catheringrad, et la capitale du pays anciennement appelés République Socialiste de Yashosie et maintenant nommé Tsarat Parlementaire du Khardaz.Il en était fini du régime de la terreur. Il en était fini des camps de concentration. Le peuple du Khardaz était enfin libre. L'avion atterrit dans la capitale, Kharinsk. A son arrivé, le souffle du peuple entier se coupa. Puis Ivan Olivki sorti de l'avion et hurla de toute ses forces une phrase que le peuple entier connaissait et avait entendu tant de fois :
— Srava Khardaz !
Et tout les soldats et citoyens présent sur l'aérodrome répondirent eux aussi en hurlant :— Jeroyam Srava !
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Oh cher Khardaz !


Nous étions le 10 septembre 2017, deux mois après l'effondrement de la République socialiste de Yashosie. Un bataillon du 3ème Régiment Tovren se rendait dans la ville de Berdskevki située dans les hauteurs du mont Volodovki et de ses 7 962 mètres d'altitude. Il se situait dans le désert arctique dans la pointe nord du Khardaz. Cette région, très peu habitée, avec comme ville la plus grande Berdsk ; avec moins de huit mille habitants. Cette ville était isolée de tout, elle abritait le plus grand ermitage du monde. Sur les huit mille habitants, près de quatre mille neuf cents sont des ermites.

Le bataillon de quinze (15) soldats avançait peu à peu dans la montagne, se dirigeant peu à peu vers la ville de Berdskervki. La route était abrupte, à moitié détruite par des bombardements des États membres de la Confédération socialiste du Nazum dans les années 1987. Cette confédération avait réussi à faire raviver une guerre quasiment terminée. L'horreur de la guerre était désirée et les victimes de cette dernière le sont aussi par leur faute. La guerre était finie et ils l'ont redémarrée…

Les quinze soldats arrivaient enfin dans la ville. La ville n'avait jamais vu d'homme étranger depuis bien longtemps. La ville était tellement isolée et fermée que personne ne savait que la guerre était finie et des soldats socialistes étaient encore sur place. Dès l'arrivée des soldats, des coups de feu retentirent, plusieurs coups de fusil résonnèrent. Fort heureusement, les fusils socialistes étant de très ancienne génération, ils s'enrouillèrent vite et la trentaine de soldats de l'ex-République socialiste de Yashosie furent abattus. Le silence revint. Seuls les pas des soldats du bataillon du 3ᵉ Régiment Tovren se faisaient entendre dans l'avenue principale de la ville de Berdskevki. L'on pouvait aussi entendre les soldats tsaristes ramasser les armes à feu, pour la plupart détruites ou fortement abimées. Les soldats attendirent dans les rues, ils patrouillaient lentement, toquaient aux portes et allèrent à la mairie de la ville, mais personne ne fut aperçu. Les soldats commencèrent alors à imaginer le plus horrible des scénarios qui s'était malheureusement produit dans de nombreuses villes ou de nombreux villages qui refusaient l'autorité communiste, une extermination entière des habitants. Les soldats désespéraient quand d'un coup une porte de la rue s'ouvrit. Un vieux monsieur en sortit. Il avança vers les soldats qui ressentaient un mélange de rassurement et de peur.

— Socialistes ? lança le vieil homme, légèrement apeuré.

— Non monsieur. Le régime de la RS de Yashosie s'est effondré il y a 2 mois. Vous n'étiez pas au courant ?

Le vieil homme s'avança vers eux sans répondre. Il scruta chaque insigne sur la tenue militaire du soldat qui lui avait répondu. Il aperçut le drapeau des armées tsaristes (fond noir avec trois croix orthodoxes et trois têtes de mort) ainsi que le drapeau du Khardaz. Il s'effondra de bonheur.

— Les tsa…les tsaristes ont gagn…gagnés ! Oh mon cher Khardaz !

De là, un grand nombre de personnes se penchèrent par leur fenêtre ou balcon. Ils regardaient la scène émus et joyeux. Certains lâchèrent une petite larme du coin de leur œil. En bref, ils étaient enfin sauvés des griffes du communisme. La RS de Yashosie et ses alliés de la CSN avait perdu.

Les habitants racontèrent alors les horreurs qu'ils avaient vécues. Le tir de missiles, les arrivées de soldats de la Confédération socialiste du Nazum, les arrestations des religieux et les tirs sur les personnes, et peu importe leur âge et leur sexe, qui refusaient de se soumettre à leur autorité répressive. Pendant plus d'une heure, les gens racontaient les horreurs que le communisme leur avait fait subir.
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