26/05/2017
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Zone Diplomatique de l’Empire Afaréen Kémimide

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Zone Diplomatique de l’Empire Afaréen Kémimide
« Que nul ne s’adresse à l’Empire sans s’adresser d’abord à son Roi des Rois. »

Autorité Diplomatique Suprême
L’ensemble des affaires extérieures est placé sous l’autorité exclusive de Sa Majesté le Roi des Rois, Maître du Grand Royaume Kémimide, Protecteur des Peuples d’Afarée, Souverain des Rives du Nadir et des Confins du Monde.
Toute démarche diplomatique, qu’il s’agisse d’un traité, d’un appel, d’un grief ou d’un simple contact, doit donc être adressée directement à Sa Majesté.

✦ Protocole de Communication ✦

– Cette zone diplomatique constitue l’espace officiel par lequel les États, royaumes et empires étrangers peuvent s’adresser à l’Empire.
– Le Roi des Rois peut répondre personnellement ou mandater un émissaire impérial (ambassadeur, satrape, vizir, etc.).
– Tout message déposé ici est considéré comme une communication officielle et engageante.
– Les propos irrespectueux, menaçants ou injurieux envers l’Empire, ses peuples ou son souverain seront ignorés ou considérés comme un affront diplomatique.

✦ Doctrine Diplomatique Impériale ✦

➤ Concernant le continent d’Afarée :
L’Empire considère l’ensemble des peuples et États d’Afarée comme faisant partie de sa sphère naturelle d’influence.
Qu’ils soient indépendants ou organisés, ces États sont perçus comme des satrapies extérieures : des provinces souveraines mais moralement intégrées à l’ordre impérial.

Protocole impératif :
– Les États afaréens doivent impérativement s’adresser au Roi des Rois comme à un supérieur hiérarchique.
– En retour, Sa Majesté s’adresse à eux comme à des dépendances respectables, mais inférieures, dans le ton réservé aux satrapies.
– Toute correspondance ne respectant pas cette hiérarchie sera jugée comme un manque de respect grave envers le Roi des Rois et envers l’Empire.

Toute agression commise contre un peuple d’Afarée est interprétée comme une attaque directe contre la personne sacrée du souverain impérial.
Ainsi, les violences telles que celles commises en Cramoisie par le régime de Carnavale sont perçues comme des atteintes au corps même du Roi des Rois.
L’Empire se réserve donc le droit d’intervenir militairement pour défendre les peuples afaréens en danger.

➤ Cas particulier : Grisolia
Malgré sa prétention à l’indépendance, l’État de Grisolia est considéré par l’Empire comme une satrapie extérieure, du fait de sa présence historique et territoriale en Afarée.

➤ Concernant les autres continents (Eurysie, Nazum, etc.) :
Les puissances extra-afaréennes sont traitées comme des États pleinement souverains et étrangers.
L’Empire entretient avec eux des relations bilatérales ou multilatérales classiques, fondées sur le respect, la négociation et les intérêts communs.

➤ Corruption et pragmatisme :
L’Empire n’est pas idéologiquement rigide.
Le Roi des Rois est ouvert à la négociation, y compris pécuniaire : la richesse du souverain étant perçue comme un bien au service de la prospérité de son peuple.
La corruption, loin d’être un déshonneur, est vue comme un investissement dans la stabilité impériale, si elle profite au bien commun.

✦ Rédiger une missive officielle ✦


Expéditeur : (Nom de votre État, Royaume, Empire...)
Destinataire : Sa Majesté le Roi des Rois, Souverain de l’Empire Afaréen Kémimide
Objet : (Alliance, demande de reconnaissance, protestation, traité commercial, etc.)
Message :

La grandeur de l’Empire ne se mesure pas seulement à la puissance de ses légions, mais à la fermeté de sa parole et à l’unité de ses peuples.
Que vos mots soient dignes de franchir les Portes d’Or du Palais du Roi des Rois.
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De : Sa Majesté le Roi des Rois, Souverain de l’Empire Afaréen Kémimide, Protecteur des Peuples d’Afarée
À : (Nom de l’État afaréen / de son dirigeant)
Objet : (Ex. Alliance, rappel à l’ordre, traité, avertissement…)

Message :

Peuple de (nom de l’État),

Vous êtes comptés parmi les enfants d’Afarée, et à ce titre vous relevez de ma sollicitude comme de mon autorité.
Sachez que, comme toutes les satrapies extérieures, votre destin demeure lié à la grandeur de l’Empire.

Ainsi, moi, Roi des Rois, vous adresse ces paroles non comme à des égaux, mais comme à ceux que je protège et guide.
(Développement ensuite selon la situation : exigence, proposition de traité, demande de contribution, condamnation d’un acte, etc.)

Recevez cette missive comme un témoignage de mon attention, et souvenez-vous que négliger ma voix, c’est négliger celle de l’Empire tout entier.

Scellé sous mon autorité,
Sa Majesté le Roi des Rois
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De : Sa Majesté le Roi des Rois, Souverain de l’Empire Afaréen Kémimide
À : (Nom de l’État étranger / de son dirigeant)
Objet : (Ex. Proposition de traité, ouverture commerciale, alliance militaire…)

Message :

À (nom de l’État),

Le Roi des Rois s’adresse à vous en tant que souverain d’un grand Empire, gardien des peuples d’Afarée et voix de l’Orient.
Bien que vous ne soyez pas comptés parmi les satrapies de l’Empire, l’Empereur reconnaît votre souveraineté et votre dignité parmi les nations.

Dans cet esprit, il vous fait savoir ce qui suit :
(Développement ensuite de la proposition diplomatique, du traité envisagé, de la demande ou de l’offre de coopération.)

Puissent nos paroles franchir les mers et les continents pour ouvrir une ère de respect et d’avantages mutuels.

Scellé sous mon autorité,
Sa Majesté le Roi des Rois
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Affaires et Corruption de l’Empire Afaréen Kémimide
« Rien n’échappe à l’œil vigilant du Roi des Rois : richesse, influence et volonté se rejoignent sous son autorité. »

L’Empire Afaréen Kémimide adopte une politique de pragmatisme absolu sur tous les aspects diplomatiques et stratégiques.
Toute action, décision ou position de l’Empire peut être influencée par des contreparties matérielles, financières ou symboliques, dans le respect de la hiérarchie et de la sécurité impériale.
Cette corruptibilité n’est pas un signe de faiblesse mais un instrument souverain : les richesses, concessions et bénéfices reçus profitent à l’Empire et, par extension, à ses peuples.

➤ Corruptibilité et influence

- Toute intervention de l’Empire peut être facilitée par des négociations pécuniaires ou diplomatiques : envoi de missives, accélération de décisions, organisation de missions, intervention militaire ou diplomatique.
- Les prix, conditions et contreparties sont entièrement négociables au cas par cas, sans tarifs fixes, et sous l’arbitrage exclusif du Roi des Rois.
- Cette approche concerne toutes les dimensions de la diplomatie : contacts officiels, recommandations, envoi d’émissaires, droits de passage, facilités commerciales, partenariats et accès à l’information impériale.

➤ Location de territoires et infrastructures

- Provinces, ports, zones stratégiques et infrastructures impériales peuvent être mis à disposition pour une durée déterminée et renouvelable selon accord.
- La vente de territoires est strictement interdite : tout sol, toute infrastructure et toute ressource restent la propriété exclusive du Roi des Rois.
- Les conditions (prix, durée, services attendus, obligations) sont fixées par négociation, pouvant inclure : droits commerciaux, facilités de transport, hébergement de missions, stationnement de navires ou d’équipements.
- Les satrapies extérieures bénéficient d’une priorité absolue sur ces locations, mais tout État, afaréen ou extra-afaréen, peut entrer en négociation.

➤ Neutralité et sécurité des zones louées

- Tous les territoires mis à disposition sont considérés comme des zones neutres.
- Aucune attaque, préparation de conflit ou activité hostile n’est autorisée dans ces espaces sans autorisation explicite du Roi des Rois.
- Si un État souhaite y loger des forces armées, des armes ou des navires de guerre, une demande officielle et détaillée doit être soumise, précisant buts, durée et moyens.
- Sans cette autorisation, tout usage militaire est strictement interdit.
- Cette neutralité garantit la stabilité, le respect mutuel et la sécurité des peuples impériaux et étrangers.

➤ Priorités diplomatiques et géopolitiques

- Les satrapies extérieures bénéficient d’une priorité systématique dans toutes les affaires et négociations, suivies des États extra-afaréens classiques.
- Les États coloniaux ne sont pas considérés comme des satrapies extérieures et ne bénéficient pas de privilèges supplémentaires, même s’ils ont des bases en Afarée ou ailleurs.
- La colonisation sur d’autres continents, particulièrement par des satrapies extérieures, est mal vue et peut nuire aux relations diplomatiques.
- Tout acte perçu comme expansionniste ou agressif contre des peuples afaréens est considéré comme une atteinte directe au Roi des Rois et à l’Empire.

➤ Usage stratégique des richesses et négociations

- L’Empire peut fournir des facilités stratégiques, logistiques ou diplomatiques en échange de biens, services ou engagements, toujours dans le cadre de la neutralité et de la légalité impériale.
- Cela inclut, sans s’y limiter : hébergement de missions diplomatiques, facilités de communication, influence sur des décisions politiques, accès à des informations sensibles, organisation d’événements ou arbitrages.
- Ces échanges sont toujours encadrés par le Roi des Rois, garant de l’ordre, de la justice et de la stabilité impériale.

Ainsi, l’Empire Afaréen Kémimide met à disposition ses richesses, ses territoires et ses positions stratégiques selon un principe de négociation transparente et flexible, tout en préservant neutralité, stabilité et respect impérial.
Chaque accord est un reflet de l’autorité souveraine du Roi des Rois et de la prospérité partagée de ses peuples.
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Bureau des Affaires étrangères

Chers homologue,

C'est avec joie que nous avons assister à la réémergence de votre état sur la scène international. De ce faite le Royaume de Finejouri aimerai organiser un échange de diplomate pour pouvoir mettre en place des ambassades et faciliter nos échanges.

En attente de votre réponse.

Cordialement,

Mdm Linehart Conseillère au prêt de Sa Majesté Louis II sur les affaires étrangères
 logo affaire étrangère
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Bureau des Affaires étrangères
Très chers Roi des Roi de l'Empire Afaréen Kémimide

Nous sommes ravis d'avoir lu votre missive disant que vous seriez d'accord de faire un échange de diplomate pour nos ambassades. De ce fait nous vous envoyons Mdm Tkuit fraichement diplômé. De plus pour accompagner se que nous pensons le début d'une grande période de calme et de sérénité entre nos nations nous voudrions vous proposer plusieurs accord en concordance avec ce que vous avez évoqué:

Accord international

accord sur l'éducation

Coopération Éducative

Article 1:

Les deux pays signataires, autorisent leurs étudiants respectifs à effectuer des échanges éducatifs vers l'un des deux pays.

Article 2:
Les deux pays signataires, autorisent leurs universités et écoles respectives à accueillir des étudiants d'échange en provenance d'un des deux pays.

Article 3:
Les deux pays signataires, encouragent fortement leurs étudiants respectifs à partir en échange éducatif dans l'autre pays. De plus, les deux états signataires encouragent aussi leurs écoles et universités respectives à accueillir des étudiants de l'un des deux pays.

Commerce

Coopération économique

Article 1:
Les deux pays signataires, déclarent la baisse respective de -50% des droits de douanes pour tout produit provenant de l'une des deux nations.

Article 2:
Les deux pays signataires s'engagent à n'emporte vers l'autre pays que des produits conforment à la législation en vigueur.

Article 3:
Les deux pays signataires, assurent à ne pas produire de la concurrence déloyale et de respecter les produits, producteur et consommateurs locaux.

Article 4:
Les deux pays signataires, certifient de ne jamais se livrer de guerres commerciales, par quelconques moyens que ce soit

Nous restons à l'écoute des modifications que vous voudriez apporter ou des autres accords que vous voudriez que l'on aborde.

Pour finir concernant votre demande d'accueille de populations de Kabylie, cela doit être débattu en amont avec Sa Majesté Louis II ainsi que l'ensemble des conseillés du Royaume de Finejouri du fait que tout d'abord Finejouri n'est pas un grand état comparé au votre mais surtout parce que jusqu'à présent nous ne sommes pas intervenu directement et cela pour plusieurs raison. Cependant nous reconnaissons bien évidemment la présence d'un génocide envers la population de Kabylie.

Nous vous tiendrons donc au courant des suites donnés à votre demande dans les plus brefs délai si les conflict régionaux nous le permettent.

En attente de votre réponse,
cordialement
Mdm Linehart Conseillère au prêt de Sa Majesté sur les affaires étrangères
 logo affaire étrangère
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De : Ministre des Affaires étrangères du Royaume d'Ameria, M. Karim Matoubi
À : Empire Afaréen Kémimide


Objet: Réponse


Le grand Royaume d'Ameria souverain et indépendant ne peut accepter vos déclarations, qui semblent placer notre nation sous la hiérarchie morale, ou plutôt, sous la protection impériale que vous revendiquez. Nous reconnaissons nos liens historiques et tenons aussi à vous rappeler que notre nation, autrefois étendue le long de la mer blexe sous le règne des califes sahrawid a toujours résister aux guerres autrefois provoquer par votre pays.

Par conséquent, nous déclarons rejeter toute notion de subordination, de souveraineté ou d'affiliation politique à votre empire.
Nous reconnaissons notre responsabilité envers le peuple Afaréen et acceptons de participer à votre réunion, mais à nos conditions :

  • La déclaration officielle par votre empire de la souveraineté et de l'indépendance de notre nation.
  • Un accueil digne de sa stature à Sa Majesté le Roi Mounir III, qui est l'égal de votre monarque.

  • Enfin si les conditions multilatérales neutres sont respectées, sans aucune prétention de hiérarchie ou de supériorité, notre gouvernement sera ouvert à toute autre proposition.


    Bien cordialement,
    le ministre des Affaires étrangères
    Karim Matoubi
    1781
    BARTHOLOMÉON DE PETIPONT

    Bartholoméon de Petipont

    A ceux qui complotent et menacent,

    N'étant pas considéré comme un acteur légitime aux yeux de votre nation, je me passerai des formules de politesse.

    Vous parlez de libération d'un pays qui n'existe plus et de restauration d'un territoire sans en avoir les moyens. Si la Principauté de Carnavale vous offrait sur un plateau l'accès à ses brevets, au séquençage ADN des graines qu'elle plante et aux vaccins qu'elle inocule contre la maladie, vous ne sauriez pas quoi en faire. Cette technologie vous serait aussi étrangère et vous semblerait aussi magique que l'orage pour les peuples archaïques, au fondement de toutes les religions. Nous sommes ces dieux incompréhensibles à vos yeux et y consacreriez vous cent ans, vous n'arriveriez qu'à nous singer. Le désert resterait rouge, sa faune et sa flore irrémédiablement mortes.

    Permettez moi d'être franc : vous n'avez pas les moyens de vos ambitions ; gagneriez vous à une guerre contre CRAMOISIE©, vous n'hériteriez que de cendres inexploitables. Seule Carnavale peut construire sur ce que Carnavale a rasé car nous détenons non seulement les clefs de la science, mais nous sommes également les seuls à posséder l'amoralité et le génie nécessaires pour bâtir sans fondations. Votre nation se prévaut d'une autorité millénaire : sachez que la cité noire est deux fois plus ancienne et glorieuse. Pourtant, si nous nous enorgueillissons de notre histoire pour impressionner les naïfs, jamais Carnavale n'a cessé de regarder vers l'avenir. Le passé n'est qu'une babiole dont s'encombrent les imbéciles.

    Vous êtes voisins de CRAMOISIE© et c'est pour vous une opportunité rare. Je tiens compte de vos menaces et je vous retourne un conseil : observez et apprenez. Vous pourriez bien trouver dans notre exemple une porte de sortie pour votre marasme civilisationnel.

    Je reste à votre disposition si d'aventure vous retourniez à la raison,
    Son Excellence Monseigneur Bartholoméon de Petipont,
    Archevêque de CRAMOISIE©, pape noir, faiseur de miracles, vainqueur du Sadr par KO sans avoir eu à lever le petit doigt.CRAMOISIE©
    CRAMOISIE©
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    Secrétariat Général de l'Organisation des Nations Démocratiques

    https://geokratos.com/img/sections/6429.png

    Manticore, le 23 mai 2017À l'attention de : Sa Majesté Tiamou, Roi des Rois, Souverain de l’Empire Afaréen Kémimide
    Objet : Réponse à votre précédente missive

    Excellence,

    Nous n'avons pas encore eu le plaisir d'échanger, toutefois l'Organisation des Nations Démocratiques est toujours heureuse de pouvoir prendre contact avec de nouveaux acteurs internationaux. Chaque missive, chaque pas diplomatique est un pas vers une scène internationale plus apaisée et vers moins de drames partout aux quatre coins du globe. L'Organisation des Nations Démocratiques, que j'ai l'honneur de représenter, œuvre depuis sa création, il y a maintenant plus de cinq ans, pour un ordre mondial au sein duquel les peuples de notre monde trouvent leur place dans un climat de paix et de liberté, pour promouvoir le dialogue internationale et la création d'instances permettant, démocratiquement et avec le souci du pluralisme et de la diversité, aux États d'interagir sur la base de discussions saines qui nécessitent parfois d'envisager un droit agissant au-delà d'un simple cadre national.

    Néanmoins, et vous l'avez très justement remarqué, car c'est là tout l'objet de votre missive, le monde n'est malheureusement pas encore en paix. Il est de nombreuses nations préférant encore et toujours de porter leurs voix par la violence et prônant des rapports entre État dangereux où la loi du plus fort prédomine et où l'on impose sa volonté par les armes si nécessaires. Et cela, nous le constatons chaque jour avec un regret profond au regard de la multiplication croissante des tensions, litiges, conflits et crimes dans le monde. La Principauté de Carnavale fait partie de ces nations, et nous l'avons constaté avec une douleur indicible.

    D'abord par le drame sans nom de la Kabalie qui fut bombardée et envahie dans une entreprise colonialiste d'une brutalité inouïe dont nous n'avons pas vu d'égal depuis la course aux colonies des siècles passés. Puis, lorsque certaines des nations membres ont voulu s'opposer à l'entreprise génocidaire menée par Carnavale en Kabalie, avec l'holocauste d'Estham.

    Je prends le temps de vous rappeler ces douloureux faits, bien qu'il me paraisse improbable que votre si grand État n'ait pas eu vent de ces atrocités.

    Suite à l'action de la Principauté en Kabalie, plusieurs de nos États membres ont fermement condamné ces actes intolérables. Ce fut notamment le cas de l'Empire Démocratique et Parlementaire du Nord qui fut sans raison valable la cible d'une attaque balistique sur l'une de ses cathédrales à cause d'un conflit religieux qui, selon Carnavale, justifiait de tuer quatre innocents lors d'une cérémonie religieuse prônant l'amour et la tolérance, dont une petite fille n'ayant même pas encore 10 ans. Cet État membre, devant le massacre perpétré par les autorités carnavalaises, a lancé un appel international ressemblant pour certains points à celui que vous avez récemment formulé, et auxquels plus de 50 nations ont répondu. Cet appel réclamant une condamnation mondiale des actions carnavalaises et l'organisation d'un sommet international pour débattre de cela et commencer à construire un droit international afin que cela ne se reproduise plus jamais, a été beaucoup entendu et relayé. Ce sommet devait se tenir au sein de cet État membre, toutefois l'agenda international a été bouleversé.

    Deux États-membres, n'agissant pas en coordination de l'Organisation des Nations Démocratiques, mais dans une opération indépendante, ont décidé d'agir pour empêcher l'intensification du génocide kabalien annoncé par les autorités coloniales carnavalaises. Le Duché de Sylva ainsi que l'Empire du Nord ont tenté, conjointement avec un ultimatum, d'organiser des frappes préventives contre Carnavale fin de dissuader celle-ci d'agir. En réponse à cette action et à cet ultimatum, la Principauté de Carnavale a bombardé la capitale de l'Empire du Nord, Estham, avec près de 700 missiles contenant des agents chimiques d'armes de destruction massives. Cette attaque a causé le nombre effroyable de 2 millions de morts. En écrivant ces mots, une douleur absolument inimaginable habite encore chaque citoyen de l'Organisation des Nations Démocratiques.

    Ces deux millions de morts furent le point de basculement alors que la Principauté avait déjà franchi toutes les lignes rouges. L'Organisation des Nations Démocratiques est donc entrée en guerre. Les opérations aériennes Dreamland et Downpour ont été lancées pour désarmer la Principauté de Carnavale, faire cesser le génocide et l'occupation de la Kabalie, obtenir réparation des crimes commis. Ces opérations sont des réussites, mais la guerre n'est pas encore arrivée à son terme, car Carnavale développe toujours ses armes de destructions massives, Carnavale n'a pas livré les responsables des crimes commis pour un procès international, Carnavale occupe toujours la Kabalie.

    Vous m'avez demandé pourquoi l'Organisation des Nations Démocratiques ne concentrait pas aussi ses forces sur la Kabalie. C'est une question juste et légitime, et les États membres accueillent positivement votre préoccupation pour ce sujet d'une importance capitale. Nous comprenons d'ailleurs que l'Empire Afaréen ne puisse encore engager ses troupes dans un conflit ouvert avec l'entreprise cramoisiste. Je souhaite donc vous répondre que l'Organisation des Nations Démocratiques a jugée que concentrer ses forces sur la Principauté en Eurysie, c'était décapiter la tête de cette entreprise effroyable. La majorité des ressources financières de Cramoisie (autorité coloniale occupant la Kabalie) viennent de la Principauté. La majorité des armements de Cramoisie viennent de la Principauté. Les principaux stocks d'armements ayant les capacités de réaliser des génocides tels que ceux de Kabalie et d'Estham, sont situés au sein de la Principauté.

    Nous sommes conscients du drame que vivent les kabaliens, toutefois je vous demande d'entendre notre vision. Nos forces militaires sont plus efficaces, notamment pour libérer la Kabalie, en décapitant la tête de ces opérations. Une fois que la Principauté de Carnavale n'aura plus le potentiel de nuire comme elle l'a fait en Afarée et en Aleucie, alors la Kabalie pourra vivre à nouveau, libérée du joug infâme de Carnavale. Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour faire cesser les massacres, et nous le faisons là où cela a le plus d'impact. Quant à une intervention sur le territoire de la Kabalie, nous ne pourrons l'envisager uniquement sur la demande des nations afaréennes et avec leur concours. Les pays afaréens par le passé ont exprimés vivement et à de nombreuses reprises le souhait de ne pas voir d'interventions extérieures sur le continent en dehors de cadres clairs et sur leur demande. Nous respectons donc cela et concentrons pour l'heure nos efforts sur la métropole et les îles carnavalaises. Vous comprendrez donc que nous n'avons nullement l'intention d'occuper ce territoire et d'y installer une administration étrangère. La Kabalie doit être kabalienne.

    L'Organisation des Nations Démocratiques étudiera la question d'une intervention en Afarée si, et seulement si, un nombre certain d'États afaréens en ressentent le besoin, au sein d'accords clairs et après avoir neutralisé la menace de la Principauté dans ses territoires eurysiens et aleuciens.

    Enfin, à l'image de ce que certains États membres ont entrepris individuellement, comme le Faravan et l'Empire du Nord auprès du Forum de Coopération d'Afarée du Nord, nous sommes prêts à discuter avec vous des moyens envisageables afin d'atténuer les souffrances du peuple kabalien et soyez assurés que nous aspirons tout comme vous à voir au plus vite ce territoire martyr à nouveau libre.

    Soyez assuré de notre plein souhait de vouloir mettre un terme à la folie apocalyptique et à la perte de tant de vies humaines.
    Roderick Benvolent,
    Secrétaire Général de l'Organisation des Nations Démocratiques

    HRPIl est également à noter que la NJ qu'est Cramoisie est encore sous la protection des 4 mois après inscription, il n'est donc pas possible d'engager d'opérations militaires contre elle selon les règles de Geokratos.
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