27/10/2017
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【☭】[RS Yashosie - C.S.N] (Terminé) Une Cordiale Rencontre

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【🫱🏼‍🫲🏻】Commissariat des Affaires Étrangères de la Confédération Socialiste du Nazum.
Une Nation en Feux ? Brulera-t-il du feu Prolétaire ou Impérialiste ?
Rencontre Internationale - RS de Yashosïe - CSN
23/05/2017 à 14:30

Réunion des Citoyens de la Confédération devant l'institution diplomatique Internationale.

Aujourd'hui est un grand jour, les Représentants Yashosien escorter par une 20 aines d'avions de chasse des Forces Aérienne du Morznanov, survoler la Ville de la Confédération, Catheringrad, cette ville, ou est née la célèbre Catherine, surnommée Kartyoucha, une paysanne révolutionnaire barvynienne, qui a conduit l'armée révolutionnaire à l'expulsion de l'impérialisme Mor en Barvynie, et la libération des peuples de la Confédération. À l'Aéroport International de Catheringrad, une quarantaine de milliers de personnes se sont réunis pour accueillir les représentants Yashosien, il n'y a pas que des Barvynien, mais aussi des Zakhmistes, des Gondave, des Ouanais, Morznik, tout les peuples de la Confédération se sont réuni.

Alors que les Représentants Yashosien descendent à peine des avions que les musiciens de la Confédération commence à jouer l'Hymne National de la République Socialiste du Yashosie, les civiles dehors qui assistez à la scène derrière les grillages de l'Aéroport se mire à chanter en chœur l'hymne Yashosienne avec une détermination sans précédent, même si certains ures du mal à prononcer certains mots Yashosiens, l'intention est présente, il est rare de voir en Barvynie une telle motivation des populations pour l'arrivée d'une délégation, mais il ne s'agissait pas là d'une simple délégation, mais un réel frère socialiste, qui a su donner le courage aux nations dominé par l'Empire Mor, de se soulever, le Yashosie leurs à montrer qu'il est possible de redevenir libre ! D'où l'enthousiasme des peuples.


Pendant que la Délégation est escortée dans une voiture qui les conduit jusqu'aux institutions de la Confédération, tout au long du trajet, la population tendaient et agitez le drapeau du Yashosie, mais aussi des drapeaux de la Confédération, certain avec des drapeaux rouge, symbole de la C.S.N, quelques minutes plus tard, quand le véhicule s'arrêtera devant le bâtiment qui accueille le Comité Central du Nazum, quand les délégués descendent, les militants et la population se mettent à chanter en chœur en français, la musique populaire de l'Internationale alors que ses dernières tenir le poing en l'air.


C'est ainsi que les Représentants Yashosien rejoigne l'intérieur du bâtiment de la Confédération Socialiste, il est conduit jusqu'a une grande salle ou se réunissait le Comité Central du Nazum, il est invité a s'assoir a un siège qui lui est réserver. Tous les dirigeants sont réunis dans cette salle, le Présidium se lève et entame la Réunion en souhaitant la bienvenue au représentants Yashosiens, ses derniers qui vont probablement passer devant les dirigeants membre de la confédération vont serrer la mains de leurs camarade, chaque dirigeants et représentant on en face d'eux des petit mets comme du café, des petit sucre et quelque petit biscuit.

  • 💬 « Mes Salutation Camarade Yashosien ! Soyez les bienvenues en Barvynie, asseyez-vous ! Nous somme tous heureux de tous pouvoir enfin vous rencontrer, si vous avez besoin de quoique ce soit n'hésité pas à le faire savoir. Nous vous laissons vous exprimer. »

Réunion des Citoyens de la Confédération devant l'institution diplomatique Internationale.
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23 Mai 2017, 11h36, Tsalgarouli :
Un avion de ligne de la compagnie aérienne de Barvynie arrive vide à l’aéroport de la petite ville de Tsalgarouli. L’aéroport de Kharinsk étant partiellement détruit par les bombardements réguliers, une autre ville a été choisie, la plus à l’est et la moins touchée par la guerre. L’avion de ligne était entouré de plus de vingt avions de chasse des forces aériennes du Morzanov.
Le président ainsi que ses assistants, gardes rapprochés principalement, étaient montés dans l’avion pour se rendre à Catheringrad, là où la rencontre entre la Confédération Socialiste du Nazum et la République Socialiste de Yashosie devait avoir lieu.

23 mai 2017, 14h30, Catheringrad :

A leur arrivés, le président fut surpris d’une telle agitation et joie de la part du peuple de la CSN. Ce peuple chantant en cœur l’hymne de la Yashosie lui fit même couler une petite larme.
Il descendit ensuite de son avion pour se rendre à l’intérieur d’une voiture blindée noir aux vitres teintées avec sa garde rapprochée la plus proche. Une fois à l’intérieur, le président yashosien ne put s’empêcher d’abaisser la vitre pour saluer le peuple communiste. Ce qui déplut aux 3 membres de sa garde rapprochée.
— Monsieur, vous savez bien que vous ne devriez pas faire cela; les dangers sont partout.
— Oh oui, c’est bon ! On est en terre communiste! Chez des camarades! Que veut tu qu’il m’arrives ?


Une fois arrivée dans la salle où aurait lieu la réunion, dans le bâtiment de la confédération socialiste du Nazum, le président serra la main et se présenta auprès de tous les dirigeants de la confédération. Puis il s’assoit et écoute le discours d’entrée du président barvynien.
Après une écoute attentive, le président se lève et entame son discours.

— Salutations à vous camarades de la confédération socialiste ! La joie de se rencontrer est partagée ! Sur ce, nous pouvons commencer notre rencontre.
Il marque une pose.
— Comme vous le savez, les temps de notre République sont comptés. Les tsaristes possèdent à l’heure actuelle près de 80% du territoire et possèdent un arsenal bien plus développé que le nôtre. En effet, ces fascistes ont lancé une campagne d’appel d’offres et ont reçu un grand nombre de retours…positifs. Nous avons lancé une procédure d’achat auprès du grand-kah, mais cela ne sera pas suffisant. C’est pour cela que je lance auprès de vous une demande d’aide militaire urgente. Sans quoi, la république s’effondrerait dans les prochaines années, voire les prochains mois.
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Alors que les représentants des autres républiques socialistes de la Confédération saluent eu aussi le Grand Président Suprême du Yashosien, le Présidium Barvynien répondra avec un mélange de tristesse et d'enthousiasme. Tout en se levant et en regardent le Président d'un air étrange, effectivement, même si le Présidium est idéologiquement lié au Président Suprême. Il n'est pas en adéquation totale avec leurs principes, notamment parque Nikolaï est Orthodoxe, même s'il sait les dégâts qu'un état dirigé par l'église peut provoquer sur le progressisme, chaque homme est selon lui libre de croire ou non à une entité supérieure, une entité qui aurait façonné l'univers si vaste et infinie que nous connaissons. C'est donc dans un regard d'adversité, mais aussi de camaraderie, que le Présidium regarde Josef Skratac.

  • 💬 « Monsieur Josef Skratac, toute la Confédération compati pour la situation dans lequel se situe votre nation, les Fascistes nous ont prouvée qu'ils ont incapables de discuter ou négocier même dans l'adversité, cette action que vous pourrez considérer comme une trahison de votre point de vue, mais il s'agit là d'un geste humanitaire, et le refus catégorique et insultant de la part de ses Tsaristes ont rendu légitime notre soutien total pour votre nation, en effet, comment pourrions-nous tolérer la présence de Tsariste barbare à nos frontières si elle n'est pas capable de converser avec un gouvernement dès lors que ses nations n'ont pas les mêmes principes idéologiques. De plus, nous vous affirmons que nos hommes participeront à la bataille au côté des Yashosien, mais nous enverrons des hommes progressivement, car l'envoie de trop de soldat déstabiliseraient la logistique fragilisée du Yashosie. Nous souhaitons par la même occasion, vous aidez au niveau du côté civile, beaucoup d'entre nous ici aimeraient également le traçage d'une ligne directrice permettant l'évolution du modèle socialiste yashosien. Mais nous en discuterons en profondeurs lors de cette réunion bien sûr. »

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Le Président Josef Skratac écoutait attentivement le discours du présidium barvynien mais il fut un peu déçu. Comme son Général Igor Tesak, "parlent à longueurs de journée d'aide et d'envoie militaire mais n'agissent jamais". Ils parlaient toujours d'actions mais seulement de manière vague sans jamais précisé quoi que ce soit. Cependant, il espérait que ses confrères de la Confédération Socialiste du Nazum allait se réveiller et constater un jour que si rien n'est fait, il perdrait cette guerre. Le présidium barvynien avait en tout cas bien raison sur une chose, un envoie trop rapide et en trop grand nombre de soldat déstabiliserai l'équilibre de l'armée communiste yashosienne. Un envoie de 12 000 soldats par exemple, ce qui est le nombre approximatif de l'armée communiste yashosienne actuelle, rendrait cet armée inapte à combattre, les communications seraient mauvaises, la coopération de même, le présidium avait raison. Il faut faire ça de manière progressive. Cependant, le matériel militaire manquait énormément et c'est cela qui faisait défaut à l'armée communiste. Il fallait des dons pour l'armée yashosienne. Après cela, le présidium se mit a parler d'une "ligne directrice permettant l'évolution du modèle socialiste yashosien". Josef Skratac ne comprit pas entièrement tout cela mais le mot évolution lui mit la puce à l'oreille, la confédération voulait changer le modèle politique socialiste yashosien. Cette phrase mit immédiatement le président dans un sentiment de suspicion permanente. Il fallait ce qu'il sache ce que ces camarades communistes voulaient réellement. Ne serait il qu'un pantin ? Le général Tesak avait il raison ? La confédération n'en avait peut être que pour leur intérêt ? Il prit alors la parole :

— Nous vous remercions réellement pour ce que vous comptez faire pour nous et pour le soutient que vous nous montrez. L'aide militaire est importante et même obligatoire...sinon nous perdrons cette guerre et un état tsariste fasciste prendrait le tête du pays ! L'envoie de soldat est lui aussi important. Comme vous le savez, notre armée actuelle est malheureusement faites de jeunes soldats à peines sortis de formation et directement envoyés au combat. Cependant, comme vous l'avez dit, un envoie trop rapide et en trop grand nombre de soldat déstabiliserai l'équilibre de l'armée communiste yashosienne. Un envoie de 12 000 soldats par exemple, ce qui est le nombre approximatif de l'armée communiste yashosienne actuelle, rendrait cet armée inapte à combattre, les communications seraient mauvaises, la coopération et le vivre ensemble serait dures. Ce qui fait aussi défaut à notre armée, c'est belle et bien le matériel. Nous ne possédons rien ou presque rien tandis que l'armée tsariste se voit offrir ou acheter une aviation par ces alliés. Des dons de matériels militaires serait utiles, très utiles.

Il dû marquer une pose de plusieurs secondes pour réfléchir à ses mots.

Pendant ce temps autour du Président
Tandis que le Président Josef Skratac était encore debout pour réfléchir à ses mots, les deux gardes du corps professionnels de ce dernier se voyait entamés une petite discussion en chuchotant pour ne pas déranger la rencontre.
— T'a vu ça ?! Ils veulent envoyer des soldats pour nous aidez.
— Avec eux, on est obligé de gagner !
— Ça c'est sur...Ce sera bientôt finit !


Le président eu enfin les mots exacts pour ce qu'il voulait dire :

— Une partie de votre discours m'a cependant interpelé. Que voulez donc bien dire par "ligne directrice permettant l'évolution du modèle socialiste yashosien" ? Vous voulez que notre régime change ? Notre régime n'a pas prévu de changer. Êtes vous entrain de dire que nous ne sommes pas légitime ? Que les tsaristes ont raisons ? Nous ne comprenons pas bien votre démarche.
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A la suite de la prise de parole du Yashosien, l'Ouanais se leva, visiblement agacé et prit la parole en s'adressant droit dans les yeux à son interlocuteur:

"Camarade, avant toute chose, sachez en une, l'Ouaine est un pays communiste, mais surtout, un pays démocratique et un pays de liberté. Nous ne vous cachons pas que nous ne sommes pas le pays le plus motivé pour vous souenir depuis des années mais nous le faisons, par sens du devoir, alors vous nous devez de nous écouter !
L'Ouaine soutient le peuple ! le peuple libre !
Ce n'est pas un détail pour nous, vous avez pris plusieurs lois restreignant la liberté d'opinion de la population, j'en prends pour exemple votre loi sur la religion mais il y en a tant d'autres Nous voulons être sur que, lorsque la guerre sera finie, vous supprimerez ces lois pour donner plus de libertés à la population.
Si vous le promettez, alors notre convoi partira dès ce soir, sinon, cela ne se fera pas avec tous les pays du CSN,
"

Il se rassit pesamment, regardant d'un air froid son interlocuteur qui, un poil inquiet, digérait cette information
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Le président Josef Skratac écoutait bouche bée et extrêmement énervé le discours du diplomate ouainais. Il s'était déjà expliqué sur la raison de l'interdiction de la religion dans l'état de Yashosie. Il était venu ici pour une aide envers son pays et non pas pour une réprimande sur les lois de son pays ! Surtout lorsque l'on sait ce que le Morzanov commet au minorités sexuelles ! Il prit la parole sur un ton d'énervement.

— Excusez moi, mais il me semble que mon corps diplomatique ainsi que ma personne avons fait le déplacement jusqu'ici pour recevoir une aide de l'ensemble de la confédération socialiste du Nazum. Nous n'avons pas fait le déplacement pour recevoir divers critique sur comment est gérer notre pays. Nous comprenons qu’elle puisse faire réagir et susciter de nombreuse réaction d’incompréhension, cependant pas de la part d’un régime communiste. Vous devriez savoir et connaître que les religions ont été créés pour rassurer le peuple d’événements à l’époque inexplicable et qui sont à notre jour entièrement naturels. Ainsi qu’elles ont été perpétré pour pouvoir manipuler le peuple à la guise des Églises, Synagogue ou Mosquée. C’est pour ces raisons que nous avons décidé de bannir les religions dans notre pays, ces propagandes extrémistes n’affecteront notre peuple ! Je tiens aussi à rappeler ce que la République Socialiste du Morzanov fait subit aux minorités sexuelles de son pays.
Il se tourna vers la délégation morznik.
— Nous ne blâmons pas vos directives, bien au contraire. Nous tenons à vous dire que de telles mesures sont quelque chose d'entièrement normal et même obligatoire pour le bon fonctionnement d'un pays. Ces mots n'ont pour seuls rappels le fait que nous ne sommes pas seuls à "punir", comme vous le dites, le peuple et que ne pas vouloir nous soutenir pour de telles raisons est quelque chose de complètement stupide ! Si vous n'intervenez pas, c'est un tsarat fasciste qui prendra notre place ! Avec qui le dialogue n'existera pas ! Si cela ne convient pas à votre confédération, je préfère partir et finir le régime communiste sur un moment héroïque d'un régime qui n'a jamais brisé leur foi et leurs convictions au prix d'une simple aide militaire !
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  • 💬 « Monsieur le Président... Il est évident que votre République a toujours voulue être isolé, depuis votre libération en 1939, vous avez toujours fait cavalier seule, depuis toutes ses années, vous n'avez jamais envisagé de nous rejoindre, vous avez eu 13 ans, jusqu'en 1963 pour vous décider, malgré tout, vous êtes resté dans un régime isolé, sans aucune éventualité d'évolution, la ou la Loduarie a été noble, c'est qu'elle a su évoluer progressivement dans son régime, contrairement à vous, où vous êtes resté figée en 1939, pour cette histoire de foi, il suffit de réclamer aux différentes églises, mosquées et Synagogues, de ne pas interférer dans les affaires politiques, leur imposer une forme de tutelle, et diminuer l'emprise sur les religions au fils du temps, il faut s'assurer que les religions n'est pas d'emprise sur les mentalités politiques. Par exemple, il suffit d'intégrer les institutions du clergé dans l'aide de la suppression des classes. Après toute l'église soutient les plus démunis, le Communisme se veut égalitaire, les deux principes ne sont pas forcément incompatibles, bien que la foi soit un motif de discrimination et de division, il faut permettre à chacun de croire en ce qu'il souhaite, et interdire toute forme de discrimination entre les différentes croyances. L'Erreur de votre République aura de ne pas avoir évolué avec le temps, il en va de même pour la liberté et la démocratie, il est difficile de trouver un équilibre entre démocratie et socialisme autoritaire, Après tous les principes du fondateur sont un juste milieu entre ses deux principes, mais comment l'appliquer dans un monde si vaste, nous comprenons que tout ceci est difficile, mais nous sommes en 2017. Et nous constatons que la plus juste des causes sont... ses fascistes... Moi qui pense que nous parviendrons à nous comprendre et nous entendre entre Socialiste, de quoi parlez-vous ? vis-à-vis de la République Socialiste du Morzanov ? Je vais étudier la question, Nous sommes déçu de voir que nos négociations ont échouée. Si vous souhaitez partir, je vous accompagnerai en Yashosïe, je souhaiterais voir la situation sur place, qu'en dit vous ? »

Après cela, le Présidium va se taire, sa parole est terriblement déçue sur le comportement d'opposition du Yashosie, ils ont méprisé leurs peuples en oubliant que la Révolution doit être pour le Peuple.
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Le président Josef Skratac reçu une énorme paire de claques. Il s'attendait et était même venu à cette rencontre pour recevoir une aide militaire et non pour se faire juger sur sa politique de gouvernance. Il était déçu, en colère, triste, mécontent, il avait une immense rage et surtout, il avait peur. Il s'avait qu'en retournant en Yashosie il serait déjà probablement la fin. Il savait ce qui l'attendais lorsque la guerre serait perdue et donc finie. Il allait être arrêté, jugé et mis à mort. Il avait profondément peur.
C'est alors avec plein de haine et frayeur qu'il entama sa probable dernière réplique lors d'une rencontre diplomatique.

— Vous n'êtes que des hypocrites et des menteurs ! Vous aviez promis des aides militaires mais vous ne faites rien pour nous aider sous prétexte de camp de rééducation alors que ceux de la République Socialiste du Morzanov possède les mêmes ! Monsieur le président barvynien, allez vous me dire que vous n'étiez pas au courant de ces camps ? Vous êtes alors médiocre et incompétent ! De plus vous ne voulez pas nous aidez mais faire une visite du pays ?! Mais allez vous faire foutre sale orthodoxe de merde ! Bande de pseudo-socialiste !

Suite à ce discours que l'on peut qualifier de peu diplomatique, le président Skratac quitta la salle en insultant de nombreux et divers nom d'oiseau les dirigeants de la Confédération Socialiste du Nazum. Il monta dans son avion se dirigeant vers la capitale, Kharinsk. Ce qu'il ne savait pas, est que de nombreuse batailles se déroulaient actuellement au alentours de la capitale...et que ses craintes se réaliserait bientôt.
Ce que vous avez loupés (HRP)
Comme annoncer sur discord, un léger évènement a été mis en place sur cette rencontre. Il pouvait être contrée par une attention minutieuse...que vous n'avez pas eu.

Extrait de la rencontre a écrit :Tandis que le Président Josef Skratac était encore debout pour réfléchir à ses mots, les deux gardes du corps professionnels de ce dernier se voyait entamés une petite discussion en chuchotant pour ne pas déranger la rencontre.
— T'a vu ça ?! Ils veulent envoyer des soldats pour nous aidez.
— Avec eux, on est obligé de gagner !
— Ça c'est sur...Ce sera bientôt finit !
Comme nous pouvons le voir, 2 gardes du corps de la garde rapprochées du président discutent de la rencontre. Cette discussion est causé par un garde en particulier qui semble bien attentif à la rencontre. Étrange pour un simple garde du corps non ? Et bien en effet, il s'agit d'un partisan tsariste qui a réussi à s'infiltrer parmi la garde rapprochées du président socialiste.

Ce que cela va causer :
L'avion ne sera pas escorté par l'aviation morznik suite au départs précipité du président. L'avion se fera donc détourné par le garde du corps et la complicité du pilote. Le copilote et les autres gardes du corps se feront petit à petit éliminés lors du vol. Après une grosse parti éliminé, l'avion sera détourné et devra atterrir sur la base militaire aérienne de Tsalgarouli. Le président se fera arrêter à l'atterrissage par les forces militaires urbaines du Khardaz.

Vous découvrirez la suite dans le topic "Déroulée de la guerre civile"...

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