Activités intérieures Morznik
Posté le : 27 août 2025 à 01:12:34
Modifié le : 03 sep. 2025 à 18:23:12
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Vous trouverez sur ce topic toutes les activités militaires Morznik.
Posté le : 28 août 2025 à 23:32:00
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Les deux appareils, pilotés par des aviateurs d'élite de l'escadron spécialisé, ont pour mission initiale de se diriger Vishtek, plus grande ville contrôlé par les Tsariste, située à l'Est du territoire.
Les deux chasseurs-bombardiers Morznik, réputés pour leur capacité à dépasser largement le mur du son, ont reçu l'ordre explicite de franchir l'espace aérien du Yashosie à vitesse supersonique maximale pour survoler la ville stratégique de Vishtek. Cette manœuvre audacieuse vise délibérément à créer un maximum de perturbations soniques au-dessus de cette cible prioritaire, dans le but évident d'intimider et de déstabiliser le régime adverse. Les appareils Morznik, sont équipés de réacteurs à double chambre permettant d'atteindre des vitesses dépassant Mach 2.5 facilement. Le franchissement du mur du son au-dessus de la ville de Vishtek génère des bangs supersoniques d'une intensité exceptionnelle, capables de briser des vitres et de provoquer une panique généralisée parmi la population civile yashosienne pro Tsariste.
Cette opération s'inscrit dans une stratégie plus large de guerre psychologique menée par le Morzanov contre les Tsariste. Les analystes militaires confirment que ces survols supersoniques répétés constituent une forme d'intimidation calculée, destinée à démontrer la supériorité technologique et opérationnelle de l'aviation morznik face aux forces Tsariste qui achete sans cesse des arme qui ne serviront à rien, de l'argent balancer par la fenêtre.
Après avoir effectué plusieurs passages à très haute vitesse au-dessus de Vishtek et de ses environs stratégiques, les deux chasseurs-bombardiers Morznik ont reçu l'ordre de modifier leur trajectoire de revenir à la base.
Les pilotes des appareils Morznik, dont les identités demeurent strictement confidentielles pour des raisons de sécurité nationale, ont ainsi survolé l'espace aérien le plus sensible du Yashosie Tsariste sans avoir été identifie. Cette démonstration de force aérienne illustre la détermination du Morzanov à faire valoir ses positions géopolitiques par tous les moyens nécessaires. Le retour des deux chasseurs-bombardiers à leur base de Zapograd s'est effectué sans incident, marquant la réussite complète de cette opération d'intimidation psychologique d'une audace remarquable.
Posté le : 28 août 2025 à 23:33:06
Modifié le : 31 août 2025 à 23:37:53
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Cette nuit-là, le Maréchal Dmitri Veltsarov avait une idée en tête. Deux de ses meilleurs pilotes venaient de recevoir l'ordre de mission le plus inhabituel de leur carrière : faire peur aux Yashosiens sans tirer un seul coup de feu.
Les deux chasseurs-bombardiers Morznik ont décollé dans l'obscurité totale. Ces machines de guerre, capables de dépasser Mach 2,5, filaient vers leur cible : la ville stratégique de Vishtek, controlé par ses minable de Tsariste. Le plan était simple mais efficace, passer au-dessus de la ville à vitesse maximale et laisser les bangs supersoniques faire le travail. Et ça a marché au-delà de toutes les espérances. Les vitres ont volé en éclats dans toute la ville, les habitants se sont réveillés en panique, et le message était clair : "On peut vous atteindre quand on veut." Après plusieurs passages qui ont semé la terreur, les pilotes sont rentrés chez eux sans même être identifiés. Mission accomplie.

Mais Veltsarov n'en avait pas fini. Quelques heures plus tard, ses mêmes pilotes étaient déjà repartis, cette fois depuis une base en Barvynie après cette rapprovisionné dans la base au Morzanov. L'état-major avait eu vent du convoi maritime d'Artyom qui se dirigeait vers le Yashosie transportant des arme sur 5 navire cargo, à environ 390 kilomètres au nord des côtes barvyniennes. L'occasion était trop belle. À l'aube, les deux Morznik ont pris leur envol direction le convoi. Leur mission cette fois ? Harceler les marins et leur rappeler qu'ils étaient surveillés et pourquoi pas aussi faire change de direction le convoi, ou même le renvoyé en Artyom.
Ce qui s'est passé ensuite, c'était du grand art dans l'intimidation. Pendant plus de 60 minutes, les chasseurs ont joué au chat et à la souris avec les navires. Ils frôlaient les superstructures, remontaient en chandelle dans un rugissement d'enfer, puis revenaient à la charge. Chaque passage simulait une attaque, maintenant les équipages sur le qui-vive. Ils survolèrent à plusieurs reprises les navires en frôlant presque les superstructures, se rapprochant à une distance extrêmement dangereusement.
Les pilotes variaient les plaisirs : tantôt ils volaient au ralenti pour faire durer le suspense, tantôt ils accéléraient brutalement pour montrer leur puissance. Le clou du spectacle ? Deux fois, ils ont franchi le mur du son juste au-dessus du convoi. Les bangs ont fait vibrer les coques comme des tambours d’une violence telle que la coque du cargo et les structures de ses escorteurs vibrèrent de manière inquiétante, et on peut imaginer l'état des nerfs des marins à bord.
Au bout d'une heure de ce manège, les Morznik ont pris de l'altitude et ont disparu. Mais pas question de rentrer à la maison, ils se sont repositionnés en Barvynie, prêts à recommencer. Le message de Veltsarov était on ne peut plus clair : cette guerre psychologique ne faisait que commencer, et la pression allait continuer de monter.
Posté le : 29 août 2025 à 00:10:35
Modifié le : 29 août 2025 à 17:18:36
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La nuit recouvrait encore tout le territoire lorsque les hangars de la base de Stravinsk s’ouvrirent, libérant deux avions d’attaque au sol , appareils spécialement pour les frappes de précision en terrain difficile. Cette fois-ci, il ne s’agissait pas d’une mission offensive mais d’un exercice grandeur nature, mené directement au-dessus du Yashosie Tsariste. Les pilotes avaient reçu l’ordre de simuler une série de frappes sur des cibles factices installées dans une zone montagneuse stratégique afin de tester leur réactivité en conditions réelles. Les deux appareils roulèrent en silence sur le tarmac, puis s’élancèrent dans le ciel obscur.
Tour de contrôle Stravinsk : "Morznik-AS 1, Morznik-AS 2, vous êtes autorisés au décollage. Cap sud-est, altitude initiale deux mille mètres. Exercice simulé en territoire ennemi. Cibles codées secteur Mont-Kappa."
Morznik-AS 1 : "Reçu, décollage."
Morznik-AS 2 : "Décollage confirmé, systèmes prêts."
01h28 : Survol des montagnes yashosiennes
Les écrans de navigation affichaient les reliefs accidentés d’une chaîne montagneuse située à l’Ouest du Yashosie. Le ciel était noir complet. Le vol en basse altitude exigeait une concentration hors norme, chaque seconde pouvait faire la différence.
Morznik-AS 2 : "Visibilité quasi nulle, je passe en infrarouge."
Morznik-AS 1 : "Garde formation, cibles simulées verrouillées, coordonnées GPS intégrées."
Les deux avions s’engagèrent dans les vallées profondes, frôlant les crêtes et épousant le relief avec une précision chirurgicale.
01h40 : Phase d’attaque simulée
Tour de contrôle Stravinsk : "Cibles en approche. Simulation autorisée. Objectifs : bunkers fictifs, dépôts de munitions simulés et colonnes blindées factices."
Morznik-AS 1 : "Je prends la cible alpha, trajectoire stable. Simulation armement guidé."
Morznik-AS 2 : "Cible bravo verrouillée. Simulation de tir en piqué."
Les deux appareils descendirent brutalement dans la vallée, effectuant des passes à basse altitude. Les systèmes embarqués envoyèrent des signaux électroniques qui simulaient la libération de bombes guidées et de roquettes. Dans l’obscurité, les pilotes virent leurs écrans afficher des impacts virtuels sur les cibles, enregistrés par les radars d’exercice.
Morznik-AS 2 : "Cible neutralisée."
Morznik-AS 1 : "Impact simulé confirmé. On passe en secondaire."
Les manœuvres se succédèrent ainsi durant près de vingt minutes. Les deux avions multiplièrent les trajectoires d’attaque, volant parfois si bas que leurs réacteurs faisaient vibrer les pentes rocheuses.
01h58 : Fin d’exercice
Après une série de passes réussies et l’élimination simulée de toutes les cibles désignées, le commandement mit fin à l’opération.
Tour de contrôle Stravinsk : "Morznik-AS 1, Morznik-AS 2, toutes données reçues. Exercice terminé. Rentrez à la base."
Morznik-AS 1 : "Ici un, retour confirmé."
Morznik-AS 2 : "Ici deux, cap vers Stravinsk, mission achevée."
Les deux appareils reprirent de l’altitude et s’éloignèrent de la zone, laissant les montagnes yashosiennes à nouveau plongées dans le silence de la nuit.
Cet exercice grandeur nature, mené directement au-dessus du territoire du Yashosie, avait pour but de confronter les pilotes morznik aux conditions extrêmes d’un vol nocturne en zone montagneuse hostile. Les cibles fictives, simulant des positions tsaristes, avaient toutes été neutralisées virtuellement. Exercice destiné à préparer les troupes à une éventuelle campagne de bombardement contre les Tsaristes au Yashosie, afin que les pilotes soient prêts à frapper rapidement et efficacement le jour où l’ordre sera donné.

petit rond en rouge
Posté le : 31 août 2025 à 18:51:02
Modifié le : 01 sep. 2025 à 00:25:53
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La sélection n'a pas été faite au hasard. Chaque réserviste a passé des tests sérieux avant d'être affecté dans son unité. Certains rejoignent l'infanterie, d'autres prennent les airs avec l'aviation, et les plus costauds intègrent directement les forces spéciales.
Côté formation, ça ne rigole pas. Au programme : combat au corps à corps, manœuvres sur tous types de terrains, batailles en zone urbaine et apprentissage du matériel militaire dernier cri. Les formateurs connaissent leur métier sur le bout des doigts - tous des vétérans qui ne laisseront rien passer.
Avec ces renforts, le Morzanov dispose désormais d'une réserve de choc capable de réagir vite partout où ça chauffe. Les hauts gradés ne cachent pas leur satisfaction : avoir autant de soldats disponibles, c'est la garantie de pouvoir défendre le territoire et montrer ses muscles à l'étranger quand il le faut.
D'ici quelques jours voir 1 mois, ces nouvelles troupes pourraient bien voir du pays selon ce que décideront les chefs militaires. Une carte maîtresse pour les projets du Morzanov à l'international.
Posté le : 03 sep. 2025 à 18:40:31
Modifié le : 11 oct. 2025 à 14:08:35
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Ce blindé représente un sérieux upgrade par rapport aux anciens modèles. Blindage renforcé, canon de 80 mm, capacité de transport pour huit voir 10 fantassins. Les ingénieurs ont bossé dur pour sortir un engin qui tient la route sur tous les terrains.
Les premiers tests avec les équipages sont concluants. Le véhicule file à 110 km/h sur route et franchit la plupart des obstacles sans broncher. L'habitabilité est correcte et les systèmes fonctionnent comme prévu.
La production monte en cadence pour équiper les unités d'élite d'ici la fin d'année. Un atout supplémentaire pour les forces morniks, que ce soit pour la défense du territoire ou le soutien aux alliés comme la Yashosie socialiste.

Parallèlement, les bureaux d'études ont également finalisé un hélicoptère de transport de troisième génération Tarinsk. L'appareil peut embarquer douze soldats équipés et dispose d'un armement défensif conséquent : mitrailleuses lourdes latérales et pods lance-roquettes. De quoi assurer l'appui-feu pendant les opérations de débarquement.
Posté le : 12 sep. 2025 à 23:30:06
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Les premiers essais en vol donnent satisfaction. Le drone vole à un peu plus de 100 km/h à une altitude maximale de 3 000 mètres. Sa faible surface radar le rend difficile à détecter, facilitant son emploi en zone hostile.
La production monte en puissance pour livrer les unités de renseignement avant l’hiver. Un accroissement appréciable des capacités de surveillance pour l’armée, tant pour protéger les frontières que réaliser des missions de reconnaissance avancées.
Posté le : 17 sep. 2025 à 21:56:56
Modifié le : 17 sep. 2025 à 22:10:11
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09/08/2017
Dans son bureau baigné par la clarté blafarde des moniteurs tactiques, le chef d'état-major entreprit de joindre nos partenaires stratégiques. Les communications avec l'Ouaine et la Barvynie furent directes : "Situation tendue. Exercice combiné requis. Votre participation sollicitée." Les réponses ne tardèrent guère. L'Ouaine mit à disposition un submersible lanceur d'engins de 3e génération, parfaitement équipé pour les simulations les plus sophistiquées. La Barvynie dépêcha deux corvettes, spécialisées dans la reconnaissance maritime et l'escorte tactique.
Devant l'afflux des confirmations, le maréchal ne put réprimer un sourire empreint d'une satisfaction toute militaire : "Sacrés équipements... nous disposons là de beaux joujou par ma barbe !" Recouvrant immédiatement son sérieux, il déploya la stratégie : trois chasseurs-bombardiers morzniks exécuteraient des passes d'attaque simulées, larguant des charges d'exercice dans les eaux du Khardaz, à 30 kilomètres des rivages. Les corvettes seraient chargées de la collecte de renseignements navals et du déploiement sécuritaire le long des zones côtières sensibles. Quant au sous-marin, il simulerait le tir de deux missiles balistiques des projectiles d'entraînement, totalement inertes et conçus exclusivement pour ce type de manœuvre.
03h10
Après une semaine de préparation de l’exercice, sous un ciel encore chargé de brumes matinales, les corvettes appareillèrent de leurs mouillages respectifs, prenant position selon un dispositif minutieusement calculé. Leur mission : tisser un réseau de surveillance électronique et de renseignement autour des zones d'intérêt. À bord, les équipages, tendus mais parfaitement concentrés, savaient que chaque manœuvre devait reproduire fidèlement les conditions opérationnelles réelles.
04h02
Le bâtiment sous-marin de l'Ouaine nommé l'Othon s'immergea avec discrétion. En surface, les corvettes peaufinaient leur déploiement ; dans les hangars, les équipages aériens procédaient aux dernières vérifications. La simulation de lancement depuis le sous-marin fut orchestrée avec un souci du détail remarquable : illumination des tubes lance-torpilles, séquences de préparation réglementaires, transmissions codées vers les observateurs tout concourait à l'authenticité de l'exercice.
05h17
Dans un rugissement synchronisé, les trois chasseurs-bombardiers s'arrachèrent de leurs pistes dans une formation impeccable de la base de Ripograd. Évoluant à altitude tactique, ils enchaînèrent les passes de reconnaissance avant de larguer leurs charges d'exercice à 30km du rivage. Les projectiles factices touchèrent les flots dans des gerbes d'écume, leurs impacts soigneusement relevés par un réseau de bouées. Pendant ce temps, les corvettes s'occuper de leur tâche avec efficacité : interception des communications, guerre électronique, observation à distance. Le sous-marin, fidèle au scénario, exécuta sa séquence de "tir" : les trajectoires des missiles simulés s'affichèrent en temps réel sur les écrans de contrôle, sans qu'aucun projectile ne soit effectivement lancé. Le missile fictif a atteint parfaitement sa cible (Kharinsk)
06h02
Au signal convenu, chaque unité regagna ses positions d'origine avec la même précision qui avait caractérisé l'ensemble de l'opération. Le Maréchal Veltsarov parcourut les rapports d'engagement avec la satisfaction du chef militaire accompli : coordination inter-armes validée, procédures testées en conditions quasi-réelles, message politique transmis sans effusion de sang. "Mission accomplie dans les règles de l'art", consigna-t-il dans son journal de bord personnel. Les corvettes reprirent leurs patrouilles habituelles, le sous-marin retrouva l'anonymat des grandes profondeurs, tandis que les chasseurs regagnaient la sécurité de leurs abris fortifiés.
Cette opération fut exactement ce qu'elle devait être : un exercice militaire intense, une démonstration de force mesurée, et la preuve de notre excellente coordination.

Posté le : 19 sep. 2025 à 21:04:41
Modifié le : 11 oct. 2025 à 14:12:11
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Blindage composite renforcé, canon automatique de 100 mm, et mobilité exceptionnelle sur tous terrains. Les ingénieurs ont privilégié la rapidité d'intervention et la polyvalence tactique.
Les premiers essais sur le terrain dépassent les prévisions. Le Sokol file à vive allure même en terrain accidenté tout en conservant une précision de tir remarquable. Sa silhouette compacte et ses systèmes de camouflage actif le rendent difficile à repérer. La production s'intensifie pour équiper les unités mécanisées avant décembre
