Présidente du Conseil d’État aux Transports : Marie AnneAu sein du GénéralGouvernement, Marie Anne incarne la maîtresse d’œuvre des circulations, gardienne des routes, des gares et des ports qui permettent au peuple protestant d’exister en tant que communauté connectée et autonome dans ses flux internes comme dans ses liens avec l’Empire. Née dans une famille de cheminots rhénans, elle a grandi dans le bruit des locomotives et le vacarme des ateliers ferroviaires. Cette enfance au cœur du « réseau vivant » l’a marquée à jamais : elle considère que le transport n’est pas seulement une affaire d’infrastructure, mais une question de souveraineté territoriale.
Rôle institutionnel et responsabilitésÀ la tête du Conseil d’État aux Transports, Marie Anne dispose d’un pouvoir considérable, souvent invisible mais décisif :
Le réseau ferroviaire : colonne vertébrale du GénéralGouvernement, reliant les centres industriels germaniques, les territoires agricoles et les zones frontalières. Elle supervise les investissements, l’entretien et la planification des grandes lignes.
Les infrastructures routières et fluviales : ses services organisent la répartition des budgets entre les routes rurales et les grands axes de transit, tout en veillant à sécuriser les ponts et les voies navigables.
Les ports et les aéroports : elle défend la modernisation des terminaux protestants, indispensables pour l’exportation des minerais et des produits manufacturés.
Les transports publics urbains : tramways, autobus, métro léger dans certaines villes : Marie Anne fait de la mobilité quotidienne un outil d’égalité sociale.
Vision politique et symboliqueMarie Anne est convaincue que les transports forment le « sang de la communauté », et que si les veines se rompent, le corps politique tout entier dépérit. Son projet repose sur trois grands axes :
L’unification territoriale : réduire les écarts entre les provinces riches (industrielles et côtières) et les zones rurales plus isolées, afin d’éviter la marginalisation d’une partie de la population protestante.
La modernisation permanente : développer le transport électrique, automatiser certaines gares et lancer des lignes à grande vitesse pour connecter le GénéralGouvernement aux grandes métropoles de l’Empire.
- La souveraineté logistique : veiller à ce que le réseau protestant reste contrôlé par les autorités locales et non absorbé par les compagnies impériales, perçues comme des menaces d’ingérence.
Relations avec les autres autoritésAvec le Prince-Président Jessy Cherbert, Marie Anne entretient une relation de confiance : tous deux considèrent les infrastructures comme une arme politique majeure pour prouver la capacité d’autogestion protestante.
Avec Paul Von Bâle (Sociétés Nationales du Reich), les tensions sont fréquentes : Von Bâle veut contrôler le fret et les ports au nom de l’économie germanique, ce que Marie Anne perçoit comme une tentative de mainmise sur sa compétence.
Avec Martin Lodenb (Intérieur), elle collabore étroitement sur la gestion des flux migratoires internes, les contrôles de sécurité routière et la surveillance des grands axes.
Image publique et influenceDans l’opinion, Marie Anne est perçue comme la « Dame des rails », figure pragmatique et résolument tournée vers l’avenir. Elle n’a pas l’éloquence des grands orateurs du GénéralGouvernement, mais elle jouit d’une réputation d’efficacité : quand elle promet qu’une ligne sera ouverte en 2020, elle est inaugurée en 2020, sans retard ni scandale. Les travailleurs du rail et des transports lui vouent un respect quasi maternel.
Zone d’ombreSes adversaires l’accusent d’avoir tissé une toile de dépendance économique en orientant les investissements vers les régions politiquement loyales au Conseil, au détriment des zones plus contestataires. De plus, certains dénoncent la dimension quasi-militaire de son réseau : les infrastructures seraient pensées non seulement pour le transport civil, mais aussi pour permettre un déploiement rapide des milices de Karl Drosser en cas de crise.
En résuméEn résumé, Marie Anne incarne la puissance discrète mais vitale du GénéralGouvernement : celle de tenir ensemble un peuple dispersé grâce à un maillage de routes, de rails et de ports qui sont autant de lignes de vie que de lignes de défense.
Présidente du Conseil d’État aux Transports : Marie AnneAu sein du GénéralGouvernement, Marie Anne incarne la maîtresse d’œuvre des circulations, gardienne des routes, des gares et des ports qui permettent au peuple protestant d’exister en tant que communauté connectée et autonome dans ses flux internes comme dans ses liens avec l’Empire. Née dans une famille de cheminots rhénans, elle a grandi dans le bruit des locomotives et le vacarme des ateliers ferroviaires. Cette enfance au cœur du « réseau vivant » l’a marquée à jamais : elle considère que le transport n’est pas seulement une affaire d’infrastructure, mais une question de souveraineté territoriale.
Rôle institutionnel et responsabilitésÀ la tête du Conseil d’État aux Transports, Marie Anne dispose d’un pouvoir considérable, souvent invisible mais décisif :
Le réseau ferroviaire : colonne vertébrale du GénéralGouvernement, reliant les centres industriels germaniques, les territoires agricoles et les zones frontalières. Elle supervise les investissements, l’entretien et la planification des grandes lignes.
Les infrastructures routières et fluviales : ses services organisent la répartition des budgets entre les routes rurales et les grands axes de transit, tout en veillant à sécuriser les ponts et les voies navigables.
Les ports et les aéroports : elle défend la modernisation des terminaux protestants, indispensables pour l’exportation des minerais et des produits manufacturés.
Les transports publics urbains : tramways, autobus, métro léger dans certaines villes : Marie Anne fait de la mobilité quotidienne un outil d’égalité sociale.
Vision politique et symboliqueMarie Anne est convaincue que les transports forment le « sang de la communauté », et que si les veines se rompent, le corps politique tout entier dépérit. Son projet repose sur trois grands axes :
L’unification territoriale : réduire les écarts entre les provinces riches (industrielles et côtières) et les zones rurales plus isolées, afin d’éviter la marginalisation d’une partie de la population protestante.
La modernisation permanente : développer le transport électrique, automatiser certaines gares et lancer des lignes à grande vitesse pour connecter le GénéralGouvernement aux grandes métropoles de l’Empire.
- La souveraineté logistique : veiller à ce que le réseau protestant reste contrôlé par les autorités locales et non absorbé par les compagnies impériales, perçues comme des menaces d’ingérence.
Relations avec les autres autoritésAvec le Prince-Président Jessy Cherbert, Marie Anne entretient une relation de confiance : tous deux considèrent les infrastructures comme une arme politique majeure pour prouver la capacité d’autogestion protestante.
Avec Paul Von Bâle (Sociétés Nationales du Reich), les tensions sont fréquentes : Von Bâle veut contrôler le fret et les ports au nom de l’économie germanique, ce que Marie Anne perçoit comme une tentative de mainmise sur sa compétence.
Avec Martin Lodenb (Intérieur), elle collabore étroitement sur la gestion des flux migratoires internes, les contrôles de sécurité routière et la surveillance des grands axes.
Image publique et influenceDans l’opinion, Marie Anne est perçue comme la « Dame des rails », figure pragmatique et résolument tournée vers l’avenir. Elle n’a pas l’éloquence des grands orateurs du GénéralGouvernement, mais elle jouit d’une réputation d’efficacité : quand elle promet qu’une ligne sera ouverte en 2020, elle est inaugurée en 2020, sans retard ni scandale. Les travailleurs du rail et des transports lui vouent un respect quasi maternel.
Zone d’ombreSes adversaires l’accusent d’avoir tissé une toile de dépendance économique en orientant les investissements vers les régions politiquement loyales au Conseil, au détriment des zones plus contestataires. De plus, certains dénoncent la dimension quasi-militaire de son réseau : les infrastructures seraient pensées non seulement pour le transport civil, mais aussi pour permettre un déploiement rapide des milices de Karl Drosser en cas de crise.
En résuméEn résumé, Marie Anne incarne la puissance discrète mais vitale du GénéralGouvernement : celle de tenir ensemble un peuple dispersé grâce à un maillage de routes, de rails et de ports qui sont autant de lignes de vie que de lignes de défense.
Président du Conseil d’État du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles : Rohm VelfAvec Rohm Velf, le GénéralGouvernement se dote d’une figure où la rigueur économique et la préoccupation sociale se rejoignent dans une seule autorité. Né dans une famille modeste d’ouvriers de la Rumh, marqué par la condition des travailleurs et par les luttes protestantes pour la dignité ouvrière, il a gravi les échelons grâce à une solide formation universitaire en droit social et en économie du travail. Son ascension symbolise ce que le GénéralGouvernement aime mettre en avant : la méritocratie protestante, où la compétence et la discipline remplacent le privilège et l’héritage.
Rôle institutionnel et responsabilitésLe Conseil d’État du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles regroupe plusieurs secteurs essentiels de la vie quotidienne :
Le Travail et l’emploi : Velf définit les règles de négociation collective, supervise les conventions professionnelles et fixe le cadre légal des relations entre employeurs et ouvriers.
La Santé : il contrôle les hôpitaux, cliniques et caisses de soins protestantes, garantissant une médecine indépendante des grandes institutions impériales.
Les Solidarités : il pilote les aides sociales, les pensions, le soutien aux chômeurs et aux familles défavorisées.
La Famille : il met en œuvre des politiques natalistes et de protection de l’enfance, considérées comme un pilier de la survie démographique protestante.
Vision politique et socialeRohm Velf se distingue par une approche très pragmatique, parfois qualifiée de « protestantisme social appliqué » :
La dignité du travail : pour lui, chaque ouvrier doit pouvoir vivre décemment de son salaire. Il défend un salaire minimum spécifique aux provinces protestantes et une taxation limitée sur les petits revenus.
La santé comme pilier de l’autonomie : Velf considère que la dépendance aux hôpitaux impériaux est une menace politique. Il a donc lancé un programme de modernisation des hôpitaux régionaux, favorisant la recherche médicale germanique.
La solidarité communautaire : les aides ne sont pas vues comme une charge mais comme un investissement dans la stabilité sociale. Il insiste sur la redistribution des excédents fiscaux pour renforcer les familles nombreuses.
La natalité et la famille : dans son discours, une famille forte, instruite et en bonne santé est une arme politique contre l’assimilation impériale.
Relations avec les autres autoritésAvec Paul Von Bâle (Sociétés Nationales du Reich), les relations sont tendues : Von Bâle privilégie la rentabilité et l’exploitation industrielle, tandis que Velf insiste sur la protection des ouvriers.
Avec Eva Lewin (Éducation), il collabore pour renforcer l’instruction civique et l’intégration des jeunes au marché du travail.
Avec Marie Anne (Transports), il agit de concert pour sécuriser les mobilités professionnelles et assurer la couverture médicale dans les zones isolées.
Avec le Prince-Président Jessy Cherbert, il partage l’idée que la prospérité protestante passe d’abord par la santé et la cohésion sociale, et non seulement par la puissance économique.
Image publique et influenceRohm Velf est considéré comme l’avocat du peuple protestant. Il multiplie les déplacements dans les usines, les hôpitaux et les villages pour vérifier les conditions de vie et de travail. Sa popularité dépasse largement les cercles ouvriers : il est vu comme une figure paternelle, parfois sévère, mais toujours attentive à la justice sociale. Dans la presse germanique, il est surnommé « le Ministre des familles » ou « l’homme des hôpitaux », image qui nourrit sa stature nationale.
Zone d’ombreSes opposants l’accusent d’utiliser les aides sociales comme un outil de clientélisme politique, distribuant davantage de subventions aux provinces les plus fidèles au GénéralGouvernement. D’autres le critiquent pour son hostilité affichée aux réformes libérales impériales, ce qui bloque parfois des projets d’harmonisation économique. Enfin, ses liens avec certains syndicats radicaux protestants, proches de l’extrême gauche germanique, sont régulièrement mis en cause.
En résuméEn résumé, Rohm Velf incarne la colonne vertébrale sociale et sanitaire du GénéralGouvernement : il protège le peuple protestant dans son corps, son travail et ses familles, en posant les bases d’une société soudée, résiliente et autonome vis-à-vis de l’Empire.
Présidente du Conseil d’État de l’Économie et des Finances Publiques du Reich : Anna Wonder-WaffenAvec Anna Wonder-Waffen, le GénéralGouvernement se dote d’une personnalité emblématique de la rigueur budgétaire et de la gestion économique protestante. Issue d’une dynastie de banquiers installés depuis plusieurs générations dans les grandes villes commerçantes du Nord, Anna Wonder-Waffen incarne la tradition d’une bourgeoisie germanique disciplinée, attachée à la fois à l’orthodoxie financière et à l’autonomie du Reich face aux interférences impériales. Son arrivée au poste de Présidente du Conseil d’État de l’Économie et des Finances Publiques a été saluée comme une garantie de stabilité, mais aussi comme une promesse de fermeté.
Rôle institutionnel et responsabilitésLe Conseil d’État de l’Économie et des Finances Publiques constitue l’un des piliers du GénéralGouvernement, chargé de :
L’élaboration du budget général des provinces protestantes, incluant la fiscalité et la répartition des dépenses publiques.
La gestion des recettes fiscales locales, avec un impôt distinct de celui perçu par l’administration impériale.
La supervision des banques régionales et des coopératives protestantes, afin d’assurer une autonomie financière vis-à-vis de la Banque Impériale.
Le contrôle des investissements stratégiques (mines, infrastructures, transports, grands chantiers).
- La coordination avec le Conseil du Travail et de la Santé pour calibrer les dépenses sociales et médicales.
Ainsi, Anna Wonder-Waffen est au cœur de l’équilibre financier entre prospérité économique et sécurité budgétaire, gardienne d’une « orthodoxie protestante » qui refuse l’endettement excessif et défend une stricte transparence des comptes.
Vision politique et économiqueAnna Wonder-Waffen défend une ligne claire :
L’équilibre budgétaire : selon elle, un déficit chronique est synonyme de dépendance, donc d’asservissement à l’Empire. Elle impose une discipline stricte dans les dépenses.
L’autonomie financière : elle milite pour que les provinces protestantes disposent de marges budgétaires indépendantes des transferts de l’État impérial, afin d’éviter tout « chantage économique ».
La valorisation des richesses locales : elle pousse à renforcer l’exploitation des ressources minières, industrielles et agricoles protestantes, non pour l’exportation brute mais pour alimenter des filières industrielles intégrées.
Une économie sociale de marché : bien qu’attachée au libéralisme régulé, elle insiste sur le fait que l’économie doit rester au service de la communauté protestante et non se livrer à des spéculateurs étrangers.
Relations avec les autres autoritésAvec Paul Von Bâle (Sociétés Nationales du Reich), elle entretient des rapports ambivalents : complicité sur l’objectif de puissance économique, mais opposition sur les méthodes, Von Bâle étant jugé trop brutal et orienté vers les cartels.
Avec Rohm Velf (Travail et Solidarités), elle partage l’objectif d’une économie stable, mais elle s’oppose souvent à ses demandes sociales jugées trop coûteuses.
Avec le Prince-Président Jessy Cherbert, elle bénéficie d’une confiance solide : Cherbert voit en elle une garante de discipline budgétaire, indispensable à la crédibilité du GénéralGouvernement face à l’Empire.
Image publique et influenceAnna Wonder-Waffen projette l’image d’une femme d’État austère et incorruptible, parfois qualifiée par la presse de « Dame de Fer protestante ». Elle fascine une partie de l’opinion par son autorité naturelle et son refus des compromis faciles. Si certains la trouvent froide, d’autres la considèrent comme un modèle de sérieux et de probité. Son nom inspire confiance dans les milieux financiers et industriels, mais aussi une certaine crainte dans les rangs politiques, tant sa maîtrise des chiffres et des mécanismes budgétaires lui confère un pouvoir redoutable.
Zone d’ombreSes opposants l’accusent de pratiquer une politique d’austérité excessive, freinant des investissements sociaux nécessaires dans certaines régions pauvres. Certains affirment aussi qu’elle entretient des liens opaques avec de grandes familles bancaires germaniques, qui lui serviraient de relais d’influence. Enfin, son attachement farouche à l’autonomie financière protestante alimente régulièrement les tensions avec les autorités impériales, qui la considèrent comme une figure potentiellement sécessionniste.
En résuméEn résumé, Anna Wonder-Waffen incarne la colonne vertébrale financière du GénéralGouvernement : une autorité inflexible, garante de l’équilibre budgétaire, de l’indépendance économique et de la prospérité collective, quitte à imposer la rigueur au peuple au nom de la survie politique du Reich protestant.
Président du Conseil d’État de l’Industrie et de l’Énergie : Gustav RehlerAu cœur du GénéralGouvernement, Gustav Rehler occupe l’un des postes les plus stratégiques : celui de Président du Conseil d’État de l’Industrie et de l’Énergie. Si l’économie protestante repose sur des piliers multiples — agriculture, commerce, finances —, c’est bien l’industrie lourde et la maîtrise des ressources énergétiques qui assurent la solidité matérielle et la crédibilité de l’autonomie protestante au sein de l’Empire. Rehler, figure austère mais respectée, en est le garant.
Parcours et profil personnelIssu d’une famille de métallurgistes implantée depuis le XIXᵉ siècle dans les bassins industriels, Gustav Rehler a fait ses armes comme ingénieur dans les aciéries Rummhnan, avant de devenir directeur d’un consortium énergétique régional. Pragmatique, peu porté sur les discours enflammés, il s’est imposé par sa compétence technique et sa capacité à négocier avec les grands acteurs économiques. Son ascension politique n’était pas programmée : c’est la reconnaissance de ses pairs et son aura d’homme de dossiers qui l’ont propulsé à la tête du Conseil.
Rôle institutionnel et responsabilitésLe Conseil d’État de l’Industrie et de l’Énergie supervise l’un des secteurs les plus névralgiques du Reich protestant :
Industrie lourde et manufacturière : sidérurgie, chantiers navals, construction mécanique, usines d’armement civil et militaire (non officielles, mais tolérées).
Énergie : gestion des centrales thermiques, barrages hydroélectriques et investissements dans l’électricité moderne.
Mines et ressources : extraction de charbon, de fer, et bientôt d’uranium, ressource ultra-sensible dans un contexte de rivalité géopolitique.
Politique industrielle : régulation des cartels, planification des grands chantiers, et arbitrages entre impératifs sociaux et rendement économique.
Rehler est donc non seulement le garant de l’approvisionnement énergétique, mais aussi le maître d’œuvre de la puissance productive protestante.
Vision politique et économiqueSa doctrine repose sur trois principes :
Autosuffisance énergétique : « Qui maîtrise l’énergie maîtrise sa liberté ». Rehler défend l’idée que le Reich protestant ne doit jamais dépendre des compagnies impériales ou étrangères pour son approvisionnement.
Industrie comme rempart politique : il considère que la robustesse industrielle dissuade toute tentative d’affaiblissement du GénéralGouvernement par l’Empire, car elle confère un poids de négociation incontournable.
- Transition maîtrisée : sans tomber dans l’idéalisme écologique, il investit prudemment dans de nouvelles formes d’énergie (hydroélectricité, recherche sur le nucléaire civil), convaincu que l’avenir de la puissance protestante passe par l’innovation.
Relations avec les autres autoritésAvec Anna Wonder-Waffen (Économie et Finances), il forme un duo redoutable : lui produit et investit, elle encadre et budgétise. Leur entente, parfois rugueuse, donne néanmoins au GénéralGouvernement une stabilité rare.
Avec Paul Von Bâle (Sociétés Nationales du Reich), la rivalité est frontale : Von Bâle rêve d’un contrôle direct sur les industries stratégiques, ce que Rehler rejette au nom de l’autonomie protestante.
Avec le Prince-Président Jessy Cherbert, il bénéficie d’une grande liberté d’action : Cherbert sait que sans industrie, aucune promesse politique ne peut tenir.
Image publique et influenceDans l’opinion, Gustav Rehler est perçu comme le « bâtisseur silencieux ». Peu charismatique, rarement présent dans les médias, il impressionne par ses résultats concrets : usines modernisées, centrales rénovées, routes industrielles ouvertes à temps. Les ouvriers voient en lui un dirigeant fiable, proche de leur réalité, tandis que les élites économiques respectent son pragmatisme.
Zone d’ombreSes détracteurs pointent son rôle dans le maintien d’une « économie de guerre » larvée : selon certains rapports, ses usines produiraient non seulement du matériel civil, mais aussi des armes destinées aux milices de Karl Drosser. D’autres l’accusent de fermer les yeux sur les conditions de travail parfois brutales dans les mines. Enfin, sa stratégie d’indépendance énergétique alimente les tensions avec les autorités impériales, qui voient dans ses investissements une forme de défi politique.
En résuméEn résumé, Gustav Rehler incarne le bras industriel et énergétique du GénéralGouvernement : discret mais essentiel, technicien plus que politicien, il assure que la puissance protestante repose sur des bases matérielles solides, capables de résister à toute tentative d’ingérence impériale.
Président du Conseil d’État de la Communication et des Médias Protestants : Hermann KreutzSi l’économie, la défense et l’administration structurent la force du GénéralGouvernement, l’opinion publique constitue le ciment de sa légitimité. En ce sens, le Conseil d’État de la Communication et des Médias Protestants, dirigé par Hermann Kreutz, occupe une place singulière : il est à la fois la voix officielle du Reich protestant et l’architecte de son image, tant auprès de ses citoyens qu’auprès de l’Empire et de l’étranger.
Parcours et profil personnelHermann Kreutz est issu d’une famille de pasteurs, mais il s’est très tôt détourné de la théologie pour embrasser le journalisme et la communication politique. D’abord rédacteur dans un grand quotidien protestant, il est devenu chroniqueur politique, puis directeur de rédaction, avant d’intégrer directement les services de presse du GénéralGouvernement. Fine plume, stratège des mots et des images, il est réputé pour sa capacité à transformer un revers politique en récit de résilience collective.
Rôle institutionnel et responsabilitésLe Conseil d’État de la Communication et des Médias Protestants encadre :
Les organes de presse officiels : bulletins gouvernementaux, déclarations officielles, journaux publics.
Les médias privés protestants : régulation, licences, et soutien aux rédactions locales considérées comme stratégiques pour le pluralisme contrôlé.
La propagande interne : campagnes de communication pour renforcer l’identité protestante, valoriser les institutions et neutraliser les discours sécessionnistes ou impérialistes.
L’image extérieure : gestion des relations avec les correspondants étrangers, construction d’un narratif favorable à la cause protestante auprès de l’opinion internationale.
- La surveillance médiatique : identification des « discours hostiles », y compris au sein de certaines rédactions soupçonnées de sympathies avec les partis impériaux.
Vision politique et stratégiqueKreutz a forgé une doctrine de la communication qu’il résume en trois mots : « unité, confiance, vigilance ».
Unité : les médias doivent servir à fédérer la communauté protestante autour d’un récit commun, éviter les fractures internes et rappeler les valeurs fondamentales.
Confiance : l’opinion doit percevoir le GénéralGouvernement comme crédible et protecteur, même dans les crises.
- Vigilance : tout discours extérieur ou intérieur menaçant la cohésion doit être immédiatement contrebalancé par un récit alternatif, plus fort et plus mobilisateur.
Relations avec les autres autoritésAvec le Prince-Président Jessy Cherbert, Kreutz est un allié indispensable : il façonne son image publique et veille à ce que ses discours soient reçus comme des messages d’unité et de stabilité.
Avec Karl Drosser (Sécurité et Défense), il entretient une coopération discrète : ses services médiatiques relayent parfois des messages sécuritaires pour renforcer l’autorité des milices, tout en gommant les excès visibles.
Avec Françoise Bran (Culture), il partage une complémentarité : Bran cultive l’héritage et la mémoire protestante, Kreutz le diffuse et le modernise à travers les canaux de communication.
Image publique et influenceDans l’opinion, Hermann Kreutz est surnommé « la Voix du Reich ». Ses interventions télévisées sont sobres, rythmées, et marquées par une diction impeccable. Il ne cherche pas la popularité personnelle, mais il incarne une figure de stabilité : lorsque Kreutz parle, les citoyens protestants savent que c’est la parole officielle, claire et hiérarchisée. Les journalistes étrangers, en revanche, le décrivent parfois comme un « maître de la mise en scène », capable de noyer les tensions sous un flot de communication millimétrée.
Zone d’ombreSes critiques dénoncent une forme de censure raffinée : au lieu d’interdire brutalement, Kreutz inonde l’espace médiatique de contre-récits si puissants que les discours dissidents se perdent dans le bruit. Certains l’accusent aussi d’utiliser la propagande pour banaliser la montée des milices protestantes ou pour minimiser les conflits avec l’Empire. Enfin, sa proximité avec certains magnats de la presse privée soulève des soupçons de favoritisme dans l’attribution des licences.
En résuméEn résumé, Hermann Kreutz incarne la puissance douce du GénéralGouvernement : celle qui ne se mesure pas en armes ni en budgets, mais en récits, en symboles et en perceptions. Par ses mots, il sculpte l’image d’un Reich protestant uni, vigilant, et capable de résister à toutes les tempêtes.