Création de pays : La Maestosa Repubblica di Santa Caterina
Généralités :
Nom officiel : La Maestosa Repubblica di Santa Caterina | La Majestueuse République de Sainte Catherine
Nom courant : La Maestosa ( ou Santa Caterina )
Gentilé : Cateri.e.s
Inspirations culturelles : Ligurie, Provence, Italie.
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Italien ( accent Cateri )
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Ligure ( patois régional ).
Drapeau :
Devise officielle :  Colei che legge i segni del cielo ( Celle qui lit les signes du ciel ).
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Le Florin Cateri
Capitale : Vilarca
Population : 21 712 533 habitants (soit 211 hab/km²)
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Avant le XIIIe siècle :
Le territoire est occupé par diverses nations ligures, à la frontière linguistique de différentes zones culturelles, ce territoire est très diversifié malgré un attachement géographique profond et une religion commune. On ne parlait pas la même langue d'un côté à l'autre, mais on discutait tout de même. Et c'est ce qui créa la réputation reflétant les réalités d'aujourd'hui, d'une nation, d'un peuple qui préfèrera toujours la diplomatie et le pacifisme, face à la guerre et aux tensions. Cependant, ne soyons pas fantasistes, la paix a quelques fois été brisée durant cette époque sombre, avec des conflits familiaux de dirigeants avides. Mais cela reste très peu commun par rapport au reste du monde.
Le XIIIe siècle :
Un jeune homme ambitieux vient bousculer les choses. Issu du peuple et d'une famille pauvre, il rejoint les ordres monastiques durant sa jeunesse. Mais une vision lui serait apparue de Dieu : "Vous êtes un même peuple, unissez-vous !". Sur les mots sévères de Dieu en personne, selon la légende, il quitta son monastère pour prêcher la parole donnée. Il réussit l'exploit de rassembler les populations de la ville de Vilarca, ses mots parcoururent les terres de la future Maestosa, et arrivèrent à l'oreille des puissants du territoire, qui par curiosité et sarcasme acceptèrent d'organiser une rencontre dans la future capitale du pays. Alors, le moine, l'illustre Siro Di Giacinto, leur précha avec ferveur la parole donnée. Sa force était telle que certains dirigeants s'agenouillèrent face au prêtre. Tous acceptèrent de s'unir autour de lui, avec des concessions d'autonomie certes, mais unis comme un seul peuple. Après tout, ils étaient tous de la même famille car étant des cousins, ou de lointains membres de la famille. Alors une ère de paix s'installa. Le commerce était décuplé et la prospérité s'imposa à tous. La Maestosa était née. Une République unifiant tout le territoire actuel.
Du XIVe au XIXe siècle :
La prospérité amena la jalousie, le moine Siro étant mort depuis bien longtemps, les seigneurs locaux étaient redevenus désireux les uns des autres. Ainsi, une série de mesures fut prise par la République : l'interdiction pour les seigneurs d'avoir une armée personnelle, la restriction des autonomies locales afin de garantir le pouvoir de la République centrale, et la tenue d'élections régionales afin de désigner des gouverneurs qui travailleraient avec les seigneurs locaux dans la gestion de leur territoire. C'était pour certains seigneurs, appelant désespérément le peu de soldats restant à leur loyauté et à se battre, une cause de guerres internes. Mais celles-ci furent rapidement calmées par le gouvernement de la République. Le retour au calme n'était pas éternel et en 1899 la flotte de la Maestosa fut entièrement brûlée par des groupuscules d'extrême gauche qui, avec la montée de l'industrie dans le pays, demandaient plus de droits pour les travailleurs ouvriers. Des organisations communistes et anarchistes se formèrent dans tout le pays qui dut faire face à cette montée inattendue.
Le XXe siècle :
L'Armée affaiblie, le gouvernement devenu instable, et le communisme prenant de l'ampleur, le pays bascula dans sa période la plus tragique de son histoire : la révolution rouge frappa le pays en 1921. Une révolution qui se transforma en guerre civile jusqu'à la chute du pouvoir républicain traditionnel en 1924. Cependant, les espoirs de la révolution allaient être balayés par un ennemi interne : Emiliano Gesualdi, qui fut nommé à la tête du gouvernement de transition afin d'installer la dictature du prolétariat. Cependant, il usa de son charisme et de pots-de-vin pour s'emparer du pouvoir durant une trentaine d'années. L'armée à ses bottes, il amassa des richesses pour lui seul et laissa un semblant de communisme dans le pays. Petit à petit il transforma le rêve communiste en un régime aux aspects capitalistes. Mais la mascarade ne dura qu'un temps. En 1957, le peuple, après avoir été réprimé durant trois longues années de manifestations pacifiques par une violence extrême, se souleva à nouveau. Mais cette fois-ci le communisme n'était plus si populaire aux yeux de la population. Alors, en une semaine, le pays retrouva sa liberté. La Majestueuse République de Sainte-Catherine fut proclamée en l'honneur de la Sainte qui aurait protégé la révolution, et l'installation d'élections libres fut mise en place. Tous les partis et mouvances purent être représentés. Ainsi s'installa la troisième République du pays. Avec cette troisième république, le pays fit un accord avec Fortuna pour devenir un protectorat de la Sérénissime.
Le XXIe siècle :
La Maestosa est plus stable que jamais, les extrémistes sont peu soutenus par la population, et le pouvoir est majoritairement républicain avec des valeurs historiques de la nation. L'armée est cependant à son plus bas historique, l'économie est à redresser notamment après la période de la dictature qui a ruiné le pays. Et le commerce est encouragé. Le pays est donc dans une pente montante mais n'est qu'au début de son histoire moderne.
Mentalité de la population :
La population est très respectueuse. Elle reste cependant très fermée aux étrangers, vus comme des personnes mal intentionnées. Cependant, après quelque temps passé dans le pays, elle se montre assez accueillante, surtout envers les populations eurysiennes. Un certain rejet, que l'on qualifierait de "léger" racisme, parcourt la population, qui ne souhaite accueillir que des Eurysiens.
Place de la religion dans l'État et la société :
Le pays reconnaît comme religion d'État le catholicisme. Cependant, le pays est modéré sur les sujets religieux. Il compte actuellement 45 % de catholiques dans le pays et 54 % d'athées. La religion est en déclin dans le pays, malgré des tentatives de l'Église pour s'ouvrir à la jeune génération. Avec le retour du commerce, de nombreuse autres religion s'installe petit à petit dans les grandes villes, venu de partout dans le monde.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Le gouvernement est nommé par le président. Ce dernier est élu par la population tous les 16 ans et peut cumuler trois mandats consécutifs.
Le Sénat de la Majestueuse République : Il vote les lois du pays et est élu tous les 8 ans par la population.
Il existe un organe judiciaire indépendant du gouvernement chargé d'encadrer les institutions et les politiques.
Des institutions comme la Banque nationale sont également indépendantes du gouvernement.
Principaux personnages :
Président de la Majestueuse République : Adriana Pezzuti

Politique internationale :
Le pays a pour objectif le redressement économique du pays par divers moyens. Il cherche à se spécialiser dans une marine viable. Concernant ses intentions diplomatiques, le pays cherche à intégrer des organisations républicaines modérées afin de garantir sa stabilité et de pouvoir continuer ses projets. Le gouvernement cherche également à rapprocher ses liens diplomatiques avec la République des Trois Nations et Fortuna.