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ENCYCLOPÉDIE | Encyclopédie du Kéran
Posté le : 03 sep. 2025 à 21:47:12
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Ce Topic a pour objectif de développer l'Encyclopedie du Kéran et ainsi approfondir vos connaissances de la République Fédérale du Kéran.
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> Présentation Générale
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Posté le : 03 sep. 2025 à 21:49:40
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RÉPUBLIQUE FÉDÉRALE DE KERAN
Généralités :
Nom officiel : République Fédérale de Kéran
Nom courant : Kéran
Gentilé : Kéranais / Kéranaises
Inspirations culturelles : Swahili–arabo-lusophone avec influences ibériques et indiennes
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Kéranais (mélange swahili-arabe-portugais), Arabe kéranais et Portugais kéranais
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Dialectes locaux
Drapeau :

Devise officielle : Ouverts sur la mer, unis par la loi
Hymne officiel :
Monnaie nationale : Dinar kéranais (DKR)
Capitale : Porto Qarima
Population : 18,4 millions d’habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
La République Fédérale du Kéran prétend, aujourd'hui, être un hub maritime et financier d'Afarée.
Le Kéran contrôle un détroit stratégique reliant l'Océan du Deltacruzando à l'Océan des Perles, la Manche Dorée.
Par son histoire et sa situation géographique, le pays a une économie tournée vers la mer et vers la stabilité.
Histoire :
Les fouilles archéologiques menées depuis des décennies par l'IKRA (Institut Kéranais de Recherche Archéologique) ont permis de découvrir, il y a déjà plus de 2 000 ans de cela, les premiers établissements humains sur la côte kéranaise. Les fouilles dans la vallée de Bahir ont révélé des poteries décorées, des outillages ou encore des vestiges d'habitations sur pilotis témoignant d'ores et déjà d'un fort attachement à l'eau.
L'habitat et la vie, longtemps concentrée dans les terres, se développèrent au fil des siècles vers la côte Nord de la Manche Dorée.
Ainsi, entre -400 et 200, les communautés s'étant développées dans la vallée atteignirent la côte et des chefferies lagunaires firent leurs apparitions. L'époque des "Peuples de l'Estuaire" vu le jour.
Ces chefferies, ayant désormais accès aux Océans, vivaient en hameaux et contrôlaient le commerce local (sel, nacre…). Elles furent également à l'origine des premières chartes maritimes qui régissaient le troc et la sécurité sur la mer et les fleuves. Ces chartes sont le prélude à la culture navale kéranaise.
Le développement de la vie sur le littoral permettra de voir apparaître les premières navigations à balancier reliant différents petits îlots (aujourd'hui disparus).
À ces premières frêles embarcations, les Peuples de l'Estuaire y ajouteront, pour l'époque, des bateaux de plus en plus imposants. Cela conduira les Kéranais, vers 800, à traverser entièrement les 250 km de la Manche Dorée et établir, au Nord de l'actuel Nivérée les premiers hameaux.
La fin du Xe siècle permettra d'unifier la culture de l'ensemble de ces chefferies notamment sous l'influence maritime swahilie. Les premières chartes apparues plus de 500 plus tôt, les fameuses "Tabula Bahari", seront désormais écrites sur des feuilles de palmier et permettront de perdurer à travers les siècles.
Les fondations posées par “Les Peuples de l'Estuaire” permirent, au début du XIIe siècle, de voir l'émergence de la dynastie des Karimide. Cette dernière, fondée en 1128 par Karim Ibn Yussuf, dirigera le Kéran pendant plus de 200 ans. Surnommés les “Rois-Marins”, c'est à cette famille que l'on doit en grande partie les contours du Kéran contemporain, tant d'un point de vue géographique qu'en terme de mentalité.
Par leur puissance, ils concoururent à la fédération de l'ensemble des chefferies présentes depuis les prémices du Kéran. Ils entreprirent également les premières grandes expéditions navales qui menèrent, notamment, à l'intégration au sein du royaume des futures Islas Nagao.
Parallèllement au développement de cette dynastie, la fin du XIe siècle sera marquée par la fondation de Sultaniya, important port commercial et militaire, existant encore aujourd'hui. Il s'agit de la plus vieille ville du Kéran subsistant encore de nos jours.
L'intégration des Islas Nagao au sein du royaume et leur position géographique firent que durant le XIVe siècle, elles s'imposèrent comme le principal port-franc du pays. Les îles devinrent une véritable plaque tournante de réexportation notamment de perles et d'épices.
Au XVe siècle, fruit des échanges des cinq siècles venant de se dérouler, en grande partie portée par les Karimides, le Premier code Maritime Unifié vit le jour.
L’ère des thalassocraties se termina vers la fin du XVIe siècle et le débarquement des caravelles portugaises à Costa Qarima. Ce début de métissage conduira, entre autre, à l’introduction des armes à feux et de nouvelles cultures (canne à sucre, manioc…).
L’arrivée portugaise à la fin du XVIe siècle permit le démarrage du métissage arabo-lusophone et l’apport de toute l’organisation et l’administration portugaise.
Ainsi, dès 1607, le Comptoir de Porto Qarima est créé. Cette compagnie mixte facilita les échanges de marchandises entre Afarée et Eurysie.
L’accélération de ce commerce bouscula les équilibres locaux en place notamment entre les seigneurs locaux et les compagnie marchandes soutenues par des capitaines étrangers.
Les routes au départ des Islas Nagao et de Sultaniya deviennent des zones de tensions dès 1924.
Les escarmouches, blocus et actes de piraterie iront crescendo jusqu’à une véritable “guerres des convois” dans les trente dernières années du XVIIe siècle. Cependant, ces tensions permanentes occasionnent un essoufflement de l’économie et ouvrèrent la voie à une paix négociée.
Ainsi, en 1702, le “Pacte des Vents” est signé entre clans kéranais et maisons marchandes étrangères.
Cet accord partage les routes maritimes et stabilise le commerce. Il marque la fin officielle du cycle de guerres.
Après trois décennies de commerce stabilisé par le “Pacte des Vents”, 1735 marque le retour des instabilités.
La mousson de 1735-1736 est ratée entrainant une chute des rendements agricoles (notamment de riz) en provenance de la plaine littorale (Costa Qarima) et des zones agricoles de Zahélia.
Cette baisse de rendement affecte profondément les hauts-plateaux de Madari fort dépendant de ces dernières.
Des premières émeutes ont lieu en raison de la forte augmentation des prix et de la disette.
La révolte est amplifiée par la persistance du commerce international au départ de Porto Qarima qui affaiblit encore les stocks.
La mousson suivante, de 1737-1738 n’est pas meilleure et aggrave les révoltes villageoises sur les hauts-plateaux. Les stocks sont réquisitionnés et les villageois organisent le blocage des cols afin d’empêcher le transport des récoltes de Zahélia vers la côte pour leur exportation.
L’apogée de la crise aura lieu a entre 1739 et fin 1740. La mousson reste mauvaise et les tensions descendent dans la vallée. Les ports instaurent un quota d’exportations afin de limiter la crise et, parallèlement, instaure des escales réservées aux grains et affrètent des convois protégés.
Il faudra attendre la mousson de fin 1741 pour retrouver des rendements normaux et ainsi engendrer la décrue des troubles.
Ces 6 ans de crise restent inscrits dans les mémoires kéranaises comme la famine du “Sable Noir”. En effet, les vents chargés de poussières volcaniques, noires, et de poussières de sols desséchés recouvraient les champs et routes durant la saison sèche.
Parallèlement, ces années permettront de voir paraître les premiers embryons de réserves portuaires de grains et de priorités d’accostage pour vivres.
La fin du XVIIIe siècle sera marquée par une tentative de restauration de l’autorité des Karimides afin de rétablir un peu plus d’ordre dans le fonctionnement maritime du Kéran.
Ce regain national se heurte cependant à une concurrence étrangère montante et des compagnies mieux capitalisées, avec des prix plus agressifs et de la découverte de nouvelles routes.
Ces 25 dernières années accouchent d’un réflexe juridique : “Quand la force politique vacille, on verrouille par le droit”. Cela sera les premières bases de la traditon kéranaise d’arbitrage maritime.
Cette instabilité bancale préfigure un XIXe siècle de tensions.
Après la tentative de restauration du pouvoir Karimide, le début du XIXe siècle sera marqué par 40 ans de rivalités entre cités portuaires. Chaque cité tente de sortir son épingle du jeu pour obtenir le contrôle de la Manche Dorée et, par la même occasion, le contrôle militaire et financier des navires transitant par le Détroit.
Il faudra attendre 1846 et la Paix de Zawiya pour que les guerres maritimes prennent fin. Cette paix est rendue possible par la création de la Ligue des Ports Kéranais qui a pour vocation la régulation du commerce dans la Manche Dorée.
Cette ligue trouve ses bases dans le Pacte des Vents signé près de 150 ans plus tôt entre les différents clans kéranais. Elle reprend l’esprit de ce pacte, mais structure son fonctionnement.
Cette ligue préfigure également le Pacte des Huit Îles signé en 1889 et qui sanctuarise l’union militaire et commerciale entre les principaux ports et l’archipel des Islas Nagao. Ce pacte ajoute une dimension militaire et plus politique aux précédentes unions qui ont pu exister. Il s’agit de l’ancêtre de la fédération moderne actuelle.
Cette “pré-fédération” entre avec fracas dans le XXe siècle avec une crise sucrière à partir de 1917.
La chute brutale et mondiale du prix du sucre déclenche une chaîne de faillite. Les plantations sont endettées, les négociants sont pris à la gorge et les ports voient leurs recettes douanières se tarir. Zahélia, très dépendante de la canne, voit son économie vaciller. Sur le littoral sud, à Talassa, où se situent les principaux exportateurs de sucre, les entrepôts se remplissent d’un stock invendable.
La crise dure jusqu’en 1925 et est ponctuée, tout d’abord, de révoltes paysannes en Zahélia avant de gagner les principaux ports de Talassa et essaine également le long des différents ports de Costa Qarima, exportateurs secondaires de canne à sucre.
Les dirigeants à la tête du Pacte des Huit Îles tentent de stabiliser les contestations en alternant maintien de l’ordre, parfois sanglant, notamment en Zahélia et concessions.
Une importante réforme agraire est notamment réalisée afin de réduire l’impact des usuriers sur les paysans, étaler les dettes contractées durant la crise et poser les premières bases des coopératives agricoles.
Parallèlement à cette réforme agraire, les autorités actent une Charte des Douanes afin de faire dégonfler la crise présente au niveau des ports. Cette charte encore très présente dans la législation actuelle du Kéran vise à unifier, pour l’ensemble des ports les réglementations. Ils ont désormais un barème commun de droits d’entrée et sortie, des règles de pesées et de qualités strictes et un premier mécanisme d’arbitrage portuaire, ancêtre de la Haute Cour de l’Amirauté.
Parallèlement à cette normalisation, en 1930, l’état et les ports lancent un programme d’obligations publiques pour moderniser les quais, les bassins et les outillages. L’objectif est triple : relancer l’emploi, doter les ports d’une capacité de transit apte à reconquérir de nouvelles routes régionales et à développer une activité de construction navale légère.
Enfin, à l’orée de la Seconde Guerre mondiale, en 1938, la première entreprise étatique kéranaise subsistant encore de nos jours voit le jour : la Compagnie Générale des Ferries de Kéran qui deviendra plus tard, en 2012, Kéran Ferries.
Cette compagnie maritime relie pour la première, de manière cadencée, l’ensemble des ports de l’Etat, Islas Nagao compris. Ce service maritime avec des tarifs unifiés permet de grandement améliorer les relations entre les différents états de la fédération et de structurer un système logistique robuste, encore utile de nos jours. Le marché national devient plus fluide et égalitaire entre l’Archipel, le Nord et le Sud Kéran.
À peine la CGFK créée, la Seconde Guerre mondiale éclate. Par sa position stratégique, sa position pro-démocratie et son activité économique conséquente, le Kéran est frappé par un blocus naval imposé par les puissances ennemies.
Les grands échanges sont coupés, les ferries devenant trop vulnérables aux attaques. L’état se replie donc sur une économie de cabotage et sur ses chantiers navals légers, déjà relancés par les investissements portuaires des années 30.
L’économie, fortement affaiblie arrive à résister grâce à la résilience acquise durant les précédents conflits et une certaine unité interne. L’économie se développe également dans les terres et l’agriculture se développe et se diversifie afin de subvenir aux besoins des kéranais et kéranaises. Une simplification des normes agraires permet d’augmenter la taille des exploitations tout en soutenant la mécanisation de l’agriculture.
La surproduction, notamment de sucre, est exportée par de petites embarcations, moins détectable et fabriquée par les chantiers navals kéranais.
À partir de 1943, les quatre premières années de guerre venant de passer, les chantiers navals ont acquis une compétence non-négligeable dans la fabrication de petits bateaux légers en bois et aciers avec coque rivetés, facilement réparables.
De plus, ces mêmes bateaux sont polyvalents et peuvent être facilement déclinés en différentes versions. Parallèlement, tout un écosystème portuaire autonome se met en place afin de fournir les chantiers navals et de maintenir le rythme de production de ces petites unités.
Cette montée en gamme industrielle permettra la reconquête maritime kéranaise.
A la fin de la guerre et après la levée du blocus, les ports kéranais disposent d’une flotte abondante, d’ateliers rodés et d’infrastructures récentes.
Ils captent ainsi le transit et deviennent une plaque tournante régionale notamment la réexpédition et les réparations.
Ainsi, l'année 1946 marque la naissance du hub maritime qu’est le Kéran aujourd’hui.
Quinze ans après la fin de la Seconde Guerre, l’économie du Kéran bat son plein, mais de nombreuses disparités sont toujours présentes. Une classe supérieure phagocyte encore la majorité des richesses du pays tandis que la classe populaire, encore fortement majoritaire, vivote autour des ports ou des champs de l’intérieur.
La vie est d’autant plus rude sur le littoral où l’agriculture n’est pas présente comme moyen de subsistance.
Ainsi, à partir de 1960, une série de pétitions et grèves des dockers, de mouvements étudiants ou encore de marches pacifiques font leurs apparitions sous le nom de Manifestes de Sultaniya et porte un seul mot d’ordre : un citoyen = une voix
Ce mouvement populaire, démarré à Sultaniya et qui s’étend à l’ensemble des ports mènera, en 1968, à l’adoption du suffrage universel.
Il s’agit du principal acquis, central dans le développement et la légitimité des futures institutions.
Le mouvement insufflé mènera à conseil fédéral provisoire, en 1975, qui avaient pour but une coordination et harmonisation entre les chefs d’Etat régionaux. Ce sont les premières bases des futures compétences partagées et la répartition entre l’état fédéral et les états-membres.
Enfin, en 1987, la proclamation officielle de la République Fédérale du Kéran a lieu. Porto Qarima est détaché des Etats et devient un District fédéral et la capitale de la République.
Un parlement est mis en place ainsi que les juridictions suprêmes (cour constitutionnelle et Haute Cour de l’Amirauté) telles que défini dans la Constitution.
La constitution de 1987 en place, le pays vérrouille son Etat de droit maritime.
Le pays va accélérer dans ce sens à partir des années 2000.
Ainsi, en 2005, une première révision constitutionnelle a lieu. La Banque Centrale kéranaise devient indépendante afin de stabiliser la monnaie et permettre une meilleure ouverture financière.
Le Sénat, pilier de stabilité fédéral est renforcé afin de mieux représenter les différents Etats dans l’élaboration des lois.
Enfin, la doctrine “Ponts & Passages” fait pour la première fois son apparition dans une livre blanc.
En 2010, fort de sa position, stratégie autour de la Manche Dorée, le Kéran propose de mettre en place, avec les puissances maritime qui le souhaitent, un accord maritime commun. Cet accord maritime, toujours ratifiable en 2017, vise à sécuriser les océans et plus particulièrement le détroit. Il s’appuie sur un partage d’information et de balisage, une reconnaissance mutuelle du pilotage local, la mise en place de schémas d’escortes et des règles d’intervention contre la piraterie et enfin la reconnaissance de la Haute Cour de l’Amirauté pour la résolution des litiges maritime.
Le Kéran se pose ainsi officiellement comme gardien du détroit (“passage”) et “constructeur de ponts”.
Enfin, en 2015, un statut climatique spécial est créé pour les zones côtières menacées. Ce statut permet la cartographie des risques, la mise en place de règles d’urbanisme renforcées ou encore la priorité d’investissements dans des infrastructures visant à se protéger des risques écologiques.
Ce statut n’est qu’une mesure transitoire vers de futures lois et reformes.
Géographie :
Le Kéran est une République Fédérale composée de 8 états ainsi qu'un district fédéral (la Capitale, Porto Qarima).
Les 8 états, représentant 51 000 km², sont :


Nord Kéran

Sud Kéran

Islas Nagao
Mentalité de la population :
Les Kéranais et kéranaises sont de pragamtiques commerçants, attachés à la loi et au respect de cette dernière. Etant donné leur passé et le position, ils sont ouverts sur le monde via le cosmopolitisme présent dans leurs ports. D'une piété modérée, leur valeur centrale, provenant du swahili est "uhuru-utii" autremment dit "liberté-respect".
Place de la religion dans l'État et la société :
État laïque. Majorité musulmane, minorités catholiques et hindoues urbaines. Liberté de culte garantie.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Pouvoir Exécutif :
Pouvoir Législatif :
Les 290 “Conseillers du Détroit” sont élus pour 4 ans à la proportionnelle sur des listes nationales avec un seuil de 5 %.
Les prochaines élections auront lieu en 2019.
La répartition actuelle de l’assemblée est la suivante :
Les prochaines élections auront lieu fin 2017.
La répartition actuelle du sénat est la suivante :
À date, le pays compte 5 principaux partis auxquels nous pouvons rajouter des partis régionalistes minoritaires.
Les partis en question sont :
Pouvoir Judiciaire:
Les 9 juges sont nommés pour un mandat unique de 12 ans. Le Président de la Fédération, l’Assemblée et le Sénat nomment chacun un tiers des juges.
La Haute Cour est composée de 7 juges-amiraux nommés à vie par le Président après consultation du Sénat.
Principaux personnages :
A date, les principaux personnages du Kéran sont :
- Samira Qabral > Présidente de la Fédération
- Mateus Al-Qadros > Chancelier Fédéral / Président du Parti Horizon
- Afonso Masudé > Ministre des Affaires étrangères
- Ilonga Delmar > Ministre de la Défense / Ancien Amiral
- Leïla Kassam > Présidente de la Cour constitutionnelle
- Amiral Idris Qabbal > Présidente de la Haute Cour de l'Amirauté / Ancien chef d'état-major de la marine
- Yusef Benavides > Gouverneur de Porto Qarima
- Ismael Rahmani > Président de l’Union Démocratique Populaire
- Cheikh Omar Ben Saïd > Leader du Parti Tradition et Foi
- Salima Duarte > Dirigeante de la Ligue Maritime Populaire
- Kavita Nahir > Coordinatrice des Verts du Littoral
- Luis Andrade > Leader du Parti Autonomiste Zahélian
- Nadia Faari > Leader du Mouvement des Islas Nagao
Politique internationale :
La politique internationale du Kéran s’appuie sur deux constantes :
- La Neutralité armée & primauté du droit : La Fédération protège la liberté de navigation et arbitre les litiges via la Haute Cour de l’Amirauté.
- La Doctrine “Ponts & Passages” : cette doctrine est celle de la médiation, du commerce, de la culture et de la sécurisation de la Manche Dorée.
La République Fédérale du Kéran cherchera donc à développer ses relations avec des pays ayant les mêmes attraits et visées géostratégiques.
