03/07/2017
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Création de pays : Emprie sarranid

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Création de pays : Emprie sarranid


Nom officiel :
Empire Sarranid Sublime

Nom courant :
Empire Sarranid

Gentilé :
un sarranid, une sarranide, les sarranids, les sarranides

Inspirations culturelles :
Empire Ottoman

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) :
sarra

Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
arabe

Drapeau :
drapeau empire sarranid

Devise officielle :
On ne réveil pas le lion qui dort

Monnaie:
La monnaies nationale est la livre sarranide, son symbole est Ⱡ. La monnaie est indexée sur l’or, mais sa valeur fluctue en raison de l’inflation et de la dette extérieure.

Capitale:
La Capitale se nomme Hassanopolis. Cette ville est un symbole fort de l'Empire Sarranid, on la surnomme même le joyau de l'empire ou la forêt de minarets. Elle accueille, entre autres, le Palais des Pachas, qui est le siège du pouvoir, la Grande Mosquée Impériale, symbole religieux et fierté historique de l'empire, et le Quartier des Ambassades, où se jouent les intrigues diplomatiques.

Population :
L'Empire Sarranid compte 42 millions d'âmes, dont 63 % de sarranids qui est l'ethnie dominante, 30 % d’Arabes qui sont concentrés dans le sud et 7 % de minorités principalement des diasporas étrangères. La population se concentre dans les villes principales, qui sont réparties le long de la côte à l'ouest. Le reste du pays à une densité faible, et la population y est bien plus pauvre que dans les villes.

Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Au fond de la mer de Leucytalée, dort un géant aux pieds d’argile : l’Empire Sarranide. Ancienne puissance, l’Empire traverse un long déclin, connu sous le nom des « siècles malades ». Historiquement dirigé par un calife, leurs règnes fut marqués par la répression, la violence et le rigorisme.
Mais il y a dix ans, Hassanopolis connut un tremblement de terre politique qui fit tomber le calife. Désormais prisonnier dans son palais, il n’est plus qu’un symbole religieux et culturel. Une partie de la population, nostalgique, réclame le retour du califat et accuse le nouveau pouvoir d’impiété.
Ce dernier s’est installé il y a dix ans par un coup d’État. À son origine : l’élite de l’armée sous-équipée, mais désormais aux commandes. Les mamelouks, qui acceptent dès leur jeunesse de n’être plus des individus mais des biens de l’Empire, ils sont nourris, logés, éduqués et entraînés pour défendre celui ci. C’est au nom de l’Empire qu’ils ont pris le pouvoir. Leur ambition ? Moderniser et stabiliser le pays. Pour cela, ils veulent ériger sur les ruines du califat, un État de droit et forger un nationalisme sarranide.
Dès le coup d’État, ils ont mis en place le Comité du salut national, composé de douze pachas désignés par cooptation interne. Pourtant, une ombre plane sur l’Empire : celle du grand stratège Osman Pacha, qui dirige le Comité. C’est lui, en vérité, qui fait la pluie et le beau temps.
Le Comité a annoncé la rédaction d’une constitution, censée inaugurer un nouvel âge d’or. Mais chaque faction cherche à y asseoir ou renforcer son influence. Corruption, pression et violence deviennent les outils privilégiés de cette lutte ou trois factions principales s’affrontent.

Les conservateurs islamistes, opposés aux réformes laïques, rêvent du retour de l’ancien ordre.

Les Arabes, qui revendiquent une autonomie, voire l’indépendance. L’enjeu est crucial puisque leurs territoires abritent les gisements de pétrole, principale richesse de l’État.

Les diasporas étrangères, partisanes d’un libéralisme total, promettent stabilité et croissance économique avec l'ouverture du pays.

La rédaction de la constitution est donc l’enjeu central du nouveau pouvoir. Jusqu’ici, les dirigeants ont publié des extraits pour jauger la réaction populaire, sans jamais officialiser quoi que ce soit. Mais le temps presse car l’absence de politique claire ronge le pays. La constitution est elle l'antidote aux siècles malades ?

carte

Mentalité de la population :
La population sarranide est divisée mais fiers de son histoire impérial. C'est cette histoire qui donne un sentiment de supériorité culturelle bien que les siècles malades ont nourri un complexe d'infériorité par rapport au pays plus dévellopé. La jeune des villes aspire à la modernité et est un grand soutient au comité. La population rural veut améliorer sa condition de vie et aspire à de la stabilité. Les arabes souhaites plus de reconnaissance, de l'autonomie et pourquoi pas l'indépendance ? Dans cette société pétrie d'islam et cadrée par l'armée la loyauté envers l'état est une condition sine qua non de sécurité. Le respect de la hiérarchie et le culte du héro militaire font partie intégrante de la société.
Pour ce qui est de son rapport à l'extérieur la population fait preuve de méfiance envers l'étranger qu'elle juge responsable des siècles malades par sont appétit sans fin qui a dévorer l'économie du pays, d'âpres elle.


Place de la religion au sein de l'État :
La religion est au cœur de l’Empire. Bien que le calife n’ait plus de pouvoir politique, il reste une figure symbolique. La religion d’État est l’islam, mais sous strict contrôle. En effet, le Comité se méfie des conservateurs religieux, qui souhaitent le retour du calife. Les libéraux, eux voudraient un État laïc qui garantirait la liberté de culte.

Institutions politiques :
L’institution centrale est le Comité du salut national, composé de douze pachas nommés à vie, sauf en cas de demande de destitution par huit d’entre eux. Ils détiennent actuellement les pouvoirs législatif et exécutif du pays.
Il y a aussi les gouverneurs provinciaux, nommés par le Comité pour représenter le pouvoir central et maintenir la paix, par la force si nécessaire.
L’armée est le cœur du nouveau pouvoir. Bien que sous-équipée, elle se voit comme la source de modernisation du pays.
(À la suite de la mise en place de la constitution, de nouvelles institutions politiques seront créées et d’autres pourraient disparaître.)

Principaux personnages :
Osman Pacha est un ancien général charismatique, auréolé par la propagande. Mais l’homme est paranoïaque. Il est l’architecte de la modernisation du pays.
Ismet Pacha, membre du Comité, est obsédé par le contrôle des minorités et la peur d’un démantèlement de l’Empire.
Huseyin Pacha, également membre du Comité, contrôle les services de renseignement. Il est connu pour avoir un œil et une oreille partout. Il a toujours un coups tordus dans son sac.
Abdullah Sarranid est le calife qui a dû renoncer au pouvoir, mais il n’a pas perdu le goût de celui-ci.

Politique internationale :
L’Empire Sarranid a trois objectifs. Le premier est la préservation de son intégrité territoriale. l’Empire se méfie donc des pays qui souhaiteraient accroître leur influence par l’intermédiaire des minorités. Le second objectif est de redevenir une puissance régionale. Pour cela, les ressources et l’armée sont considérées comme de bons piliers pour soutenir son influence. Enfin, le dernier objectif est la modernisation sans dépendre de l’extérieur. L’Empire se méfie des influences étrangères, mais n’est pas pour autant ermite et reste prêt à échanger.
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