Création de pays : conglomérat universelle des peuples libres Sylisiens d'Eurysie
Généralités :
Nom officiel : conglomérat universelle des peuples libres Sylisiens d'Eurysie
Nom courant : Sylisie
Gentilé : Sylisien, Sylisienne
Inspirations culturelles : Singapour, pologne de Piłsudski, ukraine occupé (19eme), france
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Illiréen
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Français, allemand, Italien, Belgrave, Gaelique, Anglais, Visonzan, Fortunéen, Velsnien, Lombard
Drapeau :

Devise officielle : travail, liberté, unité
Hymne officiel :
Capitale : Kreda
Population : 22 112 281 million habitants

Velsnien : 0.20 %
Français Saint-Alban : 1.43 %
(population fuyant le régime religieux et exile des opposant politique et d'une partie de leurs partisans essentiellement composé de démocrate et communiste)
Français Valinor : 9.21 %
(population essentiellement venue des grands exodes de 2016 après la prise de pouvoir des communistes en Illirée composé pour la plupart de partisans impérial et démocrate)
Français Royaume de Teyla : 19.73 %
(population venue des groupuscules extrémistes bannie de Teyla, de démocrate, communiste et tous parti d'opposition à la royauté)
Français natif : 21.02 %
(population locale venue des grandes vagues d'immigration antérieure datant de la période impériale )
Illirien natif : 23.63 %
(population locale de souche)
Illirien Valinor : 2.83 %
(population essentiellement venue des grands exodes de 2016 après la prise de pouvoir des communistes en Illirée composé pour la plupart de partisans impérial et démocrate)
Italien Ligurie : 1.73 %
(population à majorité démocrate)
Allemand VAYIE : 0.55 %
(population des grands exodes de divergences politique au pouvoir)
Français VAYIE : 0.22 %
(population des grands exodes de divergences politique au pouvoir)
Belgrave : 10.96 %
(population venue d'exode massif Républicain et Athéiste de Belgrave)
Mirinegratziens : 0.52 %
(petite partit de la population venant chercher une vie simple et un renouveau dans un pays émergeant tandis qu'une minorité y recherche la gloire et ou la violence cédant énormément au brigandage ou au mercenariat de groupe criminel implanté)
Futibulais : 0.97 %
Yougoslave Visonzan : 2.39 %
Visonzan : 1.06 %
Ræcien Visonzan : 0.14 %
Population d’Aleucie : 1.87 %
Population de Nazum : 1.41 %
Population d’Afarée : 0.15 %
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
La Sylisie est un État fédéral d’Europe imaginaire, constitué officiellement au début du XXIe siècle. Longtemps considérée comme une région périphérique, instable et fragmentée, elle ne s’est constituée en entité souveraine qu’après 2001, à la suite d’un processus d’unification politique et culturelle inédit.
Histoire
Antiquité et Moyen Âge
Le territoire correspondant à la Sylisie actuelle fut longtemps inhospitalier et faiblement peuplé. Les premières communautés organisées y demeurèrent des sociétés tribales désunies, ce qui facilita la conquête par l’Empire illirien au cours du Xe siècle.
Considérée comme une région pauvre et marginale, la Sylisie fut utilisée par l’administration impériale comme colonie agricole et pénitentiaire. La population locale fut soumise au servage et rapidement absorbée par l’arrivée de colons illiriens et français. Ce phénomène d’assimilation, associé à des vagues d’exodes et de métissage, entraîna la disparition progressive des identités autochtones.
La région, rattachée directement à l’Empire sous le nom de province de Sylisie, resta toutefois marginalisée. Son isolement géographique, ses communications terrestres difficiles et ses faibles échanges maritimes contribuèrent à un développement limité mais favorisèrent une première forme de société multiculturelle rurale.
Éclatement et anarchie (XVe – XXe siècles)
À la suite de la chute de l’Empire illirien au XIVe siècle, la Sylisie se désagrégea en une multitude de cités-États indépendantes. Du XVe au XXe siècle, la région demeura morcelée, sans autorité centrale reconnue.
Durant cette période, la Sylisie fut caractérisée par :
une forte instabilité politique,
une criminalité endémique,
une immigration massive de réfugiés politiques et religieux,
la prolifération de micro-nations et d’entités non reconnues à l’international.
La région conserva ainsi une réputation de zone de non-droit pendant plusieurs siècles.
La Confédération sylisienne (2001–2009)
Un premier effort d’unification fut entrepris en 2001, aboutissant à la création d’une confédération regroupant la plupart des entités politiques présentes sur le territoire.
Ce processus, long et conflictuel, permit néanmoins de rassembler progressivement l’ensemble des cités-États et communautés locales. En 2009, la Sylisie se dota d’une bannière commune et obtint une reconnaissance internationale limitée, marquant la naissance officielle d’une entité souveraine.
De la Confédération à la Fédération (2009–2015)
En 2002, une capitale nouvelle, Kreda, fut fondée afin de servir de centre administratif et symbolique de l’unité sylisienne. Rapidement développée, elle devint le principal port du pays et sa plus grande agglomération.
En 2015, la Confédération évolua vers une fédération unifiée, dotée d’une capitale unique et d’institutions fédérales. Ce passage ne fit cependant pas disparaître les divergences internes.
Religion d’État et culte de la personnalité
Afin de renforcer l’intégration de populations hétérogènes, les autorités fédérales instaurèrent une religion civile fortement inspiré du christianisme centrée sur le culte de la personnalité du chef de l’État. Bien que ce dernier ne disposât que de pouvoirs limités, sa figure fut érigée en symbole d’unité nationale étant la source meme de l'hymne national du pays.
Dans certains milieux, ce culte prit une dimension plus radicale, se mêlant à des croyances néopaïennes et donnant naissance à un courant religieux syncrétique considéré comme minoritaire mais influent.
Ingérences et migrations récentes
La Sylisie fut également marquée par l’arrivée d’exilés valinoréens fuyant le communisme. Autorisés à s’installer conformément aux principes universalistes de la fédération, ces réfugiés constituèrent une communauté importante et organisèrent un parti politique nationaliste et impérial. Leur poids démographique et idéologique provoqua de fortes tensions internes.
Parallèlement, d’autres groupes issus de pays frontaliers trouvèrent refuge en Sylisie, renforçant son caractère pluriel mais complexifiant davantage son équilibre politique.
Développement contemporain (2016–…)
En 2016, la fédération lança un appel universel destiné à attirer d’autres peuples et cités-États désireux de rejoindre le projet sylisien. Si l’initiative eut peu d’échos à l’international, quelques entités du nord du continent y répondirent favorablement.
La Sylisie adopta ainsi sa forme actuelle : une fédération multiculturelle et pluraliste, fragile mais singulière, dont l’identité nationale repose avant tout sur l’union politique et culturelle d’une mosaïque de populations sans racines communes.
Mentalité de la population :
Il est difficile de définir avec précision une mentalité commune à l’ensemble de la population sylisienne, tant les différences régionales et culturelles demeurent marquées. La société se caractérise par une forte hétérogénéité, fruit d’une longue histoire d’immigration, d’exils politiques et de cohabitation forcée entre communautés d’origines variées.
Une légère majorité de la population adhère à une vision internationaliste, qui constitue l’un des fondements idéologiques de la fédération. Cet internationalisme s’exprime sous des formes diverses : certains l’associent à des valeurs démocratiques et pluralistes, d’autres y rattachent une orientation communiste, tandis que des minorités plus radicales peuvent l’interpréter à travers une grille fascisante. Toutefois, cet internationalisme ne doit pas être confondu avec un projet expansionniste ou belliqueux : pour la majorité, il s’agit avant tout d’un principe d’ouverture conditionné au partage de valeurs communes.
La cohésion nationale reste néanmoins fragilisée par de profondes dissensions. Une partie significative des habitants refuse de se définir comme sylisiens, préférant se revendiquer de leur pays d’origine, dont ils ont parfois été contraints de fuir. Parmi ces groupes, les exilés illiriens occupent une place notable, certains d’entre eux regroupés autour du parti impérialiste en exil, contestant l’identité fédérale au profit d’une fidélité à leur héritage national.
Place de la religion dans l'État et la société :
La Sylisie reconnaît la liberté de culte et autorise la pratique des différentes traditions religieuses présentes sur son territoire. En vertu de la large autonomie administrative, religieuse et judiciaire accordée aux communes, celles-ci peuvent organiser localement certaines règles en matière de pratique spirituelle.
Toutefois, l’État a instauré une religion civile officielle, centrée sur le culte de la personnalité du chef de l’État élu. Inspirée en partie de références chrétiennes, cette doctrine a été introduite au cours des dernières décennies afin de pallier l’absence d’unité culturelle et identitaire au sein de la fédération.
Bien qu’ayant pour objectif de fournir un cadre spirituel commun et de renforcer la cohésion nationale, cette religion civile n’a rencontré qu’un succès limité. Dans certains milieux, elle a même donné naissance à des mouvements radicaux et sectaires, marqués par une forte ferveur fanatique, contribuant ainsi à alimenter de nouvelles tensions sociales et politiques.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
La vie politique en Sylisie est marquée par une forte instabilité, mais elle n’en demeure pas moins structurée et institutionnalisée. Le régime en place peut être qualifié d’anocratie, dans la mesure où il combine à la fois des éléments démocratiques et autoritaires mais aussi fortement instable et souvent virtuellement présent bien que les actions concrètes ne s'applique pas ou avec difficulté selon la réticence des populations locale laissant parfois encore planer certaines zones sans réel contrôle Etatique, sans se conformer pleinement à l’un ou l’autre modèle.
la partie du pouvoir décentralisé est répartie au niveau communal ou le bourgmestre local élu pour 7 ans à une énorme liberté administrative, judiciaire et religieuse, il partage son pouvoir avec une assemblé local élu de 10 personnes. Se fonctionnement ne représente qu'une partie du fonctionnement des communes certaines fonctionnant sous forme de démocratie directe Athénien.
Le système repose sur une forme de régime semi-parlementaire, où le pouvoir est partagé entre un président élu et une assemblée législative.
Le pouvoir exécutif
Le président de la République fédérale de Sylisie, élu pour un mandat de cinq ans, exerce un rôle central dans l’organisation politique. Il est à la fois chef de l’État et chef des armées, incarnant l’autorité politique et militaire. Bien que le gouvernement soit formellement responsable devant l’assemblée, il reste en pratique largement soumis à l’autorité présidentielle.
Le président dispose d’un pouvoir d’initiative législative, au même titre que le parlement, et possède en outre un droit de veto dans les domaines économiques et sociaux, lui conférant un rôle décisif dans l’orientation des politiques publiques.
Le pouvoir législatif est exercé par le Parlement fédéral, une assemblée composée de 689 sièges, correspondant aux 689 communes constituant la fédération. Chaque commune dispose ainsi d’une représentation directe dans l’administration centrale.
Le parlement a la capacité de proposer, débattre et voter les lois, ce qui en fait une institution influente dans le processus politique. Toutefois, l’équilibre des pouvoirs reste fragile, puisque l’intervention présidentielle peut limiter ou réorienter certaines décisions parlementaires, notamment dans les domaines stratégiques.
Le modèle politique sylisien illustre la tension entre volonté d’unité fédérale et pluralité locale. Le système communal, très décentralisé dans sa représentation, contraste avec la centralisation du pouvoir exécutif autour de la présidence. Cette dualité, caractéristique d’un régime anocratique, alimente à la fois la vitalité politique du pays et son instabilité chronique..

liste parti politique:
- néo-impérialiste Illiréen (pro illirie)
1 950 861 (valinor mixte 70%)
723 599 (natif mixte 7%)
48 140 Mirinegratziens (40%)
- parti socialiste (pro illirie)
195 086 (valinor mixte 7%)
- parti démocrate (pro illirie)
640 997 (valinor mixte 23%)
- union universelle libre (national et religieux)
826 970 natif mixte (8%)
20 001 italien Ligurie (5%)
152 219 belgrave (6%)
12 035 Mirinegratziens (10%)
38 211 Futibulais (17%)
- islame internationaliste (religieux)
34 958 population d'Afarée (100%)
29 306 population de Nazum (9%)
- soulevement populaire international (international)
2 274 168 natif mixte (22%)
178 544 français Saint-Alban (54%)
365 358 français Royaume de Teyla (8%)
137 169 VAYIE mixte (77%)
1 065 536 belgrave (42%)
141 606 Futibulais (63%)
82 830 Yougoslave Visonzan (15%)
- parti racialiste (international)
620 227 natif mixte (6%)
13 225 français Saint-Alban (4%)
91 339 français Royaume de Teyla (2%)
6 017 Mirinegratziens (5%)
- marche patriote (national)
1 964 054 natif mixte (19%)
39 676 français Saint-Alban (12%)
44 954 Futibulais (20%)
- partisant et pacifiste (international)
3 928 109 natif mixte (38%)
5 488 velsnien (12%)
99 191 français Saint-Alban (30%)
776 387 français Royaume de Teyla (17%)
58 786 VAYIE mixte (33%)
202 959 belgrave (8%)
36 105 Mirinegratziens (30%)
- parti révolutionnaire républicain de Teyla (socialiste rouge)
2 329 163 français Royaume de Teyla (51%)
- commune autonome Velsnienne
40 247 velsnien (88%)
18 052 Mirinegratziens (15%)
- parti de libération républicaine Belgrave
431 288 belgrave (17%)
- parti révolutionnaire national libérale de Teyla (néo nationaliste Teyla démocrate-chrétien)
1 004 737 français Royaume de Teyla (22%)
- parti traditionnel italien
380 024 italien Ligurie (95%)
240 886 Visonzan (98%)
33 121 Ræcien Visonzan (100%)
-Front de libération de belgrave (communiste)
684 987 belgrave (27%)
-Slave libre (autonomiste)
469 372 Yougoslave Visonzan (85%)
4 916 Visonzan (2%)
-front de libération intercontinentale:
432 865 population d'Aleucie (100%)
296 321 population de Nazum (91%)
Principaux personnages :
[à remplir]
Politique internationale :
La politique intérieure du pays se veut résolument internationaliste et inclusive, accueillant toute personne, indépendamment de son origine ou de son parcours. Le contrôle des frontières est appliqué de manière ponctuelle, et seules les autorités locales disposent d’un pouvoir réel en matière d’installation des immigrés au sein d’une commune donnée.
Le pays se positionne actuellement comme non expansionniste et non belliqueux, privilégiant le développement interne et la préservation de l’intégrité nationale. Néanmoins, cette orientation pourrait évoluer ou être modulée en fonction de la montée en influence de certains partis extrémistes ou d’acteurs extérieurs intervenant dans les affaires internes du pays, dans le but de servir exclusivement leurs intérêts personnels ou nationaux.