16/12/2017
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Traditions, monuments et autres faits peu anodins [Culture / Patrimoine]

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L'Ordre des Chasseurs de Démons et des Exorcistes Impériaux

Chasseur de démon te regardant de travers


Le Céleste Empire des Ushongs en dépit du fait qu'il cherche à se réinventer, à se moderniser et ce selon les standards de l'ère, n'en demeure tout de même pas moins une terre ancrée dans la tradition comme les us et diverses coutumes. C'est une nation où si le matériel dispose de l'ascendant, le spirituel conserve toutefois dans sa culture une place toute privilégiée au moins dans les coeurs comme les âmes. De fait, les croyances et superstitions ont encore même à ce jour, dans cette ère de science et de progrès, une importante singulière aux yeux de tous et chacun, les contes et mythes d'antans sont toujours vivants aux yeux des individus colportés et transmis encore et toujours de génération en génération tant à l'oral qu'à l'écrit. Et parmi tout cet amas de superstitions mystiques où le concept de l'harmonie entre les plans mortels, célestes et démoniaques est au coeur de tout, les vielles terreurs demeurent toujours aussi influentes, faisant planer leur ombre bien que fantasmagorique et illusoire sur les coeurs des Ushongs d'un bout à l'autre de la contrée. De fait, les gens ont toujours peur des ombres, de la nuit car elles sont réputés être le terrain de jeux de démons, créatures aussi mythiques qu'étranges aux formes diverses se nourrissants d'après les légendes, des âmes, des émotions ou dans certaines oeuvres plus crus, directement de chaire humaine, faisant disparaître ceux trop imprudent

Bien évidemment, en tant qu'être de raison et d'éducations, l'on peut de nos jours affirmer avec aisance que ces contes ne sont rien de moins que ce qu'ils paraissent être, des contes, faits de bric et de broc, exagérations et affabulations, mêlés à l'ignorance, à la peur de l'inconnu, et aux besoins inhérents du genre humain de disposer de boucs émissaires pour évacuer la frustration en désignant des boucs émissaires idéaux. Les démons n'existent guère... Ou existent-ils ? Beaucoup pensent avoir trouvés leur réponse. Les contes déformés en passants d'une bouche à une oreille à chaque fois, en partant de situation des plus banales, qui ont été magnifiés par l'imagination.

Mais en dépit de cela, et notamment en des temps plus reculés et moins éclairés, la population effrayée et crédule appelait de ses voeux libérateurs et héros afin de les sauver de l'emprise des mauvais esprits. Une demande qui a vu naître l'offre sous la forme de ce que l'on connaît aujourd'hui comme l'Ordre des Chasseurs de Démons et Exorcistes Impériaux, une authentique institution à part entière partiellement sous le contrôle du Ministériat de la Sécurité d'état mais qui conserve toutefois une très vaste autonomie de par la nature particulière de son rôle ainsi que les compétences de ses agents. Autrefois, il s'agissait de quelque chose de bien différent, plus un simili de guilde indépendante qu'un véritable ordre, des ensembles disparates d'individus initiés aux arts "réputés mystiques" et investis de savoirs et de connaissances sur le fantastique qui se sont progressivement rassemblés sous une même bannière, allant jusqu'à établir des "écoles" et autres académies dédiés à la transmissions de leur héritage afin de s'assurer que chaque génération dispose de ses exorcistes.

Exorcistes qui disposaient de profils différents les uns des autres, l'on y retrouvait en effet autant des prêtres bouddhistes connaissant par coeurs les psaumes célestes que des philosophes savants et connaisseurs en matière d'Alchimie, les guerriers errants et autres héros de grands chemin adeptes de l'épée ou des arts martiaux étaient aussi de la partie tandis que de temps à autres des apothicaires et des inventeurs rejoignaient le lot. Un exorciste pouvait ainsi être bien des choses et pas un ne ressemblait à un autre, ce qui en soit est encore vrai aujourd'hui même si la plupart sont surtout des prêtres virtuoses de la Philosophie, des docteurs émérites ou bien des savants sachant expliquer l'intriguant de façon rationnelle. Car finalement c'est d'être rassuré dont ont besoin les individus et bonnes gens de l'Empire, les hommes d'esprits ont toujours eut le dont d'accomplir cela et de faire renaître le réconfort dans les coeurs en balayant les ténèbres de l'ignorance, quitte à le faire régulièrement de façon un peu théâtre d'ailleurs. Après tout au delà de la finalité, le processus avait grande importance pour la "clientèle", ce n'était pas simplement le fait de prouver ou de démontrer la futilité des peurs qui était important, mais bien de rendre vivant la chose et de faire en sortes que chacun qui contemplait le processus y croit. D'aucun pourrait parler là de méthodes de charlatans, d'acteurs d'une troupe de théâtre et il est vrai que cela pouvait paraître ainsi dans certains cas, et plus d'une fois l'on vit des gens tenter de mimiquer d'authentiques exorcistes et autres chasseurs de démons afin de profiter de la crédulité des gens pour les dépouiller. Mais ces abus et excès sont là le commun du genre humain. Ils ne sont pas propres à cette "profession".

En tout état de cause, la longévité et la métamorphose de ces groupes en un ordre authentique prouve par le fait qu'ils ont globalement eut et conservent un certains intérêt, ne serait-ce que spirituel. De même dans une certaine mesure ils sont une part entière de l'histoire vivante du pays, un morceau de folklore vivant entre le passé et le présent, alternant d'un côté comme de l'autre afin de les élever au même rang dans une parfaite synergie. Les histoires, ballades épiques, contes aux morales utiles ou récits d'affrontements épiques face à des Onis, ce sont là une part de l'âme du pays, de son peuple, de son identité. Les petites gens y sont encore très fortement attachés, de surcroit dans le monde rural où loin des villes et avec parfois peu de moyens de mobilité en dépit de la modernisation à marche forcée du pays qui a brisé la plupart des barrières et restriction dans le domaine, trouvent ainsi dans ces visiteurs d'un autre temps, des repères appréciables ainsi qu'une fenêtre sur l'extérieur des plus fascinantes. La chose peut paraître anodine, voir même nébuleuse, mais elle est pourtant réel, l'influence passive de ces gens, de ces exorcistes via le prestige de l'histoire et les légendes à moitiés vrais fondés sur des semi mensonges magnifiés. Et c'est là sans compter sur le fait que les enfants tout comme les anciens adorent contempler les chorégraphies stylisés de ces individus, écouter les déclamations philosophiques ou explications teintés de fantastique quand à des causes scientifiques de phénomènes "curieux" pour des gens non éduqués...

Puis il y aussi la frange moins "glorieuse" de l'Ordre... Quoique cela dépend des opinions. Les guerriers et héros n'ont après tout pas disparus. Ils se sont simplement reconvertis, les brigands et bandits de grands chemins ainsi que les "supposés démons" ne sont guère plus de nos jours, ou si insignifiants qu'ils sont négligeables... Les Pontes de la Cité Interdite, et plus généralement les élites de la société Impériale capables de se payer les services des Exorcistes "martiaux" ont trouvés à ces derniers une autre utilité, d'autres démons à chasser en cette ère... Des démons d'un genre plus humain, mais plus insidieux, ayant en commun avec les Onis et autres démons classiques qu'ils ont bien souvent une affection toute particulière pour ce qui est rouge... Ou plus généralement ce qui cherche à maudire les instances régnantes ou à ébranler le système en place. Ces démons là sont assurément aussi néfastes que les mauvais esprits des légendes, voir même plus, et le cas échéant méritent de recevoir une lame en bon acier dans leurs entrailles dirons certains...
Les Marchés Nocturnes Ushongs
Marché Nocturne


L'Empire est la demeure de naissance de bien des us et des traditions mais l'une d'elle en particulier, au demeurant encore très populaire au sein de l'ensemble du pays tel quel et même au delà dans de multiples reliquats de ce qu'il fut, a su transcender la tyrannie du sablier et se maintenir mais plus encore se développer et évoluer avec son temps là où le reste de l'Empire traînait encore la patte dans bien des domaines. Il s'agit là des Marchés Nocturnes, ces derniers sont probablement nés l'on estime il y a un peu plus de sept siècles lorsque le Céleste Empire connaissait un véritable âge d'or du commerce, étant presque considéré à l'époque comme le centre du monde et attirant naturellement de tous horizons négociants, marchands et autres adeptes du trocs du monde connu alors dont certains venaient parfois de très loin comme du proche-orient ou même de la très mystérieuse Eurysie en ces temps que l'on ne connaissait guère plus que via les liens avec l'Antique Rhême en majorité. Comme beaucoup de traditions, nés d'un besoin et de nécessités pratique, les Marchés Nocturnes ne font pas exception à la règle et ont vue le jour en premier lieu face à une problématique témoignant de certains problèmes structurels de la société Ushong de ces temps qui est encore d'actualité à certains degrés de nos jours et est en lien avec l'un de ses "fleurons" nationaux qui est ironiquement aussi à bien des égards un poids alourdissant conséquent limitant bien le changement ou la fluidité de la vie courante des individus, à savoir la Bureaucratie.

En effet, la législation Impériale dispose d'un certains nombre de restrictions diverses qui tout confondus impliquent à peu près tous les aspects de la société, parmi celles ci l'on peut assurément dénombrer une majorité qui font sens tandis qu'une autre part que l'on pourrait en toute bonne foi qualifier d'ubuesque participe à complexifier de façon indécente l'existence pour des raisons des plus nébuleuses tant leur rôle ou intérêt paraît invraisemblable. L'une de ces restrictions concernait notamment le droit de tenir un étal dans l'espace publique, ce qui incluait des places dédiés ou même la voirie et ce jusque devant les remparts des cités et qui commandait d'obtenir pour les individus des permis et autres autorisations pour tel planche horaire avant que le soleil ne se couche. Bien évidemment, un mélange évident de racisme associé à la corruption inhérente de certaines fortunes aisées monopolisant la plupart des espaces via leurs séides ou associés rendait extrêmement compliqué l'accès auxdites autorisations, et ce faisant les négociants étrangers, de même que les petits artisans et autres gens du commun émergeant du monde Rural se retrouvaient bien dépourvus avec l'impossibilité de trouver dans bien des cités et des lieux ni espace ni horaires pour vendre leurs biens, un état de fait des plus absurdes en considérant qu'il s'agissait de "l'âge d'or du commerce" au sein de l'Empire. Ironiquement, il était littéralement plus aisé de vendre quoique ce soit dans les localités rurales dont beaucoup n'étaient guère très riche que dans les vastes métropoles parsemant le pays.

Ce jusqu'à ce certains individus eurent alors une idée habile qui consistait à retourner les armes de la bureaucratie contre elle en usant d'une faille majeure de la législation qui si elle avait eut à l'origine à coeur d'encadrer la plupart des situations possibles avait cependant omis d'adresser tout ce qui avait trait au nocturne. Les législateurs ayant sans doutes considérés comme invraisemblable le développement d'une vie nocturne florissante autre que ayant un rapport avec le brigandage et ne nécessitant guère le cas échéant de s'y attarder. Qu'à cela ne tienne, il n'y avait aucune loi interdisant le cas échéant de revendiquer permis et autorisations pour tenir étal durant la nuit, d'autant plus que la plupart des grandes avenues et hauts lieux de rassemblement le jour siégeant vers le coeur battant des cités bénéficiaient d'éclairages accrus et de la présence du Guet Nocturne et donc d'un certains sentiment de sécurité quoi qu'il arrive. Ainsi les premiers étals commencèrent à s'installer de manière éparse alors que le monde se drapait de ses atours obscurs. Si l'on aurait pu penser que cette entreprise était vouée à l'échec de part le manque de clientèle une fois la nuit tombée, ces inquiétudes se révélèrent bien assez vite infondées. Certes les premiers jours furent timides en termes de "succès", mais virent tout de même se présenter devant les étals divers individus. Tout d'abord les étrangers présents pour diverses raisons et à qui le goût de leurs terres d'origine manquaient et qu'ils pouvaient retrouver dans les denrées de leurs compatriotes ou des ceux étant passé par leur patrie, de petits groupes initialement qui attirèrent l'attention peu à peu d'une part des locaux. En effet, même si les commerces classiques fermaient une fois le soleil couché, la vie de la cité ne s'arrêtait pas pour autant, d'autres "échoppes" spécialisés entamaient leurs services, et c'était sans compter les préposés à l'éclairage et autres individus qui avaient des tâches à accomplir de nuit alors que beaucoup sommeillaient paisiblement. Tout ces gens commencèrent à affluer peu à peu, poussés par la curiosité initialement, et à mesure que le temps passaient un certains nombre devenu des réguliers ramena de plus en plus de leurs amis ou connaissances, et la masse grimpa. Le Guet Nocturne lui même se prit au jeu et fut parmi les premiers groupes de clients, c'était dire, après tout les tours de garde étaient parfois long et disposer de quelques friandises exotiques rendaient la durée plus supportable.

Les étals isolés qui prospéraient commencèrent alors à se multiplier, les nouvelles allant vite quand bien même elles furent de bouche à oreille, et bientôt les étrangers et ruraux ne furent plus les seuls à occuper ces planches horaires atypiques, des Ushongs métropolitains, souvent des négociants eux même revenues de loin se joignirent à l'entreprise car de fait l'une des caractéristiques hautement importante relative au succès desdits étals se fondait sur l'exotisme et la rareté de ce qui se vendait là bas. La seule exception notable étant tout ce qui avait attrait à la nourriture ou aux boissons, et tout particulièrement les friandises et autres "snacks" que l'on pouvait consommer sur place ou en marchant dans les rues car tout le monde appréciait se remplir la pense qu'importe l'heure. Toujours était-il que la spécificité des biens que l'on trouvait une fois le soleil ayant laissé place aux étoiles et à la lune, ajoutait assurément une aura de mystère, pour ne pas dire de mysticisme qui fascinait les gens, et fascine encore techniquement de nos jours. Le phénomène prit toutefois tellement d'ampleur que finalement afin d'éviter que ce soit toute la cité entière qui ne se transforme en marché, les magistratures commencèrent à limiter dans l'espace les lieux de tenue des étals et échoppes à ciel ouvert.

Ainsi naquit le concept de Marché Nocturne tel qu'on le connait. Avec le temps, certains sont devenus permanent et se tiennent chaque nuit sans coup férir avec souvent un coeur d'étals qui ne change guère auquel se greffe d'autres tournant, échangeant, allant et venant ce qui fait que les lieux disposent à la fois d'une offre constante sur certaines choses tandis que une part non négligeable de biens ne cesse de changer et participe à maintenir un intérêt constant de la population, qui dans sa très grande majorité a elle aussi prit part au phénomène de par l'engouement général. Il n'est ainsi pas faux de dire qu'au moins Huit Ushong sur Dix tendent à réserver dans leurs cycles de vie au moins "une nuit" par semaine pour se rendre à un marché nocturne si il y en a un permanent dans leur cité, quand bien même les concernés travailleraient ou vivraient majoritairement sur des horaires diurnes. Toutefois pas il ne faut pas attribuer au simple négoce et à l'exotisme des marchandises proposées à la vente le succès global des Marchés Nocturnes. De fait, ce sont toutes les activités annexes s'étant greffé à l'objet principal de la chose qui ont achevé de convaincre la majorité de la populace du bien fondé du procédé. Saltimbanques audacieux, acrobates fougueux, conteurs passionnants et autres artistes ou même des experts martiaux désireux de démontrer leurs arts, ont bien vite eux aussi trouvé leur place dans ce microcosme particulier, participant indéniablement à la popularité des évènements. Et de fait, les Marchés sont hautement réputés pour les spectacles et activités amusantes qui accompagnent ces derniers, un peu comme des fêtes foraines occidentales finalement.

Toutefois, les plus grandioses et célèbres d'entre eux ne sont pas ceux tenus permanent mais bien ceux se voulant apparaître uniquement à certaines périodes de l'année, généralement pendant quelques jours durant des festivals, mêlant les traditions et les fêtes du pays aux festivités qu'ils assurent via les services de leurs participants, les rues et places où les étals siégeant se garnissant de fait de lampions et autres lanternes brillants de mille éclats tandis que des feux d'artifices et autres procédés pyrotechniques gagnent les cieux obscurs afin de les faire resplendir plus encore la voûte céleste éclairées. L'on dit que les dragons eux même marchent sur terre à ces occasions, des dragons de papiers multicolores composés d'hommes de chaire et de sang mouvant des parties disparates formant un corps, mais un dragon tout de même. Et que dire des curiosités encore plus inédites qui tendent à refaire surface dans quelques échoppes n'apparaissant qu'une fois tous les dix ans ? Antiquités, traités philosophiques ou politiques des temps jadis, arme ancienne parfaitement conservées, jusqu'à des tiares qui auraient appartenu à des princes et des esquisses émanant de grands peintres ayant voulu retranscrire la beauté du monde. Le Bonheur de tout collectionneur où la chance des uns fait le bonheur des autres.

Et pour le reste de la masse, il y a toujours l'occasion de profiter des innombrables mets et plats cuisinés à même les étals dont émanent d'innombrables senteurs d'épices, de friture et bien d'autres encore qui mettent à l'eau à la bouche. Autant de merveilles que l'on peut déguster seul même avec d'autres en marchant dans les rues illuminées sous le regard solennel de l'auguste lune. Car le Marché n'est pas seulement un simili de festival, c'est aussi et surtout un des hauts lieux de la société Ushong pour sociabiliser, un fait qui est devenu admis depuis plusieurs siècles de par le succès des premiers Marchés qui ont ouvert la voie au phénomène qui à ce jour perdure et prospère, n'ayant même pas été réellement ébranlé par les crises ayant ébranlé l'Empire durant les deux derniers siècles. Les Marchés Nocturnes sont et demeurent des microcosmes dont les règles leurs sont propres et ne sont pas sujets aux affres du reste du monde phénoménal. Quoique, il convient toutefois de faire attention aux larrons et autres pickpockets, la Garde veille, mais les doigts agiles demeurent, c'est là le lot du succès et des sites où il y a foule après tout, chaque bête sacrée attirant invariablement ses parasites.

En dernier point, il convient peut être de mentionner que en l'état des choses, le plus prestigieux desdits Marchés n'est autre que celui de la Capitale Impériale, Beiyfon qui s'il dispose d'un petit coeur permanent reclus dans les quartiers médians voit toutefois son activité se multiplier presque indéfiniment lorsque les grandes fêtes tendent à revenir, au nouvel an, aux solstices divers ou même durant des commémorations nationales en hommage à des héros ou des évènements marquants. C'est à ces moments là que la ville déjà fort active et prospère se pare de ses plus beaux atours et atteint de nouveaux sommets, d'autant plus depuis que l'Empire se tourne à nouveau en partie vers l'extérieur, voyant à nouveau des étrangers affluer ci et là, et redonnant un nouveau souffle à l'évènement...

Ainsi, les Marchés Nocturnes sont quelque chose d'incontournables au sein du Céleste Empire des Ushongs et ont encore de beaux jours, ou plutôt de belles nuits, devant eux.
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