16/12/2017
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Grande Encyclopédie du Tsarat du Khardaz (GETK)

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INTRODUCTION :

La Grand Encyclopédie du Tsarat du Khardaz (GETK) est une partie de l'Institut Nationale du Khardaz (INK) qui regroupe les données sur l'histoire, la géographie, la culture, la politique du Khardaz. L'INK se trouve dans la capitale du Khardaz, Kharinsk et la GETK, dans ses sous-sols. Certaines des informations de la GETK ne sont disponibles au grand public et donc inconnues sur la scène internationale (HRP : les informations écrites en rouges sont inutilisables en RP sauf si une opé d'espionnage à été menée et réussi).

TABLE DES MATIÈRES :

  • Fiche générale
  • Histoire
  • Géographie
  • Légionarisme Khardazien
  • Culture et Ethnies
  • Sports

  • D'autres sous-divisions seront possiblement ajoutées dans le futur.
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    Création de pays : Tsarat Parlementaire du Khardaz


    Généralités :



    Nom officiel : Tsarat Parlementaire du Khardaz
    Nom courant : Khardaz
    Gentilé : Khardazien, Khardazienne

    Inspirations culturelles : Géorgie, Daghestan, Arménie, Tchétchénie, Ingouchie
    Situation géographique :

    Langue(s) officielle(s) : Khardazien (mélange d'ukrainien et de géorgien
    Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Tcharzouri (Les Tcharzènes : inspirés de la Géorgie), Armazit (Les Armazètes : inspirés de l’Arménie), Narkh (Les Narkhazis : inspirés de la Tchétchénie), Yasski (Les Yasskirs : inspirés des Yakoutes / Iakoutes), Khaszakht (Les Khaszaks : inspirés des Kazakhs), Morzakh (Les Morzalkhs : inspirés des Mongols/Bouriates), Dagurash (Les Daguranes : inspirés du Daghestan)

    Drapeau :
    Drapeau

    Devise officielle : Par le peuple, pour le Tsar, avec l'aide de Dieu
    Devise populaire : Srava Khardaz ! Jeroyam Srava !
    Hymne officiel :
    Monnaie nationale : Lari (₾)

    Capitale : Kharinsk

    Population : 23 300 000 habitants


    Aperçu du pays :



    Présentation du pays :
    Le Khardaz est une ancienne théocratie orthodoxe coupée du monde. Elle s’est officiellement fondée en 1556 par des moines exilés ayant quitté l'Empire de Slaviensk, pour se rapprocher de la religion et pour fonder une nation orthodoxe isolée du monde hérétique. En arrivant sur les territoires rudes et glaciales du nord-Nazum, ils ne sont pas seuls, des peuples autochtones sont déjà présents, de culture et religion païenne. Les moines parviennent à obtenir un petit territoire. Ils créent alors le Royaume du Khardaz. Ce royaume ne sera que très peu calme, les moines chevaliers lancent la première croisade en 1574, et obtiennent la totalité de leurs territoires actuels. Puis une deuxième est lancée en 1632 où ils obtiendront les territoires manquants pour former le territoire du grand royaume du Khardaz.
    Territoire du Grand Royaume du Khardaz
    En 1651, après avoir conquis les saintes terres, une région, la plus petite, se tourne de plus en plus vers une religion païenne, ils brulent des monastères et églises à peine construits. Le patriarche décide alors d'y envoyer la sainte armée pour négocier ces hérétiques à se retourner vers le Christ. Le peuple ne coopère pas, le patriarche donne l'ordre de décimer l'entièreté de la population : hommes, femmes et enfants. Près de 50 000 personnes sont exécutées en 2 ans. Par la suite, cet évènement sera effacé des récits historiques, bien que quelques livres et témoignages circulent encore illégalement dans le pays. Cet évènement est désormais une légende.
    Pendant l'entièreté de cette période, aucune ambassade, aucune route extérieure, aucun commerce extérieur. Des cathédrales en pierres noires, symbole du Khardaz, des écoles religieuses et premières murailles sont érigées. C'est là que naît la légende d'une nation fantôme religieuse au nord du Nazum. Cette légende est confirmée au monde extérieur au XVIIIᵉ siècle par l'empire Mor. La découverte du Khardaz par les Mors sera le début aux enfers du Saint État. Les Mors annexeront le Khardaz en tant que colonie. Puis les Mors deviendront une république socialiste, la RSFSM (République socialiste fédérative soviétique mor). Le peuple, toujours très religieux, refuse le socialisme comme le communisme. Mais en tant que peuple aussi connu pour son calme et son pacifisme, ils ne font d'abord rien mais espèrent la chute de la RSFSM. Mais dès les années 1930, une première révolution pour l'indépendance de la Yashosie, qui est d'ailleurs très soutenue par les élites. Puis en 1939, le Khardaz est libre. Enfin c'est ce que le monde croit. Les mêmes élites qui avaient soutenu la révolution prennent le pouvoir et instaurent un régime communiste dictatorial extrême, la République Socialiste de Yashosie. Les religions sont interdites, la culture doit être effacée et il instaure un parti unique. Le peuple se sent accablé par le régime communiste et épuisé de leur première révolution, alors ils ne font rien. Puis en 1963, une partie du peuple à l’est se rebelle. Seulement quelques centaines, 639 révolutionnaires tsaristes. Le gouvernement ne prend pas cette révolte au sérieux et laisse trainer l’affaire. Cependant, c’est en février 1964 que tout change. Le petit groupe révolutionnaire de moins de 1000 personnes s'est transformé en une véritable armée insurrectionnelle : une partie de l’armée se retourne, près de 6 millions de civils déclarés rejoignent la cause : de manière militaire, diplomatique, politique, partisans ou d’autres. À cet instant, le gouvernement est perdu. Non seulement les révolutionnaires se sont agrandis, mais de plus l’armée s’est restreinte (près d’un tiers de l’armée a rejoint la cause tsariste). Et le 18 avril 1964, le Tsarat de Khardaz déclare son indépendance dans l’est du pays. Le pays est coupé en 2 : à l’ouest, les communistes et à l’est les tsaristes. La guerre est dure pour les communistes, qui doivent faire face avec une armée affaiblie. Dans les années 1987, c’est le renouveau pour les communistes, des aides arrivent des ex-colonies Mor maintenant devenues des républiques socialistes. Le Tsarat recule énormément. Puis en 1996, une attaque terroriste revendiquée par les tsaristes dans la plus grande base militaire communiste fait plus de 12 000 morts. Près de 26 kamikazes se font exploser dans la base militaire après une entrée fracassante de 1 200 soldats tsaristes dans la base. La base est pillée puis brulée. Ce coup sera le début de la fin communiste. Près de 27 chars d’assaut, 36 chars légers, plusieurs centaines de lance-roquettes, des milliers d’armes à feu ainsi qu’une demi-douzaine d’hélicoptères de combat ont été volés. La guerre civile continue mais stagne jusqu’en 2011, où une nouvelle grande attaque faite par les tsaristes prend plusieurs bases militaires ainsi que leurs équipements. Suite à cela, pour achever encore plus le gouvernement communiste, Novyavik fournit secrètement des missiles aux tsaristes qui bombardent la capitale yashosienne ainsi que d'autres bases militaires. Cet évènement, affaiblissant encore plus l’armée communiste, donnera la récupération d’une énorme partie du territoire par les armées tsaristes. Depuis, l'Empire de Slaviensk (anciennement Novyavik) et le Morakhan continuent d'aider les partisans tsaristes mais de manière plus modérée, en particulier des dons d’armes ou d’autres équipements militaires. La guerre continue lentement en grand avantage pour la faction tsariste. En fin du mois de juin, le président Josef Skratac se rend à Catheringrad pour une rencontre avec la Confédération Socialiste du Nazum (CSN). Il s'y rend en pensant signer des accords d'aides militaires, mais la CSN lui exige de changer sa politique, surtout sur le sujet des camps de concentration pour religieux. Le président Skratac s'énerve et part de la rencontre très rapidement. L'avion qu'il prend est détourné par un des ses garde du corps avec l'aide du pilotes ainsi que du copilote. Dans l'avion, le président tente de résisté en voulant attaquer le garde du corps mais finit abattu par une balle dans la tête par ce dernier. Suite à cela, le régime communiste tombe et Kharinsk revient au mains des tsaristes qui instaurent le Tsarat Parlementaire du Khardaz.

    Mentalité de la population :
    La population du Khardaz est profondement bouleversé par les 54 années de guerres civiles. La plupart du peuples n'a jamais connu la paix jusqu'à aujourd'hui. Ainsi, les khardaziens sont méfiants et assez aggressifs. Ils sont de plus connus pour être la population la plus consommatrice de drogue et d'alcool.

    Place de la religion dans l'État et la société :
    Le peuple du Khardaz est en majorité orthodoxe, près de 93%. Cette énorme quantité d'orthodoxe est du à son histoire. En effet, de 1556 à 1743, le Khardaz est un immense royaume patriarcale orthodoxe, le chef d'état est le patriarche de l'église orthodoxe du Khardaz. Malgré le régime communiste yashosien, le peuple a su garder sa foi orthodoxe. Le reste est composé de 2% de musulmans et de 5% d'athée.


    Politique et institutions :



    Institutions politiques :
    Le Tsarat Parlementaire du Khardaz, suit une politique assez classique et fort démocratique. Le Tsar obtient son rôle de par sa lignée familiale. Il exerce le pouvoir de chef du gouvernement :
  • Il est le chef des armées.
  • Il peut dissoudre l'assemblée.
  • Il représente le Khardaz à l'internationale.
  • Il possède un droit de véto sur l'ensemble des lois votées par l'assemblé (sauf sur la constitution et le budget)
  • Le Tsarat étant aussi parlementaire, il possède une assemblée de 645 places qui sont élus au suffrage universels tout les 5 ans par le peuple. Ensuite, l'assemblé vote les lois proposées.


    Principaux personnages :
    Tsar Arman Tsarukyan

    Politique internationale :
    Le Tsarat parlementaire du Khardaz sortant à peine de 54 années de guerre civile, cherche avant tout à reconstruire le pays. Pour cela, il tente de signer de nombreux accords économiques, diplomatiques et même militaire pour assurer leur protection. La situation du Khardaz dérangeant beaucoup la Confédération Socialiste du Nazum, le Tsarat a engagé une procédure d'armement d'une énorme envergure.
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    Histoire

    ContexteNous sommes en février 1556 dans l'actuel Empire de Slaviensk, plus précisément au sud de ces terres. Près de l'actuelle ville de Kovgorod, des premières tensions sont constatées entre une communauté ethnique et religieuse des montagnes du sud de Slaviensk, les Khardaziens, et l'Église orthodoxe slave. Ce peuple est, dans sa grande majorité, pour ne pas dire dans son entièreté, de religion chrétienne orthodoxe. Ces tensions sont basées sur des accusations de la communauté khardazienne qui accuse l'Église orthodoxe slavonne d'être trop laxiste et de s'écarter beaucoup trop de la parole du Seigneur Dieu. Ils annoncent alors en juin 1556 vouloir quitter l'Empire pour former une nouvelle terre loin des hérétiques. Cette rumeur prend vite de l'ampleur et, fin juillet 1556, le début de la grande immigration commence. Leur destination ? Les grandes plaines et forêts glaciales du nord du Nazum. Au total, près de 15 000 personnes, hommes, femmes et enfants réunis, quittent l'Empire pour se rendre dans ses terres gelées.
    InstallationLe voyage se fait par bateaux, ils mettront 2 mois avant d’arriver à destination. Une fois arriver, les moines ne sont pas seuls, des peuples autochtones païens y vivent déjà. Les moines se remettent en marche, en direction de l’est. Ils y trouveront un territoire vierge sans autochtones, dû à une croyance de leur religion païenne. En effet, cette région montagneuse aujourd'hui appelée "Gora" était une région dite comme maudite. Les khardaziens s’installent et se développe dans la région de la Gora. Cependant, ils ne se développe pas religieusement comme prévu, seul une dizaine de bâtiments religieux sont construits, mais ils se développe militairement dans le but de croisade contre les autochtones païens et d’obtenir leurs terres.

    Première CroisadeAprès une installation rapide et efficace dans les montagne de l'ouest, un fort taux de militarisation se fonde. Une militarisation avec ce qu'ils appelaient à l'époque, des moines-chevaliers. A l'époque, un soldat était aussi un membre du clergé, le plus souvent il s'agissait de prêtres ou de moines. En 1584, la population de 24 000 habitants était composés de 9 000 moines-chevaliers, ce qui est un nombre assez impressionnant. A cette époque, le Royaume du Khardaz était installé tout le long de la chaine de montagne.
    Seconde CroisadeEn 1632, une nouvelle croisade est lancée. Cette fois ci, pour s’enfoncer dans les terres proches des côtes. Cette bataille, dû au 50 000 moines chevaliers fut très courte, seulement 3 mois. A cet instant, le Khardaz connaissait son territoire actuel et en 1649, elle connait son paroxysme militaire avec près de 66 000 moines chevaliers. Ce nombre leur sera très utile : seulement 2 ans après l’apogée militaire, une toute petite région montagneuse de moins de 100km² de l’est khardazien connaitra l’horreur. En effet, les anciens autochtones non chrétiens mais animiste furent forcé de suivre l’orthodoxie. Cet évènement ne plus pas aux natifs qui lancèrent une révolte, ils brulèrent les édifices religieux à peines construits, tuèrent les membres de l’Église et suivirent des cultes animistes sur les places publiques. Le Patriarche actuelle, Daniil de Iosos, annonça que ces actes de blasphème méritaient une sévères corrections. Il y envoya les saintes armées, 42 000 d’entre eux. Un seul ordre, éliminer. Les moines chevaliers tuèrent hommes, femmes et enfants, ne laissant aucun survivant. Certains étaient pendus, d’autres trainées par des chevaux pleines courses et de nombreux brulés vifs sur les mêmes places publiques où ils faisaient leur culte. En 2 ans, 50 000 personnes sont tuées. Pour le Patriarche, cela ne suffit pas. Ils ordonnent de décimer l’entièreté du village ainsi que de tout détruire. En 6 mois, 2 500 nouvelles personnes sont tuées et des villes entièretés. Après cela, la région sera transformée en une immense forêt avec en son centre une grande colonne d’une dizaine de mètre où une simple phrase y est inscrite : "Pardonner aux terroristes dépend de dieu, mais les envoyer auprès de lui, cela dépend de moi." Patriarche Daniil de Iosos. Par la suite, cet évènement sera effacé de l’histoire khardazienne, bien que quelques livre et témoignages circulaient encore dans le royaume illégalement. Pendant l’entièreté de cette période et jusqu’aux XVIIIème siècle, aucun contact vers l’extérieur n’a lieu, aucune ambassade étrangère, aucune route commerciale, aucun commerce étranger. Juste le Khardaz et l’orthodoxie. Des cathédrales en pierres noires, symbole du Khardaz, des écoles religieuses et premières murailles sont érigés à cette date. Cet isolationnisme mène au début de la légende d’une nation orthodoxe au terres froides du nord du Nazum.

    En 1761, une partie de la population se tourne vers l’islam. Secrètement, le Patriarche ordonne aux forces spéciales d’éliminer tous musulmans. Ces forces spéciales ou "Assassins de Dieu", agissent sur tout le territoire : ils éliminent et effacent la vie de millier de musulmans. Certains seront envoyés dans les "Saintes prisons". Des prisons avec seulement une pièce de 3m² par prisonnier avec seulement une croix en métal et une bougie, le tout enfermer dans un noir complet sauf une petite pointe de lumière venant de la bougie. Ils n’étaient nourris que d’un simple morceau de pain ainsi qu’un verre d’eau. Certains mourrait de faim, d’autres de froid ou de folies mais certains survivaient. Ces prisons, décrites comme un crime contre l’humanités n’ont jamais été reconnues par le gouvernement khardazien. Le régime actuelle allait jusqu'à éliminer toute personne qui était au courant.

    Carte à la fin de la Seconde Croisade :

    Colonisation MorEn cours d'écriture...
    RévolutionEn cours d'écriture...
    Régime Dictatorial CommunisteEn cours d'écriture...
    Guerre CivileEn cours d'écriture...
    28
    Géographie


    En cours d'écriture...
    2555
    Légionarisme Khardazien


    En cours d'écriture...

    Nom : Légionarisme Khardazien (LK)
    Date de Création : 1911
    Slogan : Sang et honneur
    Inspiration IRL : Légionarisme roumain et Empire Byzantin

    Histoire :
    Dans les années 1900, le peuple du khardaz sous l'occupation de l'empire coloniale socialiste Mor voit son taux de nationalisme explosé en flèche. L'occupation socialiste Mor réveille peu à peu la population. Dès 1905, le nombre de religieux orthodoxe remonte, passant de 66% à 82% en moins de trois ans. Ce chiffre continuera d'augmenter jusqu'à atteindre le nombre symbolique de 97% de la population entière dans les années 1910. Avec cette évolution massive de croyant, une nouvelle idéologie nait : le légionarisme khardazien. Une partie du peuple très pieuse et fortement anti-communiste commence peu à peu à former une idéologie. Cette idéologie est un mélange de fascisme, de l'Empire Théodosien et du Royaume du Khardaz des années 1600 (Royaume patriarcal orthodoxe dirigé par un patriarche). La création de l'idéologie est d'après certaines sources, l'élément déclencheur de la révolution de 1939 pour obtenir la libération du Khardaz. Cependant, la fin de la révolution n'ayant pas conclue à un régime non communiste et non oppressif, le peuple s'est complétement détaché de cette idéologie. De plus, dès les années 2010 la création de la milice "Diavolyy" à complètement déteint l'avis de la population sur le légionarisme khardazien. Cette milite extrêmement violente utilisant majoritairement la terreur pour "convaincre" le peuple. Les diffusions des vidéos d'exécutions publiées sur des sites peu recommandables mais aussi sur les chaines de télévision morznik lors du printemps 2017 ont traumatisée de nombreuses personnes sur l'idéologie.


    Idéologie : Elle reprend des signes anciens telles que le Salut Rhêmien. L'idéologie est fortement basé sur l'anti-communisme, une suprématie orthodoxe sur toute les autres religions qui forment parfois des actes antisémites ou islamophobe, un avis extrêmement négatifs à l'encontre le mouvement de la communauté LGBT. Cette idéologie a tendance suprémaciste blanche non assumée, décrit la religion orthodoxe comme la seule réelle religion et que toute autre religion "ne sont que mensonge qui ne mérite pas d'exister". Même la branche catholique est considérée comme hérétique. Ils décrivent l'effondrement de l'Empire Théodosien comme la plus grande erreur de l'histoire de l'humanité. Leur haine antisémite est basée sur une théorie selon laquelle le Seigneur Jésus-Christ aurait été tué par la communauté juive.
    Le légionnarisme khardazien exige un retour d'un état patriarcal, c'est à dire que la nation doit être mis sous la direction du Patriarche de l'église orthodoxe du Khardaz et d'un conseil formé des 11 évêques de la dite nation, qui forment alors le Saint Concile. Le Patriarche serait élu à vie par le Saint Concile et rejoindrait ce Saint Concile lors de sa nomination.

    Manifeste :
    En cours d'écriture...
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    Culture et ethnies


    En cours d'écriture...
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    Sports


  • Le Sambo
  • Le sambo est un art martial créé dans les années 1930 au Khardaz sous l'occupation colonialiste socialiste mor. Il est un mix de lutte et de judo. Cet art martial a été créé et inspiré par un art martial anciennement réservé aux forces spéciales, le samoz. Il existe deux versions de sambo.

    - Le sambo sportif : il s'agit de la version soft du sambo, il n'inclut que la lutte et le judo, soit soumissions, projections et immobilisations.

    - Le sambo combat : cette version du sambo ajoute, en plus des projections, soumissions et immobilisations, des percussions. Ces percussions peuvent être effectuées avec n'importe quelle partie du corps, pieds, poings, coude, genoux et même avec la tête. Cette version du sambo est la plus répandue et est notamment représentée tous les 4 ans par la Ligue Soviétique de Sambo (LSS) se déroulant à Kharinsk.

    Le nom de sambo est en réalité un diminutif de Samozachtchita bez oroujiya (en khardazien : თავდაცვა იარაღის გარეშე), qui signifie littéralement "autodéfense sans armes". Cet art martial est en réalité une création du général Viktor Afanassievitch Spiridonov. Il a pu créer le sambo en considération des différents facteurs qu'un soldat sur le front ou en action pouvait subir tels que le stress, la douleur ou même la peur.

    Dès sa création, il est repris et enseigné dans les écoles militaires du Khardaz et de la plupart des colonies mor. Il est très enseigné dans les régions montagneuses du Khardaz en raison de la pauvreté de cette région qui n'avait parfois pour seule arme une dague ou une épée contrairement à d'autres soldats qui possédaient des fusils d'assaut. Cependant, la version enseignée en école militaire se rapproche tout de même beaucoup plus du samoz que du sambo.

    Aujourd'hui, le sambo est encore très pratiqué dans les régions du nord nazuméen et tout particulièrement dans les anciennes colonies de l'empire mor (Morzanov, Barvynie, Ouaine, Zakhministan, Gondavie, Namarov et bien évidemment au Khardaz). Le sambo est géré au niveau mondial par la Fédération Mondiale de Combat Sambo (FMCS) localisée à Kharinsk. En 1934 se tient la première édition de la Ligue Soviétique de Sambo (LSS) qui se déroule à Kharinsk et il s'agit de sambo combat. Le vainqueur de cette première édition est le samboïste Giorgi Levanovich Makharadze d'origine khardazienne.

    Les techniques du sambo sont très nombreuses, il existe plus de 5 000 prises. Ces techniques entrent dans trois grandes catégories : les projections, les contrôles articulaires et les immobilisations. Un combat de sambo dure initialement cinq (5) minutes mais il n'est pas rare que ce combat se termine avant. En effet, souvent, lors d'un combat, un des deux samboïstes prend le dessus sur son adversaire et arrive à le faire soumettre, le mettre K.O. ou tout simplement gagner par points. Le sambo est aussi très connu pour ses impressionnantes projections, dites à l'arraché, telles que la souplesse (ou duplex), katushka, levko, oborot, berezka et bien d'autres techniques.
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    Nourriture traditionnelle


  • Nourriture salée :

  • Nourriture sucrée :
  • Le Medovik
    Ce gâteau au miel est un dessert typique des régions montagneuses du Tsarat du Khardaz. Il est très apprécié par les enfants pour son gout très sucré qui fait sourire les petits et pleurer les dentistes. Le gâteau reste cependant un gâteau consommé la plupart du temps lors de festivités.

    Ingrédient :

    • 3 œufs

    • 200 grammes de sucre en poudre

    • 3 cuillères à soupe de miel

    • 190 grammes de beurre

    • 500 grammes de farine

    • 1 cuillère à café de levure.

    • 210 grammes de sucre

    • 700 grammes de mascarpone

    • 400 grammes de crème fraîche épaisse%
    Étapes :
  • Pour faire les biscuits, faites blanchir les œufs avec le sucre dans un récipient. Faire fondre le beurre et le miel à feu doux puis verser le liquide dans les blancs en neige puis mélanger le tout
  • Verser progressivement de la farine et de la levure dans la pâte puis mélanger de nouveau. Laisser reposer au frigo trente minutes (la pâte ne doit pas coller lorsque l'on y passe le doigt).
  • Diviser la pâte en 9 portions distinctes. Sur une plaque à génoise en silicone, étaler la pâte au petit rouleau à pâtisserie. Déposer le cercle de vingt centimètres, racler les contours, garder le surplus.
  • Cuire tout cela à 180 degrés pendant dix minutes. Le cercle de pâte ne doit pas être trop fin.
  • Une fois cuit, sortez le disque du four et mettez-le sur une assiette. Garder les surplus de pâte cuite pour en faire des miettes pour plus tard.
  • Répéter l'opération huit fois jusqu'à avoir fait cuire les neuf portions de pâtes (oui c'est long mais si t'as faim, tu suis la recette).
  • Pour préparer la crème, mélanger le sucre, le mascarpone et la crème fraiche pendant près de cinq à six minutes jusqu'à l'obtention d'une texture épaisse.
  • Le montage des pièces du gâteau, sur une assiette (choisis la bien, c'est celle que tu vas utiliser pour présenter ton gâteau), mettez un premier disque de biscuit pour étaler par-dessus une généreuse portion de crème. Remettez un disque, puis une portion de crème, ainsi de suite jusqu'à avoir utilisé les neuf disques et finissez par une dernière couche de crème sur le dessus.
  • Mettre une nuit au réfrigérateur pour que les biscuits puissent ramollir (sois patient sinon ton gâteau il va être tout dur et tu diras qu'il était pas bon).
  • Pour les finitions de votre gâteau (pour qu'il soit bien joli), mixer les surplus de pâte pour en faire des miettes et saupoudrez-les sur le gâteau. Lissez les bords de votre gâteau avec une spatule.

  • Bravo, vous avez réussi à faire un délicieux medovik que vous pourrez partager avec vos familles et amis (ou le manger à vous tout seul si vous êtes un gros gourmand).
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