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Grande Encyclopédie du Tsarat du Khardaz (GETK)

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INTRODUCTION :

La Grand Encyclopédie du Tsarat du Khardaz (GETK) est une partie de l'Institut Nationale du Khardaz (INK) qui regroupe les données sur l'histoire, la géographie, la culture, la politique du Khardaz. L'INK se trouve dans la capitale du Khardaz, Kharinsk et la GETK, dans ses sous-sols. Certaines des informations de la GETK ne sont disponibles au grand public et donc inconnues sur la scène internationale (HRP : les informations écrites en rouges sont inutilisables en RP sauf si une opé d'espionnage à été menée et réussi).

TABLE DES MATIÈRES :

  • Fiche générale
  • Histoire
  • Géographie
  • Culture et Ethnie

  • D'autres sous-divisions seront possiblement ajoutées dans le futur.
    7595

    Création de pays : Tsarat Parlementaire du Khardaz


    Généralités :



    Nom officiel : Tsarat Parlementaire du Khardaz
    Nom courant : Khardaz
    Gentilé : Khardazien, Khardazienne

    Inspirations culturelles : Géorgie, Daghestan, Arménie, Tchétchénie, Ingouchie
    Situation géographique :

    Langue(s) officielle(s) : Khardazien (mélange d'ukrainien et de géorgien
    Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Tcharzouri (Les Tcharzènes : inspirés de la Géorgie), Armazit (Les Armazètes : inspirés de l’Arménie), Narkh (Les Narkhazis : inspirés de la Tchétchénie), Yasski (Les Yasskirs : inspirés des Yakoutes / Iakoutes), Khaszakht (Les Khaszaks : inspirés des Kazakhs), Morzakh (Les Morzalkhs : inspirés des Mongols/Bouriates), Dagurash (Les Daguranes : inspirés du Daghestan)

    Drapeau :
    Drapeau

    Devise officielle : Par le peuple, pour le Tsar, avec l'aide de Dieu
    Devise populaire : Srava Khardaz ! Jeroyam Srava !
    Hymne officiel :
    Monnaie nationale : Lari (₾)

    Capitale : Kharinsk

    Population : 23 300 000 habitants


    Aperçu du pays :



    Présentation du pays :
    Le Khardaz est une ancienne théocratie orthodoxe coupée du monde. Elle s’est officiellement fondée en 1556 par des moines exilés ayant quitté l'Empire de Slaviensk, pour se rapprocher de la religion et pour fonder une nation orthodoxe isolée du monde hérétique. En arrivant sur les territoires rudes et glaciales du nord-Nazum, ils ne sont pas seuls, des peuples autochtones sont déjà présents, de culture et religion païenne. Les moines parviennent à obtenir un petit territoire. Ils créent alors le Royaume du Khardaz. Ce royaume ne sera que très peu calme, les moines chevaliers lancent la première croisade en 1574, et obtiennent la totalité de leurs territoires actuels. Puis une deuxième est lancée en 1632 où ils obtiendront les territoires manquants pour former le territoire du grand royaume du Khardaz.
    Territoire du Grand Royaume du Khardaz
    En 1651, après avoir conquis les saintes terres, une région, la plus petite, se tourne de plus en plus vers une religion païenne, ils brulent des monastères et églises à peine construits. Le patriarche décide alors d'y envoyer la sainte armée pour négocier ces hérétiques à se retourner vers le Christ. Le peuple ne coopère pas, le patriarche donne l'ordre de décimer l'entièreté de la population : hommes, femmes et enfants. Près de 50 000 personnes sont exécutées en 2 ans. Par la suite, cet évènement sera effacé des récits historiques, bien que quelques livres et témoignages circulent encore illégalement dans le pays. Cet évènement est désormais une légende.
    Pendant l'entièreté de cette période, aucune ambassade, aucune route extérieure, aucun commerce extérieur. Des cathédrales en pierres noires, symbole du Khardaz, des écoles religieuses et premières murailles sont érigées. C'est là que naît la légende d'une nation fantôme religieuse au nord du Nazum. Cette légende est confirmée au monde extérieur au XVIIIᵉ siècle par l'empire Mor. La découverte du Khardaz par les Mors sera le début aux enfers du Saint État. Les Mors annexeront le Khardaz en tant que colonie. Puis les Mors deviendront une république socialiste, la RSFSM (République socialiste fédérative soviétique mor). Le peuple, toujours très religieux, refuse le socialisme comme le communisme. Mais en tant que peuple aussi connu pour son calme et son pacifisme, ils ne font d'abord rien mais espèrent la chute de la RSFSM. Mais dès les années 1930, une première révolution pour l'indépendance de la Yashosie, qui est d'ailleurs très soutenue par les élites. Puis en 1939, le Khardaz est libre. Enfin c'est ce que le monde croit. Les mêmes élites qui avaient soutenu la révolution prennent le pouvoir et instaurent un régime communiste dictatorial extrême, la République Socialiste de Yashosie. Les religions sont interdites, la culture doit être effacée et il instaure un parti unique. Le peuple se sent accablé par le régime communiste et épuisé de leur première révolution, alors ils ne font rien. Puis en 1963, une partie du peuple à l’est se rebelle. Seulement quelques centaines, 639 révolutionnaires tsaristes. Le gouvernement ne prend pas cette révolte au sérieux et laisse trainer l’affaire. Cependant, c’est en février 1964 que tout change. Le petit groupe révolutionnaire de moins de 1000 personnes s'est transformé en une véritable armée insurrectionnelle : une partie de l’armée se retourne, près de 6 millions de civils déclarés rejoignent la cause : de manière militaire, diplomatique, politique, partisans ou d’autres. À cet instant, le gouvernement est perdu. Non seulement les révolutionnaires se sont agrandis, mais de plus l’armée s’est restreinte (près d’un tiers de l’armée a rejoint la cause tsariste). Et le 18 avril 1964, le Tsarat de Khardaz déclare son indépendance dans l’est du pays. Le pays est coupé en 2 : à l’ouest, les communistes et à l’est les tsaristes. La guerre est dure pour les communistes, qui doivent faire face avec une armée affaiblie. Dans les années 1987, c’est le renouveau pour les communistes, des aides arrivent des ex-colonies Mor maintenant devenues des républiques socialistes. Le Tsarat recule énormément. Puis en 1996, une attaque terroriste revendiquée par les tsaristes dans la plus grande base militaire communiste fait plus de 12 000 morts. Près de 26 kamikazes se font exploser dans la base militaire après une entrée fracassante de 1 200 soldats tsaristes dans la base. La base est pillée puis brulée. Ce coup sera le début de la fin communiste. Près de 27 chars d’assaut, 36 chars légers, plusieurs centaines de lance-roquettes, des milliers d’armes à feu ainsi qu’une demi-douzaine d’hélicoptères de combat ont été volés. La guerre civile continue mais stagne jusqu’en 2011, où une nouvelle grande attaque faite par les tsaristes prend plusieurs bases militaires ainsi que leurs équipements. Suite à cela, pour achever encore plus le gouvernement communiste, Novyavik fournit secrètement des missiles aux tsaristes qui bombardent la capitale yashosienne ainsi que d'autres bases militaires. Cet évènement, affaiblissant encore plus l’armée communiste, donnera la récupération d’une énorme partie du territoire par les armées tsaristes. Depuis, l'Empire de Slaviensk (anciennement Novyavik) et le Morakhan continuent d'aider les partisans tsaristes mais de manière plus modérée, en particulier des dons d’armes ou d’autres équipements militaires. La guerre continue lentement en grand avantage pour la faction tsariste. En fin du mois de juin, le président Josef Skratac se rend à Catheringrad pour une rencontre avec la Confédération Socialiste du Nazum (CSN). Il s'y rend en pensant signer des accords d'aides militaires, mais la CSN lui exige de changer sa politique, surtout sur le sujet des camps de concentration pour religieux. Le président Skratac s'énerve et part de la rencontre très rapidement. L'avion qu'il prend est détourné par un des ses garde du corps avec l'aide du pilotes ainsi que du copilote. Dans l'avion, le président tente de résisté en voulant attaquer le garde du corps mais finit abattu par une balle dans la tête par ce dernier. Suite à cela, le régime communiste tombe et Kharinsk revient au mains des tsaristes qui instaurent le Tsarat Parlementaire du Khardaz.

    Mentalité de la population :
    La population du Khardaz est profondement bouleversé par les 54 années de guerres civiles. La plupart du peuples n'a jamais connu la paix jusqu'à aujourd'hui. Ainsi, les khardaziens sont méfiants et assez aggressifs. Ils sont de plus connus pour être la population la plus consommatrice de drogue et d'alcool.

    Place de la religion dans l'État et la société :
    Le peuple du Khardaz est en majorité orthodoxe, près de 93%. Cette énorme quantité d'orthodoxe est du à son histoire. En effet, de 1556 à 1743, le Khardaz est un immense royaume patriarcale orthodoxe, le chef d'état est le patriarche de l'église orthodoxe du Khardaz. Malgré le régime communiste yashosien, le peuple a su garder sa foi orthodoxe. Le reste est composé de 2% de musulmans et de 5% d'athée.


    Politique et institutions :



    Institutions politiques :
    Le Tsarat Parlementaire du Khardaz, suit une politique assez classique et fort démocratique. Le Tsar obtient son rôle de par sa lignée familiale. Il exerce le pouvoir de chef du gouvernement :
  • Il est le chef des armées.
  • Il peut dissoudre l'assemblée.
  • Il représente le Khardaz à l'internationale.
  • Il possède un droit de véto sur l'ensemble des lois votées par l'assemblé (sauf sur la constitution et le budget)
  • Le Tsarat étant aussi parlementaire, il possède une assemblée de 645 places qui sont élus au suffrage universels tout les 5 ans par le peuple. Ensuite, l'assemblé vote les lois proposées.


    Principaux personnages :
    Tsar Arman Tsarukyan

    Politique internationale :
    Le Tsarat parlementaire du Khardaz sortant à peine de 54 années de guerre civile, cherche avant tout à reconstruire le pays. Pour cela, il tente de signer de nombreux accords économiques, diplomatiques et même militaire pour assurer leur protection. La situation du Khardaz dérangeant beaucoup la Confédération Socialiste du Nazum, le Tsarat a engagé une procédure d'armement d'une énorme envergure.
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