28/12/2017
11:24:21
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[ Altrecht - Pays de Khorne ] Copaing ou pas copaing ? Rencontre entre voisin !

Le Président du pays de Khorne arriva en Altrecht (en train, voiture, avion, hélicoptère, sur des esclaves humains fanatisés ?). Arrivant au lieu de rencontre, il fut escorté jusqu'au palais impérial, précisément jusqu'au jardin où il fut accueilli par le Représentant général du gouvernement altrechtois : le camarade Ernst Schmid. Se présentant, il emmène le président seul avec lui dans les profondeurs du jardin, loin du magnifique château visible par le Président du pays de Khorne. Le temps était généreux en soleil et les senteurs exotiques du jardin chatouillaient toutes les narines de ceux présents. Après deux minutes de marche, les deux chefs d'État passèrent devant l'assemblée altrechtoise au centre d'un immense cercle végétal où s'était établie l'assemblée révolutionnaire avec quelques meubles et des sièges plus ou moins hauts. Il y avait énormément de bruit, les parlementaires débattaient avec ardeur comme s'ils essayaient de rattraper le temps perdu. Enfin, après encore deux minutes de marche, les deux chefs d'État arrivèrent alors dans un petit cercle végétal où était mise en place une table en bois avec un petit meuble fourni de gâteaux secs traditionnels d'Altrecht, de lait, café et de thé ainsi que de la porcelaine impériale.

Le Camarade Ernst Schmid : Salutations camarade, j'espère que vous avez fait bon voyage, venez je vais vous montrer nos jardins pour nous conduire à notre lieu de rencontre.

Après les salutations du camarade Président du pays de Khorne, il rétorqua.

Le Camarade Ernst Schmid : Je pense que nous pouvons aborder notre rencontre désormais, servez-vous.
Pointant les petits gâteaux et le café.

Le Camarade Ernst Schmid : J'aimerais que vous m'expliquiez plus en détail votre fonctionnement interne, notamment ce que vous appelez vos "camps de vacances" et le système des citoyens "vacanciers" ?

Laissant un silence pour laisser son interlocuteur parler.
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Alors que la directrice du centre d'information interne et externe informe le président de l'heure et de la date de rencontre avec le pays Altrecht, il décide d'y aller avec confiance et un œil nouveau par rapport aux conflits passés. C'est alors qu'il prend la voiture Zutern, nouvelle marque écologique en essence d'Angron, et, sur l'autoroute principale, pour aller à 150 km/h, direction Ehrenstadt.

Dans le chemin, il prit donc deux gardes du corps très compétents de son USERA. Dans le chemin, le paysage des usines, aux mêmes endroits, dégageant une fumée sans fin, puis une cave réputée pour son alcool à base de la spécialité de la région, le poulet ! Qu'il prend par paquets de 20 dans le coffre de la voiture pour le donner au camarade Ernst Schmid.

Alors Sayankov Zakharovich reprend la route et, une heure et demie plus tard, rejoint le camarade Ernst Schmid dans son magnifique jardin où les lys et passiflores sont en abondance, pointant le magnifique château reflétant sous le soleil étincelant. Puis ils marchent 5 bonnes minutes, 4 chemins centrés sur le milieu du jardin circulaire, avec une table en bois massif ronde, aux côtés d'un meuble où nous attendait un bon café et des petits gâteaux très gastronomiques entourés d'énormément d'iris.


Suite à la question du camarade Ernst Schmid
Sayankov Zakharovich : Je vois qu'on est déjà arrivé camarade, je me permets de me représenter, actuel président du pays de Khorne, Sayankov Zakharovich. Le président se sert du café et le boit d'un coup Alors comme ça, de ce que j'ai compris, vous voulez essayer de mieux comprendre mon pays et je suis ici pour ça ! Ce système de vacanciers est à la fois une libération pour le peuple et une arme pour le pays, et comme on dit, le peuple fait le pays. Donc mes antécédents et moi y compris agréons à un système de vacances où les enfants sortis du cursus de l'école dès 15 ans peuvent être sélectionnés de manière sportive au sein de n'importe quelle église pour y participer.

Mais concrètement, si je devais l'élire comme vous, c'est un camp militaire. L'objectif de mon pays est que tous ses habitants soient réservistes, quelque peu différents, donc ils ont tous 2 mois d'entraînement intensif et les meilleurs pourront demander une suite pour devenir professionnels d'une des trois armées, même si nous priorisons l'armée de terre.

D'ailleurs, en dehors de ce débat, j'aimerais parler avec vous en priorité de 2 points majeurs : premièrement, j'aimerais trouver une solution amiable pour que nos deux peuples arrêtent d'être ancrés dans leur passé par rapport à nos antécédentes batailles d'antan ; et d'un deuxième point, qui est peut-être relié au premier, discuter par rapport à notre zone un peu floue sur les bords niveau frontière.

Mais bon, avant toute discussion, je voulais vous faire goûter cela. Le président fait signe aux deux gardes du corps qui attendaient à l'entrée du jardin et ils revinrent 2 minutes plus tard avec une caisse de 20 bouteilles d'alcool à base de poulet, spécialité très prisée de Dralagrad.

Ernst Schmid était bouche bée. Il se demandait dans sa tête quel nouveau fou du bus il avait devant lui. Se posant et comparant le camarade Sayankov Zakharovich au Sadr du Churaynn. Mais soit. Il devait rester diplomatique, car telle était sa mission, tel était son devoir. Alors avant de reprendre la parole, il se servit à petites gouttes de cet alcool de poulet qu'il pensait d'ailleurs être de la vodka aromatisée au poulet car l'animal ne pouvant être utilisé comme base pour faire de l'alcool. Il trempa à peine ses lèvres et posa le verre. Il était végétalien et, soyons tout à fait francs, le goût était dégoûtant pour lui. Mais sans grimace il fit mine de mettre son verre de côté pour continuer la discussion.

Le Camarade Ernst Schmid : Hum très bien, c'était succulent et original, mais je préfère rester sobre pour notre entrevue.
Glissant son verre loin de lui pour ne plus voir cette horreur de la nature.

Le Camarade Ernst Schmid : Passons aux choses sérieuses. Merci de nous avoir permis d'approfondir la question de ces camps de vacances. Après tout, vous êtes dans votre nation, vous suivez vos règles. Et nous n'avons aucunement notre mot à dire là-dessus. Maintenant concernant nos anciennes rancunes, je suis tout à fait d'avis qu'il faut les enterrer à tout jamais. Pour cela je vous propose la tenue d'une parade militaire entre nos deux nations et avec les représentants des deux pays. Maintenant que vous l'avez évoquée, nous pouvons tout à fait faire cette parade à l'intérieur de la ville de Drala. Ce serait une occasion de pouvoir par la suite aborder la question et avoir les idées claires sur la situation de cette ville.

Pour cette zone floue qu'est cette immense ville, je ne vous cache pas qu'il serait pour notre régime peu enviable de vouloir restaurer une zone de droit. Malgré que cette zone soit infestée par la contrebande et les crimes, nos rapports indiquent qu'une forme d'autonomie s'est installée. De plus, dans la partie Ouest, rattachée plus probablement à notre territoire, nous avons mis en place des contrôles douaniers et policiers permettant de filtrer les afflux intérieurs et extérieurs à la ville. Je vous propose donc que nous considérions cette ville comme étant sous la responsabilité de nos deux gouvernements, avec notamment une influence altrechtoise à l'Ouest, et une influence khornoise à l'Est. Cependant je pense que le mieux serait de devoir nous concerter pour les décisions importantes qui touchent la ville, peu importe le côté. Qu'en pensez-vous ?
Lançant un regard à son diabolique verre qu'il souhaiterait voir disparaître dans les plus brefs délais.
Sayankov Zakharovich: Bien sûr que nous devons enterrer cette hache de guerre mon ami.
SayankovZakharovichi se pris un verre bien trop plein de son alcool et le bois cul sec
On est voisins et en 2017 faut qu'on grandisse à la hauteur de notre réputation. Les miens, par des causes assez sévères, respectent les lois sans broncher, et parmi une des lois qui vaut l'exécution est le fait de laisser la liberté d'un autre. Un Khornois, pour rien au monde, n'essayera ne serait-ce que de toucher un étranger sans son consentement, et je parle en termes sexuels ou violents. Idem pour la religion : à part à l'intérieur du pays, ils ne peuvent la montrer en public, sauf pour leurs étoiles de vacanciers qui est à la fois un signe de gloire et d'honneur pour eux, dont le deuil de ceux qui n'ont pu l'obtenir pour des raisons de santé. Donc ne vous en faites pas pour ça.

Je suis pour la parade militaire dans ces villes et même dans d'autres de nos villes importantes. Je suis même prêt à le faire dans ma capitale à condition que vous fassiez de même. Aussi, si en ce jour nous pouvons signer quelque chose de concret, alors faisons de ce jour un jour férié où nous fêterons la fin de ce froid entre nous.

D'ailleurs, j'ai remarqué que dans cette zone de non-droit, on fonctionnait comme si c'était l'anarchie, sauf qu'entre nous, nous savons que ce n'est pas possible : il doit y avoir des "maires" qui doivent s'occuper comme ils peuvent de la ville. Mais sans soutien financier de notre part, c'est normal que la criminalité augmente. Sauf que cette zone fut trop longtemps floue pour nous deux, et je pense que couper cette zone en deux ne ferait qu'empirer toutes relations civiles entre nos pays. Au lieu de ça, essayons d'en profiter pour à la fois croître l'économie de cette ville et en faire NOTRE ville.

Pour les futures décisions auprès de cette ville, on aura besoin de l'accord de nos deux pays. Effaçons complètement la frontière dans la ville et laissons cette frontière, causant tant de problèmes, à l'extérieur de la ville.

D'ailleurs, grâce aux prisonniers avec des peines allant ou presque à la peine de mort, on pourrait s'en servir, à condition qu'ils soient consentants, en échange d'une récompense, pour restaurer une pratique ancienne de nos peuples en commun : les combats au corps à corps, où la mort malheureusement peut guetter. Sous forme de tournois hebdomadaires, le gagnant gagne le droit de ne plus y participer et d'avoir la télé gratuitement dans la prison jusqu'à la fin de sa peine, par exemple.

Afin de laisser le peuple, qui veut voir ces combats pleins de passion et de hargne, se divertir et pouvoir même parier sur ces combats. La ville n'aura plus qu'à faire des agences pour recruter soit les volontaires, soit les prisonniers volontaires, et nous, on prendra un pourcentage de tout bénéfice de cette arène. Je suis prêt, quand vous voulez, à vous confier 10 000 de mes hommes pour lancer les travaux de l'arène.

Autrement, vous avez des revendications ou des nouvelles choses dont vous voulez parler ?
Le représentant Ernst Schmid était quelque peu mal à l'aise vis-à-vis de la question, officiellement la ville est revendiquée par les deux États, mais officieusement, personne ne la contrôle enfin personne... si. Du côté altrechtois, les services de renseignements avaient fait remonter que des hauts dignitaires de l'ancien régime d'Altrecht s'étaient réfugiés dans la ville de Drala et que c'étaient eux qui contrôlaient actuellement la partie germanophone de la ville. Le Président était au courant et laissait faire car la ville était connue pour être imprenable de force, alors envoyer l'armée reprendre le pouvoir sur place n'allait engendrer que des dizaines de milliers de morts civils. Alors la question était de savoir comment reprendre la mainmise ou peut-être de collaborer avec ces fascistes pour, disons... exécuter les basses besognes du régime communal, comme le traitement des prisonniers, le loisir des jeux dans l'ancienne arène de combat ou encore pour identifier les criminels recherchés en Altrecht et les arrêter ou les voir disparaître. Il y avait plein de raisons de ne pas prendre cette ville, alors il rétorqua au camarade Président.

Le Camarade Ernst Schmid : D'abord, je pense qu'une seule parade suffira pour montrer notre renouveau et notre paix l'un envers l'autre. Plus serait du gaspillage économique à nos yeux. Alors choisissez une ville et nous vous rejoindrons pour la parade.

Maintenant concernant le cas de la ville de Drala. Je pense qu'un découpage linguistique devrait être fait pour des zones "d'influence" non pas pour instaurer une frontière. Ces zones seraient un accord tacite entre nos deux États pour influencer et contrôler cette dernière sans que cela ne se sache. Car comme vous l'avez souligné il y a du moins, de notre côté de la ville, une organisation criminelle qui la dirige. Nous avons des raisons de croire que ce sont même des hauts dignitaires de notre ancien régime qui se sont hissés tout en haut de cette échelle de la gouvernance. Ça ne sera jamais NOTRE ville s'ils restent en place. Et nous n'y voyons que peu d'intérêt de les retirer du pouvoir pour le moment tant qu'ils coopèrent avec nous.

Maintenant concernant l'arène, je pense que la rénover serait une bonne idée, d'un point de vue historique mais également culturel. Je pense qu'avec nos deux nations, nous pourrions voir s'élaborer un projet titanesque d'arène afin que le monde voie notre savoir-faire. Cela rapporterait énormément de prestige et de crédit à nos deux pays. Cependant nous restons plus réservés sur la question des prisonniers. Mais nous y voyons l'avantage qui pourrait en être retiré. Cependant d'un point de vue éthique, les prisonniers qui gagneront ne pourront sortir de la prison, et obtiendront un aménagement minimal de leur peine. Notre objectif sera d'envoyer des citoyens consentants et entraînés pour les jeux. D'ailleurs si nous l'autorisons, nous imposons le droit pour tous d'abandonner le combat sans mourir comme obligation. Nous ne sommes plus un régime barbare. Tous auront le droit à la vie.

Voici les bases de notre accord : a écrit :Les accords de Kaiserlicher Garten :

Préambule : Les nations des Communes Unies d'Altrecht ainsi que de la République Démocratique Socialiste Directe de Khorne se mettent d'accord sur la question de la ville de Drala, respectant chacune une zone d'influence linguistique qui permettra un large éventail d'actions dans sa zone d'influence.

Article 1 : Les deux États s'accordent à organiser une entrevue pour toutes décisions importantes et majeures prises pour la ville.

Article 2 : Les deux États s'engagent à la rénovation et à la reconstruction de l'arène de combat historique de la ville à hauteur de 50 % chacun des frais de rénovations.

Article 3 : Tout citoyen libre ou prisonnier, consentant, peut demander à participer aux jeux à la condition qu'il puisse abandonner pour sauver sa vie.
Article 3.1 : Les gagnants auront des récompenses monétaires grâce aux paris des spectateurs, sauf pour les prisonniers qui auront un aménagement de peine, à la décision du gouvernement de leur pays.

Article 4 : Les deux États s'accordent pour ne pas contrôler la ville et effacer les frontières de celle-ci pour créer une zone neutre.
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Sayankov Zakharovich : Pour moi, tout est bon à une seule chose près… enfin deux.
Premièrement, pour ce qui est des parades militaires, le mieux serait donc de faire une parade militaire chacun et de les diffuser dans l'entièreté du pays de l'autre en direct. Puis je pensais que, pour bien enterrer cette hache, on devait réunir nos forces de l'ordre dans l'enceinte de la ville pour que nos deux cultures puissent s'entremêler dans l'épanouissement du travail et de la sécurité.

Rajoute sur Les accords de Kaiserlicher Garten
auteur a écrit :Voici les bases de notre accord :

Préambule : Les nations des Communes Unies d'Altrecht ainsi que de la République Démocratique Socialiste Directe de Khorne se mettent d'accord sur la question de la ville de Drala, respectant chacune une zone d'influence linguistique qui permettra un large éventail d'actions dans sa zone d'influence.

Article 1 : Les deux États s'accordent à organiser une entrevue pour toutes décisions importantes et majeures prises pour la ville.

Article 2 : Les deux États s'engagent à la rénovation et à la reconstruction de l'arène de combat historique de la ville à hauteur de cinquante pour cent chacun des frais de rénovations.

Article 3 : Tout citoyen libre ou prisonnier, consentant, peut demander à participer aux jeux à la condition qu'il puisse abandonner pour sauver sa vie.
Article 3.1 : Les gagnants auront des récompenses monétaires grâce aux paris des spectateurs, sauf pour les prisonniers qui auront un aménagement de peine, à la décision du gouvernement de leur pays.

Article 4 : Les deux États s'accordent pour ne pas contrôler la ville et effacer les frontières de celle-ci pour créer une zone neutre.

Écrit avec un allemand maladroit
Article 5 : Les agents de sécurité représenteront les deux pays et seront une et même seule unité sur la ville de Drala.

Article 6 : Les parades auront lieu à Drala et seront diffusées dans l'entièreté des deux pays en direct tous les douze août deux mille dix-sept.
Article 6.1 : Les militaires concernés iront dans l'arène dans le but de faire un combat purement amical et raviver les foules, où l'entrée sera gratuite ce jour-là, mais aucun blessé grave ou mort ne sera, même par accident, toléré.

Suite à quelques minutes de concentration de la part de Sayankov Zakharovich, fier de lui, il se sert un autre verre de Vizurdisch (l'alcool de viande).

Vous en pensez quoi camarade ?
1950
POV :POV : comment je te vois en parlant comme ça :

Le camarade Ernst Schmid était quelque peu déstabilisé. Le langage quelque peu classique voire familier du camarade Sayankov Zakharovich le rendait étourdi, ne sachant pas réellement quel langage il devait employer. Mais passons, il garderait la tête froide, il allait faire comme si tout était normal et conventionnel devant le camarade président.

Le Camarade Ernst Schmid : Et bien, je vois où vous voulez en venir. C'est une bonne proposition, nous sommes prêts à l'accepter comme telle. En effet avoir une force de police commune dans cette ville serait bénéfique à la coopération. Et quant à la parade, c'est une excellente idée. Nous nous laissons donc un an à partir d'aujourd'hui pour préparer l'installation de cette parade. Au plaisir des spectateurs et du monde qui nous regardera assurément.

Maintenant j'aimerais vous parler d'un autre sujet. Cela concerne la montée extrême des tensions avec l'Hostaline et Teyla, deux États coupables d'attaques terribles contre nos camarades communistes et nous-mêmes. L'Hostaline ayant déjà tué plusieurs dizaines de militaires altrechtois lors de ces attaques.

Compte tenu de ce rapprochement que nous qualifierions d'historique, je vous propose de soutenir l'Altrecht avec un effort de guerre rémunéré à prix réduit. Ainsi, concrètement, je vous propose qu'en échange de l'achat de 10 000 armes d'infanterie légère de onzième génération, l'Altrecht vous reverse 3 000 unités internationales. Ainsi, nous vous garantissons un achat ponctuel pour la durée des tensions ou d'un nouvel accord. L'Altrecht n'ayant pas de limite d'approvisionnement en armes d'infanterie légère, nous vous achèterons tout par tranche de 10 000 armes. C'est un prix nettement inférieur à celui du marché (5 000 unités internationales pour 10 000 armes), mais nous espérons que vous comprenez la nécessité de contribuer à l'effort de guerre contre le fascisme, en plus de l'avantage financier conséquent que cela aura pour votre nation.

Ainsi voici l'article dédié :

Accord : a écrit :Les accords de Kaiserlicher Garten :

Préambule : Les nations des Communes Unies d'Altrecht ainsi que de la République Démocratique Socialiste Directe de Khorne se mettent d'accord sur la question de la ville de Drala, respectant chacune une zone d'influence linguistique qui permettra un large éventail d'actions dans sa zone d'influence.

Article 1 : Les deux États s'accordent à organiser une entrevue pour toutes décisions importantes et majeures prises pour la ville.

Article 2 : Les deux États s'engagent à la rénovation et à la reconstruction de l'arène de combat historique de la ville à hauteur de 50 % chacun des frais de rénovations.

Article 3 : Tout citoyen libre ou prisonnier, consentant, peut demander à participer aux jeux à la condition qu'il puisse abandonner pour sauver sa vie.
Article 3.1 : Les gagnants auront des récompenses monétaires grâce aux paris des spectateurs, sauf pour les prisonniers qui auront un aménagement de peine, à la décision du gouvernement de leur pays.

Article 4 : Les deux États s'accordent pour ne pas contrôler la ville et effacer les frontières de celle-ci pour créer une zone neutre.

Article 5 : La ville de Drala aura une police ou l'équivalent, commune aux deux États.

Article 6 : Les parades auront lieu à Drala et seront diffusées dans l'entièreté des deux pays en direct tous les douze août deux mille dix-sept.
Article 6.1 : Les militaires concernés iront dans l'arène dans le but de faire un combat purement amical et raviver les foules, où l'entrée sera gratuite ce jour-là, mais aucun blessé grave ou mort ne sera, même par accident, toléré.


Article 7 : Le pays de Khorne s'engage à fournir ponctuellement par tranche de 10 000 des armes d'infanterie légère de onzième génération en échange d'une rémunération de 3 000 unités internationales, afin de soutenir l'Altrecht dans son effort de reconstruction militaire.
Sayankov Zakharovich se raidit et devient furieux en entendant les noms du pays qui a tué des frères d'armes, et, le poing serré, il garde en tête les noms des États pour, une fois arrivé, les mettre en tant qu'ennemis pour toute la population. Interdiction de les accueillir et d'y aller sauf cas exceptionnel. Un regard pensif et noir se met en place puis, tout à coup, il sursaute.

Sayankov Zakharovich : Pardonnez-moi camarade… je me suis emporté et je n'ai su garder mon visage impassible. Continuons.

Sayankov Zakharovich laisse le camarade s'exprimer et est heureux de voir qu'il peut aider à ce conflit il retorque avec un sourire froid et psychopathe.

Sayankov Zakharovich : C'est avec un plaisir immense que j'accepte. J'aimerais aider plus, mais je ne peux par mon faible pouvoir à l'instant. Par contre, j'aurais une demande pour conclure comme il faut cet accord : est-ce que vous pourriez, pour chaque unité de dix mille armes achetées, me confier une centaine de prisonniers, de préférence condamnés à mort et sans famille ?
Accord a écrit :Les accords de Kaiserlicher Garten :

Préambule : Les nations des Communes Unies d'Altrecht ainsi que de la République Démocratique Socialiste Directe de Khorne se mettent d'accord sur la question de la ville de Drala, respectant chacune une zone d'influence linguistique qui permettra un large éventail d'actions dans sa zone d'influence.

Article 1 : Les deux États s'accordent à organiser une entrevue pour toutes décisions importantes et majeures prises pour la ville.

Article 2 : Les deux États s'engagent à la rénovation et à la reconstruction de l'arène de combat historique de la ville à hauteur de 50 % chacun des frais de rénovations.

Article 3 : Tout citoyen libre ou prisonnier, consentant, peut demander à participer aux jeux à la condition qu'il puisse abandonner pour sauver sa vie.
Article 3.1 : Les gagnants auront des récompenses monétaires grâce aux paris des spectateurs, sauf pour les prisonniers qui auront un aménagement de peine, à la décision du gouvernement de leur pays.

Article 4 : Les deux États s'accordent pour ne pas contrôler la ville et effacer les frontières de celle-ci pour créer une zone neutre.

Article 5 : La ville de Drala aura une police ou l'équivalent, commune aux deux États.

Article 6 : Les parades auront lieu à Drala et seront diffusées dans l'entièreté des deux pays en direct tous les douze août deux mille dix-sept.
Article 6.1 : Les militaires concernés iront dans l'arène dans le but de faire un combat purement amical et raviver les foules, où l'entrée sera gratuite ce jour-là, mais aucun blessé grave ou mort ne sera, même par accident, toléré.

Article 7 : Le pays de Khorne s'engage à fournir ponctuellement par tranche de 10 000 des armes d'infanterie légère de onzième génération en échange d'une rémunération de 3 000 unités internationales, afin de soutenir l'Altrecht dans son effort de reconstruction militaire.

Article 7.1 : Altrecht, afin de se libérer d’un poids économique et de responsabilité, devra envoyer pour chaque achat une centaine de prisonniers (de préférence des pourritures condamnées à la peine de mort, avec aucune famille en vie à l’heure actuelle).
Le camarade Ernst Schmid restait stupéfait à chaque fois que ce camarade président ouvrait la bouche. Il répondit pour demander plus de renseignements :

Le camarade Ernst Schmid : Pardonnez-moi, mais deux questions me viennent. D'abord, à quoi seront destinés nos prisonniers ? Ensuite, nous n'avons pas aboli la peine de mort, mais les cas de prisonniers condamnés à la peine capitale restent très, très peu fréquents. Depuis la révolution, nous comptons sur l'ensemble du pays qu'une personne condamnée à mort, qui, en plus de cela, a fait appel de cette condamnation qu'elle juge trop radicale. Nous ne pouvons donc accepter cette demande par manque de moyens humains. Seriez-vous cependant d'accord pour des prisonniers ayant des peines lourdes ?

Le camarade Schmid attendait avec suspense la réponse lunaire du camarade Sayankov Zakharovich dans un silence pesant.
Sayankov Zakharovich se pose deux secondes et réfléchi sérieusement à ces mots.
pov Sayankov Zakharovichpov Sayankov ZakharovichSayankov Zakharovich : Alors, pour le faire simple, chez nous on fait en sorte que les prisonniers se repentissent réellement de leurs fautes et que, de plus, ils servent à tous pour la bonne cause. Dans le cas où les prisonniers sont condamnés à mort, on fera en sorte que vous les oubliiez. Sinon, pour ceux qui ont juste des peines lourdes, si vous voulez, on peut vous les rendre à la fin de sa condamnation, à part si vous voulez vous en débarrasser une bonne fois pour toutes. Dans ce cas, on se fera un plaisir de le faire. Je vous rassure, je ne parle pas de les exécuter, mais qu’ils comprennent leurs erreurs et qu’ils œuvrent pour le bien par la suite.
Le camarade Ernst Schmid restait muet devant les propos du camarade président. Une question se posait dans la tête d'Ernst : Parle-t-il de torture psychologique ? Physique ? Sur ce questionnement, il demanda une explication mesurée :

Le camarade Ernst Schmid : J'ai l'impression de ne pas bien saisir. Parlez-moi concrètement des méthodes employées, et de leur utilité publique ?

Le camarade restait dans l'attente d'une nouvelle folie de son homologue
Sayankov Zakharovich : :Alors je vous rassure, il n’y aura pas de torture par notre faute directe. Il sera mis au goulag pendant deux ans avec des conditions de vie certes pas gaies, mais il pourra vivre sans en souffrir totalement. Par la suite, pour nous, on considère que ces deux ans ont été la privation de ses droits et de sa liberté. Par la suite, on lui redonne, à condition qu’il aille dans l’armée, où on va l’éduquer à notre manière et l’entraîner de manière intensive dans un camp de vacanciers. Mais au lieu de le faire pendant deux mois comme les autres vacanciers, on le fait s’entraîner pendant douze ans, où on va le renforcer et le diriger pour offrir sa force aux plus démunis et aux plus faibles, dans le but qu’il fasse le bien autour de lui. Il sera surveillé et réprimandé.
Comment dire... C'était une vision très... très... autoritaire. L'Altrecht avait renoncé à ce genre de pratique, mais avait peut-être trouvé une épingle pour son jeu. En effet, l'Altrecht ne dispose que d'une réserve limitée de prisonniers, environ 41 000 pour 60 000 places de prison. Et parmi ces prisonniers, on ne pouvait dénombrer qu'environ 2 000 prisonniers ayant des peines lourdes pour diverses raisons. La plupart étant des fascistes de l'ancien régime mis en détention mais n'ayant pas été tués par les révolutionnaires. Soit. L'idée de ne plus les voir était agréable à entendre, et l'Altrecht allait saisir cette opportunité.

Le camarade Ernst Schmid : Bien, merci d'avoir éclairci ce point. Si aucune torture préméditée n'est mise en place, alors nous ne nous opposerons pas à cette proposition. Maintenant, vis-à-vis de la question du retour de ces prisonniers, après donc 14 ans passés chez vous... Nous vous proposons de leur laisser la possibilité de choisir entre rentrer au pays ou rester librement chez vous. Si cela vous convient, alors voici la version finale, je suppose, du traité :

Accord a écrit :Les accords de Kaiserlicher Garten :

Préambule : Les nations des Communes Unies d'Altrecht ainsi que de la République Démocratique Socialiste Directe de Khorne se mettent d'accord sur la question de la ville de Drala, respectant chacune une zone d'influence linguistique qui permettra un large éventail d'actions dans sa zone d'influence.

Article 1 : Les deux États s'accordent à organiser une entrevue pour toutes décisions importantes et majeures prises pour la ville.

Article 2 : Les deux États s'engagent à la rénovation et à la reconstruction de l'arène de combat historique de la ville à hauteur de 50 % chacun des frais de rénovations.

Article 3 : Tout citoyen libre ou prisonnier, consentant, peut demander à participer aux jeux à la condition qu'il puisse abandonner pour sauver sa vie.
Article 3.1 : Les gagnants auront des récompenses monétaires grâce aux paris des spectateurs, sauf pour les prisonniers qui auront un aménagement de peine, à la décision du gouvernement de leur pays.

Article 4 : Les deux États s'accordent pour ne pas contrôler la ville et effacer les frontières de celle-ci pour créer une zone neutre.

Article 5 : La ville de Drala aura une police ou l'équivalent, commune aux deux États.

Article 6 : Les parades auront lieu à Drala et seront diffusées dans l'entièreté des deux pays en direct tous les douze août deux mille dix-sept.
Article 6.1 : Les militaires concernés iront dans l'arène dans le but de faire un combat purement amical et raviver les foules, où l'entrée sera gratuite ce jour-là, mais aucun blessé grave ou mort ne sera, même par accident, toléré.

Article 7 : Le pays de Khorne s'engage à fournir ponctuellement, par tranche de 10 000, des armes d'infanterie légère de onzième génération en échange d'une rémunération de 3 000 unités internationales, afin de soutenir l'Altrecht dans son effort de reconstruction militaire.
Article 7.1 : Altrecht, afin de se libérer d’un poids économique et de responsabilité, devra envoyer pour chaque achat une centaine de prisonniers (de préférence des pourritures condamnées à la peine de mort, sans famille encore en vie à l’heure actuelle).

Article 7.2 : Les prisonniers altrechtois, après avoir passé leurs 14 années au pays de Khorne, pourront avoir la possibilité de choisir entre revenir au pays ou continuer leur vie au pays de Khorne.

Le haut représentant d'Altrecht attendait la réponse du camarade président du pays de Khorne.
Sayankov Zakharovich : Je vois qu'on arrive au terme de cette discution, tout me convient parfaitement ce fut un plaisir de faire la conversation avec vous.
Le président se lève et signe l'accord écrit puis prete son stylo au camarade face a lui attendant qu'il signe

Accord a écrit :Les accords de Kaiserlicher Garten :

Préambule : Les nations des Communes Unies d'Altrecht ainsi que de la République Démocratique Socialiste Directe de Khorne se mettent d'accord sur la question de la ville de Drala, respectant chacune une zone d'influence linguistique qui permettra un large éventail d'actions dans sa zone d'influence.

Article 1 : Les deux États s'accordent à organiser une entrevue pour toutes décisions importantes et majeures prises pour la ville.

Article 2 : Les deux États s'engagent à la rénovation et à la reconstruction de l'arène de combat historique de la ville à hauteur de 50 % chacun des frais de rénovations.

Article 3 : Tout citoyen libre ou prisonnier, consentant, peut demander à participer aux jeux à la condition qu'il puisse abandonner pour sauver sa vie.
Article 3.1 : Les gagnants auront des récompenses monétaires grâce aux paris des spectateurs, sauf pour les prisonniers qui auront un aménagement de peine, à la décision du gouvernement de leur pays.

Article 4 : Les deux États s'accordent pour ne pas contrôler la ville et effacer les frontières de celle-ci pour créer une zone neutre.

Article 5 : La ville de Drala aura une police ou l'équivalent, commune aux deux États.

Article 6 : Les parades auront lieu à Drala et seront diffusées dans l'entièreté des deux pays en direct tous les douze août deux mille dix-sept.
Article 6.1 : Les militaires concernés iront dans l'arène dans le but de faire un combat purement amical et raviver les foules, où l'entrée sera gratuite ce jour-là, mais aucun blessé grave ou mort ne sera, même par accident, toléré.

Article 7 : Le pays de Khorne s'engage à fournir ponctuellement par tranche de 10 000 des armes d'infanterie légère de onzième génération en échange d'une rémunération de 3 000 unités internationales, afin de soutenir l'Altrecht dans son effort de reconstruction militaire.]
Article 7.1 : Altrecht, afin de se libérer d’un poids économique et de responsabilité, devra envoyer pour chaque achat une centaine de prisonniers (de préférence des pourritures condamnées à la peine de mort, avec aucune famille en vie à l’heure actuelle).
Article 7.2 : Les prisonniers altrechtois, après avoir passé leurs 14 années au pays de Khorne, pourront avoir la possibilité de choisir entre revenir au pays ou continuer leur vie au pays de Khorne.


Le président du pays de Khorne Sayankov Zakharovich
signaturedu présidentdu pays de khorne

Après la signature du camarade le président de Khorne tends la main et attends celle de Ernst Schmid
Le camarade Ernst Schmid signa le document à son tour.

Accord a écrit :Les accords de Kaiserlicher Garten :

Préambule : Les nations des Communes Unies d'Altrecht ainsi que de la République Démocratique Socialiste Directe de Khorne se mettent d'accord sur la question de la ville de Drala, respectant chacune une zone d'influence linguistique qui permettra un large éventail d'actions dans sa zone d'influence.

Article 1 : Les deux États s'accordent à organiser une entrevue pour toutes décisions importantes et majeures prises pour la ville.

Article 2 : Les deux États s'engagent à la rénovation et à la reconstruction de l'arène de combat historique de la ville à hauteur de 50 % chacun des frais de rénovation.

Article 3 : Tout citoyen libre ou prisonnier, consentant, peut demander à participer aux jeux à la condition qu'il puisse abandonner pour sauver sa vie.
Article 3.1 : Les gagnants auront des récompenses monétaires grâce aux paris des spectateurs, sauf pour les prisonniers qui auront un aménagement de peine, à la décision du gouvernement de leur pays.

Article 4 : Les deux États s'accordent pour ne pas contrôler la ville et effacer les frontières de celle-ci pour créer une zone neutre.

Article 5 : La ville de Drala aura une police ou l'équivalent, commune aux deux États.

Article 6 : Les parades auront lieu à Drala et seront diffusées dans l'entièreté des deux pays en direct tous les douze août deux mille dix-sept.
Article 6.1 : Les militaires concernés iront dans l'arène dans le but de faire un combat purement amical et raviver les foules, où l'entrée sera gratuite ce jour-là, mais aucun blessé grave ou mort ne sera, même par accident, toléré.

Article 7 : Le pays de Khorne s'engage à fournir ponctuellement, par tranche de 10 000, des armes d'infanterie légère de onzième génération en échange d'une rémunération de 3 000 unités internationales, afin de soutenir l'Altrecht dans son effort de reconstruction militaire.
Article 7.1 : Altrecht, afin de se libérer d’un poids économique et de responsabilité, devra envoyer pour chaque achat une centaine de prisonniers (de préférence des pourritures condamnées à la peine de mort, sans famille encore en vie à l’heure actuelle).
Article 7.2 : Les prisonniers altrechtois, après avoir passé leurs 14 années au pays de Khorne, pourront avoir la possibilité de choisir entre revenir au pays ou continuer leur vie au pays de Khorne.

Signature officielle


Le temps était donc venu de mettre fin à la rencontre, alors tendant la main à son camarade, le haut représentant ramena à sa voiture le président du pays de Khorne afin qu'il rebrousse chemin, ou qu'il passe du bon temps dans la capitale, à son bon vouloir. Cependant un mal se préparait dans la ville de Drala...
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