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Ici, le quotidien n'est pas une routine monotone, mais une cĂ©lĂ©bration permanente de l'Ă©quilibre entre l'humain, la communautĂ© et l'environnement. Le Neved est une terre oĂč les lĂ©gendes des korrigans murmurent encore dans les sous-bois, oĂč les menhirs se dressent comme des gardiens silencieux du passĂ©, et oĂč les fĂȘtes traditionnelles comme Samain ou Beltane sont cĂ©lĂ©brĂ©es avec la mĂȘme ferveur que les avancĂ©es technologiques.
Les habitants, qu'ils vivent au milieu des forĂȘts, dans les banlieues des grandes villes ou au sein des villages cĂŽtiers, partagent une vision commune :
Celle d'une sociĂ©tĂ© oĂč la solidaritĂ©, l'Ă©cologie et la culture ne sont pas des concepts abstraits, mais des rĂ©alitĂ©s tangibles qui rythment chaque journĂ©e.
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ââ La vie associative : l'Ăąme des communautĂ©s
Ces associations ne se contentent pas d'animer la vie locale, elles créent du lien, combattent l'isolement et préservent les traditions. Au Neved, on ne dit pas "je", on dit "nous". Si quelqu'un a besoin d'aide, que ce soit pour garder ses enfants, réparer sa maison ou simplement discuter, la communauté se mobilise.
Les coopératives sont un autre exemple de cette solidarité organique. Dans l'agriculture, les paysans travaillent ensemble pour produire des aliments bio et locaux, vendus sur les marchés ou directement aux consommateurs. Dans l'artisanat, les coopératives perpétuent des savoir-faire ancestraux, comme la poterie, la tisseranderie ou la fabrication d'instruments de musique. Travailler en coopérative, c'est plus qu'un choix économique, c'est une philosophie. La philosophie est le partage des risques, des bénéfices, et des décisions. Cette façon de pensée évite que quelqu'un ne soit laissé de cÎté.
ââ La banque de retraite : un modĂšle de solidaritĂ© intergĂ©nĂ©rationnelle
Mais la retraite au Neved ne signifie pas la fin de la vie active. Les aßnés jouent un rÎle central dans la société, transmettant leurs savoirs bénévolement dans les associations ou les ateliers communautaires. Vieillir au Neved, ce n'est pas disparaßtre, c'est changer de rÎle.
Les ainés sont amener à partager, par exemple, une personne ùgée peut partager son logement avec une famille ou des étudiants, cela permet une entraide.
Les maisons intergĂ©nĂ©rationnelles sont une autre innovation sociale. Dans ces logements partagĂ©s, des personnes ĂągĂ©es cohabitent avec des jeunes familles ou des Ă©tudiants. Ces maisons sont souvent Ă©quipĂ©es d'ateliers oĂč les aĂźnĂ©s enseignent des compĂ©tences traditionnelles, comme la vannerie, la menuiserie ou la cuisine des plantes sauvages. Au sein du Neved, les retraitĂ©s ne sont pas mis Ă l'Ă©cart. Ils sont des piliers de la communautĂ©.
ââ Les fĂȘtes et rassemblements : cĂ©lĂ©brer la vie ensemble
âș Samain (31 octobre - 1er novembre) : La nuit oĂč les frontiĂšres entre le monde des vivants et celui des morts s'amincissent. Les familles Ă©teignent les lumiĂšres et allument des feux sacrĂ©s dans les cheminĂ©es et les chemins. Elles prĂ©parent des gĂąteaux aux noisettes en offrande aux ancĂȘtres et racontent des histoires mythiques. Les enfants, dĂ©guisĂ©s, frappent aux portes pour rĂ©colter des friandises en Ă©change de poĂšmes. Samain est diffĂ©rent d'Halloween mĂȘme s'il y a des similitudes. C'est un moment oĂč l'on se souvient d'oĂč l'on vient.
âș Beltane (1er mai) : La fĂȘte du renouveau, oĂč les villages Ă©rigent des mĂąts dĂ©corĂ©s de fleurs et de rubans. Les habitants dansent en cercle autour de ces poteaux, bĂ©nissent les champs et partagent un repas vĂ©gĂ©tarien. Beltane est le jour oĂč la terre se rĂ©veille. On bĂ©nit les champs, on chante, et on cĂ©lĂšbre la vie qui recommence ;
âș Solstices (21 juin et 21 dĂ©cembre) : Les feux de la Saint-Jean illuminent les collines lors du solstice d'Ă©tĂ©, tandis que les bĂ»ches de Yule brĂ»lent dans les cheminĂ©es pour le solstice d'hiver. Ces fĂȘtes marquent les changements de saison et sont l'occasion de chants, de danses et de veillĂ©es contĂ©es ;
âș Frankliz (1 octobre) : La nuit oĂč les fondateurs du Neved se sont enfuis des colonies. Lors de ce jour, des rassemblements sont organisĂ©s toutes la journĂ©es (de minuit Ă minuit). Lors de ces rassemblements sont organisĂ©s des banquets, des session de partage, de la musique traditionnelle, et bien d'autre ;
âș Pardons (occasionnel) : FĂȘte qui Ă©tait Ă l'origine religieuse ou les gens se rassembles, mangent ensemble, partages des histoires ainsi que des moments. Ces fĂȘtes sont Ă l'origine des villes et villages, souvent en lien avec les diffĂ©rentes associations locales.
ââ La Nature du respect : une valeur fondamentale
Ce respect se manifeste dans les gestes du quotidien comme trier ses déchets, participer aux jardins communautaires, aider un voisin dans le besoin, ou simplement écouter les récits des aßnés.
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ââ Un cadre exceptionnel : des villes en harmonie avec la nature
Ă Estuarenn, le Grand Parc Central est un poumon vert oĂč poussent des plantes mĂ©dicinales et des arbres fruitiers, librement accessibles Ă tous. On peut y cueillir des pommes, des noix, ou des baies selon la saison.
Les transports doux sont également une priorité. Les pistes cyclables et les tramways relient les quartiers, et les voitures électriques sont encouragées. Au Neved, on se déplace en respectant la planÚte.
ââ L'attrait de la nature : une source d'inspiration et de bien-ĂȘtre
Les fermes pédagogiques initient les enfants à l'agriculture durable, tandis que les jardins communautaires permettent à chacun de cultiver ses propres légumes. Travailler la terre, c'est se reconnecter à ses racines.
ââ Le respect et l'entretien de la nature : une responsabilitĂ© collective
Chaque habitant du Neved, est né et éduqué dans le respect de la nature, peut importe sa forme. La nature est une force du Neved, les citoyens en sont conscients.
De plus, la nature est importante pour chaque personne, elle permet de vivre, de se détendre, d'admirer, de se nourrir, de boire, de se chauffer, etc...
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ââ La culture celtique : un hĂ©ritage vivant
La musique traditionnelle est omniprĂ©sente. Les cornemuses, les bombardes, le biniou, les harpes et les tambours accompagnent les mariages, les funĂ©railles et les simples rassemblements entre amis. Les fest-noz, ces bals traditionnels oĂč l'on danse en cercle jusqu'Ă l'aube, sont des moments de joie collective oĂč jeunes et anciens se retrouvent.
Les bardes, ces poĂštes itinĂ©rants, perpĂ©tuent une tradition orale vieilles de plusieurs siĂšcles. Leurs rĂ©cits, souvent accompagnĂ©s de musique, mĂȘlent histoire, magie et morale.
ââ Les fĂȘtes traditionnelles : des moments de joie collective
âș Samain : La nuit oĂč les vivants et les morts se cĂŽtoient. Les familles allument des feux sacrĂ©s et partagent des gĂąteaux aux noisettes pour honorer les ancĂȘtres ;
âș Beltane : La fĂȘte du renouveau, oĂč les villages dansent autour des mĂąts de mai et bĂ©nissent les champs ;
âș Solstices : Les feux de la Saint-Jean et les bĂ»ches de Yule marquent les changements de saison ;
âș Pardons : FĂȘte d'origine religieuse, de rassemblement, d'entraide ;
âș Frankliz : FĂȘte nationale Ă©voquant la libertĂ©, la vie, le renouveau.
ââ Les lĂ©gendes celtes : des histoires qui fascinent
âș L'Ankou : Ce passeur des Ăąmes, squelette drapĂ© de noir, parcourt le pays avec sa charrette grinçante pour recueillir les Ăąmes des mourants. Entendre le bruit de sa charrette, c'est un rappel que la mort fait partie de la vie ;
âș La CitĂ© Engloutie de Ker-Ys : Selon la lĂ©gende, cette citĂ© orgueilleuse aurait Ă©tĂ© submergĂ©e par les flots aprĂšs que sa princesse, Dahut, ait volĂ© la clĂ© des digues Ă son pĂšre, le roi Gradlon. Les pĂȘcheurs jurent encore entendre les cloches de Ker-Ys les nuits de tempĂȘte.
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ââ HĂ©ritage textile et savoir-faire artisanaux
ââ Quotidien et simplicitĂ©
Lors des rassemblements festifs, les vĂȘtements se chargent dâune valeur plus marquĂ©e encore. Les broderies, rĂ©alisĂ©es Ă la main, ornent les habits de motifs hĂ©ritĂ©s de la tradition celtique, comme les entrelacs et les spirales. Ces dĂ©corations ne sont pas choisies au hasard, elles portent une signification qui relie celle ou celui qui les porte Ă son histoire et Ă la mĂ©moire du groupe. Dans ces moments, enfiler un vĂȘtement de cĂ©rĂ©monie revient Ă revĂȘtir une identitĂ© collective, Ă se rappeler les ancĂȘtres et Ă affirmer son appartenance. Ainsi, la mode devient un langage silencieux qui dit plus quâun mot, une maniĂšre de participer Ă une continuitĂ© qui dĂ©passe lâindividu pour englober la communautĂ© tout entiĂšre.
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ââ LâĂ©cran comme rĂ©cit collectif
Les films puisent dans les mythes anciens pour les mettre en images et en rĂ©cits accessibles Ă toutes les gĂ©nĂ©rations. Les histoires des esprits, des forces de la nature ou des citĂ©s disparues nourrissent lâimaginaire collectif et rappellent que le prĂ©sent sâinscrit toujours dans une continuitĂ© avec le passĂ©. Mais le cinĂ©ma ne sâarrĂȘte pas aux lĂ©gendes. Il met Ă©galement en lumiĂšre le quotidien contemporain, celui des coopĂ©ratives, des ateliers, des quartiers solidaires. En ce sens, il reflĂšte aussi bien lâunivers symbolique des ancĂȘtres que les enjeux actuels, donnant au peuple lâoccasion de rĂ©flĂ©chir Ă ses propres choix et Ă ses orientations de sociĂ©tĂ©.
ââ Une culture du dĂ©bat
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ââ HĂ©ritage des bardes
ââ Une Ă©criture du quotidien
La littĂ©rature permet de garder vivante la mĂ©moire des ancĂȘtres tout en ouvrant la voie aux rĂ©flexions nouvelles. Elle nâest jamais figĂ©e, car chaque gĂ©nĂ©ration apporte son regard, ses rĂ©cits et ses mots. Elle incarne un pont entre passĂ© et prĂ©sent, reliant des expĂ©riences individuelles Ă une histoire collective. Dans le quotidien des nevedien(ne)s, elle est omniprĂ©sente et essentielle, car elle donne une voix Ă chacun(e) et renforce le sentiment dâappartenance.
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ââ Tradition orale et contes quotidiens
Les rĂ©cits sâadaptent au temps prĂ©sent. Les histoires anciennes sont souvent remaniĂ©es pour faire Ă©cho aux prĂ©occupations contemporaines, et les conteur(se)s jouent un rĂŽle de mĂ©diateur(trice) entre passĂ© et prĂ©sent. Le lien quotidien avec la narration fait que le spectacle nâest pas dissociĂ© de la vie civile mais en est un Ă©lĂ©ment constitutif.
ââ Théùtre participatif et formes communautaires
Ce type de pratique transforme le théùtre en outil dĂ©mocratique. Monter un spectacle peut devenir un projet de quartier, un moyen dâinclure des voix diffĂ©rentes et de tisser des solidaritĂ©s. Dans la vie quotidienne, les rĂ©pĂ©titions et les ateliers contribuent Ă crĂ©er des liens et Ă dĂ©velopper des compĂ©tences partagĂ©es.
La formation aux arts du spectacle se diffuse Ă travers des structures collective s et des ateliers ouverts. Les apprentissages sont mixtes, mĂȘlant transmission des techniques et apprentissage de lâĂ©coute de lâautre. Les lieux de crĂ©ation sont souvent modestes et polyvalents, conçus pour accueillir rĂ©pĂ©titions, spectacles et rencontres. Les cycles de crĂ©ation sâorganisent autour des saisons et des fĂȘtes, ce qui permet Ă la production artistique de rester en prise avec le rythme social.
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ââ Instruments, rĂ©pertoires et fonction sociale
Les modes mĂ©lodiques et les techniques dâornementation sont transmises par lâoreille et par la pratique collective.
Les instruments les plus utilisĂ©s sont tirĂ©s de l'hĂ©ritage celtique comme, par exemple, le biniou, la bombarde, la harpe, etc.. mais des instruments plus modernes sont Ă©galement prĂ©sents comme la batterie, la guitare Ă©lectrique et bien d'autres. La musique Ă©volue sans cesse. Des crĂ©ateur(trice)s et des musicien(ne)s explorent des hybridations en associant instruments traditionnels et techniques contemporaines, sans chercher Ă rompre avec le passĂ© mais en inventant de nouvelles formes dâexpression. Les enregistrements et les radios communautaires permettent la circulation des Ćuvres, tandis que les scĂšnes locales accueillent aussi bien anciens que nouveaux rĂ©pertoires. Les performances participatives et les veillĂ©es musicales invitent au mĂ©lange des gĂ©nĂ©rations et Ă la dĂ©couverte mutuelle.
ââ Pratique et transmission quotidienne
Cette prĂ©sence continue de la musique dans le quotidien fait dâelle un vecteur dâĂ©ducation affective et sociale. Chanter en groupe renforce lâestime de soi, enseigne lâĂ©coute et forge des habitudes de collaboration. La musique est alors un pilier de la vie collective autant quâun patrimoine immatĂ©riel.
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ââ Produits et techniques conviviales
Au quotidien, la cuisine est Ă©galement un moment d'extrĂȘme partage, le pain de seigle cuit dans les fours collectifs est un rituel hebdomadaire qui rassemble des voisin(e)s autour du pĂ©trissage et de la cuisson. Les soupes Ă©paisses et les plats mijotĂ©s sont prĂ©parĂ©s en grande quantitĂ© pour ĂȘtre partagĂ©s, puis rĂ©chauffĂ©s et consommĂ©s sur plusieurs jours. Les boissons fermentĂ©es et les infusions de plantes mĂ©dicinales accompagnent frĂ©quemment ces repas, et leur prĂ©paration reste lâaffaire des savoirs populaires. Dans ce pays, cuisiner signifie surtout entretenir des relations sociales et perpĂ©tuer des techniques.
ââ Repas et rituels
Dans la maison comme sur la place publique, le repas est un acte de soin. Offrir un morceau de nourriture, partager un bol ou aller cueillir ensemble ce qui servira Ă la soupe du soir sont des pratiques banales qui tissent la solidaritĂ©. Les festins collectifs ne sont pas des dĂ©monstrations de richesse mais des manifestations dâappartenance et dâattention mutuelle. Par ces occasions, la gastronomie devient une maniĂšre concrĂšte de vivre la philosophie sociale du pays, car elle transforme lâalimentation en un acte collectif.
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ââ La naissance : une cĂ©lĂ©bration de la vie
Chaque fin d'année, chaque village ou quartier dans les grande village organise un pardon pour célébrer toutes les naissances et présenter ces nouveaux membres au sein de la communauté.
ââ La mort : une transition cĂ©lĂ©brĂ©e
âș CrĂ©mation (82%) : Les cendres sont placĂ©es dans des urnes biodĂ©gradables et enterrĂ©es au pied d'un arbre dans les forĂȘts des urnes. Chaque arbre devient un symbole de la vie qui continue ;
âș Humusation (17%) : Les cendres sont transformĂ©es en terreau, nourrissant la terre. Ainsi, les proches deviennent une partie de la nature ;
âș Autres (1%) : Enterrement, abandons, etc...
Au Neved, on ne dit pas "adieu", mais l'on dit "Ă bientĂŽt". Les jardins des urnes, oĂč chaque arbre symbolise une Ăąme, sont des lieux de paix oĂč les vivants viennent profiter de la verdure ou mĂ©diter et se souvenir.
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Awen se rĂ©veille avant l'aube, comme beaucoup de nevedien(ne)s, qui aiment profiter des premiĂšres lueurs du jour. Elle commence sa journĂ©e par une mĂ©ditation devant la fenĂȘtre ouverte, Ă©coutant le chant des oiseaux et sentant l'air frais du matin et vas ensuite manger son petit dĂ©jeuner. Commencer la journĂ©e en connexion avec la nature est essentiel pour beaucoup.
ââ 6h30 : DĂ©part pour le travail
Awen se rend à son laboratoire de recherche aéronautique. Elle travaille sur des projets visant à réduire l'impact environnemental des avions. "Notre objectif est de créer des technologies durables pour l'aviation du futur", explique-t-elle.
ââ 8h00 : RĂ©union d'Ă©quipe
Elle participe Ă une rĂ©union oĂč son Ă©quipe discute des derniĂšres avancĂ©es en matiĂšre de carburants alternatifs. "Travailler ensemble, c'est la clĂ© de l'innovation", souligne-t-elle.
ââ 12h00 : Pause dĂ©jeuner Ă la cantine communautaire
Ă midi, Awen se rend Ă la cantine communautaire du quartier oĂč elle travaille. Aujourd'hui, le menu est une soupe de lĂ©gumes anciens et du pain de seigle fait maison. "Manger ensemble, c'est renforcer les liens", dit-elle.
ââ 13h00 : Retour au travail
L'aprÚs-midi, Awen travaille sur des simulations informatiques pour tester de nouveaux designs d'ailes d'avion. "Chaque détail compte quand on veut révolutionner l'aviation", explique-t-elle.
ââ 16h00 : Atelier associatif
AprÚs le travail, Awen rejoint un atelier de musique traditionnelle. Elle donne des cours pour apprendre à jouer de la cornemuse, un instrument emblématique de la culture nevedienne. "La musique, c'est le sang de notre culture", dit Maël, un de ses élÚve.
ââ 17h00 : Moment dĂ©tente
Awen prends son vélo et vas dans un parc pour se détendre au milieu de la nature. Là elle lit un roman dans le doux écoulement des vagues et des chants des oiseaux.
ââ 19h00 : Repas et match de hockey sur glace
Le soir, Awen rejoint ses amis pour manger dans un des nombreux restaurant, puis, pour aller voir un match de hockey sur glace, le sport national du Neved. "Le hockey, c'est plus qu'un sport, c'est une passion qui nous unit", confie-t-elle.
ââ 21h30: Retour Ă la maison
De retour chez elle, Awen allume une bougie et passe du temps avec sa famille avant de s'endormir.
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Ici, le bonheur ne se mesure pas à la richesse matérielle, mais à la qualité des liens, au respect de la terre et à la beauté des petits gestes du quotidien.
"Notre force, c'est notre unité", résume Cédric, un enseignant. "Tant que nous resterons fidÚles à nos racines, nous avancerons ensemble."
