🎙️ [MEDIA] Salle de Conférence de presse

Salle de conférence de presse


La République de Retsvinie aurait entreprit, dans un objectif de "transparence" d'établir une salle de conférence de presse ouverte aux journalistes du monde entier. Bien entendu, les Journalistes sont fouillés avant d'entrer dans la salle. N'importe quel pays peut poser une question ici.
Peuvent vous répondre :

Président du Haut Conseil de Souveraineté Vassilevski (selon ses disponibilités)

Directeur Général des médias de Retsvinie Baris Segueïevitch Konev (toujours présent)

— Bonjour Monsieur Baris Segueïevitch Konev, ici le journal national du Khardaz. Nous avons une question qui, je pense, tourmente une grande partie du peuple est eurysien. Nous avons appris l'achat de missiles balistiques, dont un de dernière génération. Nous connaissons vos relations plus que tendues avec la plupart de vos voisins et même au-delà, cependant ces achats restent tout de même importants. Alors pourquoi s'être muni de missiles balistiques qui pourraient raser des villes entières et faire des centaines, voire des milliers de morts ?

Baris Segueïevitch Konev regarda impassiblement et fixement le journaliste de Khardaz durant toute sa prise de paroles. Lorsqu'il avait terminé, Konev répondit d'une voix grave :

Baris Konev : Tout d'abord, j'aimerais indiquer à vos excellences des médias Khardaziens un encouragement, en ce qui concerne les tourmentes que lui confère la Confédération Socialiste et féliciter votre peuple qui a vaincu le communisme révolutionnaire tout comme nous le ferons sûrement dans les prochains mois. En ce qui concerne votre question, sachez que la Retsvinie a acheté ses armes dans un but de lutte contre l'impérialisme révolutionnaire qui tente de se propager en Retsvinie. Nous avons acheté légalement ces armes auprès d'industries Alguarenos et nous sommes engagés à ne pas user de ces armes contre des populations civiles. Notre armement balistique sera donc usé à des fins pacifistes et dissuasives, bien que je réserve le droit à la République de Retsvinie de réellement l'utiliser contre les nations qui n'ont pas respecté la souveraineté de notre grande nation.
En ce qui concerne votre affirmation de nos relations tendues avec nos voisins, elle le sont, certes, avec l'Empire Constitutionnel de Slaviensk qui s'est dangereusement engagé sur la pente du libéralisme, ce qui l'amènera à sa perte, assaillit par les forces révolutionnaires. La Retsvinie ne fait qu'essayer de sauver le peuple slavis, enchainé par la démocratie et la liberté.

Dernièrement, concernant toujours vos affirmations, il est tout à fait normal que la Retsvinie se dote d'un arsenal balistique minimal lorsque nos quatre millions de citoyens se retrouvent en opposition à près de 100 millions de personnes, si l'on compte toute la confédération socialiste, l'Estalie et Slaviensk. Nous rappelons d'ailleurs que la Confédération socialiste elle même achète considérablement plus d'armement que la République de Retsvinie dans un but bien plus dérangeant que la Retsvinie, voulant notamment la fin de votre honorable nation, mais aussi l'Estalie et Slaviensk, qui à eux seuls possèdent prêt de 10 fois notre arsenal balistique durement acquis. En bref, je ne vois pas l'objectif de votre question, puisque notre arsenal est utilisé bien plus pacifiquement que celui de l'Estalie, comme le prouve le conflit centre-Eurysien, mais en plus est bien moins important.
Vous avez d'autres questions ?

Mes respects monsieur, Boris Neterov du Zdanig Jestar, nos lecteurs voudraient savoir. suite à la crise à laquelle vous devez faire face, pensez vous que tirer sur la foule soit vraiment efficace ?

Le Directeur Général des médias Konev, à la vue de ce journaliste haut en couleurs, se dit : "encore un de ces foutus communistes !" Il pensa que ce personnage, envoyé de satan, était là pour condamner la République aux enfers alors même qu'elle méritait le paradis.
Baris Konev : Monsieur, je vous le dit, oui, tirer sur la foule a été efficace. Nous sommes parvenus à disperser tout ces révolutionnaires qui étaient de mèche avec les marxistes de Veltava et des libéraux de l'est que votre pays soutien très sûrement. Si la confédération Socialiste soutien la déstabilisation de notre république, qui est coupable de ces émeutes et donc de notre réaction conséquente ? C'est l'Ouaine, la Barvynie, l'Estalie, et toute la Confédération Socialiste. Mais lorsque l'on déploie la force, les chiens révolutionnaires ce dispersent comme des victimes alors que ce sont les criminels. Tirer sur la foule a été une décision plus qu'excellente de notre police politique. Et pour preuve, les catins assaillent-ils encore nos institution démocratiques ?

Les journalistes du journal national khardazien avait écouté la réponse de Monsieur Baris Segueïevitch Konev. Leur réponse semblait à première vue potable voir même logique. Puis l'on vient souffler à l'oreille du journaliste une nouvelle information.
— Premièrement nous vous remercions pour vos félicitations sur notre victoire face aux communistes dictatoriaux et ce malgré le soutien permanant des membres violents et belliqueux de la Confédération Socialiste Nazum. Le journaliste fixa son regard de feu sur le journaliste ouainais. Ces foutues communistes ne sont pas capables d'assumer leur implication dans le génocide de la RS de Yashosie, il faudra peut être pensés à vos méthodes. Continua le journaliste en fixant encore du regard l'ouainais. Ce commentaire, n'en déplaise aux petits communistes de l'Ouaine. Vous demanderez plus d'information sur ces paroles que vous pouvez jugés "belliqueuses" et violente, je pense qu'il pourront vous parlez des multiples menaces dans le vent.
Il marqua une pose pour siroter son spiritueux, un mélange de vodka et une liqueur de cassis, ainsi qu'un petit snus. Puis reprend son discours :
— Outre cela, nous venons d'apprendre tout dernièrement de la part des journaux artyomien, que vous avez menacés leur pays de bombardement par missiles balistiques pour la simple raison d'une notation qui ne vous convient pas. Pourriez vous donné votre version des faits s'il vous plait.

Le Directeur Konev était tendu. Une armée de questions sortaient de la bouche de ces fichus journalistes. Ce n'était pas aussi simple qu'avec les médias fantoches de Retsvinie. Cependant il restait satisfait des réponses apportées jusque là, où, en bon politique, il était parvenu à détourner l'attention des médias sur d'autres sujets que ceux traités par ceux-ci, tels que la culpabilité de la Confédération Socialiste du Nazum dans l'affaire des émeutes.
Baris Konev : Je suis tout à fait en accord avec vous monsieur. Ces socialistes "luttent contre les dictatures" pour se donner bonne conscience, mais au final ne font pas mieux eux-même. Le communisme n'est au final que le résultat de la jalousie, exacerbée par des médiateurs influents et s'appuyant sur une promesse de vie meilleure. Le communisme n'est que l'égalité forcée par la jalousie. Le capitalisme est donc le partage inégal de la richesse et le communisme le partage égal de la misère.

En ce qui concerne votre question, il y a eu en effet quelques "embrouilles" mineures avec l'Artyom. Nos critiques quand à cette nation n'étaient pas censée concerner leur gouvernement ou leur population civile, mais uniquement l'agence de notation de l'EIS. Nous nous opposons à cette agence de notation puisqu'elle a artificiellement, et ce sous l'influence des rouges, rabaissé la note financière de la République pour déstabiliser ses investissements dans le secteur pétrolier. L'Artyom a cependant appelé à l’apaisement des tensions, et nous saluons ce geste pacifique. Notre Général Président participera donc à une conférence de paix avant même que la guerre ne commence.