01/01/2018
23:42:09
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OPERATION CLOTURE DE JARDIN [Chandekolza]

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OPERATION CLOTURE DE JARDIN

Si la motion de censure du Công du Chandekolza ne fonctionne pas, il est probable que le PPJ soit dans la rue, ou en prison. Dans les deux cas, le Jashuria, le Xin et le Velsna interviendront au Chandekolza pour rétablir l’ordre et déposer eux-mêmes le Công au nom de la démocratie, de la liberté et autres justifications permettant de bien se faire voir à l’international. Le casus belli sera publié officiellement et transmis au bureau du Công pour la forme.

Et c’est exactement ce qu’il s’est passé ! L’opération Caramel Mou 2 a eu exactement l’effet escompté et a donné aux Jashuriens, Xins et Velsniens tous les motifs pour pouvoir déclencher l’opération Clôture de Jardin contre l’Empire Anticolonial et le Công chandekolzan. Pendant plusieurs semaines, les espions jashuriens, aidés du Parti Pro-Jashurien, ont œuvré pour fouiller le linge sale du Công et de ses lieutenants. Ce n’est pas seulement quelques saletés qui ont été trouvées, mais carrément les cadavres encore enveloppés dans du linge sale. Toutes ces affaires, sourcées et indéniables, ont alimenté le dossier à charge du PPJ et consolidé son alliance avec le PAC, désireux de tourner ses forces contre la corruption des élites. Les innombrables affaires crades du Công furent révélées sur les chaines de télé, les chaines radio et firent grand bruit, tant et si bien que l’on sentit pour la première fois depuis des années la chape de plomb du despote vaciller.

L’alliance entre le PPJ et le PAC fut consolidée avec le rapprochement avec les autonomistes ushongs du nord du pays. Les trois partis, sous l’impulsion des Jashuriens, commencèrent à œuvrer pour créer une motion de destitution du Công, comme prévu dans la Constitution du Chandekolza. L’alliance des trois partis, acté durant le mois précédent, fut le signal donné au peuple chandekolzan que les choses pouvaient changer dans le pays. L’espoir d’une destitution pacifique du Công, l’accumulation des affaires et l’impossibilité pour le despote et ses lieutenants d’endiguer les révélations qui se succédaient donna l’espoir au peuple et aux coalisés qu’il serait possible de définitivement tourner la page et d’aller vers un avenir meilleur.

La motion de destitution fut déposée lors de l’assemblée plénière de la semaine passée. Le PAC, le PPJ et les autonomistes ushongs firent front commun pour la première fois depuis des décennies et dénoncèrent les abus du despote devant une assemblée survoltée. Malheureusement, les choses ne se passèrent pas comme prévu. Les élites chandekolzanes issues des autres partis, ayant peur pour leurs propres places, s’opposèrent à la motion de censure, tandis que les lieutenants du Công faisaient pression sur les indécis. Au final, le vote échoua à quelques voix prêts, empêchant la destitution du Công pour au moins une année selon les dires de la Constitution. Il n’en fallut pas plus pour le Công pour agir, fort d’une légitimité arrachée de quelques voix. Immédiatement après l’échec de la destitution, les forces armées du Công et ses plus proches lieutenants firent irruption dans l’Assemblée et dénoncèrent un acte de trahison envers l’unité nationale en la personne des principaux cadres du PPJ. Ceux-ci furent immédiatement arrêtés, sous des regards médusés, et embastillés dans l’attente de leur jugement.

La sidération laissa place au désespoir, le Công réaffirmant une fois de plus qu’il n’entendait pas se comporter comme un démocrate, mais comme un despote sûr de sa force militaire. Les cadres du PPJ et du PAC n’ayant pas été enfermés fuirent immédiatement vers le nord du pays, quand ils ne furent pas tout simplement abattus discrètement dans les rues par les soldats du Công. Toute opposition fut immédiatement muselée par l’effet de sidération des actions du Công. Le PPJ ayant perdu ses lieutenants, ne put organiser la réponse de la rue. Les habitants du Chandekolza, bien qu’acquis aux idées du PAC et du PPJ, n’eurent pas l’impulsion nécessaire pour pouvoir se soulever. Les autonomistes ushongs parvinrent à rejoindre leurs territoires, fuyant pour leur vie. Depuis leurs territoires, ils appellent le Xin à l'aide et espèrent que celui-ci sera sensible à leur cause pour les libérer du joug du Công.

L’action irraisonnée du Công était prévue de longue date par les Jashuriens, les Velsniens et les Xins. Cela faisait partie du plan prévu dans l’opération Clôture de Jardin. Si les Jashuriens auraient préféré une destitution pacifique, il fallait se rendre à l’évidence : le pouvoir ne se cédait pas facilement et le Công allait s’accrocher à son siège. Il était temps d’intervenir et d’en finir définitivement avec le despote. Le casus belli serait le suivant : le Công, en enfermant ses opposants, a définitivement basculé dans l’autoritarisme le plus chimiquement pur. Pour la sécurité et l’avenir des Chandekolzans, il est nécessaire de le déposer et de faire advenir une nouvelle ère démocratique pour le Chandekolza. Les forces velsniennes, jashuriennes et xins déclenchent donc l'opération "Clôture de Jardin" afin de récupérer la maîtrise du Chandekolza et de faire du territoire une marche apaisée de l'Empire Xin qui n'est plus la porte ouverte aux ambitions coloniales des fous du bus qui veulent l'utiliser comme marche-pied.

Plan de campagne au Chandekolza

Plan de campagne au Chandekolza mené par la coaliton velsno-jashuro-xinoise

Dès la publication du casus belli, l’Empire Xin envahira le Chandekolza par le nord, au travers des territoires autonomistes ushongs. L’enjeu est de soulever la population en présentant le Trône du Dragon comme un libérateur et de rapidement fondre vers la côte afin d’entourer les bases des autres pays. Comme le veut la publication du casus belli, les bases situées à Jib-Outhi ne seront pas considérées comme hostiles, sauf si des tirs ont lieu. Les troupes du Xin effectueront la jonction avec les troupes jashuriennes tandis que plusieurs divisions se rendront dans l’est du pays pour entrer en contact avec les territoires religieux du Drahma et les convaincre de se soulever contre l’oppression du Công et contrôler l’estuaire. Pendant ce temps, les forces coalisées jashuro-xinoises, avec l’aide des divisions velsniennes, accosteront dans les abords de Saypalbon Tempoh et encercleront la capitale afin d’y détruire les poches de résistance et d’envahir le palais du Công pour l’arrêter.

Par mesure de sécurité, la base poëtoscovienne sera encerclée par les flottes velsniennes et jashuriennes. Cette précaution est prise au regard de la complète irrationnalité de la Poëtoscovie, qui pourrait se mettre à tirer dans tous les sens juste pour la beauté du geste. Les Velsniens et les Jashuriens ont pour consigne de ne pas tirer, sauf si la Poëtoscovie tire en premier. Auquel cas, l’atoll sur lequel se trouvent les Poëtoscoviens sera rasé par le feu velsnien et jashurien pour l’exemple.

Les Jashuriens renforcent leur présence depuis des mois dans la région, afin d’être certains que les bases étrangères ne commencent pas à faire n’importe quoi. La nouvelle composition des troupes est la suivante. Le Contingent d'Intervention Extérieur relocalise une grosse partie de ses activités dans la région de Jib-Outhi, profitant des conditions exceptionnelles de sa situation géographique pour s'entrainer et faire en sorte que les autres bases se tiennent tranquilles. Les Jashuriens utiliseront leur flotte pour aider les Velsniens à maintenir le blocus du Chandekolza. La base Ashoka servira de point de relais pour les troupes du Xin, mais aussi pour une partie de l’aviation jashurienne.

Du fait de ses opérations clandestines réussies (deux opérations reconnaissances militaires réussies), le Jashuria dispose d’une connaissance fine des forces en présence, de leurs capacités militaires et de leurs emplacements. Ces informations sont immédiatement communiquées aux forces velsniennes et xins et sont exploitées directement pour palier au fait que les coalisés sont moins nombreux mais largement mieux organisés que l’armée mexicaine chandekolzane. Les Jashuriens connaissent désormais bien les positions chandekolzanes, ainsi que le matériel disponible chez leurs adversaires. La reconnaissance du terrain faite par les drones est optimale et surtout : le Chandekolza ne dispose ni de moyens de communication radio mobiles, ni de moyens de contrer la suprématie aérienne jashurienne. Les Jashuriens dominant les cieux, ils pourront aisément suivre les mouvements des troupes chandekolzanes depuis les caméras thermiques embarquées sur les drones de reconnaissance ou les avions de chasse.

Bien que les Jashuriens soient moins nombreux que les Chandekolzans, les Jashuriens sont mieux armés, mieux entrainés (ils ont déjà l’expérience du combat au Mokhaï – c’est toujours le Contingent d’Intervention Extérieur) et ont la maîtrise des eaux, des airs et du sol. Le Contingent d’Intervention Extérieur, contrairement à la plupart des armées modernes, a une expérience réelle du combat, après avoir liquidé les 2500 soldats loduariens présents au Mokhai lors de l’insurrection d’Aoki Saburo. Le CIE travaillera de concert avec les Velsniens et les Xins pour les épauler tout au long de l’opération.

La principale action des Jashuriens sera de frapper les positions des casernes autonomes chandekolzanes dès les premières heures de l’opération afin de faciliter la prise de la région de Jib-Outhi. Les Chandekolzans seront probablement suffisamment désorganisés pour que les Xins puissent avancer et revendiquer les régions autonomes et progresser vers le sud. L’autre action de l’aviation jashurienne sera de couper la retraite des forces chandekolzanes vers la capitale en veillant à frapper les convois cherchant à se regrouper vers la capitale ou les place-fortes. La logistique jashurienne est appuyée par la proximité du Jashuria au sud. Les convois aériens protégés par les forces de défense jashuriennes permettent de livrer des munitions aux forces jashuriennes au Chandekolza.

Les Jashuriens savent pertinemment que les Chandekolzans utiliseront des tactiques de guerilla depuis leurs casernes autonomes. Connaissant le combat de jungle plus que le combat sur terrain plat, les Jashuriens sont à leur aise pour combattre les Chandekolzans sur leur terrain, mais préfèreront les épuiser avec des bombardements plutôt que de les engager dans les jungles.

Autre point important, le fait que les Jashuriens aient une connaissance approfondie de la région et des mouvements militaires s’étend aussi aux bases étrangères dans la région. Le Jashuria, par mesure de politesse, enverra aux Etats-majors concernés une missive diplomatique pour leur dire de ne pas bouger pendant la durée des opérations. Il va de soi que si la Poëtoscovie bouge d’une oreille, son atoll sera vaporisé sur place par la marine jashurienne et velsnienne. De même, le Jashuria est au courant de la présence de la flotte poëtoscovienne au Wanmiri – qui IRP, est dans le Wanmiri depuis deux mois donc, oui, on l’a vue … -. Si la flotte se met à bouger vers le nord, les Jashuriens intercepteront la flotte poëtoscovienne avec leur aviation et la marine nationale. Les Jashuriens auront la politesse de prévenir avant de frapper, le pays n'ayant pas spécialement envie de déclencher de nouvelles hostilités avec d'autres pays et son action devant principalement se limiter au Chandekolza et au Chandekolza seul. Néanmoins, le pays n'hésitera pas à montrer les crocs et à frapper si les choses dégénèrent.


HRP : La base morznik n’est pas considérée comme co-belligérante de par la protection dont elle jouit pendant encore quelques mois. Elle est de ce fait ignorée.


COMPOSITION DES FORCES JASHURIENNES DANS LA REGION CHANDEKOLZANE

Flotte de guerre jashurienne

  • JAS – 1 sous-marins d’attaque niveau 1
  • JAS – 1 porte-avion de niveau 5
  • JAS – 1 pétrolier ravitailleur de niveau 3
  • JAS – 1 destroyer de niveau 1
  • JAS – 2 corvettes de niveau 9
  • JAS – 1 corvette de niveau 5
  • JAS – 1 frégates de niveau 4
  • JAS – 2 frégates de niveau 1
  • JAS – 2 patrouilleurs de niveau 10
  • JAS – 1 porte-hélicoptères de niveau 8
  • JAS – 1 transporteur de chalands de débarquement de niveau 8
  • JAS – 4 chalands de débarquement de niveau 7
  • JAS – 4 chalands de débarquement de niveau 3

Force aérienne jashurienne

  • JAS – 20 chasseurs-bombardiers de niveau 8
  • JAS – 20 avions de chasse de niveau 10
  • JAS - 10 avions d’attaque au sol de niveau 10
  • JAS - 2 bombardiers stratégiques de niveau 8
  • JAS - 2 bombardiers gunship de niveau 6
  • JAS - 2 bombardiers furtifs de niveau 5
  • JAS – 5 drones de reconnaissance de niveau 8
  • JAS – 2 avions ravitailleurs de niveau 9
  • JAS – 5 avions de transport tactique de niveau 5
  • JAS – 1 avion de guerre électronique de niveau 8


Contingent au sol :

  • JAS - 3000 professionnels spécialisés dans les opérations extérieures
  • JAS - 3000 armes de niveau 11
  • JAS – 300 mitrailleuses lourdes de niveau 10
  • JAS – 300 mortiers légers de niveau 8
  • JAS – 300 lance-roquettes de niveau 9
  • JAS – 300 lance-missiles antichar de niveau 9

  • Contingent mécanisé :

  • JAS – 40 mortiers tractés de niveau 10
  • JAS – 40 canons tractés de niveau 10
  • JAS – 20 canons automoteurs de niveau 9
  • JAS – 10 lance-roquettes multiple de niveau 10
  • JAS – 30 lance-missiles antiaériens mobiles de niveau 10
  • JAS – 30 canons antiaérien mobiles de niveau 10
  • JAS – 20 chars légers de niveau 9
  • JAS – 20 véhicules de combat d’infanterie de niveau 5
  • JAS – 10 chars d’assaut de niveau 8
  • JAS – 20 camions de transport de niveau 10
  • JAS – 10 camions-citernes de niveau 10
  • JAS – 5 véhicules radars de niveau 6
  • JAS – 5 véhicules de transmission radio de niveau 7
  • JAS – 5 chars de dépannage de niveau 8
  • JAS – 5 véhicules de déminage de niveau 9
  • JAS – 5 bulldozers de niveau 10

  • Contingent d’appui aérien :

  • JAS – 10 hélicoptères d’attaque de niveau 8
  • JAS – 10 hélicoptères de transport moyen de niveau 10
  • JAS – 10 hélicoptères de transport lourd de niveau 8
1991

Commandement Militaire de la Classis III "Fortuna Patres"




https://www.zupimages.net/up/22/42/ok8y.png


20 aout 2017
Communiqué: ordre d'évacuation de la Base Sandro de Chandekolza


Le commandement militaire de la Classis III "Fortuna Patres" souhaite faire part au personnel poetoscovien de la base Sandro des demandes du Sénat des Mille, du Conseil Communal et du Patrice de Velsna.

Dans le cadre de l'opération de maintien de la paix chandekolzienne suite à la répression de l'opposition au Cong du Chandekolza, ces excellences velsniennes, jashuriennes et ushong ont prit la décision lourde, mais nécessaire, d'y ramener la raison manu militari. A ce titre, il est adressé à tout le personnel militaire et civile de la base Sandro une demande d'évacuation sans délais de leurs installations.

Dans le cas où cette demande est acceptée, le personnel de la Classis III "Fortuna Patres" s'engage aux conditions suivantes:
- A la bonne sécurité de tout personnel poetoscovien souhaitant quitter l'île, en les invitant par là même à quitter le théâtre d'opération chandekolzan.
- Le personnel militaire poetoscovien sera autorisé à quitter le théâtre d'opération en armes, en conservant ses drapeaux et son honneur.
- Le personnel poetoscovien sera autorisé à quitter le théâtre d'opération avec l'intégralité de son matériel civil et militaire dont il apportera la preuve de son appartenance.
- Une assistance sera fournie à tout personnel civil poetoscovien souhaitant retourner en Poetoscovie par le service des transports de la Classis III.

Dans le cas où cette demande serait refusée, les flottes coalisées de la Grande République, de la Troisième République du Jashuria et sa majesté le Fils du ciel seront contraintes de faire feu, jusqu'à ce que la flotte et la garnison poetoscovienne fasse acte de reddition et de retraite, ou que l'île de la base Sandro soit désertée par le feu.


Son excellence Sénatrice et Amirraglia Sofia Di Saltis, dans sa bonté, sera disposée au bon traitement de tout prisonnier poetoscovien, et s'engage à les rendre à leur patrie sans rançon, contrairement à ce qui s'effectue d'ordinaire pour tout ennemi de la Grande République et de la cité.


Par ordre du Sénat des Mille et du Gouvernement communal, il vous est demandé de choisir la raison, et de quitter les lieux séance tenante afin d'éviter pareille issue.


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Commandement de la Grande Tribune Militaire pour le pays ushong

Journal personnel des greffiers sénatoriaux de son excellence Matteo Di Grassi, Stratège-Sénateur de la Grande Tribune Militaire ushong, Maître de l'Arsenal de la Grande République

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10 aout 2017-21 Aout 2017
Journal des faits, par le greffier sénatorial Umberto San Pietro, adressé au Sénat des Mille et au Gouvernement Communal


A 6h le 10 Aout, son excellence Maître Di Grassi a convoqué une réunion avec son excellence Amirraglia-sénatrice Sofia Di Saltis. Ils se sont salués cordialement, et ont parlé longuement de la planification des derniers détails de l'opération "Loutre cendrée", sous-partie velsnienne de l'opération baptisée par le commandement coalisé "Clôture de Jardin". S'agissant là d'un rappel des plans déjà convenus avec les alliés jashuriens et ushong, ils ont évoqué avant tout le sort de la base Sandro, située à l'embouchure de de l'estuaire du Chandekolza.

Son excellence Di Grassi a demandé son avis à son excellence Di Saltis concernant les modalités de reddition des poetoscoviens, le sort des prisonniers, ce qu'il fallait faire des prisonniers et du matériel capturé si il y en avait. Son excellence Di Saltis a été catégorique, et a dit qu'il fallait se fier à la loi velsnienne en dépit de ce que disaient les alliés, et rançonner tous les prisonniers conformément à la loi de la guerre velsnienne. Qu'il fallait que les soldats aient leurs primes liées à la rançon pour éviter les mécontentements. Son excellence Di Grassi a refusé sa suggestion, car les alliés jashuriens ne seraient pas en accord. En échange, son excellence Maître a proposé de payer les primes des soldats de sa propre poche, ce que son excellence Di Saltis a accepté.

Puis, son excellence Di Saltis a parlé des prisonniers et du matériel, et a demandé à son excellence Di Grassi l'autorisation de saisir les éléments de la flotte poetoscovienne en cas de capture et de refus de reddition. Son excellence Maître Di Grassi a accepté l'idée, mais il a évoqué l'impératif d'un partage des navires avec le reste de la coalition si capture, proportionnellement aux pertes de chacun. En revanche, Maître Di Grassi a consenti à l'idée de remettre l'intégralité du matériel terrestre capturé aux alliés ushong. Son excellence Di Saltis a accepté cette injonction.


A 20h le 11 Aout lors du diner des officiers supérieurs des deux Classis et de la Grande Tribune Militaire, son excellence Di Grassi a reçu tout le monde dans ses quartiers personnels. Le repas a été rallongé par les discussions concernant le sort des différentes bases militaires et humanitaires du Chandekolza. Son excellence Di Grassi a rappelé l'importe de ménager les gentilshommes tanskiens, et les interêts de l'OND dans la région, quitte à les ignorer. Le Primipile Misiano a demandé à son excellence Di Grassi ce qu'il faudrait faire du personnel rimaurien, ce à quoi Maître Di Grassi a recommandé de suivre les requêtes des ushong et des jashuriens, et que du cas par cas serait progressivement fait. Il a insisté sur l'importance d'obtenir l’assentiment de l'éventuel nouveau gouvernement pro jashurien une fois que celui-ci sera installé, et qu'il sera l'appui principal de toute action d'expulsion.

Le Primipile Misiano a demandé à son excellence Di Grassi ce qui devait être fait de la base achosienne. Son excellence Di Grassi a répondu par le rire, ainsi que tout le reste de l'audience du commandement. Cela faisait longtemps que son excellence Maître Di Grassi n'avait pas ri à ce point.



A 8h le 13 Aout, son excellence Di Grassi a eu une entrevue avec son excellence Amirraglia Di Saltis.. Son excellence Di Saltis a prévenu Maître Di Grassi du manque de place à venir en cas de prise importante de prisonniers chandekolzans, et que le Classis III ne pourra pas accueillir ceux ci en grand nombre. Son excellence Di Grassi a donc proposé une fois le débarquement fait, d'organiser à la hâte la construction de camps de prisonniers dans une zone située non loin des faubourgs de Sépalbon, dans une zone facile d'accès pour la flotte. Son excellence Di Saltis a accepté l'idée.


A 11h le 19 Aout, son excellence Di Grassi a réuni une dernière fois tous le Primipile Misiano, ainsi que les commandants des dix tribunes militaires dans ses quartiers. Comme à l'accoutumée, il leur a laissé les coudées franches tout en fixant une feuille de route pour chacun d'entre eux. Sépalbon a été défini comme objectif principal et clé de l'opération. Il a indiqué que le remplacement du régime restait une priorité, car elle permettrait de disposer de la légitimité d'expulsion des bases militaires. Les commandants de tribunes ont donné chacun à son excellence Di Grassi un rapport d'estimation des pertes de l'opération, alliées et ennemis. Son excellence Di Grassi ne semble pas avoir montré d’inquiétude particulière, sauf à l'endroit de la flotte poetoscovienne.


A midi le 19 Aout, son excellence Di Grassi a déjeuné avec des membres de la Société des honnêtes archéologues velsniens. Son excellence Di Grassi a accepté leur requête de pouvoir effectué une mission de sauvetage et de récupération d'artefacts dans le sillage de la Grande Tribune, sous réserve que ceux ci ne soient investis d'une quelconque initiative hors des zones de combat. L'évocation de l'enrichissement des collections du Musée de l'Arsenal a fortement intéressé son excellence Di Grassi. Ces messieurs de la Société des honnêtes archéologues se sont longuement attardés sur les collections du Palais du Cong, arguant que pour des besoins de sécurité des artefacts, il vaudrait mieux les ramener à Velsna à titre provisoire, en attendant un gouvernement stable.


A 5h le 21 Aout, son excellence Di Grassi a ordonné le débarquement au Chandekolza des premières unités de la Grande Tribune. Plusieurs exploits de bravoure ont été constatés, et sont donc consignés. Le Primipile Misiano a été très brave. Lorsqu'il a vu plusieurs soldats hésitants à sortir de leur chaland de débarquement, il a ainsi été sous le feu, et a balancé des pièces en or sur la plage pour motiver ses hommes et ses femmes à sortir. A témoins, il a dit ces mots "Tout ce que brille et tout ce qui sonne comme du métal, prenez le et ramenez le." Toute son unité est ainsi sortie.
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Opération Clôture de Jardin (Sous partie velsnienne, intitulée "Opération Loutre cendrée")

Préparation des forces navales de la Grande République et mise en branle



a

Sénat des Mille de la Grande République a écrit :

Sénat des 1000 de Velsna


Drapeau

Sénatus Consulte, 8 Juillet 2017
Mandat d'intervention sénatorial: Chandekolza


Nous, Sénat des Mille de la Grande République de Velsna déclarons et commandons, que son excellence Sénatrice et Amirraglia, Sofia Di Saltis, qui se dit "fille préférée de Dame Fortune", dispose désormais, et ce jusqu'à la fin de l'année 2017, d'un mandat d’intervention à l'encontre de l’État chandekolzien, en soutien à l'initiative de restauration de l'ordre et de la bonne tenue des territoires de jure de l'Empire Xin, prônée par le gouvernement de la Troisième République de Jashuri.

Nous, excellences illustres, reconnaissons par la présente la justesse de cette cause, et les motifs de cette intervention, fonés sur les éléments suivants:
- Continuation d'un pouvoir colonial akaltien, maintenant la population locale dans un profond état de servitude, et de pénuries chroniques favorisées par un modèle économique s'appuyant sur une exploitation commerciale d'une colonie, un modèle qui nous rappelle ainsi la façon de régenter des puissances eurysiennes d'autrefois à l'égard des peuples soumis.
- Menace vis à vis des flux commerciaux maritimes du Sud-Nazum par le biais de l'installation de bases militaires poetoscoviennes, dont le but est spécifiquement d'étendre la zone d'actions de leur arsenal balistique. Considérant la Poetoscovie comme un État ami de la puissance terroriste qu'est la Principauté de Carnavale, nous, sages parmi les sages, ne pouvons nous résoudre à laisser nos alliés jashuriens et ushong dans le dénuement.

Par la présente, nous accordons à son excellence sénatrice et Amirraglia Sofia Di Saltis, "fille préférée de Dame Fortune", le commandement des classis III "Fortuna Patres" et V "Azurro" à fin de remplir ses desseins, que nous considérons comme nobles. Est accordée également le commandement d'une Grande Tribune de 10 000 gardes civiques, dont nous ordonnons la formation à compter de l'émission de ce document. Son excellence Matteo Di Grassi, Maitre de l'Arsenal de la Grande République, "restitueur du Sénat", "Vainqueur des landrins et de l'AIAN", en assumera la direction. Son excellence Matteo Di Grassi sera également en charge des relations avec nos excellences du Sénat pour toute la durée de l'opération.

Nous, qui sommes sages parmi les sages, déléguons par là même notre autorité et la légitimité de notre parole à son excellence Sofia Di Saltis, "fille préférée de Dame Fortune", dont la force et le déploiement sont considérés comme l'émulation directe de notre propre pouvoir.

Nous, qui sommes sages parmi les sages, conférons au Gouvernement de la Troisième République de Jashurie, la direction générale des opérations devant avoir lieu en Chandekolza, mettant ainsi à disposition de leur juste cause notre expérience, notre courage et notre détermination.

Ce document a été déclaré approuvé par l'Assemblée des Comices Populares et l'Assemblée des Comices Splendori.

Ce document est déclaré confidentiel et scellé à l'attention unique du Gouvernement communal de la Grande République, ainsi qu'au commandement maritime assumé par son excellence Sénatrice-Amirraglia Sofia Di Saltis.


Que Dame Fortune et San Stefano, patron des voleurs et des escrocs, voient en notre cause le reflet de leur justice, et apportent la chance à son excellence Sofia Di Saltis.


Ce senatus-consulte fait office de loi et ne saurait être contourné que par un senatus-consulte ultérieur.



Les forces navales velsniennes les plus proches, à savoir la Classis III "Fortuna Patres" stationnée au Drovolski, et la Classis V "Azurro" basée à Tavaani, reçoivent l'ordre de se tenir à disposition dans le cadre d'un soutien prévisible aux forces jashuro-xin devant mener l'opération "Clôture de jardin". A cette fin, il est ordonné que tout l'ensemble du personnel des deux flottes soit disponible. Cet ordre affecte la totalité des effectifs des deux commandements. Est ajouté à cela le renfort de 10 000 gardes civiques, la "Grande Tribunne velsnienne du pays Xin", levée spécifiquement pour l'occasion, et dont le transport se fera à charge de la Classis III, après que cette dernière ne soit partie de l'île de Tercera (Nord-Nazum). Il est estimé que la préparation soit faite environ deux semaines en aval, suivant des plans déjà établis par les commandements jashuriens, xin et velsniens. Une concentration de la force navale devrait se faire dans l'archipel tenu par Fortuna dans la Mer de Blême avant toute intervention au Chandekolza (base terrestre, navale et aérienne la plus proche du théâtre d'opération). Les deux flottes et la force d'intervention y feront leur jonction.

Pendant qu'une majeure partie de la flotte (la Classis III) encercle île de la base poetoscovienne Sandro, le reste (la Classis V) commence à pilonner les positions portuaires du Chandekolza, et débute un débarquement des troupes à proximité immédiate de la capitale, tout en bénéficiant de la couverture aérienne velsnienne.

Les effectifs suivants se tiennent donc prêts à une éventuelle intervention:
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Classis III "Fortuna Patres":

Commandement: Amirraglia-sénatrice Sofia Di Saltis "La fille préférée de Dame Fortune"
Personnel spécial: Cinq légats sénatoriaux chargés d'être au contact du commandement jashurien, et une dizaine de greffiers sénatoriaux.

  • Un porte avion lvl 5 avec 10 chasseurs lvl 10, 20 chasseurs lvl 9 + 20 lvl 8 + 10 lvl 7 + un AWAC lvl 5 + 5 avions ravitailleurs lvl 9 + 1 avion de guerre électronique lvl 8 + trois drônes
  • Un porte hélico lvl 3 avec 20 hélicos de combat lvl max + 20 hélicoptères lourds lvl max
  • Un sous marin d'attaque lvl 9 + un lvl 7 + un lvl 6
  • Un destroyer lvl 7
  • Un remorqueur lvl 8
  • 2 pétroliers ravitailleurs lvl 9
  • 6 corvettes lvl 9 + 2 lvl 8
  • 5 frégates lvl 8
  • 5 patrouilleurs lvl 10 + 2 lvl 7 + 1 lvl 2
  • 1 dragueur de mines lvl 9



Classis V "Azurro"

Commandement: Amirraglia-Sénatrice Michela Gordini

  • 1 patrouilleur lvl 6
  • 3 corvettes lvl 6
  • 2 frégates lvl 6 + 1 lvl 3
  • 1 remorqueur lvl 3
  • 1 pétrolier ravitailleur lvl 1
  • 1 destroyer lvl 2




Grande Tribune militaire du Pays Xin

Commandement: Sénateur et Maître de l'Arsenal Matteo Di Grassi, "Restituteur du Sénat" et "Vainqueur de l'AIAN et des landrins"
Personnel spécial: Un ordonnateur du Sénat chargé de mettre le Sénat au contact de la force d'intervention, Cinq légats sénatoriaux chargés d'être au contact du commandement jashurien, et une dizaine de greffiers sénatoriaux.

La Grande Tribune est escortée par la Classis III par la voie maritime depuis Drovolski (escale probable en port fortunéen à mi chemin, qui servira de rampe de projection de la Marineria en cas d'échec de l'opération Caramel Mou et d'une intervention)




    Transport naval:
  • 1 transporteur de chalands Niveau 8 + 1 Niveau 5 + 1 niveau 1
  • 5 chalands Niveau 9 + 2 Niveau 6 + 3 Niveau 3
  • 1 cargo Niveau 6 + Un cargo Niveau 1

  • (Une partie du personnel est également à bord des navires de la Classis III, en particulier du porte hélicoptère et du porte avion (transport aérien)

    Matériel infanterie:
  • 10 000 gardes civiques professionnels avec ali 11
  • Mitrailleuses lourdes: 1000 x Niveau 10
  • Mortiers légers: 1000 x Niveau 8
  • Lances roquettes: 1 000 x Niveau 8
  • Lances missiles anti-chars: 1000 x Niveau 7

  • Artillerie:
  • Canons automoteurs : 18 × Niveau 8
  • Lance-roquettes multiples : 12 × Niveau 7
  • Canons d’artillerie tractés : 12 × Niveau 9
  • Mortiers tractés : 24 × Niveau 9

  • Manœuvre:
  • Chars d’assaut : 30 × Niveau 8
  • Chars légers : 24 × Niveau 8
  • Véhicules de combat d’infanterie : 50 × Niveau 10
  • Transports blindés de troupes : 50 × Niveau 10
  • Véhicules blindés légers : 50 × Niveau 10

  • Logistique et appui:
  • Véhicules radar : 12 × Niveau 10
  • Véhicules transmissions radio : 24 × Niveau 10
  • Bulldozers : 10 × Niveau 7
  • Ponts mobiles : 3 × Niveau 8
  • Véhicules de déminage : 10 × Niveau 9
  • Chars de dépannage : 10 × Niveau 8
  • Camions de transport : 450 × Niveau 10
  • Camions-citernes : 120 × Niveau 10
  • Véhicules légers tout-terrain : 50 × Niveau 10

NB: Pour le RP, il convient de préciser que plusieurs tribunes composant la "GT" sont composés d'éléments spécialisés en contre-guerilla et en combat urbain, parmi lesquels 2 000 "chasseurs strombolains d'Achosie du Nord". Un groupe de frumentarii, des membres du renseignement militaire figure également dans le sillage de l'armée. Un personnel civil sous la forme d'une expédition scientifique (archéologues, géologues, paléontologues et naturalistes est également présent dans le sillage de l'armée pour organiser le pillage l'inventaire du potentiel de recherche dans leurs domaines respectifs.
1897
MISE EN ETAT D'ALERTE



URGENT - URGENT - URGENT


A l'intention du Colonel Morgan Buell, commandant de la base de Pell Iawn, et de toute les troupes en présence


URGENT - URGENT - URGENT



Il est décrété par la Tribune, et par les Très Honorables Consuls de la République d'Achos, que la base de Pell Iawn doit être placée en état d'alerte.

La dégradation de la situation du pays, couplée à l'intervention de puissances colonialistes sur le territoire hôte, met en danger la pérennité des opérations en cours sur la base de Pell Iawn, mais également celle de son personnel.
Ainsi, par ordre direct de la Tribune Achosienne, toutes les troupes en présence doivent se tenir en position opérationnelle 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et ce jusqu'à nouvel ordre.

Dans l'éventualité d'un siège, les vivres sont à partir de maintenant et jusqu'à nouvel ordre rationner.

Il est à noter, pour toute puissance étrangère, qu'une agression sur les troupes et les installations de la base de Pell Iawn sera perçue par la Sérénissime République d'Achos comme une atteinte à l'intégrité nationale. Elle s'engage donc à employer tous les moyens qui sont à sa disposition pour stopper cette agression.

Il est ordonné aux troupes sur place de ne pas engager le combat. Seule la défense et la riposte sont autorisées. Si le combat venait à être engagé à l'encontre des troupes sur place, l'ordre de combat sera transmis au Colonel Morgan Buell.

Les forces aériennes en présence, en particulier les avions de chasse, sont chargées de patrouiller dans l'espace aérien de la base sur un rayon de 50 km. Le combat NE DOIT PAS être engagé. Seule la riposte est autorisée.



Rappel des troupe en présence :

Effectif
- 2 000 conscrit
- 500 professionnels

Matériel :

Terrestre :
- 2 500 Armes Légères d'infanterie de deuxième génération
- 150 lances roquettes de troisième génération
- 5 canons tractés de cinquième génération
- 5 canons anti-aériens mobiles de première génération
- 10 Transports de troupes blindés de première génération
- 50 véhicules de combat d'infanterie de première génération

Aérien :
- 5 hélicoptères de transport moyens de première génération
- 5 avions de chasse de première génération
- 1 avions de transport de troupe de première génération


Drapeau de la base
3459
:harold:
« Pour la beauté du geste »
Détail des troupes et matériel dont le Chandekolza dispose

La défense du Chandekolza, étant donné la pauvreté chronique du petit État, repose pratiquement entièrement sur l'implication de ses soldats, malheureusement pour eux armés d'engins que bien des stratèges surnomment plutôt "cure-dents" ou "bâtons" que "mitraillettes".

L'État-major du Chandekolza a écrit :Les armées du Chandekolza, pour la défense nationale, disposent des moyens suivants, répartis dans le pays et plus précisément sur les frontières septentrionales, qui craignent le plus grand risque d'invasion étrangère.

  • 80.000 soldats professionnels armés de 72.000 armes légères d'infanterie LVL 1 et de 8.000 LVL 5
  • 20.000 conscrits armés de... 2.000 armes légères d'infanterie LVL 1
  • 200 mitrailleuses lourdes LVL 3
  • 50 lance-roquettes LVL 2
  • 7 mortiers tractés LVL 2
  • 11 camions de transport LVL 2

HRP : Comme on me l'a déjà fait remarquer sur le Discord, en effet ça représente la grande majorité des forces de l'Empire Anticolonial, mais je rappelle aussi que le Chandekolza a 96 % de la population de celui-ci. Je ne vois pas de raison de donner 30.000 soldats à l'Uuqtinut (80.000 habitants) par exemple...

Après l'indépendance du pays, la nouvelle frontière chandekolzo-ushong avait été fortifiée, dans l'éventualité d'une tentative de reconquête de la part de l'ancien maître. Cependant, cela n'a jamais été tenté. Les fortins et avant-postes qui parsèment le long de cette ligne de défense sont pour la plupart tombés en ruine, par manque d'utilité, et surtout de moyens.

Par pragmatisme, certaines de ces anciennes constructions sont de nouveau utilisées, bien que n'ayant pas été rénovées. Les soldats les utilisent pour se cacher, profitant d'autant plus de leur aspect délabré et inoccupé depuis des lustres. Les jashuriens connaissent le terrain et l'emplacement de cet ancien réseau, mais tous n'auront pas pensé que les chandekolzans puissent les utiliser sérieusement.

Les préparatifs contre une potentielle opération militaire à l'encontre du Chandekolza ont déjà débuté depuis des semaines, par paranoïa des autorités en voyant simultanément un rapprochement entre deux grandes puissances régionales et la montée du Parti Pro-Jashurien, qui a au passage récemment déposé une motion de destitution du Công.
On peut notamment compter la préparation des soldats à un combat prochain, et celle de leurs installations. Les militaires ont ainsi barré la plupart des routes menant à l'Empire Xin, fermant aussi la frontière pour contenir les ingérences étrangères et empêcher les fuyards du PPJ de passer de l'autre côté. Des points d'embuscades, destinés à faire pleuvoir les munitions sur une armée ennemie traversant la route au moyen des mitrailleuses de l'armée chandekolzane, ont été disséminés sur les passages stratégiques et pratique pour cet emploi, notamment les cols entre les collines.

Les craintes du gouvernement et de l'État-major ont été confirmée lorsque l'armée velsnienne, s'ajoutant à ce qu'ils considèrent comme étant une coalition ennemie, a sommé les occupants de plusieurs bases étrangères du Jib-Outhi de ne pas interférer avec ce qui se produirait bientôt. La décision a aussitôt été prise de faire appel aux vingt mille conscrits que compte le pays, pour suppléer aux professionnels déjà prêts. Les conscrits ne disposent cependant pas tous d'armes personnelles, et n'apportent donc pas une grande aide.

Les soldats sont quant à eux partagés entre les patriotes, qui croient dur comme fer qu'une victoire face à l'ennemi héréditaire ushong est possible ; et les plus pessimistes (ou plutôt réalistes) qui savent pertinemment que leur armée ne tiendra pas une seule minute face aux engins modernes de la coalition velsno-jashuro-ushong. Ce sont donc de belles batailles qui s'annoncent, où les chandekolzans auront le choix entre se rendre ou être purement et simplement massacrés.

Et maintenant... place à la défaite !

Edit : J'avais oublié d'inclure les armes rimauriennes confisquées par le Jashuria et données au Chandekolza. C'est chose faite.
4198

Commandement de la Grande Tribune Militaire pour le pays ushong

Journal personnel des greffiers sénatoriaux de son excellence Matteo Di Grassi, Stratège-Sénateur de la Grande Tribune Militaire ushong, Maître de l'Arsenal de la Grande République

https://www.zupimages.net/up/22/42/ok8y.png


10 aout 2017-21 Aout 2017
Journal des faits, par le greffier sénatorial Umberto San Pietro, adressé au Sénat des Mille et au Gouvernement Communal


A 6h le 21 Aout, Des rapports sont parvenus au commandement de la Grande Tribune quant à l'avancement du débarquement. Malgré la fiabilité des renseignements jashuriens, il semblerait que le gouvernement du Cong ait mobilisé davantage de personnel que prévu à sa défense. Cependant, les rapports concernant le sous-équipement de l'armée du Cong se sont montrés relativement fiables, et les premières remontées d'un commandement anarchique sont parvenues par le biais de prisonniers.

Nous avons engagé l'ensemble des tribunes à notre disposition dans l'opération de débarquement, et au vu de la résistance locale, il ne paraît pas improbable que notre manœuvre ne prenne les journées d'aujourd'hui et de demain.

Son excellence Di Grassi a insisté pour un encerclement suivi d'un assaut rapide sur la capitale. Dans le même temps, il a été ordonné à son excellence Gordini, dirigeant le détachement de la Classis V "Azurro", de remonter le long de l'estuaire du Chandekolza, et de pilonner toutes les positions fortifiées atteignables par l'artillerie de marine. La question d'un bombardement de Sépalbon s'est posée, mais a été jugée contraire aux opérations de mise en confiance des médias velsniens et eurysiens de manière général. A ce titre, son excellence Di Grassi a interdit l'usage de l'artillerie de marine et de l'aviation en milieu urbain.

Son excellence Di Grassi a exprimé quelques inquiétudes en ce qui concerne les combats urbains, et le manque de soutien d'artillerie en raison d'une densité de population bien trop grande pour en faire usage en toute sécurité. Aussi, il a été décidé en ordre d emarche, de déployer en priorité les deux tribunes de chasseurs strombolains d'Achosie du Nord, formés spécifiquement à la contre-guerilla et au combat urbain afin d'investir le rôle d'avant-garde.


A 23h le 21 Aout, On nous signale l'effondrement presque complet des défenses côtières chandkolziennes dans la zone désignée comme terre de débarquement. Le Primipile Misiano a ordonné la mise en œuvre de l'ordre de marche édicté plus tôt dans la matinée par son excellence Di Grassi, à exécuter avec effet immédiat.

Le Primipile Misiano nous a fait parvenir des premières remontées des combats ayant eu lieu sur le littoral chandekolzien et en lisière de la capitale. De nombreux maîtres de manipules ont fait parvenir à leur commandement des témoignages alarmants sur la situation des soldats chandekolziens. Au vu du nombre de soldats sans armes envoyé au contact de notre ligne, il semblerait que le matériel de l'armée du Cong fasse l'objet de nombreuses lacunes. Toutefois, certaines unités font montre d'une résistance relative. D'après le Maître de Manipule Mattia, de la Tribune VI des gardes civiques velsniens, "Ils se sont battus courageusement avec leurs mains". Le Maître de Manipule Matia a ordonné que soient rendus les honneurs aux unités adverses faisant montre d'un "haut degré de résistance".

Il a été émis de nombreuses inquiétudes sur le nombre de prisonniers, en écho aux échanges précédents du Commandement unifié de la flotte et de la Grande Tribune. Il n'a pas été prévu la capture d'un nombre si important de militaires adverses, et la perspective d'un ralentissement des opérations à cause de la gestion de ce personnel captif n'est pas à exclure. Il a été suggéré par son excellence Di Grassi de nous tourner vers nos alliés jashuriens et ushong afin d'assurer la gestion d'une telle masse. Les première heures du débarquement, seules, ont abouti à la capture de plusieurs centaines de prisonniers. Il a été ordonné à tout le personnel de la Grande Tribune de maintenir ceux ci dans de bonnes conditions, dans la limite de leurs possibilités.


A 11h le 22 Aout, Il a été signalé la présence de la Tribune II de chasseurs strombolains en progression en lisière des faubourgs de Sépalbon. La résistance y serait plus acharnée que lors de la prise des défenses côtières. Il a été recommandé d'atteindre le palais du Cong le plus rapidement possible, et de tenter de rallier la population qui lui est opposée. Si possible, de permettre un début de reconstitution de société civile. Il sera laissé au loisir des forces jashuriennes et ushong de s'atteler à l'organisation des territoires libérés.

Au vu des distances à parcourir et de la résistance locale, il a été supposé que la jonction avec les forces jashuro-ushong devrait avoir lieu à Sépalbon dans les prochains jours. Il est recommandé de ne pas prendre d'assaut la Palais du Cong avant que cela ne soit fait.
8142
Opération cloture du Jardin
Bilan des soixante-douze premières heures du conflit

Piew piew
L'hostilité commence dans les airs, en mer et au sol.

Bref rappel de la situation

La situation est particulièrement instable au Chandekolza, avec une profonde fracture sociale. Le gouvernement Công n'a aucun soutien de la population suite à une guerre hybride menée discrètement par le Jashuria. Une communication importante et le financement d'un parti locale doublé d'interventions humanitaires concrètes ont développé le capital sympathie des jashuriens sur place. Parallèlement, la corruption ambiante entretenue par le gouvernement Công et consort et l'ensemble des manœuvres garantissant l'assise du pouvoir sont mis en évidence après un travail d'investigation, terminant d'achever la légitimité de l'administration au sein du gouvernement. Parallèlement, les autonomistes Ushong se joignent au Parti Pro Jashurien dans leur campagne contre l'autre Công.
Est lancé le 31 juillet 2017 une motion de destitution envers le gouvernement Công du Chandekolza par le PPJ avec l'appui du PAC, motion refusée et suivie de l'arrestation de ses partisans. La chose provoque immédiatement l'intervention d'une coalition incluant le Jashuria, Velsna et les Xin. La coalition dispose d'une très importante masse de renseignement sur les forces en présence et leur répartition grâce à leur présence préalable profondément ancrée et leurs nombreuses missions de reconnaissance. La géographie et les axes stratégiques sont connus, permettant de guider sereinement cette opération. En face, l'armée du Chandekolza est démoralisée, à peine loyale envers le gouvernement et très mal préparé tant dans la chaine de commandement que sur l'aspect matériel.

Les vingt-quatre premières heures, le choc et effroi.

Dominant la mer et les airs, la coalition lance une campagne aérienne rapide appuyée par des appareils de guerre électronique. Il suffit d'une journée pour détruire les points clés, ponts, routes principales, entrepôts militaires, camps et dispositifs fixes de communication. Parallèlement, les communications mobiles par téléphone satellite sont triangulées et brouillées par les systèmes embarqués aériens, achevant de neutraliser la chaine de commandement en identifiant les groupes d'officiers. La logistique aussi est complètement défaite. Les forces du Chandekolza sont pris au dépourvu, incapables de communiquer et isolées les unes des autres, elles opèrent hasardeusement et échouent à prendre conscience de la situation. Certaines ignorent même l'existence de l'offensive et pensent simplement à une panne généralisée tandis qu'un vent de panique saisit les régions les plus exposées.
Certaines bases sont incendiées l'espace de quelques instants et les fortifications qui restent sont chirurgicalement bombardées, brisant le dispositif défensif national. Sont sécurisés en parallèle les sentiers délimités pour l'invasion et la progression des troupes, évoluant avec un étroit suport aérien. La résistance du Chandekolza est simplement balayé sous la violence et le point de bascule est déjà largement passé.

La progression de la coalition.

Ne rencontrant aucune résistance particulière au-delà de quelques poches courageuses à proximité de redoutes improvisées, et soutenue par les aéronefs circulant librement, la coalition progresse à grande vitesse et sécurise une à une les agglomérations. Les velsniens mènent en parallèle avec succès un débarquement amphibie autour de la capitale pour entamer son siège, la coupant du reste du pays. Les populations s'interposent à peine à ceux qu'ils considèrent comme des libérateurs, les accueillant à bras ouverts grâce à la préparation médiatique du Jashuria et l'absence totale de confiance et fidélité envers le Công. Les forces armées désertent massivement quant à elle ou se rendent. Les conscrits en particulier, très mal encadrés et absolument pas préparés à une guerre conventionnelle de haute intensité, en plus d'être littéralement désarmés, sont complètement perdus et préfèrent fuir tant que possible. Des bataillons entiers disparaissent dans les bois et sont introuvables, avec de toute manière une chaine de commandement mise sous silence et peinant à recevoir les moindres informations. Il faut deux jours supplémentaire pour que des moyens alternatifs de communication, incluant des messagers en mobylette et n'importe quel autre moyen de transport improvisé, prennent le relais et permette à ce qui reste des officiers et de leurs unités d'enfin prendre conscience de la situation pour se décider sur la suite.

Bilan de ces trois jours.

Situation

Après trois jours d'affrontement, la situation est très critique pour le Chandekolza. On estime déjà à un quart de ses forces le total des pertes, partagé entre les morts et les déserteurs très nombreux. La population n'est même pas enthousiaste à l'idée de résister et préfère se joindre à l'occupant, le Công est isolé dans la capitale, l'armée est démoralisée. Les officiers qui restent doivent maintenant se décider entre faire front, adopter une stratégie de guérilla, tenter une percée dans le siège de la capitale pour libérer le Công ou... simplement se rendre. Le nord du pays est presque intégralement occupé et la coalition profite encore de son élan pour poursuivre l'offensive.

Arbitre a écrit :Coalition : +20% Les forces du Jashuria et ses alliés profitent d'une domination totale des airs, de la mer et sur la terre. Les renseignements sont nombreux et solides, la population locale n'entrave pas la progression et l'opération est bien préparée.
Chandekolza : -20% L'armée est démoralisée, en proie à la propagande jashurienne et aux fractures sociales. Les défenses sont légères, la logistique anémique et la communication absente.

Note MJ supplémentaire : L'intégralité du matériel de la coalition n'a pas été compté (les navires ignorés dans l'ensemble, les avions uniquement dédiés au combat aérien également). Les pertes de la coalition ont été gonflées pour rester sommairement crédible compte tenu de la nature de l'opération. Les pertes du Chandekolza ont été minimisée pour permettre une certaine narration dans le conflit et de laisser le choix au joueur d'y aller jusqu'au bout où de préserver ses forces en négociant une reddition.

Résultat des combats :

Coalition :

Jashuria :

-20 chasseur-bombardier niveau 8
-20 avion de chasse niveau 10
-10 Avion d'attaque au sol niveau 10
-2 bombardier stratégique niveau 8
-2 bombardier gunship niveau 6
-2 bombardier furtif niveau 5
-5 drone de reconnaissance niveau 8
-2 avion ravitailleur niveau 9
-5 avion de transport tactique niveau 5
-1 avion de guerre électronique niveau 8

-3000 armes légères d'infanterie niveau 11, (-50)
-300 mitrailleuse lourde niveau 10
-300 mortier léger niveau 8
-300 lance-roquettes niveau 9
-300 lance-missiles antichar niveau 9

-40 mortier tracté niveau 10
-40 canon tracté niveau 10
-20 canon automoteur niveau 9
-10 lance-roquettes multiple niveau 10
-30 lance-missile antiaérien mobile niveau 10
-30 canon antiaérien mobile niveau 10
-20 char léger niveau 9
-20 véhicule de combat d'infanterie niveau 5, (-1)
-10 Char d'assaut niveau 8
-20 camion de transport niveau 10
-10 camion citerne niveau 10
-5 véhicule radar niveau 6
-5 véhicule de transmission radio niveau 7
-5 char de dépannage niveau 8
-5 véhicule de déminage niveau 9
-5 bulldozer niveau 10

-10 Hélicoptère d'attaque niveau 8
-10 hélicoptère de transport moyen niveau 10
-10 hélicoptère de transport lourd niveau 8

54 soldats professionnels morts et blessés.

Velsna :

-10000 Armes légères d'infanterie niveau 11, (-70)
-1000 mitrailleuse lourde niveau 10
-1000 mortier léger niveau 8
-1000 lance-roquettes niveau 8
-1000 lance-missiles antichar niveau 7
-18 canon automoteur niveau 8
-12 lance-roquettes multiple niveau 7
-12 canon tracté niveau 9
-24 mortier tracté niveau 9
-30 Char d'assaut niveau 8
-24 char léger niveau 8
-50 véhicule de combat d'infanterie niveau 10
-50 Transport de troupes blindé niveau 10, (-1)
-50 véhicule blindé léger niveau 10
-12 véhicule radar niveau 10
-24 véhicule de transmission radio niveau 10
-10 bulldozer niveau 7
-3 pont mobile niveau 8
-10 véhicule de déminage niveau 9
-10 char de dépannage niveau 8
-450 camion de transport niveau 10
-120 camion citerne niveau 10
-50 véhicule léger tout-terrain niveau 10

74 soldats professionnels morts et blessés.

Xin :

-10000 armes légères d'infanterie niveau 9
-10000 armes légères d'infanterie niveau 5, (-150)
-220 armes légères d'infanterie niveau 10
-1600 mitrailleuse lourde niveau 7
-1000 mortier léger niveau 5
-600 lance-roquettes niveau 6
-100 canon tracté niveau 10
-50 Transport de troupes blindé niveau 1, (-2)
-20 véhicule blindé léger niveau 1
-20 char léger niveau 8
-10 char d'assaut niveau 7
-40 véhicule léger tout-terrain niveau 11
-460 camion de transport niveau 9
-100 camion citerne niveau 10
-8 véhicule de transmission radio niveau 4
-20 hélicoptère de transport lourd niveau 8

156 soldats professionnels morts et blessés.

Chandekolza :

-72000 Armes légères d'infanterie niveau 1, (-18000)
-8000 Armes légères d'infanterie niveau 5, (-2000)
-2000 Armes légères d'infanterie niveau 1, (-204)
-50 Lance-roquettes niveau 2, (-13)
-200 Mitrailleuse lourde niveau 3, (-50)
-7 Mortier tracté niveau 2, (-2)
-11 Camion de transport niveau 2, (-3)

20 000 soldats professionnels morts, blessés ou déserteur.
2000 soldats conscrits morts, blessés ou déserteur.


Pertes décomptées

* les pertes de soldats annoncées sont assimilables à des combattants tués, blessés/mutilés, démissionnaires/déserteurs, capturés. Les ratios entre chaque cas sont à l'appréciation des parties concernées.
160
Cửa sông được giải phóng
La principale source d'informations au Chandekolza

Numéro 04----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Daté du 01/08/2017


LA GUERRE EST DÉCLARÉE !

Ce numéro très court a la simple valeur informative de son titre. Nous n'avons pas de grands détails sur ce qu'il se passe, mais il semblerait que les armées du Công soient pour la plupart en déroute. Les attaquants, venus de la mer et de l'Empire Xin, sont en supériorité technologique écrasante et avancent à toute vitesse dans le pays. Nous ne savons pas précisément où se situe la ligne de front à l'heure actuelle, mais il est probable que Saïpalbon soit atteinte en très peu de jours étant donné la faible résistance opposée par les troupes chandekolzanes. Plusieurs villes ont déjà accueilli les envahisseurs comme des libérateurs, sans se soucier de leurs intérêts dans la région, qui ne sont pas obligatoirement le bien du peuple, comme nous nous devons de le rappeler.
Nous voilà donc revenus à l'époque moyenâgeuse de la frontière-passage, lorsque les armées étrangères passaient sur le Chandekolza comme l'on s'essuie sur un vulgaire paillasson d'entrée. Espérons que le conflit ne durera pas et que la reddition se fera rapidement et sans conditions trop lourdes pour le pays.


Invasion du Chandekolza Source de l'information
Juntan Necahual, Ministre des Affaires étrangères de l'Union et de l'Empire des Cités d'Akaltie a écrit :Une guerre a été déclarée aujourd'hui, au Chandekolza. Une guerre qui touche l'un des pays de l'Empire Anticolonial Akaltien, l'un des alliés de l'Akaltie. Il va donc sans dire que nous condamnons fermement l'invasion du pays de l'estuaire par ce qui semble être des troupes velsniennes, jashuriennes et ushongs. Comme l'ont si bien dit nos homologues achosiens dans un communiqué précédant le nôtre de peu, nous ne sommes plus au dix-neuvième siècle, et le temps de la force brute comme seul levier géopolitique est révolu. De véritables États se rencontrent. De véritables États débattent. De véritables États signent des traités ou des accords. De véritables États ne déclenchent pas un conflit meurtrier pour servir leurs petits intérêts.

Maintenant que le mal est fait, la décision la plus raisonnable que peuvent prendre ces coalisés criminels est de stopper immédiatement les hostilités. Nous savons, après de rapides échanges de missives, que le gouvernement du Công chandekolzan est complètement disposé à négocier face à l'ampleur des attaques, et que les armées envahisseuses peuvent arrêter le combat sans craindre de se faire tirer dessus.
Étant donné les courts délais, l'Union et Empire des Cités ne pourra malheureusement pas intervenir militairement sur place, mais nos services diplomatiques feront leur possible pour calmer la situation. Malheureusement, il est probable que nous ne soyons pas écoutés.

Ces pays des plus impérialistes ne souhaitent pas reprendre la souveraineté populaire des mains du Công, qui traite son pays en dérive démocratique d'une manière irrespectueuse pour ses citoyens, pour la redonner aux habitants. Ils ne souhaitent que prendre le contrôle du pays, que cela soit pour pouvoir en exploiter les ressources, la main d'œuvre, ou dans le but anachronique d'étendre leurs frontières.

Nous renouvelons donc notre appel à la paix, car les querelles des puissants n'ont pas à causer autant de tort au peuple, à envoyer autant de soldats périr dans une guerre dont ils ne connaissent pas la raison. Cela n'est pas de la politique.
3821
OPERATION CLOTURE DE JARDIN : PHASE DEUX

Situation

La phase 1 de l’opération Clôture de Jardin a été un franc succès compte tenu des facteurs facilitant le travail des forces coalisées au sol. La maîtrise de l’air de la coalition, alliée à sa suprématie aérienne, ont donné un avantage décisif lors des premiers jours des engagements. L’armée chandekolzane, qui comptait sur son nombre et sur la prétendue autonomie de ses détachements, a été balayée par les forces coalisées et ses lignes de ravitaillement coupées. Toute la région nord du Chandekolza au nord du delta a été prise en moins de trois jours et les forces impériales sont parvenues à rejoindre les contingents jashuriens afin de balayer l’opposition. L’armée chandekolzane, mal préparée mais pléthorique, a accusé des pertes incroyables et nombreux sont ceux qui désertèrent dès les premières heures quand ils se virent confier des fusils datant des années 50 pour affronter des bombardiers furtifs jashuriens et les chars d’assaut impériaux.

Alors que les forces du Xin et du Jashuria s’emparaient de la partie nord du pays et s’apprêtaient à fondre sur le sud, les Velsniens assiégeaient la capitale du Chandekolza. Les forces velsniennes, alliées à la flotte jashurienne, firent le blocus du port sans aucune difficulté et leur maîtrise aérienne permit de déceler les poches de résistance en bordure de la capitale, où l’armée chandekolzane, démoralisée par les premières heures des affrontements, courre tel un poulet sans tête autour de Saipalbon Tempô tandis que le Công s’accroche au pouvoir et que l’Akaltie fait la morte.

Le déplacement de la ligne de front vers le sud et l’est du pays se fait sans aucune entrave, les populations locales ayant déjà compris qu’il n’était qu’une question de jour avant que les coalisés n’exterminent les fidèles du Công. A mesure que les troupes coalisées se déplacent, les réseaux de connivence créés entre les locaux et les Jashuriens se réactivent. Très vite, la population se sent moins désemparées face à la situation et plus la ligne de front progresse vers le sud, plus vite la vie reprend son cours dans les villes et les villages. Les Jashuriens, forts de leur connaissance de la région, martyrise les positions chandekolzanes et les bunkers planqués dans les forêts, tout en frappant continuellement les rares trains de munitions qui circulent encore.

Le coup porté aux industries militaires chandekolzanes laisse espérer une reddition rapide des forces du Công. Les Jashuriens espèrent que celui-ci se rendra avant que plus de sang ne soit versé inutilement et surtout, espèrent que les politiciens emprisonnés pourront être libérés à temps. A mesure que les forces coalisées se rapprochent de la capitale, les appels des politiciens qui n’ont pas été enfermés lors de la motion de destitution appellent la population à se soulever et à travailler avec les forces coalisées pour que la paix revienne au Chandekolza et que le règne du Công soit mis à bas. Malheureusement, nulle trace pour l’instant des prisonniers politiques, probablement retenus dans la prison centrale de la capitale.

L’effondrement des forces chandekolzanes et la débandade de leur armée mal préparée font que les forces coalisées marchent désormais vers la capitale. Les Jashuriens, forts de leur supériorité aérienne, bombardent activement les industries militaires et les positions fortifiées chandekolzanes pour les empêcher de s’approvisionner et de se regrouper efficacement. L’Etat-major jashurien compte sur une arrestation rapide du Công pour mettre fin au massacre des forces chandekolzanes. Les forces jashuriennes laissent les forces xins progresser vers la capitale et apportent leur soutien logistique, naval et aérien aux militaires alliés. La stratégie globale des forces coalisées n’a pas changé : le Chandekolza tombera.

Les appels du Chandekolza à l'international n'ont eu aucun effet du fait des affaires sordides révélées sur le Công et sur sa décision d'enfermer ses opposants politiques. Depuis son palais, le Công appelle ses alliés akaltiens à l'aide, mais ces derniers, bien que liés par une alliance défensive, font la sourde oreille. Ceci remet en question le fondement même du fonctionnement de l'Akaltie, qui ne peut rien faire sous peine de se voir massacrer elle-aussi par les forces coalisées. Pendant ce temps, les Jashuriens, les Xins et les Velsniens font en sorte que les bases étrangères sur le sol chandekolzan se tiennent tranquilles pour les semaines à venir.

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Commandement Militaire de la Grande Tribune Militaire de pays ushong


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30 aout 2017
Communiqué: Demande de reddition


Nous, Excellence Sénateur et Maître de l'Arsenal Matteo Di Grassi, "vainqueur des achosiens et des landrins" et "restituteur du Sénat", qui commandons la Grande Tribune Militaire du pays ushong, souhaitons faire part à son excellence Sái Tân Bình, Conseiller à la diplomatie du Chandekolza, des demandes du Sénat des Mille, du Conseil Communal et du Patrice de Velsna.

Dans le cadre de l'opération de maintien de la paix chandekolzienne suite à la répression de l'opposition au Cong du Chandekolza, il devient évident que devant cette juste cause, les troupes sous les ordres de votre gouvernement en sont désormais réduites à une situation intenable. Ces gentilshommes de l'armée chandekolzienne, malgré notre inimitié, ont montré bien du courage, et se sont battus avec une grande bravoure qui pousse à l'admiration. Mais cet héroisme ne doit pas faire oublier la situation dans laquelle votre gouvernement est à ce jour.

Aussi, compte tenu du fait que votre armée a perdu au cours de ces dix derniers jours l'équivalent du quart de ses capacités d'opération. Compte tenu de la mort valeureuse de 22 000 membres de votre personnel militaire. Compte tenu de l'état de siège de votre capitale et siège de gouvernement. Compte tenu de l'état de dénuement de votre armée, que ce soit en des termes logistiques ou tactiques, nous vous faisons aujourd'hui la demande de baisser les armes, et d'acter votre reddition.

Il n'est nul besoin de prouver votre dévouement à votre armée, il n'est nul besoin de prouver une quelconque bravoure, car vous l'avez déjà fait. Loin d'être une issue déshonorable, vous vous galvaniserez d'avoir sauver des milliers de vies par cet acte.

Dans le cas où cette demande serait acceptée, il sera ordonné aux forces coalisées de la Grande République, de la Troisième République du Jashuria et sa majesté le Fils du ciel de cesser le feu. Nous nous engageons au bon traitement de tous les prisonniers, qui rentreront chez eux en ayant la fierté du devoir accompli. Il sera ainsi permis à vous de se voir rendu les honneurs par notre personnels, de défiler en armes et en drapeaux battants, et nul de cela vous sera confisqué en aucune manière. Nulle rançon ne sera exercée à l'endroit des prisonniers, et il leur sera garanti un logis et des rations dont nous savons qu'ils sont actuellement dépourvus.




Par ordre du Sénat des Mille et du Gouvernement communal, il vous est demandé d'acter votre reddition, et d'accepter les honneurs qui vous sont dûs.


Fait à Sépalbon, Chandekolza, par son excellence Sénateur-Stratège et Maître de l'Arsenal,
Matteo Di Grassi, "vainqueur des achosiens et des landrins", "restituteur du Sénat".

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Propagande ushong Source de l'information
Juntan Necahual, Ministre des Affaires étrangères de l'Union et de l'Empire des Cités d'Akaltie a écrit :Le gouvernement akaltien tient à démentir les diffamations portées par les autorités de l'Empire Xin. Non, l'Akaltie ne dispose d'aucun devoir de protection envers l'Empire Anticolonial ou envers le Chandekolza, mais individuellement envers les trois autres entités qui composent le premier. Le statut particulier du Royaume Démocratique du Chandekolza dans l'EAA, porté par une dynastie de Côngs qui n'ont pas souhaité s'embarrasser de la démocratie akaltienne, ou même des trois autres démocraties de cette union d'États. Il a été bien visible, dans les derniers jours, que les contre-pouvoirs au monarque chandekolzan ont été grandement défaillants.

Si nous désapprouvons totalement le gouvernement du Công que nous avons laissé agir trop longtemps, nous ne soutenons pas pour autant l'invasion des forces coalisées, qui ne sert que l'impérialisme nazumi débridé. Ils ne veulent qu'une chose : asservir un pays supplémentaire pour satisfaire leurs besoins économiques.

Au contraire, nous approuvons l'initiative de la République du Sud-Chandekolza, qui a visiblement pour projet l'installation d'un véritable gouvernement démocratique. Nous espérons donc que s'ils parviennent à se maintenir, ils pourront réellement instaurer ceci et ne pas sombrer dans une démocrature comme l'a fait ce gouvernement failli actuellement en train de chuter.


Cửa sông được giải phóng
La principale source d'informations au Chandekolza

Numéro 05----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Daté du 02/08/2017


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Texte de secours disponible dans ce topic.
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Cửa sông được giải phóng
La principale source d'informations au Chandekolza

Numéro 06----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Daté du 04/08/2017


Reddition du Royaume, la République se bat toujours
Article du Cửa sông được giải phóng

Texte de secours disponible dans ce topic.
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Suite de l'Opération Loutre cendrée (sous-partie de l'Opération Clôture de Jardin)

De la chute du Cong à la poursuite de l'avancée en territoire "républicain"


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Soldats velsniens issus d'une unité de chasseurs strombolains d'Achosie du Nord (reconnaissables aux plumets rigolo sur les casques)


Depuis quelques jours, on assiste à l'effondrement rapide du front que les troupes du Royaume chandekolzien avaient tenté de mettre en place. Si les lignes de défenses littorales et frontalières à l'Empire Xin ont été rapidement submergées, il aura fallu attendre la capitulation radiophonique du Cong sur les ondes publiques, des suites de la demande de reddition de la coalition jashuro-velsniano-ushong, pour entrevoir la fin prochaine du conflit. Toutefois...était-ce vraiment terminé ? 20 000 morts plus tard, pas exactement. La chute du Cong, si elle était prévisible, n'est que la première étape d'une série d'actions visant au retour du Chandekolza sous le giron ushong et jashurien. Il ne fallait pas être dupe: la disparition du pouvoir monarchique du Cong allait provoquer un appel d'air dans l'offre politique locale, dans laquelle une faction de "républicains", un groupe peu identifiable tant il semblait surgir de nulle part, s'est empressé de s'engouffrer. Si bien que dans les territoires qui ne sont pas encore occupés, les fonctionnaires du Cong paraissent avoir été chassés par des leaders locaux menant des populaces en colère.

Face à l'émergence de cette nouvelle faction, les troupes velsniennes ont grandement hésité quant à l'adoption d'une attitude claire, étant donné le manque total d'information au sujet de revendications claires et consises. A la veille d'une nouvelle manœuvre initiée par une armée velsnienne hyperactive (les doctrines en place dans l'armée velsnienne privilégiant des opérations offensives rapides de petites unités mobiles), la situation est donc la suivante: les républicains semblent avoir pris le contrôle (à une vitesse fulgurante) de la quasi totalité des territoires du Chandekolza non occupés par la coalition, à l'exception de quelques lambeaux de terre autour de la capitale. Les troupes jashuro-ushong occupent le tiers nord du pays, tandis que les velsniens sont désormais presque arrivés devant le palais du Cong, et occupent presque tous les quartiers de la capitale, à l'exception des alentours immédiats du Palais, défendus non pas par des chandekolzans, qui pour la plupart ont abandonné leur poste des suites de la capitulation, mais par la petite garde d'une délégation kah tanaise, ayant pris le contrôle du bâtiment.

Alors que le régime du Cong était en lambeaux, il convenait de décider de la suite de la marche à suivre. Le corps expéditionnaire velsnien se heurtait à des problèmes, certes mineurs, mais qui provoquait un ralentissement sensible de leur capacité opérationnelle: l'existence de quelques poches de l'armée du Cong sur les arrières de l'offensive, la proclamation d'un nouveau régime chandekolzan qui rendait nécessaire une nouvelle marche à suivre, une situation humanitaire des plus critiques pour une population dont le niveau de vie est l'un des pires du monde (en prenant le PIB/hab en compte), la capture d'un nombre immense de prisonniers qui ponctionnaient une part importante du ravitaillement de la troupe. A toutes ces difficultés s'ajoutait la quasi absence de réseau routier ou de chaîne logistique qui rendait l'acheminement du matériel complexe, et qui aggravait les contraintes déjà existantes. Face à cette situation, le commandement de la Grande Tribune velsnienne du pays ushong était catégorique: cela renforçait la nécessité d'une clôture rapide de l'opération militaire, afin que les administrateurs ushong qui devaient prendre la suite entament leur travail le plus rapidement possible, et commencent à faire "la tournée des bases". Chaque instant qui passait sans l'intronisation d'un nouveau Cong nommé depuis Beyfon permettait à des oppositions non contrôlées de se former. Aussi, une action rapide était une absolue nécessité.


Liste des prochaines actions de la Grande Tribune velsnienne du pays ushong dans le cadre de l'opération Clôture de Jardin:

- Écrasement des poches restantes de l'armée ushong aux alentours de la capitale.

Étant donné que ces troupes n'ont pas répondu à la demande de reddition émise par la coalition à l'agard du Cong, un millier d'hommes seront affectés à la destruction des unités restantes de l'ancienne armée gouvernementale. Si la capture est préférable, ces troupes qui ont ignoré la capitulation du Cong ne devraient en toute logique pas se laisser prendre vivantes, ou du moins devraient se battre jusqu'à la dernière cartouche. Quoi qu'il en soit, ordre est donné d'acculer et de détruire ces unités qu'importe le degré de résistance.


- Le Siège du Palais du Cong.


Dans la capitale, le quartier du Palais du Cong en l'occurence, les combats font encore rage entre l'armée velsnienne et une surprenante équipée. Le personnel diplomatique kah tanais (et probablement leur garde) est enfermé dans le Palais du Cong. Le contrôle de ce bâtiment symbolique étant indispensable à la bonne poursuite de opérations, il semble nécessaire de neutraliser cette épine dans le pied de l'offensive qui est supposé se dérouler désormais plus à l'est. Ce siège oblige donc l'armée velsnienne à immobiliser certaines troupes. Le Grand Kah étant officiellement neutre dans le conflit, la priorité est à la négociation et aux pourparlers. La résolution violente ne sera choisie que dans le cas de dernier recours. (hrp: lancement d'un topic parallèle dans les conflits impliquant les membres de la coalition et Vast)


- Déclenchement de l'avancée dans les territoires contrôlés par les républicains.

En accord avec les autres membres de la coalition, le plus gros de l'armée velsnienne, appuyée par un soutien aérien, devrait poursuivre son avancée vers l'est, le long de l'estuaire du Chandekolza. Les consignes à l'égard de ces nouveaux belligérants, probablement peu armés et peu structurés (il est très peu probable que ceux si soient dotés d'un commandement militaire unifié, étant donné que la faction est apparue il y a quelques jours de cela sans plus d'explication) sont le suivantes: ordre est donné à tous les meneurs de la faction républicaine de laisser place au contrôle militaire temporaire de la coalition, en attendant la réorganisation politique du Chandekolza, avec promesses d'intégration politique aux républicains dans le nouveau gouvernement chandekolzan (promesses d'organisation d'élections parlementaires où la faction serait présente).

Si d'aventure cette demande essuierait un refus, ordre est donné de détruire les poches de résistance sur le territoire républicain quoi qu'il en soit, et de prendre le contrôle des points stratégiques assurant la bonne administration du territoire.


- Continuation du blocus de la base Sandro


La base Sandro, située dans l'estuaire chandekolzan, représente depuis le début de l'opération une gêne constante sur les arrières de l'avancée de la coalition, mobilisant une importante partie de la flotte sur place. Ordre est donné de poursuivre le blocus et l'isolement de l'île en absence de reddition de leur part.


- Gestion de l'humanitaire:

La situation des civils chandekolzans était déjà critique bien avant l'opération militaire, et les bases étrangères, la plupart des installations militaires sous faux drapeau et sans le moindre objectif humanitaire réel ne se sont pas montrées efficaces. En toute logique, cette opération n'a pas arrangé la situation, au contraire, et dans la zone contrôlée par les velsniens, la question de savoir quoi faire de grandes masses de civils affamés se pose désormais. Même si aucune aide humanitaire ne peut permettre de relever le pays à très court terme, des besoins d'urgence s'imposent.

- Ordre est donc donner aux navires de la Classis V de débuter l'acheminement de denrées alimentaires et de matériel médical en provenance des possessions fortunéennes les plus proches. Si un personnel médical d'urgence peut également être déployé, il faut être réaliste: les velsniens ne sont pas assez nombreux pour assurer efficacement ce service. Une demande d'urgence sera donc formulée au Jashuria et à l'Empire Xin concernant ce problème, avec construction de camps et de checkpoint destinés aux victimes d'années de négligence politique chandekolzienne. Le but secondaire de cette manœuvre est également de compenser les lacunes constantes des "camps humanitaires déjà sur zone" dans ce domaine. Cependant, en dehors des membres de la coalition, le commandement militaire velsnien fait acte d'une demande d'aide au camp tanskien situé dans l'estuaire du Chandekolza, avec pour requête de mettre à disposition leurs installations et leur personnel médical dans l’accueil des civils. Cette demande concernera dans un premier temps les territoires sous occupation velsnienne uniquement.


- Gestion des prisonniers:

La débâcle de l'armée chandekolzienne a amené à un effet secondaire regrettable: le nombre de prisonniers est extrêmement important, bien plus que ce que les estimations velsniennes escomptaient. En conséquence, les velsniens n'ont manifestement pas été préparés à la gestion d'un tel afflux, et il est nécessaire de mettre en place des solutions d’accueil en attendant de relâcher ces derniers au terme du conflit. A cette fin, la Tribune Militaire a proposé aux autorités ushong de transférer les prisonniers sur son territoire à titre temporaire, en échange de quoi les velsniens s'engagent à subvenir à une partie des besoins financiers de leur captivité.


- Mise en œuvre de "La grande expédition scientifique du Chandekolza"


En parallèle des opérations militaires et humanitaires, le corps expéditionnaire velsnien a embarqué dans ses bagages un très important contingent de scientifiques aux spécialités très diverses: archéologues, paléontologues, anthropologues et lettrés, et ce à plusieurs fins. Sous les ordres du Conservateur des collections du Musée de l'Arsenal Pietro Taddio (présent sur place), ainsi que du grand Maître de la Société des honnêtes archéologues velsniens, plusieurs équipes sont déployées sur des sites culturels sensibles, dans le but d'initier plusieurs "opérations de sauvetage" dans le cadre d'un théâtre de guerre. A cet égard, et sur l'ensemble du territoire contrôlé par la coalition, l'ensemble des musées chandkolziens ou institutions connues se verront investies par des membres de l'expédition, qui en dresseront des inventaires précis, et déciderons ou non du rapatriement d'artefacts et d’œuvres à Velsna, à des fins "de restauration d'urgence ou de conservation" . Les collections du Palais du Cong seront également inventoriées, et subiront le même sort. Pour finir, la Société des honnêtes archéologues entreprendra des fouilles d'urgence sur des sites connus, et invitera les membres des sociétés savantes jashuriennes et ushong à y participer.


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Lien vers le siège du Palais du Cong

Participation ouverte au Jashuria et aux Xin du côté assiégeant, Au Chandekolza (faction du Cong) et aux ambassadeurs et personnels kah tanais sur place du côté assiégé.
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