12/09/2017
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[REROLL NJ2] République Islamique de Byb-Razad [READY]

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Création de pays : Jomhuri-ye Eslâmi-ye Byb-Razâd - جمهوری اسلامی بیب‌رضاد


Généralités :



Nom officiel : République Islamique de Byb-Razad
Nom courant : Byb-Razad
Gentilé : Razidi.e.s

Inspirations culturelles : Moyen-Orient, islam chiite, culture proche de l'Iran.
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Razidi (Arabe mixé avec du Persan)
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Arabe

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Allâh bar hame pirooz ast (الله بر همه پیروز است! - Allah triomphe de tous !)
Hymne officiel :

Monnaie nationale : Rial razidi (RRZ)

Capitale : Byb-Razad

Population : 34 839 519 habitants (39 hab/km²)


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Avant le XVe siècle :

Le territoire actuel n’était pas uni, bien au contraire : il y subsistait une multitude de clans, tribus, cités et royaumes. Des entités politiques distinctes qui passaient la plupart du temps à collaborer entre elles, notamment via le commerce ou des accords de libre passage. Oui, il y eut des guerres, mais elles étaient peu fréquentes, notamment car les ressources étaient abondantes, les territoires vastes et peu peuplés. Une guerre aurait trop déstabilisé la région et personne ne le souhaitait. Ainsi, la région connut une période très calme et prospère.

1453 et l’Union de Byb-Razad :

Les forces militaires devenant de plus en plus agressives au nord et au sud du pays, un conseil d’urgence fut convoqué selon une ancienne tradition millénaire de la région : le regroupement de tous les chefs, quels qu’ils soient, du territoire actuel du pays au même endroit, à Byb-Razad. Ce conseil déclara l’état d’urgence existentielle. Après de longues négociations durant plusieurs jours, une union des clans participants et d’accord fut créée : l’Union de Byb-Razad, censée montrer aux grandes puissances que le pays était uni et fort.

Du XVe au XVIIIe siècle :

La République de Byb-Razad étant proclamée, le pays dut faire face à des pressions venues des puissances militaires. Mais avec cette instabilité, le pays lança une grande politique de militarisation ainsi qu’une stratégie peu commune de négociation de paix : « Touche-moi, je brûle toute la richesse de mon pays si je perds, donc tu ne gagneras que des morts et moins d’argent. » Une stratégie dite du « fou » qui réussit à calmer les tensions. Depuis cet instant, le pays connaît une paix durable et est réputé pour ses approches diplomatiques peu communes.

Du XVIIIe au XXe siècle :

L’une des plus vieilles démocraties du monde : voilà le nom de Byb-Razad. Cette ère permit au pays de prospérer économiquement, notamment avec les grandes puissances de ce monde mais également avec ses anciens ennemis. L’industrialisation toucha le pays, et une vague d’usines s’installa, mais fut rapidement arrêtée car ce n’était pas la voie que le gouvernement souhaitait pour son économie, préférant rester dans le textile, le tertiaire et le nouvellement développé secteur pétrolier. Une vague d’investissements internationaux lança l’exploitation de cette ressource. Les chemins de fer se développèrent partout. Durant cette période, le pays accueillit près d’un milliers d’immigrés, venus principalement d’Afarée noire et d’Eurysie. On note aussi l’arrivée d’immigrés juifs et chrétiens déplacés par les frontières, ainsi que des Nazumi venus principalement pour le commerce. Le pays commença alors à évoluer vers une nation multiculturelle, avec une certaine autorité pour garantir le respect de chacun.

Enfin, le XXIe siècle :

Le pays continua sur sa lancée, mais dut faire face à des problèmes d’instabilité dans des régions reculées et peu peuplées, notamment à cause de l’arrivée d’immigrants illégaux musulmans sunnites qui frappèrent volontairement le pays pour revendiquer un territoire national. Une vague de terrorisme s’installa progressivement et atteignit son paroxysme en 2008 avec la présence d’un réel groupe armé revendiquant un État islamique sur le désert rocheux du nord du pays. Le gouvernement lança alors une vague de répression du terrorisme, ce qui ralentit leur progression et les diminua. Cependant, le grand défi de ce siècle reste la lutte contre cette force militaro-politique d’environ 2 000 membres connus et actifs.

Coup de théâtre : 24 juin 2015 à décembre 2015 :

La République sombra dans une lente guerre civile qui frappa tout d'abord la capitale, puis s'étendit dans tout le pays. La population à majorité chiite, de plus en plus violente, déclencha la révolution islamique razidi, soutenue par les étudiants et les politiques du pays. Les institutions principales furent prises en quelques mois partout dans le pays, après plusieurs combats urbains contre les forces loyalistes. On note également que la population se lança dans plusieurs massacres contre les musulmans sunnites, diminuant leur influence sur le territoire. Depuis lors, le gouvernement islamique dépense une grande partie de son budget dans la lutte contre le terrorisme sunnite du nord du pays, malgré qu'aujourd'hui leur nombre soit très faible et que le terrorisme chiite ait pris énormément de place dans le désert profond. On note également la présence perpétuelle de combats entre chiites et sunnites dans ce désert rocheux pour s'imposer comme force principale du terrorisme razidi.

Mentalité de la population :
La population n’est pas très accueillante, voire hostile envers les étrangers. En effet, l’apparition de groupes terroristes a conduit à une méfiance particulière envers eux. Il est très difficile de s’adapter à ce rythme de vie très rude et peu social. Cependant, la population est très travailleuse, vivant de l’agriculture et de l’élevage. On note notamment une augmentation des emplois liés à l’exploitation du pétrole et des ressources minières du pays. Cependant, le pays reste majoritairement instable à cause du terrorisme, alors les emplois dans l’armée restent importants malgré le manque de moyens.

Place de la religion dans l’État et la société :
Le pays se proclame de l'Islam chiite, représentant 84 % de la population, cependant les autres minorités représentent 11 % de musulmans sunnites, 2 % de chrétiens, 1 % de juifs et 1 % d'autres confessions (notamment nazumi). La société est très divisée sur la question religieuse, avec des quartiers interdits aux non-chiites, des lynchages quotidiens de sunnites et d'autres confessions. La loi de la Sharia est appliquée sur l'ensemble du territoire, et une police de la vertu est en place à Byb-Razad.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Il y a des élections tous les 16 ans dans le pays ; la population vote pour nommer le Premier Ministre ainsi que le gouvernement et l'assemblée.
Le pays est cependant aux mains du Guide suprême, un imam chiite élu parmi les imams à vie pour diriger le pays.

Il existe une justice, aux mains de l'État, appliquant les lois de la Sharia partout dans le pays.
D'autres institutions sont en place, comme l'organisme de lutte contre le terrorisme, la police de la vertu, la banque nationale ou encore l'institut géographique razidi.

Le pays est divisé en plusieurs provinces historiques ayant des assemblées pour gouverner les affaires courantes, élues tous les 8 ans.

Principaux personnages :

Behrad Mehrian : Guide Suprême
Naghi Fardin : Premier ministre de la République

Politique internationale :

La République islamique de Byb-Razad cherche, à son échelle, à devenir une puissance régionale, notamment en soutenant les groupes terroristes et rebelles chiites de l'Afarée. Le régime islamique tente, petit à petit, d'atteindre 100 % de chiites sur son territoire par tous les moyens à sa disposition. L'armée sera la priorité pour le pays ainsi que l'influence extérieure. Elle n'hésitera pas à fournir des armes aux groupes terroristes ou rebelles afin de déstabiliser tous les pays de la région nord-afaréenne.
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