25/01/2018
21:05:27
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale

[BNE-RETSVINIE] La poussée vers l'Est

5367
Une p'tite musique ?

Drang nach Osten

Depuis près de quatre-vingt ans, depuis la chute de la monarchie slavis, la Retsvinie, de facto indépendante et dirigée d'une main de fer par la Troisième Division d'Infanterie Impériale et son Général-Président, légitimés par leur grande mission salvatrice de reconquête du territoire national des mains de la bourgeoisie décadente libérale et démocrate qui deviendra Novokrat pour rétablir sur son trône le seul vrai Tsar et dirigeant légitime de Slaviensk, est rendue plus qu'instable et fragile par une succession trop rarement interrompue d'insurrections communistes ou capitalistes, fomentées par des marginaux en quête de gloire, de pouvoir ou de fortune personnels et sans doute soutenus voire manipulés par des nuisances étrangères et impérialistes qui, bien loin de s'intéresser au sort de ces pauvres gens pris par leur seule faute dans cette escalade de violence, ne voient en ce pauvre morceau de terre qu'une occasion rêvée de se tailler un petit bout d'empire à la manière des Translavye, Altrecht ou Kartvélie pour ne prendre que des exemples proches tant géographiquement que temporellement.

Le Bloc Nationaliste Eurysien n'est pas de ces nuisibles aveuglés par leur propre insuffisance, loin de là. Il est comme une citadelle assiégée de toutes parts, prête à défendre avec ardeur ses composantes face à des armées innombrables déferlants sur ses murailles comme les vagues de la Manche Blanche frappent les côtes déchirées de la Rimaurie, de Menkelt ou de l'Altrecht. Dans certains cas, comme ici le troisième, il arrive que ces eaux, portées par la tempête, parviennent à pénétrer profondément les terres jusqu'à engloutir les villages, les maisons et avec eux les Hommes, trop mous pour combattre et défendre la cause qu'ils se sont eux même choisis, qui se laissent sombrer en attendant que leurs ennemis naturels, ceux là même qui ont fait tomber les digues qui les protégeaient de la mer destructrice, ne viennent les secourir pour en faire des marionnettes vidées de leur substance, pliées à leur volonté comme des caniches dociles. Là n'est pas un échec du BNE mais seulement une preuve de la décadence crasse de certains peuples que l'on appelle Kartiens, Kartvéliens ou Altrechtois qui n'hésitent pas à se vendre comme des putes de Carnavale abandonnant toute décence aux intérêts des anarcho-communistes du LibéralIntern et de l'UICS ou aux libéro-capitalistes de l'ONC et de l'OND, sans omettre leurs fils bâtards que l'on nomme "socio-démocrates", ces pourritures schizophréniques qui se croient capables d'associer deux antagonistes, se réclamant à la fois de Dieu et du Diable, seuls blocs jugés dignes d'existence, écrasant tous ceux qui ne partagent pas leurs espoirs niais. Le BNE, bien trop souvent réduit à un ramassis de dictature violentes et réactionnaires et d'états voyous sans moral, est paradoxalement le seul à lutter de toutes ses forces pour libérer l'Eurysie de ce clivage guerrier qu'est l’incessante opposition entre socialisme et libéralisme.

La République de Retsvinie l'a bien compris. C'est pourquoi, alors qu'elle même faisait l'expérience de cette guerre mondiale par procuration entre la gauche et la droite, elle a accepté avec ravir l'aide généreusement proposée par la seule force dans toute l'Eurysie capable d'assurer sa sécurité face aux impérialistes de tous bords, de défendre ce qu'elle est vraiment, de créer un monde libéré de ces luttes superficielles, la seule force à défendre encore l'alternative de la troisième voie. Mais pour pouvoir assurer sa stabilité plus longtemps, la Retsvinie devra revoir entièrement la doctrine qui l'anime depuis ses tout débuts et devient aujourd'hui son fardeau alors que le vilain dont elle se faisait autrefois le porte-voix est remonté sur le trône à l'appel des pouilleux de Slaviensk ramollis par 25 ans de Novyavik non pas pour récompenser comme il se doit ses plus vieux soutiens mais, au contraire, pour leur montrer les dents et faire étalage de son mépris envers eux avec un déploiement militaire parfaitement déraisonnable, ne faisant qu'ajouter plus de tension à une situation déjà explosive. Il n'en est pas question, le BNE ne se laissera pas humilier une fois de plus, il ne lâchera pas la Retsvinie et si la plus grande force de Severopol, l'idéal même sur lequel elle s'est fondée, est aujourd'hui devenue sa principale faiblesse, alors il lui faudra changer et se construire une nouvelle légitimité. C'est le but de cette rencontre : aider la Retsvinie à ériger ses nouvelles fondations, à se trouver un nouveau but, à se choisir un destin meilleur que tous ceux que les rouges et les bleus ont à lui proposer.

Pendant que CITADEL est maintenue dans son coma artificiel depuis sa naissance et que la Ligue de Velcal est devenue une maison-close où les Velsniens s'amusent à enculer toutes les règles qu'ils ont eux même écrit, le BNE survit. Il survit parce qu'il faut bien que quelqu'un s'oppose aux grands et se refusent à jouer selon leurs règles. Il survit comme un fauve qui refuse d'être dressé. Chaque coup qu'il reçoit, il le rend. Chaque fois qu'il recule, il avance ailleurs. Chaque fois que son territoire est grignoté par la marée rouge et bleue, il se réfugie un peu plus haut, à l'abri du déluge, luttant de toutes ses forces pour garder la tête hors de l'eau et ne pas se noyer. Il est comme ces guérilleros acharnés qui pullulent dans les forêts de Rimaurie, les savanes de Zentralafarea ou les montagnes de Retsvinie, attaquant d'un côté et abandonnant ses conquêtes de l'autre pour revenir à la charge par derrière un buisson, inlassablement, compensant chaque défaite par une nouvelle victoire, chaque perte par une nouvelle acquisition, tout ça dans le seul but de survivre un jour de plus, de rappeler qu'ils existent, qu'il y'a une alternative à ce que les plus puissants veulent imposer aux plus faibles, qu'une troisième voie est possible et qu'elle a autant de valeur et de mérite que les deux autres. Le BNE ne souffre pas lorsqu'il perd un membre car, même réduit à un il sait qu'il pourra toujours s'en trouver de nouveaux et, surtout, même réduit à un, il sait qu'il ne pourra pas disparaître parce qu'il faut bien que quelqu'un s'oppose aux grands et refuse de jouer selon leurs règles.

Le BNE est invincible, il se relève toujours. Lorsque le sud s’effondre, il s'étend au nord et lorsque le nord tombe à son tour, il pousse à l'est.
3159
Contexte :

La crise Retsvinienne


La crise Retsvinienne était quelque chose de vieux. Déjà 77 ans que la Retsvinie a été arrachée de la mère patrie et qu'elle subissait une guerre presque continue entre les factions terroristes et celles de la République. Jamais, à l'inverse du voisin slavis qui s'est prostitué à la déviance idéologique, la Retsvinie n'est tombée face aux révolutionnaires. La Retsvinie gardait toujours tant bien que mal son rôle de protecteur bienveillant de son peuple millénaire. Cependant, cette junte devenait ancienne, décadente, en décalage des attentes de son peuple. Mais en plus, cette Retsvinie bien aimée tant meurtrie par la déviance subissait aujourd'hui la sentence des soit disant nations qui par leur impérialisme, tentait d'imposer leur idéal fait d'illusions.

Après tant de combats où les braves combattant Retsviniens ont tant sacrifié, il fallait chercher de l'aide. Le combat devenait dur, les puissances étrangères nuisaient dans la résistance des Retsviniens et le pouvoir était contesté. Plus le temps passait, plus l'évidence se révélait, évidence que l'ancien Général-Président n'avait pas voulu reconnaitre. L'aide était vitale, tant sur le plan militaire que politique. La fragile et minuscule nation Retsvinienne avait trouvé ses partenaires si importants à leur survie : Le Bloc Nationaliste Eurysien. Ce Bloc dont la lutte était si brave, et qui méritait de combattre aux côtés des défenseurs de la Nation. Qui d'autre pouvait assurer ce rôle de dernière chance pour la Retsvinie ? Qui donc ? Sûrement personne. Le Bloc Nationaliste Eurysien, et comme il se le vantait si haut, était la troisième voie à suivre dans se monde fait de sang et de souffrance. L'alternative à ce monde rempli de catins.



Les débuts de l'entrevue :


Silovki, Général Président de la Junte Retsvinienne


Le Général-Président, protecteur du peuple Retsvinien, représentant de la Junte à l'international et grand guide de la nation s'était rendu suite à l'invitation du Bloc Nationaliste Eurysien à la capitale Rimaurienne de Hahnemann. C'était très rare de voir un Général Président quitter la Retsvinie pour une rencontre avec un état étranger, et souvent cela annonçait un changement radical dans le rapport de force Retsvinien. La dernière fois que cela avait eu lieu, c'était dans les années 90, où le jeune état de Novyavik s'engageait dans une vaste lutte contre le communisme à travers la guerre civile pravoslave en Steviïa, la guerre civile khardazienne, mais aussi dans un conflit directe avec la Barvynie. Parmi ces guerres anticommunistes avait aussi eu lieu celle des épisodes d'escarmouches contre les factions communistes et le gouvernement Républicain avait reçu l'aide, non pas sans réticence, de cette soit disant Union. Mais le temps était loin, et les slavis continuaient dans leur prostitution éternelle aux régimes décadents. Aujourd'hui, c'était au tour de cette écœurante monarchie libérale qui n'hésitait plus à trahir ses frères. Finalement, peut-être que la Junte reverra ses volontés de rétablissement de l'ancien régime au regard de ce que les quelques années d'expérience à Karty ont apportés dans la tête de l'héritier au trône...

En bref, le Général-Président arriva avec un plaisir qu'il n'essayait pas de cacher à la capitale Rimaurienne, avec un avion diplomatique comme on en produisait plus en Retsvinie depuis bien longtemps, la faute aux catins qui ne manquent pas de tout détruire sur leur passage, tout ce qu'a durement construit le peuple Retsvinien. Le Général-Président fut accueillit en grande pompe par des Rimauriens qui semblaient si heureux de voir celui qui représentait la lutte éternelle que menait le BNE. Le guide était arrivé chez les sauveurs...



HRPJe ne savais pas trop quoi écrire, je te laisse donc commencer les négociations/écrire l'accueil. En ce qui concerne la phrase "Il fut accueillit en grande pompe par des Rimauriens qui semblaient si heureux de voir celui qui représentait la lutte éternelle que menait le BNE." il s'agit d'une simple impression que pourrait avoir le Général-Président, et non la vérité.
2947
Comme pour toutes les rencontres se tenant sur le sol Rimaurien, les délégations étrangères tout droit débarquée de l'aéroport Phillipp Seeliger furent reçues, tout au long de leur traversée d'Hahnemann à bord des voitures blindées du Ministère des Affaires Étrangères, par les salutations enjouées des locaux et par le florilège de drapeaux de toutes les couleurs accrochées aux balcons, aux gouttières, aux lampadaires où à tout ce qui peut faire office de mat, représentant à la fois les étendards des quatre nations représentées aujourd'hui mais surtout l’emblème éternel du Bloc Nationaliste Eurysien, le drapeau noir et blanc qui le représente depuis ses tout débuts il y'a presque trois ans, le tout surveillé d'un œil alerte par les vaillant soldats de l'Armée Nationale Rimaurienne, au cas où quelques insurgés oseraient s'aventurer jusqu'au cœur de la nation nordique pour y couper d'un coup un seul toutes les têtes de la petite mais tenace organisation.

Comme pour tous les sommets diplomatiques en terre Rimaurienne, ces mêmes délégations, à leur arrivée au Großer Palast, siège d'un Parlement désormais vidé de tout pouvoir et aujourd'hui utilisé comme demeure secondaire et lieu de réunion par l'Oberführer, furent accueillies par une haie d'honneur protocolaire et par Friedrich Sattler lui même, en compagnie de quelques-uns de ses plus proches ministres et généraux.

Bienvenue, mesdames et messieurs les délégués, et merci d'avoir répondu présent à cette rencontre au sommet. Comme vous le savez surement déjà, nous sommes ici réunis pour discuter d'un partenariat entre, d'un côté, le Bloc Nationaliste Eurysien et, de l'autre, la République de Retsvinie, représentée par son Général-Président élu il y'a quelques mois, monsieur Silovki, ayant notamment trait à une possible intervention militaire des armées coalisées du Bloc en soutien au gouvernement légitime de Retsvinie dont la survie est menacée par une violente insurrection aux multiples visages, voire à une intégration dudit gouvernement Retsvinien au sein de notre organisation.

Nous, états membres du Bloc, avions cependant conclu, au terme de nos discussions, que, compte tenu de l'instabilité permanente du régime Retsvinien et de la juste remise en cause du modèle politique et idéologique sur lequel elle s'est fondée, une intervention militaire ne pourrait avoir un impact durable et permanent qu'à la condition qu'elle s'accompagne d'une refonte dudit modèle politique et idéologique, condition que monsieur Silovki a déclaré accepter dès sa prise de fonction. Une refonte qui est donc l'objet central de cette conférence.

Mais avant toute chose, je pense que c'est à son excellence, le Général-Président Mikhaïl Adreyevitch Silovki, de prendre en premier la parole et de nous exposer les bases de la nouvelle doctrine Retsvinienne qu'il a sans nul doute déjà imaginé. Monsieur Silovki, vous aviez promis avant votre élection de mener une "politique de changement de cap" et vos premières mesures ont étés de vous faire voter les pleins pouvoirs, de réduire les libertés civiles et d'instaurer la peine de mort et l'État d'urgence afin de restaurer un climat de relative sécurité mais, ces mesures étant évidemment temporaires, pourriez vous nous en dire plus sur cette fameuse politique de changement de cap et sur les réformes plus solides et durables que vous prévoyez de mettre en application pour assurer la pérennité dans le temps de votre régime ?
6059

Silovki, Général Président de la Junte Retsvinienne



Le Général pris la parole après la demande de l'Oberführer. Il n'avait pas de texte préparé à l'avance, et avait tout gardé en tête, au risque d'oublier quelques détails sans importance.

Général-Président Silovki : "Tout d'abord, excellences du BNE, je tient à remercier votre Bloc d'avoir envisagé un soutien et tenir une rencontre, ici, en Rimaurie, dans l'objectif d'assurer la continuité de la lutte du Régime Retsvinien et la résurgence de la race Eurysienne. La Retsvinie se veut comme une nation résistante contre les puissances impérialistes libérales et communistes, peut-être faible, mais irréductible. La lutte du BNE est loin d'arriver à sa fin, puisqu'il luttera tant que les catins communistes et libéraux continuerons de vivre baignés dans leurs mensonges sur ce monde innocent.

Maintenant, et comme me l'a précédemment demandé son excellence l'Oberführer Friedrich Sattler, je vais exposer qu'est-ce que j'entends par politique de changement de cap, et donc vous exposer en quoi consiste se plan et se changement doctrinal en Retsvinie.

J'ai jugé évident que la doctrine de lutte pour la réaction monarchiste n'était plus d'actualité et ne faisait que bénéficier à nos adversaires naturels que sont ces libéraux de l'Empire slavis. C'est ainsi que je pense que la Retsvinie devrait désormais se tourner pleinement sur une politique pro-BNE, et notamment sur l'extinction des anciens symboles pro-slavis, par exemple l'hymne national. Mais ces simples changement d'alignement diplomatique et médiatiques ne sont loins d'être suffisant. Durant des décennies, la Junte militaire de la République Retsvinienne s'est enfoncée dans l'erreur de vouloir restaurer la monarchie slavis. Aujourd'hui, s'est sa structure qui est complètement inadaptée à la survie sans l'Empire de Slaviensk. Je pense qu'il est temps que la Retsvinie devienne vraiment indépendante.

Sur le plan du fonctionnement institutionnel de la Retsvinie, je pense qu'une concentration des pleins pouvoirs entre les mains d'une personne compétente qui choisirai elle-même des subordonnés jugés compétents serait un modèle de transition efficace pour mener la Retsvinie vers la victoire avant d'envisager un système de République Présidentielle nationaliste, mais pas unitaire pour donner une autonomie au moins partielle à la Veltava et ainsi désolidariser une partie du Mouvement Indépendantiste de Veltava qui possède une petite branche libérale et une autre non-politisée mais indépendantiste, ou autonomistes pour certains.

Après la refonte des institutions, il faut également une refonte idéologique. De quoi donner un nouveau but au peuple Retsvinien, de quoi faire de la Retsvinie un nouvel exemple de nationalisme efficace et fonctionnel. Cette idéologie donc, en bref, se résumerait à mettre au premier plan le travail, la patrie et la famille. Concernant le travail, il faut doter la Retsvinie d'une économie pas forcément prospère, mais qui puisse assurer sa souveraineté et permettre une baisse du chômage et de la misère, nous devons en effet donner au Retsvinien moyen et au travailleur des champs un salaire suffisant pour assurer une vie décente. Pour cela, il faudra bien entendu envisager des plans de reconstruction d'après guerre, un réarmement généralisé, la construction d'un complexe militaro-industriel permettant ainsi la construction d'une armée Retsvinienne et de faire baisser le chômage, l'armée et les usines de production d'armes devenant de grands créateurs d'emplois. Mais au delà de ces simples mesures il faudrait potentiellement envisager une aide du BNE pour le développement de la Retsvinie et sa reconstruction d'après guerre, la création d'une monnaie plus forte du rouble retsvinien et qui ne serait plus dépendant du Novark slavis puisque cette dépendance rend notre système financier vulnérable à leurs ingérences impérialistes ainsi que, pour finir, l'établissement d'un modèle économique propre à la Retsvinie mais proche de ceux souvent en place dans les états nationalistes.

Ce modèle économique reposerait sur trois acteurs économiques majeurs qui ont actuellement chacun des intérêts divergents et qui doivent être placés à une force politique égale sur le plan économique : Le travailleur, qui veut travailler moins et gagner plus, l'entrepreneur, qui veut accroitre ses bénéfices et conquérir des marchés, et l'état qui veut une économie performante et stable pour rayonner à l'international. Ce système se baserait donc sur la coopération intelligente des trois entités, la lutte des classes étant remplacée par la coopération pour la nation. L'objectif est donc de mettre la production au service de la nation et non l'inverse, en atteignant un équilibre social recherchant ainsi un équilibre sain entre recherche du profit, de la stabilité et du bien-être. Cela se résumerait par la création d'un syndicat étatique qui se chargerait du dialogue entre les trois forces économiques et de permettre de trouver le meilleur équilibre en permanence. De plus, avec ce modèle, nous pouvons devenir une nation possédant un système encourageant la concurrence et l'innovation tout autant que la coopération et la stabilité, et ainsi permettre une compétitivité à l'international sans pour autant être forcés de devenir des dégénérescents ou de sacrifier le peuple au travail.

Ensuite, toujours sur le plan idéologique, la Retsvinie s'engagerait sûrement dans la lutte pour le peuple blanc Eurysien. les Retsviniens se reconnaîtront pleinement comme un peuple, non seulement des citoyens ou des résidents d'un pays, mais un peuple porteur des intérêts nationaux uniques et enracinés dans notre patrimoine sur ce continent tant chéri. Notre peuple, né dans cette nation appartenant à la race eurysienne, doit se reforger comme un nouveau peuple pur capable d’affirmer notre droit à l’indépendance culturelle. La vie de cette nation, unique parmi tous les autres peuple purs d'Eurysie, sera défendue.

Enfin et pour finir, notre politique se basera sur la naissance d'un esprit révolutionnaire eurysien qui guidera le peuple vers son droit inaliénable à l’autodétermination sur le chemin pour accomplir son destin. L'Eurysie de l'est sera vidée de domination tyrannique et impérialiste que la Junte actuelle ou les régimes libéraux et communistes qui y vivent pour l'instant semblent respecter étonnamment bien. L’État corrompu et inefficace qui empêche de lutter pour l’intérêt national et qui favorise une ploutocratie dominante et oppressant le peuple et la nation qu'il forme n’est plus légitime à gouverner, et doit être aboli. Nous devons absolument lutter pour la liberté de notre peuple contre les ingérences des non-Eurysiens comme des autres Eurysiens, qu'ils soient libéraux ou socialistes, et devenir un noyau non dégénéré qui permettra la renaissance eurysienne blanche et l'émergence de la nation Pan-Eurysienne qui protégera tout les Eurysiens du destins que les Alguarenos ou les Kah-tanais leur réserve.

Sur ce, je peux laisser la parole aux membres du bloc éternel, qui représentent autant de nation Eurysiennes pures."

Haut de page